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#françois chénier
mali-umkin · 1 year
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''La fonction civique de l’hymne n’a pas été oubliée sous la Révolution française, quand par exemple Théodore Desorgues, préféré par Robespierre à Marie-Joseph Chénier pour l’occasion, compose l’hymne à l'Être suprême qui sera mis en musique par François-Joseph Gossec ; pour Chénier frère, peu rancunier, Desorgues était de toute façon « le plus grand poète lyrique de la Révolution ».''
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marriedtogiants · 2 years
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Loto-Québec 'We’re All Play' from Married to Giants on Vimeo.
Editor: Nick Yumul Assistant Editor: Parnika Raj Exec Producer: Jenna Edwards
Director: Ivan Grbovic Production: Les Enfants
Agency: Cossette Creative: Anne-Claude Chénier, Patrick Michaud, Alexandre Émond-Turcotte, Philippe Brassard, Jessica Fecteau, Nicolas Doyon, Chris Belanger, Ambre Chekly, Julien Hérisson
Colour & Online: MELS
Music: Cult Nation Producer: Sean Sable Music: Mathieu Lafontaine Sound: François Bélanger, Théo Porcet
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Still life with cat by Jean-François Chénier Edo pondering the inedibility of fruit. https://flic.kr/p/2nJEUX6
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skillstopallmedia · 2 years
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Cultural return | Throughout Quebec
Cultural return | Throughout Quebec
The offer of shows is abundant throughout the province this fall, and in particular on the outskirts of Montreal. A look at the tours of 10 artists or shows, some of which will be in Gaspésie, Saguenay, Côte-Nord and Abitibi before the end of the year. Posted at 10:00 a.m. Symphorian PHOTO PROVIDED BY THE PRODUCTION François Chénier and his colleagues from Symphorian After being successfully…
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espanolnews · 2 years
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Hace un año, Michel Charette copresentó una Gala ComediHa! Fiesta con Gildor Roy. El miércoles, estaba solo en los tableros para hacer este trabajo. Una velada con muchos invitados donde recibió la visita del comandante Daniel Chiasson, Martin Deschamps y el ex alcalde Régis Labeaume. Los números de grupo fueron los mejores momentos de esta cuarta noche de gala presentada en el Capitole de Québec. Una velada en la que incluso devolvimos a la vida la serie juvenil de culto. Radio Enfer, Emitido entre 1995 y 2001. Un Jean-Lou Duval (Michel Charette) que aún vive con su madre, un Carl Charest (François Chénier) que trabaja en una emisora ​​de radio regional, una Camille Bergeron (Anne-Claude Chénier) que ha tenido ocho hijos y sigue embarazada, una Maria Lopez (Rachel Fontaine) que vive en Limoilou, un Léo Rivard (Robin Aubert) y sus pasos de baile y una Jocelyne Letendre (Micheline Bernard) todavía psicóloga. Personajes que se reencuentran en una convención 20 años después. Un destello súper bueno, pero tal vez no levantó tanto como nos hubiera gustado. El conductor cumplió su sueño de conducir un programa de entrevistas con el michel mostrar. Creyendo recibir al alcalde de Quebec, Bruno Marchand, como primer invitado, fue más bien el ex alcalde Labeaume quien se presentó en un escenario digno de los programas de entrevistas estadounidenses, con pantalones amarillos, una camiseta con estampados y su teléfono celular. Un “Reg” que, dijo, descubrió la humildad. Si si. Foto Agencia QMI, René Baillargeon Mario Jean le devolvió la vida a su personaje Ti-Guy Beaudoin. El regreso de Gildor Preguntado por el tercer enlace y el tranvía, "Reg" no recordaba estos proyectos. El ex alcalde dio una buena actuación. Luego pasamos un buen rato, cuando el campeón de esquí acrobático Mikaël Kingsbury fue reemplazado por Martin Deschamps, quien terminó el número con la canción La izquierda. Homenajeado en esta gala, Mario Jean retomó su papel de vendedor ambulante Ti-Guy Beaudoin, con su gorra de los Expos y bolsillo de periódico. Apreciado, el comediante hizo bien en hablar sobre varios temas actuales, incluida la viruela del mono. Foto Agencia QMI, René Baillargeon “Dicen que el hombre desciende de los monos. Parece que hay uno que se le ocurrió", dijo. En el camino de regreso del intermedio, fue bueno encontrar a Michel Charette y Gildor Roy, los dos exDistrito 31 en un número sobre los superhéroes cotidianos. Nos gustó mucho redescubrir esta hermosa energía que habían demostrado el año pasado. Gildor "Red Lobster" Roy ha tomado la cabeza de Thor, cuyo único poder es el de lanzar un martillo. "Cuando mi padre perdió su clavo, su martillo, lo tiró en un tiempo medio", dijo. Un número en el que trajeron al escenario verdaderos superhéroes cotidianos con una enfermera, un médico, un maestro, un bombero, un repartidor de restaurante, un empleado de SAQ y otros. Momento un tanto extraño con dos números sobre la vasectomía con Simon Delisle y con el trío Laurent Paquin, Stéphane Fallu y Sylvain Larocque. Dos era quizás demasiado. Laurent Paquin será el anfitrión de la Gala ComediHa! Fest el jueves por la noche en el Capitole con los invitados Guillaume Pineault, Billy Tellier, Sylvain Larocque, Mona de Grenoble, Julie Ringuette, Pascal Morrissette y Fabien Olicard.
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extrabeurre · 4 years
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Flash-back 2005: SAINTS-MARTYRS-DES-DAMNÉS de Robin Aubert
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À l’approche de l’Halloween, il fait bon de voir ou revoir des films d’horreur, mais en ce qui a trait aux productions québécoises, les options sont assez limitées. Il y a bien sûr le phénoménal Les Affamés (notamment disponible sur Netflix), mais si vous voulez creuser plus loin, Robin Aubert signait il y a 15 ans un autre film de genre, Saints-Martyrs-des-Damnés. À moins de mettre la main sur un DVD, il semblerait que la meilleure option est de s’abonner à Cinépop, qui diffusera le film le jeudi 29 octobre à 4 h du matin. Il est aussi possible de regarder le film en tout temps à partir du menu Sur demande de votre télédistributeur
J’en profite pour partager l’entrevue que m’a accordée Robin avant la sortie du film, en octobre 2005.
SAINTS-MARTYRS-DES-DAMNÉS : VILLAGE FANTÔME
Bien que Saints-Martyrs-des-Damnés soit son premier long métrage, Robin Aubert n’est pas un nouveau venu derrière la caméra. Il a réalisé plusieurs courts (dont Lila, qui fut finaliste au gala des Jutra) et nombre de vidéoclips pour divers artistes (Mara Tremblay, Okoumé, Plume Latraverse). Aubert a aussi longtemps travaillé comme acteur: à la télévision, dans Radio-Enfer (aux côtés de François Chénier) et Temps dur; et au cinéma, dans Le Nèg’ et La Comtesse de Baton Rouge.
Aubert nous confie, à la fois touchant et cocasse au fil de l’entrevue: "On dit souvent qu’un acteur qui réalise, c’est un meilleur directeur d’acteurs; moi je ne trouve pas. Un bon réalisateur, c’est celui qui choisit les bonnes personnes, tout simplement. Bien diriger, c’est amener les acteurs dans le sentier que tu veux, mais en même temps, s’ils te proposent un autre sentier, il faut que tu sois à l’écoute aussi. Ce que j’aime comme auteur, c’est créer plusieurs personnages à la fois."
N’aviez-vous pas envie de jouer dans votre film?
"Vraiment pas, j’avais d’autres chats à fouetter. J’admire ceux qui sont capables de le faire, comme Woody Allen ou Clint Eastwood, mais moi, je ne suis pas rendu là. Il y a tellement de choses à penser. Quand je tournais, je passais la nuit à "rechecker" mon découpage pour le jour suivant, à retravailler mes dialogues… J’aurais pas eu le temps en plus d’apprendre mon texte et de jouer. Je suis pas une pieuvre, hostie!"
Vous parliez de l’importance de choisir les bons acteurs, est-ce que c’est la même chose pour l’équipe technique?
"C’est très important. Steve Asselin à la photo, David Pelletier, qui a fait les décors, et Julie Charland, qui a fait les costumes, ont travaillé avec moi en court métrage et en vidéoclip. Ils connaissent ma vision et savent ce que j’aime. Avant même de tourner, ça faisait déjà un an qu’on travaillait sur les décors, les costumes… Je trouve que dans le cinéma québécois et le cinéma en général, on a l’impression que tout le monde sort de chez Gap ou Simons, ça a jamais été délavé. Crisse, mettez un peu de vie, faut que ça soit sale. Le monde parle dans un décor d’IKEA, tabarnak, c’est quoi ça?"
Dans Saints-Martyrs-des-Damnés, un reporter (Chénier) et un photographe (Patrice Robitaille) sont envoyés par un journal à sensation dans un village étrange où les disparitions mystérieuses se multiplient depuis des années. Offrant peu de repères au spectateur, le film sort littéralement des sentiers battus.
Aubert poursuit: "Pour moi, c’est important de créer un effet d’intemporalité, qu’on ne sache pas en quelle année on est. Il n’y a pas de références ancrées dans la réalité. Je dis aux spectateurs: regardez, vous embarquez dans un trip. Vous avez le choix d’embarquer ou non. L’intemporalité, ça me permet d’aller plus loin aussi dans l’imaginaire, puis de parler de clonage, disons, sans tomber dans le côté scientifique."
L’idée du clonage vous a-t-elle été inspirée par les avancements de la science?
"Non, ça provient plus du fantastique. En écrivant, un autre gars pareil à l’autre est apparu à un moment donné. Qu’est-ce qu’il fait là, lui? Même en tant qu’auteur, je ne le savais pas; j’écrivais beaucoup avec le subconscient. Une fois le scénario fini, je suis allé étudier des documents pour m’aider. Mais ce n’est pas un film sur le clonage, c’est un film sur l’identité, c’est une quête spirituelle."
Il y a beaucoup de changements de ton, ça passe du très sérieux à des moments plus drôles.
"La vie, c’est comme ça. Et puis, il n’y a rien de plus le fun que d’entendre rire dans une salle ou de voir le monde sauter tous en même temps. C’est bon aussi de leur faire se poser des questions, de les toucher… Je suis sûr qu’il y en a qui auraient mieux aimé continuer dans le côté horreur, mais ce n’est pas juste un film de peur pour moi."
En effet, le film est vraisemblablement à son meilleur lors des scènes d’amour avec le personnage d’Isabelle Blais.
"Je suis un romantique, je ne le cacherai pas. Mes influences, c’est Démétan, Albator, puis Candy. Pour moi, le cinéma doit évoquer aussi la poésie. Il faut que ça exprime quelque chose, comme quand tu rêves ou quand tu fais l’amour."
C’est cette volonté de brouiller les limites entre les genres qui fait de Saints-Martyrs-des-Damnés plus qu’une version grand écran de Grande Ourse ou un sous-Twin Peaks. Sous ses allures grotesques et fantastiques, le film se révèle très humain et personnel. Alors qu’on y retrouve des échos de Lynch, d’Argento, de Cronenberg et même de Rimbaud ("Je me crois en enfer, donc j’y suis"), on découvre surtout en Robin Aubert un cinéaste qui nous réserve sûrement bien d’autres surprises.
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helloyoucreatives · 3 years
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New from McDonald's Canada. Credits:
Agency: Cossette
Advertiser: McDonald’s Canada, Melissa Hains, Andréanne Gilbert, Suzanne Grondin
Creative: Louis-Philippe Tremblay, Anne-Claude Chénier, Alexandre Gadoua, Cédric Audet, Alexandre Jutras, Jean-François Perreault
Product: Vanessa Audigand, Jessica Malo
Strategy: Jean-Xavier Wilhelmy, Simon Provencher-Girard
Production studio: Septième
Production: Mario Lévesque, Daniel Cartier, Eric Verrier
Photography: Olivier Staub
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silvaris · 4 years
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Meguro River by Jean-François Chénier
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aglaydis · 2 years
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Meguro River by Jean-François Chénier on Flickr.
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joyfulseasons · 3 years
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Jean-François Chénier
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rudyroth79 · 7 years
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Vineri, 5 mai 2017, la ora 16.00, la Centrul Socio-Cultural ”Jean Louis Calderon” din București (str. Jean Louis Calderon nr. 39, sector 2) va avea loc lansarea volumelor ”Trecea un cântec peste veacuri”, antologie de poezie franceză (selecţie de poeme şi traducere în limba română de Paula Romanescu) și ”Et si l’amour avait raison?”, selecție din lirica originală a Paulei Romanescu, ambele apărute la Editura Tipo Moldova. Prezintă: George Corbu.
Antologia de poezia franceză cuprinde traduceri din Guillaume Apollinaire, Louis Aragon, Felix Arvers, Aliette Audra, Henri Bachou, Georges Bataille, Charles Baudelaire, Pierre Bearn, Joachim Du Bellay, Yves Bonnefoy, Georges Brassens, Jacques Brel, Paul Celan, André Chénier, Paul Claudel, Jean Cocteau, Pierre Corneille, Robert Desnos, Paul  Éluard, Benjamine Fondane (Barbu Fundoianu), Théophile Gautier, Iulia Hașdeu, Victor Hugo, Jean de La Fontaine, François de Malherbe, Stéphane Mallarmé, Henri Michaud, Molière, Gérard de Nerval, Anna de Noailles, Charles d’Orléans, Charles Péguy, Jacques Prévert, Sully Prudhomme, Henri de Regnier, Arthur Rimbaud, Pierre de Ronsard, Léopold Sédar Senghor,  Jules Supervielle, Tristan Tzara, Elena Văcărescu, Paul Valéry, Emile Verhaeren, Paul Verlaine, Boris Vian, Alfred de Vigny, Voltaire, Ilarie Voronca ș.a., aforisme de Martha Bibescu, Constantin Brâncuși, Emil Cioran.
”[…] Pe vremea când, copil îndrăgostit de hărţi şi stampe cum am fost, transcriam într-un «jurnal» frânturi de poeme descoperite în acea foarte de folos zăbavă care-mi era cetitul cărţilor, nici nu îndrăzneam să-mi imaginez că acela va fi fost grăuntele primei mele antologii, azvârlit în câmpul fertil al tăcerii, în aşteptarea vremii de cules. Mă mulţumeam cu bucuria fără nume de a mai fi adăugat micilor mele comori de gând o frumuseţe nouă. Uneori nu păstram dintr-un poem decât un vers, o frântură de zicere ca un tăiş de fulger pe care-ai vrea să-l prinzi în palmă, nebănuindu-i dulcea arsură. ��mpărţeam cu cei de-o cale spre împlinire într-un mâine al vieţii de adult (vai, cât de grăbiţi copiii să devină oameni mari de ani, ignorând capcana de a se trezi bătrâni chiar fără a fi fost vreodată adulţi!) noua bogăţie şi, prin acest gest simplu am înţeles că a dărui frumuseţe înseamnă a te îmbogăţi, îmbogăţindu-i şi pe ceilalţi.
Aceasta mi-a fost porunca: Să realizez din iubire de cuvânt prezenta antologie în limba română. 
Cuvintele ard uneori. Chiar sângeră. Alteori capătă adâncimi în care, de te afunzi, «dai de stele-n apă», cum zice lancrămeanul poet din Valea Frumoasei. Dar numai astfel sufletul se preschimbă-n armonie, bucuria în lumină şi lacrima în cânt.
Selectând şi traducând poeme din literatura franceză, apărute de prin secolul al paisprezecelea până în zilele noastre, am vrut prin aceasta să aduc un omagiu culturii unei ţări de la care au luat lumină de-a lungul timpului şi «ai noştri tineri» care vor fi învăţat pe la Paris nu doar «la gât cravatei cum se face nodul», ci şi cum se poate înnobila prin cunoaştere mintea şi sufletul omenesc.
Dacă nu am ocolit nici poeţi anonimi din nu se mai ştie care timp, nici poeţi-interpreţi de muzică dintre cei care s-au impus în conştiinţa publicului şi care au fost percepuţi de cititori drept creatori de poezie adevărată – Brel, Brassens, Ferré –, cum aş fi putut ocoli pe acei poeţi români sau trăitori un timp în România, cărora limba română le-a rămas patria din suflet şi, care au adus prin scrisul lor în limba  franceză o contribuţie deloc neglijabilă ba chiar de o excepţională originalitate şi valoare – Emil Cioran, Gherasim Luca, Iulia Hașdeu, Anna de Noailles (prinţesă Brâncoveanu), Paul Celan, Martha Bibesco, Barbu Fundoianu (Benjamin Fondane), Elena Văcărescu, Tristan Tzara, Ilarie Voronca dar şi un Brâncuşi, acest sculptor de aforisme şi poet al pietrei, al lemnului, al metalului…
Am credinţa că doar astfel «sporim a lumii taină» ori de câte ori un poem care va fi traversat veacurile se amestecă în cântul nostru luminându-ne cu o frumuseţe nouă.” – Paula Romanescu, ”Mărturie”, prefață la vol. ”Trecea un cântec peste veacuri”.
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Ilustrații coperți: Adina Romanescu
Arhur Rimbaud
Cel ce-odihneşte-n vad (Le dormeur du val)
E un vad de verdeaţă unde un râu subţire Cântă aninând prin ierburi de-argint străluminări, Unde un soare mândru îşi cerne peste fire Din crestele muntoase luminile din zări.
Un soldat tânăr doarme cu gura-ntredeschisă, Cu capul gol, cu ceafa scăldată-n reci undiri, Doarme întins în iarbă sub bolta necuprinsă, Palid în patu-i verde sub ploaia de lumini.
Doarme şi gladiole picioarele-i cuprind, Surâde-n somn cum face copilul suferind. Leagănă-l cu blândeţe, natură, îi e frig.
Întreaga-nmiresmare nu-l tulbură ca alt’ dată, Tihnit doarme sub soare cu mâna aşezată Pe piept; în coasta-i dreaptă două răni se deschid.
Traducere de Paula Romanescu
Paula Romanescu
Je n’aime pas les statues
Je n’aime pas les statues, Néron non plus d’ailleurs ; Il les décapita Puis sa tête roula Et le jeu continue: Un tyran est tombé De son socle rougi, L’oiseau dans la forêt Chante et l’herbe refleurit.
Un nouveau jour se lève, D’autres pas sur la grève, Et moi je rêve D’un Paradis perdu Au goût de bonheur.
Je n’aime pas les statues: La vie non plus d’ailleurs.
Știri: Dublă lansare de carte Paula Romanescu (5 mai 2017, București) Vineri, 5 mai 2017, la ora 16.00, la Centrul Socio-Cultural ”Jean Louis Calderon” din București (str. Jean Louis Calderon nr.
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Le procès de Robert Brasillach commence à 13 heures le 19 janvier 1945 : acte d'accusation. A 13 h 45, interrogatoire. A 15 h 45, réquisitoire. Le grand moment du procureur Reboul, la voix d'or (un or qui a souvent brillé sous Vichy…). 17 h 20, plaidoyer de Me Isorni, qui s'entraîne pour défendre Pétain. 18 h 30 : « Brasillach, avez-vous des questions ? - Non, monsieur le Président. » 18 h 35, délibération. 19 heures, verdict : la mort. Quelques cris et remous ; c'en est fini. Brasillach sera fusillé le 6 février, jour anniversaire du 6 février 1934. Robert Brasillach, poète, romancier, spécialiste de Corneille et d'André Chénier, est condamné pour crime d'intelligence avec l'ennemi.aux termes de l'article 75 du Code pénal. Les informations sur les camps ne furent connues qu'au printemps de 1945, alors que le procès Brasillach date de janvier. Seuls le Struthof et Maidenek avaient été libérés et l'information n'était pas diffusée.
Ce 19 janvier, le procès a duré six heures, avec une suspension d'un quart d'heure. Sous la Terreur aussi, le Tribunal révolutionnaire jugeait au galop. Aucun témoin n'a été cité. La délibération a duré vingt minutes, le temps de convaincre des jurés “émus et hésitants” qu'ils n'avaient guère le choix entre “condamner à mort ou acquitter”.
Brasillach (1909-1945) ne fut pas le seul écrivain français condamné à mort à la Libération - il fut le seul exécuté. Béraud, Rebatet, Châteaubriant furent graciés ou s'enfuirent. Paul Chack, écrivain de marine et polémiste anglophobe, ne jouait pas sur le même terrain que Brasillach, fils d'officier tué à l'ennemi, pupille de la Nation, normalien (c'est-à-dire une espèce d'aristocrate dans la méritocratie républicaine), Le nombre des condamnations à mort suivies d'une exécution fut de 19 sous Vichy et de 767 à la Libération. Rares furent les intellectuels ayant signé la pétition demandant sa grâce, François Mauriac écrivit que Brasillach ne fut “ni criminel ni traître”,…
Le 16 septembre 1944, les Lettres françaises publièrent une «liste noire» d'auteurs avec lesquels les membres du Comité national des écrivains (CNE) n'entendaient avoir aucun contact professionnel. Plusieurs dizaines de noms, parmi lesquels Robert Brasillach, Jacques Benoist-Méchin, L.-F. Céline, Pierre Drieu La Rochelle, Jean Giono, Bernard Grasset, Sacha Guitry, Marcel Jouhandeau, Charles Maurras, Henry de Montherlant" Toutefois, quelques mois plus tard, certains des signataires de l'appel au «châtiment» ­ Camus, Mauriac, Paulhan, Valéry ­ demandaient, par lettre, au général de Gaulle la grâce de Robert Brasillach, condamné à mort.
«Les soussignés, se rappelant que le lieutenant Brasillach, père de Robert Brasillach, est mort pour la Patrie le 13 novembre 1914, demandent respectueusement au général de Gaulle, chef du gouvernement, de considérer avec faveur le recours en grâce que lui a adressé Robert Brasillach, condamné à mort le 19 janvier 1945.»
Signataires: P. Valéry, F. Mauriac, G.Duhamel, H. Bordeaux, J. et J. Tharaud, L. Madelin, P. Claudel, E. Henriot, A. Chevrillon, prince de Broglie, duc de La Force, G. Lecomte, amiral Lacaze, duc de Broglie, P. de La Tour du Pin, P.-H. Michel, J. Paulhan, J. Copeau, T. Maulnier, Mgr Bressolles, F. Roz, Dard, M. Bouteron, G. Martin, E. Bréhier, Pichat, Janet, Jordan, Lalande, Bardoux, Rueff, Rist, E. Buisson, H. Pollès, J. Schlumberger, R. Dorgelès, S. Ratel, J. Anouilh, J.-L. Barrault, C. Farrère, J.-J. Bernard, Desvallières, J. Cocteau, J. Effel, M. Favalelli, A. Billy, W. d'Ormesson, M. Achard, A. Camus, A. Obey, G. Cohen, Honegger, Daniel-Rops, Vlaminck, M. Aymé, Colette, A. Barsacq, G. Marcel, A. Derain, L. Lapatie, J. Loisy, C. Dullin.
Documentation : Le Point, Le Monde, Libération…
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François-Joseph Gossec (17 January 1734 – 16 February 1829)
Work: Hymne sur la translation du corps de Voltaire au Panthéon (Invocation) - 1791 Libretto: Marie-Joseph Chénier
Soprano: Ghislaine Raphanel Tenor: Tibère Raffalli Bass: Jean-Philippe Courtis Chorus & Orchestra: Chaeur et Orchestre du Capitole de Toulouse Conductor: Michel Plasson
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crazy-aviary-birds · 3 years
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Red-and-green macaw dive-bomb
flickr
Red-and-green macaw dive-bomb by Jean-François Chénier
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riffsstrides · 3 years
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Portraits Croisés - François Couperin, L'ensemble Les Folies françoises (2018)
Pensé à l'aube du XXIe siècle par ses membres fondateurs : Patrick Cohën-Akenine (violon) ; Béatrice Martin (clavecin) ; François Poly (violoncelle) ; et avec la complicité de musiciens qui lui sont fidèles depuis l'origine - porte avec passion de nombreux projets, aussi bien en formation de chambre qu'en orchestre. La danse, la littérature et la musique contemporaine viennent régulièrement enrichir ses propositions artistiques.
Patrick Cohën-Akenine - violon & direction
| violin and conducting
Béatrice Martin - clavecin | harpsichord
Christine Plubeau - viole de gambe | viola
da gamba
André Henrich - théorbe et guitare | theorbo
and guitar
Jocelyn Daubigney - traverso | transverse
flute
Christophe Mazeaud - hautbois | oboe
Benjamin Chénier - violon | violin
François Poly - violoncelle | cello
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What better way to celebrate Bastille Day than by humming a patriotic tune? Le Chant du 14 juillet (The Hymn of 14 July) was composed by François-Joseph Gossec, a composer of operas, symphonies, and choral works, in 1791. The lyrics by poet and dramatist Marie-Joseph Chénier celebrate liberty and commemorate the 1789 Storming of the Bastille, a pivotal event in the French Revolution.
Read and download the whole score in our Internet Archive collection, where you can find more patriotic music and nearly 40,000 French Revolutionary pamphlets!
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