Tumgik
#démocratie représentative
jloisse · 3 months
Text
Étienne Chouard parle de "démocratie"
7 notes · View notes
bechirhouman · 4 months
Text
L'inquiétante banalisation de l'hypocrisie dans la société
Il est alarmant de constater que l’hypocrisie est de plus en plus banalisée et normalisée dans de nombreux domaines de notre société. Alors qu’elle est souvent stigmatisée et condamnée, il semble que de plus en plus de personnes la considèrent inconsciemment comme une norme acceptable. Comment en sommes-nous arrivés là ? Cette tendance à banaliser l’hypocrisie peut être attribuée à plusieurs…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
ekman · 2 months
Text
Tumblr media
Voici le visage du commissaire du peuple délégué à la censure pour la France, visa d’exploitation UE n°8563447. Cette sympathique tête d’abruti porte de nombreuses casquettes, toutes déformées par sa macrocéphalie gênante et sa réthorique de jésuite marxiste. 
Il s’appelle Christophe Deloire et il est à la tête (haha) de Reporters Sans Frontières, la fameuse assoce qui contribua, en des temps reculés, à la défense de quelques correspondants, photographes et autres reporters menacés, engeôlés, torturés... parfois butés. On se souvient d’ailleurs que son co-fondateur, l’affreuse girouette Ménard, y agit pendant de longues et néanmoins utiles années. ONG de terrain à sa création, “RSF” est progressivement devenue une sorte de chapelle morale à la con pour gauchiste en phase de recyclage, profil 45/55 ans, directeur des rédactions, déjà un divorce, une bicoque à Ré et les gosses HP en garde partagée. Aujourd’hui, “RSF” est une petite usine à gaz armée d’un budget annuel de huit millions d’euros (subventions publiques, mécénat et “fondations” sorosiennes à hauteur de 80 %), finançant la bagatelle de trois millions de “ressources humaines”. C’est vous dire si on est contents pour eux, leurs émoluments et leurs notes de frais. 
Cependant, notre carriériste ne se contente pas de ce job, car il est aussi directeur et vice-président du Centre de Formation des Journalistes, sorte de Saint Cyr pour futurs encartés du mainstream, escabeau vers la dynamique cooptatrice si chère à nos élites. Last but not least – comme écrivent encore les rescapés de la presse des années 2000, il a récemment été désigné pour occuper la tête des États Généraux de l’Information, énième pustule macroniste sensée réfléchir à la meilleure façon de bâillonner tout ce qui ne récite pas correctement la doxa informationnelle.
Ce tout petit Monsieur, cette authentique pompe à merde pour paraphraser Magritte dans son adresse à un critique acerbe, a conduit de main assurée une opération contre l’Arcom, via le Conseil d’État, au motif que la chaîne CNnews dérogerait de manière éhontée à la nécessaire représentation, sur son antenne, de sensibilités politiques diversifiées. Oui, CNews ne proposerait qu’une longue succession d’éditos et de pseudo-débats ultra fachos, indignes de la rayonnante démocratie française. Ne serait-il pas temps de sucrer leur fréquence à ces fumiers réacs, pense en substance ce petit Béria de bac à sable ? Cependant, es-tu certain de ne pas t’être trompé de cible ? Ne pensais-tu pas plutôt à la totalité des médias du service dit public ? Franchement, on se demande quel genre de promesse on a bien pu te faire pour que tu t’abaisses à ce point. Au pouvoir qui nous accable, tu sers le plat le plus dégueulasse qui soit, celui de la censure d’épuration, celle qui traduit un désir de vengeance amère. Ce qui te fait chier, Christophe Deloire, c’est qu’un média que tu ne pourras jamais contrôlé – et qui dit le contraire de ta Pravda publique en exposant les faits de la réalité de ce pays, puisse encore seulement respirer et laisse respirer des millions de Français. Ces Français-là – qui représentent quand même plus de la moitié des suffrages exprimés – te conchient, toi et ta clique de plumitifs vendus à un projet extra-territorial dont tu sers les desseins absurdes en pensant honorer tes vieilles lunes socialistes. 
Tu voudrais vivre comme Robespierre mais tu as peur de l’échafaud, tu voudrais mourir comme Marat mais tu ne te feras qu’enculer sous la douche. Pauvre toi, petit homoncule au crâne rempli de sérum égalitaire. Tu te crois pur et vertueux alors qu’il suffit d’observer ton regard vide pour comprendre que tu agis sur le seul fil de ton ambition démesurée. Ton envie de nuire est inversement proportionnelle à la taille de ta bite. Comment je le sais ? Sur le plateau de CNews où tu pensais pouvoir faire le bravache, tu t’es retrouvé le slip sur les chevilles, bizuté par d’ignobles nazis en colère. J’ai bien ri à observer ton désarroi. Tout compte fait, je te remercie pour ce moment passé chez ton vieux pote Bolloré.
J.-M. M.
28 notes · View notes
albad · 16 hours
Text
Tumblr media
QUAND EINSTEIN ET ARENDT DÉNONÇAIENT LE «FASCISME» EN ISRAËL
- Histoire -
Dès 1948, certains fondateurs d'Israël étaient déjà dénoncés, non seulement comme étant des criminels de guerre, mais aussi comme des fascistes. Un mot lourd de sens, à la sortie immédiate de la Seconde Guerre mondiale, de la part d'une génération qui connait dans sa chair le sens de la barbarie, au lendemain de la Shoah. L'usage de ce terme est encore plus fort puisqu'il est utilisé par de grands intellectuels juifs, qui savent parfaitement de quoi ils parlent, notamment Albert Einstein, plus grand physicien du siècle, et Hannah Arendt, spécialiste du totalitarisme.
En effet, dans une tribune publiée dans le New York Times à la fin de l'année 1948, de grandes figures scientifiques et intellectuelles protestent contre la venue de Menahem Begin aux USA. Cette année là, l'État israélien vient de naître dans le sang des palestiniens et Begin, sioniste de droite qui sera plus tard Premier Ministre d'Israël, vient affirmer son existence politique dans la première puissance occidentale.
Begin n'est pas n'importe qui : il est non seulement l'un des fondateurs d'Israël, mais il est à l'origine du Likoud, le parti actuellement au pouvoir, celui de Netanyahou. En 1948, tout semble déjà dénoncé clairement dans cette tribune : les idées d'extrême droite, les méthodes «fascistes», le «mysticisme religieux» et le «suprémacisme racial» de ce courant fondateur, qui s'est imposé à la tête d'Israël par la suite. 76 ans après, cette description semble plus vraie que jamais.
Pourtant, aujourd'hui en France, utiliser les mots signés par Einstein et Arendt pourrait conduire à des poursuites pour «apologie du terrorisme».
Cette tribune étonnante est à lire et à faire lire, car elle rappelle que dès sa fondation, Israël ne représentait pas «les» juifs et que cet État, dans la forme coloniale et suprémaciste qu'il prenait, était même contesté radicalement par de nombreuses personnalités juives :
«La visite de Menahem Begin et les objectifs de son mouvement politique
Aux rédacteurs du New York Times
L'un des phénomènes politiques les plus inquiétants de notre époque est l'émergence, dans l'État nouvellement créé d'Israël, du «Parti de la liberté» (Tnuat Haherut), un parti politique dont l'organisation, les méthodes, la philosophie politique et l'appel social sont très proches de ceux des partis nazi et fasciste. Il a été créé par les membres et les partisans de l'ancien Irgoun Zvai Leumi, une organisation terroriste d'extrême droite et nationaliste en Palestine.
La visite actuelle de Menahem Begin, leader de ce parti, aux États-Unis, vise manifestement à donner l'impression d'un soutien américain à son parti lors des prochaines élections israéliennes et à consolider ses liens politiques avec les éléments sionistes conservateurs aux États-Unis. Plusieurs Américains de renommée nationale ont prêté leur nom pour saluer sa visite. Il est inconcevable que ceux qui s'opposent au fascisme dans le monde entier, s'ils sont correctement informés du bilan politique et des perspectives de M. Begin, puissent se porter caution par leur nom et leur soutien pour le mouvement qu'il représente.
Avant que des dommages irréparables ne soient causés par des contributions financières, des manifestations publiques en faveur de Begin et la création en Palestine de l'impression qu'une grande partie de l'Amérique soutient les éléments fascistes en Israël, le public américain doit être informé des antécédents et des objectifs de M. Begin et de son mouvement.
Les déclarations publiques du parti de Begin ne permettent pas de se faire une idée de son caractère réel. Aujourd'hui, ils parlent de liberté, de démocratie et d'anti-impérialisme, alors qu'il y a peu, ils prêchaient ouvertement la doctrine de l’État fasciste. C'est dans ses actions que ce parti terroriste trahit sa véritable nature ; ses actions passées nous permettent de juger de ce que l'on peut attendre de lui à l'avenir.
Attaque d'un village arabe
Un exemple choquant est leur comportement dans le village arabe de Deir Yassine. Ce village, à l'écart des routes principales et entouré de terres juives, n'avait pris aucune part à la guerre et avait même repoussé les groupes arabes qui voulaient l'utiliser comme base. Le 9 avril, des bandes terroristes ont attaqué ce village paisible, qui n'était pas un objectif militaire dans les combats, ont tué la plupart de ses habitants (240 hommes, femmes et enfants) et en ont gardé quelques-uns en vie pour les faire défiler comme captifs dans les rues de Jérusalem. La majeure partie de la communauté juive a été horrifiée par cet acte et l'Agence juive a envoyé un télégramme d'excuses au roi Abdallah de Transjordanie.
Mais les terroristes, loin d'avoir honte de leur acte, étaient fiers de ce massacre, en firent une large publicité et invitèrent tous les correspondants étrangers présents dans le pays à voir les cadavres entassés et la destruction qui régnait à Deir Yassine.
L'incident de Deir Yassine illustre le caractère et les actions du Parti de la Liberté.
Au sein de la communauté juive, il a prêché un mélange d'ultranationalisme, de mysticisme religieux et de suprémacisme racial. Comme d'autres partis fascistes, il a été utilisé pour briser des grèves et a lui-même fait pression pour la destruction des syndicats libres. À la place, ils ont proposé des syndicats d'entreprise sur le modèle du fascisme italien.
Au cours des dernières années de violences antibritanniques sporadiques, l'Irgoun et le groupe Stern ont inauguré un règne de terreur au sein de la communauté juive de Palestine. Des enseignants ont été roués de coups pour s'être exprimés contre eux, des adultes ont été abattus pour ne pas avoir permis à leurs enfants de les rejoindre. Par des méthodes de gangsters, des passages à tabac, des bris de vitrines et des vols à grande échelle, les terroristes ont intimidé la population et exigé un lourd tribut.
Les membres du Parti de la liberté n'ont pris aucune part aux réalisations constructives en Palestine. Ils ne se sont emparés d'aucune terre, n'ont construit aucune colonie et n'ont fait qu'entraver l'activité de défense juive. Leurs efforts en matière d'immigration, qui ont fait l'objet d'une grande publicité, ont été infimes et ont été consacrés principalement à l'importation de leurs compatriotes fascistes.
Contradictions
Les contradictions entre les affirmations audacieuses de Begin et de son parti et leur bilan en Palestine révèlent clairement qu'il ne s'agit pas d'un parti politique ordinaire. C'est la marque indubitable d'un parti fasciste pour lequel le terrorisme (contre les Juifs, les Arabes et les Britanniques) et les fausses déclarations sont des moyens, et l'érection d'un «État dominant» est la fin.
À la lumière des considérations qui précèdent, il est impératif que la vérité sur M. Begin et son mouvement soit connue dans ce pays. La situation est d'autant plus tragique que les principaux dirigeants du sionisme américain ont refusé de faire campagne contre les efforts de Begin, ou même d'exposer à leurs propres électeurs les dangers que représente pour Israël le soutien à Begin.
Les soussignés prennent donc ce moyen pour présenter publiquement quelques faits saillants concernant Begin et son parti, et pour exhorter toutes les personnes concernées à ne pas soutenir ce dernier avatar du fascisme.
New York, 2 décembre 1948
ISIDORE ABRAMOWITZ, HANNAH ARENDT, ABRAHAM BRICK, RABBIN JESSURUN CARDOZO, ALBERT EINSTEIN, HERMAN EISEN, M.D., HAYIM FINEMAN, M. GALLEN, M.D., H.H. HARRIS, ZELIG S. HARRIS, SIDNEY HOOK, FRED KARUSH, BRURIA KAUFMAN, IRMA L. LINDHEIM, NACHMAN MAISEL, SEYMOUR MELMAN, MYER D. MENDELSON, M.D., HARRY M. OSLINSKY, SAMUEL PITLICK, FRITZ ROHRLICH, LOUIS P. ROCKER, RUTH SAGIS, ITZHAK SANKOWSKY, I.J. SHOENBERG, SAMUEL SHUMAN, M. SINGER, IRMA WOLFE, STEFAN WOLFE.»
---
Source de la traduction : https://blogs.mediapart.fr/alain-marshal/blog/081223/quand-albert-einstein-et-hannah-arendt-denoncaient-le-fascisme-naissant-en-israel
7 notes · View notes
bachassclub · 3 months
Text
Tumblr media
Piochée ces derniers jours chez Éric Ciotti, cette image légendée comme suit : '…nous allons faire décoller notre ville '. Nice, bien sûr. Les chabeuillois connaissent bien ce mode de recours propagandaire et néanmoins tintinophile, l'emploi de la même fusée, support de la même métaphore du 'décollage'. Devenue donc un topique LR, quand les sondages, eux, refusent précisément de 'décoller' et que la situation politique de ce parti est justement celle-là : l'apesanteur.
LE COUP DE MOU D'ALBAN PANO. Mardi 23 janvier, le Conseil municipal de Chabeuil présentait ses voeux à la population. Du monde au centre culturel, et on semblait enfin revenu aux jauges d’avant Covid, quatre cent personnes aux premiers décomptes. L’an dernier, seule l’équipe majoritaire avait été invitée sur scène par le maire de Chabeuil et cette entorse à la démocratie représentative locale, une faute de débutant, avait été sévèrement jugée en son temps : correction donc en 2024 où l’ensemble du Conseil Municipal des chabeuillois avait été plus justement et décorativement disposé sur l’estrade. Seule absente sur scène, Cécile Trempil, représentante et singleton du Groupe Le Chemin des possibles, qui, en matière de voeux, avait préféré assister à ceux du valentinois Jimmy Levacher (LFI, qui lançait à Valence sa campagne municipale pour 2026), qui venaient d’avoir lieu. Autre absence notable, celle des services techniques, dont on ne repérait que peu de représentants, d’autant plus isolés que l’élu qui s’occupe d’eux dans sa délégation, Stéphane Planta, était absent lui aussi. Stéphane Planta a pris du champ avec l’action municipale, on en reparle plus bas… Pour le reste, le public habituel : corps constitués, sous-préfet, mirlitaires zà lavalières, associations chabeuilloises, fiers notables et pompiers divers et variés. Et Nicolas Daragon, bien sûr, qui a très sûrement son rond de serviette féodal (LR) à Chabeuil. Sans oublier Nathalie Iliozer, binôme d’Alban Pano au Conseil Départemental, qui y a ses pantoufles (LR) et sa tenue complète de chaperon. Bref de l’ordinaire, assez pauvrement ritualisé cette année, sans tambours ni trompettes, comme on dit.
Non, la surprise est plutôt venue du discours d’Alban Pano, terne, morne, et marqué tout du long par de nombreux bafouillages et glissements. Un discours ‘savonné’, qui suivait ensuite sa pente de clichés et d’images convenues, pour un maire pas en forme, ça se voyait et s’entendait, fatigué, loin de la pop’politique enjouée à quoi les chabeuillois commençaient à s’habituer, loin de cet habituel (souvent incongru, mais parfois emballant, voire charmant) optimisme insouciant qui faisait jusqu’alors la ‘marque’ Pano.
Chabeuil a affaire d'ordinaire à un jeune maire fluide et à l'aise, énergique mais ce soir-là la ville découvrait son Pano sans allant et sans joie de vivre, au discours qui ne décollait pas de cette tristesse empesée et des lourdeurs de style qui vont avec, prononcé gorge sèche et voix éteinte.
Intermezzo : un court film de réclame au montage rapide, bien rythmé, où crépitaient les images archibattues de fusées, de feu d’artifice, de biquettes environnementales, photogéniques, et brouteuses, de Tintin, de Tintin et encore un peu de Tintin, obstinément imposé comme signature visuelle de Chabeuil, sur fond d’infantilisation de la ville, encore et toujours.Alban Pano était fatigué, voilà tout.
Après que son petit clip touristico-tintinophile ait échoué à relancer la cérémonie, à lui redonner un peu d’élan politique et de ressort programmatique, il devait poursuivre sur le même ton. C’était censé évoquer des projets et mettre l’année 2024 en perspective, bref, donner de l’allant à l’année qui vient, mais rien, ou si peu n’attachait plus au fond de la gamelle :
-Projet Cuminal (une salle audiovisuelle dans l’enceinte de l’ancienne école de Chabeuil), mais sans les images montrées au dernier Conseil Municipal. Dommage. Et sans le montant global annoncé (Dans son compte rendu, le Dauphiné Libéré comblera cette information déficiente : 1,4 M€) : un peu court pour une première présentation publique d'un projet pourtant séduisant par bien des aspects.
-Une politique environnementale faiblarde, qui, les années passant, s’efface sûrement du bilan Pano et de son adjoint. Rien, hormis une nième (et très brève) mention du ‘relamping’ de l’éclairage.
-Mieux, au même chapitre, Alban Pano réalise le tour de force de passer sous silence les Points d’Apport Volontaires (PAV), pourtant la plus grosse affaire communale (entreprise par l’agglo…) de 2023, qui a d’abord pris du retard et qui, depuis l’installation des PAV en question, pétouille notoirement, exigeant des services des efforts répétés de nettoyages des alentours. Et ça tombe mal, parce ces fameux PAV sont du ressort du même évanescent adjoint à l’environnement, dont la délégation s’avère toujours plus faible : rien non plus sur le moustique tigre, rien sur le Canal des Moulins… Et rien de rien pour le traitement des déchets organiques pourtant obligatoire depuis le 1er janvier.
-Des ‘études’ pour l’école Cavalli, à Parlanges, sans plus de précision d’échéances (‘la fin de mandat’…) Rénovation de la salle des fêtes des Faucons, toujours sans beaucoup de précision.
-Ah si…la voirie, voilà la grande affaire, au moins budgétaire. Comme tous les ans. Le Dauphiné Libéré fait les comptes : 700 000 € en 2022 et 2023 et 900 000 € jusqu’en 2026.
-Ah si…on ne pouvait pas s’en sortir comme ça, sans Tintouin à Chabeuil, forcément Tintouin qui, en 2024 proposera de s’agiter autour des Cigares du Pharaon. Cette gaudriolante perspective [triompher à coup sûr (enfin!) de méchants trafiquants d’opium] rend un peu de sourire au maire de Chabeuil, qui annonce un programme de mobilisation citoyenne : ‘préparez vos babouches et vos cigares’. Un demi-clin d’oeil d’Alban Pano, avant qu’il replonge son discours dans la morosité d’une plainte très politique contre la loi Solidarité et Renouvellement Urbain (SRU) traitée sur le ton très facile de la démagogie antiparisianiste, contre une loi qui serait imposée d'en haut, à quoi on oppose un imparable slogan ‘ici, ce n’est pas Paris’. Mais sans bien sûr aborder le sujet au fond : le logement social, bien sûr, ni apporter les chiffres qu’il faudrait fournir sur les perspectives de l’équipe Pano en la matière. Une autre paire de manches.
Bref, on se traînait : Alban Pano avait besoin d’un dopant, d’une relance. Ça tombe bien, IL est là, assis au premier rang du banc de touche. IL se lève et se dirige vers le micro et annonce dans un demi sourire : ‘…je vais refaire le discours d’Alban’. Une vanne (on est entre amis, n’est-il pas ?), qu’IL veut sans doute sympathique, mais qui annonce trop lourdement la redite littérale qui allait suivre. Parce que redite il y eut, Nicolas Daragon (il s’agit bien de LUI,) ne faisant en somme que répéter le discours d’Alban Pano, sans trop de vergogne. Sous couvert de présidence de l’agglomération de Communes, le maire de Valence repassait ni plus ni moins, les plats du discours du maire de Chabeuil, et déroulait son menu d’actualités locales, à l’aise, chez lui, tout sourire…IL poussait même l'imitation jusqu'à escamoter LUI aussi des PAV qui sont pourtant de la compétence de l'Agglo, se privant d'une bonne défense et illustration, concrète, de son institution, à quoi ça sert, et combien ça ‘rapporte’ à la Commune. Raté.
Nicolas Daragon devait ensuite reprendre pesamment la marotte LR, cette très fameuse ligne argumentaire d'un ruissellement bénéfique Wauquiez-Mouton-Daragon-Pano (LR inc.). Soit une continuité de financement Région-Département-Agglo-Commune théorisée ce soir-là comme suit : '…notre vision commune (LR) permet de développer nos territoires…'
Nicolas Daragon ne se lasse pas non plus de répéter ‘mon ami Alban par-ci et cher Alban par-là, appuyant sans aucune pudeur sur le tutoiement, répétant et flagornant : ‘Alban est un maire comme on (LR) les aime…’
Marie-Pierre Mouton présidente du Conseil Départemental (LR) l’an dernier, Nicolas Dragon cette année, les parrains et marraines politiques et partisanes viennent meubler les voeux d’Alban Pano et étoffer ses prestations, masquer ses difficultés, comme s’ils prenaient leur tour de baby sitting dans la petite classe de Chabeuil. Dans quelle autre ville du quartier est-ce que ça se passe comme ça ? Nulle part. Partout ailleurs les maires sont seuls maîtres de l'annonce de leurs projets, et de l'exposé de leur bilan, bien assez grands pour rester maîtres du rapport démocratique avec leurs administrés. Parce que c’est vexant, à la fin, cette infantilisation (encore !) de Chabeuil. Quand Les Républicains du coin vont-ils enlever les roulettes du petit vélo du maire de Chabeuil, pour qu’il fasse enfin seul le tour de la piste de ses voeux et de son bilan ?
Cérémonie dans la cérémonie, Alban Pano remettait ensuite une médaille de ‘citoyen’ ou ‘citoyenne’ d’honneur à six personnalités chabeuilloises, bien connu.es en ville, chenu.es et blanchi.es sous le harnais de l’action locale. Pour l’’énergie nouvelle’ dont aime à se vanter Alban Pano, on repassera, mais ça mettait un peu de chaleur humaine dans la soirée. Notabiliser des notables, c’est pas vraiment une performance et ça a le défaut surtout de distinguer (en les flattant) quelques chabeuillois, laissant dans l’ombre les associations qui les portent. Alban Pano décorait ainsi la trésorière de l’association des amis du Canal des Moulins de Chabeuil, sans même mentionner le nom de son association. Oubli, négligence ou mesquinerie, on ne sait trop...
BRÈVES COMPLÉMENTAIRES, qui expliquent le passage à vide du maire de Chabeuil, tel que mis en évidence ci-dessus :
-Le poste de Directeur Général des Services (DGS) de Chabeuil est à nouveau vacant. Poste à pourvoir, roulez jeunesse, tournez manège, le 1er mars, pour cette pièce centrale de la machinerie communale. Le titulaire était en place depuis juillet seulement, après la foirade de l’embauche de Vincent Campens, premier DGS de l’ère Pano, indûment recruté ‘hors classe’. La préfète de l’époque avait toussé et posé un recours au tribunal administratif de Grenoble : Campens avait piteusement quitté la place. Son remplaçant n’a donc pas tenu longtemps à Chabeuil et le recrutement du remplaçant du remplaçant est en cours, annonce publique publiée le 25 janvier, et aussitôt signalée par le groupe d’opposition Le chemin des possibles dans sa publication (Facebook) dominicale.
-La Chambre régionale des comptes a procédé à un ‘contrôle simple’ de la Commune de Chabeuil, et doit rendre bientôt son rapport ordinaire, qui concerne la période 2018-2023. Ce qui devrait en ressortir, rapidement : les subventions aux associations posent un problème, et l’absence de critères d’attribution surtout.///La location de salles à ces mêmes associations et la mise à disposition de salles soulèvent quelques questions. Sur le même sujet, on note que Groupe le Chemin des possibles a posé un recours au tribunal administratif contre une ‘délibération fixant les tarifs pour l’utilisation des salles municipales’. Rapport, recours : il y a donc bien un sujet sérieux.///Plus largement, le rapport relève une absence de politique de recrutement dans les services, pas de Ressource Humaines à proprement parler.///Toujours dans les services : une prime importante devra être intégrée dans les salaires, la situation actuelle étant irrégulière. S’attendre à des secousses sur ce sujet, internes et budgétaires. De même facture : les heures supplémentaires sont trop nombreuses et devront être régularisées.///Trop de commandes publiques passent ‘en interne’. A revoir.///Pour le reste, et dans la mesure ou ce contrôle est dit ‘simple’ : la Commune est déclarée ‘bien gérée’.
-Les services techniques, encore eux : ils ont de fait boycotté les voeux du maire (aux services) début janvier. Ce qui n’est pas rien, et traduit un climat tendu entre les élus de la majorité et les services. Les causes d’après plusieurs témoignages, recueillis à des sources multiples : 1-L’élu en charge, Stéphane Planta, délégué aux services techniques est aux abonnés absents, occupé par une carrière professionnelle nouvelle et prenante. Les services se plaignent à qui veut les entendre de ce manque d’interlocuteur. La délégation ‘services techniques’ est maintenant vide : problème. 2-Les DGS passent et veulent laisser leurs marques dans les services de la Commune. On enchaîne les nominations, on esquisse des recrutements, on réforme les organigrammes et…on s’en va. 3-Le népotisme qui avait présidé aux recrutements opérés par Vincent Campens dans les premiers temps de l’ère Pano passe toujours aussi mal. Il avait mis en place des proches, notamment au service accueil de la mairie, et une telle disparité de traitement provoque de multiples difficultés.
-Changement de poste au périscolaire : une titulaire très expérimentée part à la MJC. D’après quelques témoignages, ça tangue, au moment où, devant les besoins manifestes, la Commune ouvre des places supplémentaires à Gustave André, quand les listes d'attente s'allongent, et où les coûts pour les familles vont semble-t-il augmenter.
-L'actualité nationale vient d'imposer à Alban Pano une présence soutenue en appui à son parti, au moment où celui-ci tentait de récupérer à toute force la colère des agriculteurs : très présent dans un soutien appuyé à 'nos' agriculteurs, comme il dit, comme dit LR. Présence sur le barrage de Bourg-de-Péage, photo et déclaration conclusive à Valence. Sur ce sujet aussi, l'intégration verticale et l'alignement strict d'Alban Pano sur les préoccupations politiques partisannes des Républicains, son absence d'autonomie, a un prix : il est en surchauffe, surexposé. En novembre dernier, il a été élu délégué LR dans la troisième circonscription de la Drôme (164 inscrits, 88 votants) et il doit maintenant remplir ce rôle partisan. Pas de problème, mais ça ne doit pas l’empêcher en quoi que ce soit de travailler pour sa commune, ni bouffer son temps ni l’obliger à imposer à ses administrés, à tout bout de champ, les cadres locaux de son parti. On comprend bien à la fin, le coup de mou du maire de Chabeuil : grosses difficultés dans les services, absence de Directeur Général des Services, et nécessité d'une présence partisane aux côtés d'un parti LR à la peine au plan national. C'est sans doute trop pour un jeune maire inexpérimenté, qui vient d'arriver aux responsabilités, dans une ville qui, au passage, n’est pas LR.
claude meunier
8 notes · View notes
aurevoirmonty · 2 months
Text
Tumblr media
La France, la Russie et les traîtres.
Il est parfaitement naturel que des opposants politiques placent leurs espoirs dans une puissance étrangère voisine, surtout quand celle-ci correspond à leurs idéaux. Il ne s’agit pas de "trahison", mais d’une réaction parfaitement saine. Au XVIe siècle, par exemple, les catholiques français ne juraient que par l’Espagne ; au siècle suivant, les protestants français ne juraient que par l’Angleterre, et un noble français réfugié en Allemagne en 1792 souhaitait tout naturellement la victoire des armées autrichiennes. Rappelons aussi qu’en 1870, les républicains se sont levés comme un seul homme à la chambre des députés pour applaudir à l’annonce de la défaite des armées de l’Empereur Napoléon III, parce que l’instauration de la république devenait enfin possible, grâce à Bismarck et à l’armée prussienne. Pour une grande partie des sympathisants de la droite nationale, la Russie réactionnaire de Vladimir Poutine représente aujourd’hui une force qui aimante les énergies et qui vivifie les espérances. Tout est parfaitement logique. Parce que oui : des millions de patriotes français souhaitent de toutes leurs forces que ce régime cosmopolite s’effondre le plus vite possible. C’est ainsi : les Européens cultivés et conscients de certains enjeux eschatologiques comprennent que l’intérêt national ne peut se concevoir sans l’idée que l’on se fait de la nation. En clair : une France qui serait peuplée à 80 % de mulâtres ne serait plus la France. Nous ne souhaitons pas la destruction de l’Occident mais l’anéantissement des forces cosmopolites qui se servent de l’Occident pour détruire toutes les communautés encore libres sur cette terre. On se souvient qu’en 1999, les "méchants" désignés par les démocraties étaient les Serbes, qui refusaient de céder leur terre historique aux musulmans du Kosovo : ils ont été copieusement bombardés. En 2001, c’était au tour de l’Afghanistan ; en 2003, ce fut l’Irak ; en 2007, on se souvient que les intellectuels mondialistes nous poussaient de toutes leurs forces à faire la guerre à l’Iran, mais le morceau était trop gros à avaler. Puis il y a eu la Libye en 2011, la Syrie en 2012, et Daech en 2015. Toutes ces guerres menées par les démocraties n’ont jamais correspondu pas aux intérêts des peuples occidentaux mais uniquement aux intérêts du mondialisme. Quant aux terroristes de Daech, ils avaient suivi une logique de vengeance parfaitement naturelle : « Vous nous bombardez, vous tuez nos enfants ; nous allons par conséquent porter la guerre sur votre sol ». Si les Hollande, les Fabius et compagnie avaient laissé le président syrien Bachar el-Assad gérer la menace islamiste locale, nous aurions sans doute évité les attentats sanglants de 2015-2016. Mais l’ennemi prioritaire des mondialistes à ce moment-là était Bachar el-Assad, et non les islamistes de Daech. Pourquoi ? Le tweet le plus explicite du moment reste celui de François Hollande, président de la république française ; c’est un collector, qui date du 16 novembre 2015 : « Nous éradiquerons le terrorisme pour que la circulation des personnes et le brassage des cultures demeurent possibles. » Voilà. C’est bien cela, leur objectif : le brassage des cultures, l’ouverture des frontières et le métissage généralisé sur toute la planète. Depuis 2005, je n’ai cessé de citer tous ces intellectuels, tout au long de mes livres. Une fois que l’ennemi est défini, tout est extrêmement simple, et il devient impossible de se retrouver dans le même camp que les bellicistes les plus enflammés que sont les BHL, Glucksmann, Cohn-Bendit, Macron, Le Maire et compagnie. Depuis le 24 février 2022, c’est donc maintenant à la Russie de tenir le rôle du grand méchant ; et tout est mis en œuvre une fois de plus pour nous pousser à la guerre.
6 notes · View notes
claudehenrion · 2 months
Text
Au programme : aveuglement et autres stupidités...
Avec le temps qui passe, on se demande en permanence comment font nos ''Lumières'' --ces lumignons éteints, au pouvoir-- pour être si aveugles, si bornés, si incapables d'apprendre de la vie –et de leurs échecs... Ils disent ''nous prendre en charge'' mais ''se déchargent'' aussitôt ! Ils croient nous diriger, mais ils ne font que nous précipiter dans des abîmes qui pouvaient tous être facilement évités. C'est simple : ils ne comprennent rien ! Parmi tous leurs aveuglements, l'islam est sans doute un de leurs plus beaux (?) échecs...
Car nos irresponsables-aux-manettes n'entendent rien, ne voient rien, ne remettent jamais tel ou tel épisode dans son contexte du moment ou dans un cadre plus général... Quoi que fassent leurs (donc : nos ?) ennemis-adversaires déclarés, quoi qu'il disent, qui que ces fous furieux assassinent, quelque revendication absurde qu'ils émettent... tout semble se passer comme si... il ne se passait rien –alors que, pour eux, pas de doute : ils revendiquent être en guerre, i.e. le Djihad. Et mieux ou pire que ça, les plus atteints d'entre eux nous expliquent que c'est nous qui avons l'esprit mal tourné et nous qui voyons des agressions partout, alors que tout va pour le mieux possible dans le Landerneau de leur myopie mortifère caricaturale.
Un point m'a toujours fasciné, mais l'âge venant, il m'atterre : notre civilisation occidentale est si profondément marquée par le christianisme que tant ceux qui s'en sont peu à peu écartés (par paresse, le plus souvent : ''c'est ch... disent-ils, de se soumettre à des règles, même bonnes !'') que ceux qui l'ont rejeté au nom de leur intelligence –proclamée par eux seuls-- et/ou de leur liberté (cf. le prétentieux ''ni dieu, ni maître '' de ceux qui courent ensuite lire leur horoscope ou acheter un billet de loterie le vendredi 13 !)... ne se rendent même plus compte du degré auquel leur représentation mentale et leur lecture du monde sont influencées par un vocabulaire et une conception du monde qui sont de purs produits de la seule chrétienté..
Ce phénomène est particulièrement visible dès qu'il s'agit d'islam... où 99 % de nos contemporains sont incapables de voir autre chose qu'un ''christianisme autrement'' et sont capables de proférer sans mourir de honte des énormités telles que : ''L'islam, une religion d'amour et de paix ''... ou ''Le carême ? Un ramadan chrétien''... voire, plus énorme encore, ''Eux et nous croyons en un seul Dieu, donc c'est le même...'' etc... Tout se passe comme si nos nuls-au-pouvoir étaient incapables de se représenter une ''religion'' autrement que comme une espèce de démocratie chrétienne ''soft''... ce qu'est devenu, le plus souvent, le christianisme en Europe (mais pas ailleurs, Dieu merci !). Ils croient possible une sorte d' ''islamo-démocratie'', ce qui ne peut même pas se concevoir. C'est une énorme erreur de jugement qui, à force d'être répétée sans cesse, est désormais ressentie par beaucoup comme une vérité systémique qui s'imposerait au réel (attitude typique d'une pensée ''à Gauche''!).
La vérité est, évidemment, diamétralement à l'opposé : ce que rejette (et de plus en plus) l'islam moderne, c'est précisément ce vers quoi nos cuistres espèrent l'attirer : les lamentables critères amoraux de nos politicards, qui nous mènent vers un vide abyssal... vers lequel nous sommes, hélas, déjà en route. Il suffit de se souvenir que la tendance la plus radicale de tous les mouvements anti-occidentaux s'est baptisée elle-même ''Boko-Haram'' (qui veut dire : ''Ce qui est contenu dans les livres –books en anglais, déformé en ''Boko''-- est ''Haram'' (= interdit par Allah, bien plus fort que notre mot ''péché'' : l'idée-même n'en est pas admissible, contenu et contenant) !
J'ai longuement raconté ici-même, en leur temps, les fausses interprétations des ''printemps arabes'' où nos reporters, ivres d'un soi-disant ''esprit de liberté'' qui soufflait –à les en croire-- sur les terres d'islam, étaient incapables d'entendre ce que moi, arabophone, j'entendais : uniquement des cris de haine contre l'Occident qui sortaient de ces foules électrisées... qui allaient bientôt se répandre sur le monde alors dit ''libre'' et nous envoyer des armées plus ou moins secrètes de terroristes en puissance et de criminels en sommeil... L'indiférence savamment entretenue des français pour la religion, d'une part, et l'incapacité chronique des américains à comprendre ce qui n'est pas ''eux'', d'autre part, jouent évidemment un rôle d'accélérateur dans cette évolution mortelle.
Le bras militant de cette nouvelle tendance de l'islam, la confrérie des frères musulmans, est une caricature de tout ce que nient nos lumières éteintes : la notion-même de démocratie lui est intolérable. Quant à la littérature produite en Occident sur tout ce qui touche à l'islam (que nos intellos persistent à couper en ''leurs bons'' et ''leurs méchants'' musulmans, sur des critères non-pertinents, non-écrits et connus d'eux seuls !), elle est énorme en quantité et affligeante en qualité, allant jusqu'à confondre ''frérisme'' et ''salafisme''. (NDLR - le distingo obligatoire entre islam et islamisme, à la mode dans nos ministères hollando-macronistes et dans les salles de rédaction-toutes-à-gauche, est une invention de l'Occident et de lui seul : la langue arabe ne dispose que d'un seul mot : ''islamiyi'' qui recouvre l'islam et l'islamisme –qui sont une seule et même chose, pour les musulmans. Cette grossière erreur risque fort de nous être fatale !).
Quant aux réflexions des universitaires (tous ''de Gauche'', aussi, ceci expliquant cela !), elles semblent s'être arrêtées avec l'apparition (relativement récente) d'un islam-en-guerre qui est surtout le fait des plus jeunes générations, elles-mêmes fruit d'un matraquage anti-valeurs occidentales par les ''frères'' et –n'oublions pas cette source importante de tous nos malheurs-- de notre propre masochisme qui revendique tous les péchés du monde et qui renie notre Histoire et notre passé –sans lesquels pas un seul de nos adversaires ne serait en mesure d'émettre une seule de leurs idées --qui rendent le monde de plus en plus invivable. (NB : eux, savent ce qu'ils veulent. Nous, nions'' le réel' , en vrac, ''quel qu'en soit le prix''! Folie des hommes ! ''Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde'', disait Camus. Mais ''ne même pas oser les nommer'' est bien pire !).
Tout le vilain petit monde qui gravite à nos frais et aux dépens de la pauvre France met un ''point d'honneur'' (enfin... Disons : ''un point'' !) à oublier le ''Rapport Aubin'' (18 mai 2021) --du nom d'un ancien inspecteur général de l'Education nationale-- qui visait à ''promouvoir et harmoniser la formation du personnel à la laïcité, dans le cadre de la lutte contre le séparatisme''. On y trouve des pépites telles que ''Des forces sont à l'œuvre pour imposer un modèle de société qui n'est pas le nôtre''... ou encore : ''Il n'y a pas eu de complicité officielle, à l'échelle de l'État, mais une forme de passivité''. Et la conclusion est : ''Dans certains quartiers, les élèves sont incités à se méfier de tout ce que disent les professeurs : ce doit être d'abord un objet de suspicion –comme ce qu'ils trouvent dans leur assiette, à la cantine) : les élèves doivent trier les textes étudiés à la lumière (sic !) de critères religieux, entre ''hallal'' (= autorisés) et ''haram'' (= interdits, maudits)''. Quand je vous parlais, plus haut, de ''Boko haram'' : pas besoin d'aller bien loin pour le trouver !
Le plus grave dans ce tableau (NDLR - qui n'est pas exagéré : j'attends toujours un seul argument sérieux qui me clouerait le bec), c'est que nulle part on ne voit poindre le moindre espoir que nos (et surtout ''leurs'') yeux ne s'ouvrent avant qu'il ne soit trop tard : notre univers se délite, notre modèle est refusé, nos références rejetées, et nos idées moquées et nos populations parfois terrorisées –souvent, il faut le dire, avec juste raison, tant nous nous sommes mis à ''déconner à pleins tubes''. Mais nous sommes sourds et aveugles (à défaut d'être muets) et nous continuons à soutenir des idées stupides que les 4/5 èmes de l'humanité rejettent comme absurdes –ce qu'elles sont souvent (ex. : tout ce qui touche aux minorités, aux sexes et aux genres, aux valeurs, au secteur dit ''sociétal'' –en réalité : mortifère-- et à nos libertés, en voie de confiscation massive). Il devient urgent d'arrêter ce petit jeu ''à qui perd, perd'' avant qu'il ne soit trop tard...
H-Cl.
PS : ''Errare ordinateur est''... Pour une fois, la procédure ''enregistrement préalable'' est devenue folle, et a publié un ''édito'' un samedi pour le dimanche... ce qui ne fait pas partie du ''cahier des charges''. Pardon a ceux qui, punis, ont lu deux fois le même texte. Je m'en suis rendu compte trop tard pour réagir, et j'ai dû… laisser ''Tumblr'', si vous me permettez ce mauvais jeu de mots.
4 notes · View notes
dooareyastudy · 1 year
Text
Son chemin démocratique ! Les gars : son chemin DÉMOCRATIQUE !!!!!
Mais il fallait le dire plus tôt ! La démocratie, ce n’est PAS le vote des députés, représentants élus de la Nation !
Donc, dans la Constitution de 1958, l’article 49 alinéa 3, c’est la démocratie mais l’article 24, ce n’est PAS la démocratie. Tout s’explique enfin ! Merci pour tes lumières Jupiter.
17 notes · View notes
alain-keler · 8 months
Text
Tumblr media
Dimanche 3 septembre 2023.
Paris, place Saint-Michel. Rassemblement de membres d’un collectif « Défendre la démocratie israélienne ». Pas beaucoup de monde, pas assez de monde. Il fait beau, chaud, il y a encore un air de vacances. 
Je vais transcrire une partie du tract distribué. Il a le mérite d’être clair :
  « La coalition gouvernementale formée par le Premier ministre israélien B. Netanyahou en décembre dernier veut procéder à une »réforme judiciaire » affirmant que celle-ci corrigera « l’activisme judiciaire », ajoutant que les juges de la Cour Suprême ,e sont pas élus par le peuple.
Cette « réforme » et les autres initiatives législatives du gouvernement israélien actuel représentent la menace la plus importante depuis 75 ans à laquelle Israël doit faire face.
 Cette « réforme » est une tentative des extrémistes religieux et des ultra-nationalistes d’étriper la démocratie israélienne en attaquant ses gardiens. C’est aussi un moyen pour B.Netanyahou, accusé de corruption, fraude et abus de confiance dans trois affaires, d’échapper à la justice.
 … Ce gouvernement messianique et dictatorial a déposé 225 projets de loi qui visent à contrôler les médias, contrôler les professeurs dans les écoles publiques, réviser le code électoral pour mieux bâillonner l’opposition, discriminer les LGBT et les arabes israéliens ; transférer encore plus de pouvoir aux tribunaux rabbiniques pour mieux effacer les femmes de l’espace public et en faire des citoyens de seconde zone. Sans parler des milliards de shekels distribués aux colonies et aux ultra-orthodoxes au détriment de l’école publique, du logement, de la sécurité.
La démocratie israélienne est au bord du gouffre. Tous  les samedis soir depuis janvier dernier-36 semaines à ce jour-des dizaines de milliers de citoyens manifestent dans le calme, à Tel Aviv et dans 150 autres lieux du pays pour défendre leur démocratie ».
  Tout est dit, ou presque.  À titre personnel, j’approuve cet appel qui fait écho aux manifestations pour préserver la démocratie en Israël. J’ai été depuis longtemps très critique de l’occupation de la Cisjordanie et de la manière dont sont traités les palestiniens par les colons et l’armée. L’assassinat de Yitzak Rabin avait condamné le processus de paix avec les palestiniens. L’extrême droite et les messianiques sont au pouvoir aujourd’hui.
6 notes · View notes
raisongardee · 4 months
Text
Tumblr media
"La censure a toujours existé, quelles que soient les époques, sous des formes religieuses, morales et politiques. Mais paradoxalement, au XXIe siècle, elle est devenue omniprésente dans les démocraties libérales "représentatives ou pluralistes" d’Europe et d’Amérique. Exercée hier par l’Etat (qu’il ait été aristocratique, monarchique ou républicain, dictatorial ou démocratique), elle est aujourd’hui pratiquée encore par l’Etat (les lois mémorielles, synonymes de "vérités officielles", en sont un exemple édifiant), mais aussi par des entités privées, par de grandes compagnies multinationales, et par des ONG spécialisées dans la défense des minorités ethniques, religieuses et sexuelles et la protection des immigrés illégaux. Bénéficiant de l’appui tacite ou exprès de la majorité de l’oligarchie politico-économico-médiatique, ces organisations et institutions privées se substituent de plus en plus ouvertement à l’Etat pour limiter doctrinalement et arbitrairement la liberté d’expression du peuple."
Arnaud Imatz, Résister au dénialisme en histoire. Jalons pour un savoir non contaminé par l’idéologie mondialiste, 2022.
6 notes · View notes
aurianneor · 5 months
Text
Tumblr media
Le EU-Mercosur
Avec l’accord EU-Mercosur, les marchandises circulent librement sans contrôle ni taxe. Il y a un risque sanitaire pour les consommateurs en Europe. On va créer des conditions de production déplorables au niveau social, de la santé humaine, du bien-être animal et de l’environnement. Par exemple, 27% des pesticides utilisés par les éleveurs brésiliens sont interdits en Europe. Plein d’entreprises en Europe vont délocaliser pour faire plus de marge en polluant tranquille. Tous les employés de l’agroalimentaire vont perdre leur emploi. Faire là-bas ce qui est interdit ici et toujours vendre au même prix, c’est ça l’objectif de cet accord.
Comme l’Union Européenne n’est pas dirigée de manière démocratique, les citoyens n’ont pas leur mot à dire. C’est un déni de démocratie et un déni de justice car tous les conflits doivent être gérés par un tribunal arbitral qui n’est pas composé de juristes mais d’industriels.
Il faut donner sa voix aux candidats qui sont contre l’accord EU-Mercosur et pour la prise de pouvoir au parlement européen, pour la souveraineté du parlement européen.
Lors du serment du jeu de paume le 20 juin 1789, les députés se sont proclamés eux-mêmes comme autorité suprême de l’expression de la démocratie et ont affirmé que l’exécutif est à leur service. “Il n’appartient qu’aux représentants élus de concourir à former le voeu national et que tous les représentants doivent être dans cette assemblée, il est encore indispensable de conclure qu’il lui appartient et qu’il n’appartient qu’à elle d’interpréter et de présenter la volonté générale de la nation”. 
Les députés européens doivent eux-aussi déclarer la souveraineté du parlement européen. L’Europe est le premier marché mondial. Le commerce avec le reste du monde doit se faire en accord avec les normes environnementales et sociales.
Farmers, environmentalists slam ‘sell-out’ EU-Mercosur trade deal – France 24: https://www.france24.com/en/20190629-eu-south-america-agriculture-trade-mercosur-farmers-environmentalists
L’accord du MERCOSUR : une menace pour l’agriculture européenne ?: https://journalisme.ulb.ac.be/laccord-du-mercosur-une-menace-pour-lagriculture-europeenne/
For people and the planet, say no to EU-MERCOSUR: https://www.greens-efa.eu/en/campaigns/mercosur
Mercosur : une nouvelle étude alerte sur les dangers de l’accord! – Le sillon belge: https://www.sillonbelge.be/11248/article/2023-06-28/mercosur-une-nouvelle-etude-alerte-sur-les-dangers-de-laccord
Parti Pirate – Programme – Européennes 2024: https://europeennes.partipirate.org/soccivile.html
Jacques-Louis David – Serment du Jeu de paume, le 20 juin 1789: https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Jacques-Louis_David_-Serment_du_Jeu_de_paume,_le_20_juin_1789–P67–musée_Carnavalet-_0.jpg
Élections européennes 2024: https://elections.europa.eu/fr/
----------------------------------------------------------------------
Commerce équitable et bio: https://www.aurianneor.org/commerce-equitable-et-bio/
Qui se cache derrière le drapeau?: https://www.aurianneor.org/qui-se-cache-derriere-le-drapeau/
Le Pérou, la biodiversité en danger: https://www.aurianneor.org/le-perou-la-biodiversite-en-danger/
Les autorités illégitimes: https://www.aurianneor.org/les-autorites-illegitimes/
2 notes · View notes
helshades · 1 year
Text
Quand on vous dit que la NUPES fait rien qu'à bordéliser les débats, hein !
Il n'est peut-être pas inutile de rappeler que Mme Yaël Braun-Pivet ne doit en rien son poste de ~première femme présidente de l'Assemblée nationale~ à ses compétences mais bien à un service rendu au Présiroi d'avoir enterré l'affaire Benalla en 2018.
Pour qui n'a pas pour habitude de suivre les débats au Parlement, je vous assure que c'est édifiant, et donne la pleine mesure du degré réel de la démocratie représentative en France.
5 notes · View notes
thierry-facon · 2 years
Photo
Tumblr media
back to busan
« Or, dans une démocratie directe, l’inégalité sociale a des effets beaucoup plus profonds que dans une démocratie représentative où la participation du corps civique à la politique ne prend aux citoyens que quelques minutes tous les quatre ou cinq ans. » 
( Paul Veyne, Le Pain et le Cirque. Sociologie historique d'un pluralisme politique )
16 notes · View notes
bienvenuechezmoi · 2 years
Text
La guerre c'est la com la mif
Je ne comprend pas les critiques contre le couple présidentiel ukrainien qui pose pour Vogue.
Ça m'a l'air assez évident que c'est une communication de com pour continuer à faire vivre la guerre russe en Ukraine afin de récolter des dons, des soutiens, de l'argent. On dit qu'il faut 6 semaines pour qu'une information choquante devienne une nouvelle normalité et désintéresse les personnes.
La guerre est passée a un conflit de long terme, village par village qui va sûrement durer plusieurs années.
La communication de Zelensky suit tout a fait cette publication sur Vogue. Il se place en bon père de famille fort mais empathique. Il est proche du peuple et le représente à l'opposé de Poutine qui se représente comme le seul à pouvoir gérer la Russie limite en dieu unique.
L'image de Vogue représente bien le président Ukrainien tournée vers l'Union Européenne. Il veut montrer la démocratie ukrainienne ouverte au changement en étant moderne et se montrant à égalité avec sa femme. Pourtant, il veut aussi jouer avec l'Ukraine plus conservatrice, on voit bien que c'est lui qui porte la culotte dans le couple avec ce bras (veineux) qui la tient. Il n'a pas oublié de mettre son tee short kaki de chef de guerre qui le rappel proche de sa population au combat.
En espérant que la com de Macron ne reprenne pas cette idée. On ne veut pas voir sa gueule sur Vogue.
2 notes · View notes
aurevoirmonty · 3 months
Text
Tumblr media
Le Prince de Machiavel ne représente pas la Droite ; il est plutôt l'antithèse de celle-ci. Il peut paraître soutenir des valeurs spirituelles ou religieuses uniquement pour consolider son autorité, sans reconnaître leur véritable importance. Il exploite des "mythes" pour activer les pulsions irrationnelles du peuple, créant une figure qui mêle le prince machiavélien au démagogue issu de la démocratie. Ce renversement confère au dirigeant une aura "charismatique", utilisant des moyens démoniques sans scrupules pour établir son pouvoir, dans ce qu'Evola décrit comme la "politique absolue". Pour lui, la grandeur aristocratique réside dans le respect de la personnalité libre et de la dignité individuelle, notions absentes chez Machiavel.
Julius Evola, Les Hommes au milieu des ruines
3 notes · View notes
claudehenrion · 3 months
Text
Et la France, dans tout ça ?
Les sujets survolés ces temps derniers sont trop vastes, trop complexes, trop ''à tiroirs'' ou trop pleins de mensonges pour que l'on puisse dire tout ce qui vaut la peine d'être dit, dans le format de ce blog (en gros, une page, format ''A4''). Et une communication sérieuse ne saurait se contenter des formats ex-'twitter' (devenu 'X') ou SMS, chers aux professionnels du bobard politique : depuis le covid et l'Ukraine, nous les croyons encore moins qu'avant . Heureusement.
Mais il est impératif de parler de la France... Ce fut un grand pays, une civilisation à l'intérieur de la civilisation occidentale... Ce fut un pays d'une beauté à couper le souffle (vous et moi ne l'avons pas oublié) : ses paysages, ses cathédrales, ses châteaux (qui ont beaucoup souffert de la haine ravageuse des révolutionnaires et des ''septembriseurs''), ses villages charmants, ses clochers graciles... sans parler de sa Capitale, cette ''Ville-Lumière qu'une dingue, élue (?) par la faute d'une loi scélérate (dite ''PLM'') a réussi à foutre en l'air en deux mandatures. Ce fut le pays de la joie de vivre, du bonheur individuel de ses habitants –toujours prêts à râler, certes, mais... comme ils étaient sympathiques, malgré ce petit travers...
En ces temps de fin de notre monde, la seule chose que nous permettent encore des idées sans queue ni tête (imposées par des politicards sans foi ni loi et par des compromissions létales dans des traités imposés, où notre possibilité de survie est coincée entre une démocratie morte et une liberté confisquée)... se réduit à quelques marches blanches inutiles et vaines, (ceux qui sont étiquetés ''à Droite'' n'y ont pas droit !), qui sont la dernière oraison funèbre permise, pour nous ou nos survivants... Oh ! Il subsistera, quelques temps encore, un espace géographique qui portera ce nom autrefois flamboyant : ''France'' --peut-être ridiculisé en ''Francistan'', le pays de francs, avec le suffixe persan ''-istan'' qui veut dire : ''lieu, pays'')-- avant de disparaître à jamais, avec le souvenir de nos belles heures oubliées... ou sans lui, plutôt.
Quatre sujets sont fondamentaux pour notre ''être'' et pour notre survie : (a)- une immigration invasive, conquérante et suppressive ;(b)- une menace pour la planète, imaginaire et indémontrable, mise en balance avec la survie d'une humanité ; (c)- la volonté masochiste d'une ''camarilla'' qui veut supprimer jusqu'à la racine tout ce qui a existé avant elle –mais qui n'a rien de valable à proposer, pour remplacer une civilisation (qui a apporté à l'humanité tout ce que ses rêves les plus fous n'avaient même pas imaginé), devenue, sans raison valable, l'objet d'une haine injustifiable... (d)- la volonté perverse et masochiste d'une caste de malfaisants qui préfère le pire à toute autre solution, l'absurde à l'intelligent, l'indémontrable au vraisemblable, l'affirmation mensongère à l'expérience et la guerre à la paix, au nom, bien sûr, de faux ''grands principes'' dont pas un seul ne pourrait exister sans l'énergie qu'ils déploient pour faire croire que le faux pourrait être vrai, le laid, bon ou beau, et le mensonge, vérité... Or, si nous approfondissons ces sujets, qui résument l'immensité de notre désarroi et décrivent la gravité de la crise artificielle ouverte sous nos pas, ce qui se passe ne peut être perçu que comme ''consternants'' et annonciateurs de drames sans limites. Une seule porte de sortie : que le Président dise : ''Je me suis trompé sur tout. On arrête les conneries avant la cata....''. Hélas...
(1)- L'immigration, d'abord. Résumons-la en trois mots : l'écrasante majorité du peuple a enfin réalisé que ses représentants lui mentaient honteusement, et c'est désormais à > 80 % que les français veulent que tout change, le plus vite possible. Réponse des dits représentants : une loi ''a minima'' qu'on fait semblant de concéder au populo... puisqu'on est certain d'avoir verrouillé par derrière le gouvernement de juges qui a de facto pris le pouvoir, sans mandat, dans l'opacité et le non-dit les plus complets. Huit jours plus tard, ils sont tout contents de nous promettre que le record absolu d'entrées légales ou non, qui vient d'être battu ce mois-ci, va devenir la nouvelle norme... et que l'œuvre de destruction sournoise de nos sociétés va enfin se muer en une œuvre de destruction massive et rapide. Et le Conseil constitutionnel de faire la danse du ventre pour nous expliquer sans rire que le contrôle des entrées, le contrôle des sorties, et la composition de ces deux éléments –seuls paramètres connus-- sont sans lien direct avec une loi sur l'immigration massive --et devenue majoritairement hostile... On est chez les fous, qui se prétendent ''sages'' !
(2)- La transition écologique. Toutes les énergies disponibles sont mobilisées à plein temps par la quête de ''l'impossible étoile'' du poète : un réchauffement dont les causes sont infinies mais que d'aucuns s'acharnent à prétendre n'être du qu'aux fautes, dites ''crimes'', de la race blanche contre l'humanité tout entière –dont elle, la folle ! Nos paysans, en se révoltant contre la stupidité castratrice des faux prophètes en mal de télé et de ''JT'', viennent de semer une petite graine qui ne peut que croître et se multiplier. Tremblez, fauteurs de troubles (lire : ''fouteurs de merde'', évidemment !), vos jours sont comptés... Plus personne ne peut vous voir, vous sentir, vous tolérer. Avec votre ''dérèglement climatique'', vous avez semé le vent, vous récoltez la tempête : quand quelque chose n'a aucune chance de marcher, inutile d'espérer un miracle que tout le monde sait impossible. Arrêtez vite cette mauvaise transition anti-écologique, de grâce ! !
(3)- La victoire à la Pyrrhus du progressisme : a force de croire, dans leur inculture structurelle, qu'il suffisait qu'une chose soit ''autre'' pour être réputée ''mieux'', nos cuistres chroniques avaient presque réussi a faire disparaître toutes les bases et tous les fondamentaux de l'édifice qui soutient le monde.... comme si quoi que ce soit pouvait vivre, une fois privé de ses racines (ou : de son histoire, de sa culture, de ses ''raisons d'être'' et de ses sources. Et j'ajoute, puisque nous parlons de civilisations, ''de son Dieu et de la Foi de ses Pères''). Leur faux dieu ''Progrès'', n'est fait que de ''changements'' –et le plus souvent peu souhaitables, comme le sont toutes leurs lois dites sociétales, qui sont autant de portes ouvertes vers la fin de toute humanité digne de ce nom.
(4)- La mondialisation maléfique : comme un vieux fantasme hugo-hollywoodien, une sorte de tenaille de torture a été installée à demeure sur les pauvres gens, par des esprits malfaisants. Ses dents déchiqueteuses pourraient se nommer Klaus Shwab pour l'une et Ursula von der Leyen pour l'autre. Leur but est simple : pour atteindre le plus vite possible le point de non-retour de notre chute vers leur néant absolu (ce que eux seuls désignent par ''mondialisation heureuse'', qui est synonyme de malheur irréversible pour tous les autres mortels), il faut et il suffit de rendre impossible la vie et la survie des classes sociales, des métiers, des structures, etc... l'une après l'autre. Ces tenailles assassines ont failli avoir raison de nos familles, de notre industrie, de notre religion, de notre système hospitalier et de notre médecine, de notre école, de notre foi en nous, de notre culture, de notre langue, de notre Histoire, de nos traditions.... mais semblent se briser sur le saccage officiellement programmé de notre agriculture : nos paysans, armés de leur bon sens réputé, ont éventé leurs manigances avant qu'il ne soit trop tard. L'espoir renaît : Méphisto, dans ''Faust'', dit : Mon pouvoir tient à ''Je suis celui qui peut dire ''Non''... Au lieu de sur appliquer les folies de Bruxelles (ce qui est une stupidité signée Macron : il ne sait pas que sa ''transition écologique'' est une connerie XXL !), il suffirait de dire ''Non'' aux idioties présentes et passées.
Au lieu de ça, nous avons eu droit aux pitreries de Gabriel Attal, hier soir. Il est courageux, mais il croit possible d'endormir la contestation à coups de ''n'' chèques de 50 millions chacun... au lieu de faire la seule chose qui peut sauver la paysannerie, la France –et même l'Europe-- de tous les malfaisants qui veulent leur disparition : remettre la grosse commission de Bruxelles à sa place, se dresser contre sa fièvre normative, et annuler toutes ses tentatives d'assassinat depuis 5 ans.
Ce samedi 27 janvier 2024, le Figaro titrait, dans une orgie d'inculture : ''Attal affiche son volontarisme pour apaiser la colère paysanne'' (sur une botte de foin, pour faire ''bouseux''!). Nos journaleux (derniers dans le classement ''Pisa'') ne savent pas que ''volontariste'' ne veut pas dire ''qui a de la volonté'', mais : ''qui croit pouvoir soumettre le réel à sa volonté''.. Nos politicards en sont là ! Le mal est immense, mais la guérison encore possible.. 
H-Cl.
3 notes · View notes