Okay but the 'supervillans teaming up against the good guys' trope has never been done better than the Task Force X on Justice League Unlimited.
The idea to pose us civilian staff to get into the Watchtower was itself brilliant, but this whole group dynamic, the way Waller commandeered the group, the realisation at the very end, the fight with J'onn Jonzz? GENIUS
In conclusion, I love Margot Robbie as Harley but Suicide Squad sucks
Bonus: JOHN STEWART BEING ASKED ABOUT HAWKGIRL IN THAT ELEVATOR IT WAS HILARIOUS
Délaissant les outils traditionnels de la couture, fil, aiguille, tissu, Paco Rabanne s'est engagé depuis trente ans dans la voie de l'expérimentation. Les matériaux non conventionnels qu'il utilise, tels le métal ou le plastique, et les modalités sans cesse renouvelées de leur assemblage, ont contribué à inscrire ses travaux dans le mouvement plus vaste des recherches menées dans l'art contemporain. Par la constance de sa démarche, il poursuit une interrogation originale sur l'art vestimentaire, défrichant un terrain qu'empruntent aujourd'hui de nombreux jeunes créateurs.
Robes en aluminium, en papier ou en plastique, boucles d'oreilles en rhodoïd : Paco Rabanne détourne les matériaux de leur usage conventionnel et délaisse les outils traditionnels de la couture, fil, aiguille, tissu, pour inventer de nouveaux modes d'assemblages. Dans les années soixante, la novation passe alors par le rejet de la haute couture qui dicte formes et usages. Provocateur, le couturier qui a commencé sa carrière comme architecte et dessinateur, revendique le titre d'artisan ; considérant la mode comme un jeu, il crée des "robes importables" et défend une esthétique du toc, avec un immense succès. Ses expérimentations sans cesse renouvelées ont contribué à inscrire ses travaux dans le mouvement plus vaste des recherches menées dans l'art contemporain. Sa réflexion sur les matériaux et le respect de l'environnement étonne encore aujourd'hui par la justesse de sa portée.
14 novembre 2023 des négociateurs du monde entier sont réunis à Nairobi, au Kenya, pour de nouvelles discussions sur un traité international historique visant à lutter contre la pollution plastique. Dans le monde, environ 430 millions de tonnes de plastique sont produites chaque année. Environ les deux tiers de cette quantité sont simplement jetés, ce qui nuit à la fois à l'environnement et à la chaîne alimentaire. Réuni pour sa troisième session, le Comité de négociation intergouvernemental doit se concentrer sur le projet d'instrument international juridiquement contraignant sur la pollution plastique, publié plus tôt cette année, dans le but de conclure les négociations d'ici la fin de 2024. Non à l’économie du jetable il va de soi que l'impact dévastateur de la pollution plastique sur les écosystèmes, le climat, l'économie et la santé humaine coûte à la planète entre 300 et 600 milliards de dollars par an, selon la Secrétaire exécutive du Comité, Jyoti Mathur-Filipp. La production de plastiques devrait doubler au cours des 20 prochaines années si aucune mesure n’est prise. Les organisateurs réclament une transition de « l’économie du jetable vers une « économie circulaire ».