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#denaes
unarbreenflandres · 8 months
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Un cousin DENAES, pensionnaire à l’hôtel des Invalides
Pierre Joseph DENAES est un petit-cousin de mon arrière-arrière-arrière-grand-père Jean François DENAES.
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Il a vu le jour le 13 mai 1776 à Hazebrouck.
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Son père Jacques DENAES était marchand. Beaucoup de ses frères et sœurs sont décédés en bas-âge. Du premier mariage de son père avec Rose ELIAS, en plus de Pierre Joseph, ont vécu jusqu’à l’âge adulte : Marie Angélique qui a épousé sur le tard, un veuf qui était tisserand à Zermezeele, Marie Françoise qui s’est mariée à un boucher de Cassel, Jacques WYON et Pierre Jean Baptiste qui était journalier à Hondeghem et qui a eu beaucoup d’enfants.
Pierre Joseph DENAES s’est probablement engagé dans l’armée vers l’âge de vingt ans. Il était fusilier dans la treizième demi-brigade. Il a vraisemblablement combattu en Italie puis en Egypte.
La vie de Pierre Joseph DENAES
A son retour de l’armée, Pierre Joseph DENAES qui avait perdu l’usage du bras droit a repris les activités de marchand de son père. Son père est mort le 29 mai 1802 et la deuxième épouse de son père, Marie Françoise PLOCKYN, le 4 novembre de la même année.
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Pierre Joseph DENAES a épousé le 12 vendémiaire an XII (5 octobre 1803) une jeune-fille de son âge qu’il avait mis enceinte. Il connaissait bien Marie Jeanne Cécile CLEP car le père de celle-ci, Guillaume CLEP (1716-1800) avait épousé en premières noces Marie Joseph CLEP (1719-1765) dont la nièce était Marie Françoise PLOCKYN (1748-1802), la deuxième épouse de Jacques DENAES.
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Caroline Sophie DENAES, la fille de Pierre Joseph et de Marie Cécile CLEP est née le 3 ventôse an XII (23 février 1804) à Hazebrouck. Il est à noter que son père était absent à sa naissance, sans doute pris par ses activités de marchand. Caroline n’a vécu que dix-neuf jours. Elle est décédée le 22 ventôse an XII (14 mars 1804) à Hazebrouck.
L’activité de marchand n’était sans doute pas assez florissante ou trop fatigante pour un homme handicapé ou encore l’épouse de Pierre Joseph DENAES aspirait-elle à ce que son mari ait une vie plus sédentaire comme l’un de leurs beaux-frères ? Toujours est-il qu’on retrouve Pierre Joseph DENAES, cabaretier à Morbecque, à la naissance de son fils Louis Alexandre Joseph, le 26 mars 1806.
Dans l’acte de mariage de ce fils, le 2 avril 1834, à Lille, celui-ci affirme qu’il réside à Lille, rue du Sec Arembault, depuis seize ans, soit depuis 1818. Des problèmes financiers ont sans doute conduit Pierre Joseph DENAES et sa famille à prendre le large à Lille.
Mais, dans une grande ville, la misère était encore plus rude, au XIX° siècle. Marie Cécile CLEP est décédée à l’âge de cinquante et un ans mais il est indiqué dans son acte de décès qu’elle en avait cinquante-cinq. Elle est morte le 29 août 1828, à l’hôpital Saint Sauveur de Lille. Ce sont deux infirmiers de l’hôpital qui ne savaient ni lire ni écrire qui ont déclaré son décès ! Le secrétaire de mairie a écrit le nom DENAES comme ça se prononçait, c’est-à-dire DENASSE et il a même déclaré que l’époux de Marie Cécile portait les prénoms d’Alexandre Joseph (ce sont ceux de son fils) au lieu de Pierre Joseph. Il y a fort à parier que son corps a été jeté dans la fosse commune.
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Un an avant la mort de son épouse, le 1° juin 1827, Pierre Joseph DENAES qui ne devait pas être bien vaillant non plus, était admis à l’Hôtel des Invalides. Il avait alors cinquante et un ans. Le registre d’entrée, consulté au Service Historique de la Défense, à Vincennes, nous indique que Pierre Joseph DENAES a été pensionné à partir du 6 février 1830 mais le montant de la pension n’est pas indiqué. Il est également fait mention d’une réadmission à l’hôtel des Invalides, le 22 août 1832. On peut donc penser que Pierre Joseph DENAES est retourné vivre à Lille pendant quelques temps ou qu’il s’est trouvé un petit logement à louer à Paris.
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source: SHD/GR/2XY272
Pierre Joseph DENAES est décédé le 9 février 1833 à l’hôtel des Invalides. Il avait cinquante-sept ans. Il a été inhumé le 12 février suivant, au cimetière du Montparnasse, dans la fosse commune.
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information donnée par Filae
A cette époque, de très nombreux soldats étaient admis à entrer à l’hôtel des Invalides. J’ai dénombré deux cent soixante-six entrées pour l’année 1827. La moyenne d’âge des entrants était d’un peu plus de cinquante ans, certains n’avaient qu’une vingtaine d’années et d’autres plus de soixante-dix ans.
La descendance de Pierre Joseph DENAES
Le fils de Pierre Joseph DENAES, Louis Alexandre Joseph qui était fileur de coton a donc épousé, en 1834, Florimonde Sophie Joseph BERNARD, couturière et de six ans sa cadette. Ce jeune-homme qui avait perdu ses deux parents allait donc se créer une nouvelle famille.
Ils ont eu un fils, Louis Romain DENAES, né le 23 mars 1836 à Lille mais la vie de ce pauvre enfant fut brève. Il est décédé à Lille, le 22 juin 1838.
J’ai remarqué que Louis Alexandre Joseph DENAES changeait souvent d’adresse. En 1828, il demeurait avec sa mère, 27 rue du Priez, en 1834, son adresse était rue du Sec Arembault, en 1836, il partageait avec sa femme un domicile au 23 rue Saint Nicaise et en 1838, ils étaient au 18 rue du Priez. Il est probable que lorsqu’ils ne pouvaient plus payer le loyer, ils étaient expulsés de leur modeste masure ou ils partaient à la cloche de bois et allaient s’installer un peu plus loin.
Je me demande si Louis Alexandre Joseph DENAES était encore à Lille, à la mort de son fils car ce sont deux voisins qui ont déclaré le décès. Louis Alexandre Joseph est mort le 30 juillet 1842 à l’asile d’aliénés d’Armentières, à seulement trente-quatre ans. Etait-il un trouble à l’ordre public, était-il trop souvent pris de boisson qu’il a dû être enfermé ?
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Ainsi s’éteint la descendance de Pierre Joseph DENAES.
Du côté de Marie Cécile CLEP
Alexandrine Bonaventure CLEP, une sœur de Marie Cécile CLEP avait épousé, en 1797, le chef du bureau des impositions à Hazebrouck, Pierre MERVAILLIE dont elle a eu un fils, Louis MERVAILLIE qui fut marchand d’épices. Celui-ci n’avait pas encore un an et demi lorsque son père est mort. Sa mère épousa, ensuite, en 1802, un cabaretier de Morbecque, Dominique HUBERT.
Il se trouve que l’un des arrière-petits-fils de Louis MERVAILLIE était un ami de mon père. Pierre MERVAILLIE était né le même jour que lui, le 5 mai 1914, mais à Hazebrouck. Ils se sont peut-être connus au collège Saint Jacques à Hazebrouck ou plus tard, lors de leur service militaire, au 91ème régiment d’infanterie. Avec un autre ami, André VANNOBEL, né aussi le même jour mais à Wormhout comme mon père, ils formaient un trio. André VANNOBEL organisait des excursions d’une dizaine de jours, chaque année au mois de juin, dans les années 70 et 80. J’ai eu l’occasion de les rencontrer, à Paris, place des Ternes, en 1991, et je peux dire que l’ambiance était joyeuse.
PS: Je remercie vivement mon cousin Arnaud DENAES qui m'a permis de finaliser cet article en me fournissant l'acte du mariage à Lille du fils de Pierre Joseph DENAES.
Je remercie également les bénévoles de la base de données HOTEL DES INVALIDES (https://www.hoteldesinvalides.org/) et tout particulièrement Denise RAY qui m'a bien guidée dans mes recherches au SHD.
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enalfersa · 2 years
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Desde Santurce a Bizancio: El poder nacionalizador de las palabras
Desde Santurce a Bizancio: El poder nacionalizador de las palabras
Jesús Laínz, Desde Santurce a Bizancio. El poder nacionalizador de las palabras. Ediciones Encuentro, Madrid 2011. Prólogo de Amando de Miguel. La manipulación lingüística no es ni un fenómeno nacido en nuestros días ni exclusivamente español. Muy al contrario, la tragicómica utilización de la lengua como instrumento opresor y modelador de las naciones cuenta con ilustres antecedentes en todo…
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ahaura · 5 months
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(Nov. 30)
@Dena: Ahed Tamimi revealed that her Israeli captors told her “we have your father in prison and if you speak, we’ll kill him” upon her release. I’m deeply disturbed by how visibly traumatized and worn down she appears coming out of Israeli prison, where we know she was beaten.
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dotted-clouds · 1 month
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huggable?
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soulsilvers · 8 months
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i tweaked their fits a little...
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septiseph · 1 year
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Ingo sync move redraw,
but make it Warden Ingo
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shivroy · 10 months
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messrmoonyy · 1 year
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May Calamawy for Vogue Arabia
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queen-of-deans-booty · 9 months
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His Anchor
Pairing: Dean Winchester x Female!Reader
Word Count: ~1k
Warnings: MoC!Dean, fluff at the end
Request by @jessicalynnann: how about mark of Cain dean and he is an ass to everyone but the reader. He is all fluffy and lovely dovey with the reader and one night he has had enough of her cuteness and just kisses her… maybe she tells him about a book she is reading… 
Summary: Dean is affected by the Mark in ways you and Sam don't realize, and he's trying not to let it affect others around him. However, there is only one person who can lift his spirits even when he's shrouded in darkness.
Square Filled: the first blade (2019) for @heavenandhellbingo
Author’s Note: i appreciate any and all comments! <3
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Dean sits alone at the library table with just a dim lamp to light the room and a glass of alcohol next to him. He hasn’t been doing good as of late because of the fucking Mark on his arm. It’s a constant reminder of how much he’s got to lose, and it’s taken over his life. He wants the damn thing removed but he’d be putting people in danger if he does. This Mark has already claimed so much of his life that he’s trying to hold onto whatever he has left, refusing to give into it more.
He traces the edge of the Mark with his index finger and goosebumps crawl up his arm immediately. There’s something raw in the danger that befalls the Mark including the First Blade. He’s used it plenty of times to kill those who deserve it even though it itches for more. The First Blade will never be satisfied with how many kills Dean gives it because there is a purity in how many victims it can claim.
Including himself. In the end, he’ll fall victim to his own blade. Would he die? Would the Mark allow him the sweet relief of death?
“Hey, you alright? Why is it so dark in here?”
Dean is pulled from his thoughts and looks up at his brother who has entered the room.
“What do you want?” Dean asks and turns the brightness up on the lamp.
“I might have found a lead on Metatron. He’s the only one that’s gonna have information on the Mark.”
Dean is so sick and tired of hearing how his brother found a lead only for that lead to turn up dead. He’s been led on by hope far too many times only for it to bite him in the ass later.
“Sammy, how many times do I have to tell you? Stop looking for the cure. It’s pointless if it means a lot of people are gonna be hurt in the process.”
“I know but this time is different. Listen to this. Rowena is a really old witch. She comes from the same kind of magic as the Mark, so I figure if we can get to Metatron, then--”
Dean slams his glass onto the table, shattering it to pieces. His hand bleeds but he doesn’t care about that. Sam jumps at the sudden noise and stares at his brother with uncertainty in his eyes.
“Don’t make me smack you.”
Sam’s shoulders sag in defeat.
“Fine. Whatever.”
The younger brother leaves to investigate this on his own. If Dean isn’t gonna help him then he’ll do everything himself. Dean knows he will never give up because that’s not what they do. If it were Sam who took this Mark on, then Dean would be the same way. Dean shakes his head and grabs another glass from the small cart by the table and pours himself another drink. He has bigger things to worry about than the Mark like Rowena, Cain, the Book of the Damned, and just about every fucking thing in his life.
You walk into the library with a book in your hand and Dean’s mood becomes ten times better. Everything in his life is fucked up but you. You’re the light in all this darkness and he’s so scared you’ll end up hurt because of him. You look up and smile when you see Dean but the smile is lost when you see the pieces of glass on the table.
“Hey, where’s Sam?” you ask.
“Doing nerdy things,” Dean shrugs.
“Okay, can I talk to you about this book I just finished? Like I need to tell someone.”
“Sure,” he chuckles and welcomes the distraction.
“Okay,” you rush to the table and sit next to him, “so the main character, Alana, works at this big company that everyone knows about and she feels trapped doing the same shit every single day. She wants to be doing more with her life but doesn’t know where to start or what she should be doing. That is, until the CEO of the company, Marcel started doing some shady shit. She tries to find out what he’s been up to, and it turns out that he’s making this serum that will make him rule the universe or some shit like that. She’s like hell no so she tries to foil his plans but ends up as his test subject! She tries to escape him but he ended up giving her the serum since he needed a human subject. This whole big fight happens between them but I was not expecting that turn of events!”
Dean isn’t paying attention to a goddamn word you’re saying. You’re so passionate and happy about this book you’re reading that he’s focused on your smile, the way your eyes light up, and how you can’t sit still. You give him joy like no other. How did he ever cope before he met you?
“Are you even listening to me? Why are you staring at me like that?” you ask.
Dean can’t help but grab your chair and pull you closer to him. He slides his big hands into your hair and plants his lips on your impulsively. You haven’t felt his lips in over a year since he kissed you when he was ass-backward drunk. You thought he never brought it up because he was drunk, but he didn’t want the one good thing in his life to go away if he confessed how he felt about you.
He pulls away from you and watches as your mouth opens and closes like you don’t know what to do. Your cheeks heat up in nervousness because you were not expecting that at all.
“Oh, okay,” you stutter.
“I’m sorry.”
“No, don’t be. I’m glad I found you and not Sam.”
“So, how did Alana escape Marcel?”
Just like that, you’re back to passionately talking about your book. You’re the only thing anchoring him down and keeping him sane, and he needs a bit of that right now.
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Follow my library blog @aqueenslibrary​​​​​​ where I reblog all my stories, so you can put notifications on there without the extra stuff :)
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un0vian · 11 months
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Silver fans finally got a win
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unarbreenflandres · 1 month
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Des tombes de cinq générations d’ancêtres dans la famille DEQUIDT
Mon habitude de visiter les cimetières
Je n’ai jamais eu de réticence à visiter les cimetières parce que, lorsque j’étais enfant, chaque été mes grands-parents maternels nous emmenaient rendre visite aux morts. Le cimetière était un peu comme une petite ville dont nous parcourions les rues et je me souviens que sur la future tombe de mes grands-parents, il y avait deux niches remplies de petits cailloux blancs et nous disions que c’étaient des bonbons pour eux quand ils occuperaient les lieux car mon grand-père, Paul DEHAENE,  était très friand de sucre et de chocolat.
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photo M.N. Salvetti
Cela se fait beaucoup, dans ma famille et certainement en Flandres et même ailleurs, d’acheter son caveau bien en avance et d’y faire ériger un monument funéraire. C’est bien quand on est implanté dans une région depuis toujours et qu’on sait qu’il y aura de la famille pour entretenir et visiter la tombe. Mais de plus en plus, maintenant et surtout dans les grandes villes on recourt à la crémation.
Dans mon enfance, je n’ai été confrontée à la mort qu’une seule fois par la perte de mon grand-père paternel, Cyr DEQUIDT, lorsque j’avais neuf ans. Je me souviens de quelqu’un d’un peu distant, sans doute à cause de l’âge. Mes grands-parents paternels avaient soixante-neuf et soixante-deux ans lorsque je suis née et ils n’ont pas voulu être parrain ou marraine parce qu’ils s’estimaient trop vieux.
 Je ne les voyais pas très souvent. Nous étions invités chaque année chez mes grands-parents paternels le lendemain de Noël, à l’occasion de la saint Etienne. Ce n’était pas à proprement parler un jour férié mais il était de coutume, dans les Flandres, de ne pas travailler le 26 décembre dans le monde agricole. Nous devions y retourner quelques jours plus tard pour présenter nos vœux de nouvel an mais c’était de façon tout à fait informelle.
Je me souviens, aussi, que mes grands-parents maternels nous emmenaient, ma sœur et moi, rendre visite à nos grands-parents paternels, à l’occasion de notre séjour d’été dans les Flandres. Nous restions assises sur notre chaise et nous écoutions ce que racontaient les « grandes personnes ». J’aimais bien quand on faisait le tour de leur grand jardin.
Nous allions plus souvent voir mes grands-parents paternels lorsque mon grand-père est tombé malade. Je me souviens lui avoir rendu visite alors qu’il était alité et très maigre. Je ne sais pas si c’est le même jour mais j’ai vu mon père pleurer en rentrant à la maison et dire à ma mère « Ҫa ne va plus aller ».
Je me vois encore à l'enterrement de mon grand-père dans mon manteau bleu-marine. Il y avait un peu de neige et le sol était si glissant que je suis tombée devant l'église. Après l'enterrement, nous avons pris un repas dans une auberge à proximité. Il y avait beaucoup de monde. Il nous a été servi du pot au feu et du fromage. Ce qui m'a fortement marquée c'est qu'il n'y avait pas de dessert, en signe de deuil. C'est le seul repas d'enterrement auquel j'ai assisté. Maintenant, on sert seulement des boissons et des brioches.
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les communes où se trouvent les tombes de mes ancêtres Dequidt sont marquées d'un point rouge (capture Google Maps avec l'aide de Gemini)
L’opération « Sauvons nos tombes » de Généanet
Récemment, Généanet, dans le cadre de son opération « Sauvons nos tombes » a mis en ligne des relevés photographiques du cimetière de Cassel et cela m’a permis de revoir la tombe de mes arrière-arrière-arrière-grands-parents, Jean François DEQUIDT et Marie Jeanne TRASSAERT. Malheureusement, les dates inscrites sur la tombe ne sont pas correctes. Jean François DEQUIDT est né le 15 janvier 1765 à Cassel et non en 1785 et il est décédé, à Cassel, le 10 avril 1849 et non en 1840, à l’âge de quatre-vingt-quatre ans. La pierre tombale était sans doute usée et les chiffres ont été gravés de nouveau  mais sans vérifier les dates exactes. Pour son épouse, Marie Jeanne TRASSAERT, les dates sont exactes mais il manque un E à son nom. Elle est née le 25 février 1770 à Steenvoorde et elle est décédée le 26 juillet 1857 à Cassel, à l’âge de quatre-vingt-sept ans. Ils ont eu douze enfants.
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photos laboyeur sur Geneanet
Au cimetière de Cassel, se trouve également la tombe de mes arrière-arrière-grands-parents, Alexis DEQUIDT et Reine AMMEUX. Alexis DEQUIDT est né le 25 juillet 1802 à Cassel et il est décédé le 15 février 1885 à Cassel, à l’âge de quatre-vingt-deux ans. Reine AMMEUX est née le 17 août 1814 à Hardifort et elle est décédée le 14 févier 1886 à Cassel, elle avait soixante et onze ans. Ils ont eu onze enfants.
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photos sebadera sur Geneanet
Il faut aller au cimetière de Steenvoorde pour trouver la tombe de mon arrière-grand-père Emile DEQUIDT. Cette tombe était très imposante dans sa version d’origine mais la stèle menaçait de tomber. Une nouvelle tombe a pris la place de l’ancienne en 2016, soit cent ans après la mort de mon arrière-grand-père. Emile DEQUIDT est né le 19 août 1851 à Cassel et il est décédé le 23 juin 1916 à Steenvoorde. Il avait soixante-quatre ans.
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photo bmarcant sur Geneanet
Il avait perdu sa première épouse Adeline VITTU (qui était mon arrière-grand-mère) le 10 février 1891 à Winnezeele. Elle n’avait que trente-quatre ans et avait mis au monde huit enfants. Elle était née le 16 avril 1856 à Winnezeele.
Vingt mois après le décès d’Adeline, Emile se remariait avec Eléonore DESCHODT. Il a encore eu six enfants de sa deuxième épouse.
J’ignore pourquoi, à l’occasion de son remariage, Emile a quitté la ferme de Winnezeele qui avait été reprise aux parents d’Adeline et s’est installé sur une autre ferme à Steenvoorde. Les enfants du premier mariage d’Emile dont mon grand-père Cyr DEQUIDT, ont été placés dans la famille pendant son veuvage.
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photo Martine Ryckebusch
Mes grands-parents, Cyr DEQUIDT et Irma DENAES ont leur tombe à Bavinchove puisque c’est là qu’ils se sont retirés après avoir laissé leur ferme de Wormhout à leur fils Cyr. Mon grand-père Cyr DEQUIDT est né le 8 décembre 1883 à Winnezeele et il est décédé le 4 décembre 1962 à Bavinchove. Il était à la veille de ses soixante-dix neuf ans. Ma grand-mère, Irma DENAES est née le 27 avril 1890 à Cassel et elle est décédée le 11 mars 1978 à l’hôpital d’Hazebrouck, à l’âge de quatre-vingt-sept ans.
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photo M.N. Salvetti
Bien que demeurant à Coulogne, mes parents avaient choisi, dans les années soixante-dix, d’être enterrés à Ledringhem, suite à une demande de Marie-Louise, la sœur de mon père, de partager à quatre un emplacement double. C’est ainsi qu’ils ont longtemps eu leur nom gravé sur leur tombe, sans date.
Mon père, Michel DEQUIDT est né le 5 mai 1914 à Wormhout et il est décédé le 30 août 2005 à Coulogne. Il avait quatre-vingt-onze ans. Ma mère, Marie-Paule DEHAENE est née le 2 février 1922 à Zermezeele et elle est décédée  le 25 novembre 2014 à Embrun. Elle avait quatre-vingt-douze ans.
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photo M.N. Salvetti
Il est plutôt exceptionnel de retrouver les tombes de cinq générations d’ancêtres, à moins de faire partie de la noblesse. Du côté DENAES, je ne connais que la tombe de mes arrière-grands-parents à Cassel. Du côté DEHAENE, les tombes de mes grands-parents et de mes arrière-grands-parents se trouvent au cimetière de Wormhout et du côté VANBREMEERSCH, la tombe de mes arrière-grands-parents est visible dans le cimetière d’Arnèke.
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photo bboidin sur Geneanet
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gerardpilled · 1 year
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gerard way @ firefly music festival | 9/23/22
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aliencatart · 29 days
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they found the quarry on pasio
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atomgecko · 3 months
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💜☀️ Alder & Vanilluxe Summer Alt!!!! That exists only in my dreams sighh. Dena hire me so i can turn old men into fanservice for one (1) person (me) (op)
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kazu-le-dork · 3 months
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Hospitality.
Based off a dialogue from PKMN Masters EX, reference below :
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wildflowercryptid · 2 months
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since the presents today made kalos relevant again, i thought i'd share these doodles from last year. tierno is a huge fave of mine so i came up with an au where he gets to travel the world to improve his dancing skills, which leads him to alola where he has a destined meeting with kiawe.
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