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#enrouler
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source : @cheminer-poesie-cressant​
parfois s’enroule l’image pour ne former qu’un coeur ; son battement qui n’est qu’un regard qui croit au mouvement dont il s’est saisi 
© Pierre Cressant
(dimanche 18 juin 2023)
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Quand on a rien à se mettre sous la dent, on va au bistroquet. C'est là qu'on trouve du réconfort, de la chaleur et de la vie. On y croise des gueules cassées, des rêveurs, des artistes ratés, des amoureux déçus, des vieux solitaires, des pochards, des paumés. On y boit pour oublier, pour se donner du courage, pour se sentir vivant. On y parle à tort et à travers, on s'invente des histoires, on se raconte des salades. Le bistroquet, c'est le royaume de l'illusion. C'est pas le paradis, mais c'est pas l'enfer non plus. C'est un peu comme une famille, mais sans les emmerdes. Alors on y reste au bistroquet ! On s’y accroche comme à une bouée. On s’y enivre de mots et d’alcool. On s’y croit heureux et libres. Il nous empêche de voir la réalité en face,  la réalité crue et cruelle, la réalité qui nous attend dehors. Avec ses coups durs et ses misères, ses guerres et ses maladies, ses salauds et ses traîtres, ses flics et ses juges, ses curés et ses bourgeois ! Ah ! Le bistroquet ! Le lieu de tous les possibles !
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seanconneraille · 8 months
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bonjour si vous n'avez pas la clim (ou que vous ne la supportez pas) et que votre bureau/boulot/appart est une fournaise vous pouvez mouiller un foulard/une serviette, l'essorer pour pas en foutre partout (surtout si vous êtes au boulot) et vous en servir pour vous rafraîchir en vous enroulant dedans. et n'oubliez pas de bien boire.
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chic-a-gigot · 3 months
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La Mode nationale, no. 3, 21 janvier 1905, Paris. (3) — Robe de réunion pour jeune femme. (4) — Jolie robe pour jeune fille. (5) — Robe de visite pour jeune femme ou jeune fille. (6) — Toilette de promenade pour jeune femme. (7) — Manteau pour jeune femme. Bibliothèque nationale de France
(3) — Robe de réunion pour jeune femme, en taffetas glacé ou en velours. Le tablier de la jupe est froncé et encadré d'un joli galon brodé. Le corsage froncé et orné de galons est maintenu dans une très haute ceinture en pointe devant et revoilé d'un grand col brodé, ouvert en V sur un plastron plissé en mousseline de soie blanche. Un nœud de velours rouge ferme le col. La manche très originale est un ballon froncé retenu par un galon et terminé par un volant sur une sous-manche assortie au col.
(3) — Social dress for young women, in glossy taffeta or velvet. The apron of the skirt is gathered and framed with a pretty embroidered braid. The gathered and braided bodice is held in a very high pointed belt at the front and veiled with a large embroidered collar, open in a V on a pleated bib in white silk chiffon. A red velvet bow closes the collar. The very original sleeve is a gathered balloon held by a braid and finished with a ruffle on an undersleeve matching the collar.
Matériaux: 17 mètres de tissu.
(4) — Jolie robe pour jeune fille, en quadrillé gris acier; la jupe est cerclée de biais de drap blanc. Boléro carré bordé de pattes de drap blanc qui boutonnent de chaque côté. Manche tailleur; grand col de linon de soie plissé fin et orné d;un volant à tête bouillonnée.
(4) — Pretty dress for a young girl, in steel gray checkered pattern; the skirt is surrounded by white cloth bias. Square bolero lined with white cloth tabs that button on each side. Tailored sleeve; large fine pleated silk lawn collar decorated with a bubbled ruffle.
Matériaux: 6 mètres de lainage gris; 0m,75 de drap blanc.
(5) — Robe de visite pour jeune femme ou jeune fille, en lainage vert mousse. La jupe est composée de deux parties soulignées de drap blanc; le corsage est drapé de chaque côté d'une patte qui fait gilet en pointe. Col montant et col rond en guipure; manche un peu bouffante à l'épaule et serrée depuis le coud.
(5) — Visiting dress for young woman or girl, in moss green wool. The skirt is made up of two parts highlighted with white cloth; the bodice is draped on each side with a tab which makes a pointed waistcoat. Stand-up collar and round collar in guipure; sleeve slightly puffed at the shoulder and tight from the elbow.
Matériaux: 6m,50 de lainage; 0m,50 de drap blanc.
(6) — Toilette de promenade pour jeune femme, en lainage havane. La jupe est à plis fins piqués presque jusqu'au bas. Longue jaquette princesse, ajustée par des plis piqués et ornée d'un col en martre. Manche bouffante du haut et serrée du bas.
Plastron de guipure.
(6) — Walking toilet for young women, in tan wool. The skirt has fine pleats stitched almost to the bottom. Long princess jacket, fitted with stitched pleats and decorated with a sable collar. Sleeve puffed at the top and tight at the bottom.
Guipure bib.
Matériaux: 7m,50 de lainage.
Chapeau de feutre pelucheux, garni d'une plume blanche et bleue; nœud de velours bleu sous le bord relevé.
Fluffy felt hat, trimmed with a white and blue feather; blue velvet bow under the raised edge.
(7) — Manteau pour jeune femme. C'est un carrick ample et confortable en zibeline d'un gris rosé fort joli. Le corps du vêtement est seulement ourlé de piqûres et forme dans le dos de nombreux plis. Ample pèlerine montée autour d'un empiècement uni que souligne une bande de velours châtaigne découpée suivant le caprice d'une ganse or qui y dessine des enroulements, col rabattu en velours; de chaque côté du devant, motif de passementerie ¡a pendeloques.
(7) — Coat for young women. It is a loose and comfortable carrick in sable in a very pretty pinkish gray. The body of the garment is only hemmed with stitching and forms numerous folds in the back. Ample cape mounted around a plain yoke highlighted by a band of chestnut velvet cut according to the whim of a gold braid which draws windings, turned-down velvet collar; on each side of the front, motif of trimmings with pendants.
Matériaux: 3m,50 de drap; 1 mètre de velours pour le col de l'entre-deux.
Chapeau de feutre gris foncé, orné d'une draperie et de nœuds de velours châtaigne et de plumes ombrées.
Dark gray felt hat, decorated with chestnut velvet drapery and bows and shaded feathers.
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peut-etre · 27 days
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C’était encore en mars. Il m’envoyait des messages mais je ne répondais pas, rencontre d’internet où tout est permis encore - même la méchanceté. Un soir j’ai répondu et c’était ce soir ou jamais. Il est venu, rencontre d’internet et j’étais prête jusqu’à mourir par un homme méchant. Je suis descendue, nous montons. Dans l’ascenseur j’étais prête à l’embrasser tout de suite mais la décence…la décence m’a empêché. Il apporte une bouteille de vin blanc, je le sers dans de grands verres. Il s’assoit face à moi, à l’autre bout de la table. Il dit dans l’ascenseur je voulais déjà t’embrasser. Je dis je suis intimidée. Il dit nous ne sommes pas obligés de parler. Nous fumons. Pourquoi tant de désir si vite. Il dit ce n’est pas que physique c’est le rapport au langage qui se voit chez toi, ton port de tête. Impression de déjà le connaître, déjà connaître cette scène. Donc… je le fais s’assoir à côté de moi, sur le petit canapé gris sans accoudoir. Je ne sais plus le premier baiser, c’est comme s’il avait déjà existé. Je sais à peine encore son corps. Je sais seulement la douceur de sa peau et ses cheveux coiffés rares, comme Holywood, un acteur, un comédien. Je ne l’ai même pas regardé rouler ses cigarettes. Je ne l’ai pas assez regardé, aveuglée du désir. Aveuglée. Il part le lendemain tôt à Bruxelles ; Bx. Un comédien. Le meilleur des mondes. Plein de pièces et d’auteurs américains que je ne connais pas. Il a presque quinze ans de plus que moi et j’ai l’impression que c’est moi qui l’ai attendu tout ce temps. On ne fait que s’embrasser. Devant la fenêtre il me fait cambrer par ses baisers, la bouteille à la main qu’il enroule autour de moi, il colle cette bouteille fraiche contre mes cuisses. Il part. Il part…Quinze jours d’attente quand il est à Bx. Ville maudite. Peux même pas dire le nom. Prête à y aller mais la décence m’empêche. Le lendemain il dit : j'ai des images de toi et la sensation de ta peau, la prochaine fois dormons ensemble. Peur jusqu’aux mains de tout gâcher, de perdre le désir ou qu’il devienne trop fort. J’ai perdu le curseur. J’attends. Tout est mauvais signe. 
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Volutes
Quand je porte à l’oreille un coquillage brut J’entends loin l’océan occulte et violent Jusqu’au colimaçon de ma mémoire en chute  Envoutement d’écho du pavillon vibrant
La conque et son volume ouvrent bientôt le champ De l’horizon audible en son cœur de volute Qui l’emporte aussitôt vers mon cœur indolent  Quand je porte à l’oreille un coquillage brut
Et je ferme les yeux sur les longues minutes  De ce voyage en mer intime et se brisant Sur le rocher caché des volontés hirsutes J’entends loin l’océan occulte et violent 
Je vois le pavillon des souvenirs grisants D’un vaisseau idéal que la beauté chahute  Qui dans un tourbillon s’engloutit en-dedans Jusqu’au colimaçon de ma mémoire en chute 
De la conque à la coque avidement je scrute  Du vague à l’âme amer ressac enroulement Des lames convoquées par mon cœur en tumulte Envoutement d’écho du pavillon vibrant
-Fabienne PASSAMENT. 2023
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kistels · 6 months
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Pensées pour les pauvres garçons dans la chasteté -
Je vous écris pour exprimer mes sentiments pour vous, pauvres, pauvres garçons dont les épouses, les copines ou les maîtresses vous font porter ces méchants dispositifs de chasteté pour vous empêcher d'obtenir une érection ou tout soulagement sexuel. Comme cela doit être terriblement frustrant pour vous, avec votre pénis excité qui palpite et se fatigue, c'est serré, petite cage qui aspire à être sucé et caressé jusqu'à ce qu'une belle grosse charge chaude de sperme crémeux explose. Mais tout ce que vous pouvez faire est de battre et de battre et de tendre sans soulagement en vue alors que la pression s'accumule dans vos couilles. Vos pauvres petites noix doivent avoir mal de tenir tout ce sperme refoulé, j'aimerais pouvoir leur donner à tous les deux un beau baiser humide en ce moment.
Je parie que votre bite bien taquiné coule des flux constants de pré-sperme. Mon cœur va vraiment à toi. C'est si cruel que votre maîtresse vous fait souffrir comme ça. Ce n'est pas juste qu'elle puisse jouir quand elle le veut alors que vous n'avez jamais envie de jouir du tout, d'autant plus que c'est vous qui la faites jouir avec impatience avec votre langue bien entraînée. Je sais que vous devez très bien manger la chatte, en léchant passionnément cette douce petite chatte humide dans laquelle vous aspirez à glisser votre bite gonflée. C'est tellement méchant de sa part de rire de vos gémissements, de vos mendicités et de vos tortries alors qu'elle se délecte de votre frustration
Si seulement je pouvais faire quelque chose pour soulager votre souffrance. Je te ferais jouir tellement bien si seulement je pouvais déverrouiller ton pauvre pénis piégé. Je peux imaginer le dérimager et le regarder rapidement atteindre une érection complète et lancinante. Ce serait si bon, n'est-ce pas, de libérer votre bite longtemps dunei de sa petite prison et de la laisser s'étirer sur toute sa longueur. Je peux imaginer tout rouge et raide alors qu'il palpite avec un besoin urgent, vos boules chargées de sperme pendent lourdement. J'aimerais sentir leur poids dans la paume de ma main et les serrer pendant que ma langue s'étend pour lécher la petite perle de pré-cum suintant du bout de votre bite qui se contracte.
Je suis tellement mouillé juste en pensant à quel point ce serait bien de sentir ta bite raide qui palpite entre mes seins ronds et douces et qui frotte sa tête violette glissante en petits cercles autour de mes mamelons rigides jusqu'à ce que des jets chauds de sperme les éclaboussent, d'épaiss coulées de sperme qui coulent sur mon corps et qui coulent sur mon petit clitoris chaud, avec lequel je joue en ce moment. Mes doigts sont si lisses avec du jus de chatte que je peux à peine taper ! Je suce le jus de mes doigts, en faisant semblant que c'est ton sperme. Pouvez-vous imaginer sentir mon haleine chaude et humide sur votre chair de bite sensible ?
Mmmmm, je me lèche les lèvres en prévision de les enrouler lentement autour de votre tube-steak juteux et de le sucer jusqu'à ce que les épais jets de sperme explosent dans ma bouche. J'adore me mettre à genoux, sucer ta tige dure dans ma bouche chaude et juteuse et être récompensé par une grosse charge de crème sucrée comme je sais que tu l'as stockée dans tes boules dodues en ce moment. Imaginez à quel point mes lèvres affamées se sentiraient bien d'engloutir votre bite intacte et de la traire bien et lentement pour prolonger votre plaisir longtemps nié. C'est dommage que nous puissions seulement imaginer, n'est-ce pas ?
J'aimerais vraiment pouvoir te sucer, mais je ne peux pas, parce que ta cruelle maîtresse te fait porter cette méchante vieille ceinture de chasteté. Ce n'est tout simplement pas juste ! Vous ne pouvez même pas vous masturber, comme je sais que beaucoup de garçons coquins qui lisent ceci le font probablement en ce moment. Imaginez cela, ils deviennent tellement excités à fantasmer d'être torturés comme vous qu'ils ne peuvent s'empêcher de se branler quand le fantasme devient trop intense. Ils ne comprennent tout simplement pas à quel point il est terrible d'avoir vraiment à endurer la frustration et l'humiliation que vous devez endurer pour le plaisir de votre maîtresse.
Eh bien, j'espère que ma sympathie vous a fait vous sentir mieux. Je voulais juste que vous sachiez que je me soucie vraiment de vous. Peut-être que cela vous consolera de savoir que je suis venu quatre fois juste en pensant à vous alors que j'écrivais cette petite note. Je prévois de jouir quatre fois de plus tard ce soir avec un vibromasseur qui glisse dans et hors de mes petits pusss-puss serrés, chauds et humides, en imaginant à quel point je t'ai rendu insupportablement excité, comment tu vas te tortiller et gémir dans ton sommeil ce soir, rêvant de moi de te faire jouir. Si vous avez de la chance, vous aurez peut-être un rêve humide ! Je l'espère vraiment !
Avec des lèches et des baisers chauds et humides,
Mlle Lilly xoxo....!!!
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 87
1er Janvier 11h.
J'ouvre les yeux réveillé par une sensation agréable dans mon bas ventre. Alors que je bande, comme tous les matins, aujourd'hui, une bouche s'affaire à agrémenter cette érection. Le petit Théo est en train de me sucer ! je tourne la tête vers Marc, il est dans la même situation sauf que c'est la bouche de Ric qui s'affaire sur lui. C'est trop bon, mais Théo est un peu " court " et m'en laisse presque la moitié dehors. Je décide de lui faire la gorge, je me redresse, le mets sur le dos et tête bêche, lui enfonce ma bite directe jusqu'aux couilles. Il tousse, éructe mais Ric prend le temps de lui expliquer vite fait comment s'en sortir avant de retourner téter Marc.
Je continu d'investir de façon régulière la gorge de Théo qui prend le rythme : respiration / déglutition / expiration en fonction du taux de pénétration de ma queue. Sa gorge bien étroite comprime mon gland d'une façon tout à fait jouissive. Le passage répété dans cet étroit conduit excite mon gland au point que bientôt je ne peux plus me retenir et j'ai juste le temps de sortir avant de lui éclabousser le visage de mon sperme. De son coté Ric a obtenu la même chose de Marc.
Nous regardons nos deux suceurs se finir en 69. malgré la petite taille de son appareil sexuel, Théo nous délivre une quantité de sperme impressionnante ! autant que Ric pourtant plus " burné ".
Une petite douche plus tard, j'entraîne Ric et Théo à la piscine pendant que Marc va aux nouvelles de nos beurs de service.
Le passage de la terrasse c'est fait en courant, il fait pas chaud ! Et nous sautons dans l'eau à 28°. Le contraste est saisissant. Avec Ric, je commence à aligner les longueurs pendant que Théo essaye de suivre notre rythme.
L'exercice nous remet bien en forme. A l'occasion d'un demi-tour, nous attrapons Théo et chahutons tous les trois.
Au fur et à mesure des réveils, nous sommes rejoints et bientôt la piscine est pleine. Elle ressemble plus à un spa géant.
Samir et Ammed nous apportent des peignoirs et enroulent chacun dedans après l'avoir essuyé/bouchonné dès la sortie de l'eau. Je ne sais si j'ai eu droit à un traitement de faveur mais le bouchonnage m'a laissé sec dans les moindres recoins. Il faut dire que je leur ai facilité le travail en bandant direct !
Nous nous sommes tous retrouvés devant un brunch de compète ! Thé, café, champagne pour les plus courageux/avinés, charcuteries, fromages, viennoiseries, fruits... tout y était. Une heure et demie plus tard, il ne restait plus rien ! Que des estomacs calmés et des ventres repus. A discuter de ci de là, j'ai appris que la plus part des réveils avait ressemblé au notre d'ou une certaine nonchalance sur le sujet. L'après midi c'est passé en digestion, discussions, échanges d'expériences, vidéos...
Vers 17h30, ce sont Tic et Tac qui relancent la machine. Comme si nous attendions un signal, nous les rejoignons.
Contrairement à la veille où nous étions tous ensembles, le groupe se défait et c'est plutôt par 3 ou 4 que nous nous sommes dispersés dans toute la maison et dépendance.
Je me suis retrouvé avec Jérôme, Phil et Eric. Au sous sol à la salle de muscu. Un trio (Arnaud, Olivier et Kev) est descendu avec nous et squatte le sling.
Nous occupons le banc du développé couché duquel nous avons rapproché un banc simple. Eric et moi nous nous étendons nus le dos sur les bancs. Phil s'occupe de ma bite et Jérôme fait de même sur Eric. II ne nous faut pas longtemps pour bander comme des taureaux. Phil sans soucis me suce complètement, son menton repoussant mes couilles à chaque " coup de pompe ". De son coté, Eric n'est pas satisfait, Jérôme est à la peine et n'arrive pas à prendre entièrement sa queue.
Nous nous échangeons nos suceurs et pendant que Phil le pompe " correctement ", je laisse ma place à Jérôme. Je le positionne la tête en dehors de l'assise et la repousse en arrière pour bien aligner sa bouche avec sa gorge. Doucement j'enfonce ma bite entre ses mâchoires. Je bute contre sa glotte et premier spasme ! je sors et lui explique la manoeuvre. Lorsque je m'enfonce de nouveau, il met en pratique mes conseils et j'arrive à faire passer mon gland au delà de la luette. Je me retire vite puis recommence. Quand il a pris le coup au niveau de la respiration et de la déglutition, j'augmente la pénétration et malgré quelques renvois, j'arrive au bout, entrant totalement mes 20cm. Je rode le passage quelques instant puis propose à Jérôme s'il veut s'essayer à Eric. Il accepte bien que peu convaincu de pouvoir y arriver. C'est sans compter sur la technique et le " poids " d'Eric !
Eric prend ma place quand avec Phil on se place de chaque coté prêt à prodiguer nos conseils à Jérôme. Eric fait quelques va et vient de son gland dans la bouche puis s'enfonce à fond. Surpris Jérôme avale. Il ne peut de toute manière pas vomir, le gland d'Eric bouchant la totalité du passage oesophage et trachée artère ! Eric ressort et remet cela. La glotte de Jérôme commence se faire au fait d'être écrasée entre les amygdales !
Malgré toute la bonne volonté des protagonistes, il restera pour cette fois quelques 2cm de bite encore à l'air libre. Cela fait quand même 23cm dont au moins 11 dans une gorge ;qui n'avait jamais encore connu cela !! Pour reposer les larynx de nos suceurs, nous leur demandons de venir s'asseoir sur nos cuisses. Ils le font avec empressement. Enkpotés + " gélifiés ", nos bites s'enfoncent entre leurs fesses puis après leur avoir déplissé l'anus, au plus profond de leurs intimités. D'une voix devenue rauque, Jérôme me fait par de son plaisir et me chevauche d'un trot bien plaisant. Phil de son coté " galope ", la bite d'Eric lui servant de selle.
Je jette un coup d'oeil vers le trio qui nous avait accompagnés. Arnaud sur le sling se fait mettre par les deux bouts par un Kev et un Olivier très chauds avec échanges de place réguliers des deux actifs.
Je rapproche notre banc de celui d'Eric et m'inverse avec lui. Nos deux " enculés " peuvent ainsi se bécoter après avoir unifié leurs va et vient. C'est très excitant à voir du dessous ! Nos deux cavaliers se mettent à jouir sans cesser leur va et vient, nous éclaboussant de leur sperme des abdos au cou ! De notre coté nous remplissons nos kpotes nous retenant enfoncé au plus profond, nos mains sur leurs hanches les empêchant de se relever.
Je reprends mon souffle comme Jérôme et phil. Eric quand à lui est toujours raide. D'avoir déchargé ne l'a pas fait débander ! Il renouvelle sa kpote et va trouver le trio. Je reste assis Jérôme dans mes bras et Phil à coté de moi pour assister au spectacle.
Nous le voyons hésiter, il commence par Olivier et profite que ce dernier est dans le cul d'Arnaud pour le doigter puis l'enculer. Heureusement qu'Eric à de la technique ! Je surveille le visage d'Olivier et ne le vois grimacer que vers la fin. Rapidement, Olivier attrape les suspentes du sling et le fait se balancer. Son cul peu habitué a la sodomie, il demande grâce et il se déboîte d'Arnaud et Eric. Kev le remplace. Eric qui s'était écarté pour changer de kpote revient vers le groupe.
Il se plaque au dos de Kev qui proteste en disant qu'il n'est qu'actif. Ce genre de détail n'a jamais dissuadé Eric. Il n'y a que des recto/verso qui s'ignorent !! Bloqué dans Arnaud, le balancement du sling limité par Olivier qui se fait la bouche du petit enculé, il ne peut se soustraire à la volonté d'Eric. Nous voyons sur son visage la progression du travail d'Eric : grimace puis détente, puis re-grimace et de nouveau détente encore une nouvelle fois. Puis méga-grimace, j'imagine le pieu noir en train de le défoncer. Je ne peux me retenir et avec mes acolytes nous nous approchons. Je me penche pour mieux voir.
C'est sublime !! La rondelle de Kev est écartée par le pieu noir d'Eric. J'approche du nez de Kev la petite bouteille de poppers. Il me fait oui de la tête, j'ouvre le flacon, il sniffe profondément et s'ouvre à Eric. Ce dernier en quelques coups de rein lui met ses 26cm entièrement. On ne peut croire que ce dernier est vierge de ce coté là vu la facilité qu'il a eu d'accepter la sodomie ! Je lui en fais la remarque. Il m'engueule en me disant que ce n'est pas moi qui me fais défoncer ! Je le rassure en lui disant que moi aussi j'ai apprécié et j'apprécie encore de me la prendre dans le cul.
Pour dériver son attention, je lui roule une pelle et je sens que Jérôme lui bouffe les couilles. Ses mouvements ralentissent, il se fige et ce sont tous les " périphériques " qui oeuvrent sur lui. Olivier imprime le mouvement au sling et fait le mouvement de va et vient sur la queue de Kev. Jérôme a ses deux couilles dans la bouche et joue avec. Eric les mains fixées à ses hanches l'encule doucement faisant glisser sa bite sur la totalité de ses 26cm. Moi, les mains bloquant son visage, j'essaye de lui bouffer la langue. Phil qui n'a pas voulu être de reste, lui caresse les pecs et par moment lui suce un téton.
Ainsi pris, il cesse de protester et se concentre sur son plaisir. Je passe une main vers le bas et je constate qu'il bande tellement qu'on dirait une barre de fer !
Nous sommes exigeants et Kev se fait complètement vampiriser. Nous tenons la position jusqu'à ce qu'il explose. Cela ne tarde pas. Sous mes lèvres, je le sens vibrer, je m'écarte et il nous défonce les tympans par un puissant cri.
En cascade, Olivier se retire de la bouche d'Arnaud et lui jute sur le ventre, en deux trois coups de poignet, j'y ajoute mon sperme. Phil et Jérôme font de même. Eric écrase Kev dans ce mélange (heureusement le sling est bien accroché !) et décule au dernier moment. Il arrache sa kpote alors qu'il éjacule déjà et macule le dos bronzé de Kev de longues trainées blanches.
Quand nous reprenons pieds, nous nous apercevons que le hurlement de Kev a rameuté pas mal de monde !
Eric redresse Kev, il le prend entre ses bras et après lui avoir roulé une pelle, le remercie de l'avoir laissé faire. Ce dernier a pris un tel plaisir qu'il ne peut plus protester
Avec Phil, je porte Arnaud jusqu'aux douches pour éviter les trainées de sperme sur le sol. Nous nous retrouvons tous les 5 sous les douches. Je m'approche de Kev et les doigts plein de crème, je glisse ma main entre ses fesses et lui masse l'anus. Après un léger mouvement de recul, il apprécie l'attention.
Nous cédons la place aux spectateurs et nous regagnons le rez de chaussée.
Tic et Tac achèvent Jean black leur deux bouches trouvant sans problème de la place sur sa bite géante. Un geyser blanc en sort maculant leurs joues et leurs fronts à la retombée.
La soirée s'est achevé entre apéro, baignades, diner, discussion à savoir qui en avait le plus pris ou mis (ça du coté des jeunes) et pipes nonchalantes.
JARDINIER
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alexar60 · 1 year
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Awa (le mythe d’Eve revisité)
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Elles entrèrent dans une salle immense au centre du temple. Un prêtre leur demanda de se positionner en cercle autour de lui. Puis, il se retira laissant au milieu un panier en osier, dont le couvercle était attaché à une corde. Il recula du cercle d’une dizaine de pas et, d’un tapement répété de ses mains, il mit fin au silence régnant.
La corde souleva le couvercle. Chacune des filles retint sa respiration. Elles attendirent les jambes raidies par la peur, la poitrine gonflée par une promesse divine. Elles avaient peur de leur sort, car tout pouvait basculer d’un moment à l’autre. Soudain, le panier remua légèrement. La tête d’un animal surgit…c’était un serpent !
Sa langue fourchue se promenait dans l’air. Il avait les caractéristiques du cobra. Le serpent venimeux sortit de sa boite et commença à zigzaguer cherchant à sortir du cercle. Les jeunes femmes demeurèrent immobiles, certaines joignirent leurs mains afin de prier le destin, d’autres fermèrent les yeux espérant qu’il s’approcherait ou pas. Elles avaient peur car il  suffisait d’un cracha empoisonné de cet animal, pour mourir dans d’atroces convulsions. Le serpent tourna plusieurs fois autour du panier avant de se décider.
Il se dirigea vers une jeune femme à la peau blanche et aux cheveux noirs. Elle ne savait quoi faire. Elle ne devait pas courir, ni fuir et devait accepter son sort. Le cobra approcha de ses pieds nus. Elle sentit la peau écailleuse frôler ses chevilles. Sa langue siffla. Il leva la tête et attendit patiemment.
-          Il t’a choisi et tu dois accepter, annonça le prêtre.
Dès lors, elle comprit qu’elle devait se baisser, tendre la main et laisser le serpent glisser, enrouler son bras pour se défier du regard. Elle avait peur mais ses yeux noirs ne montrèrent rien de cette peur viscérale. Bien au contraire, elle sourit lorsqu’il sortit sa langue pour humer son parfum. Alors, doucement le cobra remonta son épaule et s’installa autour de son cou telle une écharpe. A ce moment, les autres prêtresses s’agenouillèrent devant l’élue avant de quitter la salle puis de revenir pour la préparer à accueillir Ishtar.
Elle prit un bain de lait. Son corps ainsi que ses longs cheveux, furent recouverts d’huile parfumée. Elle passa la nuit à chanter et écouter des prières pour la déesse. Pendant ce temps, le prêtre s’amusait à regarder le cobra en train d’avaler une souris. Jeu étrange de la vie et de la mort. Pourtant, il était le seul à connaitre le secret du serpent : on avait méticuleusement retiré ses crochets venimeux.
Durant toute la nuit, elle inhala les vapeurs de produits hallucinogènes. Elle dansa trouvant ainsi la transe. Guidée par les prêtres, elle visita le monde des morts et celui des dieux. Elle rencontra enfin la déesse et accepta que cette dernière la pénètre. La transe transforma son esprit. Elle était devenue d’essence divine.
Le soleil était déjà bien haut dans le ciel lorsqu’elle sortit. Elle était nue, uniquement habillée du serpent qui enroulait son cou. Elle marchait empruntant les rues les plus grandes. Tout le monde détournait le regard ou tournait le dos à son passage. Personne ne voulait subir la loi du serpent qui gesticulait lentement sur les épaules de la belle. Cette dernière marchait fièrement, la tête haute, la poitrine bombée, le pubis rasé. Son parfum embaumait la rue. Toutefois, le peuple comprit l’événement. Alors, les gens attendaient qu’elle s’éloigne, pour se regrouper et la suivre sans oser l’approcher ni la regarder, regarder son dos ou ses fesses dénudées.
Aucun des gardes du palais ne furent au courant de sa venue. Ils virent la jeune femme venir vers eux. Ils reconnurent la déesse grâce à la présence du serpent. Alors, le chef ordonna qu’on ouvrit la porte pour laisser entrer la reine des dieux. Ils fermèrent les paupières lorsqu’elle arriva à leur hauteur. Ils pouvaient entendre le cobra siffler. Rayonnante, elle entra dans la forteresse et suivit un chemin qu’elle connaissait déjà, parce qu’Ishtar était déjà venue dans les jardins de ce palais.
Rien n’inquiéta le jeune roi. Il marchait à côté du prêtre, tout en discutant des dernières tablettes lues. Il aimait cette idée de graver dans l’argile des signes qui, permettront aux générations futures de se souvenir des exploits de leurs ancêtres. Il marcha sans réaliser qu’ils se dirigeaient vers la terrasse sacrée. Il gratta sa barbe naissante, puis il s’assit sur un banc installé sous un arbre.
Ils discutaient encore lorsqu’elle fit irruption dans le jardin suspendu. Dès lors, il se leva en découvrant la jeune femme nue. Il tourna la tête afin d’obtenir des explications auprès du prêtes, mais ce dernier ne répondit qu’en souriant. Soudain, il entendit les clameurs, il aperçut son peuple au pied du rempart. Les gens attendaient le début du rite.
-          Je suis Ishtar, reine des dieux et mère des vivants ! Je suis l’épouse des rois, dit-elle.
Elle avança vers le roi. Le serpent redressa la tête et sa langue effleura la joue du jeune homme. Il recula d’un pas, effrayé par l’animal. Toutefois, elle avança encore. Elle sentait bon. Elle attrapa un fruit en forme de poire pendu à une branche, avant de la tendre vers l’homme. Il ne savait que faire. Il hésita puis, il accepta l’offrande. Il croisa le regard du prêtre attentif au moindre de ses gestes. Dès lors, il croqua la poire, mâchant difficilement car elle n’était pas mure. Aussitôt le guide spirituel leva les bras tout en criant :
-          Notre roi est prêt à devenir divin !
Pendant que le serpent se faufilait dans l’arbre, une clameur enthousiaste envahit la cité d’Ur. Toute la population attendait ce sacre. Ils admirèrent leur roi finissant de manger le fruit, pendant que la prostituée sacrée l’emmenait vers l’autel. Le prêtre suivait derrière eux, jouant le rôle du Dieu Ae. Il était comme un père pour le jeune homme. Il voulait que la tradition continue. Le couple stationna devant le piédestal. Il se sentit gêné par la présence du peuple. Elle s’agenouilla, le déshabilla avant de malaxer ses parties intimes. Sa main branlait son sexe jusqu’à le durcir au grand plaisir des citoyens. Leur roi était vigoureux !
Une fois prêts, elle se cambra sur la table de pierre, écartant les jambes afin d’offrir à sa vue sa fente rose et épilée. Il approcha et sans attendre, il pénétra la jeune femme. Ses va-et-vient allaient au rythme des cris de joie du peuple. Il ne l’entendait pas. Il ne savait pas si elle prenait plaisir. Qu’importe, car son rôle était de faire de lui un être immortel, un Dieu.
Le prêtre observait chaque détail de la scène. Il n’y avait aucune règle, aucun interdit dans l’acte. Alors, il laissa l’homme caresser les épaules de sa femme. Il accepta qu’il se penche pour embrasser son cou. Il autorisa la femme à relever la tête pour l’inviter à l’embrasser. Elle se montrait comblée. Et quand vint enfin la jouissance absolue, lorsque le roi râla en éjaculant dans le vagin chaud de sa concubine, le prêtre leva encore les bras pour annoncer la bonne nouvelle aux habitants de la cité :
-          Dumusi, notre dieu-roi est enfin de retour !
Même s’il n’appréciait pas le rituel, il se devait d’accepter d’y prendre part. Il resta quelques secondes affalé sur le dos de la jeune femme. Puis, il se leva, le sexe pendant et englué. Il se rhabilla et quitta immédiatement le jardin sous acclamation de son peuple. Un peu perdue, elle accompagna son maitre. Le prêtre rejoignit le couple. Il invita la prostituée à rester pour continuer le rituel. Puis, il retourna dans le jardin. Le peuple était déjà retourné à ses occupations. Il chercha dans l’arbre, retrouva le serpent qui se laissa attraper facilement. Une fois avoir quitté le jardin, il confia le cobra à un domestique, le plaçant dans un panier en osier. Puis, il retourna dans le temple pour annoncer la bonne nouvelle à ses convives.
Elle n’était pas son genre, pourtant il la trouva attirante. Elle restait étendue sur le lit, attendant qu’il la rejoigne. Pour finir le rituel, ils devaient passer des jours et des nuits entières à faire l’amour. Il savait qu’elle repartira comme elle était venue. Elle n’était qu’une image, une prostituée sacrée et possédée par l’âme d’une déesse. Cependant, il voulut savoir :
-          Comment t’appelles-tu ? murmura-t-il. Je parle de ton vrai nom pas celui d’Ishtar.
-          Awa, répondit-elle. Et toi, tu n’es pas réellement dumusi ?
-          Mon vrai nom est Adamas.
Elle sourit. Elle le trouvait beau avec ses cheveux bouclés et sa barbe de quelques semaines. Elle tendit les bras pour accueillir le jeune roi.
-          Alors Adamas, amusons-nous ! Car après, il te faudra descendre aux Enfer et surmonter les pires tortures au nom de notre cité.
Il déglutit. Il connaissait aussi cette partie pénible dans laquelle il serait battu et fouetté devant la population. Il devait mourir pour renaitre et ainsi montrer qu’il était un vrai dieu. En attendant, il enlaça Awa avant de se caresser mutuellement. Elle sentait bon. Peut-être la choisira-t-il comme reine plus-tard ? C’était aussi le rôle des prostituées sacrées d’Ishtar que de devenir reine.
Alex@r60 – février 2023
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source : @cheminer-poesie-cressant
l’automne est un enroulement de froissements qui finit par faire céder l’ardent en enveloppant toujours plus l'enveloppé ; un art de la couverture et du recouvrement poussé à l’extrême qui permet d’oublier les sous-entendus d’effondrement ; l’automne est le maitre du déni
© Pierre Cressant
(jeudi 22 septembre 2022)
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Vestiges d'une ancienne boulangerie aperçue en roulant.
Marseille.
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ditesdonc · 19 days
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La Lionne
Texte de Pauline Laroche-Vachaud
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« La Lionne », à Trept, c’est un nom qui sonne comme une véritable institution, un haut lieu, un cœur encore vivant, au fond, même si ce qu’avaient été ses murs accueille désormais bien d’autres gestes et des mondes tout autres... Entre « La Lionne » où, souvent, 10 heures par jour et 6 jours par semaine quelques 80 ouvrières pouvaient suer à produire 1500 voire 2000 chemises quotidiennes et, désormais, « la Salle des Roches », ouverte aux divers loisirs que nous avons le temps de nous offrir aujourd’hui, rien à faire, la parenté est difficile à trouver. L’usine n’est plus ; elle a fermé à la fin des années 80, après un demi-siècle d’évolution, de modernisation, d’extension et d’honnête pain lourdement gagné.
On aimerait qu’existe un livre qui fasse revivre la vie de ces murs quand tant de femmes s’échinaient aux poignets, aux cols, aux manches, aux boutonnières et aux ourlets, assembler, rabattre, fermer, monter, pointer, finir, plier… On voudrait entendre des anecdotes, rendre un peu de voix, de chair…
On pense pour commencer aux guimpières car, avant l’ouverture de « La Lionne » elle-même, c’étaient elles les tenantes du lieu, elles dont les tâches visaient à enrouler, en bobines éblouissantes, la magie et la splendeur de la tréfilerie, ces fameux fils de faux-or lamés, à un fil de coton ou de soie.
Dans quel but? pour que dans d’autres ateliers, par d’autres ouvrières - une étape, puis une autre -, finissent par s’enluminer les costumes d’apparat, les beaux vêtements de mode, les habits des grands jours. Et que ça brille ! On voudrait aussi, évidemment, entendre ces fameuses chemisières qui, plus discrètes que les tailleurs, moins immédiatement symboles de la vie du village, de son essor, de son savoir-faire, n’ont pourtant rien à envier aux fiers et nombreux carriers. Les chemises conçues par ces femmes étaient bien vendues, pour certaines, à Pierre Cardin, Paco Rabanne, Charles Jourdan… Le prestige est-il moins grand que celui des pierres treptoises composant le Pont Alexandre III, à Paris, ou les piliers d’entrée du Parc de la tête d’or ? Autres usages, autres gloires, mais une excellence qui circule, et loin. Ce n’est pas rien.
On voudrait écouter leurs histoires, les relayer. Tant de petites mains talentueuses, sans tambours ni trompettes, scrupuleuses, précises, tenues à des réalisations impeccables - parfaitement symétriques ou rien, parfaitement régulières ou rien, parfaitement fidèles au modèle ou rien ! La moindre erreur, aussi infime fût-elle, et il n’y avait plus qu’à reprendre l’ouvrage. On voudrait entendre les rires, les blagues, les soupirs, les ragots les espoirs, les lassitudes, les fatigues immenses, les fiertés et les douleurs…
« La Lionne », rien que ce nom, comme trempé d’or et d’acier, semble le signe d’une élégance intraitable…. Le travail, lui, était-il féroce, vorace ? Les jeunes femmes ne faisaient-elle que passer, le temps de trouver un mari et de voler vers d’autres horizons ? Souvent, semble-t-il, mais pas toujours. Certaines dames s’y engagèrent à vie… Quels bruits, associés à quels gestes, quelles machines habitaient ce lieu comme un orchestre perpétuel, horloge suisse aux rendez-vous inébranlables : 7h30-12h/12h45-16h15. (Horaires extensibles à volonté, bien sûr, puisque le paiement à la pièce poussait à rester.) Un jour de neige, une employée, venant de Passins à vélo, eut 15 minutes de retard. Vertement tancée. La production n’attend pas, ne pardonne pas. « Exemple réussi de complète décentralisation », trouve-t-on dans la presse des années 60. Il semble que les ouvriers du textile lyonnais étaient trop chers, trop réactifs sans doute aussi. Alors l’idée de la campagne avait gagné. Hommes et femmes portant différemment la colère et la pénibilité du travail, peut-être, ouvriers et ouvrières moins chers payés, mais pas moins doués. Les archives de l’usine ont toutes disparu à la mort des époux Besse, qui menèrent le lieu comme leur deuxième maison, durant presque 30 ans. Les photos qui restaient ont pris l’eau dans une cave. Il ne reste plus d’écrits, plus d’images, ou très peu. Il vit cependant, encore, quelques souvenirs. Et ils mériteraient bien un livre.
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lxmxnx--0 · 9 months
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Câlins avec Kaeya, Diluc, Tartaglia, Zonghli, Tighnari et Dottore (séparément)
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Même si Kaeya aime bien le pda, les câlins en publiques avec Kaeya sont plutôt rare. La plus part du temps c'est juste lui qui enroule ses bras autour de ta taille lorsque tu est assis(e) sur ses genoux, que ce soit à la terrasse d'un café ou dans son bureau.
Lorsque vous êtes en privé, il aime bien quand tu repose ta tête sur son torse et qu'il te tient proche de lui.
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Même s'il n'y paraît pas à cause de son air froid et sérieux, Diluc adore les câlins. Mais jamais en publique.
Diluc aime les câlins longs, ses préférés sont lorsque vous êtes tout les deux installés bien confortablement sous les couvertures, durant une froide nuit d'hiver, que tu est assis(e) entre ses jambes, appuyé(e) contre sa poitrine et qu'il peut te câliner à sa guise.
(Petit bonus pour lui si tu as des bourlets ;3)
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Comparé au deux précédents, Tartaglia est SUPER câlin. Il ne peut pas s'en passer. Il as toujours ses bras enroulés autour de ta taille, peut importe quand. S'il le pouvait, il t'emmènerai avec lui à ses réunions entre exécuteurs juste pour t'avoir sur ses genoux.
Lorsque vous êtes dehors, il as toujours une main sur toi. Que ce soit ses bras autour de ta taille, sa main sur ta cuisse, ou juste vous tenir la main en marchant.
Il ADORE Quand tu es assis(e) sur ses genoux. Surtout quand il revient d'une dure mission, et qu'il veut juste te sentir près de lui.
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Tighnari n'est pas un homme très câlin. Après, il est aussi très occupé, toujours à courrir partout à cause de son travail en tant que garde forestier et aussi de médecin.
Mais lorsqu'il a du temps à te consacrer, il aime bien quand tu le gratte derrière les oreilles ou que tu l'aide à brosser sa queue.
Gros somodo, il préfère le temps de qualité aux câlins, même s'il te glissera sûrement une étreinte ou deux en partant en patrouille.
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Dottore n'ai vraiment pas câlin, mais pas comme Tighnari, plus parce qu'il est terrifiant. Donc, tout naturellement, tu n'osais pas initier le contact physique avec les scientifique fou qu'il est.
Cela jusqu'au jour où il t'invita lui même dans son bureau, à t'asseoir sur ses genoux. Il roula son bras libre autour de ta taille et reposa sa tête sur ton épaule.
Depuis, ce sont ses câlins préférés. (Et les seuls qu'il n'ai jamais expérimenté). Et il t'invite souvent à partager ses moments avec lui, ces rudes moments où il est bloqué dans son bureau à cause de toutes sa paperasse. Il aime t'avoir avec lui dans ses moments.
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Zonghli est un vrai gentleman, et il tient à sa réputation, donc pas de pda. À vrai dire, personne ne sait que vous êtes en couple.
Même lorsqu'il advient que vous soyez tout les deux en privé, il est souvent très fatigué et s'endort vite. Mais il adore le faire la tête posée contre ta poitrine, à écouter les battements de ton cœur.
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Les commandes sont ouvertes.
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chic-a-gigot · 1 year
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La Mode illustrée, no. 2, 11 janvier 1903, Paris. Costumes historiques pour bals travestis. Renaissance. Louis XV. Restauration. Modèles de Mlle Louise Piret, rue Richer, 43. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Renaissance. — Ce costume est composé d'une jupe en damas bleu, lisérée de fourrure blanche et ouverte, devant sur un tablier en soie blanche; on garnit le bas de celui-ci de plusieurs rangs de tresse d'argent.
Le corsage très ajusté, lait en soie blanche, est décolleté en carré et garni de tresse d'argent, ainsi que d'une dentelle d'or.
Les manches en soie sont laites avec des crevés en damas bleu et disposées en bouffants à l'aide de cordons de perles; on termine les poignets par une dentelle d'or. On recouvre les manches de soie par de grandes manches en hermine descendant des épaules et rattachées sur le bras.
On complète le costume par une résille en velours bleu ornée de broderie d'or. La châtelaine, pendant de la ceinture jusqu'au bas du tablier, est faite en perles de cire et terminée par un pendentif; on garnit le devant du corsage de perles et de motifs de bijouterie semblables, et on porte autour du cou un collier d'or.
Renaissance. — This costume consists of a blue damask skirt, edged with white fur and open, in front over a white silk apron; the bottom of it is lined with several rows of silver braid.
The very fitted bodice, milk white silk, is square neckline and trimmed with silver braid, as well as gold lace.
The silk sleeves are made with slashes in blue damask and arranged in puffs with bead cords; the cuffs are finished with gold lace. The silk sleeves are covered by large ermine sleeves descending from the shoulders and attached to the arm.
The costume is completed with a blue velvet fishnet decorated with gold embroidery. The chatelaine, hanging from the belt to the bottom of the apron, is made of wax beads and finished with a pendant; the front of the bodice is trimmed with pearls and similar jewelry designs, and a gold necklace is worn around the neck.
Louis XV. — Voir la description et l'exécution sur le verso de la planche jointe au précédent numéro.
Restauration. — On peutfacilement transformer une robe faite à la mode actuelle, en ce costume simple et gracieux. La jupe de notre modèle, exécuté en mousseline de laine rose, est froncée fortement dans le dos et légèrement devant, on la termine par un volant droit bien fourni, orné de ruban de velours noir; le bas de la jupe est garni de feuilles en relief soutenues par un laiton et lisérées de ruban de velours.
Le corsage à la Vierge, décolleté en rond et froncé à la taille e au bord supérieur, est bordé d'un joli col en guipure blanche fermé devant sous un nœud de satin rose.
Les manches très bouffantes sont froncées de manière à former de grands bouillonnés.
On entoure la taille d'une ceinture ornée de velours noir.
L'originalité du déguisement réside surtout dans la coiffure, faite d'après un modèle à la mode sous la Restauration; pour l'exécuter, on sépare les cheveux en deux sur le front, puis en travers d'une oreille à l'autre; on ramène la masse des cheveux sur le sommet de la tête et on les dispose en hautes coques, autour desquelles on enroule l'extrémité des cheveux. Les Cheveux du devant sont crêpés, puis frisés en grandes ondulations et disposés en bandeaux.
On complète le costume par une écharpe en crêpe de Chine, des bas blancs et des souliers vernis retenus par des rubans croisés.
Restoration. — One can easily transform a dress made in the current fashion, into this simple and graceful costume. The skirt of our model, executed in pink wool muslin, is strongly gathered in the back and slightly in front, it is finished with a well-stocked straight flounce, decorated with black velvet ribbon; the bottom of the skirt is trimmed with leaves in relief supported by brass and trimmed with velvet ribbon.
The Virgin bodice, round neckline and gathered at the waist and at the upper edge, is edged with a pretty white guipure collar closed in front under a pink satin bow.
The very puffy sleeves are gathered to form large bubbles.
The waist is surrounded by a belt adorned with black velvet.
The originality of the disguise resides above all in the hairstyle, made after a fashionable model under the Restoration; to perform it, one separates the hair in two on the forehead, then across from one ear to the other; the mass of hair is brought back to the top of the head and arranged in high shells, around which the end of the hair is wound. The front hair is backcombed, then curled into large waves and arranged in bands.
The costume is completed with a crepe de Chine scarf, white stockings and varnished shoes held in place by crossed ribbons.
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ernestinee · 1 year
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Aujourd'hui c'était top au cirque ! La semaine dernière c'était nul parce que je n'y étais plus allée depuis un mois à cause des congés et de ma coupure au doigt, et j'ai eu l'impression que j'avais tout perdu, que j'étais archi nulle, que tout le monde évoluait et pas moi, et j'avais même abandonné une figure de trapèze parce que je n'étais pas sûre que mon bras allait me porter (la figure du drapeau), bref grosse déprime, tout le monde en a entendu parler autour de moi et je me suis raccrochée à fond à ce que mon ado de coach me disait, que ça l'inspirait que je n'abandonne pas (et c'est assez fou parce que c'est surtout lui qui m'inspire à ne pas abandonner, quand je vois comme il bosse sa jonglerie dès qu'il a 5 minutes)
Aujourd'hui NON SEULEMENT j'ai réussi les deux figures du jour et elles faisaient si mal omg j'ai les chevilles, les cuisses et les pieds en lambeaux parce que ce sont des figures où on enroule les cordes autour des jambes avant de soit se laisser tomber en arrière ou en avant, soit gainer pour être horizontal, MAIS EN PLUS j'ai tenté la figure "pour les plus téméraires" (et la prof ne s'adressait pas à moi pour celle-là parce que je suis là dernière arrivée dans le groupe, j'ai vachement moins d'expérience que les autres). Il s'agit de se pendre par les genoux au trapèze, jusque là rien de compliqué, c'est la figure de base, mais ensuite, on tend les jambes et en même temps on les écarte et en même temps on fléchit les chevilles, et on est censés être pendu par les pieds aux extrémités de la barre du trapèze, je sais pas si j'explique bien, fin bon c'est impressionnant à voir et à faire et .... tadaaaaam... J'ai réussi !
ET EN PLUS, j'ai tenu à réessayer la figure du drapeau parce que je l'avais en travers de la gorge depuis une semaine et devinez quoi j'ai réussi aussi, comme quoi la visualisation ça fonctionne. Et aussi les abdos et les pompages et le yoga.
Par contre, je ne vais pas participer au spectacle cette année. Je fais du trapèze malgré que j'ai le vertige (fort, mais je prends sur moi malgré la sensation que le sol bouge et que mes muscles vont lâcher), je participe à un cours collectif alors que je suis +- allergique aux gens, surtout que là c'est assez tactile au secours, je suis non seulement la plus âgée (berk) mais aussi la moins expérimentée (re-berk) et j'estime que ma zone de confort est suffisamment explosée comme ça pour encore y ajouter un spectacle. Du coup voilà, pas cette année.
Par contre j'ai répété un numéro de jonglerie/clownerie avec l'ado après l'école et on était hilarants ! On était morts de rire tous les deux. Peut-être qu'un jour j'aurai une fraction de son courage pour faire pareil sur scène.
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stanchfagtastic · 3 months
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Je pense juste à Nancy qui regarde Robin somnoler d'une manière effrayante, elle fond parce que toi, Robin, tu es si mignon et tu essaies de ne pas l'embrasser partout. puis elle enroule ses bras autour d'elle et tient Robin près de lui parce que Robin est la petite cuillère la plus mignonne et elle embrasse son dos plein de taches de rousseur et de grains de beauté en attendant que Robin se réveille.
there are so many ways to write it, at least a thousand
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