Tumgik
#dans quel pays du monde on a ces conneries?
randomnameless · 3 months
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Je pense que j'ai assez ragé pour le trimestre sur la SNCF - même quand je prends l'avion pour éviter leurs conneries, ils trouvent toujours le moyen de pourrir le trajet de tout le monde :
Il faut qu'on m'explique pourquoi il faut payer 11,30 euros pour sortir de cet aéroport de merde qu'est Orly en transports en commun avec le orlyval de merde -
11,30 euros, à l'époque, c'était presque 3 kebabs.
11,30 euros qui ne sont même pas inclus dans le forfait Navigo qui normalement permet de voyager dans toute la région.
En vrai, ces 11,30 euros?
C'est ce qui me convainc maintenant de payer un petit peu plus cher pour atterrir à Roissy, voire même, de prendre la voiture pour la déposer à l'aéroport et éviter les transports en commun.
Je ne comprends même pas pourquoi ce truc existe - sachant que toutes les navettes de Roissy pour aller jusqu'au Terminal où on peut prendre le train sont gratuites.
Et puis attention, hein, le 11,30 euros, c'est juste pour faire 6 minutes de transport et rejoindre la gare qui permet d'aller à Paris - il faut payer un autre ticket pour faire "cette gare -> Paris".
"Nan mais tu vois l'écologie c'est super important."
"Alors on pourri les personnes qui prennent leur véhicule individuel?"
"Ouais, et en plus, on se fait des thunes sur le dos de celles qui sont obligées de prendre les transports en commun! Comme ça, on gagne de l'argent à chaque fois!"
:/
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claudehenrion · 2 years
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Je change, tu changes, il change...
  On était, hier, à Londres ? Je propose qu’on y reste un instant, car Charles III à peine intronisé, pas encore couronné mais héritant d'un Royaume en grand danger de n'être bientôt plus très Uni, ne trouve à promettre que... le changement. C'est le truisme le plus répandu de notre temps : gouverner, ce ne serait plus ''prévoir'', ce serait ''changer'' ! Passe encore que nos petits ''monarques républicains'' se réfugient dans les cultes démodés de l'Homme nouveau ou du dieu-Progrès : ils ignorent que Voltaire et Rousseau sont morts depuis 250 ans. Mais qu'un vrai Souverain, et britannique de surcroît, souscrive à cette banalité, c'est choquant !
Si on met De Gaulle ''hors épure'' (ce qu'il a été), c'est Giscard, je crois, qui avait ''fauté'' le tout premier. Jusqu’à lui, un Roi couronné ou un Président élu se donnaient comme charge principale d'assurer au mieux le bonheur et la sécurité (c'est un peu la même chose, ou plutôt : l'un est dans l'autre) de leurs sujets ou de leurs mandants, de faire prospérer le pays, de l'enrichir au présent tout en le préparant au futur, et de protéger sa culture, son Histoire, son patrimoine, et les forces de ses populations. On n'imagine pas un Vincent Auriol ou un René Coty n'avoir en tête que de tout chambouler et d'inventer un pays et un peuple tout autres que ceux reçus en apanage, et de ''changer'' tout ce qui marchait... plutôt pas mal ! Les conneries de 1968 ont donné des ailes à ceux qui, ne se sentant pas la force de protéger et maintenir (en l'améliorant) le fantastique cadeau dont ils avaient la garde, se sont réfugiés dans une ''fuite en avant'' sans justification, sans raison d'être, et sans intérêt réel  ! Mais dans son chuintement inimitable, Giscard ''avait regardé la Franche au fond des jyeux et avait cru y voir un déjir de chongemont''. Où avait-il pu voir un truc comme ça ? Il ne l'a jamais dit !
On peut opposer à cette ineptie du changement pour le changement la sagesse de la devise des Princes d'Orange, ''Je maintiendrai'' (en français). C'est en 1565 que Guillaume 1er d'Orange-Nassau avait promis ''Je maintiendrai la vertu et la noblesse, de mon nom la haultesse, l'honneur, la foy, la loy de Dieu'' (NDLR : quel magnifique programme, pour un quinquennat ! Ça fait envie !). Pourquoi faut-il que le nouveau Roi Charles III croie ''dans le coup'' de se mettre en contradiction avec l'héritage de sa Mère, qui ne ''changeait'' les choses qu'avec des pincettes et lorsqu'il devenait nécessaire de le faire --d'où son immense popularité ? Et il n'est pas inutile de lui remettre en mémoire que cette belle devise néerlandaise est reprise, en français aussi, of course, sous les Armoiries de la monarchie anglaise...
Ah ! Bien sûr, rien n'est simple : entre les risques de sorties du Commonwealth et l'éclatement possible d’un royaume qui se retrouverait très désuni... le nouveau Roi piaffe : après 53 ans dans le rôle de ''Prince Héritier'', il a hâte de enfin montrer ce dont il croit être capable ! Et en plus, il est tenu par l'image tutélaire qui lui a fait tant d'ombre si longtemps, et obligé de se fondre dans un discours filial (et sincère, sans nul doute. Pour le moment)... sauf que le message que lui laisse sa chère ''Majesty, Mummy'', est sans ambiguïté : ''Tiens bon, accroche toi, laisse passer l'orage, et n'en tire, avec des pincettes, que les conséquences inévitables''. Si quelque chose est à l'opposé de toute démarche progressiste, c'est bien ''l'elisabethisme'' --d'où, peut-être, qu'elle soit tellement aimée de son peuple ! Résultat : il se ‘’coince’’ lui-même entre le succès posthume de sa défunte Mère et le nouveau poncif que le monde aurait changé au point que tout devrait s'aligner sur les idées à la mode (elles-mêmes si  changeantes !), rendant son règne pour le moins ''pas facile''.
Il existe une explication à cette dérive de la pensée qui incite les peuples à croire aux sornettes de dirigeants qui leur racontent que la mission d'un ''chef'' ou d'un ''leader'' serait de promouvoir cette chose qu'ils désignent, tous, dans tous les pays, par ce mot qui ne veut rien dire : 'le changement'' (à leur décharge, il est plus facile de tout chambouler sans dire ni pourquoi ni vers où que de ''gérer en bon père de famille'' et donc de laisser, à la fin de son mandat, plus et mieux que ce qu'on avait trouvé en arrivant !). Nombre des dirigeants actuels commettent (sciemment ? ''that is the question'' !) la faute énorme qu’est cette confusion entre progrès et changement, ces deux mots que tout oppose... mais que modernistes et progressistes voudraient faire croire synonymes, ce qui ne peut mener à rien.
Je m'explique : un changement consiste à passer d'un état ''A'' à un état ''B', sans aucune forme de jugement qualitatif sur le résultat, alors qu'un ''progrès'' est un changement qui a réussi, en apportant ''du mieux''... C'est une denrée rare. Par effet-miroir, un changement est le plus souvent un progrès qui a ''foiré'' à apporter quelque chose de bon, et c'est le cas général, qui explique pourquoi  proposer ''le changement'' comme seul programme est devenu une habitude chez la plupart des hommes politiques de tous les pays... qui laissent, un peu plus tard, tous leurs électeurs profondément déçus –à tort, car ils attendaient des ''progrès'' là où on ne leur avait promis que le ''changement''. Ils ne doivent s’en prendre qu’à eux seuls : ils ont été ‘’roulés dans la farine’' par ce mauvais usage systématique de deux concepts qu’on leur fait croire synonymes alors qu’ils sont, juste, antagonistes.
Un dernier point à prendre en considération : contrairement à tout ce qu'on nous fait croire à force de nous le répéter ''24 / 24'', les gens, à quelques exceptions près, n'aiment pas ''le changement'' : il fait peur, comme l'ont démontré les recherches récentes de nombreuses équipes de chercheurs (dont celle du Laboratoire de neuro sciences cognitives computationnelles de l'Ecole Normale Supérieure --cf le Figaro de ce12 septembre ), qui se sont récemment penchées sur les réactions de notre cerveau devant des situations de routine (perçues comme confortables et rassurantes, donc efficaces) et de changement (qui exigent des efforts cognitifs et d'adaptation, donc anxiogènes -une impression de mise en danger). Je doute que nos leaders, ''shootés au changement'', connaissent ces études fondamentales. Qui va oser le dire au  Roi Charles III avant qu'il ne soit trop tard ? God save Him !
Et tant qu'on y est, il serait de toute première urgence de réveiller tous nos génies malfaisants de l'ultra-modernisme, tous nos avant-gardistes ringards et tous nos progressistes démodés, qui se croient novateurs mais ne le sont que dans tout ce qu'il serait sage, prudent et intelligent d'éviter... C'est de vrais ‘’progrès’’, dont l'Humanité a besoin, pas de ''changement''. Ils ont tous tout faux, depuis des années.... et nous, ''les obscurs, les petits, les sans grades'' --comme disait Flambeau--, nous en mourons. ''Laissez les morts enterrer les morts''... et passez moins de temps sur l'euthanasie et les problèmes liés à la mort --sur lesquels vous ne connaissez rien !-- et plus sur le mieux-être des vivants, qui est de votre ressort ! Il est vrai que c'est plus difficile que de tout détruire !
H-Cl.
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aurevoirmonty · 27 days
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«Accroître le potentiel terroriste de Zelensky»: Biden a secrètement livré des ATACMS longue portée au régime de Kiev
«Pour être utilisés à l'intérieur du territoire souverain de l'Ukraine», assure le porte-parole de la Maison Blanche, donnant ainsi son blanc seing aux frappes sur les infrastructures civiles en Crimée.
Nous ne l'avons pas annoncé d'emblée afin de préserver la sécurité opérationnelle de l'Ukraine à sa demande
«Et je m'en remets à eux pour parler de leur utilisation et de la façon dont ils peuvent ou ne peuvent pas être opérationnalisés.»
Autrement dit, si le régime de Kiev vise autre chose (https://t.me/kompromatmedia/4893) que «son territoire souverain» avec ces missiles qui ont une portée de 300 kilomètres, Washington s'en lave les mains.
«La majorité mondiale devrait savoir quel genre de conneries les Américains ont dans leurs poches», a réagi la diplomatie russe par la voix de Maria Zakharova.
Et de décrire le plan «d'une simplicité déconcertante» de Washington:
«Entraîner tout le monde sous prétexte d’"intentions pacifiques" vers une réunion vide (https://information.tv5monde.com/direct/direct-plus-de-80-pays-reunis-en-suisse-pour-discuter-de-la-formule-de-paix-ukrainienne), et accroître le potentiel terroriste de Zelensky.»
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iradiei · 4 months
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20 janvier
“Mais pour elle, je ferais tout.” A-t-on idée de croire à un féminin sacré et salvateur ? Relisez un instant ces couillons pathétiques des siècles passés. Avachis sur leurs tables de zingue, ils se poivrent sobrement le museau - tout en élégance, s’il-vous-plaît ; que dirais la légende sinon ? - et mêlent à leur absinthe frelatée leurs larmes de crocodiles. Oui, les Romantiques décérébrés, c’est bien vous que nous attaquons ! Et voilà que l’on sanglote sur le départ de celle-ci, que l’on soupire sur la disparition de celle-là, et voilà quelques jolis alexandrins, qui seront soupirés à leur tour par une bande de jeunes dépressifs, qui, par souci d'écologie, liront nous ne savons quels vers pleurnichards, à l’ombre d’un saule pleureur pour ne pas trop bronzer - et pour l’effet dramatique - qu’ils auront préalablement salopé de leur gobelet d’un breuvage immonde, mais bio, et avec leurs petites cigarettes mentholées, parce que, tout de même, l’opium, ça fait mauvais genre, et qu'après, ça fait rien qu’à nous donner des gazs. Remarquez, c’est ainsi que la plupart des Romantiques - et des étudiants en lettres - écrivent leurs torchons, qu’ils nomment littérature, ce qui est facile à faire quand on décide soi-même de ce qui est littérature ou non.
Vous connaissez bien ces vers plaintifs composés par les Victor Lamartine, les Alfred Chateaubriand et autres George Gautier. “Demain, dès l’aube, à l'heure où le temps suspend son vol”, cela vous évoque forcément quelque chose. Mais tout de même, se laisser abattre comme ça, par chagrin, pour écrire des conneries de surcroît. Franchement, il y a de quoi se pendre. À croire qu’ils ne s'étaient pas chauffés la cervelle - ou qu’ils l'avaient trop fait ; remarquez qu’il est difficile d'écrire après s'être plombé la poire -, les pauvres. D’autant que la lamentation sur la femme est déjà dépassée lorsque les Romantiques écrivent. S’ils avaient eu du goût, et un peu d'humilité, ils se seraient dits que d’autres avant eux l’ont fait, sûrement bien mieux qu’ils n’eussent pu le faire eux-mêmes, d’ailleurs, et ce seraient arrêtés là. Mais non, il fallait forcément faire mieux, faire neuf, et voilà des pleurs à tout-va, qui gangrènent encore les gribrouillons des merdeux qui savent tenir un stylo, parce qu’ils n’ont même pas la décence de savoir se servir d’une plume, et que l'encre, c’est pour l’imprimante.
Enfin, dans tout ça, ils écrivent sur la femme. Pas pour elle, pas à son propos, mais sur elle, se servant de la muse comme d’un support vers la postérité. Les mêmes muses qui sont délaissées, trompées, meurtries. Les mêmes dames qui sont cruelles lorsqu’elles éconduisent un amant, mais qui sont faciles si elles cèdent. Est-ce qu’on leur a demandé leur avis, d’ailleurs ? Nous vous entendons déjà vous offusquer : “Mais enfin, c’est un honneur d'être célébrée en tant que muse ! On devient aussi éternel que le poète, on participe à la culture qui nous élève…” Encore faudrait-il que la célébrée puisse trouver un écrivaillon de talent plutôt qu’un misérable qui l’expose au monde et aux générations futures simplement en fétichisant son physique n’ayant besoin d’aucun autre ornement que sa maigre nudité. Mais que voulez-vous ? Voilà de l’art, sans doute un peu cochon, mais n’est-ce pas là la fierté du pays et n’est-il pas bon d'être femme, d'être muse, dans un siècle où les hommes dominent et où on doit servir de pâture à l’inspiration de camés ? Que faudrait-il faire d’autre ? Écrire soi-même et risquer d’avoir du talent, ou, peut-être, n’en avoir aucun et se faire publier sous le nom d’un homme ?
Alors que vous bavez, d’une voix traînante : “Mais t’as vu comment Alfred il écrit trop bien”, nous giclons autant d'étoiles nacrées qui vous tomberont sur la gueule.
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etherealcharacterz · 11 months
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Ceasy - Japon
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Au début du 20ème siècle, Thomas Ceasy, rapidement surnommé Tomy, quitte sa Grande-Bretagne natale pour aller en Russie. Jeune noble en voyage, il parvient très vite à se faire une place au sein de la haute sphère de la société et épouse Angela Lyov. C'est la fondation de la branche russe des Ceasy.
De l'union entre Tomy et Angela, trois enfants verront le jour : Adrian, Denis (le IIIème du nom) et Leicester Ceasy. La branche russe se poursuivra avec Denis, car son frère aîné quittera la Russie pour le pays du soleil levant.
Arrivé au Japon dans les années 50, Adrian est d'abord accueilli dans l'empire des Matsuda comme un invité de marque. Rapidement, il épousera Uta Jiro, bien déterminé à fonder une branche japonaise à son tour, comme feu son père le fit avant lui en Russie. A son tour, il aura trois enfants : Chika, Emi et Hide Ceasy. Une alliance politique a par ailleurs été conclue entre les Matsuda et Adrian : la branche principale des Ceasy aurait toujours une place privilégiée auprès des Matsuda, tant que les Ceasy s'assuraient de la diplomatie des relations internationales de l'Empire avec le reste du monde.
Ainsi, trois branches japonaises ont vu le jour avec la naissance des enfants d'Adrian.
La branche principale : Ceasy > Yamaguchi > Inoue > Mori
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Chika Ceasy épouse Mitsu Yamaguchi, et a trois enfants : Isamu (2004), Kakuzo (2005) et Rei (2007) Ceasy. Au contraire d'autres familles patriarcales, la branche principale des Ceasy japonais ne tient pas compte du sexe de l'enfant pour transmettre l'héritage. Dès son enfance, Isamu (l'aînée de Chika) sera donc mise à l'écart de ses frères et sœurs ; ses parents font venir énormément de précepteurs pour qu'elle apprenne les us et coutumes du Japon magique, la gestion du patrimoine, la diplomatie, l'art de la politique... Isamu n'est pas particulièrement douée dans ces domaines, mais elle a la chance d'être une grande bosseuse, et très responsable. Elle n'a qu'une année d'écart avec son petit frère Kazuko, mais elle prend très à cœur son rôle de sœur aînée. Elle sait à quel point leurs parents peuvent être exigeants, et elle essaie de leur offrir autant que possible une insouciance d'enfants.
Il faut savoir que Chika (la mère d'Isamu) accepte que son neveu et sa nièce suivent les cours dispensés par les précepteurs d'Isamu avec cette dernière. Emi et Hide, le frère et la sœur de Chika, lui en ont fait la demande pour leurs aînés, Kaede Ceasy et KanekoShinatori (ils ont le même âge qu'Isamu).Isamu, Kaede et Kaneko sont donc amenés à se fréquenter dès leur petite enfance. Cependant, il faut savoir qu'il existe une grande rivalité entre les branches japonaises, qui cherchent à prendre la place de la branche principale pour profiter de l'alliance faite avec les Matsuda. Isamu comprendra très vite à quel point Kaede, et très probablement tous ses cousins, sont une menace de vie pour elle et sa famille. Cependant, Isamu a su se lier d'amitié avec sa cousine Kaneko, dont elle est devenue très proche (notamment après la mort du père de Kaneko).
A ses 7 ans, Isamu rejoint Mahoutokoro. Sa première année est extrêmement tendue, Kaede lui ayant causé énormément d'ennuis. Elle parvient à convaincre ses parents de ne pas envoyer ses petits frères à Mahoutokoro, mais à Poudlard, en leur arguant qu'ils avaient perdu contact avec la branche anglaise des Ceasy (ce qui était très problématique pour leur alliance avec les Matsuda). En réalité, Isamu cherchait simplement à les tenir les plus éloignés possible de Kaede et de sa branche. Elle survit à Mahoutokoro, malgré les tentatives d'assassinat lancés par Kaede et son père.
Avant d'entamer ses premiers pas dans le monde politique, ses parents l'envoient dans une école privée moldue, très chère, en Allemagne (cette école est réputée pour former les meilleurs politiciens du monde sorcier, et il est commun que des Puristes envoient leurs enfants là-bas malgré leur racisme ; la connerie est un effet secondaire du racisme). Là-bas, Isamu fait la connaissance d'un moldu, Ame Inoue, et en tombe amoureuse. Il faut avoir en tête que les Ceasy ne sont pas forcément puristes ; dans le cas des Japonais, ils font semblant de l'être afin d'être bien vus des Matsuda.
Les parents d'Isamu acceptent l'union de cette dernière avec Ame, mais ils font en sorte de lui inventer une identité de Cracmol auprès des Matsuda. Isamu est obligée d'abandonner son droit d'héritage du fait des origines d'Ame, mais cela ne la dérange pas tant que ça. Elle craint beaucoup pour son petit frère, Kakuzo, qui est alors obligé de prendre la relève. Elle le met en garde contre leur branche sœur, et l'accompagne en devenant sa conseillère.
Kakuzo finit par épouser une Anglaise qu'il a rencontré à Poudlard, Johanna McGraw, mais ils n'ont pas d'enfant. La branche principale continue donc avec les enfants d'Isamu. Isamu et Ame ont une fille : Amako Inoue. Kaneko (cousine d'Isamu) sera la marraine d'Amako. Amako ira à Mahoutokoro (les réticences de sa mère ont cédé face aux supplices de son mari, qui tenait à ce que leur fille puisse rester près d'eux, dans le même pays). Amako sera très proche de son cousin Sora (fils de Kaede), malgré l'interdiction de sa mère de le fréquenter.
A son tour, Amako aura deux enfants : Anju et Akemi Nakashima. Sa fille, Anju, sera la filleule de Sora ; elle sera très proche de son parrain. Aux quinze ans d'Anju, Kaede tentera de tuer Akemi, mais Sora l'en empêchera et le tuera. Sora se suicidera après avoir commis ce parricide. Anju épousera Suiteki Mori.
La fille d'Anju s'appellera Kaneko Sora Mori (en la mémoire de la marraine de sa mère, et de son propre parrain ; Sora est un prénom mixte en japonais).
La branche du second degré : Ceasy
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Dans cette branche, un véritable sentiment d'injustice naît dès ses débuts. Du fait de l'alliance passée avec les Matsuda, elle est délaissée par ces derniers au profit de la branche principale. Etant donné qu'elle est la suivante dans l'ordre de succession, une simple éradication de la branche principale leur permettrait d'accéder à ces privilèges. Une différence notable à remarquer avec la branche principale : ici, ce sont les hommes qui sont les héritiers ; on fait une hiérarchie des sexes.
Emi Ceasy est un personnage austère, froid, exigeant et manipulateur. Ce qu'il veut, c'est de la puissance, et il le fait bien comprendre à ses enfants. Il est très lunatique dans sa manière d'être avec sa famille : il aime sa femme (Asuka Natsuki) et la chérit sincèrement, mais il lui arrive de quitter le domicile durant des semaines lorsqu'ils se disputent, sans donner signe de vie.  Emi Ceasy a donc dans un premier temps un fils : Kaede. Il l'adore, et il veut ne veut rien de moins que le meilleur pour lui ; aux yeux d'Emi, il est évident que cela passe par la mort de la branche principale. Kaede verra très peu sa mère, son père voulant éviter qu'il n'hérite de sa douceur. Non, ce que devait devenir Kaede, c'était quelqu'un de fort, quelqu'un sans pitié, quelqu'un prêt à tout pour réussir. Ce que devait devenir Kaede, c'était un loup qui mangerait sa meute dès que la première occasion se présenterait.
L'époux de Hide (la petite sœur d'Emi) veut également écraser les autres branches pour devenir les protégés des Matsuda. Emi envoie immédiatement un assassin le tuer dès qu'il a un soupçon. Au cours de sa scolarité, Emi aura engagé des mercenaires pour tuer sa cousine Isamu (Kaede lui communiquait les horaires où elle était seule). Kaede, de son côté, n'hésitait pas à humilier sa cousine dès que possible, et encourageait ses camarades à la harceler (cependant, très peu le faisait par peur de représailles par la branche principale).A ses 12 ans, Kaede a eu une petite sœur, Haruka Ceasy. Emi et Kaede n'ont pas accordé la moindre attention à cette fille, confiant son éducation entièrement à sa mère.
Puis, à ses 22 ans, Kaede a eu un petit frère : Rin Ceasy. Emi était fou de joie à l'idée d'avoir deux fils. Kaede, lui, a réagi au quart de tour en découvrant la naissance d'un garçon ; sentant sa place d'héritier menacé, il l'a délibérément tué en empoisonnant son lait. Rin est mort avant d'avoir passé sa première année, sans que personne ne sache que Kaede était derrière cela. Seule Kaneko, sa cousine, le soupçonne ; Kaede la fait tuer immédiatement.
Malgré tout, la branche principale reste intouchable et ne meurt pas. Lorsqu'à son tour, Kaede a un fils (Sora), il l'entraîne encore plus durement que son père ne l'a fait, mais dans l'unique but de tuer. Sora devient ami avec sa cousine Amako : d'abord pour mieux la tuer, puis par sincérité. En grandissant, il s'éduquera, loin des valeurs transmises par Kaede. Sora restera d'ailleurs au pensionnat de Mahoutokoro à partir de ses 13 ans. En devenant le parrain d'Anju (la fille d'Amako), Kaede comprendra que Sora n'est plus de son côté. Il lui laissera une dernière chance pour ouvrir les yeux, par le meurtre d'Akemi (jumeau d'Anju). Sora sera forcé de tuer son père, acculé, et se donnera la mort suite à cela.
La branche du troisième degré : Ceasy > Shinatori
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Quelques points sur cette branche...
Ryu a épousé Hide dans le seul but d'être proche des Matsuda. Il complotera pour faire tuer Emi, mais ce dernier enverra des assassins le tuer immédiatement. Personne ne sait qu'il est responsable de cette mort.
Hide élève seule sa fille, le cœur brisé. Elle ne se remariera jamais.
Cette branche finit assez vite par devenir pauvre, Hide et Kaneko sont obligées d'emménager dans un modeste appartement à la banlieue de Tokyo. La vie à la maison est assez dure pour Kaneko, elle doit s'occuper de sa mère qui a perdu le goût de vivre après la mort de son époux.
Malgré cela, elle se liera d'amitié avec sa cousine Isamu, dont elle deviendra très proche. Kaneko sera la marraine d'Amako Nakashima, la fille d'Isamu.
Cependant, elle découvrira que Kaede est le meurtrier de son propre petit frère. Choquée, elle ne réfléchira pas et le confrontera face à ce constat, le suppliant de réfuter cela. Kaede, fin menteur, la rassurera et lui fera jurer de ne rien dire aux autres. Il finit par la pousser sur les rails d'un train pour la tuer.
Hide, suite à la mort de sa fille, se suicidera.
C'est la fin de la branche japonaise du troisième degré.
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alexar60 · 4 years
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Transparent le jour pour des amours nocturnes
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Comme d’habitude, elle ne me remarqua pas. Elle passa devant moi fixant du regard les élèves perturbateurs dans le couloir sans même un bonjour. Son air sévère, ses cheveux tirés en arrière, sa tenue de chef d’entreprise lui valurent le joli sobriquet de « peau de vache » des étudiants les plus respectueux, car pour les autres, c’était plutôt proche  de « la salope ». Et quand elle me croise, je ne peux pas dire le contraire puisqu’elle m’ignore totalement.
Mon statut de bibliothécaire ne me permettait pas d’entrer dans les petits papiers de la proviseure-adjointe. On ne fréquentait pas le même monde. Alors c’est tout à fait normal bien qu’impoli que de passer sans même un sourire ou un bonjour quel que soit l’endroit. Devant le CDI, dans les couloirs du collège, dans les bureaux administratifs, dans la cantine. Elle avait ses proches, j’avais les miens et c’était très bien.
Je la regardai crier sur les élèves. Ils devaient être en étude, dès lors, elle les amena directement en salle de surveillance. Les quatre adolescents ne faisaient pas les fiers. Elle avait la réputation de pratiquer la boxe française et ça chez les jeunes, ça se respecte. Avant d’ouvrir la porte de la bibliothèque, je la regardai marcher comme un homme dans son tailleur de grenouille de bénitier. A travers le hublot de la porte, je l’ai revue accompagnant une pionne qu’elle engueulait parce qu’elle venait de faire son taf. Un peu plus tard, elle entra dans le centre de documentation. Comme à chaque fois, elle passa devant moi ; assis derrière le bureau de l’entrée, j’enregistrai le prêt d’un livre. Elle ne répondit pas à mon salut mais à celui de l’élève qui attendait le livre. Elle partit afficher son sourire à ma supérieure, lui annonçant une bonne nouvelle dont on n’avait que faire. Puis, elle sortit sans même un regard dans ma direction.
Il en était de même à la cantine. Je mangeai avec les profs qui ne me considéraient pas comme un surveillant ou un banal assistant. J’étais leur égal. Avec eux, je m’amusais, nos discussions étaient délirantes. Soudain, elle entra avec son air pet sec. Elle prit un plateau avant de faire la queue et de se servir. Dans la salle voisine, à la table la plus proche des élèves, un troisième ne put retenir une connerie à son sujet: « Tiens, vlà peau de vache ! Elle va encore prendre de la salade pour garder la ligne... C’est normal pour une vache ! » A ses mots, s’ajoutèrent ceux de ses camarades à l’humour libidineux genre : « il serait temps qu’elle bouffe de la saucisse, ça la décoincerait » mais aussi, « je me ferai bien un sauté de vache…Faut la décoincer du cul, elle sera plus aimable » et j’en passe. Aucun prof n’intervint en jouant les sourds malgré leurs sourires pincés.
Pendant ce temps, Je relisais le petit mot: « Ce soir, devant le restau place royale ». C’était son écriture. Elle avait déposé le message discrètement sur mon bureau en entrant dans la bibliothèque. Il était volontairement chiffonné pour passer inaperçu et ne pas être lu par un autre. S’ils savaient qu’on était ensemble depuis la fac, ils me détesteraient ou l’apprécieraient. Je rangeai le mot, lorsqu’elle passa devant notre table sans jeter le moindre regard envers moi. Elle s’adressa à un prof d’anglais au sujet d’un projet pédagogique, à une prof de math lui demandant des nouvelles de son fils malade. Puis elle partit rejoindre la bureaucratie, des secrétaires gloussant autour du CPE à l’apparence de Johnny Depp version 21, jump Street. Elle accompagna les glouglous en riant avec elles sur les blagues à deux balles du bellâtre.
Dès qu’on se croisait dans la journée, elle faisait mine de ne pas me connaitre, marchant en faisant du bruit avec ses talons hauts. Ils étaient reconnaissables de loin et résonnaient dès qu’elle s’engouffrait dans un couloir désert. Mon après-midi se passa à conseiller, surveiller et gronder les élèves trop-bruyants. Puis vint la fermeture. Elle passa devant moi, la sacoche en épaulière. Elle entra dans la bibliothèque pour dire au revoir à la documentaliste en chef sans même jeter un œil sur moi. Après son départ, je remarquai un nouveau petit morceau de papier froissé sur le bureau que je venais de ranger : «Ne tarde pas ».
Elle attendait sagement sur la terrasse du restaurant, une cigarette à la main. Elle souffla de la fumée lorsque je me présentais. Elle se leva, nous nous embrassâmes sans se soucier de savoir si quelqu’un nous connaissait. Elle portait sa jolie robe rouge, celle que je lui avais achetée pour son anniversaire. Ensuite, je me suis assis en face d’elle, juste avant l’arrivée du serveur. Elle était souriante, me regardait avec des yeux qui pétillaient. Je vis le reflet de mon propre regard dans le sien. Elle me parla de la journée qu’elle a eue et que je connaissais déjà. Dès lors, je posai mon index sur ses lèvres rouges en signalant que maintenant, il n’y a plus de collège, il n’y a plus de travail. Il ne reste plus qu’elle et moi. Elle sourit de nouveau et me laissa prendre une bouffée sur sa cigarette. Pendant que nous choisissions dans le menu, elle s’amusait à me faire du pied.
Comme des amoureux, on picorait dans les deux assiettes, goûtant le plat de l’autre comme pour apprendre à se connaitre. Nous restâmes longtemps à manger et se parler tendrement. Quand vint l’addition, le cuistot, un cousin, nous rejoignit en apportant une  bouteille de cognac pour une dégustation digestive. Loin d’être amateur de ce genre d’alcool, j’appréciai toutefois son arôme fort et boisé. Elle taquina légèrement en disant qu’il y avait de la poire. Mon cousin répondit avec un air sérieux : « Il y en a !».
Les clients étaient tous partis depuis longtemps quand nous quittâmes le restaurant. La nuit s’offrait à nous sur cette place soudainement vide de gens et de voitures. Nous marchâmes, sans penser que la nuit était à nous. Elle commença par marcher sur le rebord de la fontaine pour en faire le tour. Elle semblait danser cherchant sans oser à tomber dans l’eau. Mais au dernier moment, je la retins et l’attirai vers moi. Alors, comme une folle envie, nous dansâmes au son d’une musique imaginaire et silencieuse. J’avais en tête : « I’m Kissing you » de Des’ree.
Nous sortîmes de notre slow en entendant les sifflements d’un groupe de jeunes qui se promenaient. Nous abandonnâmes la rue en se tenant par la main comme deux idiots amoureux. Puis, alors que nous arrivions devant chez moi, elle chuchota simplement qu’elle avait envie d’entendre la mer. Il était tard, pourtant, nous nous dirigeâmes vers ma voiture et partîmes pour une escapade nocturne. Il était définitivement fini le moment où j’étais transparent.
Il n’y avait pas beaucoup de circulation. Nous hésitâmes entre plusieurs endroits. Finalement, nous partîmes en direction de Pornic et ses plages isolées. Le trajet me parut agréablement long. Elle regardait l’obscurité du ciel qui se confondait avec le paysage. Tout était noir, impossible de reconnaitre quoi que ce soit. De temps en temps, elle frémit prise par le froid qui s’engouffrait dans la voiture ; elle utilisa mon manteau comme couverture et doucement, elle ferma les yeux en affirmant qu’elle se sentait bien. Les feux des quelques véhicules rencontrés m’éclairaient. Moi aussi, je me sentais bien !
Quand nous arrivâmes à destination, elle sortit de la voiture avant même que j’éteigne le moteur. Elle retira ses chaussures et courut sur le sable. L’odeur iodée m’enivrait agréablement. Le bruit des vagues l’attira comme une mouche sur un pot de miel. Je la cherchai au milieu de l’obscurité dans laquelle scintillait des milliers d’étoiles. On ne voyait rien à l’horizon, pourtant, par beau temps, on pouvait apercevoir l’ile de Noirmoutier. Soudain, elle m’appela. Je la retrouvai assise sur le sable. Elle écoutait la mer divaguer. Je m’assis à côté d’elle. Elle posa sa tête sur mon épaule. J’oubliai l’odeur iodé pour son parfum de vanille et de fleur d’oranger. Dans la tête, la voix de Des’ree continuait à chanter Roméo et Juliette.
Nous restâmes presqu’une heure à braver le froid et le vent sur la plage. Nous discutâmes de nous, de nos souvenirs d’étudiants, du weekend prochain. Elle proposa de rendre visite à sa famille, elle voulait que je vienne. Je demandai en souriant quel intérêt alors que d’habitude, on s’aime en secret. Elle laissa échapper un soupir et passa son bras contre ma taille pour mieux m’enlacer. Elle avait froid, moi aussi, mais on était bien.
Nous dormîmes dans la CORSA après avoir fait l’amour. C’était un jeu entre elle et moi. Nous commençâmes dans l’auto et finîmes complètement nus sur le capot. Entretemps, nous avions dansé nus sur le parking au son d’une playlist de chansons espagnoles. C’était une envie, une folie de s’afficher comme la fois où nous avons sauté par-dessus le portail fermé d’un parc parce qu’elle voulait baiser sur un banc public. Comme les nombreuses fois où nous avons baisé contre un mur dans une ruelle perdue, dans un champ sous le clair de lune. Comme la fois où nous sommes entrés au collège en pleine nuit et fait l’amour sur son bureau. Je ne fermai l’œil qu’une heure après, on se berçait sur la banquette arrière sans pouvoir vraiment dormir.
Le soleil se levait à peine quand nous retournâmes sur Nantes. Il sortait fièrement son jaune orangé  de l’arrière-pays. Je la déposai, rentrai chez moi prendre une douche. Ensuite, je partis travailler. Au collège, elle passa à côté de moi sans même dire bonjour, sans me regarder. J’étais de nouveau transparent jusqu’au soir, jusqu’à notre prochaine folie nocturne.
Alex@r60 – août 2020
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romainjobert · 4 years
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Dans tous les cas je suis pas pressé, pas plus pour faire du vélo que pour écrire, donc je repasse aux US par l'état de Washington et je glande entre la côte et les îles de San Juan, quand je vous disais que c'était le début des vacances.
Je profite de l'occasion pour revoir un pote et une heure après il m'emmène sauter d'une falaise dans une rivière, j'ai fait un saut et ai réattéri un peu en biais, juste un peu, juste assez pour me couper la respiration 5 minutes et m'empêcher de lever les bras pour 1 semaine, me voilà trentenaire depuis 2 semaines et je réalise déjà que je suis trop vieux pour ce genre de conneries, mais apparemment pas encore assez vieux pour arrêter d'être tout à fait con parce que le lendemain j'étais quand même reparti à vélo.
Et comme un malheur n'arrive jamais seul (je vous rassure je déteste cette expression mais enfin, là c'est plutôt bien adapté vous allez voir) quand je commence à me dire que c'est bon je peux ré-attaquer un peu et qu'il s'agit d'aller tourner un peu dans le coin du parc national de Rainer, je crève un pneu après une matinée de montée. Crever n'est évidemment pas dramatique, c'est pas le premier ni dernier (oh que non, mais j'y reviendrais) là où ça se complique c'est le moment où après avoir réparé la chambre à air je réalise que ma pompe est cassée. Pour le coup c'est plus compliqué, j'écarte vite l'hypothèse de gonfler à la bouche une chambre à air de vélo et me reporte sur celle plus réaliste de l'autostop, et je suis en train de me demander dans quel sens le faire, revenir en arrière ou continuer, quand un gars me voit en galère et me demande si j'ai besoin d'un coup de main, Et moi qui critique toujours ces con de ricains je dois bien admettre qu'il y en a quand même des sympas car il me ramène jusqu'à mon point de départ du matin et me prête une pompe chez lui pour regonfler mon pneu, Le lendemain je vais au magasin de vélo de la ville pour acheter une nouvelle pompe, il est hors de question que je prenne le risque de repartir sans pompe, j'ai eu de la chance une fois faut pas pousser,
Bon, le magasin ouvre à 13h, c’est mort j'attends pas, et statistiquement c'est quoi les chances que je crève encore aujourd’hui ?!
Je vais vous le dire, c'est 100% ! 100% de chance que je recrève car 24h plus tard c'est comme ça que l'histoire continue, Là j'ai beau vouloir tendre au je m'enfoutisme du bouddhisme pour les nuls, il s'avère que cela m'agace un brin,
Nouvel autostop, nouvel individu, Au moment de mettre le vélo dans le camion je vois un petit autocollant « Trump 2020 », ha super y aura pas besoin de la radio pour se marrer pendant le trajet, Dire que ça n'a pas manqué serait un euphémisme (et un bien rêche, pas question de douceur pour celui-là) le mec a mis dans le mille à chaque phrase, Un sans-faute, un grand Chelem, un perfect, plus réussi que l'alunissage d'Apollo 11 (dont il doute).
J'irais presque jusqu'à dire que ça valait le coup qu'il m'arrive mes problèmes car, nom de Dieu, pour moi, rencontrer un mec comme ça c'est comme trouver un gisement de pétrole dans son jardin, un trésor dans sa cave et hériter d'un château, le tout dans la même journée,
Trêve de préliminaires et je balance en vrac, je vous parle d'un climatosceptique, pro life (contre l'avortement) religieux jusqu'à la racine des cheveux, contre le gouvernement sous toutes ses formes car il lui vole son argent pour tout donner aux pauvres, et lobotomise ses gamins quand ils vont à l'école avec des sottises comme la théorie de l'évolution, Les USA devraient, selon lui, enfin arrêter de donner autant d'argent à tous les pays pauvre de la planète qui ne font que profiter (encore les pauvres), Les musulmans si ils veulent essayer d'envahir les US seront reçus par ce bonhomme et ses potes qui n'attendent que ça. Il avait un flingue avec lui, rien de choquant par contre les AK-47 qu'il avait chez lui sont déjà plus litigieux en termes de légitime défense,
Maintenant si vous croyez que je me suis offusqué et que je suis monté au créneau vous vous trompez. J'avais droit à des tours de manège gratuit, il suffisait de relancer un peu dans son sens pour le voir tout content de repartir de plus belle, Magnifique. Enfin, surtout parce que je vis pas dans ce pays, sinon oui, c'est un peu inquiétant, Après, lui c'était une belle synthèse faut quand même l'admettre,
Une fois l'amusement fini il faut aussi bien dire que le mec était super sympa et m'a bien aidé (bon si j'avais été noir, ou pire, mexicain, ça aurait été une autre histoire, ou en tout cas une histoire très courte vu qu’il ne se serait pas arrêté haha).
En vrai j'étais vraiment heureux de le rencontrer parce que j'ai pas eu trop l'occasion de bavarder avec des républicains/néoconservateur/évangeliste et que c'est quand même important pour comprendre un pays de parler avec tout le monde, si j'étais reparti après avoir juste rencontré des démocrates je serais passé à côté de ce que sont les US maintenant (Trump n'est pas un accident).
Tout cela nous mène déjà aux frontière de l'Oregon, terre qu'y m'a été vendu tout le long du voyage comme un paradis de route cotière, Force est de reconaitre que oui, ça claque plutôt pas mal,
Tellement de plages interminables à longer toute la journée, tellement de soir qui se termine par un soleil plongeant dans l'océan, Tout ça tombait bien vu que je me remettait gentiment de mes déboires physique (dos en vrac tout ça tout ça) puis l'humidité de la côte apportait une fraicheur bienvenu, Peut d'évènement mémorable si ce n'est les crevaisons occasionels, y a eu la journée ou j'ai crevé le pneu avant le matin et l'arrière dans l'après midi, Puis le matin ou après avoir tout remballer je me fais un petit thé et j'enjoy tranquillement la vie quand mon regarde ce porte sur la punaise planté dans mon pneu avant, j'aime les nouvelles de ce genre au réveil, ça met toujours de bonne humeur,
La dernière frontière sera donc un retour en Califorie d'où j'étais parti 5 mois auparavant mais où je n'étais passé que brièvement, Même mode opératoir que pour l'Oregon, c'est partie pour bouffer de la côte, en tout cas jusqu'à ce que l'attrait du Yosemite ce fasse sentir,
Fin de journée je traverse un bout de bourgade et je m'apprête à aller à l'office du tourisme histoire de regarder une carte du coin et de trouver mon camping spot du soir, Au moment de monter les escalier vers l'office une dame en descend et me dit qu'ils ont fermé pour la journée puis me demande si j'ai besoin d'informations, donc je dis que non je voulais juste voir une carte. Puis elle voit mon vélo et demande si je sais ou je dors ce soir. En général si c'est un flic je dis que je vais en camping municipal et sinon que je serais en sauvage en espérant une invitation (pour être franc mon ratio d'efficacité avec cette tactique est absolument nul), et elle retourne ouvrir le bureau pour prendre un papier sur lequel il y a un contact pour des gens qui accueillent des cyclos. Un hébergement tombé du ciel en somme. Et quand je dis tombé du ciel ce n'est pas qu'une image car l'endroit en question n'est autre que la maison de sweet baby Jesus, une église quoi, enfin une des (trop) nombreuses églises qui existent ici. Je ne comprend rien à toutes les déclinaisons du Seigneur et c'est pas aujourd'hui que je vais m'y attaquer, je préfère me contenter d'accepter ce qu'on me donne, et si en plus je peux sauver des âmes en perditions au passage je trouve que tout le monde y gagne (bon moi j'y gagne dans l'immédiat et eux faudrat déjà commencer par mourir avant d'en voir la couleur). Bref je me retrouve avec les clefs d'un endroit qui sert de réfectoire et de salle d'accueil pour des sdf, je correspond donc au profil de la clientèle (sans l'addiction au cristal meth).
A deux heures du mat je renonce à dormir, de toute façon les nuits en intérieur ne servent qu'a avoir une douche et/ou à laver du linge pas à avoir une « bonne nuit de repos », et je décide de faire un tour par l'étagère de bouffe qu'on m'a indiqué en entrant et de profiter un peu d'internet pour chercher de la musique. Le résultat sera édifiant, je me retrouverais dans la cuisine à faire des pancakes en écoutant du black métal russe, sûrement le meilleur usage d'un édifice religieux qu'il me soit possible de faire, après quoi je retournerais me coucher pour cette fois dormir du sommeil de l'homme au devoir accompli. Ce sera donc plein comme une pute au petit matin (je me serais refait des pancake avant de partir) que j'attaquerais la traversé du parc des redwood
Je cache pas qu'on m'en avait également beaucoup parlé et je m'était dis « bon ça va c'est des arbres quoi, ok des gros arbres mais bon, on peut pas dire que ce soit un saut dans l'inconnu »,
Erreur, trois fois erreur car j'ai passé mon temps dans ces forêts la tête en l'air à dire (à haute voix, et oui, la solitude rend fou) « putain c'est quoi c'est truc de fou ! C'est énorme ! », J'ai deux trois clichés mais franchement ça rend par compte du bordel, parce que c'est pas juste un arbre immense dans une forêt mais une forêt d'arbres immenses et là réside toute la différence. Puis comme souvent le fait d'avoir voyagé lentement rend plus réceptif aux changements du paysage, même les plus infimes, alors là je vous dis pas la claque. Je veux dire que je connais le sentiment de se sentir tout petit en face d'une montagne ou d'un espace vide aussi loin que porte le regard mais en face d'une forêt c'est une première.
Je me féliciterai donc de ce choix d'avoir prit la côte et poursuivrais mon chemin sans encombre (avec toujours des crevaisons quand même mais comme je finis bientôt mon voyage je me convainc encore que « ça va le faire »). Il y a bien aussi une nuit campée sur un trail juste avant le golden gate bridge à descendre une bouteille de Côtes du Rhône en bonne compagnie (tout seul quoi) qu'on m'avait offert dans la journée, San Francisco je m'en contre bat les couilles vu que j'y connais personne, je traverse juste pour retrouver la côte un temps avant de bifurquer pour l'intérieur des terres.
Je n'irais pas grimper mais tout de même je ne me vois pas passer à côter du parc du Yosemite sans aller y faire un tour. L'idée est louable, un petit détour pour un changement de décor, mais le chemin est plus compliqué que prévu. Le long de la côte je me répétais sans cesse qu'il faisait pas si chaud tout compte fait mais bordel de pute, après une demi journée plein est et les 45° atteints sans le moindre vent à l'horizon je revois ma technique et poursuivrais mon incusrsion vers l'intérieur en me levant à 5h pour profiter de la relative fraicheur du matin, faire une pause de 3h et pousser jusqu'aux limites de ce que le soleil m'offre. Fait intéressant, il s'avère que le nord de la Californie entre la côte et les montagnes est un territoire d'agriculture peuplé presque exclusivement de mexicains. En tout cas je dors de plantations d'amandiers en plantations d'amandiers pour atteindre le début du relief. Après un classique tour dans un parc national, encore plein de trafic et plein de monde de partout, je continue en me disant que oui c'est joli mais en même temps est ce que vu depuis la selle ça compte vraiment ? (spoiler alerte : Non pour les montagnes ça compte pas).
Retour sur la côte pour finir ce voyage tranquillement, je roule, je me pose et me repose tout en profitant des plages pour finir à Los Angeles.
Comme le chapitre se clos il est temps de parler du peuple américain. Pas dans son ensemble et pour plusieurs raisons. Déjà parce que j'ai silloné que la partie ouest et que l'est est apparement très différent, parce que tous les gens avec qui j'ai parlé étaient blancs donc enlever la partie afro et hispanique du peuple ricain c'est quand même pas rien et puis plus important c'est qu'on est loin du relevé scientifique, c'est juste mon expérience qui est donc forcément biaisée. Pour commencer par enfoncer les portes ouvertes, eux ne le sont pas, ouverts je veux dire, Enfin surtout pas sur le reste du monde, c'est vraiment frappant de voir à quel point ils pensent être les maitres de toute chose et un idéal que les autres doivent nécessairement imiter ou jalouser. Le monde en dehors des US est une anecdote, un passe temps ou un repère de communistes (ici ils disent "socialiste"). Le rapport à l'argent est bien différent aussi, ça ce claque plus vite ou en tout cas disons qu'il y a moins d'économies sous le matelas mais plus d'investissement en bourse mais ça faut dire qu'avec le système de retraite et de santé qu'ils ont (chacun pour sois et Dieu pour tous) c'est presque une évidence. En suivant sur le système d'aide social je peux vous dire que le nombre de sans abris est un truc de malade, j'ai jamais vu autant de sdf dans aucun autre pays que j'ai pu traverser et après en avoir parlé avec quelques personnes sur place c'est encore assez "nouveau", dans le sens ou évidemment il à toujours eu des sans abris mais sur la dernière décennie les graphiques ont pété le plafond et les parcs ce sont remplis. Rien n'est simple est il y a plein de choses à dire là dessus mais c'est ce qui, sur le plan social, m'a le plus surpris. Ok j'en savais pas mal mais de voir la pauvreté à ce niveau là et rencontrer des gens qui ne démordent pas du rôle de "leader of the freeworld" que serait sensé représenter ce pays est incroyable d'incohérence. Alors on a la réputation de se plaindre tout le temps et de faire grève pour un oui ou pour un non mais pour le coup je me dis que c'est nécessaire sinon on se réveillera un matin et il fera toujours nuit car à force d'avoir la tête si prêt du cul des ricains (baisse des taxes sur les grandes fortunes, écoles à but lucratif, retraite sauvage j'en passe et des meilleures) on finira bien la tête dedans.
Fin de l'instant Gilets Jaunes et fin du voyage,,,
En tout cas fin du voyage en solo, parce qu'il y a une surprise..
Finir ? Ha oui mais non, y a un détail que j'ai (volontairement) omis c'est que j'ai rendez vous.
Quelques mois avant mon départ un pote est parti dans un autre périple à vélo mais axé sur l'Asie et l'Océanie et à force de hasards et autres éléments scabreux de la vie il s'est trouvé que l'option de faire un bout de chemin ensemble en Amérique est venue sur le tapis.
La première évocation de pareilles aventures se fera au Canada et se mutera en "et pourquoi pas le Mexique ?".
C'est pas con ça, pourquoi pas le Mexique ? Me voila donc de retour à Los Angeles pour récupérer mon pote à l'aéroport. Pour la petite histoire on s'est rencontrés en Uzbékistant à vélo et après quelques péripéties (dont la traversé de la Chine) et malgré (ou grâce) à des modes de vie un brin nomades il se trouve qu'on arrive à se voir de temps en temps, un voyage d'habitués, c'est pas pour se faire brosser mais presque le contraire car si pour certains l'expérience rime avec préparation et organisation dans notre cas ça serait plutôt "jusqu'ici tout va bien".
Et dès le départ ça s'annonçait comme quelque chose de grand car voici à peut de choses près l'intégralité de notre conversation sur les préparatifs de nos retrouvailles :
-"J'arrive le X à l'aéroport à 22h"
-"ok je m'arrange pour être là avec des bières"
-"impec"
Et c'est en arrivant dans le trafic de l'aéroport et en zigzaguant entre les taxis que je me suis dit "au fait je sais pas à quel terminal il arrive et je sais pas avec quelle compagnie ?! Rajoutez que mon pote n’a pas de téléphone et vous avez l'étendue de notre expertise. Mais là où c'est beau c'est qu'on s'est quand même retrouvés (et que cela ne nous aura donc absoluement pas servi de leçon). Le temps de remonter son vélo et de descendre un pack (et d'en racheter un autre) on est partis pour squatter la plage le temps d'une nuit.
Le lendemain c'est donc direction le Mexique, on y va tranquille vu qu'on papote quand même pas mal et chaque soir assez tard. Pour finir on aura dormi à la belle tous les soirs sur les plages avant de passer la frontière comme des pros, c'est à dire sans choper de tampon d'entrée ! On penserai qu'après avoir plusieurs années de voyages au compteur on aurait quand même appris les rudiments du passage de frontière ? Comme quoi, faut jamais douter de toujours pouvoir se surprendre soi-même.
On a quand même réussi à se convaincre que c'était normal et c'est deux jours plus tard au milieu d'une discussion avec d'autres cyclos qu'on s'est rendu compte de notre erreur, Allez, un petit coup de covoit pour traverser la frontière à pieds et revenir pour payer un petit papier qui nous légalise nos status de migrants.
Mieux maintenant que trop tard hein !
A part ça, le Mexique c'est top, trop de gens sympas, ça fait plaisir. Le choc de la frontière est quand même marqué on va pas se voiler la face, poubelles en vrac et chiens errants. Ca aura été un grand bol d'exotisme après autant de temps à voyager dans un pays sans trop de surprises. C'est à dire un pays dont on parle pas la langue et où chaque arrêt bouffe est une petite découverte. Le paysage change aussi, je dis pas qu'il n'y a rien de semblable aux US mais en tout cas rien que j'ai fait et donc c'est avec un putain de grand sourire qu'on défile à coté de rangé de cactus haut comme des sapins…enfin, jusqu'a l'accident,
Là suite au prochain et dernier épisode concerçant l'arc nord ouest Américain,
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kim-0685 · 5 years
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Un soir d'insomnie
Le hall était plein, le brouhaha se faisait constant, cependant, un bruit se fit plus fort que les autres ; il s'était levé, faisant tomber son banc. La foule se tue, s’arrêtant tandis qu’il s'avança, sous les regards interrogateurs de ses interlocuteurs, ses regards qui le juger sans même le connaître. Son pied se posait doucement sur l’une des marche de l’escalier qui mener vers l’étage supérieure du magasin.
La discussion qu’il avait entendu l’avait mis hors de lui, les mains moites, tremblante, et le visage rougies par l’angoisse et la timidité, il montait encore quelques marche de l’escalier avant de se tourner vers la foule qui s’échanger des murmures.
Sa voix s’éleva plus haut que toutes les autres, résonnant dans les nombreuse boutiques, il serra le poing.
" - vous tous, à qui je m'adresse, je suis là devant vous, car j'ai des choses à dire, et je ne vais pas y aller par quatre chemins...je ne suis personnes à vos yeux, juste un pauvre gars trans-genre de 17ans, pour tout dire, je ne sais même pas ce qu'est vraiment l'amour, moi qui ai toujours passer ma vie dans la solitude, se battant contre lui même chaque jour, vivant au jour le jour, sans demander son reste, en dehors de cette société injuste et cruel...Je me présente aujourd'hui devant vous tous, représentant de cette société, cliché de l'espèce humaine, vous qui un peu plus tôt etiez en train de critiqué se jeune couple de PD comme vous le dites si bien. Et bien, ses personnes sont mes amis, et je n'accepte pas se que j'ai entendu d'autrui sur eux. Qui sommes nous pour jugés ? Qui sommes nous pour qualifiée quelqu’un de monstre, d'abomination, d’être contre-nature ?La maltraitance animal est une abomination, la déforestation est une abomination, la pédophilie est une abomination..."
Il marqua une courte pause, reprenant son souffle.
"-Nous ne sommes personnes, nous n’avons aucun rang pour nous permettre de juger quelqu'un sans même le connaître, sans même connaître son histoire, sa vie. Ne sommes nous pas tous égos ? N’avons-nous pas tous les même valeurs ? Je crois profondément que si. 《L’homme aimera la femme comme la femme aimera l’homme, il n’y a pas d’autre moyen possible》 ai je entendu d'un de mes sembables de la race humaine, et, j'imagine bien que c'est ce que pense beaucoup d’entre vous n’est-ce pas ? Et bien vous avez tort ! Qui est-ce qui est aller vous fourrez le crâne avec de tels foutaise ? Non mais vous vous foutez de moi c'est sa ? L'homme aimera la femme comme la femme aimera l'homme, sérieux, et vous aller aussi me dire comment vivre le reste de ma vie ? Vous vous prenez pour qui hein ? A nous dire ce qu'on doit faire, qui on doit aimé, on a rien fait nous, on a rien demander nous, alors laisser nous tranquille bordel ! "
Beaucoup protestairent, les murmure désapprobateur se faisait entendre dans tout l’édifice, mais il continuait de parler.
« - le faite d’aimer quelqu’un du même sexe que nous ne fait pas de nous un monstre ou une abomination de Satan, l’homosexualité, n’est pas contre-nature bon sang, bien au contraire, dans la rue il est courant de voir deux chiens mâle se monter dessus, et on va les juger pour sa ? Non. Alors pourquoi le faire pour deux hommes, deux femmes hein ? Cessé de dire toutes ses conneries, arrêter tout ses foutus préjugé et laisser les gens vivre leurs vie comme ils la souhaite !Celon quelques un, cette attirance est explicable par la science, alors venait pas nous casser les pieds en nous parlant de malédiction ou de putain de punition du malin. Dans certain pays, les "PD", car oui, je me permet de réutiliser se terme qui sembler si gentil entre vos lèvres, se font séquestrer, castrer, et même tuer, et tout sa pourquoi ? Parce qu'il aime quelqu'un du même sexe. Mais à quoi ça va aider le monde ? En quoi tuer des innocents va changer quelques choses ? Se sont plutôt les exécuteur qui devrait se faire exécuter, pas nous ! C'est tellement injuste ! Pourquoi nous ? Qu'est ce qu'on vous a fait ? Pourquoi on a mériter sa ??! Aller s'y bordel ! Repondez moi !..."
Sa respiration était saccadée, son visage rouge, il tremblait, mais s'en fiché, tout se qu'il voulait, s'était de dire le fond de sa pensée, il voulait être entendu.
"-Tout sa, à cause de personne comme vous, qui porte préjugé, qui califie l'homosexualité comme malsain. En quoi aimer quelqu'un du même sexe est il malsain ? Comment vous pouvez vous permettre de le dire ,sérieux ! En quoi avoir une relation hétéro ne le serait pas ? Sérieux, c'est complètement débile. Arrêter de vous pendre pour des dieux et de juger comme bon vous semble la vie d'un autre, vous n'êtes personnes, nous ne sommes personne, comme moi même je ne suis personnes."
Des rires se faisant entendre par un groupe de jeune au fond du hall, mais il continua de parler, haussant plus la voix, le visage fermé et dur.
"-Il y a bien d'autre sujet à traiter, la maltraitance, la pédophilie, pourquoi attaquer les gays comme vous l'avez fait a l'instant ? Vous croyez qu'on l'a demander ? D'être homo ? Vous croyez que je me lève le matin en me disant, houhou une nouvelle journée dans se magnifique monde. Et ba malheureusement non, rien de tout sa, dès mon réveille, je sais que j'aurais à affronter des débiles d'homophobe comme vous, qui m'insulterons, me frapererons quand ils me trouveront dans un endroit isolé. Vous croyez que ça nous rend joyeux de nous dire qu'on pourrait se faire battre et tuer parce qu'on aime quelqu'un du même sexe ? De mourir simplement parce quon aime quelqu'un, qu'on eprouve se sentiment merveilleux qu'est l'amour ?! Le taux de suicide est 4fois plus important chez les jeunes se découvrant homosexuel, des jeunes meurt chaque jours, chaque minute car ils ont peur de vous, car ils en ont marre, de vous, de leurs corps, d'eux, vous êtes des assassins, tous, autant de vous êtes, vous avez tué des jeunes avec vos mots, vous rendez vous compte de la gravité des chose bordel ??!...Mais vous savez quoi ? Moi, j'en ai plus rien à faire de se que vous penser de moi, et vous savez pourquoi ? Parce que les gens comme vous se cache derrière la violence car ils ont peur, vous, representant de la société, avait peur de se que la société tente de cacher, de se qu'il lui ai inconnu, de ce qu'elle ne eux contrôle. Mais moi, nous, on a pas peur de vous, on est pas bien nombreux, mais ensemble on est plus souder que vous tous, car au fond, on sait qu'on partage les même valeurs.."
Un sourire se dessina sur son visage tandis qu’il voyait plusieurs vigile se frayer un chemin dans la foule dense, ralenti par quelques personnes, partageant son opinion.
« - L’homosexualité ne s’attrape pas ! ce n’est pas une maladie, au connaître un homosexuel ne vous rendra pas plus bête !! « les hommes naissent et demeurent libre et égaux en droits ». De grande personne ont dis que l’amour ne s’expliquer pas, alors, acceptons le différents de quelqu’un quel qu’il soit, nous sommes tous pareils, un homme et une femmes peuvent s’aimer, alors, pourquoi cela serait-il différent pour deux hommes, ou deux femmes ?!! Que nous soyons Gay, lesbienne, trav ou trans, nous sommes des êtres humains avant tout et nous avons nous aussi droit et une place dans ce monde, aussi futile soit-elle."
Les vigiles avaient passé la barrière humaine, lui avait pris son bras pour le tiré vers la sorti, lui criant de se taire, mais il n’en fit rien. Il ne se débattait pas, mais se mit bien vite à crier, à hurler ses pensées.
"- Pourquoi ne réagissez vous pas? Aller s'y, frapper moi, battait moi, tuer moi ! Qu'attendez vous pour me montrait la haine et la colère que vous avez contre moi ,contre nous !?
Je ne suis personnes ! Mais ce personne changera quelques chose, peu importe si celle-ci soit importante ou non, des vies son sauvé grâce au gens comme moi, mais elles sont aussi perdu à cause de vous ! Vous inquiétez pas, je reviendrai, plus déterminer que jamais, et je recommencerai, vous allez faire face à la réalité! La vrai la pure, non celle que la société nous a imposer, « Les plus petits esprits ont les plus gros préjugés » disait Victor Hugo, vous pensez comme la société le souhaite, vous n'êtes qu'une image d'elle même, sans elle, vous n'êtes plus rien !"
Et puis, il disparu avec ses kidnappeurs, sous les cries et les applaudissement de la foules.
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skizzmalo · 5 years
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Virilité
  L’autre jour  alors que je me baladais au Jardin du Luxembourg, m’illusionnant sur le fait que quelques kilomètres de marche à pied allaient me faire perdre mes kilos en trop, je croisais un de mes vieux copain de lycée, Sandro. Contrairement à moi, il n’avait pas beaucoup changé en vingt ans si ce n’est qu’il ne disposait plus de sa chevelure abondante mais d’une coupe à la Yul Brynner des plus aérodynamique, qui devait certainement lui rendre service étant donné le rythme de sa course. Alors qu’il arrivait à mon niveau, je lui fis signe de la main auquel il répondit tout d’abord par un regard noir, voire hautain, avant de s’arrêter net cinq mètres plus loin quand je l’interpellais en usant du sobriquet qu’employait un de nos bistrotier favori à son endroit.
__ Hey soupère mèche, alors comme ça on a oublié ses potes du lycée Clem’ !?
__ Quoi qu’est-ce qui t’arrives mon gros, tu... s’énerva-til d’abord avant de m’observer l’oeil rond.
__ Gros, gros… je suis un peu enrobé c’est tout ! Et puis quand on a une perruque en peau de fesse en guise de veuche, et ben on se la joue mollo sur les vannes ! Répondis-je tout sourire.
__ Ahahaha ! Bastien ! Si je m’attendais, s’esclaffa-t-il en me rejoignant.
__ Enfin… ça vexe un peu tu sais ! Moi je t’ai reconnu tout de suite malgré que t’as plus ton attribut principal !
__ Si, si t’inquiètes, dit-il en remontant ostensiblement son pantacourt, toi par contre t’as forcé sur les mises à jours, hein ?
__ La gastronomie française, qu’est-ce tu veux…
__ Et la bebar, ça aussi c’est nouveau !
__ Ben, autant au bide ça me gêne pas trop, autant au menton…
__ Ah; faut pas te laisser abattre… On a le même âge, non ?
__ Ouais, mais t’as toujours été plus sportif que moi.
__ Tu rigoles, à l’époque t’étais un sacrée footeux !
__ Ouais, mais enfin c’est devenu un sport de bourrin capitalo, ça me botte plus des masses.
__ Ça c’est sûr, mais c’est comme tout, ça été pourri par tu sais qui…
__ Non, je vois pas... ricanais-je, dubitatif.
__ Ben les autres tiens, les sionistes.
__ Les sionistes ?
__ Mais oui, reprit-il en se réhydratant tandis que je me roulais une clope, ces salopards de juifs.
__ Hou là, qu’est-ce qui t’arrive là ? T’es raciste maintenant, toi ? m’ébahis-je presque.
__ Whow… du calme Bastien, m’insulte pas direct, me tança-t-il, assombri.
__ Ben, tu désignes un groupe de gens en les qualifiant de salopard, de par leur origine ethnique, tu m’excuse mais si ça c’est pas raciste… Allez, continue ton marathon, moi je vais continuer de mon côté, conclus-je mes retrouvaille avec mon ancien pote de lycée.
__ Ouais, ben reste bien au chaud dans tes illusions !  La vérité c’est que comme tous ceux qui sont contre nous, et qui, soit disant sont ouverts au dialogue, vous êtes en fait bien plus intolérants que nous !
__ Désolé, mais ta propagande je la connais bien ! C’est juste toi qu’as oublié qui t’étais ! l’éperonnais-je en faisant volte face.
__ Hum, peut-être que je ne savais pas vraiment qui j’étais à l’époque, mais c’est par les épreuves qu’on se façonne une identité.
__ Et c’est quoi ta nouvelle identité ? Antisémite ?
__ Non, Français, Français qui assume, rétorqua-t-il en croisant les bras.
__ Oui , enfin bon t’es né ici, parce que ton arrière grand père a traversé les Alpes, voilà presque un siècle ! c’est tout.
__ Platini, Coluche, c’est la même, et de toute façon les Européens, c’est le même creuset… ça n’a rien à voir.
__ Le même creuset ? Quel creuset ? Ricanais-je encore.
__ La Chrétienté.
__ Aahaha… Et Jésus était pas juif peut-être ?
__ C’est plus compliqué que ça… disons hélleno-chrétien si tu préfères.
__ Ouais, je vois… à mesure, tu vas adapter tes réponses pour avoir l’air cohérent, mais je t’l’ai dit, votre propagande marche pas avec moi.
__ Celle des sionistes par contre…
__ De quoi, ah oui c’est vrai… Si je suis pas avec vous, je suis nécessairement contre vous !
__ On vit une époque où il est primordial de choisir un camp, vu comment tout se délite !
__ Okay, c’est vrai, les capitalos niquent tout, mais ils sont certainement pas tous juifs… En fait la plupart c’est des blancs ultra réacs, bien fachos… Enfin la vérité à mon sens, c’est que tout le monde a sa part de responsabilité.
__ C’est pas faux, mais c’est les banquiers juifs qui sont derrière eux.
__ Bon, ça sert à rien en fait, t’es trop infecté… Ce que je comprends pas c’est comment ça t’es arrivé ? Tu t’en foutais de ce genre de connerie avant ! Bordel, on avait des potes blacks, des reubeus, t’étais même maqué avec une fatima à l’époque, t’as oublié ou quoi ?
__ Tout au contraire, répliqua-t-il en serrant les mâchoires, c’est mon histoire avec Hayet qui m’a fait me réveiller.
__ Ah oui Hayet, je me souviens… Et ben quoi ?
__ Eh ben on a eu deux gosses ensemble, et un jour elle en a eu marre de ma gueule, et elle m’a j’té, comme un moins que rien.
__ Ouais, c’est dur, j’connais… Mais ça m’explique pas pourquoi… Attends, elle t’a largué pour un feuj’ c’est ça ?
__ Non… Pour une moeuf, Claire. Une sale tainp…
__ Ah… okay c’est pas facile, mais je comprends toujours pas pourquoi, tu…
__ J’ai fait une dépression après notre divorce, je me suis retrouvé tout seul, tous nos amis communs étaient de son côté… Les seuls qui m’ont aidé, c’est les potes du forum “pères solidaires”.
__ Connais pas.
__ Peu importe… Le truc c’est que grâce au forum j’ai rencontré des types d’égalité et réconciliation et…
__ Ouah non… C’est à ce point là  ? Soral et tout… non, j’y crois pas, m”ébahis-je encore.
__ Tu vois, t’es comme tout le monde tu te fis à ce que disent les merdias… pourtant si t’écoutais ce qu’il dit sur l’effondrement de notre société, la taffiolisation généralisée…
__ Mais je connais justement ! Le mec se qualifie lui-même de nazi ! Il admire Mussolini ! Ça va pas la tête ou quoi !?
__ Je suis pas forcément d’accord avec tout ce qu’il dit, mais sur les femmes, les juifs, le fait que tout ce qui a trait à la virilité soit constamment  mis à l’index, là, il a raison !
__ La virilité mise à l’index, whaw, là faut m’expliquer, pouffais-je de dépit.
__ Eh ben, regarde simplement autour de toi… Comment sont habillés les mecs, tiens là le groupe de bobos, tous avec les futals de moeufs… ou plutôt d’homos !
__ Ha ? Il me semblait plutôt que les gays étaient l’incarnation même de la virilité, suffit de regarder les couvertures de leurs magazines, que des éphèbes musculeux, si ça c’est pas viril !
__ Ça n’a rien à voir, c’est une question d’attitude, la virilité, c’est pas juste de la gonflette !
__ Bon, en tout cas, tu remarqueras qu’à notre époque c’est pas vraiment mis à l’index, le culturisme, je me rappelle plus le dernier film que j’ai vu où c’est qu’y avait un type sans pecs, ni abdos !
__ C’est pas que ça être viril, c’est avoir le courage de se battre pour ses idée, pour sa famille, sa patrie… Tiens regarde les migrants, que des découillés qui fuient au lieu de se battre chez eux pour défendre leurs terres et leurs familles !
__ Ah… Paske tu crois qu’il faut pas des couilles pour traverser des déserts à iep? Des mers sur des radeaux ? Des pays en guerre ? Avec même pas de quoi boire ni de quoi manger… Eh ben, excuse moi si je trouve ça courageux.
__ Ouais, c’est ton point de vue, ça se défend… Au moins avec toi on peut parler, reconnut-il.
__ Avec tout le monde si tu prends le temps…
__ Bien sûr, rien que t’essayes de faire connaissance avec une mousmé que tu connais pas, c’est du bol si elle crie pas au viol direct !
__ C’est sûr que c’est plus compliqué de draguer dans la rue, c’est plus ce que c’était…
__ Tu vois, aujourd’hui si tu te comportes en homme, on te cloue au pilori !
__ Faut pas charrier non plus, les nanas se font traiter de pute à peine elles mettent une jupe, c’est quoi ça ?
__ Ben peut-être, mais en même temps si tu t’exposes, faut pas s’étonner !
__ T’es vraiment… hey, tu pètes un boulard là ! Qui te dit qu’elle a pas rendez-vous avec son mec ? Quelle a pas juste envie de se sentir jolie ? Et qu’est-ce ça n’a rien à voir avec un appel au viol ?
__ Ouais, ben quand ma moeuf elle sort, je lui interdis de s’habiller indécemment. Faut savoir se respecter soi-même.
__ Eh ben si c’est se respecter soi-même que d’obéir aux commandements iniques des autres sous prétextes qu’ils ont un pénis, on est pas rendus, tiens !
__ Eh ouais c’est comme ça ! Il est temps de se souvenir qu’on est pas interchangeable, les hommes et les femmes sont pas doués pour les mêmes choses, c’est tout ! Et maintenant c’est n’imp’, Flics, pompiers, soldats, c’est quoi ça ?
__ Des êtres humains qui choisissent eux-mêmes leur profession, selon leurs envies…
__ Voilà, et quand tout le monde fait ce qu’il a envie, ça donne ça notre société de merde où plus personne prend ses responsabilités !
__ Donc si t’as un vagin, tu fais ce que ceux qui ont une bite ( à la place du cerveau, s’entend) ont décidés… Mais dis moi cette société dans laquelle on vit, les fruits des révolutions industrielles qu’on récolte aujourd’hui à plein poumon, c’est qui qui les a plantés, hein ? Sinon des patriarches à moustache, bien virils en redingote comme tu les aimes ! Les mêmes qu’ont envoyés nos arrières grands pères mourir dans les tranchées et pareil en 40… Non en fait, je vais te dire ton problème, c’est qu’à partir du moment où la société évolue et donc qu’on reconnait qu’il y a égalité entre les sexes, ça demande de faire un effort sur soi-même et ses représentations, ça demande  du courage...
__ Y a pas d’égalité, t’as qu’à voir en sport déjà…
__ Ah la la, l’argument qui tue, on a pas la même physiologie, et ben... quelle découverte !
__ Pareil en math, en physique, en ingénierie…
__ Marie curie, c’est de la merde donc ?
__ Voilà y’a toujours une exception et…
__ La matheuse black américaine qu’a fait tous les calculs de trajectoire pour  la mission apollo…
__ Faudrait déjà qu’on y soit allé sur la Lune !
__ Ah… C’est à ce point là… Bon. C’était cool de te revoir en tout cas.
__ Façon de parler…
__ Oh non, souvent je me dis que je suis un vieux con quand je m’écoute parler… Mais je suis content de voir que j’ai encore de la marge… Conclus-je enfin notre échange.
 Il ne répondit rien à ma dernière saillie, même si je sentis bien dans mon dos son envie de me tarter qu’il devenait retenir bien fort ! Mais bon je ne m’inquiétais pas trop non plus. Défoncer par derrière c’est un truc pas viril du tout… Surtout qu’en s’adonnant à pareille pratique, il aurait pu passer pour un inverti !      
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kitsumm · 5 years
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Années collèges
pourquoi je me suis fait du mal à écouter certains de mes amies
tout en sachant que je pourrais pas les supporter toute ma vie
pourquoi ils m’ont fait chier et en ont ri
pourquoi j’ai pas au moins profité, pourquoi j’ai fait pas fait de conneries
pourquoi j’ai jamais assumé ce que je faisait, quand je traînais avec eux
pourquoi j’étais le seul peureux, même si ce qu’on faisait en intéressait peu
pourquoi j’étais prudent je m’investissait dans rien
donc je m’ennuyait en voulant être un mec bien
pourquoi j’étais souvent pris un con
pourquoi on prenait jamais compte de ma position
pourquoi j’étais la victime qui s’apitoyait sur son sort
t’a qu’a voir ce son j’en parle encore
pourquoi les seules fois où c’est de moi qu’on a entendu parler
c’était en racolant des des ragots, rigolant à moitié parce qu’il y avait une fille que j’aimais
pourquoi quand je commençais à détester un pote, il devenait le meilleurs du monde
pourquoi, pourquoi ça ne durait que deux secondes
pourquoi le moindre coup de vent dans mon établissement
me faisait penser à un attentat
j’ai passé trop d’heure à attendre que ça n’arrive pas
des heures, ils y en avait beaucoup où il s’en est fallu de peu
pourquoi j’identifiais la moindre secousse comme un coup de feu
pourquoi j’ai trop souvent eu mal au ventre
pourquoi des problèmes d’intestins ont interféré dans mon destin
pourquoi la seul manière pour mes potes pour parler de ça
étais de se moquer de moi et forcément ça n’aide pas
à la recherche du bonheur perdu
mon présent pèche
quand je repense à ces bonnes heures perdues
mais la réalité était plus sèche
pourquoi certains changeaient lorsqu’ils étaient en groupe
était cool touts seuls mais suivaient les humeurs du plus fort de la troupe
pourquoi c’était les même qui se refusaient moutons
clamant qu’ils faisaient parti des vrais
alors que comme tout le monde ils arboraient des boutons
pourquoi ils suivaient toujours, alors qu’ils voulaient être quelqu'un
ils le deviendront peu être un jours mais en attendant ils faisaient rien
pourquoi l’excuse d’endurcir servait à frapper les mêmes personnes
pourquoi des leçons sur le harcèlement n’ont pas changées la donne
pourquoi ils ont toujours voulus catégoriser
surtout, est ce qu’il était obligés de l’affirmer,
pourquoi certains des meilleurs élèves en cours
devenait leurs contraires une fois dans la cours
pourquoi ils se faisait chier à être bien que pour faire la cour
et surtout pourquoi il n’y avait que pour eux que ça marchait
j’ai tout raté, incapable de draguer
les femmes de ma famille étaient les seuls auxquels je parlait
pourquoi, je passe mon temps à faire des leçons
pourquoi je me pose autant de questions
pourquoi personne n’y répond
pourquoi j’alterne entre tristesse et bonheur
pourquoi cette fille ne fait plus battre mon coeur
pourquoi je nage dans l’inconnu alors que j’en ai peur
pourquoi c’est jamais de moi que l’on aura peur même si je deviens rappeur
mais quel est le rapport le sujet n’est plus le même que tout à l’heure
pourquoi je me suis fait mener en bateau
pourquoi j’ai toujours été dans le vague
pourquoi j’ai jamais touché terre
pourquoi j’étais incapable d’être moi même avec la fille que j’aimais
pourquoi j’ai jamais pu lui dire « je t’aime » en toute honnêteté
pourquoi je perdais mes moyens quand elle était à côté
j’étais à côté de la plaque ; d’égout
pourquoi j’ai provoqué peu d’autres chose que du ; dégoût
pourquoi j’ai passé autant de temps à m’ennuyer en cours
même si j’étais motivé c’était la même chose chaque jours
pourquoi ceux qui disaient « à chaque jour suffit sa peine »
était dans la vie les seuls qui pourraient tenir plus d’une semaine
pourquoi mes hormones me jouaient des tours
pourquoi ces même hormones nous poussaient à devenir lourd
pourquoi c’était toujours les même qui posaient problème
ils auraient écoutés en physique, ils auraient trouvé la solution
et en math on leur aurai dit que l’égalité serait la seule façon de résoudre l’équation
à la recherche du bonheur perdu
mon présent pèche
quand je repense à ces bonnes heures perdues
mais la réalité était plus sèche
pourquoi le plaisir leur importait moins que la compétition
pourquoi ça ne provoquait que moins de motivation
pourquoi dans les tournois, je m’investissais qu’à moitié
pourquoi j’avais trop peur d’échouer, de devenir la risée
pourquoi au système de la compétitions
j’étais le seul à ne pas adhérer
pourquoi mon envie était altérée par tout ceux qui gagnaient
pourquoi je voulais pas m’impliquer de peur de voir que je ne pouvais pas les dépasser
pourquoi les blancs arrivaient toujours quand j’essayais de blaguer
pourquoi ceci a été suffisant pour affirmer que j’étais perché
pourquoi quand on se moquait de moi, je surréagissais
pourquoi j’attrapais toujours à pleine mains la perche que l’on me tendait
pourquoi j’oubliais à chaque fois qu’elle était mal intentionnée
pourquoi j’oubliais que réagir était la pire manière de les contrer
pourquoi je me suis plaint des problèmes qu’il y avait dans nos contrées
alors même qu’on me contait des horreurs plus atroces dans les pays d’à côté
pourquoi j’ai si souvent chialé
alors que ce que les autres subissaient pouvait bien être d’une plus grande gravité
pourquoi en déménageant j’ai pas pleuré
pourquoi il y si peu d’amis que je vais réussir à garder
pourquoi je ne réalise toujours pas ce que ça me fait
pourquoi sur ma famille le temps à fait ses méfait
pourquoi quand on voit des proches mourir à petit feu
on réalise qu’on les voie jamais et qu’on se contente de peu
pourquoi on a tant de mal à vivre heureux
pourquoi je n’ai pas réussis à trouver quelqu'un pour vivre à deux
pourquoi personne ne m’a fait voir la vie en bleu
ou en rose  peu importe je voulais juste l’amour et le reste importait peu
Pourquoi je suis effrayé par mon futur,
pourquoi quand j’y pense je me heurte à mur,
je trouverai pas de réponse à ces questions
j’en trouverais pas avant la fin de la chanson
Bien sûr, tout était pas si noir,
j’ai caché les bons côtés de cette histoire
j’oublie les bons moments passés ensemble
pourquoi les raconter ils sont inintéressant
il m’a fallu quatre minutes de rap, pour raconter touts mes malheurs
qui sait combien de temps suffirait à dire mes bonheurs
aller sans rancune, on se voit cet été
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wesh-impala · 5 years
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J’aime le foot féminin !
Bon, y’a encore les pépés relous qui viennent nous donner des leçons,
car la société change … et petit à petit les parents victimo-bobos cèdent aux caprices de Kimberley 10 ans et iront l’inscrire au football a la rentrée prochaine…Fallait leur dire que c’était suspect qu’elle demande le survêt du PSG à Noël, pour faire la craneuze devant les copines ? Elle a végédream comme sonnerie de téléphone...
Merde, en 2019 les gamines aussi kiffent le football !? Terminé d’en faire des Nadia Comaneci, ça défrise Finkelcroute… Étonnant, nan ?
Comme je suis l’ouverture d’esprit incarné, j’ai maté le football féminin… et j’ai bien aimé.
J’aurais pu terminer l’article ici. Point final. C’était cool. Chacun ses goûts et nique ta mère.
Ca aurait pu être suffisant. Malheureusement, j’ai rencontré une espèce de race de sous-con, le genre de mec qui s’y croit tellement mais tellement, alors que son avis sur le foot féminin, c’est celui de mon oncle le réac qui a auto-publié son livre de merde sur Comment la France c’était mieux avant… Et qui nous emmerde depuis des années… Le genre de freiné du cerveau pour qui tout ce qui est féminin = de gauche … Et par conséquent, tout ce qui est de Gauche => FIN DU MONDE.
La petite graine de chialeuze qui nous explique que malgré son look de prétentieux de médecine,  puisqu’il est mâle, blanc et qu’il bouffe des chattes, il est persécuté… Le ouin-ouins parfait.
Sauf que ce jour là, j’avais pas du tout envie de débattre de sa connerie politique incorrecte, je voulais parler foot en buvant de la bière et en lâchant des rots. C’est mon droit le plus stricte et ce connard a gâché mon plaisir...
Je vais donc expliquer en intro ce qu’il faut a minimum savoir sur le sport pour avoir rien que le droit de donner son avis.
En 1,  je vais démontrer que ceux qui n’aiment pas le football féminin sont en réalité des militants insupportables, avec des tronches de fan de Roland-Garros,  ayant encore du sperme de reac sur le coin de la bouche.
En 2, je vais t’expliquer pourquoi ton argument du spectacle en congé dans le football féminin, c’est de la mauvaise foi de footix et que t’as trop joué à la Playstation.
En 3, idem que le 2, mais en plus rigolo !
En conclusion, laisse moi kiffer la vibe avec le foot, j’chuis pas d’humeur a c’qu’on me prenne la tête
INTRO
Arrête de comparer le football féminin au football masculin. Que je sache, quand on corrige ton DM de maths, t’es pas noté sur l’échelle de Cédric Villani / 20.
Le ballon est trop lourd, les cages sont trop grandes et il faudrait peut être un peu adapter tout ça à la réalité des morphologies des joueuses. (C’est pas moi qui l’invente, c’est des chercheurs Norvégiens https://www.lemonde.fr/sciences/article/2019/06/17/pourquoi-les-footballeuses-sont-des-surhommes_5477551_1650684.html)
J’dis pas de la merde, au handball, la balle des féminines est plus petites et moins lourdes, idem pour le basket. Le marteau en athlétisme, il est de 8kg pour les gars, contre 4 kg pour les filles.
Et fais pas genre, c’est la honte, toi le mec qui soulève des altères ou alors balance un marteau de 4kg à 80m avant de l’ouvrir.
J’vais pas rentrer dans un débat idéologique en prenant comme prétexte la biologie pour affirmer que les meufs feraient bien de rester à la maison. On est en 2019 et Néandertal est mort.
Je fais juste remarquer à Jean-Connairien, qu’en moyenne, les meufs sont 10 cm plus petites, ont des pieds plus petits, pèsent 10kg de moins. La force musculaire n’est pas comparable. Voilà les faits, pour ce qui est des interprétations, c’est de l’idéologie partisane et de ça, je m’en branle.
En résumé :  nos footballeuses actuelles jouent avec des médecines ball (si t’as pas la ref, va te foutre au sport ! ) , Marie Jo Perec sera toujours une seconde plus lente que Usain Bolt et pour la gardienne aux cages, c’est un peu toi qui te fais lober à 35m car tu fais 1m60 et que tu as la détente d’un Kangourou qui a bouffé un cassoulet le midi.
Ca paraît un peu gratos ce que je dis, mais c’est important. C’est important car ça permet de répondre à Dissident-Twitterboy, qu’on en a rien a foutre de savoir que les féminines perdent leurs matchs d’entraînement contre les masculins U15 !
On s’en bat les ovaires, car le football n’est pas un sport mixte. Même sur playstation c’est pas un sport mixte. Être la meilleure des footballeuses, c’est un exploit équivalent à être le meilleur des footballeurs, car dans le sport, on juge selon des critères pertinents et équitables. Dans les sports, il y a des catégories : l’âge, le sexe et parfois le poids.  Être champion du monde de boxe des moins de 60kg ne veut pas dire qu’on est une merde parce qu’on se prend un KO par  un boxeur de 130kg. Ca veut simplement dire que dans ta catégorie, on ne fait pas mieux, tu es le meilleur.
En conclusion «l’ argument » de la défaite des meilleures filles contre des mecs de 15 ans ne prouve rien, sinon, qu’il serait peut être l’heure d’arrêter de t’informer sur Youtube auprès de consanguins viriles, et peut être que ce jour là, tu arrêteras de complexer sur la taille de ta bite.
1 Le faux commentaire du vrai politique déguisé : Alerte au gogol !
Fais pas genre le football féminin c’est un complot de féministes d’hystériques qui veulent couper les couilles des mecs virils, quand ta référence idéologique c’est un sosie de Gargamel.
Là ! J’attaque le vrai cancer de la critique du football féminin.
Le vrai nœud du problème.
Bon, j’ai listé plusieurs guignoles qui disaient tous la même chose, que j’ai foutu dans mon chapeau … et j’ai tiré au sort : 
 Julien Rochedy.
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Bon, si vous voulez matez sa vidéo, démerdez-vous pour la trouver sur Youtube. J’suis pas là pour sa promo, ok !?
J’connaissais pas ce type, sinon qu’il a plus une gueule a aimer la peinture que le football et que s’il a eu mention au bac, c’est sûrement pas grâce aux points rapportés par le sport.
A quel moment a-t-on un avis pertinent sur le foot lorsqu’on porte des sous pull de chez Jules ?
C’est un ancien-nouveau-proche-on-s’enbranle du Front National. Voilà le seul truc a retenir, car ça va conditionner tout ce qu’il nomme pensée.
Spoil ! Il est contre le football féminin !
Son avis sur le football féminin, en résumé : C’est trop suspect d’aimer le football féminin car ça joue trop mal et que c’est …donc de «ingénierie sociale », un complot des femmes sur les hommes.
Les féministes veulent rendre les femmes moches pour punir les hommes.  
Déjà un point, très révélateur, tu as compris ça, tu as tout compris. Pourquoi je dis « ingénierie sociale » ? Car Jul utilise ce terme environ 775 fois dans sa vidéo. Mais pourquoi utilise-t-il ce terme dans sa vidéo ? C’est pour faire frais ! Il veut enfler son auditoire en faisant semblant d’utiliser des concepts compliqués …  Il veut faire croire qu’il dit quelque chose d’intéressant avec des mots très précis. Alors qu’en vrai, c’est plutôt comme ta grand-mère de 90 ans qui dit qu’elle « kiff » le « rap » en te montrant le CD de Calogero.  Elle fait ça pour qu’on l’aime … qui sommes nous pour la juger ?
Sous-pull reprend un terme « anglais » social enginerring  pour déguiser un peu sa pensée molle en un truc sérieux. C’est une démarche de marketeux, rien de plus. L’ingéniérie sociale c’est une manipulation dans un contexte d’escroquerie où l’on utilise une faille « humaine » pour pécho une information. Par exemple, tu veux haker ton père pour lui choper son code de carte bleue afin de t’acheter du Malibu en cachette, au lieu de faire croire que t’es dans les Experts à Manhattan et qu’il suffit de rentrer des lignes de code pour « cracker» son code (ce qui n’est pas possible), tu vas plutôt demander à ta pote qui a une voix sexy de lui téléphoner en se faisant passer pour sa nouvelle conseillère.  Entre trois compliments, elle va lui demander ses codes bancaires et comme ton père est un con qui fantasme sur les femmes plus jeunes, il va  les filer. Voilà donc un exemple d’ingénierie sociale. Le reste c’est hors sujet.
Quand Juju-coiffure dit … c’est de l’ingénierie sociale … Il veut dire  : ON nous manipuuule ! Ca vient d’en haut ! C’est un complot féministe… Il utilise un mot qui sonne plus sérieux, pour cacher le manque de pertinence de sa pensée nulle à chier. Ces types de tradition de pensée ...conservatrice machin truc (pléonasme pour dire bourge d’extrême droite) sont des guignoles hypocrites.
Ils sont capables dans le même twitte de ricaner sur les femmes qui font des créneaux et d’accuser l’Arabie Saoudite d’être d’horrible réac de pas laisser les femmes conduire.  En gros, quand un pays d’arabes ne respecte pas le droit des femmes ça le scandalise, mais quand un pays de blancos nomme une ministre femme, aussi...
Car le vrai problème qu’ils ont avec le foot féminin, c’est pas le niveau de jeu, c’est tout simplement qu’ils sont une bande de mecs qui passent leur temps à chialer aussitôt qu’on autorise les femmes a faire autre chose que bouger leur cul sur de la musique.
Le problème est politique. Tu as des gusses qui ne dorment plus la nuit car  ils sont persuadés que des hystériques aux cheveux bleues tiennent secrètement le monde, que ces femelles non épilée et coupeuze-de-couilles se sont alliées en secret avec des Islamistes pro Daesh, dans le but de … réduire l’homme blanc au silence. La pensée de Juju-licence-de-droit = Reptiliens.  
Lorsqu’il dit : Le football féminin est imposé par le haut, il dit , c’est un coup des illuminaties.
Mais pourquoi Julienginérie est persuadé de sa connerie ?
C’est parce que les darons du droite game ; bien avant de fixer sur les islamistes en claquette-chaussette et l’apocalypse du grand remplacement des gènes à moustaches d’Astérix par le chromosome Survet’ fluo du Bayern pour 2030, appelons ça, la pensée Eric Zumourienne , nous expliquaient que l’homme allait bientôt disparaître en se féminisant.  Les femmes devaient  prendre le pouvoir et une femme dirige aussi bien un pays qu’elle ne sait conduire (revoyez les vidéos de l’époque 2000).  Un droitard de père en fils,  biberonné a du Zemmour, ça donne en 2019, un type qui pense que si les femmes font du Foot à la tv, c’est pour prendre la place des hommes.
Un court résumé de la pensée de Zemmour et de ses enfants idéologiques : Gonzesses = Bougnoules / Bougnoules = Gonzesses.
[édit bonus] ON a un gagnant ! Je viens de réaliser en lisant la description de sa vidéo que c’était une tentative de buzz, le but derrière tout ça est de vendre une formation «mentalité supérieur », pour des puceaux en quête de virilité. Nous avions donc bien un gourou qui ne fait que du marketing déguisé en pensée, bien joué Sherlock.
A un moment, il faut arrêter de prendre au sérieux ces gens, sinon on va droit dans le mur.
Une preuve ? Si aujourd’hui y’a encore des cons pour écrire Nénuphar avec un PH, c’est parce que les grand-parents académiciens de ces moraleux conservateurs ont décidé en 1935 que l’origine du mot venait du grec ancien (nymphea), alors que perdu, ça venait de l’arabe nainufar et qu’il serait plus juste d’y foutre un F, bordel de merde !  Mais bon, ces connards sont encore capables de nous expliquer que nos gosses ne savent plus écrire Français… (ps : Molière écrivait misantrope et ortographe sans H, fils de putes)
Enfin, c’est un autre sujet.
BRAVO ! GE-NIAL !MERCI
2 Ca joue mal chez les filles ?
GENRE chez les mecs, c’est 9-1 , 9-2, 9-3 c’est la champions league tous les jours ?
Déjà on va couper l’herbe à ceux qui me disent qu’ils n’aiment pas le football féminin car ça joue mal.
Ecoutez-moi, je suis fan de Reims.  Ca veut dire que depuis au moins 2016, je suis heureux de faire 1-1 contre Angers  et finir 8e /20 au classement fut une fierté !
Je déconne pas. Cette année c’est 39 buts en 38 matchs, contre 42 buts encaissés. Pas besoin de sortir ta calculette pour comprendre que ça fait environ une moyenne de 1 but marqué et 1 but d’encaissé par match. C’est le top 1 en nombre de matchs NUL avec 16 ! 13 victoires soit moins d’une victoire tout les 3 matchs...
Avec des notes comme ça, cherche pas, tu loupes ton BEP, mais pourtant, ce fut une saison cool.
Cette année, le monde du football des mecs-qui-en-ont, s’est quand même enflammé pour Rennes. Rennes c’est dixième au classement final (pire que Reims) maiiiis dans la petite coupe d’Europe, ça a « presque » battu Arsenal. Maigre consolation, mais faut dire, Marseille (5eme) n’a pas eu la chance cette année d’affronter le top du top des équipes autrichiennes pour se faire exploser en final. Cette année, OM est tombé contre le meilleur budget de la ligue de football de Chypre option  Latin / Grec ancien LV3 seuls les points au dessus de la moyenne comptent pour le bac.
Le PSG ; le club qui roule sur la ligue 1 car il a fait les codes pour avoir budget illimité, après avoir perdu contre les coiffeurs anglais des U17 en coupe d’Europe, se fait gratter la finale de coupe de France par Rennes dit « la sensation de l’année ». GROSSE FINALE : 2-2 avec 2 frappes cadrées de Rennes contre l’amical du PSG cécifoot et leurs 20 tirs.
L’autre finale de la coupe de la ligue ? Ah oui ! Les ogres de Strasbourg contre les monstres de Guingamp … 0-0 score final, grosse ambiance ...
En 2018, on a gagné la coupe du monde en jouant avec un bus à l’arrière et des lévriers pour contrer.
On fait 0-0 contre le Danemark, le pays de la biscotte.
1-0 contre le Pérou dont le meilleur joueur est un «court tout-droit » aux cheveux décolorés avec comme fait de gloire est d’avoir été prêté un jour dans un club espagnol dont tout le monde se fout.
On fait 2-1 contre des joueurs qui ont des crampons au peau de serpent, grâce à un CSC et un péno.  Le plus beau match, c’est contre une équipe de « stars » qui venait de se prendre la branlée de l’année en poule après un fantastique 1-1 contre l’Islande, pays dans lequel il y a 3 fois moins de footballeurs que d’habitants à Toulouse. Équipe de Stars qui était présente en 8e uniquement car l’arbitre n’avait pas oublié de respecter la tradition qui consiste à voler les équipes africaines en coupe du monde…
Une succession de GROS matchs et d’exploits footballisitiques pour dérouiller en final une Crotatie qui n’avait pas le level et qui était arrivée là,  parcequ’au Football, le miracle fait parti du jeu… J’vois pas d’autres raisons. Une finale de coupe du monde totalement pétée. On mène 2-1 à la mi-temps avec un seul tir. La seconde mi-temps, on aurait pu en marquer 6.
Notre gardien se faisait tellement chier qu’il s’est endormi durant le match, heureusement Mandzukic l’a reveillé.
Et pour ceux qui n’ont vraiment pas la mémoire sélective, on gagne une coupe du monde en 2018 revanchard de s’être fait voler une coupe d’Europe par le Racing Club Christiano Ronaldo qui en  2016 gagne la compétition avec un total pharaonique de 0 match gagné !
Bref, j’pourrais dérouler jusqu’à demain … mais si l’on voulait être sincère, le spectacle chez les mecs, c’est le cas depuis des années,  il est surtout présent lors des phases finales de la ligue des champions. Ce sont des matchs impressionnants car on voit s’affronter le top du top des gamins élevés au grain depuis leur 11 ans.
Faudrait donc qu’on arrête de nous faire croire que le football homme est aussi populaire car nous avons Neymar VS Mbappé a tous les matchs.
Ne soyons pas de mauvaise foi et en avant Guingamp.
3 « Puis, je réalise que la meilleure joueuse, la semaine elle vend des Tacos dans un foodtruck et là, elle prend sur ses RTT pour foutre des petits ponts et des coups de coudes…
Qu’est ce qu’il te faut de plus pour kiffer  ?! »
Et moi, j’ai regardé le football féminin et j’ai trouvé que ça se foutait pas mal sur la gueule, que les arbitres sifflaient une faute sur dix. Ce qui est cool, car ça veut dire qu’on peut arrivé lancé, tacler du genou et voir l’arbitre laisser jouer. A l’ancienne quoi. Le pied !
Au passage, ça fait des années que j’entends chialer sur le salaire de Neymar… En 2010 nos joueurs étaient des racailles trop payées qui n’avaient pas l’amour du maillot… et blablabla.
En 2019, nos joueuses chialent en chantant la marseillaise et ta meilleure joueuse ne gagne même pas le salaire du Kiné de l’équipe de France masculine.
Perso, je trouve cette argument pété et démago, mais faudrait savoir ?
Pour exemple, je matais l’Argentine. Et là, j’apprends que les joueuses sont arrivées en avion la veille puis ont passées la nuit dans le bus pour arriver au stade à temps, car leur fédé n’a pas voulu leur payer l’hotel. Comme quand t’étais poussin et que tu allais affronter le FC Bayonne et qu’une vente de gâteau te permettait de louer un gros bus que tu salopais avec tes potes au fond.
Puis, je réalise que la meilleure joueuse, la semaine elle vend des Tacos dans un foodtruck et là, elle prend sur ses RTT pour foutre des petits ponts et des coups de coudes…
Qu’est ce qu’il te faut de plus pour kiffer  ?!
Et niveau du jeu… Certes, t’as des différences de niveau folles, mais ça avance dans le bon sens. Un jour c’est France-Andorre, parfois c’est Saint-Marins contre Gibraltar, admettons. Tu as encore des équipes qui ont donné un autre maillot a la joueuse de champ la plus grande pour la foutre aux cages, genre, ça va pas se voir … Il y a des défenses, ont dirait que les meufs voulaient jouer attaquantes, du coup elles boudent. OK !
Cependant, il ne faut pas oublier que tu as des joueuses qui depuis des années ont des moyens pour s’entraîner, quand d’autres équipes, leur parcours c’est un remake de rasta rocket.  
La coupe du monde féminine n’a même pas 30 ans. Beaucoup de pays qui ont une équipe féminine n’ont pas réellement de championnat chez eux. En France (on est pas les pires !) nous avons une équipe (Lyon) qui écrase toutes les autres équipes entre 6-0/ 10-0 depuis 13 ans. Le PSQuatar a désormais son équipe depuis peu. Montpellier a tenté un truc... Bref, le football féminin de haut niveau en France, c’est 2,5 équipes. C’est des rencontres entre Juvisy et Saint-Memmie ! Qui connaît Saint-memmie ? (petite bourgade de 5000 habitants …)  Le FC Fleury contre Rodez.
Tout ça pour dire qu’il faut laisser le temps au Football féminin de grandir.
Car souvenez vous ... Pour ceux qui aiment l’histoire, les débuts du foot masculin. On en parle ?
C’était des scores de Tennis le truc, 7-5 / 6-2… Tu pouvais arracher les tibias (le carton n’arrivera que dans 36 ans). L’équipe star des années 50, c’était la Hongrie…. Ouais la Hongrie, ce beau pays gris camailleux. Elle se pointait et foutait 9-0 et 8-3 a ses adversaires en matchs d’ouvertures. L’équipe de RDA se dopait tellement que les joueurs chopaient la jaunisse et le ballon c’était une vessie de porc qui faisait 100 kg.
Notre attaquant remplaçant plantait 13 buts en 6 matchs durant une coupe du monde, imagine la gueule des défenses en bois.
Bref, les joies du football amateur. Et puis avec le temps, les choses se sont professionnalisées, les niveaux ont augmenté, les écarts diminués. Terminé l’époque de ce héros qui arrivait cuité sur le terrain, qui dribblait tout le monde marquaient buts sur buts, s’allumait une clope à la mi-temps et vomissait sa bière à la fin du match. C’est terminé Reims en final de ligue des champions. St-Etienne prend 4-0 contre Manchester, mais sont fiers de pas en avoir pris 8.
Désormais les matchs se gagnent aux pénos. Le foot moderne c’est devenu la VAR de molière. Les meilleures équipes font 0-0 contre des pélos du tiers monde qui jouent a 11 derrière…
Et pendant ce temps Neymar se roule par terre et on tombe amoureux de l’Ajax le temps d’une saison, le temps que l’équipe se fasse racketter par les grands.
En attendant la prochaine coupe du monde à 48 équipes… *tousse* 
Bref, du spectacle quoi.
En conclusion : Le Football féminin, c’est intense. Terrasse de bar, cacahuètes, bières et poto.E.s.
Donc, je veux bien admettre que durant les dernières compétitions féminines, la différence de niveaux, notamment durant les premiers tours, gâchait un peu le spectacle.
Pour cette coupe du monde, j’ai vraiment vu du changement. Le 13-0 des États-Unis, c’est un peu l’exception, le vestige d’une époque révolue où clairement le US-Goliath affrontait le FC David.
A partir des 8e… un régal !  
Pour les matchs de l’équipe de France, j’ai fait le test le plus révélateur : Terrasse de bar, cacahuètes, bières et poto.E.s.  France / Brésil, puis la défaite contre les États-Unis.
C’est quand j’ai commencé à balancer des insultes en écriture inclusive que j’ai compris que le test était concluant. Enculé.E ! Bouge ton cul feignasse ! Mais quelle coooonnne !
On était pas très nombreux sur cette terrasse, il ne s’agit pas de nier la vérité. Rien de comparable avec le 8e de final chez les mecs. Nous étions à notre table et la table derrière nous s’est prise au jeu aussi… Puis des passants curieux nous ont questionné en nous voyant.  On nous demandait le score, si ça jouait bien.
Le football féminin en terrasse, c’est un peu comme Tinder, chacun attend que l’autre fasse le premier pas pour se livrer.
On a sauté de notre chaise pour le but de Renard contre les Etats-Unis, on y a cru.
Après le match, on s’est laissés aller à une analyse footballistique de radio bistro.
Bref, tous les signes encourageant étaient là.
Le match France contre les Etats-Unis, c’était intense. La vérité du moment à parlé. Une vraie rencontre sportive de haut niveau entre nos meilleures guerrières et celles d’en face. (Et notre défense en bois… aheim)
Angleterre / Etats-Unis, très beau match de haut niveau.
L’attaquante Anglaise Ellen White m’a vraiment impressionnée durant toute la compétition.
Quelle tueuse ! Première victime tombée en martyr de la VAR.
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Ma chouchoutte de la compétition, assurément !
Japon – Pays-bas, c’est fort plus intéressant qu’une finale Strasbourg Guingamp.  La Japonaise qui fait une passe décisive sublime à la Iniesta ? T’as déjà vu ça durant Dijon – Toulouse ?
Et l’attaquante Bresilienne Debinah, RIP son tibia contre Wendie-1m90-Rernard , qui a failli foutre une sorte de râteau/reprise de volée sur un corner… Perso, j’attends toujours que Remi Oudin tente ce genre d’action de génie… Et le but de l’anglaise face à la Norvège, on dirait une frappe de Bourigeaud. Je pensais jamais voir ça chez les meufs.
Tout ça pour dire que perso, j’ai kiffé le football Féminin, je pensais dire une connerie du genre : C’est pas le même sport … Mais c’est de la connerie, c’est bien le même sport. Il faudra encore des années de développement pour gagner en maturité de jeu et diminuer les écarts de niveau. Les défenseuses sont encore parfois très naïves et passives.
Y’a des buts, t’as un peu l’impression de revoir les archives des vieux buts de Pelé en noir et blanc où la défense était encore plus catastrophique que toi, et tes sportifs du dimanche de potes, qui se font humilier par des Karim de 12 ans au city-stade.
Je pense qu’il faudrait aussi adapter certains éléments. Peut-être un ballon moins lourd, des cages moins grandes. Ca gagnerait en explosivité.
Peut être que d’ici quelques années, la majorité des gamines passés 13 ans auront encore l’occasion de continuer le football compétitif et ne seront pas obligées de poursuivre dans le handball, faute d’avoir une équipe de fille dans leur ville. Ce jour là, peut être qu’on aura en France un championnat avec plus que 3 équipes et une concurrence plus forte entraînant une hausse générale du niveau de jeu.
Peut être qu’un jour, les gens vont accepter le football féminin comme ils ont accepté que les filles jouent au Handball, fasse de l’athlétisme et du judo.  Peut être alors que ce jour-là, il sera possible de parler Football sans que des connards qui captent rien au sport, ne viennent me parler du féminisme… Du complot de ta sœur en short et de l’éviction de l’illustre Tex de l’émission des Z’amour. Une époque où l’on pourra parler des erreurs de placement de la combative Torrent sans que le mec nous réponde, oui mais... Marlène Schiappa.
Et en conclusion : Valérie Gauvin veux-tu m’épouser ?
(Grace au foot féminin, je comprends enfin les meufs qui mouillent sur Giroud...
Bon ok, ça c’était gratos .)
PS : Aux chiottes la VAR!
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Hier je me fesait bien bien chier, du coup j'ai fais mon expert en politique et je suis allez matter encore une chiée de vidéos sur le net, lire des articles et tout et tout.
Je sais pas si vous en avez entendu parler, de ce petit comique d'administrateur de l'inter-LGBT qui est passé sur le plateau télé d'Arrêt sur images. Et la séquence du "Je ne suis pas un homme" m'a fait rire autant qu'elle ma consterné.
Donc j'avais envie de réagir sur çà, surtout sur Tumblr qui est bien rempli de membres de la communauté LGBT et pour une fois on va rester sérieux, parce que les insultes vénères tout ça c'est bien rigolo mais ça rend pas crédible et la j'essaie de l'être. Avant de rentrer dans le vif, sachez quand même que je ne suis pas homophobe ou transphobe ou quoique ce soit. Je souhaite sincèrement que chacun puisse vivre heureux et être bien dans sa peau malgré ses différences. Je pense aussi (sans dire ouais les LGBT vous êtes cinglés) que ça doit être difficile de vivre en tant que trans ou personne qui ne s'identifie pas à son sexe biologique, et venez pas me dire le contraire, quand on observe le taux de suicide juste chez les transsexuels par exemple (qui est foutrement énorme et ça fait chier hein) on ne peut que se dire que c'est des personnes mal dans leur peau non ? (Remarque tas bien quelques hypocrites qui te diront que non, c'est à cause du systeme qui est méchant avec eux, et puais cest pas faux, mais c'est pas que ça fait pas prendre les gens pour des cons hein)
Donc pour en revenir à ce petit guignol dont je parlais au debu5, le mec sur le plateau on l'appelle "Monsieur" et il se sens vexé, je répète le mec arrive, avec sa barbe, et te dit "Non je ne suis pas un homme" soit, après tout on est dans un pays libre non ? Mais alors le présentateur lui demande donc comment il se définit et le mec lui répond "non binaire" comm3 si c'était une réponse correcte et crédible, on lui demande comment il se définit, homme ou femme, et lui il répond avec ni l'un ni l'autre... Alors ok ni homme ni femme mais quoi alors ? J'aimerai vous fzire comprendre le ridicule de cette réponse, c'est xomme un gosse à qui on demande tu veux vanille ou chocolat, et que le gosse te dit ni l'un ni l'autre, et quand tu lui demandes quel parfum il veut il te redit ni l'un ni l'autre. Mais quelle merveilleuse façon de faire avancer les choses.
Franchement moi je comprends carrément qu'un homme ou une femme puisse se sentir femme ou homme, pour moi qui suis un peu sexiste (oui oui, si tu penses que les hommes et les femmes sont différents aujourd'hui t'es sexiste mdr) je pense qu'il y a quand même des trucs (et des trucs positifs hein) qui sont propre au sexe biologique. Genre des qualités féminines et des qualités masculines (même les féministes sont d'accord la dessus avec leur connerie de parité 50/50), ce qui n'empêche pas un homme d'avoir des qualités féminines ou une femme d'avoir des qualités masculines. Le problème pour moi c'est tout le reste à côté, la théorie queer c'était pas si con à la base, on ne nait pas homme ou femme on le devient. Quon devienne homme ou femme c'est normal, c'est un peu ça grandir, se construire, mais que dire alors de ceux qui ne se sentent ni homme ni femme, vous vous sentez quoi ? Chèvre ? Table basse ? Pétrolier ?
Mais même ça dans le fond je m'en cogne, on est libre bordel ça j'y tiens. Le truc qui me ferai presque regretter le goulag (humour hein) c'est que ces gens essaient d'imposer ça comme une nouvelle norme. Et les conséquences de ça sont désastreuses. Quand je vois que des parents dans le délire LGBT en sont à faire choisir leur genre à des gamins de même pas 10 ans (https://youtu.be/pjKBnFtmKKA) j'ai envie de gerber et de leur retirer leurs gosses au passage, faut être d'une mauvaise foi consternante pour croire qu'à cet âge là on est capable de prendre des décisions avec du recul, décisions qui impacteront sa vie future. Même à 20 piges on a pas encore beaucoup de recul sur la vie hein (dit merci à ton cortex préfrontal un peu long au développement). Alors quand je vois ce genre de discours relayé sur les médias, qui de fil en aiguille devient une mode pour majoritairement des jeunes, parfois mineur, ça me fait flipper vraiment. J'arrive même pas à imaginer les conséquences que ça aura dans la futur.
L'autre truc qui me gonfle avec le tocard à lunette c'est quand il dit qu'il n'est pas blanc. Bitch please regarde toi dans un miroir, tu dis que t'es pas blanc que t'es à moitié libanais. D'où est ce que tu te permets de dire que couleur de peau (physique) correspond à l'origine (culture) ? Si tu penses comme ça que dire par exemple des kabyles du Maghreb ? C'est des blancs ou pas ? A l'inverse que dire des immigrés installés et intégrés en France depuis plusieurs génération (petit coucou à tout mes polaks, mes toss, mes ritals et mes rebeus avec qui j'ai grandit, désolé y avait pas de black dans mon bled), c'est pas des Français pour toi ?
On a avec ce genre de discours, des connards qui cassent les couilles à propos de leur identité, des gens qui se crispent quand tu les appelles Monsieur, alors que c'est les premier à renier leur identité. Mon cher petit Arnaud c'est pas parcequ'il y a Fawas comme deuxième nom de famille sur ta carte d'identité que ça te rend moins blanc que moi.
Et en plus de ça (et la on regroupe tous les tarés SJW de l'extrême gauche) j'ai la curieuse impression que pour ces gens là tout les maux du monde sont de la faute des hommes blancs, ça vous rappelle pas un petit moustachu qui disait la même à propos des juifs ? (Petit point Godwin OKLM)
Enfin bref, pour conclure je vous dirait simplement que j'ai un gros côté fleur bleu qui me rend un peu tristounet quand je vois des gens malheureux, et pour moi s'enfoncer toujours plus loin dans le délire LGBTABCDXYZ12345*#&$&# ne fera que renforcer les problèmes identitaires de ces personnes. J'aimerai vraiment vous aider, et pas dans le sens "redeviens hétéro cis tu verras ça ira mieux", car si t'es comme si ou comme ça pour moi c'est pas grave, chacun ses différences, et je souhaiterai que tu vives le plus heureux possible malgré tout. Mais pour moi, les gens qui s'écartent de la norme hétéro cis tout ça, cultivent des différences négatives qui ne feront que vous rendre la vie plus difficile.
Après je me trompe sûrement, il y a sûrement un tas de gays, lesbiennes, bis, trans, qui sont heureux dans leur vie et bien dans leur peau, et c'est vraiment tout ce que je vous souhaite, mais faite pas croire aux gens que c'est une majorité. Ne forcez pas les gens à adhérer à des concepts sous le prétexte de la tolérance.
PS : Je met pas tout le monde dans le même sac hein, et si t'es LGBT et que tu veux réagir vas-y les commentaires c'est fait pour ça, tu sais moi j'ai besoin de ton avis pour construire le mien hein, ça sera un plaisir de te lire, par contre si tu met du sel dans tes propos, à base de condescendance et tout l'arsenal de la mauvaise foi, je te garanti que tes gouttes de sueur elles feront 1 litre quand c'est moi qui répondrai.
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claudehenrion · 3 years
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Réflexions sur un pamphlet
 L'expérience nous enseigne qu'il n'existe pas de ''quinquennat heureux'', et même pas de ''facile''. Quand on compare avec les septennats de Vincent Auriol, René Coty, De Gaulle --et même avec Mitterrand, qui pouvait se payer le luxe de faire absolument n'importe quoi d'idiot, d'amoral, de contre-productif... (c’est-à-dire ''de socialiste'', en un mot), sans que le prix à payer ne soit trop élevé, on se dit que le passage au quinquennat à été une grosse connerie ... ce qui semble couler de source : c'est Jospin qui le voulait, et Chirac a laissé faire... Tout est dit, hélas !
Mais le quinquennat d’Emmanuel Macron tourne au ''cas d'école'', comparé à ceux de ses prédécesseurs. Pourtant ils n'étaient pas mauvais non plus, pour enfiler boulettes, bévues aberrations et sottises. Mais le sien est tellement catastrophique qu'on en arriverait presque à le plaindre ! Enfin... un peu ! Ballotté par les vents et les événements, le pauvret enchaîne les doubles saltos ‘’twist’’ sans parvenir à se réceptionner : confinements, couvre-feu, vaccin(s), bricolages et improvisations sanitaires, économiques, sociales, morales et autres... mais également gel trop tardif, sécheresses intempestives, folies importées des universités américaines, gilets jaunes et bonnets rouges, déchaînement des folies islamistes...  tout y passe, dans une cacophonie de déclarations de ministres qui, n'ayant ni feuille de route, ni but, ni logique dans l'action --autres que quelques généralités toutes perverses et toutes mortifères : le ''ni... ni...'', le ''et en même temps'' et, plus récemment, le ''quel qu'en soit  le prix'' qui fait penser très fort au ''ça ne coûte rien, c'est l'Etat qui paye'' des années noires--  se répandent en affirmations contradictoires et incompatibles, ou bien sont aux abonnés absents (après 4 longues années de macronisme, la France ignore le nom et le ''job'' de 90 % des ministres en place --faites le test !).
Le feu roulant de l’actualité semble si peu vouloir ‘’laisser du temps au temps’’, qu'Emmanuel Macron devait logiquement avoir à faire face, dans un futur très proche, à une exaspération violente de la partie du peuple qui est, d’habitude, silencieuse, celle qui bosse, qui entreprend ou qui profite de retraites amplement méritées, et qui paye ''sans moufeter'' ses impôts scandaleux et surtout mal dépensés en foucades inutiles et mortifères au détriment des vrais besoins prioritaires. Il ne fait de doute pour personne ou presque qu'on est ''En Marche'' vers des péripéties (faillites, impôts à gogo, terrorisme islamique, séparatisme sur le sol national, haine se répandant, dérives judiciaires, et j'en passe) qui devraient logiquement déboucher sur une forme ou une autre de ''combat de tous contre tous'' (le mot est de Gérard Collomb, pas spécialement homme de Droite). Moi, je remercierais ceux qui m'avertiraient d'un vrai danger imminent... Eux, pas du tout !
Car voilà que d’enquiquinants pensionnés, étoilés et galonnés, viennent mettre de l’huile sur le feu, à travers une une ''tribune'' ou ''lettre ouverte'' publiée dans Valeurs Actuelles, qui appelle la classe politique à lutter contre le délitement de la France. Rien de plus : des ex-militaires (ayant accepté le sacrifice suprême pour leur pays, ils sont en théorie un peu plus patriotes que le commun des mortels) sortent de leur mutisme légal pour prévenir solennellement nos dirigeants actuels que la guerre civile menace, et que si, d’aventure, ces tendances délétères se poursuivaient, une mission périlleuse de protection des valeurs de notre civilisation et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national pourrait être nécessaire, ce qu’une vaste majorité de citoyens français (dont le nombre croît sans cesse) sait déjà.
Il faut être énarque ou député ''En Marche'' pour refuser de voir que les ''hordes de banlieues'' déferlent à la première occasion, que des territoires entiers obéissent ''à d'autres règles qu'à notre Constitution'', qui est détestée par les ''black-bloks'' et plus encore ''par l'islamisme politique'', et que les absurdités des soi-disant ''décolonirateurs, Woke et cancel culture'' sont de véritables armes de guerre lancées contre la France, notre civilisation, et ce qu'est devenue ''la République''. Serait-ce un crime de le dire ? Qu'ont dit d'autre, aujourd'hui même, le Préfet de la Drôme et le maire de Valence ? Le Préfet ne serait-il pas tenu par un ''devoir de réserve'', lui ? Le tintamarre artificiellement déclenché et le procès en sorcellerie ne sont destinées qu'à camoufler les vrais problèmes sous un épais rideau de fumée médiatisé à outrance et sans vergogne par les ennemis de tout ordre, de toute structure qui marche, de tout ce qui est beau et bon pour l'Homme et l'humanité...
A partir d'un commentaire à peine différent de ce qui se dirait au comptoir de tous les bistrots si on ne les avait pas stupidement fermés, le microcosme des ''excessifs décalés détachés du réel'' pique une crise proche de l'hystérie. Il faudrait raison garder : il ne s'agit que d'une lettre, ouverte en plus, dont certains voudraient faire une bombe atomique, une abomination, une trahison, une félonie, le retour du nazisme --d'autant plus que Marine le Pen a semblé adhérer à cette analyse. Allons zenfants de la Patrie, les zeures les plus sombres de notre histoire sont de retour. C’est un pronunciamento ! Moralité : sans se prononcer sur le fond, il faut de toute urgence soigner ceux qui se croient responsables mais qui sont les coupables !
Dans les rangs du gouvernement, après la consternation, c’est l’habituelle agitation brownienne qui a repris le dessus : ''¡ No pasaràn !''. Pourtant... qui va leur dire que cette odeur de décomposition ne provient pas du pays, mais du compost écolo-conscient et progresso-létal qu'ils distribuent à tout le monde pour tenter de faire passer une analyse sensée pour un appel à l'insurrection '' ? Pas leur chef : il passe son temps à proclamer que ''tout va bien'', et que ''nous avons tenu''(sic !)... Allons ! Ces factieux ont raté une tentative perdue d'avance de retour de la Bééte Immonde (dont le ventre est fécond, etc...)... Circulez, il n’y a rien à voir : on va les radier des cadres où ils ne sont plus depuis longtemps, et on va les faire taire, comme tous les autres ''complotistes'' (interdits sur les télés d'Etat, exclus des réseaux a-sociaux, privés de parutions dans les quotidiens...)... Bref, c’est ''Business as usual''.
Quant à la vérité, à savoir que ces militaires sont, comme l'immense majorité des citoyens, excédés de vivre dans les problèmes non résolus, dans l'abandon de toutes les prérogatives ''régaliennes'', dans une insécurité érigée en obligation de se taire, dans d'inutiles marches blanches, dans un pays où la justice est un antonyme de ce qu'elle devrait être --trafics de drogue impunis, quartiers entiers ayant fait sécession de fait.. Pas important : des criminels sur le retour décrivent ça comme autant de signes qu’il faut lutter vite et fort contre des tendances ultra-sécuritaires, comme l'explique sans mourir de honte Agnès Pannier-Rumacher, sous-ministresse de... personne ne saurait dire quoi (on hésite entre la Pravda et la Propaganda'' !).
Pendant qu'on gaspille l'argent de nos impôts à pourchasser les sonneurs de tocsin, et que les incendiaires courent de liberté conditionnelle en asiles pour drogués non-condamnables, et que des hiérarques défilent sur tous les plateaux subventionnés pour expliquer que tout est sous contrôle et qu’il ne faut pas sombrer dans la nauséabondance facile... les attaques au mortier se multiplient dans les banlieues, les Commissariats sont incendiés, des gentilles policières sont tuées, le terrorisme islamique égorge qui, où et quand ça lui convient, et les ''incivilités'' (sic !) et les tueries entre bandes rivales de charmants adolescents (désœuvrés, dit-on) continuent de plus belle, sous l’œil gauche de nos médias qui trouvent tout ceci sinon normal au moins explicable : les coupables seraient, nous psittacise-t-on, le fascisme omni-présent (dont personne, eux compris, n'a jamais vu une once) et surtout : ''lafautalasociété''. Et l'homme blanc, hétéro et de Droite, bien entendu.
Pour des raisons qui sont de plus en plus difficiles à comprendre, nos guignols au pouvoir choisissent de faire l’impasse sur les raisons de la colère de ces généraux en pantoufles. Ils préfèrent choisir la voie ridicule d’une levée de boucliers contre l’hydre fasciste qui est fantasmée par toute la gauche, par l’extrême-gauche, et par l’extrême-centre, au détriment de la raison, de l’intelligence, de l'objectivité, de l'honnêteté intellectuelle (et autre) et de l'intérêt réel de la Nation, Si nos énarques doctrinaires avaient un peu de présence d’esprit, ils se seraient vite saisis de cette tribune pour enfin régler les problèmes les plus graves qui minent la République. Ne l'espérons pas, il n’en sera rien. Ils préfèrent ameuter les foules en aboyant !
H-Cl.
PS - Sur le fond et sur les limites du droit au silence de ''la Grande muette''. plutôt que de donner mon avis (dont tout le monde se moque, avec juste raison !), je renvoie ceux que ce point intéresse à la lettre ouverte que le Général Piquemal vient d'adresser au Général Lecointre : elle expose et pose tout le contenu et les limites de cette question. De Gaulle y avait aussi répondu, en son temps...
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thewalkingpotes · 6 years
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Ça fait sens pour moi d'essayer de t'écrire quelques mots pendant le Buenos Aires - Barcelone qui nous ramène à la maison. Parce que faut pas se leurrer, c'est bien à la maison qu'on rentre, après en être parties depuis presque huit mois. Je repense du coup, encore une fois, à ce bien fameux coup de tête que l'on a eu, cette piqure d'aventure, de bout du monde, d'exotisme, cette espèce d'envie d'aller voir comment ça se passe ailleurs. Cette espèce de folie fougueuse qui nous a fait dire merde à nos employeurs. Cette petite pointe de fierté quand on commence à en parler. Cette peur immense quand on commence à en parler. Cette difficulté à percuter qu'on s'est bien lancées, oui, oui, à priori c'est bien réel. Tu te souviens de ce petit sentiment de lâcher-prise quand on a acheté notre Paris - Bangkok ? Ce petit pas qui te lance dans l'aventure. Ce petit bout de papier qui t'implique. Je repense aussi à notre énorme fébrilité quand on est parties. Pourquoi on fait ça ? On va pas survivre nous, on n'est pas trop comme ça. Regarde, déjà la bouffe d'Air India t'as pas pu la manger. Qu'est ce qu'on allait devenir tout là-bas ? Et cette première soirée en mode… Je me mets en danger en mangeant des petits fruits locaux, mais quand même j'ai pris une chambre avec clim. Qu'est ce qu'on était fières déjà. J'ai l'impression que ça fait dix ans aujourd'hui, d'en avoir pris quarante aussi. 
Ça a pas été simple quand même, je nous revois prendre possession de nos piaules, essayer de nous repérer, essayer de comprendre une adresse, essayer de comprendre des menus, des routes, des commerces, des comportements. Essayer de comprendre comment les Thaïs pouvaient supporter cette chaleur. Comment certains pouvaient vivre sur le fleuve. Comment l'un pouvait préférer nettoyer une statue plutôt que notre chambre. On s'en est posées des questions. Est-ce qu'on va y arriver ? Ça, c'est une question qui nous a habité longtemps. Du moins, durant notre mois en Thaïlande. Et à juste titre, après Koh Mak et ton “je le sens pas”. C'était pourtant si beau. On commençait à s'éblouir comme on l'avait imaginé. Tu te souviens souvent d'ailleurs, de notre première fois, à Pai. Notre première magie. C'était dingue. Bref. On était toujours un peu frêles, rappelle-toi jusqu'à Siem Reap je crois. Siem Reap, ça a un peu été le tournant du voyage aussi. De la magie, de l'amitié, je crois que c'est ce qu'on avait désiré et qu'on l'atteignait, qu'on le dépassait même. Qu'est ce qu'on a pu rire ici, rappelle toi quand on est rentrée et que notre hôte était ivre mort et tellement pas habitué à l'être. Ça me fait penser à Yotin aussi, je sais pas pourquoi, enfin si. Qu'est ce qu'on a ri avec Yotin. Qu'est ce qu'on a pleuré au Cambodge, putain. Dis, tu te souviens de ces émotions ? Qui nous trimballaient tout le temps, en traversant Pub Street. Des jours avec, des jours sans, de l'intensité, tout le temps. Ces petits trésors de khmers, qui nous soignent, nous baladent, nous gâtent, nous flattent, nous racontent, se racontent, qui sourient, sourient encore et encore. 
En parlant de sourire, je repense aussi aux viets qui ne le gardent pas longtemps. Quand je pense que j'ai aussi vécu un des plus grands moments d'effroi de toute ma vie pendant ce voyage. Et tu te souviens de notre réaction, au bord du lac d'Hanoi ? Quelqu'un va-t-il faire quelque chose ? Parce que d'accord, on a compris qu'on ne vivait, ni n'éprouvait, ni ne nous comportions pas de la même manière, mais quand même les gars, c'était pas joli. Tu te souviens aussi, quand on a dit au revoir à Elo en pleine périphérie d'Hanoi ? Je savais qu'elle allait nous manquer. Ça me fait penser, on en parlait il y a peu, à ce petit papy, vendeur de café aux taxis. Je dois avoir une photo de son nom. Quel dialogue de sourd, mais quel moment de vie. Quand j'essaye de repenser à tout, là, à je ne sais pas quelle heure du milieu de la nuit au dessus de l'Atlantique, je galère un peu, je savais que j'aurais du écrire avant. Mais ce qui me vient maintenant, c'est cet interminable trajet vers Cuba. Qu'est ce que j'étais mal. Qu'est ce qu'on était mal. Mais qu'est ce que c'était réconfortant de retrouver ta mère. Un vrai bonheur ta mère, en voyage. Je lui dirai, comme on a dit. D'ailleurs, après ce voyage de l'enfer, j'étais quand même debout à l'aube, à regarder les premiers rayons du soleil se refléter sur les façades défoncées de la vieille Havane, ta mère chérie, à mes côtes. Un doux moment d'apaisement, voilà qui était bienvenu. Et toi, qui dormait comme un enfant. Ça, c'est ce que j'étais venue vérifier, à Arequipa, quand tu étais malade. Quel bonheur, à ce moment, dans ce contexte, de te voir dormir un peu. Ça, on les oubliera pas non plus. Autant les douleurs que les systématiques tous petits rhumes post-Cambodge. Remarque, j'ai pas chopé de trachéite cette année, ça faisait bien longtemps. Par contre toi, t'as eu de la fièvre, ça faisait bien longtemps. On a toutes les deux souffert. Un peu. Je suis aussi en train de penser à Magda, à Javier, et à Alex et Annie. Je sais pas pourquoi, mais ces moments avec eux tous, complètement différents, j'ai ressenti un peu le même réconfort. Un truc un peu exacerbé genre vous, vous pourriez être ma famille, c'est pas le cas, évidemment, on passe que quelques heures ensemble ? Ok, rendons ça intense. Difficile à expliquer. Mais c'est comme si… Tout était facile. Comme si les barrières de la retenue, de la pudeur tombaient pendant la rencontre, très vite. Comme si finalement, ce n'était que des vieilles habitudes avec lesquelles on pouvait ici, rompre facilement. Comme si, c'était finalement un truc de gens qui se compliquent la vie. Et qu'ici, ce n'avait pas d'utilité. Tu vois ce que je veux dire ? Je suis sûre que tu vois. Je repense à Franklin, à son texte à traduire, pour ce client français beaucoup trop prévoyant, tu te souviens ? À cet apéro improvisé, à tout ce que tu lui avais raconté dans le canyon. Et c'était chouette. Même si j'avais failli y laisser mes baskets. Franklin qui nous offrait le “déjeuner non-inclus”. Ah tiens, ça, ça me fait penser à The Point et ses petits déj’ en mode grosse arnaque pour les volontaires. Dis, tu te rappelles comme ça nous révoltait ? De tout ce qui nous a révolté à The Point et qu'on oubliait si vite, au décours d'un film, une discussion, ou toute autre distraction. D'ailleurs, est ce que tu te souviens du premier film qu'on a regardé à The Point ? Je sais plus quelle connerie américaine c'était, mais qu'est ce qu'on avait ri avec Sven, à tout commenter. Jusqu'à la fin. Je voudrais bien faire une pause, mais je pense que je devrais tout dire d'un coup. Quitte à rajouter. Mais là, on est quand même le 5 ou le 6 mars. On était où il y a un mois ? On était encore au Chili. Le Chili… Tu vois, je savais pas à quoi m'attendre, mais le Chili, je l'ai méga aimé. Du Nord au Centre. C'est lui qui m'a soigné après tout. C'est là aussi que vivent nos Ninos. Une de nos plus belles rencontres celle-là. Comme Leehour, Vina et Ti. D'ailleurs, je suis retombée sur leurs cadeaux en refaisant mon sac. J'avais oublié la dent de requin… Je souris toute seule, heureusement, tu ne me regardes pas. J'aimerai retourner au Chili tu vois. Ça me dirait bien. Pourquoi pas. Mes pensées dévient automatiquement sur eux, t'imagines bien. Nos Zazou et Minou. Les gars, on se loupe pas hein. La vie est bien faite, ils sont pas bien loin. La vie est vraiment bien faite, Elo vient du Québec et elle sera à Nantes pour notre retour. Elle est pas belle la vie ? J'ai un peu mal au crâne avec tous ces écrans, mais je vais pas lâcher. Je repense désormais à ce mec qui bossait sur la rizière à Pai, je sais pas pourquoi. Ainsi qu'à celui qui faisait des crêpes dans la pampa et qui nous a ramené, un moment épique. Je repense aux cadeaux de Yotin aussi, au bateau et notre enthousiasme pour aller à Koh Mak. Je repense à Ricky aussi. C'est le bazar je sais, mais tu dois comprendre, je suis autant confuse que toi à ce moment. D'ailleurs, on ne sait même pas quel moment c'est. Je peux juste voir que nous sommes à 4h34min de notre destination désormais. Ah oui. Ricky. Oui, je me disais que c'était vraiment un mec en or. Je repense à toutes ces marches qu'on a gravit, à Cusco et celles de Huaraz surtout. Tu te souviens, à Sapa, avec Elo, on avait une sacrée montée à prendre pour arriver à l'hôtel. Olala, on se doutait pas une seconde de ce qu'on allait devoir vivre en Amérique du Sud, à 3000 mètres d'altitude. Et Guillaume, qui courait devant… Tu te souviens dis, de la descente de Wilcacocha ? J'en dirais pas plus mais du coup, ça me ramène à cette soirée de Sucre. Quel échange. Dis, tu te rappelles ce qu'on s'est dit hein. Ça, c'est méga-important. Ça, faut jamais que t'oublies cette conversation. Bien qu'elle ait été interrompue par le Dakar. C'est une ligne de conduite cette conversation. N'oublie pas non plus, que t'as appris à danser la Cueca. À 4h du mat’, dans un port, avec des chiliens inconnus. Tu peux tout faire maintenant. D'ailleurs, cette montée là-aussi, qu'on avait, quel enfer. C'est là qu'on a remangé des sushis aussi, le plaisir ! Tiens, ça me fait penser au Kao Soi de Chang Mai. À ma première soupe vietnamienne de poulet. Et la dernière aussi, à 5h du mat’ avec Elo. Et ça me fait penser à ce petit resto à Cusco et sa salade de pâtes trop bonne. Et à la chifa que mon frère nous avait chaudement recommandé à Ica. Vraiment pas ouf (et déso frère, on est trois sur trois à l'avoir dit…). On en a bouffé du riz en huit mois, hein… Le chien, on en parle ? En parlant de chien, j'y aurait laissé quelques plumes. Mais ça y est, je pense que je vais mieux. Et le reggaeton… On en parle ? Non, tu as raison. Vaut mieux parler de ces argentins de Bariloche, qui font de la superbe musique, qui chantent comme des oufs, qui improvisent comme des magiciens. Un régal. D'ailleurs ça me fait aussi penser à Armé et sa petite chanson géniale. Une pépite. Comme à San Pedro, ce groupe de rock génial qu'on a vu avec Zazou et Minou, tu te souviens ? Aller, je crois que je vais quand même faire une petite pause. Il faut que j'essaye de dormir un peu. Tu sais bien, moi sans sommeil… Je crois qu'on arrive dans une heure mas o menos. Sommeil difficile sur ce vol. C'est comme ça. Je t'ai senti crispée pendant les turbulences, je sais que t'as fais des progrès, j'en ai bien conscience. Je crois que je n'oublierai jamais les aterrissages de Cuba - le pire de ma vie - et Lima - le meilleur. On en a passé, des heures en l'air… Et ce jour où l'on est arrivées en Pa-ta-go-nie putain. Le vent de dingue en sortant de l'aéroport. Alors ça, ce coucher de soleil en plein de milieu de la ruta 40, c'était pas dingue ? Y en a eu des couchers de soleil de fou, celui de Kampot évidemment, une perle, sur le Tonlé Sap également. Le Cambodge brille tellement. Puis au Pérou aussi, à Cusco, je me souviens des nuages qui zébraient le ciel. Celui du Salar, merci Anselmo. Celui de Santiago, chez Zazou et Minou. Y en a eu. Celui d'hier aussi. Silencieux. Y en a eu des trucs beaux, des trucs stylés, des moments où tu me disais “mais tu te rends compte de ce qu'on est en train de faire ?”. Systématiquement, je répondais non. Et systématiquement tu disais “ah si, si, moi je réalise bien !”. C'est vrai que c'est beau, ce qu'on a fait et tu sais quoi, je crois que même là, je réalise pas. Bon, tout ça tu le sais, mais faut que je te le dise quand même. Merci pour ça. Sans tes rêves, on en serait pas là. Je vous dois beaucoup. On en a fait, du chemin, depuis le 20/07. Je voudrais n'oublier personne, jamais, aucune rencontre, aucun sourire. J'espère que j'y parviendrais. Si j'ai la mémoire qui flanche un jour, je compte sur toi. Je crois bien, moi aussi, qu'on est solides toutes les deux. Merci d'avoir été “ma mère” bien souvent, de m'avoir prêté des trucs quand je les avais oublié. Merci aussi, surtout, d'avoir supporter mon anxiété, mes colères, mes douleurs qu'elles qu'elles soient. Merci d'avoir souvent garder ton calme et merci de ne pas l'avoir fait. Aussi. Merci pour ta passion, ton engagement. Merci pour tout ce qui fait de toi quelqu'un de beau, fidèle, sensible et empathique. Tu peux voler maintenant, petit papillon. Morgane.
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korrikoko · 4 years
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15/06/2011
Je ne fais pas à l’idée de rester alitée
Bloquer par une putain de sciatique
Comme m’a dit un jour un taré
Le petit pervers chéper, pour pas le citer
Ça te remettrait d’aplomb un bon coup de trique
Ce n’est pas tout à fait ses mots
Mais ça voulait dire ça... Dramatique ?
Mes problèmes de thunes, j’en parle même pas
Entre les frais bancaires, rien à bouffer
Manquait plus que ça, j’ai tout gagné
Faut dire que j’ai peut-être abusé
Ces fichus banquiers savent nous faire cracher nos deniers
Et quand on voit ces fortunés
A qui on baisse les impôts
On sait qui se prend ça sur le dos
Alors que ceux qui crèvent de faim
Et que l’on suce sans fin
Se débattent dans la merde, pour un quignon de pain
Dans quel pays vit-on ? Ça, je me le demande bien !
Et Luc Ferry qui est payé
Pour 4 putains d’heures à faire à la faculté
Qui n’y va pas bien sûr, salaires accumulés
Et qui dit que c’est normal en plus
Qu’il n’est pas dans l’inégalité
Qu’il n’est pas le premier
Non mais, faut pas pousser
Après, ils vont le demander
À ceux qui sont au RSA de le faire
Ces heures, pour pouvoir continuer de le toucher
Non mais franchement, vous y croyez !!!
Pourtant, ceux qui sont au pouvoir
Sous leurs faux airs de belle victoire
Se paient des sapes de haute couture
Cabriolets et autres belles voitures
Côté bling-bling, on lésine pas sur les dépenses
Ignorant totalement, des moins riches, la souffrance
S’explosent l’estomac, dans des restos tendances
Obligés de défaire leurs ceintures
Ce n’est plus d’la différence sociale à ce niveau
Juste du foutage de gueule format macro
Et personne dit rien, on ferme nos gueules
Même si on l’ouvre, on s’fait descendre en place publique
Ils sortent les vieux dossiers, histoire de faire flipper
En créant d’autres, pour en rajouter
Tout ça par peur de se faire doubler.
Mais elle est où, la législature ?
On se le demande bien, encore une fois
Ils jouent avec les thunes des gens
Le pouvoir, ça enfle la tête, forcément
À force de nous prendre pour des glands
Faut se douter qu’à un moment
Ils vont payer leur hypocrisie comptant
Ça va déraper et partir en révolution
Ça suffit de prendre les gens pour des moutons
Arrêtons de se faire prendre pour des cons
Déjà que le monde part en live
On va pas s’rajouter de vaines batailles.
Si on n’a plus de liberté d’expression
On a plus qu’à crever la gueule ouverte
C’est ce qui arrive, regarder nos vieux
Qu’on cache, pour qu’ils n’apparaissent pas à nos yeux
Se voiler la face, n’a jamais évité la misère
Elle existe, elle est là, la nier ne l’empêchera pas
C’est juste les mentalités qu’il faudrait changer
Prendre pleinement conscience de la situation actuelle
Oser se poser les questions existentielles
Faire les choses pour la communauté
Et pas pour son profit personnel, à courte durée
Toute chose faite, à son petit niveau
Vaut mieux qu’un coup de surin dans le dos
Ça mange pas de pain, ça rend serein
Surtout quand on y met de l’entrain.
Comme dit l’adage : “Aidons-nous, la charge de nos maux en sera plus légère.”
J’aspire plus qu’à une chose, la sérénité de l’esprit
Loin de la civilisation et de toutes ces conneries
Un petit truc à moi, mon petit coin de paradis
Cultiver mes légumes et qui sait, mes fruits
Me lever le matin et voir du vert
Prendre mon p’tit déj’ sans bruit de bagnole
Pas croiser le chemin de tous ces guignols
Juste à la limite, le chant d’un rossignol
Une vie simple, sans être à découvert
Au fond d’une forêt, en solitaire
Juste vivre tranquille et sereinement
Pas le grand luxe, ça, c’est pas marrant
Loin des pourris, capter que mes amis
Qui sont si rares que c’est rageant.
Mais dans un lieu paisible et ressourçant
En ermite, loin de crevards et des déboires
En hiver, près d’une cheminée
Écouter le feu crépiter
Devant un barbecue en été
Boire une bière fraîche, avec mes potes discuter
Comme m’a dit mon amie : “En y repensant, on rigolera.
De toute cette merde, qu’on vit là.”
Bah pour l’instant, j’en rigole pas
Je suis pas si sûre que ça arrivera
Mais j‘ose espérer, si c’est pas trop demandé
Carpe Diem et qui vivra verra
J’attends de voir si j’en aurai le droit.
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und100 · 4 years
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Vincent Dutrait
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Aujourd’hui j’ai l’immense honneur d’interviewer le génial Vincent Dutrait, un illustrateur prolifique de grand talent qui a travaillé sur Museum chez Holy Grail Games, QueenZ chez Mandoo Games, L’île au Trésor chez Matagot, la couverture de Robinson Crusoé chez Portal Games, Atlantis Rising chez Elf Creek games, Naga Raja chez Hurrican, Space Gate Odyssey chez Ludonaute, Solenia chez Pearl Games, et bien d’autres!
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Bonjour Vincent, tout d’abord un grand merci pour ton travail, je dois avouer que j’adore tes illustrations! Peux tu nous décrire ton parcours? Que faisais tu avant d’illustrer des jeux de société? J’ai étudié l’illustration et l’infographie à l’Ecole Emile Cohl. Diplôme en poche en 1997, j’ai commencé par illustrer des livres jeunesse. Puis en parallèle du jeu de rôle (Dungeons & Dragons, Pathfinder), de l’enseignement (dans la même école d’ailleurs) et petit à petit je me suis mis à l’illustration de jeux de société. Et cela fait une dizaine d’années que je m’y consacre pleinement voire exclusivement. Illustres-tu d’autres choses? Avant oui, comme expliqué au-dessus mais plus maintenant. Que des jeux désormais. Travailles-tu à l’ancienne ( papier/crayon ) ou utilise-tu l’outil informatique? Je travaille toujours à l’ancienne comme on dit, crayons, peintures et pinceaux sur papier pour la majorité de mes réalisations. Je ne dessine pas sur ordinateur mais utilise et maîtrise ces outils pour préparer mes illustrations à l’impression et/ou pour m’occuper du graphic design des jeux - qu’en j’en prends en charge la réalisation complète -, des règles, fichiers de production, etc. Tu habites actuellement en Corée du Sud, qu’est ce qui a motivé cette expatriation?  Disons en premier lieu une motivation sentimentale, mon épouse étant coréenne, et d’un autre côté, je préfère le confort de vie au quotidien en Corée, à mon rythme et pour mes besoins et envies. Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ce pays? Une forme de dynamisme ambiant, un vivre ensemble civique, respectueux et responsable, une culture et une histoire riches et présentes. Peux tu nous décrire l’art sud-coréen, quelle sont les différence et les points communs avec l’art européen? Ouhla, vaste question… Je vois dans l’art coréen une forme d’épure, un traitement très graphique des choses, de l’essence des choses, jusque dans la langue coréenne d’ailleurs, qui m’inspire beaucoup. Une approche peut-être plus “terre-à-terre”, plus sensible et proche du réel, de la nature et moins imagée, moins interprétée que dans l’art européen. As tu illustré des jeux sud-coréens qui n’existent pas en France? Non je ne pense pas… Il me semble que tous les jeux que j’ai illustrés ici en Corée ont ou vont être publiés en France petit à petit, les éditeurs avec qui j’ai collaboré ayant tous des partenaires en France et en Europe, aux US. Quel est le jeu qui t’as posé le plus de soucis à illustrer? A l’inverse avec quel jeu as-ti pris le plus ton pied? Hmmm c’est délicat car les deux ne sont pas incompatibles. Pour la petite phrase, je ne travaille pas sur des jeux qui ne m’intéressent pas ou ne me plairaient pas à illustrer. Disons qu’il y a des jeux qui peuvent être logistiquement compliqués à illustrer (de part le volume d’illustrations ou des difficultés rencontrées sur le thème ou son histoire) mais plaisant à illustrer car ils me permettent de m’évader ou de découvrir/apprendre. Et d’autres jeux peuvent être très “simples” et fun à mettre en images mais dans une ambiance ou un relationnel pénible qui mine la réalisation. Je crois que celui qui m’a posé le plus de soucis, c’est peut-être Broom Service mais plutôt sur le fond car c’était la première fois que je travaillais avec un éditeur allemand et je ne m’attendais pas à me retrouver confronté à autant de différences et contradictions “culturelles”, que ce soit pour l’agencement et la représentation des choses ou par l’angle d’approche à définir (complications que j’ai rencontrées à nouveau par la suite avec d’autres éditeurs allemands d’ailleurs). Et dernièrement c’est Detective: City of Angels qui m’a le plus transporté, autant dans la phase de préparation et recherches à la découverte du Los Angeles de 1940 que dans les relations avec l’éditeur et l’auteur, puis dans la réalisation pure et dure et la retranscription par l’image de ces atmosphères et personnages, carton plein !
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En tant que joueur, quel est ton jeu préféré? Pourquoi? Les Aventuriers du Rail. Parce que c’est certainement un des premiers jeux “modernes” que j’ai découvert et apprécié. Et parce que je ne m’y ennuierai jamais, toutes éditions confondues, que j’y gagne ou que j’y perde, je retrouve toujours un sentiment gratifiant d’accomplissement et une sacrée tension. Dans les jeux plus récents, j’ai eu un gros gros coup de cœur pour les Charlatans de Belcastel et Everdell.
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Peux tu nous partager un scoop? Malheureusement non, à l’heure de la communication savamment orchestrée et contrôlée - sic - je ne peux pas dire grand chose des projets en cours… Pour continuer cette interview, je te propose de sortir le jeu “Questions de Merde”. Je tire 3 Cartes, prêt? Voici les questions de la première carte: Que faut-il faire pour avoir moins peur de la mort? L’ignorer tout simplement. Quel petit luxe as-tu envie de t’offrir? L’acquisition de quelques gros et beaux livres à ajouter à ma collection d’artbooks (pas loin de 500), comme “The Art and Science of Ernst Haeckel” ou “The Star Wars Archives, 1977–1983”.
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Quel est le tic qui t’énerve le plus chez les gens? Se toucher une oreille avec la main opposée en la passant par dessus la tête. Voici les questions de la deuxième carte: A partir de quand devient-on adulte? Dès qu’on est responsable de quelque chose. Pour quelle activité préfères-tu être seul? Dessiner et peindre. Au fond, qu’est-ce qui rend la vie intéressante? Réaliser ses projets, ses rêves, les aboutir et les concrétiser puis les transmettre et les partager. Voici les questions de la dernière carte: Que ferais tu pour exciter la foule si tu étais une rock-star? La laisser chanter seule, à l’unisson, ou sinon lui annoncer que les billets seront remboursés. Que fais tu bénévolement? Pas grand chose à vrai dire… Selon toi, quelle bonne action est aussi une vraie connerie? Faire du bénévolat, exciter une foule, rendre la vie intéressante, réaliser quelque chose seul, devenir adulte… Mais à part ces quelques détails, je dirais vouloir toujours donner du sens à ce qu’on fait. Question bonus: Qui souhaiterais tu que j’interviewe après toi et quelle question lui poserais-tu? Sébastien Pauchon. Et ma question serait : “Mais où va ?” Merci du fond du coeur, Vincent, pour cette interview du bout du monde! J’attends toujours tes illustrations avec avidité!
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