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#géographe
francepittoresque · 3 months
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28 janvier 1782 : mort de d'Anville, premier géographe du roi ➽ http://bit.ly/Jean-Baptiste-Anville Depuis l’âge de 12 ans, cependant qu’une carte géographique lui tomba entre les mains, il n’eut de cesse de s’adonner au dessin des pays et contrées évoquées par les historiens grecs ou latins, obtenant le brevet de géographe du roi avant l’âge de 22 ans
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perduedansmatete · 6 months
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pov ma sœur est drôle et géographe
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professeur-stump · 1 month
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S'essayer au village
 Non, je le crois plutôt dans un coin de la plaine, au bord du ruisseau. Il est si petit qu'un rideau de peupliers le cache à tous les yeux. Ses chaumières disparaissent dans les oseraies de la rive. Un bout de prairie verte lui sert de tapis; une haie vive le clôt de toutes parts, comme un grand jardin. On passe à côté de lui sans le voir. Les voix des laveuses sonnent, semblables à des voix de fauvettes. Pas un filet de fumée. Il dort dans sa paix, au fond de son alcôve verte.  Aucun de nous ne le connaît. La ville voisine sait à peine qu'il existe, et il est si humble que pas un géographe ne s'est soucié de lui.
(Émile Zola, Le Petit village, Nouveaux contes à Ninon, 1870)
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fidjiefidjie · 10 months
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Bon jour ☕️ 📰 , bonne semaine à tous
Les nouvelles 🇲🇲 Birmanie 1984
Photo de James L Stanfield /National Géographic
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tournevole · 21 days
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Girafe
- Quand je serai grand, je serai girafe
Pour être bien vu par les géographes.
- Pas éléphant blanc, c’est trop salissant,
Ni serpent python, ni caméléon.
- La girafe est belle, elle est une échelle
Entre sol et ciel, l’herbe et le soleil !
- Mammouth, c’est trop tard et marsouin trop loin,
Le chameau a soif, le saurien a faim.
- Tandis que girafe, on a de ces pattes !
Un cou bien plus haut que le télégraphe !
- Le kangourou boxe, il reçoit des coups,
Il a une poche, mais jamais de sous.
- Non, décidément, quand je serai grand,
Je serai girafe et vivrai cent ans.
Alors sa maman lui dit tendrement :
- C’est trop d’ambition, mon petit gardon !
Marc Alyn, poète français né le 18 mars 1937.
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stephanedugast · 3 months
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🖤 [ÉCHO] Disparition d'un "géant" des mondes polaires et de l'ethnologie moderne. Jean Malaurie, explorateur, scientifique et aventurier, avait réalisé 31 missions dans le cercle Arctique, du Groenland à la Sibérie. 👉 https://urlr.me/szRHd
SA BIO EXPRESSE 👉 Jean Malaurie (1922-2024) Explorateur spécialiste des régions arctiques et anthropo-géographe (comme il aimait à se définir), Jean Malaurie a d'abord étudié la géomorphologie avant de se joindre en 1948 au Groenland à une expédition conduite par Paul-Émile Victor.
Le Grand Nord et ses habitants vont dès lors devenir son domaine d'étude. Directeur de recherche émérite au CNRS, Jean Malaurie va ensuite diriger le Centre d'Études Arctiques à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales.
La première chaire de géographie polaire est créée pour lui en 1957 par le grand historien Fernand Braudel.
Parallèlement, il fonde et dirige la célèbre collection Terre Humaine chez Plon éditions.
Scientifique engagé et écrivain de renom, Jean Malaurie va publier de nombreux ouvrages, dont des best-sellers comme Les Derniers rois de Thulé (1955), traduit en 23 langues, Ultima Thulé (1990), L'Appel du Nord (2001) ou encore Hummocks (2003-2005), tous consacrés (comme ses 9 films) au Groenland et à ses eskimos.
Président d’honneur à vie de l'Académie Polaire à Saint-Pétersbourg, docteur Honoris Causa de l'Université d'État de Saint-Pétersbourg Ambassadeur de Bonne Volonté pour les régions polaires arctiques à l’Unesco, Jean Malaurie a accumulé les prix et les distinctions en France comme à l’étranger.
Un "géant" de l'exploration vient de disparaitre.
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memoire2cite · 7 months
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Les archives de la rénovation urbaine ds le 93 en Seine saint Denis Les Grands Ensembles Modernes..la Courneuve, cité des 4000.. Architectes MM GRIMAL & Tambute . Il a aussi réalisé la reconstruction d’Abbeville. Le grand écart ! Edifiée au nord de Paris ... Les 4000 Symbole de la politique urbaine des « grands ensembles de banlieue ».. Le grand ensemble apparaît donc comme une unité d’habitat relativement autonome formée de bâtiments collectifs, édifiées en un assez bref laps de temps, en fonction d’un plan global qui comprend plus de 1000 lgts environ» (Lacoste (Yves), « Un problème complexe et débattu : les grands ensembles », Bulletin de l’association des géographes français, n° 318-319, 1963). Autre point important, en application de la Charte d’Athènes, ces bâtiments collectifs sont « de grands immeubles entourés d’espaces verts », des tours et des barres de style moderne destiné à l’habitat bénéficiant d’une unité foncière. Ces logements collectifs, mais pas exclusivement, peuvent être locatifs (HLM ou privé) ou en copropriété. Si la définition que propose Lacoste dès 1963 reste aujourd’hui très pertinente, le nombre moyen de logements doit être revu à la baisse, un minimum de 600 logements définissant déjà un grand ensemble. En effet, depuis 1963, l’instruction du 8.04.1960 qui fixe à 1000 logements le nombre minimum pour accéder à un certain niveau d’équipements a été abaissée ; par ailleurs, les projections chiffrées optimistes sur lesquelles se fonde alors Lacoste, n’ont pas été réalisées. Pendant près d’un quart de siècle, de 1954 à 1973, les pouvoirs publics, en France, ont développé une politique d’édification des grands ensembles. En 1973, en effet, une circulaire d’Olivier Guichard mit un terme à cette politique et à nombre d’opérations de construction de grands ensembles. Ce haut fonctionnaire de la IVe République avait préalablement été nommé délégué général du gouver (...) Mais entre 1954 et 1973, la banlieue s’est couverte de chantiers. Elle est devenue cet espace bouleversé où s’établit une immigration provinciale et étrangère. En 1962, Paul Delouvrier, alors nouvellement nommé délégué général du District de la Région parisienne, reçoit pour mission de remettre de l’ordre dans ces territoires. À cette fin, en juillet 1964, un nouveau découpage crée dans le territoire de l’ancien département de la Seine, huit nouveaux départements : Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne, Val-d’Oise, Yvelines...
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whencyclopedfr · 8 months
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Claude Ptolémée
Claude Ptolémée (100 - 170 de notre ère) était un mathématicien, un astronome et un géographe alexandrin. Ses œuvres ont survécu à l'Antiquité et au Moyen Âge, et ses théories, en particulier le modèle géocentrique de l'univers avec des planètes suivant des orbites à l'intérieur d'orbites, eurent une influence considérable jusqu'à ce qu'elles ne soient remplacées par le modèle héliocentrique de l'univers proposé par Copernic et Galilée.
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polkadotmotmot · 2 years
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Alain Josseau - Les géographes, N°59, 2022
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goodmemory · 11 months
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« la pensée a une géographie avant d’avoir une histoire "
Ibid., p. 152. Logique du sens - Deleuze
Les concepts de Félix Guattari et Gilles Deleuze et l'espace des géographes
Gilles Deleuze et Félix Guattari : "Faites rhizome et pas racine !"
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alexandra-dn · 11 months
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Alexandra David Néel
ADN link
Vidéo: … la 1ère occidentale au Tibet   / L’exploratrice …
ADN - visites privées
Anarchiste et cantatrice, aventurière et bouddhiste, cette féministe ne s'est laissé guider, dans sa vie durant, que par sa soif d'aventures et de voyages.
Le 28 janvier 1924, Alexandra David-Néel arrive devant les portes de la ville sainte de Lhassa, au Tibet. Il est interdit aux étrangers d’y entrer, mais il en faut davantage pour arrêter l’exploratrice française de 56ans. Partie de la province chinoise du Yunnan quatre mois plus tôt, avec pour seul compagnon son ami indien Aphur Yongden, elle a parcouru 2000 kilomètres, gravi des cols à plus de 5 000mètres d’altitude, bravé le froid et la faim. Et elle devrait renoncer ? Pas question ! Elle se cache sous un costume de mendiante et se grime le visage en noir puis, noyée dans la foule, pénètre dans Lhassa en clamant, comme les autres pèlerins, « lha gyalo » (« les dieux ont triomphé »). Elle est la première Européenne à franchir les portes de la cité interdite. Lorsqu’elle rend publique son aventure, quelques mois plus tard, la France est abasourdie par son audace. Mais ceux qui la connaissent ne sont guère surpris : Alexandra David-Néel n’a jamais cessé de suivre ses désirs, loin des normes et des conventions.
Retour sur son enfance
Retour cinquante-six ans en arrière. Louise Eugénie Alexandrine Marie David, qui deviendra après son mariage Alexandra David-Néel, naît en octobre 1868 à Saint-Mandé (Val-de-Marne). Sa mère espérait un garçon et ne s’en remettra jamais. D’autant qu’en 1873 elle en a enfin un, qui meurt quelques mois après. Peut-être est-ce pour fuir le souvenir de cette maison sans amour, hantée par une mère dépressive, qu’Alexandra va passer sa vie à voyager…
S’évader : c’est un penchant qui se déclare dès son plus jeune âge. … Ses évasions sont aussi intellectuelles. Au musée Guimet, qui ouvre à Paris en 1889, la jeune fille découvre l’art asiatique et en est éblouie. Elle apprend le sanskrit, se convertit au bouddhisme, et effectue un premier voyage en Asie à 21ans grâce à l’héritage providentiel d’une parente.
De chanteuse d’opéra à voyageuse intrépide
De retour à Paris, elle se rapproche de la pensée anarchiste grâce à un ami de son père, Élisée Reclus, géographe et philosophe politique. Il sera son mentor, l’aidant à déplier ses ailes. Sous son influence, la jeune bourgeoise écrit elle-même un traité anarchiste en 1892, intitulé 'Pour la vie'.
« L’obéissance, c’est la mort, y explique-t-elle froidement. Chaque instant dans lequel l’homme se soumet à une volonté étrangère est un instant retranché de sa vie. » Les femmes, écrit-elle aussi, doivent échapper à la tutelle de leur mari en travaillant. Et elle montre l’exemple ! Douée pour la musique, Alexandra devient… chanteuse d’opéra – elle interprétera bientôt, sur les planches, les héroïnes passionnées du répertoire, comme Carmen ou la Traviata. Sa carrière la conduit à Hanoï, puis à Tunis, où elle fait la rencontre d’un cousin éloigné, Philippe Néel. Amoureux, il demande sa main à son père, qui ne masque pas sa surprise.
« Votre lettre m’a causé un profond étonnement, lui répond-il. Jusqu’à ce jour, ma fille avait manifesté sa ferme volonté de ne jamais aliéner sa liberté et elle protestait à chaque instant contre l’état d’infériorité que la loi impose à la femme dans tous les actes de sa vie après son mariage. » Il a raison d’être sceptique. Vaincue par sa cour assidue, Alexandra épouse Philippe en 1904, mais pose ses conditions : elle ne veut ni faire la cuisine, ni recevoir les amis de son mari et, surtout, elle ne veut pas d’enfants. Bien qu’elle ait gain de cause, le démon du voyage la reprend. En 1911, elle décide de partir, seule, en voyage d’études bouddhistes en Asie, pour dix-huit mois. Elle ne rentrera que… quatorze ans plus tard ! Alexandra est une femme hors du commun, et Philippe, un époux exemplaire : il s’adapte. Leur mariage prend désormais un tour épistolaire – quoique mariés, ils passeront peu de temps ensemble tout au long de leur vie mais échangeront plus de 3000 lettres !
Ce second voyage en Asie, de 1911 à 1925, conduit Alexandra dans les contrées les plus isolées du continent. De Calcutta, l’élégante ville coloniale anglaise, elle rejoint à cheval l’État du Sikkim, perché dans l’Himalaya. Là, elle va passer plusieurs mois dans une caverne à 4 000 mètres d’altitude. Le nom et l’histoire de cette Occidentale pas comme les autres circulent, accompagnés de murmures admiratifs, dans les centres religieux de la région. Elle y gagne un surnom, « Lampe de sagesse », connu même du dalaï-lama, auquel elle sera présentée. Mais quand il la reçoit, elle ne se met pas à genoux car, comme le raconte sa biographe Laure Dominique Agniel (dans Alexandra David-Néel. Exploratrice et féministe, éd. Tallandier), Alexandra s’est juré de ne jamais s’agenouiller devant quiconque. Au Sikkim l’attend une rencontre encore plus importante : lors d’une de ses expéditions, en 1914, un jeune lama (moine) de 15 ans, Yongden, lui sert de guide. Il ne la quittera plus, devenant son disciple. C’est avec lui qu’elle entre dans Lhassa en 1924. Enthousiaste, elle écrit à Philippe qu’elle veut adopter Yongden. Finalement, la maternité l’a rattrapée ! Mais hors des sentiers battus… Cette fois, son mari refuse. Tant pis : elle adoptera Yongden seule.
Aventurière jusqu’à la fin de sa vie
En 1925, Alexandra rentre en France. Convaincue qu’elle a pour mission de faire découvrir au monde les beautés du Tibet et du bouddhisme, elle multiplie les conférences et raconte son histoire dans un livre qui connaît un succès mondial. Aux yeux de la France entière, Mme David-Néel est une sage, retranchée dans sa maison de Digne-les-Bains, qu’elle a choisie notamment pour sa vue : elle donne sur les montagnes de Haute-Provence qui lui rappellent l’Himalaya cher à son cœur. Mais la gamine avide de liberté et d’aventure bout toujours en elle. En 1937, elle reprend la route avec Yongden. Direction la Chine, en pleine guerre avec le Japon. Elle trouve refuge au Tibet. Elle y apprend la mort de son mari, qui la bouleverse profondément. Puis c’est le décès de Yongden, en 1955, qui la plonge dans une tristesse abyssale. Va-t-elle sombrer? Jamais! À 100 ans, elle fait renouveler son passeport, histoire de pouvoir partir sur un coup de tête. Plus que jamais, l’aventure la fait rêver. Le 21 juillet 1969, elle regarde, médusée, le premier homme poser le pied sur la Lune et repousser les frontières du possible. Elle s’éteint quelques semaines plus tard; ses cendres seront dispersées avec celles de Yongden dans le Gange, à Bénarès, dans ces paysages d’Asie où, plus que nulle part ailleurs, elle se sentait enfin libre.
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francepittoresque · 13 days
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18 avril 1732 : mort de l’explorateur et astronome Louis Feuillée ➽ http://bit.ly/Louis-Feuillee Si dans le domaine astronomique Feuillée, fils de cultivateur, ne fit aucune découverte, il se montra observateur consciencieux, laborieux, persévérant ; si dans le domaine géographique son nom ne se rattache à aucune reconnaissance de terre nouvelle, il fut un des premiers à introduire exclusivement la méthode scientifique dans les grands voyages
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claudehenrion · 1 year
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Macrons et Caucones...
La mode exige de réciter que les anciennes études ''classiques'' et les langues dites mortes seraient… mortes, justement. Pourtant, force est de reconnaître qu'elles aidaient souvent à mieux comprendre les errements, les errances et les erreurs du temps présent. Les habitués de ce Blog connaissent mon intérêt (parfois excessif ?) pour ce que cache l'étymologie de chaque mot utilisé… en ce siècle où la pensée semble préférer s'appuyer sur des notions surtout conçues pour être... inconçues.
Mais ce n'est pas sur l'étymologie latine ou grecque que j’ai très envie de passer un moment avec vous, aujourd'hui : c'est sur l'Histoire ancienne et donc, forcément, sur la géographie. Ces jours derniers, j'ai profité de ces vacances de Pâques pour me replonger dans quelques vieux ouvrages qui avaient bercé et souvent illuminé mon enfance. Et j'ai retrouvé des descriptions du monde ''selon Strabon'', qui était, avec Esope, un de mes ''passe-temps'' préférés (NDLR – J’ai connu des joies énormes à fréquenter les livres de mes frères et sœurs, plus âgés : lisant ce qu'ils lisaient, je croyais devenir leur égal. Ils savaient vite me ramener à mon rang !).
Strabon (en grec ancien Στράϐων = celui qui louche. NB : il devait être sacrément ''bigleux''... pour avoir donné son nom au strabisme !) était un géographe et historien grec, né vers l'an 60 av. J.-C et mort autour de 20 ap. J.-C à près de 90 ans, ce qui était énorme, ''in illo tempore''. Il s'installa à Rome, d'où il ''co-voitura'' dans toute l'Italie actuelle, puis il fréquenta le Club Med en Ethiopie et en Egypte où il remonta le Nil (cherchant –qui sait ?-- à croiser Agatha Christie et Hercule Poirot).  Il tira de ses voyages et de ses lectures ''la Géographie'', ouvrage en 17 tomes (''seulement ?''), organisés par région. (NB : les voyages formaient déjà la jeunesse de nos ancêtres !). Avant cela, il avait écrit des ''Commentaires historiques'', en 43 livres (''excusez du peu'' !) dont il nous reste quelques fragments. Strabon, bien que grec, ne cachait pas son admiration pour Rome, et on dit c'est lui qui aurait mis l’érudition grecque au service de la conquête romaine. On peut regretter, voire déplorer, que bon nombre de nos contemporains n'en ''prenne pas de la graine''. Si seulement nos ''migrants'' pouvaient ouvrir les yeux sur la riche culture française...
Mais ce qui a tout particulièrement retenu mon attention amusée, c'est que mon cher Strabon, qu'il louche ou pas, a raconté l'existence d'une peuplade, celle des ''Macrons''... dont la doxa élyséenne et les fake-makers impudents de la presse ''main stream'' nous cachent soigneusement l'existence. En poursuivant ma quête, sur Wikipédia et dans l'annuaire de l'Ena, j'ai découvert que ce peuple antique et slave avait élu domicile entre les Alpes Pontiques et le Pont Euxin... et même qu'il s'appellerait, en jargon géorgien, les ''მაკრონები'' (ça, je l’ai recopié, bien sûr sans comprendre, mais ça fait joli !). Petit problème : n'ayant pas une vraie maîtrise des caractères diacritiques, svanes et mingréliens, je n'ai pas trouvé sur mon clavier la touche du ''mani'' majuscule (c'est la lettre ''მ '', bien sûr, première lettre du mot macron). ''Manu'' devra donc se contenter d'un mani minuscule... C’est très bien.
En cherchant plus avant, j'ai suivi la trace de ces lointains ancêtres du nôtre (en tout cas, aux -nymes éponymes homonymes) : les Macrons sont mentionnés vers 450 av. J.-C. par Hérodote, qui rapporte qu'ils ont combattu sous Xerxès 1er dit le perse (c'est donc ''il y a longtemps'' : sans doute pendant le premier quinquennat, je pense !). On les retrouve sous le calame de Xénophon (430-355 av. J.-C.), qui les déplace plus vers l'est, à Trébizonde, l'ancienne capitale de Mithridate (1672, entre Bajazet et Iphigénie), qui est la Racine –si j'ose !-- de ''mithridatiser'', synonyme de ''vacciner''... ce qui amène la question : ''Pfizer et Moderna pourraient-ils être des macrons, eux aussi ?''. Passons. Après 1672, la suite de l'histoire les fera migrer (Tiens donc ! Des migrants ? Ceci expliquerait l'actuelle ''indulgence plénière'' du nôtre, de macron, pour tout envahisseur de ''l'Hexagone''), d'abord vers Amiens et les Jésuites de ''la Providence'', et vers l'énanisme de la rue Saint Guillaume, puis vers Rothschild et les ''deals'' arrangés pour faire briller des ''Young Leaders'', ensuite vers Bercy, et de là...  Faubourg Saint Honoré, la Lanterne, Brégançon...  
Jusque là, à part le fait, devenu une routine, que ''on ne nous dit jamais rien''... il y a peu à gloser : c'était un petit peuple comme il en a eu tant dans l'Antiquité. On les imagine très bien, vêtus de gilets jaunes et parfois de bonnets rouges pas encore phrygiens, se déplaçant sans cesse de rond-point en rond-point, avalant bornes après Borne, en fonction des pluies, de l'inflation, du CO², du niveau des nappes phréatiques et de la vitesse du vent dans les feuilles des arbres (ces filles d'éole –d'où leur nom en ce temps-là : ''éoliennes'' !), du manque éventuel de PQ ou de Doliprane au Carrefour du coin, sans culture nationale et donc mûrs pour recevoir ''davantage de pédagogie'', bras nus pour des piquouzes bi-mensuelles à l'ARNm du temps, le visage couvert de masques inutiles, prêts à traverser la rue –ou la rive-- pour trouver du travail pendant entre 43 ans et 49-3 annuités, quoi qu'il en coûte...  On peut supposer qu'ils travaillaient en moyenne jusqu'à 64 ans, temps d'ailleurs supérieur à leur espérance de vie... et on dit que, fatigués d'être confinés et pris pour des cons, finement... ils auraient inventé un drôle de machin-truc : ''la casserole'', sur lequel ils tapaient en rythme ! Je n'ai pas vérifié ce dernier point).
Deux ‘’infos’’, tout-de-même, devraient chatouiller quelque peu notre occiput (ce qui, on ne le répétera jamais assez, n'a rien à voir avec une femme de mauvaise vie qui a été assassinée !) : le premier, assez troublant, est que les voisins directs des Macrons sur les côtes de l'Euxin étaient une autre peuplade cousine dont les membres s'appelaient les ''Caucones'', ce qui n'est pas une surprise pour nos contemporains, effarés par le comportement des ministres et des députés qui ont choisi Macron (enfin... un des macrons, devrais-je dire) pour con-crétiser leurs ambitions –que leur nullité encyclopédique était bien en peine de leur offrir avec un mentor moins menteur— et je ne parle pas, ici, que de Marlène Schiappa (en italien : la nullité absolue), de Dupont et Dupond Moretti, ou de Pap Ndiaye -qui n'est pas italien. Pourtant. Il y avait, parfois, des mariages de macrons avec des caucones, et cette proxi-miscuité, attestée par les plus grands auteurs de l'Antiquité gréco-romaine et de la lutte éponyme, devrait ''nous interpeller, quelque part''. 
Car un second point est encore plus menaçant, à terme. Xénophon est formel : il atteste que les Macrons avaient ''la tête comprimée dès la naissance par des armatures en bois et des bandelettes de cuir ou de tissu''. Cette pratique devrait, selon toute bonne logique aristotélicienne, constituer une sérieuse entrave à la compréhension de situations complexes... ce qui vient corroborer nos terreurs  --inexplicables jusque là, mais plus claires, désormais : avec une tête comprimée dès la naissance, les perspectives de progrès réel doivent très vite rencontrer les limites que le ministre-en-titre de l'éducation asexuée, genrée, perverse et inclusive (donc : tout, sauf ''nationale'') veut ou peut concevoir pour l'école... de même que tout désir d'adaptation au monde doit se heurter à ce que connaît Macron (le nôtre, notre Macron ben-Macron ben-Macron etc... ben jusqu'à ses ancêtres ''მაკრონები''). Le résultat de cette contrainte imposée à ‘’nos enfants’’ (comme répète sans cesse celui qui n'en a pas) explique le nombre de ''têtes d’œuf'' de son entourage et leurs crânes en forme de ''bonnet d'enâ'', les excès de rouflaquettes, le plein d'anneaux aux doigts et le besoin ostentatoire et chronique de se montrer en bras de chemise en toute circonstance, oublieux de sa fonction et de ce qu'il devrait être et faire....
On a beau m'expliquer que c'est un récit, d'us et d'ab-us pratiqués il y a longtemps par des hordes en désordre, pas encore libérées de leurs croyances, antiques --et en toc, donc ''de droite'' : encore des complotistes !-- par les bienfaits de l'école de la République (ce qu'on appelait ''l'école de Papa'', qui est devenue celle de Pap, hélas !)... je remarque trop de ressemblances avec des  coïncidences pour ne pas voir là un des nombreux effets secondaires de l'ARNm qui a été enté de force dans tant de bras qui n'en voulaient pas, mais qu’on menaçait de l'enfer social d'une suspension s'ils refusaient d'être ramenés à leur seul ''cu-air cod'' (en français : cu de morue à l'air)... Au fond, si plus de 3 français sur 4 trouvent, ''H-24'', que leur macron a des idées souvent caucones... c'est la faute aux მაკრონები, c’est clair.
H-Cl.
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choses-dingen · 1 year
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«Le discours de Macron rate le sens de l’histoire. Il aurait pu être tenu dans les années 1980, pas en 2022 » Magali Reghezza-Zitt, géographe et membre du Haut Conseil pour le climat
Dire en 2022 qu'on ne savait pas, c'est simplement une 'fake news'.
Les modèles du climat sous-estimeraient-ils le réchauffement climatique induit par les activités humaines ? Professeur Xavier Fettweis (Uliège)
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melikemordemjaponi · 1 year
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🔴 Les Kurdes, la plus grande nation sans Etat au monde
La communauté kurde, souvent persécutée, visée par l’attaque de la rue d’Enghien, vit depuis des siècles répartie dans de nombreux pays. Par le géographe Michel Bruneau :
Via Libération (+foto)
Link
↓↓↓
https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/les-kurdes-la-plus-grande-nation-sans-etat-au-monde-20230109_LA526U5RUVCEVI5RT62QUKA62U/
🔴 The Kurds, the largest stateless nation in the world
The Kurdish community, often persecuted, targeted by the attack on the Rue d'Enghien(Enghien Street in Paris)has lived for centuries spread out in many countries. By geographer Michel Bruneau.
Via Libération(+photo)
🔴 Kürtler, dünyanın en büyük devletsiz ulusu
Paris’in Enghien caddesinde saldırısının hedefi olan ve sıklıkla zulüm gören Kürt toplumu, yüzyıllardır pek çok ülkeye dağılmış bir şekilde yaşamaktadır. Coğrafyacı Michel Bruneau tarafından.
Liberation aracılığıyla (+fotoğraf)
🔴 クルド人-国を持たない世界最大の民族
パリのアンギャン通りでの暴漢による襲撃の標的にもなった、しばしば迫害されるクルド人コミュニティは、���世紀にもわたって多くの国に分散して生活してきた。地理学者ミシェル・ブリュノー氏によるコラム。
リベラシオンより(画像とも)
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desvilles · 2 years
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Angleterre : Nord et Sud
Angleterre, Grande-Bretagne, Royaume-Uni. Il y a une difficulté à savoir de quoi l’on parle exactement, à parler de ce pays (de ces pays ?), à évoquer ses habitants (les britanniques, les anglais ?). Peter J. Taylor, un géographe anglais, fait remarquer qu’il n’y a pas de terme pour évoquer les habitants de l’ensemble qu’est le Royaume-Uni : le terme “britannique” renvoie aux habitants de l’île britannique et exclu les Irlandais du Nord. Taylor imagine alors le terme “ukaninens” pour parler des habitants de cet ensemble.
Pour essayer de comprendre ce qui fait ce Royaume-Uni, Taylor liste six manières différentes de découper le Royaume-Uni en nations : en fonction des points de vue, le Royaume-Uni peut être considéré comme une seule une nation, ou comme deux nations, trois, quatre, cinq, six voire sept nations distinctes. Communément, on distingue les entités du Royaume-Uni de la manière suivante : il y a l’Angleterre (qui a, dans l’union, un positionnement particulier, siège des institutions de l’Union), le Pays de Galles, l’Ecosse et l’Irlande du Nord. La Grande Bretagne, c’est l’île, elle n’inclut donc par l’Irlande du Nord. Chaque entité peut être considérée comme une nation. Dans ce découpage, il y a peu de place pour d’autres entités territoriales. Dans la version la plus extensive proposée par Taylor, les nations sont les suivantes : les “vrais” Anglais (ceux du Sud), les Anglais du Nord, les Cornouaillais, les Gallois, les Ecossais, les unionistes d’Ulster et les nationalistes irlandais. Cependant, les Anglais du Nord, les Cornouaillais et les nationalistes irlandais n’ont pas d’existence en tant qu’entité territoriale ou en tant que nation aujourd’hui.
Les Anglais du Nord, dans cette configuration, se distinguent des “vrais Anglais”, de ceux du Sud, tout en faisant partie de la même entité administrative au sein de l’Union. Cette configuration dans laquelle Anglais du Sud et Anglais du Nord seraient deux peuples bien distincts ne fait pas forcément l’unanimité mais est une conception défendue par certains, Taylor notamment. On peut considérer qu’il y a une différence fondamentale entre Nord et Sud de l’Angleterre, un Nord paupérisé et anciennement ouvrier et un Sud sous l’influence positive de Londres, ville mondiale. On peut alors aller jusqu’à considérer que le Nord est victime d’une forme de colonisation de la part du Sud : le Nord serait victime des décisions prises par le Sud. Cette idée est renforcée par le fait que le Nord vote historiquement pour le parti travailliste, alors que le Sud vote pour le parti conservateur souvent au pouvoir ; depuis les années 1980, l’arrivée de Thatcher au pouvoir, il y a cette idée, dans le Nord, que les décisions prises à Londres ont un impact négatif sur le Nord.
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