Tumgik
#et pas ´gloire à nos martyrs’
a-room-of-my-own · 6 months
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Je croyais que l’électricité était coupée et qu’Israël pilonnait sans retenue?
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sabrinedz · 7 months
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1 novembre 1954 " Toussaint rouge"
La lenteur des progrès obtenus par les partis politiques favorables à l'indépendance de l'Algérie incitent le Front de libération nationale (FLN), fondé en octobre 1954, à recourir à la violence. Dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre 1954,
environ 70 attaques sont effectuées
Tout comme les Palestiniens aujourd'hui, les Algériens avaient été qualifiés de terroristes quand ils se lancèrent dans la lutte armée contre la puissance coloniale.
Pas une famille algérienne n’a été épargnée par la perte d’un être cher tombé
au combat, ou pire encore, par la disparition de l’un de ses membres dont le sort est resté et reste encore méconnu, sans sépulture ni documents attestant sa mort ou son exécution.
Gloire à nos Martyrs.
Tahya L'Djazair, Allah yarham el chouhada.
- Souâd Belkhenchir-Mekaoui
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tfqimene · 1 year
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partout où nous serons, nous, vos descendants, nous continuerons de compter vos histoires, et nous continuerons de faire prospérer votre mémoire.
parce qu’elle ne doit pas être oubliée, parce que vous avez fait de nous des êtres libres, nous vous en sommes reconnaissants pour l’éternité.
gloire à nos MARTYRS, l’histoire est immortelle.
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claudehenrion · 2 years
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La querelle sans fin des “Lieux Saints”, ou la paix interdite…
  En avance sur les conneries des députés de la Nupes sur l'aparthied (sic !) en Israël, nous évoquions récemment la captation de l'héritage des anciens égyptiens des envahisseurs arabes, dans un des plus énormes mensonges de l'Histoire : dans l'indifférence générale, une branche “pistonnée” des peuples sémites peut revendiquer ce qui ne lui appartient pas ! Le grand bêtisier de 2022 vient donc de s'enrichir d'une perle dont on se serait bien passé ! (NDLR : Ce “billet” est un peu long et un peu technique… mais on ne peut pas en faire l’économie, si on veut comprendre le mensonge sur lequel nous vivons depuis un demi-siècle)
Car une fois de plus, les Palestiniens ont été pris la main dans le sac, en train de raconter des “carabistouilles” à la planète entière, comme toujours pétrifiée et dans l'impossibilité de rétablir la vérité ! Mais le scandaleux Mahmoud Abbas verse de l'huile sur ce feu, en pérennisant un discours où il ose prétendre que “La mosquée Al-Aqsa et l'Eglise du Saint-Sépulcre sont à nous, et ils [les Juifs] n'ont pas le droit de les souiller de leurs pieds immondes (…) Chaque martyr ira au paradis, et tous les blessés seront récompensés par Allah”…. avant d'accuser la semaine dernière, en plein ONU, tous les juifs de pratiquer l'aparthied. Mais chaque fois qu'un dirigeant du Hamas a besoin de renforcer son autorité chancelante, il se rue dans le mensonge et encourage ainsi la multiplication des actes terroristes.  
Ceci pose, une fois de plus, la question à laquelle personne n'ose répondre, par crainte d’une vague de grande violence qui, comme toutes les précédentes, n'apportera rien… puisqu'il n'y a aucune réponse à apporter à une question posée à l'envers de ce qu'il aurait fallu… et en tout cas telle qu'on la pose depuis 1925, autour de Jérusalem, “Al-Qods” en arabe (mais c'est en réalité un mot araméen, = le temple, donc volé, comme le reste). Le mot était inutilisé,   absent des des textes classiques : le Coran ne mentionne pas explicitement le nom ‘’Jérusalem/al Qods’’.
Cet abcès de fixation d'une querelle parmi les plus terribles de l'Histoire, tient à ce que Jérusalem serait le point de départ de la montée au ciel de Mahomet (al Mi'raj : l'ascension) : le verset 1 de la sourate al-Isra (ou “Le voyage nocturne” –Cor XVII) dit : “Gloire à celui qui a fait voyager de nuit son serviteur de la Mosquée sacrée de la Mecque (Al-Masjid al-Ḥarâm) à la Mosquée très éloignée (Masjid al-Aqsâ) [... ] pour lui montrer certains de nos Signes. Dieu est celui qui entend et qui voit parfaitement”. Les exégètes musulmans reconnaissent le Mont du Temple (leur “Jabal al maebad”) dans l'expression “la mosquée la plus éloignée”, mais le nom est absent du Coran, et on ne trouve une mention de al-Qods comme lieu du voyage nocturne que dans le récit d'Ibn Ishaq, rédigé environ 150 ans après l'Hégire. Pour les exégètes actuels, (notamment l'historien François Déroche, Académicien, titulaire de la chaire Histoire du Coran au Collège de France), ’’d'après des traditions anciennes, ce voyage nocturne (Leïla al-Miraj) aurait été en direction du ciel, et que c'est plus tard que l’exégèse aurait proposé de faire du mont du Temple, Al-masjid al-aqsâ, le point de départ de l'ascension de Mahomet“.
La localisation du Rocher sur lequel est construit le Dôme comme point de départ du voyage de Mahomet (le ’‘miraj”) n'apparaît qu'au Xe siècle et se renforce après les Croisades (1099-1187). Les premiers musulmans considéraient que cette mosquée éloignée était comme un temple céleste, associé avec la “Jérusalem Céleste” de la tradition hébraïque et l'Apocalypse selon Saint Jean des chrétiens, se rattachant à la ville de Jérusalem bien plus tard, comme semble le montrer l'évolution de la direction de la prière (“qibla” en arabe. En français, on dit ‘’orthodromie’’ ou, plus simplement, direction). Mais comme rien n’est jamais simple, la tradition dit que les musulmans de la première heure priaient vers Jérusalem, la direction de la Mecque ayant été fixée après, par Mahomet lui-même.
Si le Coran mentionne un changement de “qibla’’, il ne cite pas al-Qods, qui n'apparaît qu'à la fin du Ier siècle de l'Hégire. Le Coran évoque la ‘’Qibla’’ pour évoquer un changement subit de la direction de la prière, mais sans préciser quelle était la direction originelle, ni ce qu'est al-masjid al-haram, cette mosquée lointaine. C'est l’exégèse traditionnelle qui associera la première qibla à Jérusalem ou à la Syrie et la seconde, actuelle et universelle, à la Kaaba. En fait, les textes et les exégètes ne sont pas clairs : le verset 1 de la sourate XVII n'est sans doute pas contemporain de ceux qui le suivent, et aucune tradition antérieure à Abd al-Malik (qui a construit le Dôme du Rocher, le grandiose “bayt al-maqdis”, et qui avait donc tout intérêt à la promotion du site !) n'associe Jérusalem au voyage nocturne.
Pour clore cette démonstration, le hadith ‘’Déplacement vers les 3 mosquées’’ spécifie que “les selles des chameaux ne doivent pas être attachées, excepté dans trois mosquées : celle  de la Mecque, celle de Médine, et la mosquée al-Aqsa”, soit deux noms précis et un concept onirique qui n’est pas Al Qods.    Contre toute raison, des traditions vont décréter Jérusalem “La Troisième ville sainte”, à ceci près que sa ‘’sainteté’’ est non pas ‘’Hurma’’ comme le sont La Mecque et Médine, mais ‘’Qudusiyya’’, mot plus général qui qualifie chaque mosquée,  le titre al-Haram ayant été donné à l'ensemble du Mont du Temple en raison de son histoire. La “querelle du siècle” reposerait sur... rien ? Rien que d'y penser…
C'est bien plus tard que, “pour répondre à l'interdiction d'accès aux lieux de pèlerinages chrétiens en Terre sainte par les Turcs Seldjoukides en 1071, les croisades entre 1095 et 1291 ont influencé le rapport de l'islam avec Jérusalem”. Mais la prise de Jérusalem par les croisés en 1099 ’’ne produisit aucun choc, aucun sentiment de nature religieuse’’. Les récits du temps montrent que “la prise de Jérusalem a été perçue comme un changement de maître provisoire, sans caractère religieux. Et même lorsque, au début du XIIe siècle, l'installation chrétienne prend un air permanent, cette opinion indifférente persiste, malgré une christianisation forcée de la ville” : les appels au jihad contre les croisés ne parlent pas de la ville de Jérusalem, ce qui montre ’'le faible empire qu'avait l'idée de la sainteté de Jérusalem sur l'opinion musulmane’’. [NB : les citations entre guillemets sont tirées de “Le caractère sacré de Jérusalem dans l'Islam aux XIIe – XIIIe siècles”, Emmanuel Sivan, Studia Islamica, n° 27]
Le conflit entre arabes et israélien serait donc non pas un conflit entre deux religions, comme on tente de nous le faire croire, mais un “affrontement entre deux mouvements nationaux”. Comprenant le potentiel d'une mobilisation “sacrée” dans le conflit, c'est le grand mufti Amin El-Husseini, un des grands acteurs de l'entrée du fait religieux dans le conflit qui, à partir de 1921, dit : ’'du côté palestinien, s'emploie méthodiquement à utiliser l’islam comme ressource politique’’. Pour Taguieff, à partir des années 1920, un discours récurrent, exploité en particulier par le grand mufti de Jérusalem, est que ‘’al-Aqsa est en danger’’.  ’'L’islamisation de la cause palestinienne a atteint un point de non-retour’’. Ce discours religieux permet aux palestiniens d'unir le monde musulman. En 1931, un Congrès islamique mondial réunissant une vingtaine de pays avait déclaré la Palestine “cause non plus seulement arabe, mais islamique”, ce qui change tout.
A partir de ce moment, tout bascule : l'islamisme s'accompagne de références religieuses et d'une rhétorique antisémite, et le Hamas se définit explicitement comme un “mouvement palestinien spécifique qui fait allégeance à Dieu, fait de l’islam sa règle de vie et œuvre à planter l’étendard de Dieu sur toute parcelle de la Palestine (article 6)”. La libération de la Palestine et le djihad deviennent une obligation religieuse. La polarisation sur Jérusalem dans le conflit israélo-palestinien, à l'origine politique et non religieuse, devient, dès lors, source de propagande et de jeux absurdes et mortifères. Ainsi, pour le grand mufti Muhammad Ahmad Hussein, “le site de la mosquée al-Aqsa a plus de 30 000 ans, depuis la création du monde”... (NB : c’est du grand ‘’n’importe quoi’’  !). Donc, explique-t-il comme si ça avait un sens, “il n"y a jamais eu de temple juif sur le mont du Temple”. Devant un tel culot, on reste coi : que faire et que dire ?
On a du mal à réaliser, une fois les mensonges détectés et les bobards mis à la poubelle –où est leur place–  que l'un des plus grands dangers du monde, permanent depuis 1946 (voire depuis 1921 !), ne repose sur rien de réel, rien de sérieux, sur rien du tout… C'est consternant. Mais je suis intimement persuadé que, en retournant aux sources et en revisitant la vérité historique, toutes les “vraies causes” de nos autres soucis actuels (je pense à l'Ukraine), pour lesquels nous nous enflammons comme s'ils avaient une vraie raison d'être, ne valent guère mieux. Quand je vous dis que le monde est fou…
H-Cl.
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christophe76460 · 4 days
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“Une sainte postérité renaîtra de ce peuple.” Esaïe 6.13
 
Quand nous n’avons pas de réponses à nos prières il est important de ne pas oublier Qui est notre Seigneur. Esaïe le prophète n’a jamais vu les fruits de son travail, de plus il est mort en martyr à cause de ses prophéties peu populaires. Mais Esaïe avait reçu une vision de Dieu. Dans cette vision il vit “le Seigneur assis sur un trône très élevé, et les pans de sa robe remplissaient le temple” (Es 6. 1). Il comprend que Dieu est en toutes choses et il entend les séraphins chanter“Saint, saint, saint est l'Éternel des armées!Toute la terre est pleine de sa gloire !”(vs 3). Cette vision l’aida sûrement à surmonter sa déception de ne pas voir les réponses à ses prières et à accepter la mission que Dieu lui confia. A vingt-trois ans Jill Briscoe devint épouse de pasteur puis mère. Depuis sa conversion elle avait toujours eu à cœur l’évangélisation des jeunes et avait eu beaucoup de succès dans ce domaine, cependant jeune maman dans les années 50 et 60, elle se retrouva “coincée’ chez elle, frustrée de ne pas pouvoir poursuivre ce qu’elle considérait comme sa mission. Elle mit tout cela en prière et le Seigneur lui répondit à travers un verset biblique :“Va, et dis à ce peuple: vous entendrez, et vous ne comprendrez point ; vous verrez, et vous ne saisirez point. Rends insensible le cœur de ce peuple, endurcis ses oreilles, et bouche-lui les yeux...” (Es 6. 9-10). Jill comprit que ‘ce peuple’ représentait ses voisins. Malgré sa déception elle obéit et se rendit chez sa voisine âgée parler avec elle , mais elle essuya un échec ! Après plusieurs invitations à venir découvrir la Bible, seulement 3 personnes vinrent chez elle : les trois dames étaient âgées, l’une d’elles avait des problèmes de cœur, l’autre était aveugle et la dernière était malentendante ! Mais Jill persévéra et la dame qui souffrait de surdité entendît enfin quelque chose qui l’emmena à la conversion ! Suite à cette conversion Jill finit avec un groupe de plus de 80 personnes âgées qui à leur tour invitèrent leurs enfants à venir aux études bibliques et puis leurs petits enfants. Jill eut enfin son groupe de jeunes ! En racontant cet épisode de sa vie Jill nous encourage à garder à l’esprit la vision de Dieu d’Esaïe 6. Notre Dieu règne! A nous de Lui obéir !
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yes-bernie-stuff · 5 days
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Lundi 13 mai 2024 Avez-vous reçu une vision de Dieu ?
“Une sainte postérité renaîtra de ce peuple.” Esaïe 6.13
Quand nous n’avons pas de réponses à nos prières il est important de ne pas oublier Qui est notre Seigneur. Esaïe le prophète n’a jamais vu les fruits de son travail, de plus il est mort en martyr à cause de ses prophéties peu populaires. Mais Esaïe avait reçu une vision de Dieu. Dans cette vision il vit “le Seigneur assis sur un trône très élevé, et les pans de sa robe remplissaient le temple” (Es 6. 1). Il comprend que Dieu est en toutes choses et il entend les séraphins chanter“Saint, saint, saint est l’Éternel des armées!Toute la terre est pleine de sa gloire !”(vs 3). Cette vision l’aida sûrement à surmonter sa déception de ne pas voir les réponses à ses prières et à accepter la mission que Dieu lui confia. A vingt-trois ans Jill Briscoe devint épouse de pasteur puis mère. Depuis sa conversion elle avait toujours eu à cœur l’évangélisation des jeunes et avait eu beaucoup de succès dans ce domaine, cependant jeune maman dans les années 50 et 60, elle se retrouva “coincée’ chez elle, frustrée de ne pas pouvoir poursuivre ce qu’elle considérait comme sa mission. Elle mit tout cela en prière et le Seigneur lui répondit à travers un verset biblique :“Va, et dis à ce peuple: vous entendrez, et vous ne comprendrez point ; vous verrez, et vous ne saisirez point. Rends insensible le cœur de ce peuple, endurcis ses oreilles, et bouche-lui les yeux…” (Es 6. 9-10). Jill comprit que ‘ce peuple’ représentait ses voisins. Malgré sa déception elle obéit et se rendit chez sa voisine âgée parler avec elle , mais elle essuya un échec ! Après plusieurs invitations à venir découvrir la Bible, seulement 3 personnes vinrent chez elle : les trois dames étaient âgées, l’une d’elles avait des problèmes de cœur, l’autre était aveugle et la dernière était malentendante ! Mais Jill persévéra et la dame qui souffrait de surdité entendît enfin quelque chose qui l’emmena à la conversion ! Suite à cette conversion Jill finit avec un groupe de plus de 80 personnes âgées qui à leur tour invitèrent leurs enfants à venir aux études bibliques et puis leurs petits enfants. Jill eut enfin son groupe de jeunes ! En racontant cet épisode de sa vie Jill nous encourage à garder à l’esprit la vision de Dieu d’Esaïe 6. Notre Dieu règne! A nous de Lui obéir !
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comme-du-monde · 1 month
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Gadin 18 Anecdote d'une promeneuse
Cher tribun,
J’ai ben reçu votre requête d’affectation pour un nouveau châtelain, mais tant qu’à vous répondre en formalités, j’ai décidé d’en profiter pour vous partager une petite anecdote. Vous m’en pardonnerez la trivialité…
Alors, figurez-vous qu’hier, dans ma promenade du soir s’a colline sénatoriale, j’ai été témoin d’une chose des plus étranges. Absurde, vraiment. Vous voyez, à mon âge avancé, on commence à devenir dure de la feuille, faque j’ai cru, dans mon évidente sénilité, vous entendre pratiquer un discours pour les rostres. On aurait dit une motion au Sénat préconisant un mandat pour que Helyargotas rapatrie une soldate des crocs de l’ennemi. Une caporale sans importance. Une plébéienne, même.
Va falloir excuser ma méprise – chu probablement yinque une vieille aiglesse qui a besoin de se curer les oreilles –; mais si – et je dis bien si – vous aviez été assez ingrat pour envisager clamer pareille cochonnerie haut et fort, je me retrouverais dans’ fâcheuse position de devoir vous inculquer un peu de bon sens.
Je commencerais par vous inviter à prendre la journée off pis aller rider la colonne de Swatan jusqu’à vous frotter aux cumulus d’aprème. C’est le printemps, l’air se réchauffe. Parfait pour une joyride, à planer pis regarder Elurmurd qui grouille. Les piétons, les charrettes, les bateaux. Elurmurd qui se pense importante avec ses commerçants pis ses militaires, ses ranchs pis ses docks, sa muraille pis son aqueduc. La fierté de l’Empire Syeb. Mais dans le fond, toute ça, toute eux autres – du plus décoré patricien au plus déchéant pérégrin –, sont toute juste des petits points, incapables de se décoller du sol. C’est de tsa qu’est formé l’Empire : de piétons qui jousent du coude pour leur peu d’envergure. Des chameaux qui obéissent sans blatérer de question, des tortues qui préfèrent s’emprisonner dans leur première maison, des champignons aussi isolationnistes que ridicules, des serpents qui risquent la lapidation publique en sortant dins rue, pis des fourmis qui fourmillent, castrées de la sorcellerie qui a jadis faite leur gloire. Pis à leurs côtés, des éléphants pis des furets, captifs du poids de leur corps comme tous les autres. Oui oui, même le plus impérial des Syeb est plaqué au sol.
Sachez une chose, Tribun : le monde est une swamp infecte dans’quelle les non ailés pataugent. Y s’accotent l’un sur l’autre pour se propulser à’ surface pis y se félicitent quand qu’y’arrivent à se garder à flots, mais peu importe qui est monté s’es épaules de qui, nous, on plane loin au-dessus, avec les cumulus. La seule liberté ici-bas, c’est la nôtre ici-haut. Celle des hastúrl. Celle qui vient avec vos ailes à’ naissance. C’est ce qui nous sépare de la vermine.
C’est donc d’autant plus important de tracer une ligne entre nous pis les autres ailés. C’te ligne-là, ’est forgée dans l’instinct du rapace. La force qui fait qu’on vaut mieux qu’un bourdon. Les Apiens sont victimes des structures qui les ont placés au top. Est-ce que les brindilles qui forment le nid royal sont nobles? Non. Sont juchées sur un sommet, mais y’ont pas l’audace de le revendiquer. Qu’y’essaiment le Sénat tant qu’y veulent, y seront jamais capables de nous égaler. C’est dans leur nature, comme c’est dans’ nature d’un corbeau de voler bas, de charogner nos restes pis de croasser que c’pas juste.
Pis là c’est drôle, parce que selon mes vieilles oreilles niaiseuses, y’aurait vous, Tribun, qui voudriez mobiliser les forces armées pour libérer une Corvienne… Un impératif pour préserver les secrets d’État, comme j’ai imaginé vous entendre le dire. Une exception. Yinque une…
Y’a un autre mot qu’existe pour ça : un précédent.
Vous savez combien de brèches y’a fallu dans’ douve du Palais impérial pour que le Martyr des Sables l’infiltre? Une. Yinque une.
Pis vous, vous voudriez tendre une branche à votre caporale pis la sortir de la swamp? Dans quel but? Pour qu’a pogne la colonne d’air chaud pis qu’a nous kicke en bas des nuages? Comme le Martyr des Sables a faite aux Syebzemil? Comme une invitée trop à ses aises ferait avec votre villa en votre absence?
Un petit rappel, Tribun : on est toujours à une Corvienne parvenue du chaos.
Mais j’ai pas besoin de vous dire ça. Tout Aquilien qui se respecte sait ça. Penser le contraire serait de pas comprendre la game, ou pire, de pas valoriser tout les bassesses, les sacrifices pis les alliances impures qui ont hissé nos familles au-dessus des masses. Pis ça, ça serait indigne du dernier Naphitis.
C’est quand même déplorable, ce qui est arrivé à votre famille. Ça doit pas être facile. Votre mère, vos cousines pis vos tantes qui périssent toute de la même maladie, comme ça. Pouf. Si je me trompe pas, ça laisse juste votre fille de matriacable – quand a sera en âge ben sûr. Un si mince filon d’espoir pour votre lignée… Ça serait d’une tristesse innommable si y devait y arriver quèque chose. J’ose pas imaginer.
Heureusement, votre maisonnée va reprendre du mieux sous peu, puisque j’ai accepté de vous envoyer mon neveu Úpsa pour que vous en fassiez votre nouveau châtelain. Je compte sur vous pour le redresser; y vient de passer les deux dernières années à Kwan pis je pense qu’y’aurait besoin d’un peu de discipline. Pas besoin de me remercier, c’t’un plaisir pour moi de vous aider à remettre de l’ordre chez vous.
Transmettez mes salutations à tous mes autres neveus,
D’un sommet à un autre,
Madame Itxatis
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***
Oh, pis si vous cherchez une motion à passer aux rostres demain, je vous joins un grief de la plèbe qui serait tout à fait à propos. Le voici :
Récemment, un groupe d’enfants corviens s’est perdu dins montagnes aquiliennes au nord d’Elurmurd. Y’ont crié pis crié, mais y’avait pas âme qui vive, pis y sont toute morts de faim. La montagne est benne trop périlleuse pour être en accès public. Y’a déjà des gates qui empêchent les marcheurs de se ramasser là-bas, mais faudrait renforcer la sécurité de la garde aérienne pour pas que nos corbillats s’y perdent.
Signé : des mères corviennes inquiètes.
Cacheté par le Bureau du Tribun, Elurmurd J2-S3-M4-A4-L2-C20, Ère de Syeb Traduit de l’hiryal par le Jorneau
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ladivinegrace · 1 year
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La Vie c’est pour Ceux qui Souffrent et Meurent en Christ
Contrairement à ce que de nombreux prétendus évangéliques croient et professent, le point de mire de l'Evangile ce n'est pas la prospérité, la santé et la richesse. L'évangile du "nommez-le et revendiquez-le" n'est pas biblique. Dans le christianisme biblique, l'Évangile est la bonne nouvelle de la mort substitutive du Christ sur la croix et sa résurrection d'entre les morts pour le salut de tous ceux qui croient en Lui, et qui Lui ont été donnés par le Père. L’Evangile c'est le message de paix adressé par Dieu à l'homme, concernant la personne, les paroles et les œuvres du Christ, par qui la rédemption est accomplie et les pécheurs complètement dépravés, indignes et indigents sont gracieusement justifiés par le moyen de la foi, à la gloire de Dieu. Nous vivons dans un monde hostile qui méprise cette bonne nouvelle de paix. Le rejet et le meurtre du Christ lorsqu'Il s'est fait chair et a habité parmi nous est une preuve irréfutable de l'hostilité du monde. Car le Christ a été tué pour avoir dit au monde que ses actes étaient mauvais.
En tant que disciples du Christ, nous sommes, tout comme Lui avant nous, haïs et affligés par le monde, et ceci n'est pas quelque chose d'étrange. Car comme le dit le Seigneur dans Jean 15:18-21, «Si le monde vous hait, sachez qu’il M’a haï avant vous. Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui est à lui; mais parce que vous n’êtes pas du monde, et que Je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait. Souvenez-vous de la parole que Je vous ai dite: Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils M’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre. Mais ils vous feront toutes ces choses à cause de mon nom, parce qu’ils ne connaissent pas Celui qui M’a envoyé.» Dans Matthieu 10:24 le Seigneur dit à ses disciples, «Le disciple n’est pas plus que le maître, ni le serviteur plus que son seigneur.» Il a dit cela afin que nous, ses disciples, puissions comprendre que dans ce monde nous subirons aussi la persécution comme Lui. Dans Jean 13:16 l’Eternel déclare, «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le serviteur n’est pas plus grand que son seigneur, ni l’apôtre plus grand que celui qui l’a envoyé.» Ceci dit, nous ne devons pas nous attendre à ce que le monde nous traite avec dignité; car nous sommes une extension du Christ, nous sommes son corps. Esaïe 53:3 dit ceci au sujet de notre Seigneur, «Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous L’avons dédaigné, nous n’avons fait de Lui aucun cas.»
Le Seigneur Lui-même savait ce que le monde ferait contre ses disciples, ceux qui Lui seraient fidèles. Par conséquent, Il nous avertit à plusieurs reprises des souffrances que nous endurerions à cause de son nom dans ce monde. Par exemple, le Seigneur dit dans Jean 16:33b, «Vous aurez des tribulations dans le monde; mais prenez courage, J’ai vaincu le monde.» De génération en génération, les disciples fidèles continuent d’endurer la haine féroce des ennemis du Christ. Car c'est notre destinée en tant que chrétiens de subir le rejet, l’affliction, la persécution et même le martyre à cause du nom de notre Sauveur. Mais nous devons considérer nos souffrances pour l'amour de notre Seigneur comme un sujet de joie complète, à cause du fruit que la souffrance produit dans nos vies. Car notre Père qui est aux cieux nous soumet aux épreuves afin de tester notre foi. Autrement dit, à travers la souffrance, Dieu notre Père nous révèle la qualité de notre foi. Et la mise à l'épreuve de notre foi produit la persévérance (cf. Jacques 1:3), et le fruit, c’est notre sanctification, notre maturité spirituelle.
Dans ce monde corrompu, il est impossible pour un chrétien fidèle d’échapper à la haine. Le Seigneur Lui-même dit à ses disciples, «Vous serez haïs de tous, à cause de mon nom» (Matthieu 10:22). Celui qui s'identifie au Christ et Le suit fidèlement ne peut échapper à l'hostilité des ennemis de la vérité. Être chrétien ne met pas fin à nos souffrances dans ce monde, cela nous apporte plutôt plus de souffrances. «Car il [nous] a été fait la grâce, par rapport à Christ, non seulement de croire en Lui, mais encore de souffrir pour Lui», comme l'écrit Paul dans Philippiens 1:29. Dieu nous a accordé le privilège de partager les souffrances de notre Seigneur, afin que, par la souffrance dans la chair, nous soyons préparés et équipés pour vivre le reste de nos jours dans notre tente terrestre, non plus pour les passions vicieuses de la chair, mais pour la volonté de Dieu et la gloire du Christ notre Seigneur. Pierre écrit dans 1 Pierre 4:12-13, «Mes bien-aimés, ne trouvez pas étrange d’être dans la fournaise de l’épreuve, comme s’il vous arrivait quelque chose d’extraordinaire. Réjouissez-vous, au contraire, de la part que vous avez aux souffrances de Christ, afin que vous soyez aussi dans la joie et dans l’allégresse lorsque sa gloire apparaîtra.» En tant que chrétiens, nous devons endurer volontiers, sans être terrifiés, tout ce que le monde nous lance à cause de notre identification avec notre Sauveur. Une telle endurance est une évidence de notre salut. Car elle produit l'obéissance, et l'obéissance inspire l'espérance.
Le christianisme n'est pas pour ceux qui veulent échapper à la souffrance dans le temps présent, mais pour ceux qui admettent qu'ils sont spirituellement malades, reconnaissent leur besoin du Christ Sauveur, se soumettent à sa seigneurie et sont disposés et prêts à participer à sa souffrance dans le temps présent, afin de pouvoir prendre part à sa gloire dans l'âge à venir. Souffrir pour l'amour du Christ est une preuve de notre union avec Lui. L’Eternel dit dans Luc 14:27, «Quiconque ne porte pas sa croix, et ne Me suit pas, ne peut être mon disciple.» Celui qui désire vivre sa meilleure vie maintenant ne s’affectionne pas aux choses de Dieu mais à celles du monde. Car il n’a aucun amour pour le Christ. Il se consacre plutôt à sa chair et ne recherche pas Dieu mais ses propres intérêts. Quiconque veut se préserver dans cette vie ne peut pas être un vrai chrétien. Bien qu'une telle personne professe la foi en Christ, elle est comme le sol rocheux de la Parabole du Semeur que l’Eternel utilise dans Matthieu 13, «celui qui entend la Parole et la reçoit aussitôt avec joie; mais il n’a pas de racines en lui-même, il croit pour un temps, et, dès que survient une tribulation ou une persécution à cause de la Parole, il y trouve une occasion de chute» (v. 20-21).
Nombreux sont ceux qui aujourd'hui considèrent le christianisme comme un moyen d'échapper aux troubles de cette vie. Ils décident de devenir ‘chrétiens’ non pas pour l'amour du Christ, mais pour les avantages qu'Il offre. A ceux-là, je voudrais dire ceci: tout d’abord, être chrétien ne dépend pas d'une décision que nous prenons, ni de ce que nous avons nous-mêmes fait. Car c'est par la grâce et la volonté souveraines de Dieu que nous sommes sauvés, par le moyen de la foi en son Fils Jésus-Christ. Comme l'écrit Paul dans Romains 9:16, «Cela ne dépend ni de la volonté ni des efforts de l’homme, mais de Dieu qui fait grâce.» Deuxièmement, ce pour quoi vous vous êtes engagé n'est pas le christianisme mais une utopie. Car les chrétiens sont appelés à souffrir dans le temps présent. Si vous voulez vraiment être un disciple du Christ, attachez votre ceinture; car cela vous coûtera tout: le monde vous fera souffrir. Car le chemin de la joie et de la félicité éternelle ordonné par Dieu est l’opposé du prétendu chemin vers le bonheur que le monde propose à l'homme.
Bien qu'en tant que chrétiens nous ayons la paix avec Dieu par le Christ notre Seigneur, la vie du chrétien dans ce monde n'est pas exempte de souffrance. Car notre identification avec notre Seigneur, notre défense de la vérité, notre fidélité à la Parole de Dieu engendre des conflits et des divisions. L’Eternel Lui-même l’affirme dans Matthieu 10:34-36, «Ne croyez pas que Je sois venu apporter la paix sur la terre; Je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée. Car Je suis venu mettre la division entre l’homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère; et l’homme aura pour ennemis les gens de sa maison.» La gloire promise ne vient pas sans la souffrance. Au contraire, la souffrance pour l'amour du Christ précède la couronne de gloire. Comme le dit l'Apôtre Paul, nous devenons «héritiers de Dieu et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec Lui afin de prendre aussi part à sa gloire» (Romains 8:17). L’Eternel dit dans Jean 12:26, «Si quelqu'un Me sert, qu'il Me suive, et là où Je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu'un Me sert, le Père l'honorera.»
Un vrai disciple ne vit pas pour servir le péché et la chair, mais il vit plutôt pour le Christ, pour Le servir et L'honorer. Un vrai disciple s'offre à Dieu comme un instrument de justice. Et pour être un instrument utile, l’on doit suivre le Christ partout où Il va. Nous vivons dans un monde où les gens sont poussés par la convoitise. Ils recherchent les plaisirs temporels et la liberté, parce qu’ils sont asservis par le péché. C'est facile de vivre ainsi, mais la récompense c’est la destruction. Nous sommes sommés de ne pas nous conformer à cette manière de vivre, mais de prendre le chemin qui mène à la vie. Nous sommes appelés à adopter un style de vie où le Christ, et non le moi, est exalté, un style de vie où le moi est crucifié et le Christ glorifié, un style de vie où le moi n'est rien et le Christ est tout. Tel est le chemin que nous sommes appelés à suivre – la porte étroite – conduits par notre Seigneur. Comme nous le dit l’Eternel dans Matthieu 7:14, ce n'est pas un chemin facile. Autrement dit, il est difficile d'être un disciple du Christ. Car servir l’Eternel notre Sauveur exige un renoncement complet à soi-même et la volonté d'embrasser la souffrance à cause de son nom, afin de prendre aussi part à sa gloire.
Ceux qui ont part à la gloire de notre Sauveur sont des pèlerins dans ce monde, dévoués de tout cœur à l’Eternel, et disposés à subir des pertes, la persécution et même la mort pour Lui. Je ne dis pas que nous sommes sauvés lorsque nous souffrons des afflictions pour l'amour du Christ – le salut c’est uniquement par la grâce de Dieu, par le moyen de la foi en Christ. Mais ce que je veux souligner, c'est qu'un engagement de cœur envers notre Seigneur nous engendre toujours la persécution. Car ce que nous croyons et proclamons, ce que nous défendons offense le monde. Et comme le dit l’Eternel dans Jean 12:25, «Celui qui aime sa vie la perdra et celui qui déteste sa vie dans ce monde la conservera pour la vie éternelle.» Ceux qui pensent que le christianisme est une voie pour satisfaire les passions de leur cœur se trompent complètement. Ceux qui réduisent le christianisme à la poursuite d’une meilleure vie dans le siècle présent profanent l'Evangile. Car dans ce monde, tout vrai disciple du Christ connaîtra la souffrance, le rejet, la persécution, la violence, la perte, la haine et potentiellement le martyre, en voulant rester fidèle à l’Eternel. En effet, ceci est clairement énoncé par Paul lorsqu'il écrit dans 2 Timothée 3:12, «Tous ceux qui veulent vivre avec piété en Jésus-Christ seront persécutés.»
Il n'y a pas de gloire sans agonie, il n’y a pas de couronne de vie sans épines dans la chair, il n'y a pas d'exaltation sans l’humiliation. Quiconque est en Christ doit souffrir pour l'amour de notre Seigneur. Comme l'écrit l'Apôtre Paul dans Actes 14:22, «C'est à travers beaucoup de difficultés qu'il nous faut entrer dans le Royaume de Dieu.» Lorsque nous nous accrochons à la Parole de Dieu, lorsque nous nous renions, renonçons à la mondanité, portons notre croix quotidiennement et suivons fidèlement notre Seigneur partout où Il nous emmène, nous devenons la cible de ce monde hostile. Aucun chrétien authentique ne peut échapper à la persécution, aucun disciple fidèle du Christ ne peut échapper à l'hostilité du monde. Ceci est une réalité que l’Eternel Lui-même affirme à plusieurs reprises au cours de son ministère sur terre. Il dit à ses disciples dans Matthieu 10:16-18, «Voici que Je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents et purs comme les colombes. Méfiez-vous des hommes, car ils vous livreront aux tribunaux et vous fouetteront dans leurs synagogues. A cause de Moi vous serez conduits devant des gouverneurs et devant des rois pour leur apporter votre témoignage, à eux et aux non-Juifs.» Dans Jean 16:2-4 le Seigneur dit, «On vous exclura des synagogues, et même l'heure vient où tous ceux qui vous feront mourir croiront offrir un culte à Dieu. Ils agiront ainsi parce qu'ils n'ont connu ni le Père ni Moi. Je vous ai dit cela afin que, l'heure venue, vous vous souveniez que Je vous l'ai dit. Je ne vous en ai pas parlé dès le début parce que J'étais avec vous.»
Bien qu'en Christ notre Seigneur nous recevions toutes les bénédictions spirituelles du Royaume des cieux ainsi que la promesse de gloire éternelle, notre vie dans ce monde n'est pas exempte d'épreuves. D’un côté, notre vie en tant que chrétiens abonde en bénédictions divines; mais d’un autre côté, à cause de notre identification avec l’Eternel notre Sauveur, le monde nous hait et nous persécute. Etre disciple du Christ est une offre forfaitaire. Car  pour prendre part à la merveilleuse récompense, à la gloire éternelle des enfants de Dieu, il faut accepter les afflictions qui l'accompagnent. Tout vrai disciple du Christ est béni par Dieu sous plusieurs manières, dans le temps présent et l'éternité; mais il est également affligé par le monde. L’Eternel affirme cette réalité dans Marc 10:29-30 lorsqu'Il dit, «Je vous le dis en vérité, personne n'aura quitté à cause de Moi et à cause de la Bonne Nouvelle sa maison ou ses frères, ses sœurs, sa mère, son père, [sa femme,] ses enfants ou ses terres, sans recevoir au centuple, dans le temps présent, des maisons, des frères, des sœurs, des mères, des enfants et des terres, avec des persécutions et, dans le monde à venir, la vie éternelle.» L'Apôtre Paul témoigne de cette réalité en relatant sa propre expérience dans 2 Corinthiens 4:8-11, disant: «Nous sommes pressés de toutes parts, mais non écrasés; inquiets, mais non désespérés; persécutés, mais non abandonnés; abattus, mais non anéantis. Nous portons toujours avec nous dans notre corps l’agonie du [Seigneur] Jésus afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre corps. Car nous qui vivons, nous sommes sans cesse livrés à la mort à cause de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre chair mortelle.»
Nombreux sont les ennuis des enfants de Dieu dans cette vie, à cause de la haine que le monde a envers le Christ et tous ceux qui Lui appartiennent. Psaumes 34:19 dit, «Beaucoup de malheurs atteignent le juste, mais l’Eternel l’en délivre toujours.» Le psalmiste dans Psaumes 44:23 écrit, «Mais c’est à cause de Toi qu’on nous égorge tous les jours, qu’on nous regarde comme des brebis destinées à la boucherie.» L'Evangile que nous proclamons offense ceux qui périssent. Ils le détestent parce que ça expose leurs mauvaises actions. Le message de la croix divise les gens, ça divise les familles, et attise l’hostilité du monde. Ceux qui sont offensés par l'Evangile se dressent contre ceux qui y croient, ils les persécutent. L’Eternel nous avertit dans Matthieu 10:21-22 des persécutions à venir, en disant, «Le frère livrera son frère à la mort, et le père son enfant; les enfants se soulèveront contre leurs parents, et les feront mourir. Vous serez haïs de tous, à cause de mon nom; mais celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé.»
Lorsque l’Eternel s'est adressé aux sept églises dans le livre de l'Apocalypse, Il a dit à l'église de Smyrne qui était persécutée, «Je connais ton affliction et ta pauvreté (bien que tu sois riche), et les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan. Ne crains pas ce que tu vas souffrir. Voici, le diable jettera quelques-uns d’entre vous en prison, afin que vous soyez éprouvés, et vous aurez une tribulation de dix jours. Sois fidèle jusqu’à la mort, et Je te donnerai la couronne de vie. Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Eglises: Celui qui vaincra n’aura pas à souffrir la seconde mort.» (Apocalypse 2:9-11).
Quiconque suit le Seigneur Jésus-Christ doit partager ses souffrances. Par conséquent, suivant l’exemple de Moïse, l'une des figures de la foi de l'Ancien Testament, chaque disciple du Christ doit choisir de souffrir l'affliction pour l'amour du Christ plutôt que de profiter des plaisirs éphémères du péché. Nous devons considérer l'opprobre du Christ comme une richesse plus grande que les trésors périssables que ce monde a à offrir. Nous devons souffrir comme le Christ a souffert. Car nous partageons la gloire de notre Seigneur, pourvu que nous souffrions avec Lui. Nous devons aussi partager la mort du Christ afin de prendre part à sa vie. Selon qu’il est écrit dans 2 Timothée 2:11-12, «Si nous sommes morts avec Lui, nous vivrons aussi avec Lui; si nous persévérons, nous régnerons aussi avec Lui; si nous Le renions, Lui aussi nous reniera.»
Etre un véritable disciple du Christ exige un engagement de cœur qui nécessite le sacrifice complet de soi et l’abandon du monde. En tant qu'hommes naturels, nous offrions nos membres au péché comme des instruments pour l'injustice, mais en Christ nous devons présenter nos membres à Dieu comme des instruments pour la justice, et être disposés à souffrir le martyre pour l'amour de notre Sauveur. Lorsque nous entreprenons ce voyage, la mort et l'ensevelissement du Christ deviennent nôtres. Et en tant que participants à la mort de notre Sauveur, nous partageons également sa résurrection. En d'autres termes, nous participons spirituellement à la mort et à la résurrection du Christ. «Car (comme l'écrit Paul dans Romains 6:5) si nous avons été unis à Lui dans une mort comme la sienne, nous serons certainement unis à Lui dans une résurrection comme la sienne. En effet, si nous sommes devenus une même plante avec Lui par la conformité à sa mort, nous le serons aussi par la conformité à sa résurrection.» Et puisque le Christ vit, nous vivons aussi par Lui.  
Heureux ceux qui subissent la persécution, la perte et la mort pour l'amour du Christ. 1 Pierre 3:14 dit, «D’ailleurs, même si vous souffriez pour la justice, vous seriez heureux.» Matthieu 5:11, «Heureux serez-vous, lorsqu’on vous outragera, qu’on vous persécutera et qu’on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de Moi.» Jacques 1:12, «Heureux l’homme qui supporte patiemment la tentation; car, après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que le Seigneur a promise à ceux qui L’aiment.» Mais ceux qui aiment leur vie ici sur terre et renient le Christ parce qu'ils ne sont pas disposés à subir la perte ou la mort ou la persécution pour l'amour du Christ perdent l’opportunité d'être justifiés devant Dieu, et restent ainsi sous la malédiction divine. «Car (comme le souligne l’Eternel dans Matthieu 16:25) celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de Moi la trouvera.»
Ceux qui, par la foi, renoncent à leur vie ici-bas, ceux qui renoncent à leur corps de péché et se consacrent de tout cœur au Christ et Lui restent fidèles jusqu'à la mort recevront chacun la vie de l’Eternel. Mais ceux qui préservent leur corps de péché connaitront une grande perte; ils mourront dans leur péché et iront en enfer. En tant que disciples du Christ, nous sommes délivrés de l'aiguillon de la mort et réconciliés avec notre Père qui est aux cieux par le sang précieux de notre Sauveur. Et lorsque nous mourons en Christ, nous quittons cette terre sans aucune impureté; car tous nos péchés sont pardonnés. Car le Christ a été livré pour nos péchés et ressuscité pour notre justification (cf. Rom. 4:25). 2 Corinthiens 5:21 rend ce témoignage de notre Sauveur, «Celui qui n’a point connu le péché, [Dieu] L’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en Lui justice de Dieu.»
C'est la volonté parfaite et souveraine de Dieu de nous donner la paix et de tout réconcilier avec Lui par son Fils. Cependant, la paix avec Dieu ne vient pas sans la mort à soi-même, la mort au monde et la souffrance pour l'amour du Christ. Mais cela vaut le coût. Car quel profit y a-t-il si nous renions le Christ dans notre quête des plaisirs temporels et renonçons à une éternité de félicité? Quiconque n'est pas disposé à accepter le Christ comme Sauveur et Seigneur, quiconque renie le Seigneur Jésus afin de préserver son corps de péché ne vivra pas. Au contraire, une telle personne endurera les tourments éternels et la colère de Dieu en enfer. Car il a foulé aux pieds le sang précieux de son Fils. Mais ceux qui crucifient leurs corps de péché et se soumettent à l’Eternel ne périront pas. Ils reçoivent en Christ la félicité éternelle.
https://www.faithintheoneaboveall.com/post/pour-vivre-il-faut-mourir
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lagrandedameg · 2 years
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Certains d'entre nous sommes encore un peu confus dans la spiritualité.
La spiritualité; une certitude, d’une force intérieur.
Une Force SURNATURELLE qui ce nourrit de nos pensées, de notre cœur et de nos gestes.
elle n'a aucun sens a l'argent, de la monnaie, sa valeur ce mesure a l’amour
Pour ceux qui amassent une quête, le prix à payer pour les belles choses physiques de la vie ? Et une vanité de débordements. Elle se résume à l’excès.
Pour ceux qui honorent leurs bénédictions , accord les opportunités pour eux il y’a la gloire et la prospérité. Leur spiritualité est concrète.
Pour ceux qui s'effondrent dans l'obscurité de leurs pensées pour mettre un sens à la spiritualité , qui détruisent le pilier de la foi, pour ceux qui n'ont pas la crainte de l'univers. Dans spiritualité Maat est divinité, la justice règne. ils recevront le martyre de la vie et c'est la jouissance dans les tourments de l'enfer des hommes. Il ont les fondamentaux de l’existence.
donnons ce que nous voulons recevoir.
Soyons humbles, apprenons à devenir un tout avec nous-mêmes.
Soyons en communication directe avec l'univers en donnant ce que nous voulons recevoir.
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christophe76460 · 4 days
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Sa Parole Pour Aujourd'hui du Lundi le 13 Mai 2024
Avez-vous reçu une vision de Dieu ?
“Une sainte postérité renaîtra de ce peuple.” Esaïe 6.13
Quand nous n’avons pas de réponses à nos prières il est important de ne pas oublier Qui est notre Seigneur. Esaïe le prophète n’a jamais vu les fruits de son travail, de plus il est mort en martyr à cause de ses prophéties peu populaires. Mais Esaïe avait reçu une vision de Dieu. Dans cette vision il vit “le Seigneur assis sur un trône très élevé, et les pans de sa robe remplissaient le temple” (Es 6. 1). Il comprend que Dieu est en toutes choses et il entend les séraphins chanter “Saint, saint, saint est l'Éternel des armées!Toute la terre est pleine de sa gloire !”(vs 3). Cette vision l’aida sûrement à surmonter sa déception de ne pas voir les réponses à ses prières et à accepter la mission que Dieu lui confia.
A vingt-trois ans Jill Briscoe devint épouse de pasteur puis mère. Depuis sa conversion elle avait toujours eu à cœur l’évangélisation des jeunes et avait eu beaucoup de succès dans ce domaine, cependant jeune maman dans les années 50 et 60, elle se retrouva “coincée’ chez elle, frustrée de ne pas pouvoir poursuivre ce qu’elle considérait comme sa mission. Elle mit tout cela en prière et le Seigneur lui répondit à travers un verset biblique :“Va, et dis à ce peuple: vous entendrez, et vous ne comprendrez point ; vous verrez, et vous ne saisirez point. Rends insensible le cœur de ce peuple, endurcis ses oreilles, et bouche-lui les yeux...” (Es 6. 9-10). Jill comprit que ‘ce peuple’ représentait ses voisins. Malgré sa déception elle obéit et se rendit chez sa voisine âgée parler avec elle , mais elle essuya un échec ! Après plusieurs invitations à venir découvrir la Bible, seulement 3 personnes vinrent chez elle : les trois dames étaient âgées, l’une d’elles avait des problèmes de cœur, l’autre était aveugle et la dernière était malentendante ! Mais Jill persévéra et la dame qui souffrait de surdité entendît enfin quelque chose qui l’emmena à la conversion ! Suite à cette conversion Jill finit avec un groupe de plus de 80 personnes âgées qui à leur tour invitèrent leurs enfants à venir aux études bibliques et puis leurs petits enfants. Jill eut enfin son groupe de jeunes !
En racontant cet épisode de sa vie Jill nous encourage à garder à l’esprit la vision de Dieu d’Esaïe 6. Notre Dieu règne! A nous de Lui obéir !
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Comment sais-tu que tu es toujours sur le chemin (étroit) du Seigneur, mon ami(e) ? 🙂
Beaucoup trop de nous se glorifient de ses propres accomplissements humains alors que notre grand frère l'apôtre Paul, lui, se glorifiait uniquement de ses faiblesses. Crois-tu être doux et humble de cœur en te glorifiant de ce que tu penses, de ce que tu dis, de ce que tu fais et de ce que tu as, comme tu le fais-là, mon ami(e) ? Jésus, lui, ne voulait pas qu'on ébruite ou qu’on parle des miracles qu'il faisait. Et malgré lui, il est devenu populaire. Je ne vois pas du tout cela, de nos jours. On veut tous qu'on soit vu positivement par autrui et par les gens, en général. Or le chemin étroit du Seigneur n'est pas un chemin de gloire humaine mais un chemin où seul le Seigneur Jésus-Christ, lui seul, est glorifié. Si tu es applaudit, en ce moment, dans ta vie. Tu n'es, peut-être, plus sur le chemin étroit du Seigneur Jésus-Christ. Car notre frère Etienne, le premier martyr, a payé de sa vie son amour pour le Seigneur Jésus-Christ. Le bonheur est pour ceux qui sont persécutés pour avoir fait ce que Dieu leur a dit, malgré l’opinion général. Saviez-vous que Jésus a dit qu'on tuait les vrais prophètes et qu'on applaudissait et appréciait les faux prophètes ? Pose-toi donc la question si tu prêches ou enseigne vraiment la vérité du Seigneur Jésus-Christ ? Car si on aime trop ce que tu dis de la part de Dieu, je doute que tu prêches vraiment la vérité du Seigneur Jésus-Christ, mon ami(e). Car la vérité avant de te libérer doit d'abord tuer ta chaire. Car ta chaire est ce qui t’empêche d’accepter la vérité. Et sache que personne n'aime le ministère de la mort à soi-même apporté par la vérité qui est Christ. Donc, parce qu'il y a beaucoup d'appelé mais peu d'élu. Cela signifie que peu d'entre nous vivrons dans la volonté parfaite de Dieu pour sa vie et glorifiera vraiment Dieu selon le plan parfait de Dieu. Donc beaucoup seront déçus de leurs récompenses au ciel. Le choix donc de laisser Dieu vous faire mourir à votre égoïsme et surtout votre orgueil vous appartient, mes amis. 💕🙏
L'objectif de la vie n'est pas le sans faute mais de vivre en son âme et conscience.
Bon courage à chacun dans sa vie personnelle. 👍
- The spiritual philosopher Gabriel Bonnet 🙂
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claudehenrion · 3 years
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Une parenthèse hongroise
  Plusieurs lecteurs me demandent un mot sur le récent voyage du Pape en Europe centrale, et ce n'est pas de gaîté de cœur que je réponds à cette invitation : catho élevé dans le respect dû à la Papauté, il ne m'est pas très facile d’écrire ce que la situation mérite : si loin de tout ''langage diplomatique'' et de ''la charité chrétienne'', nous sommes dans la politique la plus pure (ou impure, ou pire !). Le seul mot qui convient --et que je dois me résoudre à employer, si je veux tutoyer la vérité-- est : ''SS le Pape a donné une gifle injustifiée à un pays chrétien''. Et... ce n'est pas plus agréable à écrire (pour moi) qu'à lire par ceux qui ont des références voisines !
Dans la liste des déplacements pontificaux, interminable depuis que Alitalia a mis le monde à portée du Vatican, jamais on n'avait vu une telle différence de traitement entre deux pays voisins visités dans un même mouvement : le Saint Père a accordé à la Slovénie (2 M d'habitants) 10 fois plus de temps qu'à la Hongrie (10 millions). A lire les observateurs, cela ne s'explique que par la franche détestation de SS  le Pape François envers toute politique et toute attitude nationalistes, réputées ''de Droite''. Il est tentant d'opposer l'humiliation imposée à Viktor Orban en 2021 à la complicité offerte au ''coco-tyran'' Fidel Castro en 2015 ... ou au silence du Pape devant les violations des Droits de l'Homme à Hong-Kong par le dictateur chinois --mais il avoue rêver d’aller bientôt en Chine, cqfd. (NDLR : quant à la France, il n'a toujours pas l'envie de rendre une visite à ce qui reste de l'ex-fille aînée de l'Eglise, ce qui est aussi vexant que de prendre un sous-marin australien dans la poire !).
La question suivante est, bien sûr : ''Pourquoi avoir humilié un pays chrétien,  qui a si fort résisté à l'hydre communiste, et qui n'a d'une dictature que ce que les plus à Gauche peuvent inventer, pour lui nuire ?'' Dans des temps anciens, l'expression ''notre Saint-Père-le-Pape'' en fait... foi, le Pape était indiscutablement le Père de tous les chrétiens... et pas de ceux, seulement, qui votent ''dans son bon sens de l'Histoire'' ! Profitant de la levée de boucliers de la presse hongroise devant ces camouflets à un régime démocratiquement élu, réélu, conforté et réconforté, Viktor Orbàn a fait savoir (urbi et orbi, si j'ose !) qu’il avait supplié le Pape François ''de ne pas laisser périr la Hongrie chrétienne''. C'est de bonne guerre... mais c'est grave.
Comme certains le prévoyaient (ou le redoutaient), cet alignement de la tête de l'Eglise catholique sur les théories à la mode, ''au monde et du monde'' pose de graves problèmes. On sait (et qu'on soit pour ou contre n'est pas le sujet : c'est l'existence de la chose qui pose question), que la culture de SS le Pape est assez peu compatible avec celle de la vieille Europe. Et il faut que cela tombe au moment où l’Europe, en crise profonde, se sent rejetée sans l'avoir mérité par un monde qui semble préférer se déconstruire contre elle que de se perfectionner avec elle....
On a souvent l'impression que les grands hommes tout petits qui dirigent le monde se trompent  dans la sélection, le choix et la hiérarchisation de leurs priorités. N'y a t-il vraiment rien de plus urgent pour le Chef de l'Eglise, guide du milliard et quelque de catholiques et représentant-en-chef de Dieu sur la Terre que d'aller insulter et humilier un chef d'Etat démocratiquement élu --il y en a si peu-- ? Comment ne pas s'étonner des choix que fait notre Saint-Père, entre son suivisme quasi-automatique des idées intenables des sectateurs d'une Greta Thunberg (vilaines idées qui sont démontrées, jour après jour, mensongères ET dangereuses), une ‘’indulgence’’ inexplicable mais à peine voilée pour tout ce qui touche au développement de l'islam, son soutien exagéré pour tout mouvement migratoire --à la seule condition qu'il ait pour seule vocation de miner la civilisation qui doit tout au christianisme donc, indirectement à l'Eglise ? Que l’on soit pour ou contre, c’est difficile à suivre !
L'église, en voulant se rapprocher du monde moderne, s'est mise à lui ressembler : elle s'est alignée sur son inculture, son refus du passé, sa quête d’inexistence, sa médiocrité tous azimuts, et son attrait létal pour le relativisme des choses et l'interchangeabilité des personnes. Elle y a perdu une part importante de son âme (ou de son être profond, pour ceux qui refusent que nous ayons une âme). Quel bénéfice a-t-on vu, depuis que l'église répète qu'elle serait enfin ''descendue sur terre''... alors que c'est ''du haut du ciel'' qu'on a besoin qu'elle nous parle, et d'autre chose que de nos problèmes quotidiens, qui sont insolubles, tels que posés ? 
L'islam n'est une menace qu'en raison de l'abandon de tout ce qui faisait notre force, et une église qui se désagrège et se divise --sur des points mineurs-- n'est pas dans la meilleure position pour affronter un islam décomplexé. Tandis que le muezzin appelle les fidèles à la prière du haut de son minaret et que l'imam martèle les articles de sa foi du haut de son minbar, le curé (qui a tourné le dos au mystère, et à la beauté des rites) est descendu de sa chaire, inutile symbole qui rappelait, à tort, sans doute, les temps de la gloire et de la force, et il se trouve donc dans une forme d'impossibilité physique de transcender la parole de Dieu... On ne gagne pas une bataille, surtout de première importance, en s'y rendant ''les pieds en dedans'' !
Dans le genre ''visions à court terme''...  les pères conciliaires avaient imaginé que la disparition du latin allait faire revenir le peuple dans les églises, en réalité ainsi privées d'une belle partie de leur mystère et de leur charme, en tout cas de leur âme.... Ils les ont vidées, même si, pour se justifier, ils proclament le contraire ! A l'opposé, rappelons que chleuhs, kabyles, iraniens, indonésiens, turcophones, ouigours... et hommes de toutes les nations convertis à l'Islam ne peuvent pratiquer leur religion --pourtant en pleine expansion partout sur Terre-- qu'en priant, qu'en psalmodiant, qu'en récitant et qu'en écrivant en arabe, langue dont ils ne pigent pas le premier mot, mais qui serait la langue que parle Allah (et, pour faire plaisir à Zemmour : ''avec l'obligation stricte d'avoir  un premier prénom arabe'' !).
Tant qu'ils y étaient, les Pères conciliaires avaient refusé toute condamnation du  communisme, au nom d'un respect mal compris ''des autres croyances'' (sic !) ainsi ramenées à des idéologies... Cette faute grave a un nom : le relativisme --qui prétend que ''tout se vaut'' (et si tout se vaut, plus rien ne vaut !). Au nom de cette idéologie de mort, tout le passé de l'Eglise devenant obsolète, elle n'a plus rien à dire. A quoi bon les martyrs, les missionnaires, les sacrifices et la résistance, le Père de Foucauld, les moines de Tibéhirine ? En tirant sur une maille qui gênait parfois, on a défait tout le tricot ! Comme le dit SS Benoît XVI, ce qu'on a longtemps considéré comme la vérité ne peut ni ne doit devenir, soudain, une erreur !
Etant loin de pouvoir me dire théologien, même un tout petit peu, je me garderai, aujourd'hui et dans ce cadre, de dire si Vatican II fut une bonne ou une mauvaise chose (les lecteurs de ce Blog et mes amis savent de quel côté je penche, à titre personnel, mais ça n'a aucune importance : je ne suis rien !). En revanche, j'aime bien la phrase du Général De Gaulle (alors Président) au cardinal Marty, tout juste nommé archevêque de Paris : ''On ne change pas la manière de prier d’un milliard d’hommes sans toucher à l’équilibre de toute la planète''. Et on peut se demander qui a eu ''plus raison'', entre les 2 à 10 % de catholiques ''conciliaires résiduels'' ou les 50 ou 60 %  qui ont abandonné l'Eglise (avant le Concile, 81 % des français se disaient catholiques -G Michelat, Revue française de Sociologie, n°33-3-1990)...
Ce qui est sûr, plus généralement, c'est qu'on a toujours tort de ''marquer des buts contre son camp'', de ''se faire plaisir'', de préférer les idées aux réalités, de se renier soi-même, et d'avoir honte des siens. Comment voulez vous que les autres vous croient, si vous ne vous croyez pas vous-même ? Une communauté qui interdit ce qui était jusque là le plus sacré se met elle-même en question. Comme c'est souvent le cas, les ''résistants'' n’essaieraient-ils pas de sauver '’le principal'' ?
H-Cl.
PS : Je demande sincèrement pardon d'avance à tous ceux que tel ou tel des mots employés ci-dessus pourrait surprendre ou, pis encore, choquer. Dans ce Blog, je cherche plutôt à parler vrai, pas à ''faire plaisir''... Et ça m’embête bien, parfois !
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The recording is now available on ecoAmerica's YouTube channel for viewers to be inspired by student climate leaders! Join Aishah-Nyeta Brown & Jerome Foster II and be inspired by student climate leaders as we recognize the High School Student finalists. Watch now to find out which student received the $25,000 grand prize and top recognition!
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Fazo Ameur 3 h ·
Henri Maillot, le chahid oublié. Voici un communiqué de la famille du chahid: Nous, membres de la famille du chahid Henri Maillot, mort au champ d’honneur les armes à la main le 5 juin 1956, osons briser le silence que nous nous sommes imposé pendant 55 ans. Et pour cause, notre frère et oncle est victime d’un ostracisme et d’un déni de reconnaissance énigmatique que d’aucuns n’arrivent à expliquer. Il demeure banni du panthéon réservé aux martyrs au même titre que son ami et voisin de quartier, le chahid Fernand Iveton, guillotiné à Serkadji le 11 février 1957. C’est pour cette raison que des centaines de citoyens se font un devoir de venir se recueillir sur leurs tombes chaque année les jours anniversaire de leur « mort». Au mois de juin 2015, l’APS a publié une dépêche dans laquelle le chahid Henri Maillot était qualifié « d’ami de la Révolution algérienne». Un impair lourd de sens et qui illustre on ne peut mieux le sort réservé aux chouhada et moudjahidine d’origine européenne. Il est regrettable de rappeler certains faits historiques et d’actualité pour prouver notre appartenance et notre attachement à notre patrie l’Algérie. – La famille Maillot est installée en Algérie depuis six générations et ne l’a jamais quittée en dépit de tous les drames qui ont secoué notre pays. – Le chahid Henri Maillot a offert ce qu’il avait de plus précieux pour défendre sa patrie : sa vie. – Le père du chahid Henri Maillot était secrétaire du syndicat des travailleurs de la ville d’Alger (mairie d’Alger). Il a été licencié pour avoir déclenché une grève pour réclamer les droits et plus de dignité pour les éboueurs musulmans. – A l’indépendance tous les membres de la famille Maillot ont opté pour la nationalité algérienne au détriment de la nationalité française. Pour s’en convaincre davantage, il suffit de lire la lettre que le chahid Henri Maillot a envoyée à la presse parisienne pour justifier sa désertion avec un camion rempli d’armes et de munitions. Dans cette lettre, il disait : « Il y a quelques mois de cela, Jules Roy, écrivain et colonel de l’armée française, disait : « Si j’étais musulman je serais du côté des fellagas. Moi je ne suis pas musulman mais je considère l’Algérie comme ma patrie et je dois avoir à son égard les mêmes devoirs que tous ses fils. Et ma place est au côté de ceux qui ont engagé le combat libérateur… Ce n’est pas une lutte de religion ni de race, comme voudraient le faire croire certains possédants de ce pays, mais une lutte d’opprimés contre leurs oppresseurs sans distinction de races ni d’origines… Notre victoire est certaine… En désertant avec un camion rempli d’armes, j’ai conscience d’avoir servi les intérêts de mon peuple et de ma patrie …» Afin de préserver la mémoire de Henri et les idéaux pour lesquels il s’est sacrifié, nous n’avons jamais rien demandé d’autre qu’une reconnaissance. Nous aimerions voir son nom gravé sur le fronton d’un lycée, d’une université, d’une cité ou bien lui dédier un lieu de mémoire pour que son sacrifice pour une Algérie libre, indépendante, fraternelle, tolérante et juste ne soit pas vain.Car la grandeur et la noblesse de notre révolution est d’avoir été portée et défendue par des femmes et des hommes de différentes origines raciales, religieuses et culturelles. C’est cela que nous devons inculquer aux jeunes générations algériennes. Ce sera une juste reconnaissance qui le sortira de la nuit de l’oubli où il a été longtemps confiné, à l’instar d’autres martyrs algériens d’origine étrangère. Quant aux moudjahidate et moudjahidine d’origine étrangère vivant en Algérie, ils sont en train de nous quitter l’un après l’autre dans l’anonymat le plus complet. Il est grand temps de leur rendre un vibrant hommage et recueillir leurs témoignages. Gloire à tous nos martyrs. La famille MAILLOT Pour information, l'hôpital Mohamed Lamine Debaghine ex Maillot à Bab El Oued n'a pas porté le nom d'Henri Maillot mais celui de François Clément Maillot, le médecin qui codifia l'usage de la quinine contre le paludisme en
1834.
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eglise22 · 4 years
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Homélie de la messe de la Toussaint 2020 à Orsay - Le Jour du Seigneur -
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Nous venons de proclamer les béatitudes du Christ : nous sommes faits pour devenir bienheureux en le suivant. Ces béatitudes, Jésus les a vécues dans une vie d'homme réussie aux yeux de Dieu. Regardez-le, contemplez-le : c'est lui, l'Homme, l'Homme parfaitement réussi, le Saint de Dieu. Il ne se contente pas d'instruire la foule et ses disciples sur la montagne, surtout, il accomplit les béatitudes dans sa vie d'homme réussie aux yeux de Dieu.
Il dit qu'il inaugure en sa personne la vie de Dieu qu'il vit de toute éternité. Il dit qu'il est un pauvre devant son Père en recevant tout de lui. Il dit qu'il est un doux quand il rejoint la brebis égarée jusque dans ses propres errances et qui la porte sur son cœur. Il dit qu'il pleure devant son ami Lazare qui est mort, devant le père Jacques Hamel, Samuel Paty, ces deux femmes et Vincent le sacristain égorgés jeudi à Nice et tant d'autres. Tant d'autres martyrs de la folie meurtrière de certains. Il dit qu'il a faim et soif de la justice quand la prostituée est mal jugée.
Lui qui s'appuie sur son Père, il dit qu'il est la paix de Dieu à ceux qui tuent au nom de Dieu. Il dit qu'il est insulté, persécuté, martyrisé quand il annonce la Bonne Nouvelle de son Père et qu'on cherche à le supprimer, lui qui incarne sa vie d'homme réussie aux yeux de Dieu. Et quand tout est accompli sur la croix, il dit que sa récompense est grande quand il reçoit de son Père la résurrection qui restitue à notre monde meurtri sa ressemblance divine.
Nous sommes invités aujourd'hui à vivre notre marche en pèlerins, parfois dans la grande épreuve, parfois en lavant nos vies dans le sang des hommes, mais blanchies par le sang de l'Agneau, avec tous ceux qui nous précèdent et que nous irons honorer dans nos cimetières ou dans notre cœur, et avec ceux qui nous suivront dans le temps.
Nous croyons, -et c'est l'espérance qu'il faut redire à temps et à contre temps-, que nous serons revêtus de blanc par le Christ lui-même, gratuitement, en recevant de lui la sainteté que, certainement pour une part, nous vivons déjà. Je pense en disant cela à tous les saints et les saintes de la vie quotidienne : cette personne paralysée sur son fauteuil qui donne son sourire ; ce mari qui sert son épouse alors qu'elle ne le reconnaît même plus ; ces parents qui restent en lien avec leur grand ado plongé dans la toxicomanie ; ce prisonnier qui prie pour sa victime et qui, à genoux, implore à Dieu son pardon… tous ces saints et ces saintes du quotidien que j'aime tant et pour qui je prie de m'aider devenir saint. Quoiqu'il arrive. Car c'est ma vocation
Frères et sœurs, avec saint François d'Assise, héraut du dialogue avec tous les habitants de la terre, avec le Sultan qu'il a découvert non pas comme un ennemi à abattre mais un frère à aimer, frère François si délicat et respectueux de dame notre mère la terre, réapprenons à vivre avec les autres. Même confinés, surtout confinés. Recevons de Dieu cet appel à être bien-heureux à être une graine de saint pour rendre les autres bien-heureux. Ne laissons jamais seul un de nos proches, un malade, une maman, un papa. Même par zoom ou par skype. Prenons soin les uns des autres. N'attendons pas que l'autre soit meilleur pour l'aimer car il attend d'être aimé pour devenir meilleur. Respectons-nous dans nos différences comme l'a si bien montré François d'Assise, pour défaire les murs qu'hélas nous bâtissons pour nous protéger de l'autre. Réapprenons la courtoisie avec nos frères et sœurs d'autres religions ou sans confession en aimant ce qu'il y a de vrai, de beau et de bon en eux plutôt que d'exhiber ce qui pourrait les blesser. Donnons, quoi qu'il en coûte, le meilleur de nous-mêmes, ce bienheureux que je suis déjà parce que j'ai décidé de suivre le Christ. Jusqu'au bout de l'amour. Être une graine de saint, pour être bon pour les autres, comme le Christ.
Alors, en présence de tous les vivants de la terre et du ciel, avec Marie qui est la première d'entre nous à vivre de cette sainteté de Dieu, nous deviendrons qui nous sommes, fils et filles de Dieu, des saints assemblés pour chanter le Seigneur : « Louange et gloire, sagesse et action de grâce, honneur, puissance et force à notre Dieu pour les siècles des siècles » !
Prédicateur : Fr. Benoît DubigeonParoisse : Centre spirituel franciscain de la Clarté-DieuVille : Orsay
via Communauté pastorale du Littoral Ouest https://ift.tt/34Xi5HL
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Regardez votre corps de l'intérieur. 
Priez le ,exterminer le diable de la société teigneuse et les regards allumeurs des néons blafards 
Regardez votre corps de l'intérieur...
Je suis une Femme qu'on traite sans vergogne de folle et comme dirait ma chère Brigitte Fontaine " je suis inadaptée" .
Mes tétons ne sont pas cachés sous un tissu inepte nommé soutient gorge .
Mon corps est une histoire pleines de déboires et de gloires.
Je peut enfin l'affirmer aujourdui. 
Je suis une sorcière,une voyoue,une dingue ,une excentrique sortie des enfers et pourtant croyante dont le cœur est dotée d'une innocente rage .
Je suis une sorcière qui aimerais être salope mais pour être salope il faut exploser la gueule du viol qui à souiller votre peau de femme considérée comme petite chienne assaillie .
Dans cette guerre génocidaire contre noues ,celle que l'on tait quotidiennement et transforme en banalité anodine voir romantique ,nous ne sommes pas des petites capricieuses,bien au contraire.
Nous souffrons du mal que la société nous fait ,
tout en cherchant à sortir de l'air de l'apitoiement stérile d'un chevalier faussement puissant,  courtois et surtout ridicule sur nos êtres et conditions .
Nous exigeons le droit à la dignité de nos peaux ,corps ,esprits et identités. 
Pour exploser la gueule de ce mal-être , il faut exorciser le regard des hommes .
.
Il faut faire jaillir la poilue des jambes et des bras , la putain ,la prude,le garçon, la punk , la marginale ou juste la femme affranchie sans tomber dans le cliché d'une accro à la drogue ,détruite par les médicaments et le sex&rock&roll.
Votre injonction totale et sans demi mesure d'indépendance pour bourgeoise dictant un faux féminisme ne marchera point pour une femme handicapée en fauteuil roulant ,subissant des remarques acides et putrides sur son poid et sa condition ,ni pour une bipolaire tout de même guerrière subissant des accès maniaques et dépressifs. 
La connasse libre ,Femme et mirobolante peut dépendre financièrement de sa famille, d'un homme ou d'une femme.
Il faut juste oser cracher dans les idées,
 si ces imbéciles l'insultent,la rejettent  et la démolissent  pour quelques poils sous les bras ou une orientation non hétérosexuel. 
Elle peut-être croyante et uriner des bateaux sur le dos des évêques poltrons ,puritains et fachistes car Dieu est une pute divine et immaculée qui à vendue une partie de son être pour créer la Terre et la Femme.
Il n'y a pas de règlements féministe
Le seul règlement principal est cette recherche de liberté totale d'âme qui est un chemin semé d'embûche quasi impossible mais réalisable avec beaucoup de rudesse et de cœur façonné par soi-même.
Il faut tenter de s'aimer enfin soi-même,d'aimer nos folies et nos nudités. 
La naissance est dans la chatte  et sans noues
,qu'on appele hystérique ou putes ,
ces même gueux ne seraient pas nées et seraient encore entrain de jouer au domino dans les fesses du néant .
Et d'ailleurs ?
Pourquoi les faire naître , ces hommes?
 Si c'est pour qu'un jour petit monsieur me demande de m'habiller décemment devant ses copains aux voix d'autruches mutantes et demeurées alors que je me serait taper des mois et des mois de souffrance pour enfanter cet ingrat sexiste et influençable ?
Je veux chanter et danser seins nu dans les fontaines un jour sans qu'un père de famille moraliste et lui-même bien plus hystérique que nous, vienne se trimballer avec sa pudeur étriquée.
Je veux me sentir un jour sainte presque pudibonde et un jour salope libérée avec une panoplie de nuances et de dérives cosmiques dont le garçon qui est mon âme.
Mon corps est à moi et pas au dernier clampin qui fait tournoyer sa nouille en espérant cuisiner un wok. 
Je l'explore et le fait mouiller .
Je regarde le sang s'écoule hors de ma chatte galactique sans honte et sans-gêne. 
Un jour lorsque je serait bien mieux dans ma peau et certaine ,j'irais même jusqu'à faire du burlesque avec la culotte ensanglantée ,sans cache téton,juste mon corps libre dans le vent de l'affranchissement.
Je veux m'exciter moi-même,devant mon gras pendant et sexy .
Et si un régime miracle s'offrirait à moi un jour dans une publicité,je mangerais la télévision dans de la sauce tomate et une pizza aux débris de d'abrutis .
Vous voyez comme un con de femme peut la rendre intelligente et comme un concombre d'homme peut le rendre néant et béant ?
J'aime manger la bouche pleine ,être une bête primitive désorganisée, une clown féminiazi dont le seul crime est de s'habiller de teintes bariolées et de vouloir rétrécir les phallus qui envahissent tel des mutants de sciences fictions les cerveaux des hommes .
Nous sommes beaucoup à être des salopes détraquées,un peut/beaucoup  basanées, trop prudes et/ou trop spéciales. 
Les hôpitaux psychiatriques débordent de fous et de folles que sont ces psychiatres surmédicamentant via les lobbys pharmaceutiques en diabolisant de façon arbitraire le cannabis  ou même les plantes médicinales légales qui pourraient peut-être pour certaines pallier au xanax voir même au valium .
Renseignez vous bien et vous verrez que la loi abolissant le métier d'herboriste en tant que profession officiellement reconnu fut instaurée sous le régime de Vichy.
Notre France serait elle si progressiste ,humaniste et ouverte d'esprit   ?
Non ,je ne le croirait jamais
.
On les shoote,les taillaide à la seringue ,à la piqure forcée .
Ceux et celles qu'on nomme folles et les fous ne peuvent plus s'assoir et si l'on se plaint,la violence institutionnelle devient effervescente.
Les blagues sur la chambre d'isolement et les camisoles chimiques ou contentions fleurissent sur le net et dans les discussion entre amitiés.
Nous sommes des bêtes marquées au bétail pendant que la fausse pseudo  bien-pensance des normopathes blaireaux se ris de nous sans risque .
Abolissons alors les insultes discriminantes à notre égard et réappropriont nous ces langages. 
Tentons de transformer ces lois grotesque en espérant obtenir dans ce chaos consumériste ,dominant
,discriminant  et répressif ,une petite ou grande lumière colorée d'espoir.
Les sales autistes se sentent aussi blessés que les sales noirs qui se font insultés par les débris de fachos .
Osons danser dans la rue ,nous ,Femmes ,bonne sœurs lesbiennes, putes trisomiques ,draqueen obèses ,clochards transngeres ,bipolaires excentriques,chanteuses d'opéra noire et de cité ,néo hippies musulmans ,prêtres travestis ,clowns depressives .
Osons nous affranchir de carcan patriarcal,normatif et oppressif .
Osons être dissidentes ,puantes ,étranges ,estropiées. 
Osons le "nous même".
Connectons nous aux esprits des plantes, des couleurs et des vulves.
Je suis Rouge sang .
Je ne suis ni communiste ,ni anarchiste,psychopathe  ou marchande de fraise .
Je suis Rouge Femme.
J'ai arrêter beaucoup étiquettes pour mettre un soleil dans mon âme.
Si il faut forcement boire de la bière et fait des pogo avec des tatouages destroy tout en étant athé pour être punk ,j'emmerde les punk et si mes histoires sont trop galactiques et bizarres pour les néos hippies,j'emmerde les hippies bobos .
J'avoue que j'aime l'étiquette du feminsime car elle pue merveilleusement et que je suis une féministe bizarre ,regardée comme une ovni par certaines .
Pas besoin de manifester pour être forcement légitime.
Tout le monde n'est pas valide .
Je le répète .
Ces personnes ne sont pas valides mais intelligentes et leur réflexions comptent avec ce désir toujours aussi ardent de dépasser cette infantilisation de nos corps et de nos êtres .
Les Couleurs Orange et Rouge furent pour moi le fruit d'une profonde et grande libération personnelle qui est le tout petit début à peine entamé du grand chemin d'envol qui me mènera  à la lumière du Jaune et du Multicolore.
Ma Racine reste Couleur Sang de Martyr de l'Art ,de la Salope Libre ,de la Prude et de la Merveilleuse détraquée Orangée-Rouge que  je suis.
Carmin,citrouille ,vermillon ou framboise-écarlate ..
Peut importe.
Je suis une Couleur Chaude ,et une Femme chaude qui n'existe pas pour t'allumer mais pour embraser la flamme de la liberté infâme et inadaptée. 
Alexia 
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Préambule d’un roman inachevé
Préambule
 « Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je suis un airain qui résonne où une cymbale qui retentit. Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas l’amour, cela ne me sert à rien. »
Corinthiens 13
 Mon Dieu, mon Amour, seule lumière qui parle à mon cœur, j’ai failli loin de ta grâce, de ta portée. Là où je suis, les échos de ta voix n’arrivent point. Le silence s’est confondu avec le mugissement de la tempête. Je ne sens plus aucune partie de mon corps et mon esprit lutte contre les vents, à la manière des bateaux qu’on trouve renversés dans les déserts immaculés, au-delà de toute conception humaine.
Mon âme est comme un ballon de baudruche accroché à mon bras. Il vacille et tremble dans les écoulements intangibles du monde qui respire. Et bientôt sa couleur va se ternir, sa corde se rompre à l’épreuve des forces en présence. Ma force, je te l’ai empruntée le temps d’un voyage, le temps d’un égarement. J’aurais aimé avoir un peu plus de temps, afin de revenir vers toi, et te la rendre au centuple.
Non, cette énergie je l’ai consacrée à une sombre entreprise, à la construction d’un monument à l’égal de mon orgueil. Priant et suppliant devant lui, j’ai dupé mon âme en dessinant ton visage sur sa face.
Je ne saurais mentir davantage. Ma mort ne sera pas un sacrifice, et ne fera pas de moi un martyr. Mais oserais-je espérer que mes traces dans la neige persistent ? Que les hommes sachent les voir justement avec crainte et se disent entre eux « voilà le chemin de la perdition, gardons-nous de nous en approcher et enseignons à nos descendants qu’il est bien plus court que celui qui mène à la vertu » ?
Soit miséricordieux et fait que mes mots deviennent un édifice pour guider les faibles et les ignorants vers le vestibule de ton paradis, non pour ma gloire et mon nom, mais pour le salut de ceux qui ignorent ton amour inconditionnel…
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ecoamerica · 1 month
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Watch the American Climate Leadership Awards 2024 now: https://youtu.be/bWiW4Rp8vF0?feature=shared
The American Climate Leadership Awards 2024 broadcast recording is now available on ecoAmerica's YouTube channel for viewers to be inspired by active climate leaders. Watch to find out which finalist received the $50,000 grand prize! Hosted by Vanessa Hauc and featuring Bill McKibben and Katharine Hayhoe!
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