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#accaparer
francoisege · 2 years
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Émeutes raciales
Nous étions si fragiles…     Les failles de la société américaine, mal colmatées ou camouflées par les classes dominantes, apparaissaient sous une lumière crue et cruelle… Les Etats-Unis étaient le plus inégalitaire des pays riches, mais riches, tous les Américains du Nord étaient loin de l’être! Moins de dix pour cent des actifs y accaparaient plus de la moitié des revenus. Les inégalités…
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teritelnirbenothing · 5 months
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Mais il y a un facteur, en dehors des cartes, du droit judiciaire et du référendum, qui aura un impact sur cette question : il s’agit d’Exxon Mobil et des millions qu’elle distribue aux politiciens, aux avocats et aux médias pour obtenir cet accaparement de terres.
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meganval · 6 months
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Justice sociale : la Convergence Globale des Luttes pour la Terre et l’Eau en Afrique de l’Ouest défend les communautés de Djêgbadji
Le vendredi 13 octobre 2023, la commune de Ouidah a été marqué par un événement dans le cadre de la 4e édition de la Caravane Ouest Africaine, avec la participation de la Convergence Globale des Luttes pour la Terre et l’Eau en Afrique de l’Ouest (CGLTE-AO). Cette initiative a pris place dans le village de Kouvènanfidé, situé sur la côte de l’arrondissement de Djêgbadji à Ouidah. Massa…
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Photo
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Douceur du printemps 📷 @sebastien_blomme 🇫🇷 En parcourant mes archives, je me dis rendu compte qu'il me restait beaucoup de photos de ce papillon à développer. C'est sans doute parce qu'il arrive juste avant la saison des empuses qui accapare tout mon temps à chaque fois 😅😅😅 🇬🇧 Going through my archives, I realized that I still had a lot of photos of this butterfly to develop. It's certainly because it arrives just before the empuse season which takes up all my time every time 😅😅😅 https://ift.tt/BERgStF
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«Aimer une personne ne consiste pas à la posséder mais, au contraire, à la laisser respirer."
Aimer, ce n’est pas accaparer l’autre, encore moins le rendre dépendant de soi, bien au contraire, c’est vouloir son autonomie.
La jalousie, la possessivité, la peur de perdre l’autre sont des passions qui parasitent, voire détruisent la relation de couple.
L’amour véritable ne retient pas, il libère. Il n’étouffe pas l’autre, il lui apprend à mieux respirer.
Il sait que l’autre ne lui appartient pas, mais qu’il se donne librement. Il recherche sa présence, mais il aime aussi la solitude et les temps de séparation, car il sait que ce sont eux qui lui feront mieux encore goûter la présence de l’aimé(e).
Mieux vaut éviter l’amour fusionnel, même si, bien souvent, la fusion est le type de relation de couple que vont rechercher deux individus qui manquent de sécurité intérieure.
Dans sa forme la plus authentique, l’amour relie deux êtres autonomes, indépendants, libres de leurs désirs et de leurs engagements. »
– Frédéric Lenoir
Aimer une personne authentiquement implique de reconnaître son individualité, son autonomie et de la laisser être elle-même. L’amour véritable ne consiste pas à chercher à posséder ou à contrôler l’autre personne, mais à respecter sa liberté, ses choix et son développement personnel.
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icariebzh · 3 months
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Voilà une semaine que le monde agricole exprime sa colère au grand jour et en acte : celui d'un métier devenu quasiment impraticable, croulant sous la brutalité des dérèglements écologiques qui s'annoncent et sous des contraintes économiques, normatives, administratives et technologiques asphyxiantes. 
Alors que les blocages se poursuivent un peu partout, nous soumettons quelques mises au point sur la situation depuis le mouvement des Soulèvements de la terre.
Nous sommes un mouvement, d'habitant·es des villes et des campagnes, d'écologistes et de paysan·nes, installé·es ou en installation. Nous refusons la polarisation que certains essaient de susciter entre ces mondes. Nous avons fait de la défense de la terre et de l'eau notre point d'entrée et d'ancrage. Ce sont les outils de travail des paysans et des milieux nourriciers. Nous nous mobilisons depuis des années contre les grands projets d'artificialisation qui les ravagent, les complexes industriels qui les empoisonnent et les accaparent. Soyons clair·es, le mouvement actuel dans son hétérogénéité même, a été cette fois initié et largement porté par d'autres forces que les notres. Avec des objectifs affichés parfois différents, et d'autres dans lesquels nous nous retrouvons absolument. Quoi qu'il en soit, lorsque que les premiers blocages ont commencé, nous avons, depuis différents comités locaux, rejoint certains barrages et certaines actions. Nous sommes allé·es à la rencontre de paysan.nes et d'agriculteurs.rices mobilisé·es. Nous avons échangé avec nos camarades de différentes organisations paysannes pour comprendre leurs analyses de la situation. Nous nous sommes retrouvé·es nous-mêmes dans la digne colère de celles et ceux qui refusent de se résigner à leur extinction.
    Nous ne pouvons que nous réjouir que la majorité des agriculteurs.rices bloquent le pays aujourd'hui. Qu'ils et elles soient représenté·es par la FNSEA et des patrons de l'agrobusiness dans les instances de négociation avec le gouvernement est consternant, à l'heure où les cadres du syndicat majoritaire sont copieusement sifflé·es sur certains blocages et où ce dernier ne peut plus retenir ses bases. De nombreuses personnes sur les barrages ne sont pas syndiquées et ne se sentent pas représentées par la FNSEA. 
"Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs" - Michel Debatisse, secrétaire général de la FNSEA, 1968
    Fondé après guerre, ce syndicat hégémonique a accompagné le développement du système agro-industriel depuis des décennies, en co-gestion avec l'État. C'est ce système qui met la corde au cou des paysan·nes, qui les exploitent pour nourrir ses profits et qui finalement les poussent à s'endetter pour s'agrandir afin de rester compétitif·ves ou disparaître. En 1968, Michel Debatisse, alors secrétaire général de la FNSEA avant d'en devenir le président, déclarait [1] : "Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs". Mission plus que réussie : le nombre de paysan.nes et de salarié.es agricoles est passé de 6,3 millions en 1946, à 750 000 au dernier recensement de 2020. Tandis que le nombre de tracteurs dans nos campagnes augmentait d'environ 1000%, le nombre de fermes chutait lui de 70% et celui des actifs agricoles de 82% : autrement dit, ce sont plus de 4 actifs sur 5 qui ont quitté le travail agricole en seulement quatre décennies, entre 1954 et 1997. Et la lente hémorragie se poursuit aujourd'hui...
    Alors que la taille moyenne d'une exploitation en France en 2020 est de 69 hectares, celle d'Arnaud Rousseau, actuel dirigeant de la FNSEA, ancien courtier et négociant tout droit sorti d'une business school, s'élève à 700 hectares et il est à la tête d'une quinzaine d’entreprises, de holdings et de fermes, président du conseil d'administration du groupe industriel et financier Avril (Isio4, Lesieur, Matines, Puget, etc.), directeur général de Biogaz du Multien, une entreprise de méthanisation, administrateur de Saipol, leader français de la transformation de graines en huile, président du conseil d'administration de Sofiprotéol... 
    Les cadres de la FNSEA tout comme les dirigeants des plus grosses coopératives agricoles - abondamment représentés par la "Fédé" et ses satellites - se gavent [1] : le revenu moyen mensuel des dix personnes les mieux payées en 2020 au sein de la coopérative Eureden est de 11 500 €. 
       Les revenus moyens des agriculteurs brandis sur les plateaux et le mythe de l'unité organique du monde agricole masquent une disparité de revenus effarante et de violentes inégalités socio-économiques qui ne passent plus : les marges des petits producteurs ne cessent de s'éroder tandis que les bénéfices du complexe agro-industriel explosent. 
    Dans le monde, le pourcentage du prix de vente qui revient aux agriculteurs est passé de 40 % en 1910 à 7 % en 1997, selon l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO). De 2001 à 2022, les distributeurs et les entreprises agroalimentaires de la filière lait ont vu leur marge brute s'envoler de respectivement 188% et 64%, alors même que celle des producteurs stagne quand elle n'est pas simplement négative. 
    Une des raisons qui poussent le monde agricole à bloquer les autoroutes, à ouvrir des bouteilles de lait à Carrefour (Epinal-Jeuxey) ou à bloquer les usines Lactalis (Domfront, Saint-Florent-le-Vieil, etc.), à labourer un parking (Clermont-l'Hérault), à bloquer le port de la Rochelle, à vider des camions venus de l'étranger, à asperger de lisier une préfecture (Agen), à retourner un Macdo (Agens), à osrtir c'est que les industriels  intermédiaires de l'amont (fournisseurs, vendeurs d'agroéquipements, semenciers industriels, vendeurs d'intrants et d'aliments) et de l'aval des filières (les coopératives de collecte-distribution comme Lactalis, les industriels de la grande distribution et de l'agroalimentaire comme Leclerc) qui structurent le complexe agroindustriel les dépossèdent des produits de leur travail.
    C'est ce pillage de la valeur ajoutée organisé par les filières qui explique, aujourd'hui, que sans les subventions qui jouent un rôle pervers de béquilles du système (en plus de profiter essentiellement aux plus gros) 50% des exploitant·es auraient un résultat courant avant impôts négatif : en bovins lait, la marge hors subvention qui était de 396€/ha en moyenne entre 1993 et 1997 est devenue négative à la fin des années 2010 (-16€/ha en moyenne), tandis que le nombre de paysans pris en compte par le Réseau d'information comptable agricole dans cette filière passe sur cette période de 134 000 à 74 000 [2]...  
    Les accords de libre échange internationaux (que dénoncent et la Confédération paysanne, et la Coordination rurale) mettent en concurrence les paysanneries du monde entier et ont accéléré ces déprédations économiques. Nous savons bien que, aujourd'hui, lorsque l'on parle de "libéralisation", de "gains de compétivité", de "modernisation" des structures, c'est que des fermes vont disparaître, que la polyculture élevage va régresser (elle ne représente plus que 11% des exploitations actuellement), ne laissant plus qu'un désert vert de monocultures industrielles menées par des exploitant-es à la tête de structures toujours plus endettées de moins en moins maîtres d'un outil de travail et d'un compte en banque qui finit par n'appartenir plus qu'à ses créanciers.
    Le constat est sans appel : moins il y a de paysan·nes, moins ils et elles peuvent gagner leur vie, sauf à agrandir toujours et encore leur surface d'exploitation, en dévorant au passage les voisin·es. Dans ces conditions, 'devenir chef d'entreprise' comme le promet la FNSEA, c'est en réalité se trouver dans la même situation qu'un chauffeur Uber qui s'est endetté jusqu'au cou pour acheter son véhicule alors qu'il dépend d'un donneur d'ordres unique pour réaliser son activité... Ajoutons à cela la brutalité du changement climatique (évènements climatiques extrêmes, sécheresses, incendies, inondations...) et les dérèglements écologiques entraînant dans leur sillage la multiplication de maladies émergentes et autres épizooties, et le métier devient presque impossible, invivable, tant l'instabilité est grande.
    Si nous nous soulevons, c'est en grande partie contre les ravages de ce complexe agro-industriel, avec le vif souvenir des fermes de nos familles que nous avons vu disparaître et la conscience aiguë des abîmes de difficultés que nous rencontrons dans nos propres parcours d'installation. Ce sont ces industries et les méga-sociétés cumulardes qui les accompagnent, avalant les terres et les fermes autour d'elles, accélérant le devenir firme de la production agricole, et qui ainsi tuent à bas bruit le monde paysan. Ce sont ces industries que nous ciblons dans nos actions depuis le début de notre mouvement - et non la classe paysanne. 
    Si nous clamons que la liquidation sociale et économique de la paysannerie et la destruction des milieux de vie sont étroitement corrélées - les fermes disparaissant au même rythme que les oiseaux des champs et le complexe agro-industriel resserrant son emprise tandis que le réchauffement climatique s'accélère - nous ne sommes pas dupes des effet délétères d'une certaine écologie industrielle, gestionnaire et technocratique. La gestion par les normes environnementales-sanitaires de l'agriculture est à ce titre absolument ambigüe. À défaut de réellement protéger la santé des populations et des milieux de vie, elle a, derrière de belles intentions, surtout constitué un nouveau vecteur d'industrialisation des exploitations. Les investissements colossaux exigés par les mises aux normes depuis des années ont accéléré, partout, la concentration des structures, leur bureaucratisation sous contrôles permanents et la perte du sens du métier.
    Nous refusons de séparer la question écologique de la question sociale, ou d'en faire une affaire de consom'acteurs citoyens responsables, de changement de pratiques individuelles ou de "transitions personnelles" : il est impossible de réclamer d'un éleveur piégé dans une filière hyperintégré qu'il bifurque et sorte d'un mode de production industriel, comme il est honteux d'exiger que des millions de personnes qui dépendent structurellement de l'aide alimentaire se mettent à "consommer bio et local". Pas plus que nous ne voulons réduire la nécessaire écologisation du travail de la terre à une question de "réglementations" ou de "jeu de normes" : le salut ne viendra pas en renforçant l'emprise des bureaucraties sur les pratiques paysannes. Aucun changement structurel n'adviendra tant que nous ne déserrerons pas l'étau des contraintes économiques et technocratiques qui pèsent sur nos vies : et nous ne pourrons nous en libérer que par la lutte. 
    Si nous n'avons pas de leçons à donner aux agriculteur·rices ni de fausses promesses à leur adresser, l'expérience de nos combats aux côtés des paysan·nes - que ce soit contre des grands projets inutiles et imposés, contre les méga-bassines, ou pour se réapproprier les fruits de l'accaparement des terres - nous a offert quelques certitudes, qui guident nos paris stratégiques. 
    L'écologie sera paysanne et populaire ou ne sera pas. La paysannerie disparaîtra en même temps que la sécurité alimentaire des populations et nos dernières marges d'autonomie face aux complexes industriels si ne se lève pas un vaste mouvement social de reprise des terres face à leur accaparement et leur destruction. Si nous ne faisons pas sauter les verrous (traités de libre-échange, dérégulation des prix, emprise monopolistique de l'agro-alimentaire et des hypermarchés sur la consommation des ménages) qui scellent l'emprise du marché sur nos vies et l'agriculture. Si n'est pas bloquée la fuite en avant techno-solutionniste (le tryptique biotechnologies génétiques - robotisation - numérisation). Si ne sont pas neutralisés les méga-projets clés de la restructuration du modèle agro-industriel. Si nous ne trouvons pas les leviers adéquats de socialisation de l'alimentation qui permettent de sécuriser les revenus des producteurs et de garantir le droit universel à l'alimentation.
    Nous croyons aussi à la fécondité et à la puissance des alliances impromptues. A l'heure où la FNSEA cherche à reprendre la main sur le mouvement - notamment en chassant de certains des points de blocage qu'elle contrôle tout ce qui ne ressemble pas à un agriculteur "syndiqué fédé" - nous croyons que le basculement peut venir de la rencontre entre les agriculteur·ices mobilisé·es et les autres franges du mouvement social et écologique qui se sont élevées ces dernières années contre les politiques économiques prédatrices du gouvernement. Le "corporatisme" a toujours fait le lit de l'impuissance paysanne. Comme la séparation d'avec les moyens de subsistance agricoles a souvent scellé la défaite des travailleur-ses.
Peut-être est-il temps de faire céder quelques murs. En continuant à renforcer certains points de blocage. En allant à la rencontre du mouvement pour celles et ceux qui n'y ont pas encore mis les pieds. En poursuivant ces prochains mois les combats communs entre habitant·es des territoires et travailleur·euses de la terre.
Les Soulèvements de la Terre  - le 30 janvier 2024  source
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Nous nous ressemblons tous : nous nous ressemblons par nos souffrances et nos incohérences, parce que nous sommes imparfaits et nous épuisons pour le cacher. Ces efforts nous accaparent : nous voulons tant nous convaincre nous-mêmes que nous n’avons plus de place pour les autres. Nous croyons que le masque nous protège alors qu’il nous isole : nous oublions que nos échecs nous rapprochent plus que nos succès. (…) Telle est la puissance de la vulnérabilité, au sens grec, aristotélicien, du terme « puissance » : ce qui rend possible autre chose.
Charles Pépin. La rencontre. Une philosophie. 2021
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selidren · 8 months
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Champs-les-Sims - Automne 1910
1/6
Cher cousin,
Je vous écrit depuis Thèbes et je suis fort satisfait de vous savoir en Egypte également. Il est fort dommage que je ne puisse vous rejoindre à Amarna pour quelques jours, Dieu sait pourtant à quel point le travail que vous faites là-bas est central dans notre discipline. Hélas, mes fonctions en tant que directeur des fouilles accapare presque tout mon temps et je passe le peu de moments qu'il me reste avec ma douce Albertine. J'ai d'ailleurs décidé d'initier mon épouse à une activité fort plaisante que je pratique parfois pour maintenir un semblant de forme physique : la natation. Elle s'est d'abord montrée fort sceptique quand à la sureté de ce sport et je conviens que le Nil n'a rien à voir avec la Bernon (la petite rivière qui coule en contrebat de chez Adelphe), surtout en ce qui concerne sa faune locale que l'on pourrait qualifier de particulièrement carnassière. Je lui ai bien entendu assuré que le dernier hippopotame égyptien a été abattu il y bientôt un siècle et que les crocodiles locaux sont des proies tellement prisées de nos jours que le risque s'en retrouve réduit. Dès lors rassurée, nous avons pratiqué ensemble cette activité avec une certaine régularité. Il faut reconnaître qu'après une journée sur le chantier, cela apporte un délassement aux membres sans nul autre pareil. A l'occasion de l'Aïd al-Fitr (la fête islamique qui marque la rupture du jeun), alors que nos ouvriers ne pouvaient travailler, j'ai emmené Albertine quelques jours au sud, au-delà de la première cataracte, au magnifique temple ramesside d'Abou Simbel. Nous nous sommes bien entendu baigné de nuit à ses pieds, et elle m'a confié que c'est le geste le plus romantique que j'eu jamais manifesté à son encontre. Un éminent spécialiste allemand de la faune endémique de la région de Begah, rencontré à Elephantine, me confia plus tard qu'on trouve dans les environs de cette île une population encore importante de "crocodylus nilocus" et que l'on peut s'en réjouir.
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raisongardee · 1 year
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“Des psychologues, orthophonistes, pédiatres tirent la sonnette d’alarme. Leurs observations cliniques établissent que la surexposition aux écrans est toxique, débilitante, qu’elle nuit à l’éveil de l’enfant, porte atteinte à la construction de la personne dans sa totalité, aussi bien sur les plans physique, cognitif que relationnel : le langage, l’attention, la mémorisation, les interactions avec les autres, l’imagination, la pensée, la créativité, la volonté, la sensorialité, les aptitudes corporelles et manuelles, la motricité globale et fine, l’accès aux mondes concrets et symboliques… Tout le développement de l’humain, tout l’élan vital se trouvent entravés par "cette machine effroyable qui broie les consciences", comme la nomme Sabine Duflo. Une psychologue qui, avec d’autres professionnels de l’enfance, appelle à se sevrer et à mener un combat civilisationnel contre une industrie du numérique invasive. Une véritable captation mentale est à l’œuvre, alors que les écrans devenus centraux accaparent le temps de cerveau disponible et engloutissent la vie de la jeunesse, que la distraction audiovisuelle happe les regards, occupe les esprits et siphonne l’intériorité. L’humain est vidé de sa substance, épuisé. La présence charnelle au monde s’échappe dans une cyberculture qui nous désincarne. Qui nous déduit à l’état d’homoncules prostrés, pousseurs de boutons, consommateurs inanimés pris dans un flot d’images, dépossédés d’eux-mêmes jusqu’à ne plus utiliser leurs corps. Aliénés.”
Pierre Thiesset, « Les écrans détruisent les enfants », in La Décroissance, n° 195, décembre 2022- janvier 2023. 
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aurevoirmonty · 2 years
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« Ils chercheront à briser les liens entre la terre et le ciel, s’efforçant de répandre, à grande échelle, des théories athées et matérialistes, dégradant le peuple (…), ou même seulement ses dirigeants, en un peuple séparé de Dieu et de ses morts, ils les tueront, non pas avec la lance, mais en coupant les racines de leur vie spirituelle. Ils rompront alors les liens de la race avec le sol, source matérielle de sa richesse, s’attaquant au nationalisme et à toute idée de Patrie, déterminés à réussir, ils chercheront à s’emparer de la presse. Ils utiliseront n’importe quel prétexte, car dans le peuple il y a des dissensions, des malentendus et des querelles, pour le diviser en autant de partis antagonistes que possible. Ils chercheront à accaparer de plus en plus nos moyens d’existence. Ils pousseront systématiquement au dévergondage, anéantissant la famille et la force morale sans oublier de les dégrader et de les étourdir par les boissons alcoolisées et autres poisons. »
Corneliu Zelea Codreanu
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juke-box67 · 2 months
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Sorti en 1987 au sein de l’album  « CQFD…utronc », il nous emmène en compagnie de Bambou, alias Caroline Paulus, dernière compagne de Serge Gainsbourg, dans le port de Saigon, profiter des effluves de cette douce drogue … le rythme de la musique est enivrant et nous accapare de toute l’ambiance de ce lieu ... (Prix moyen Discogs : 4,91€)
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clhook · 2 years
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une fois on était au resto avec mon keum, un gars tout seul s'est installé à la table d'à côté et il s'est avéré que mon keum et lui avait des connaissances en commun et travaillaient plus ou moins dans le même cercle je vous jure qu'ils ont discuté pendant une heure et moi j'étais là je mangeais ma salade en hochant la tête pour faire genre je participais alors que j'étais SAOULÉE et je comprenais QUE DALLE à un moment j'en ai eu marre je me suis mise sur mon tel vous allez me dire c'est pas poli oui certes mais est-ce poli d'être un mec hautain qui accapare un (mon) keum lors d'un rdv amoureux ??? absolument pas bref j'étais sur mon tel et là j'ai entendu le gars dire plusieurs fois "il n'y a pas de sous-métier" et là c'était la goutte d'eau qui a fait déborder le vase j'ai relevé la tête et j'ai dit "en fait l'expression c'est sot métier pas sous-métier" le gars y tenait vraiment à son sous-métier mais hors de question que je lâche l'affaire j'ai donc insisté jusqu'à ce qu'il abandonne voilà je suis donc la meuf reloue qui ne dit rien sauf pour s'obstiner sur la façon exacte de dire une expression
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meganval · 7 months
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La Convergence Globale des Luttes pour la Terre et l’Eau en Afrique de l’Ouest défend les communautés de Djêgbadji
Le vendredi 13 octobre 2023, la commune de Ouidah a été marqué par un événement dans le cadre de la 4e édition de la Caravane Ouest Africaine, avec la participation de la Convergence Globale des Luttes pour la Terre et l’Eau en Afrique de l’Ouest (CGLTE-AO). Cette initiative a pris place dans le village de Kouvènanfidé, situé sur la côte de l’arrondissement de Djêgbadji à Ouidah. A cette…
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frenchlitclub · 2 years
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accaparer
/AhKahPahRé/
-> to keep all to oneself, ex: amass goods/powers like a king - to keep someone with you so much so they can't focus on others - "accaparer l'attention" which means to keep the attention on you, generally by talking over others or talking more than them. negative connotation.
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alexar60 · 2 years
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Transylvanie express (36)
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Les 35 épisodes précédents sont disponibles ici.
Le salon parut petit normalement par rapport au reste du château. Toutefois, il apportait une ambiance conviviale à l’endroit, un reposoir où l’on pouvait fumer le cigare et écouter de la musique. Ludmilla lisait tranquillement lorsque nous entrâmes. Nous avions décidé de ne rien dire sur l’incroyable disparition des écrits. La bibliothèque perdit toute sa valeur et je crus comprendre que le maitre des lieux n’apprécierait pas.
Mon amie se leva. Elle embrassa timidement ma joue avant de se rassoir tout en me tenant les mains. Elle voulait connaitre cette fameuse découverte pour laquelle j’étais venue. Je parlai vaguement de récits anciens qu’on devait traduire. Klaus s’assit dans un fauteuil Louis XV. Il nous écoutait. Cependant, je remarquai son air effacé, encore troublé par la perte de ses trouvailles. Pendant ce temps, Johann admirait le piano et lentement, il appuyait sur les touches, montrant qu’il connaissait mal l’art musical. Par moments, les crépitements du feu de cheminée me faisaient sursauter.
Soudain, nous entendîmes un terrible boucan dans la cour. Le jeune historien oublia le piano pour se rendre à la fenêtre. Il soupira en constatant la venue d’un groupe de cavaliers. Dès lors, je le rejoignis. Les hommes se démenaient avec leurs chevaux pendant que d’autres attrapaient les harnais, dans le but d’aider les arrivants à descendre et, d’emmener les montures à l’écurie. Par sa stature et ses vêtements différents, je reconnus le comte Dosza. Ce dernier leva la tête. En croisant son regard sévère, je ressentis un énorme frisson. Dès lors, je reculai et rejoignis Ludmilla sur le sofa.
J’avais entendu les récits de ma compagne au sujet de cet homme. Ils mêlaient la débauche au meurtre et à l’horreur. Beaucoup de légendes tournaient autour de sa vie. Durant son séjour à Budapest, il s’adonna à la luxure et l’alcool au point de fréquenter des cercles interdits. On cita son nom, parmi les membres d’une secte pratiquant des sacrifices humains. On le suspecta de meurtres sordides, dans quelques rues fréquentées par la prostitution et la criminalité. Bref, j’imaginai un monstre au yeux féroces et rouges. Le visage rempli de cicatrices, des dents jaunes acérés et pourris. Un corps large et bourru. J’imaginai son vocabulaire vulgaire. J’attendais de voir apparaitre ce démon.
Alors, quand il entra, je fus immédiatement séduit par sa grandeur et sa finesse. Ses yeux noirs ressemblaient à ceux d’un chaton par leur douceur. Son sourire assura qu’il n’avait rien de sa réputation. Il était fin, élancé. La peau de son visage parut douce, il ressemblait à un enfant, un ange s’il n’était pas brun. Il resta quelques secondes sur le seuil de la porte. Une canne à la main apportait un côté dandy. Il eut le temps de changer son uniforme pour un élégant costume noir. Il observa chacun de nous pendant qu’un domestique annonça sa venue. Puis, il approcha offrant un large sourire.
-       Ainsi, je rencontre l’homme dont on m’a tant vanté les mérites.
Il approcha. En même temps, un courant d’air refroidit le salon. Il me fit face, et tendit une main blanche que je serrai. Un froid glacial traversa brusquement mon bras.
-       J’espère que vous avez fait bon voyage, ajouta-t-il avant de regarder les deux historiens.
Ces derniers cachèrent leur gène avec un large sourire tout en inclinant la tête. Johann se gratta l’épaule et répondit à ma place. Il raconta notre périple entre Bucarest et le château, le mal des méninges. Cependant, il ne parla pas de Ludmilla et du meurtre de son mari. Le seigneur aperçut mon amie. Dès lors, il approcha et comme de coutume, fit un baise-main qui fit rougir la jeune femme.
-       Je ne savais pas que Madame Ridel, serait du voyage, dit-il. Votre beauté apportera de la gaité en ma modeste demeure.
Tout à coup, il tourna la tête vers Johann. Son regard devint plus sombre. Dehors, la nuit commençait à accaparer le ciel toujours blanc. Déjà, les montagnes lointaines des Carpates se confondaient dans un paysage de plus en plus obscur.
-       Oui, le mal des méninges sévit ici aussi. J’ai dû me décider à intervenir dans un de mes villages. (Il regarda Ludmilla avec un air triste) Certaines choses ne se racontent pas en présence d’une dame.
Un laquais apporta un plateau avec des verres et une bouteille. Il posa le tout sur une petite table autours de laquelle nous nous installâmes. Nichifor Dosza choisit un vulgaire tabouret. Il gardait toujours sa canne à la main, la pressant fermement tel un sceptre magique. Bien qu’il eût les cheveux courts, une mèche rebelle tomba sur son œil gauche, amplifiant d’avantage son apparence enfantine. Il souriait sans cesse à chacun de nous. Je surpris son regard s’arrêter sur Klaus Möller, comme s’il détectait un malaise. Le domestique remplit les verres avant de nous les offrir.
-       A vous et à la fortune ! Lança Nichifor Dosza. Et à la plus belle des étoiles, ajouta-t-il en saluant Ludmilla.
Nous bûmes le verre de liqueur. Aussi, à peine était-il vide que le servant s’empressa de le remplir. Je bus de nouveau. La tête commençait à tourner. Dès lors, je m’assis, répondant au mieux aux question du comte. Quand étais-je parti…Comment trouvais-je la Roumanie et la Hongrie… Qu’ai-je visité… quel est mon métier… Chaque fois, je sentais la fatigue malmener mon esprit. Je restais assis ; Ludmilla, à ma gauche, attrapait ma main dès qu’on commençait à s’intéresser à elle. Elle montrait une figure joviale, jouant l’épouse fidèle. Elle rougit lorsque Dosza demanda pourquoi nous n’avions pas d’enfant.
-       Une femme doit se vouer corps et âme à son mari, et éduquer ses enfants, dit-il.
Plus le temps passait, plus le personnage semblait visuellement trouble. Je le regardai toujours assis sur le tabouret tel un roi sur son trône. Il parlait bien le français en roulant légèrement les « R ». Il raconta sa chasse, se vanta de s’être débarrassé de mauvaises bêtes. Puis, lentement, je discernai de l’ironie dans ses propos. Par la fenêtre, la nuit nous empêcha de voir un épais nuage de fumée se dégager de son terrain de chasse. On brûlait les corps des malades atteints du mal des méninges.
Tout à coup, je sentis mon esprit vaciller. Je me ressaisis en relevant les épaules. Je n’entendais plus rien. Cependant, je voyais tout le monde remuer la bouche. Ils parlaient sans se soucier de mon état. Ludmilla continuait de tenir ma main dans la sienne. Son parfum de vanille et de fleur d’oranger m’empêchait de m’endormir.
Par contre, l’apparence du seigneur se modifia petit-à-petit. Bien qu’il gardât sa prestance, je ne distinguai plus son visage. En fait, il n’avait plus de tête ; à la place, je voyais un trou noir tel un photo déchirée. La figure angélique s’effaçait pour le néant, la nuit, et je m’en inquiétai.
Sa voix s’éloigna de plus en plus. Toutefois, je parvins à comprendre quelques mots : « soirée, bibliothèque, parchemin, exposé, demain ». Johann toussa terriblement jusqu’à me donner mal à la tête. Mon verre se remplit tout seul. Du coup, je me sentis obligé de boire. J’eus envie de vomir. Et toujours, le corps de Nichifor, gardait sa fière stature. Il était assis plus bas que nous mais régnait sur nous tous.
Petit-à-petit, le décors perdit ses couleurs. Le trou noir se fissura de plus en plus, déchirant le corps du comte jusqu’au ventre. Je plissai les yeux pour voir le miroir posé sur le mur derrière lui. Je ne vis que son bras et sa main caressant un étrange objet. C’était un crâne humain. Et dès que notre hôte parlait, sa voix semblait sortir de ce crâne.
DE longues minutes plus tard, il se leva, présenta ses excuses en signalant qu’il était fatigué. Puis, il sortit après avoir embrassé la main de ma compagne. Le cercle noir absolu qui remplaçait sa tête d’ange, frôla les doigts de Ludmilla. Peu après, je partis me coucher laissant mon amie diner avec les deux historiens.
Alex@r60 – septembre 2022
Photo de Frédéric Fontenoy (1944 – 2014)
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« Ils chercheront à briser les liens entre la terre et le ciel, s’efforçant de répandre, à grande échelle, des théories athées et matérialistes, dégradant le peuple (…), ou même seulement ses dirigeants, en un peuple séparé de Dieu et de ses morts, ils les tueront, non pas avec la lance, mais en coupant les racines de leur vie spirituelle.
Ils rompront alors les liens de la race avec le sol, source matérielle de sa richesse, s’attaquant au nationalisme et à toute idée de Patrie, déterminés à réussir, ils chercheront à s’emparer de la presse.
Ils utiliseront n’importe quel prétexte, car dans le peuple il y a des dissensions, des malentendus et des querelles, pour le diviser en autant de partis antagonistes que possible.
Ils chercheront à accaparer de plus en plus nos moyens d’existence.
Ils pousseront systématiquement au dévergondage, anéantissant la famille et la force morale sans oublier de les dégrader et de les étourdir par les boissons alcoolisées et autres poisons. »
Corneliu Zelea Codreanu
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