Tumgik
#diegetic
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Ultimate Word Tournament!
diegetic (English) [ˌdaɪəˈd͡ʒɛtɪk] (of sound in a movie, television program, etc.) occurring within the context of the story and able to be heard by the characters.
flabbergasted (English) [ˈflabərˌɡastəd] overcome with surprise and bewilderment; astounded.
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juddgeeksout · 8 months
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Diegetic Advancement
For some god-forsaken reason, the words, Diegetic Advancement got stuck in my head this morning. Here is what was born from that phrase rattling around in my head: Diegetic AdvancementDownload Inspired by Into the Odd and Apocalypse World and Swords Without Master. If you would like to get an email notification when blog posts are published, please subscribe below: Email…
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ofthuinn · 1 year
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Night School of the Middle Age
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Course Title: Plant Loving
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justanisabelakinnie · 2 years
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Mirabel ran up to Isabela and told her she made her a song and the family. The whole Madrigal family all sat in the living room while Mirabel was in the center. As she started to sing her made up song, everyone was dying of cuteness overload.
"So yeah Tio Felix married Pepa and my dad married Julieta! That's how Abuela became an Abuela Madrigal!" Mirabel cheered.
The adults grinned at this little accidental innuendo, the kiddos looking up at them in confusion.
"Where all the people are fantastical and magical, that's who we are in the family Madrigal! The end!" Mirabel curtsied, and everyone around her clapped, as she clearly had a prodigial talent for songwriting!
"Wait, what about you, Mirabel? You didn't include yourself in the song!" Camilo asked.
Mirabel shrugged, and nobody noticed that her smile was a little bit less wide than before. "I wrote the song, so there's no need to include myself!" was her answer, and Camilo was forced to be content with it.
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comme-du-monde · 6 months
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Gadin 4 Requête pour une intervention à Kwan
En mon absolue humilité plébéienne pis en connaissance du risque de châtiment pour parjure, je présente cette supplique au Tribun de la plèbe :
Monsieur le Tribun,
Kwan va pas ben mais pas ben pantoute. Comme je vous l’ai mentionné dans mes dernières lettres, y’a quèque chose qui cloche avec la mairesse. Depuis l’invasion de Misitel, chaque édit qu’al’a proclamé va à l’encontre des intérêts de la ville. Pis ça c’est quand on comprend ce qu’a proclame, parce la moitié du temps a s’exprime pas dans un hiryal cohérent. En tant que son secrétaire, je crée ben que chu la personne la mieux placée pour dire que la mairesse Baotis Hunahuna est juste pus apte à gouverner.
Depuis que son mari s’est défenestré du vieux temple, ‘est pas sortie une fois de la mairie. Les seules personnes qu’al’a vu depuis l’hiver c’est : moi, le commissaire de l’ouest pour y dire de resserrer la vis su’l petit peuple, pis le décarque quand qu’y’est venu faire son acte de présence au festival du corossol. Pis même là ç’a finit qu’a y’en a lancé un drette s’a trompe pis y s’est flexé en sacrant. ‘Était ben crampée. En fait, ‘est tout le temps crampée. Chaque matin quand j’arrive je l’entends rire tusseule dans son bureau. A me dit qu’a parle dans son sommeil c’est toute, mais c’pas normal que je l’entende s’esclaffer partout dans le building quand qu’a fait un rêve comique du fond de sa carapace.
D’ailleurs ça c’t’une autre affaire. J’ai jamais vu une Chélonienne abuser autant de sa « première maison » devant d’autres monde. C’en est quasiment insultant. A commence des phrases qu’al’interrompt pour se retrancher dans sa carapace pis moi chu pogné avec les fragments d’une directive qu’a va m’accuser de pas avoir suivie quand sa tête va repopper le lendemain. Pis pour me punir de mon insolence, a fait venir Khebweg, son esclave préféré, pis a nous oblige à jouer une game d’attrappe-la-méduse pendant qu’a nous enfonce une quantité dégueulable de gâteaux à’ citronnelle dans’ yeule.
Je vous le dis : ‘est pus elle-même. Aucun contact avec sa sœur ou ses enfants, aucune visite amicale, aucun diner d’affaire. L’an passé à pareille date la mairesse courait les événements mondains. Vous connaissez la réputation de notre ville : entre le vernissage d’un grand artiste, l’anniversaire d’un jeune impérial, une table de dégustation pour encenser le prochain chef cuisinier de Lithakis pis nos fameuses bacchanales païennes secrètes – mais tsé, pas tant secrètes –, y’a toujours de quoi à faire quand qu’on est une jeune mairesse pleine d’ambition.
Mais là je la reconnais pus. Baotis s’est complètement encarapacé, pis ma ville, elle, a subit.
Kwan, c’est censé être synonyme de party, de bombance, de dérapage, d’orgie. Un bon Kwambe, ça excède dans l’abus pis çal’abuse de l’excès. C’pas pour erien qu’on dit que si c’t’arrivé à Kwan, c’pas arrivé. C’pas yinque un mythe : le nightlife a toujours été fucked-up icitte, pis on en est fiers. Saviez-vous ça vous autre qu’on est la seule place dans l’Empire où c’est possible de manger de l’épaule de Fongien braisée tout en regardant un enfant Sphéniscien se faire dévisser la tête par un Crustacien en chaines? Kwan, c’est la preuve de la grandeur des Syeb. Pis plus ça chire, plus on se sent chez nous. Mais tsé, le trois-quart du revenu de la ville vient du tourisme d’élite. Le monde chiale s’es kwanorx, mais c’t’eux autres qui gardent Kwan weird. C’est les aigles dilettantes pis les furets qui se pensent au-dessus de la loi – vous m’excuserez la généralisation. Sans eux, on est yinque une rangée de manoirs vides avec vue sur l’océan.
La relation entre les vrais Kwamber pis les kwanorx a toujours tenu à pas grand chose, mais avant au moins la mairesse semblait comprendre qu’on avait besoin d’eux. A les appelait ses vaches à lait; maintenant a dit que c’est des escrocs en soieries pis des meurtriers qui titubent. Chu d’accord que c’pas toute du bon monde qui viennent villégiater chez nous, mais sans eux on est pas ben ben mieux que Xanaph – ça c’est le village voisin en passant, pis ch’rais prette à gager que vous en avez jamais entendu parler...
Dans mes lettres, je vous ai exposé pourquoi ses dernières lois municipales – l’identification obligatoire aux portes de la ville; la conscription unilatérale des plébéiens en âge de se battre –, ça allait inévitablement freiner la prospérité de la ville, mais là la grébiche a imposé un couvre-feu, pis, pardonnez mon franc-parler, mais vivre à Kwan c’est rendu de l’ostie de pisse. Les rues sont vides la nuitte, à part pour les mercenaires suiniens armés jusqu’aux dents qu’al’a engagés pour patrouiller dins rues. Les bars sont barricadés, le colisée s’est décolonisé pis les maisons de plaisir sont pus tant plaisantes. Faut comprendre que c’pas mal yinque les taxes su’l vice qui font vivre la ville. Y’a pas gros d’agriculture qui se donne à trois mille mètres d’altitude, pis les montagnes renferment pas de minerai précieux rien... Si y’a pus de fun, y’a pus de cash.
J’ai faite les comptes. À peine un mois après ses fameuses nouvelles mesures, la mairesse Hunahuna a déjà cannibalisé le trois-quart de nos rentrées d’argent habituelles pis dilapidé les coffres pour payer ses samouraïs cochons. Déjà y’a Madame Süiphis, la matriarche des Aquiliens kwamber, qui s’est relocalisé su’l flanc nord, près de Galig. Ça en prendra pas beaucoup pour que ses aiglons suivent, pis après les furets.
À ce rythme-là, je donne pas un an à Kwan avant de devenir une ville fantôme.
Monsieur le Tribun, sivouplait, dites au Sénat qu’y nous envoient quèqu’un d’autre. N’importe qui, pour vrai, juste... pas une tortue qui se bidonne dans sa carapace pendant que sa ville se meurt.
Hyordin Nú-Vavik
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Secrétaire à’ mairie de Kwan
Cacheté par le Bureau du Tribun, Elurmurd J1-S2-M4-A4-L2-C20, Ère de Syeb Traduit de l’hiryal par le Jorneau
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v0id-of-thought · 6 months
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If I Loved You gets 10x funnier when you consider they haven’t left Beanies and Paul was standing there the whole time like
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everysongineverykey · 8 months
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good omens the book, 1990: see, queen is so ubiquitous in london these days that if you leave a tape in a car for too long, it'll inevitably morph into a best of queen tape. which is why their megahits are playing in crowley's bentley all the time! isn't that a funny and topical joke?
good omens the show, 2019-2023: yeah crowley's car has a hands-free call system and also only plays cassette tapes. yeah it's whatever don't think about it. what's an incredibly earnest and passionate queen love song we can play during this scene where crowley tries urgently to reach aziraphale
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stevesaxetogrind · 1 year
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Okay, I finally discovered where everyone is getting the Tears for Fears stuff but I don’t have Spotify premium . I have only been here for a month or so, so I’m going off songs from the show only, not extraneous material.
It’s a weird fucking playlist man. The modern music is throwing me so off. They’re a mix of diagetic combined with describing the character playlists. Which is, not the same? (Like, if my friends made a playlist to describe me, there would be a lot more Toccata & Fugue in D Minor and a little less Allman Brothers)
As I said on my main, I’m still going to make him a CCR fan for the chaos. Just cause. I am a fan of “a little of everything” Stevie. Boi had a childhood in the 70s
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rottmnt-residuum · 4 months
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Part 11 of Arc II (Part 37)
huzzah! exposition be upon ye
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rejamart · 18 days
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so i went and saw monkey man
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kbsd · 12 days
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"flying a b-17 is a lot like playing jazz" —rosie rosenthal, probably
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poorly-drawn-mdzs · 1 year
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Portrait pains
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ofthuinn · 1 year
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[The National Imaginal Service]
[NIS] The National Imaginal Service was set up after the event, it is a government institution dedicated to healing and nurturing the human imagination and vision. Through its programs and initiatives, the service aids individuals and organisations to explore new frontiers in thought and to break down the ossified walls that separate the material world from the realm of the imagination.
The National Imaginal Service understands the imagination not as a solitary act of creation, but as a radical mode of engagement with the material world, one that has the power to shape and transform our social and ecological realities.
[world of the game]
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googleeyes · 7 months
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I love it love it love it when the characters in Dracula start reading the same stuff we've been reading it's like Yayy Book Club :) Tell me more about how much you love Mina
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thegreatyin · 2 months
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in stars and time is the funniest game in the universe for making its entire aesthetic pure black and white monochrome style and then making it into an actual lore twist hours later when it turns out color literally doesn't exist in-universe. that's not an aesthetic choice things just look like that to the characters. they have favorite shades of grey instead of favorite colors and everything. objectively funny worldbuilding decision i can't help but applaud
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comme-du-monde · 7 months
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Gadin 2 En défense du plébéien Goryen Dha-Okxúrbań
En mon absolue humilité plébéienne pis en connaissance du risque de châtiment pour parjure, je présente cette supplique au Tribun de la plèbe :
Monsieur le Tribun,
Je vous écris à propos de mon mari, le plébéien Goryen Dha-Okxúrbań, présentement détenu dins geôles de Tüitxa. Demain matin, y’a une plénière sénatoriale qui va avoir lieu avant l’exécution publique de midi. Je vous supplie de prendre sa défense aux rostres.
Mon mari c’pas un criminel. C’t’un un simple cordonnier, un homme bon, un sujet modèle de l’Empire. On l’accuse de s’être associé à un ennemi de l’État, mais si y’a faite ça c’est parce qu’on y a pas laissé le choix. Avant de l’envoyer rejoindre la vieille fourmi dins limbes éternelles, y faut absolument que le sénat reconsidère son cas.
Vous savez, les grandes guerres sont tout le temps instiguées par des nobles patriciens ou par des guerriers barbares. Sont combattues par nos phalanges pis équipées par nos forges. Mais si on veut que les troupes se rendent au front, y’en reste pas moins qu’y faut chausser ça, toute c’te beau monde-là. C’pas la première fois que les serpents foutent la marde. Pis à chaque fois que nos légionnaires ont foulé les abysses d’Ańgzir, traversé l’isthme de Khowxyal pis marché sur Sirań Phi pour déposer un vizir usurpateur, vous pouvez être sûr qu’y’a quèqu’un, quèque part, qui leur avait gossé des sandales. Une rébellion serpentienne, ça s’écrase pas nu pieds certain. Faut les piétiner, ces rampeux-là!
Derrière chaque campagne militaire, y’a un cordonnier. Pis derrière chaque cordonnier, y’a des bécosses. C’est juste que ça adonne que celles derrière chez nous donnent sur des hypogées formiciens.
Entre vous pis moi, ché pas comment le vieux fou a survécu à’ Grande Purge, mais y’était clairement déjà là, à conspirer dans ses ténèbres, quand j’ai emménagé à Okxúrbań. Goryen pis moi on s’est toujours douté de quèque chose. Tout le village s’en doutait. Une bécosse qui brille vert fluo la nuitte; mettons que ça intrigue son homme. Mais c’en est toujours resté là. Mon mari aurait jamais cogné chez le voisin d’en dessous si ç’avait pas été de sa crisse de mission. Pouvez-vous croire? Y’appelait ça sa mission impériale! Tellement fier de servir son pays; dire que ça va lui valoir une pendaison...
Tsé à’ base, faut pas oublier que c’t’une bévue administrative qui a mis mon mari dans’ chnoutte. Le vrai coupable, là, c’est l’imbécile au Bureau du Décarque qui s’est trompé d’adresse sur l’enveloppe, pas le petit artisan local qui a toute faite pour obéir à un ordre.
Imaginez-vous : un Camélien de naissance modeste, cordonnier d’un petit village entre la rivière Sanazodh pis les montagnes aquiliennes, avec yinque un compagnon à sa solde. Y reçoit du jour au lendemain un avis de réquisition impériale ordonnant la production de deux-cent-trente-mille sandales en cuir de chevreau. Pis on y demande non seulement de les tanner pis de les coudre, mais aussi de les adapter aux troupes. Ché pas si vous comprenez le travail que ça représente, mais mettons que c’est loin d’être une simple histoire de pointure... Mon mari s’y connait en masse en sandales caméliennes, mais là y fallait que ses créations soient adaptées aux légionnaires corviens, formiciens, chéloniens, suiniens, psittaciens pis fongiens. Aux esclaves blattiens aussi. Sans compter tous les officiers! Un shitshow.
Son deadline? Un an.
Je vous invite à faire le calcul : deux-cent-trente-mille paires disparates en cent vingt-cinq jours. En se refusant même un seul congé pis en en permettant pas plus à son employé; ça veut dire mille-huit-cent-quarante paires à produire par jour. Mille-huit-cent-quarante. À deux. Pis – soyons wild – imaginons que Goryen engage tout le village pour faire la job, y reste quand même un problème majeur. L’approvisionnement.
Les bergers qui le fournissent habituellement en peaux caprines peuvent pas se permettre de décimer leurs troupeaux sans avoir l’assurance que les jarrets vont trouver leur chemin jusqu’à l’étal du boucher. Pis sont pas contraints par un ordre impérial eux autres; y peuvent toujours refuser de coopérer pis tourner leur business vers un acheteur qui va pas les ruiner.
Non. Mon pauvre Goryen s’est retrouvé dans une impasse. Y’a rien qui pouvait le sauver. Rien de légal, entucas. Mais bon, on avait un voisin d’en dessous : une vieille fourmi hermite, vestige d’une ère révolue où la sorcellerie formicienne était encore légale. Goryen avait-tu vraiment le choix? C’tait les petits tours de passe-passe ou le nœud coulant. Ok oui, y’a faite appel aux services d’un ifitsek, mais vous auriez faite quoi vous monsieur? Han? On aurait toute faite comme lui. Pis c’tu vraiment si grave que ça? Un peu de sorcellerie pour permettre à nos légions de supplanter l’ennemi sans se péter une cheville, c’pas comme si y ressuscitait Denumyo le Démonologiste pour restaurer les cathédrales souterraines pis redonner les rênes de l’Empire aux Formiciens, quand même! Le gars s’est juste faite faire une tite multiplication des sandales, pis ça nous a permis de reprendre le contrôle s’es osties de rampeux.
Y mérite une médaille, tabouère! Pas la potence...
Mais non. Par une nuit calme d’automne, la police militaire débarque dans ma chambre à coucher, tabasse mon mari en sang, lève la main sur moi, fait peur aux enfants, poignarde le chien pis met le feu à’ bécosse. Le soleil se levait quand j’ai fini par éteindre les flammes. Le jardin y avait passé. Là je me retrouve tusseule avec trois bouches à nourrir, pas de jardin, pas de revenus. Heille, gloire à l’Empire, crisse!
Ché qu’y’a aucune chance que mon Goryen me revienne. Faire appel aux services d’un pratiquant des arts bannis c’est de la haute trahison. Mais je vous demande de recommander qu’y soit plutôt condamné à des travaux forcés, une sentence que les sénateurs pourraient juger être à’ mesure de son crime.
Merci d’avance,
Myortxa Dha-Mozas
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Cacheté par le Bureau du Tribun, Elurmurd J2-S1-M4-A4-L2-C20, Ère de Syeb Traduit de l’hiryal par le Jorneau
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