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#cimaises
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dartankdecor · 6 months
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Si vous cherchez à donner du cachet et de l’élégance à votre intérieur, vous allez adorer les produits Orac Decor sur dartank.com, le site spécialisé dans la décoration d’intérieur. Orac Decor vous offre une gamme de produits de qualité, faciles à installer et à personnaliser. Vous pouvez choisir parmi des moulures, des corniches, des rosaces, et des panneaux muraux qui s’adaptent à tous les styles et à tous les budgets. Regardez cette photo qui montre le résultat époustouflant des produits Orac Decor. Ce couloir a un design moderne et sophistiqué, grâce à la hauteur du plafond, aux murs blancs, et au lustre impressionnant. Le couloir mène à une pièce avec une grande fenêtre qui apporte de la luminosité et de la profondeur. La photo est prise depuis un angle bas, ce qui rend le couloir encore plus grandiose. N’attendez plus, rendez-vous sur dartank.com pour découvrir les produits Orac Decor et donner du caractère à votre intérieur !
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ftnbooks-blog · 1 year
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CIMAISE
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tournevole · 1 year
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La Cimaise et la Fraction
La cimaise ayant chaponné Tout l’éternueur Se tuba fort dépurative Quand la bixacée fut verdie : Pas un sexué pétrographique morio De moufette ou de verrat. Elle alla crocher frange Chez la fraction sa volcanique La processionnant de lui primer Quelque gramen pour succomber Jusqu’à la salanque nucléaire. « Je vous peinerai, lui discorda-t-elle, Avant l’apanage, folâtrerie d’Annamite ! Interlocutoire et priodonte. » La fraction n’est pas prévisible : C’est là son moléculaire défi. « Que feriez-vous au tendon cher ? Discorda-t-elle à cette énarthrose. - Nuncupation et joyau à tout vendeur, Je chaponnais, ne vous déploie. - Vous chaponniez ? J’en suis fort alarmante. Eh bien ! Débagoulez maintenant.
Raymond Queneau
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sergedehaes · 2 months
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Galerie de la Reine / Bruxelles mars 2024
On m'aurait dit qu'un jour, je dessinerais in situ, debout, carnet à la main, sous la bruine, au regard de tous, tout en ayant du plaisir, je n'y aurais pas cru.
Mon expo à l'espace d’Art "Le Neuf" approche à grands pas. Le vernissage est le vendredi 15 mars à 19h. Je partage les cimaises avec Philippe de Kemmeter. L'adresse du jour: 9 Rue Brehen à Marilles 1350 (Orp-Jauche).
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musographes · 2 years
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La fâcherie de Girodet
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On connait des gens qui, à la vue du tableau de Girodet, Mlle Lange en Danaé, diraient : "oh moi, ces machins mièvres, c’est pas mon truc". Or, si l’on peut ne pas en aimer la facture, il est impossible de qualifier ce tableau de "mièvre" une fois que l’on en connaît l’histoire. La voici.
Tout démarre avec Mademoiselle Lange, nom de scène d’Anne-Françoise-Élisabeth Lange, une des "merveilleuses", ces personnalités extravagantes du Directoire. Mademoiselle Lange était une comédienne célèbre, qui jouissait d’un fort entregent et se distinguait par son goût du luxe. Elle finit par épouser en 1797 Michel Jean Simmons, grand armateur et importateur de denrées coloniales, ce qui l’écarta définitivement de la scène.  Tout à la jouissance de son prestige, elle avait commandé au peintre Girodet un portrait en pied de sa personne. Girodet s’exécuta en réalisant cette Mademoiselle Lange en Vénus.
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La nudité en peut surprendre, mais rappelons qu’il s’agissait de la période assez libérée du Directoire, que le statut d’ex-comédienne de Mademoiselle Lange devait lui autoriser quelques licences (d’ailleurs un autre tableau d’elle, par Jean-François Colson, la représente un sein dévoilé), et que le corps représenté ici était sûrement vu comme une symbolisation plus qu’une étude d’après nature qui, en dehors du visage, n’eut sans doute jamais lieu.
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Girodet exposa l’œuvre au Salon de peinture et Sculpture de 1799. Seulement voilà : la modèle estima que la "ressemblance" n’était pas au rendez-vous et exigea que le tableau fût décroché des cimaises, ce qui fut fait.
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Girodet était visiblement furieux. Il travailla d’arrache-pied dans son atelier avec l’ambition de réaliser un second tableau et de le présenter au Salon avant sa clôture. On l’imagine grommelant, ses pinceaux vengeurs frottant la toile, "ah, tu veux de la ressemblance,  je vais t’en donner, moi". Il réussit à finaliser l’œuvre en quelques jours, soit un temps record, et ce faisant celle-ci s’en vint figurer au Salon. À la stupeur et l’amusement du public, la Vénus s’était transformée en Danaé. Une révision mythologique sûrement s’impose : pour faire court, Danaé est, dans les mythes, une jeune femme enfermée dans une tour que Zeus, ce grand transformiste, féconda en glissant sur ses parties intimes sous forme de pluie d’or. Hum. En soi, le sujet sentait plus distinctement la bagatelle que Vénus. Mais c’est la mise en scène du tableau qui faisait tout son sel : Girodet avait réalisé un véritable portrait à charge. Dans la scène rageusement concoctée par le peintre, Danaé-Mademoiselle Lange se mire dans un miroir tout en recevant une pluie de pièces d’or, qu’elle recueille avec le tissu qui aurait dû masquer son intimité, articulant d’un même mouvement sa volonté de séduction, son avidité et son impudeur. À ses côtés, une colombe, symbole de pureté, gît terrassée par une balance (à compter) et blessée par une pièce. Le dindon qui contemple son entrejambe est un symbole de bêtise, et tout le monde y vit la représentation de son mari Michel Jean Simmons, que tout Paris savait cocu. Il arbore des plumes de paon (qui peuvent symboliser fatuité et concupiscence) dont il se fait plumer par un des puttis, donc aucun ne porte d’ailes d'anges. Un des amants de Mademoiselle Lange, Leuthraud, est là aussi, sous forme de masque grimaçant, une pièce dans l’œil. Il y a sûrement encore d’autres allégories, mais cela nous suffit à saisir qu’il ne s’agit plus d’un tableau, mais d’un missile !
Par cet acte vengeur, Girodet entama indéniablement l’image publique d’Anne-Françoise-Élisabeth Lange, mais l’on est contraint de constater qu’il lui a aussi offert une postérité qu’elle n’eût pas pu espérer autrement.  Conclusion : cherchez le scandale, modèles, cherchez-le bien, c’est votre porte royale vers la reconnaissance posthume !
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ROBERT RYMAN. LE REGARD EN ACTE
Jusqu'au 1er Juillet
Au Musée de l'Orangerie
Le musée de l’Orangerie consacre une exposition à l’artiste américain Robert Ryman (1930-2019). Intitulée « Robert Ryman. Le regard en acte », cette première présentation d’ampleur dédiée au peintre depuis 1981 dans une institution publique française confirme, cinq ans après sa disparition, l’importance historique de cet artiste. Trop souvent assimilée au courant minimaliste américain, avec lequel elle dialogue le plus souvent sur les cimaises des musées, la démarche singulière de Ryman demande aujourd’hui à être regardée pour elle-même et par elle-même.
N’hésitez plus, vous pourrez vous aussi dire, J’ai un ticket :
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elleferrocerium · 1 month
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Je prends mes quartiers,
je prends mes aises,
décroche le temps et les cimaises.
Je pose mon âge.
Au presque bras, à la virgule entre nos pulls,
du ras des pâquerettes à la pointe d'un tatouage,
ce soir je m'assiérai près de l'homme fournaise.
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carnetcritique · 5 months
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Les premiers souvenirs à Barroude sont indissociables des premiers souvenirs de montagne. Probablement de ceux qu’on se remémore adulte, en y donnant une importance quasi-initiatique que ni la longueur objective, ni la difficulté de la course ne puisse justifier. Après les nombreuses balades d’enfance dans la vallée du Marcadau et la vallée si riante d’Aratilles, les pique-niques à côté des géraniums de Troumouse, où aux Oulettes de Gaubes assis dans le pâturages verdoyants, s’impose un nouveau projet : il va falloir s’attaquer à rien d’autre que l’«Envers du Cirque de Troumouse » comme le décrit dans son style concis inimitable, le guide Ollivier familial dans une édition des années 70 toute cornée.
Et me voilà donc à la fin de l’été, à remonter la vallée de la Géla, sous un poncho rouge et une pluie régulière. Mais le Guide Ollivier avait menti : absolument rien de pittoresque dans cette succession monotone de rochers, perdus au milieu d’un brouillard à couper au couteau. Mon père, de dos, me criait en riant « Allez, courage, plus qu’une demi-heure ! » comme une sorte d’unité de temps incompressible, du début de la randonnée, à la fin. Je compris plus tard que les dizaines de mètres qui le séparait systématiquement de moi était une manœuvre très habile : assez loin, il pouvait profiter de la montée sans subir ma mauvaise humeur. Assez proche, il me servait de point de mire en impulsant un rythme que ma peur de le perdre de vue me contraignait à suivre.
Au bout de quelques heures, le brouillard s’estompant un peu, je voyais notre sentier s’élever encore à flanc d’un grand pâturage jusqu’à un dernier ressaut abrupt, un « coup de cul », à mon avis un peu désespérant. Et planté au-dessus, je voyais pour la première fois la grande muraille noire, infiniment lisse de Barroude, qui m’apparût alors inquiétante, sublime et menaçante. « Le refuge est juste là-haut, au pied du mur» me dit tranquillement mon père, «plus qu’une demi-heure, et on devrait même y être avant l’orage ». Et il repartit aussitôt. Les premiers éclairs éclatèrent à la sortie du ressaut, lorsque nous passions devant l’embranchement du sentier de la Hourquette de Chermentas. Quel spectacle et quelle frayeur ! Le bruit formidable du tonnerre qui roulait contre ce mur de trois kilomètres de long et lisse comme une lame me filait une frousse dantesque. Au milieu de la nuée qui semblait avoir absorbé la terre entière, alors que nous progressions aussi vite que nous pouvions, penchée juste au-dessus de nous, la muraille de Barroude, encore plus noire que le ciel, devenait blanche par à coup, lorsque les éclairs zébraient le ciel. Marchant sous des trombes d’eaux et dans un boucan de tous les diables, je me souviens alors apercevoir comme un mirage têtu, campé sur son ténement rocheux, et se détachant sur le fond sombre de la muraille, la pointe volontaire du toit du refuge de Barroude.
Les montagnes ne vivent que de l’amour des hommes, selon le grand Rebuffat, mais est-ce qu’il y a un autre endroit où l’on peut pour ressentir de l’amour pour une construction humaine, même fruste, pour un simple refuge, efficace, pragmatique et savant, légué par nos semblables au milieu de cet environnement ou tout est à l’échelle des dieux ? Quel autre endroit que ces lieux isolés en montagne pour apprécier le dénuement d’une ampoule électrique dans le sas de déséquipement, ou j’abandonnais mes chaussures trempées ?  Même la rigueur des cimaises en bois des murs de la salle commune valait tous les stucs et les gypseries des palais du monde, et la garbure préparée par les gardiens méritait n’importe quelle étoile au Michelin. La courte nuit, dans un dortoir bondé, remplis de ronfleurs et de blagues espagnoles, me sembla délicieuse. Le lendemain matin, l’abris avait fait son office, le ciel était dégagé et l’humeur excellente : je contemplais depuis la fenêtre de la salle commune, parfaitement placée au-dessus de mon lait chaud, l’aube violette qui colorait les cimes de la muraille, et le pic de Troumouse.
Intervenir dans le Parc National des Pyrénées, c’est inévitablement nous interroger sur la place que tiendra l’homme dans le milieu montagnard au XXIème siècle. Comment transmettre l’héritage de la tradition agropastorale toujours vivace, et qui a façonné la physionomie même des montagnes, tout en réinterrogeant notre rapport à ce contexte fragile. Sans évacuer la question touristique, devenu majeure avec le développement du loisir aux quatre saisons, bâtir au cœur même du cirque de Barroude, nécessite une conscience et une attention toute particulière dans ce site isolé et spectaculaire. A l’ère de l’anthropocène, il nous faut maintenant dépasser la vision romantique, de Hugo, et même la vision héroïque, portée par les Ramond, Chausenque et Russell, qui ont fait les belles heures du Pyrénéisme. En partant de cet héritage, nous souhaitons faire de ce projet de refuge un manifeste pédagogique de l’art de bâtir à la montagne au XXIème siècle.
Construire un refuge, renvoie à la vocation anthropologique de l’architecture : protéger et abriter des activités humaines. Ce que l’on peut oublier en bas, dans la plaine, la montagne nous le rappelle en renvoyant à son essentialité toutes les décisions techniques, tous les choix que nous ferons. Mais évidemment la somme des contraintes techniques est loin de faire un projet, et ce n’est qu’en composant tous les éléments avec minutie, avec attention, que nous aurons la chance et la responsabilité d’entrer en résonnance avec le site spectaculaire de Barroude. Pour que d’autres adultes, d’autres enfants aient la chance d’être invité à rencontrer la Montagne dans ce lieu spectaculaire et magnifique.
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s12023artnum · 5 months
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L’APPORT NUMIRIQUE SUR LA CULTURE
Le numérique a émergé comme une force transformative ,sculptant de manière indélébile le paysage culturel contemporain. A l’ère des avancées technologiques fulgurantes, son influence s’étend bien au-delà des aspects techniques pour s’insinuer dans chaque recoin de nos expressions artistiques et expériences culturelles.Cependant,cete révolution créative se manifeste à travers diverses disciplines , de la musique à la cinématographie en passant par les arts visuels ouvrant de nouvelles prespectives et posant des défis stimulants.Alors c’est quoi l’apport numérique sur le domaine culturel.
On a par exemple , la musique a subi une métamorphose spectaculaire avec l’avènement des platformes de streaming :
 scène musicale étendue 
Aujourd’hui, le contraste est saillant : tandis que l’industrie musicale ne se risque que rarement à miser sur de jeunes talents « alternatifs », le reste de l’industrie artistique n’hésite pas à plonger dans l’inconnu de la création du futur. Dans ce contexte, l’innovation sonore se greffe à d’autres formes d’art, se faisant toujours plus hybride. Mais art et technique sont liés, et il n’aura pas fallu attendre DALL-E pour que la science (jusqu’à la physique quantique) rentre dans l’équation créative : avec l’art numérique, le son n’est plus seulement sur scène – il est la scène. A l’occasion d’une exposition organisée par l’Ars Electronica à Linz, le projet AI Ink a été dévoilé : les visiteurs, après avoir écrit leur état d’esprit des derniers mois, deviennent acteurs d’une œuvre musicale participative composée par une IA, laquelle transforme leur état émotionnel de l’année en une nouvelle version collective du Beau Danube bleu. Pour mettre en image le processus créatif à l’œuvre dans la tête des compositeurs et interprètes, c’est par l’intermédiaire de divers capteurs qu’une IA dessine en temps réel le flux psychique engagé dans l’acte musical. Dans les musées et les galeries, apparaissent de nouvelles formes d’art qui secouent les cimaises d’institutions à la recherche d’un nouveau souffle. Only Breath, Words est une installation acoustique qui  se fond dans l’infrastructure architecturale spécifique à chaque lieu de culture. Il s’agit d’une performance théâtrale sans acteurs dans laquelle la voix est émise par le bâtiment lui-même – à mesure que son système de ventilation « expire » à travers des sculptures de conduits de fumée que le lieu a inspiré à l’artiste Anna Craycroft. L’événement organisé par FutureSound, dont la thématique était The Art of Listening, a mis à l’honneur le son 3D en proposant une création en audio spatialisé à écouter les yeux bandés. Lors du même événement, a eu lieu une expérience immersive, par l’artiste Natural Symphony, qui relie des plantes, des cerveaux de visiteurs et des synthétiseurs par l’intermédiaire d’un système de rétroaction biologique. Une collaboration entre l’organique et le synthétique s’opère alors, en offrant aux plantes la possibilité de créer en symbiose avec un humain.  La musique et les arts visuels sont unis par des liens anciens mais parfois complexes : un vocabulaire commun (ton, ligne, harmonie), mais sans recourir au même sens ; une recherche de correspondances entre couleurs et notes de la gamme plus ou moins pertinente. Déjà au XVIe siècle, Arcimboldo imagine une équivalence entre la hauteur des sons et les nuances allant du noir au blanc. En 1740, le mathématicien Louis-Bertrand Castel établit des correspondances entre l’échelle tempérée et le spectre chromatique. Il tente en vain de construire un clavecin oculaire, une idée dont s’inspirera Scriabine en 1910 dans son œuvre symphonique avec « clavier à lumières » Prométhée ou le Poème du feu. Dans le Dictionnaire de musique (1767), Rousseau écrit à l’entrée « Imitation » : Par un prestige presque inconcevable, [la musique] semble mettre l’œil dans l’oreille, et la plus grande merveille d’un Art qui n’agit que par le mouvement, est d’en pouvoir former jusqu’à l’image du repos. La nuit, le sommeil, la solitude et le silence entrent dans le nombre des grands tableaux de la Musique.
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Pourtant, il a longtemps existé une barrière entre musique et arts visuels, les deux domaines ne semblant pas avoir la même temporalité (la musique n’étant perçue que dans la durée, là où l’œil peut appréhender une œuvre d’art visuel de façon immédiate). Mais à partir du XIXe siècle, sous l’impulsion du courant romantique, les frontières tendent progressivement à s’effacer.
ATELIER DANSE & VIDÉO LE 3 ET 4 NOVEMBRE
par Organphantom Prod et le Collectif Fish & Shoes Lieu : Asso Ribambelle, 24 La Haute Ribeyrie, 24140 Queyssac 𝗚𝗿𝗮𝘁𝘂𝗶𝘁 𝘀𝘂𝗿 𝗜𝗻𝘀𝗰𝗿𝗶𝗽𝘁𝗶𝗼𝗻
L’artiste visuel Pablo Gracias et le danseur contemporain Tom Guichard s’associent le temps d’ ateliers construits autour des thématiques abordées dans la pièce MIRAGE Ô MIROIR. Ces ateliers permettront aux participantes de traverser les processus créatifs liés au spectacle et leur donneront l’opportunité d’appréhender le spectacle vivant d’un point de vue transdisciplinaire
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*Expérimentation Sonores et Technologiques : L’avènement de la réalité virtuelle(RV) et la réalité augmentée (RA) offre de nouvelles dimensions à l’expérience musicale , les artistes explorent des performances virtuelles dans le public peut se plonger dans des mondes sonores immersifs,transcedant les limites des concerts physique traditionnels.
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*Innovation Collaborative : Les plateformes numériques favorisent la collaboration entre artistes ,producteurs et créateurs visuels.
*Visualisation Musicale : L’art numérique enrichit la dimension visuelle de la musique  des vidéoclips interactifs aux installations visuelles avec la musique en temps réel.
En conclusion, l’art numérique fusionne de manière dynamique avec notre culture, la technologie et la société entrent en dialogue continu, invitant chacun à participer activement à la construction de notre héritage artistique.
NOM: Hanifi
PRENOM :Céline
Groupe 2
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yannlyr · 6 months
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Itinéraires ABSTRAITS
L’exposition automne-hiver que le MuMa, musée d’art moderne André Malraux au Havre propose aux amateurs répond à plusieurs évidences. Dans chaque musée de France, la majorité des collections n’est pas exposée et les œuvres attendent qu’on les sorte des réserves: la mode n’est plus à l’accrochage du XIXe siècle où les murs en étaient recouverts. Par ailleurs, la majorité des collections du MuMa sont d’art moderne; les achats depuis son ouverture en 1961 par le ministre de la Culture du Général De Gaulle, le musée étant alors encore dirigé par un artiste, le peintre Reynold Arnould auquel le MuMa avait consacré une exposition d’intersaison en 2019-2020, étaient concentrés sur les créations d’artistes contemporains et souvent vivants. Différents dons et legs ont cependant bénéficié entre-temps au MuMa et ont apporté au musée la deuxième collection d’œuvres impressionnistes en France, juste après le prestigieux musée d’Orsay. Double gageure, terrible dilemme, pour le musée, tiraillé par les appels de toutes ces œuvres qui crient pour qu’on les admire. On entendrait la nuit, dans les dites réserves, des noms d’oiseaux échangés entre les toiles de Monet, Renoir et celles de Léger, Delaunay et Dubuffet, car, nous le rappelle Clémence Poivet-Ducroix, commissaire de l’exposition: « Tout le monde devra, dès 1910, se positionner par rapport à l’abstraction. »
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André Masson, Nature morte avec poissons, ca. 1924 (ancienne collection du dramaturge havrais Armand Salacrou)
Les visiteurs changeront d’univers de façon abrupte entre les œuvres impressionnistes et fauves exposées de manière permanente et l’alcôve où 79 œuvres appartenant au musée sont présentées sur les cimaises selon un itinéraire décliné non pas par écoles ou groupes, ou galeries qui rassemblaient des artistes, mais selon les tendances, les inclinations de ceux-ci. Rappelons que si la lumière artificielle au gaz ou électrique et l’éclairage scientifique des couleurs primaires et complémentaires ont bouleversé la peinture à la fin du XIXe siècle, c’est une nouvelle approche de l’être humain, individuelle, qui va révolutionner l’expression de chacun après une introspection plus ou moins onéreuse: la psychologie et la psychanalyse qui sera seulement définie par Sigmund Freud en 1922, où l’on parle d’investigation, de processus mentaux, de traitement des désordres névrotiques, d’élucidation de certaines pensées. Au milieu des œuvres exposées, ne trouve-t-on pas Description d’un monde intérieur, d’André Lanskoy (1902-1976) peint en 1950? Comme un cri, pourrait-on dire?
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Ainsi entame-t-on sa promenade en pays abstrait par la nature morte et son traitement; on distingue encore les objets, et ils sont l’objet propre de la représentation. Vient ensuite le paysage, encore figuratif au début de l’abstraction. On entend parfois que Monet aurait été le premier à peindre l’abstrait, ou l’inspiration de ce mouvement, thèse évoquée par le tableau du maître, Le Port du Havre, effet de nuit, 1872-1873, présenté au MuMa lors de son exposition Nuits électriques en 2020, dans lequel Monet était allé au-delà de ce qui n’était pas encore appelé l’impressionnisme. Le maître, pourtant, durant les trente années qui suivirent la production de cette œuvre, retiendra son audace fugace ou fulgurante pour approfondir le traitement impressionniste de ce qu’il voyait, ne cédant au flirt abstrait qu’à la fin de sa vie. Vertige du visionnaire? Son œuvre fut celle de la représentation qui comptait encore avant que l’abstraction n’expérimente d’autres itinéraires, comme l’abstraction géométrique, l’informel, le geste et les matériaux pour conclure.
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Si certains expriment des « besoins », d’autres animent leurs œuvres de spiritualité. Il n’y a pas de limites; on va jusqu’à se laisser faire par le matériau, l’artiste semblant s’y soumettre; c’est tantôt la déconstruction de l’œuvre, tantôt l’effacement de sa matière ou, in fine, celui de l’artiste. En effet, aujourd’hui, dans les écoles des beaux-arts, souvent la démarche artistique a priorité sur la réalisation de l’œuvre. Au mieux, elles doivent concorder. De grands artistes contemporains sont allés à la frontière de l’abstraction: l’art sans l’artiste; jamais pourtant ils n’osèrent franchir le Styx. La prétendue intelligence artificielle, quand l’humanité aura disparu, ira peut-être au bout du monde de l’abstraction: des machines créeront de l’art, pour seuls admirateurs potentiels elles-mêmes, paroxysme de l’ambivalence de ce mouvement dont les artistes qui voulant y soigner leur âme, auront contribué à réduire les œuvres à des objets inanimés, dépourvus de celle-ci, faisant de l’abstraction une dystopie artistique. A chacun son itinéraire abstrait.
Du 28 octobre 2023 au 31 mars 2024. Du mardi au vendredi de 11h à 18h, le week-end de 11h à 19h. Fermé le lundi, les 25 décembre et 1er janvier. Plein-tarif 7 € et tarifs réduits 5 €. 2, boulevard Clémenceau 76600 Le Havre. Tél. 0235196262 www.muma-lehavre.fr
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happyhologrammiracle · 7 months
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"PAGE DE GARDE" - NIALA 2023 -ACRYLIQUE S/TOILE 73X60
« PAGE DE GARDE » – NIALA 2023 ACRYLIQUE S/TOILE 73X60 39 ans de mariage derrière la couverture tiennent dans leurs pages l’histoire dans sa version authentique où Jacqueline accrochée à mes toiles par inspiration authentique s’associera au jardin de cimaises ouvert au public rassemblant une vaste collection privée des oeuvres de l’artiste sous le nom de : FONDATION ALAIN ET JACQUELINE…
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ousontlesfemmes · 11 months
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Mary Cassatt (1844 – 1926)
Une artiste impressionniste (par Marie J)
Vous avez peut-être entendu parler de Claude Monet ou d’Auguste Renoir. Mais saviez-vous que plusieurs impressionnistes étaient en réalité des femmes ? Mary Cassatt était l’une d’entre elles. Artiste américaine, sa curiosité et son talent l’ont poussée à essayer de nombreuses techniques : huile sur toile, estampe, eau forte… Entre les États-Unis et la France, embarquez dans un voyage au cœur de l’impressionnisme au féminin.
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Mary Cassatt est née le 22 mai 1844 à Pittsburgh (Pennsylvanie, États-Unis) dans une famille aisée. Elle découvre la France pour la première fois en 1855, lorsque ses parents s’y rendent dans l’espoir de trouver un traitement pour son frère, malade. Cette recherche ayant été malheureusement vaine, sa famille rentre aux Etats-Unis à la fin de l’année. Mary Cassatt y grandit et, en 1860, rentre à l’Académie des Beaux-arts de Pennsylvanie. L’éducation qu’elle y reçoit ne lui convient guère. En tant que femme, elle n’a le droit de travailler que certains sujets comme les portraits ou les natures mortes ; les sujets « nobles » comme la peinture d’histoire sont réservés aux hommes. Mary Cassatt n’a alors qu’un seul objectif : finir sa formation en France.
Elle retourne donc à Paris en 1865. Devenir artiste femme en France à cette époque n’est pas plus aisé qu’aux Etats-Unis, si ce n’est plus difficile. L’école des Beaux-arts n’ouvre en effet aux femmes que si elles sont modèles ! Il faut attendre 1897 pour qu’elles puissent s’inscrire en tant qu’élèves. Mary Cassatt s’inscrit alors dans des ateliers privés : celui de Jean-Léon Gérôme d’abord, puis ceux de Charles Chaplin et Thomas Couture. En parallèle, elle se forme au Louvre, où elle passe de nombreuses heures à copier les œuvres du musée.
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Durant ces expositions, elle rencontre Edgar Degas qui l’invite en 1877 à se joindre aux expositions des indépendants, ce qu’elle refuse. Elle se joint finalement à la quatrième exposition des indépendants en 1879. Par la suite, elle expose trois fois parmi les impressionnistes.
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L’artiste mène alors de nombreuses recherches pour diversifier ses propositions de gravure. En 1890, elle achète une presse pour imprimer ses propres estampes. Aidée du pressier Alphonse Leroy, elle expérimente, passant plus de huit heures par jour pour imprimer ses épreuves. Avec ses dix estampes en couleurs « à la manière japonaise » elle est la seule du groupe impressionniste à mener à terme, par ses propres moyens, un vrai projet éditorial en matière d’estampe originale1.
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À partir de 1886, Mary Cassatt devient un relais privilégié entre la France et les Etats-Unis où elle effectue plusieurs travaux et expositions. Elle réalise par exemple en 1893 une fresque – aujourd’hui perdue – pour la cimaise du Pavillon de la Femme de la World’s Columbian Exposition de Chicago. Malgré ces allers-retours dans son pays natal, c’est à la France qu’elle reste fidèle. Elle décède le 14 juin 1926 au Mesnil-Théribus où elle est enterrée.
Pour en savoir plus… – Mary Cassatt, Impressions, Musée d’art américain Giverny – Connaissez-vous ? Mary Cassatt, Bruno Delarue
Notes / références : 1. Mary Cassatt, Impressions, Musée d’art américain Giverny
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MARDI 13 JUIN 2023 (Billet 1 / 3)
Nous avions prévu dans ce Billet de vous raconter « La Soirée des Passionnés » organisée par Pathé vendredi dernier à laquelle nous étions invités au cinéma Beaugrenelle.
Si l’accueil a été comme d’habitude des plus sympathiques, le petit cadeau toujours bienvenu à l’heure du dîner : un sac noir en tissu avec le Logo de Pathé et à l’intérieur des sandwiches (tout-à-fait honnêtes), un paquet de Treets et une bouteille d’eau minérale… le film « Second tour » qui nous a été présenté en avant-première, de et avec Albert Dupontel et Cécile de France (entre autres), lui, ne nous a pas plu du tout. Il sortira le 25 octobre. Vous aurez le temps d’ici là de lire (ou pas) les critiques et vous vous ferez votre opinion. Nous n’avions pas du tout aimé le précédent avec Virginie Efira (« Adieu les cons ») et, par contre, beaucoup apprécié les 2 précédents : « 9 mois ferme » avec Sandrine Kiberlain et « Au revoir là-haut », tiré du livre éponyme de Pierre Lemaitre (ne vérifiez pas, il n’y a pas d’accent circonflexe sur son nom).
Marina lui a donné ❤️❤️,5 cœurs et JM, ❤️ sur 5.
Plutôt que de nous étendre sur pourquoi nous n’avons pas aimé le dernier Dupontel, nous avons trouvé plus intéressant de vous montrer quelques tableaux que nous avons vus hier soir dans la Brasserie du « Select » (99, boulevard du Montparnasse dans le XIVe), un vernissage en présence de l’artiste auquel nous étions conviés par une grande amie, Katy S., lectrice-abonnée du Blog.
Nous avons beaucoup apprécié les œuvres d’Alberto Mantilla, de pouvoir discuter avec lui, de revoir Katy (qui ne change pas)… et de terminer la soirée en dégustant les plats préférés que nous aimons manger ici, à savoir : des os à moelle pour Marina, une assiette de saumon fumé pour Katy et une andouillette AAAAA pour JM.
Evidemment, si vous ne connaissiez pas cette adresse, nous vous conseillons de venir déjeuner ou dîner au « Select », une authentique (et nostalgique) brasserie parisienne, décoration années 20, plats français traditionnels, service impeccable… et d’en profiter pour découvrir du 12 au 26 juin les tableaux de ce peintre, que vous pourrez même acheter si vous avez un coup de foudre pour l’un d’entre eux. Nous, nous aurions bien voulu mais il nous faudrait auparavant investir dans des murs car dans notre petit appartement, c’est la place qui nous manque !
Quelques mots sur le peintre puis un compte-rendu photographique et chronologique de notre soirée.
Alberto Mantilla est un jeune peintre de 27 ans, originaire du Honduras, arrivé en France il y a sept ans. Influencé par l'époque impressionniste, il parvient néanmoins à apporter une touche personnelle à travers sa peinture. Alberto Mantilla a une façon très particulière d'utiliser la palette de couleurs des peintres qu'il admire, tout en révélant sa propre personnalité derrière ces hommages.
Dans ses tableaux, il crée des miroirs qui reflètent son imaginaire foisonnant. Plutôt que de simplement copier les œuvres des maîtres impressionnistes, il s'en inspire pour exprimer sa vision unique du monde. Son talent artistique est indéniable. En peu de temps, il a su développer un style qui lui est propre.
En janvier prochain, Alberto Mantilla aura l'opportunité d'exposer dix de ses tableaux de plus grande dimension au Village Suisse, ces œuvres ne pouvant pas être accrochées aux cimaises du Select. Cette exposition sera une occasion pour les amateurs d'art de découvrir l'évolution de son travail et d'apprécier ses tableaux dans un cadre plus spacieux.
Alberto Mantilla est sans aucun doute un jeune artiste à suivre de près. Son mélange d'influences impressionnistes et de créativité personnelle promet des créations captivantes et innovantes. Sa capacité à utiliser les couleurs pour exprimer des émotions et sa maîtrise du pinceau montrent qu'il a un avenir prometteur dans le monde de l'art.
PS Vous pourrez également regarder dans le Billet suivant une petite interview de l’artiste
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lemondeabicyclette · 1 year
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Quand le deep fake émerveille. Stasstaperlderoplaf.
11.12.22 - Les œuvres quittent les cimaises du MBA pour enchanter les façades du palais, place des Terraux à Lyon. Non seulement les portraits s’animent, mais ils chantent ! Et nous invitent à les accompagner : un répertoire d’une quinzaine de tubes populaires, de Britney Spears à Nino Ferrer, qui vous feront également chanter et danser à l’unisson. L’architecture même du musée prend vie au rythme de la playlist … Les Inook, magiciens à l’origine de cette drôle de chorale muséale, citent volontiers Terry Gilliam et Alain Resnais comme inspirations. Moetu Batlle & David Passegand - Inook sont deux personnages inspirés des Inuits. Leur banquise a fondu. Alors, ils parcourent le monde et nous rappellent avec leur joyeuse impertinence, que la planète est précieuse.
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tynatunis · 1 year
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Paris Art Déco restauration Rénovation et décoration complète d'un appartement Haussmannien Avenue de Friedland par Xavier Lemoine, Architecte d'intérieur Cet appartement a fait l’objet d’une rénovation complète. L’idée était ici d’apporter tout le confort moderne à cet appartement de prestige, en conservant un maximum d’éléments décoratifs classiques typiques du style Haussmannien. Le côté classique est apporté par un nouveau parquet en pointe de Hongrie dans la pièce à vivre, de nouvelles corniches décoratives au plafond, et des cimaises murales. Quelques touches de couleurs et du mobilier plus contemporain viennent ponctuer la pièce de modernité pour créer un ensemble intemporel. Xavier Lemoine chose natural materials such as wood, marble and textiles, combined with warm colors for a cozy and warm atmosphere. The living room, the heart of the apartment, is also equipped with many unique pieces of furniture made to measure. Interior designer in Paris, Xavier Lemoine specializes in the renovation, decoration and fitting out of Haussmann-style apartments and houses #LiveArtfully #bytyna #helmutnewton #mamiyarz67 #georgesjouve #luisbarragan #donaldjudd #vincenzodecotiis #charlotteperriand #josephbeuys #josephdirand #axelvervoordt #parisiandesign#mediterraneandesign #jeanroyere #markrothko  #miesvanderrohe #pierrepaulin #ettoresottsass #jamesturrell #jeanprouvé #bottegaveneta #pierrechapo #midcenturydesign https://www.instagram.com/p/CpVOVIltc_q/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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