Tumgik
#Paroles de chanson anglaise
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Learning English through Arts & Culture – Music
“Cornerstone” de Benjamin Clementine – Lyrics + Traduction en français Je dédie cette sublime chanson à Bernadette qui a assuré un immense soutien – via un don mensuel – au développement de ce magazine culturel bilingue. Avec toute ma gratitude.emilie, auteur de Amazing bilingual world Benjamin Sainte-Clémentine (né le 7 décembre 1988) est un compositeur, musicien et acteur…
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marie-swriting · 1 year
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Une Nouvelle Leçon - Robin Buckley
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Stranger Things Masterlist
Résumé : Tu ré-emménages à Hawkins après plusieurs années loin de ta meilleur amie et premier bisou, Robin Buckley.
Warnings : fluff, mutual pining, un peu d'homophobie intériorisé, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.2k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Kissing Lessons par Lucy Dacus
La respiration haletante, tu frappes à la porte de ton cours d’histoire rapidement. La professeure arrête de faire son cours et t’invite à entrer. Tu ouvres la porte et souris de manière gênée. Sans t’en rendre compte, tu jettes un coup d'œil à la classe, tes yeux se posent sur un visage que tu reconnais en un instant malgré les années : Robin Buckley, ta première meilleure amie. Ta respiration s’accélère, même si tu ne cours plus. Pendant ce temps, la professeur te regarde, attendant ton explication. Tu détaches tes yeux de Robin, te racles légèrement la gorge et prends enfin la parole : 
- Désolée pour le retard, je n’arrivais pas à trouver la salle.
- Y/N Y/L/N, c’est ça ? questionne-t-elle et tu hoche la tête. C’est ton premier jour donc ne t’inquiète pas. Prends place, on vient tout juste de commencer. Par ailleurs, pourrais-tu venir me voir à la fin du cours ? ajoute-t-elle après que tu te sois assise.
Tu tentes de suivre le cours, ne voulant pas avoir encore plus de retard sur le programme. Tu viens tout juste de ré-emménager à Hawkins et l’année scolaire a commencé depuis plusieurs mois alors tu vas devoir travailler énormément durant ses premières semaines à Hawkins High School. Toutefois, tu ne peux t’empêcher de penser à Robin qui est seulement deux chaises derrière toi. Ses cheveux sont plus courts qu’avant et son style vestimentaire est très différent, ce n’est plus les goûts de sa mère, mais les siens. Tu la trouves mignonne, tout comme quand tu étais plus jeune. Tu ignores si tu devrais aller lui parler après les cours. Après tout, vous ne vous êtes pas vues depuis vos sept ans, elle ne t’a sûrement pas reconnue. Si tu allais lui parler, peut-être que tu rendrais la situation embarrassante. Non, c’est mieux que tu fasses comme si tu ne la connaissais pas, sauf si elle venait te parler. Mais tu voudrais tellement lui parler de nouveau. Tes pensées continuent à se bousculer dans ta tête jusqu’à ce que la sonnerie retentit. Tout le monde range ses affaires et fuit la salle alors que tu marches jusqu’au bureau de ta professeure.
- Comment s’est passé ce premier jour ? Pas trop compliqué à suivre en classe ? s’inquiète-t-elle et tu hausses les épaules.
- Dans certaines matières, si, mais les professeurs ont dit qu’ils allaient m’aider si besoin, autrement, j’ai surtout besoin de me repérer dans le lycée, réponds-tu et elle te sourit.
- Tu t’y feras vite, notre lycée n’est pas si grand. Si tu as des questions, n’hésite pas à les poser. Bon, je ne te retiens pas plus longtemps, bon week-end, Y/N.
- A vous également, madame. 
Tu quittes la salle et te diriges vers la sortie. Quand tu passes la porte, Robin vient à ta rencontre, la nervosité se lisant sur son visage alors qu’un grand sourire prend place sur le tien.
- Y/N, hey ! C’est moi, Robin Buckley, se présente-t-elle et tu rigoles légèrement. 
- Je sais, je t’ai reconnue.
- Ah ouais ? Je pensais… enfin j’imaginais que tu…
- Que je t’aurais oublié ? demandes-tu, surprise et elle hoche la tête. Robin, tu es ma première meilleure amie, je ne pourrais jamais t’oublier. Par contre, j’avais peur que ça soit le cas pour toi.
- Jamais j’aurais pu t’oublier également ! rétorque Robin, presque outrée. Je suis tellement contente que tu sois de retour, tu m’as tellement manquée ! Tu es revenue quand ?
- Il y a deux semaines, mais j’ai aidé mes parents à emménager jusqu’à hier. 
- Vous allez rester longtemps ? 
- Pour l’instant, on a pas prévu de repartir, informes-tu et son visage s’illumine. 
- C’est vrai ? 
- Ouais ! Donc, on va pouvoir se revoir comme avant. Il faut qu’on s’organise quelque chose d’ailleurs et tu dois aussi me faire un tour dans Hawkins ! Certaines choses ont bien dû changer dans cette vieille ville, t’exclames-tu, excitée. 
- Pas tellement, mais je te ferai une visite avec plaisir.
- Super. Oh, attends ! commences-tu avant de sortir un bout de papier et un stylo, tu écris rapidement quelque chose avant de continuer : c’est mon numéro, appelle-moi et on pourra choisir un jour pour se voir.
- Bien sûr. 
Tu t’apprêtes à ajouter quelque chose quand vous entendez klaxonner et en tournant la tête, tu vois la voiture de ta mère. 
- Désolée, je dois y aller, ma mère m’attend. 
- T’inquiète, je dois aller travailler également.
- Je suis très contente de t’avoir revue Robin. 
- Moi aussi.
Tu lui fais un dernier sourire avant de courir dans la voiture de ta mère. Pendant ce temps, Robin te regarde, paralysée. Elle n’arrive pas à croire que tu sois de retour. Son cerveau commence à fumer tellement elle pense à tout ce que ton retour représente. Elle n’attend pas plus longtemps avant de partir à Family Video. 
Quand elle arrive à son travail, Steve n’a pas le temps de relever la tête que Robin pose ses mains sur le comptoir, une expression grave sur son visage. 
- On a eu une urgence, Steve.
- Une urgence ? Quelle urgence ? questionne-t-il en regardant les alentours, inquiet.
- Non, une urgence “fille”. Y/N est de retour, déclare-t-elle avec sérieux et Steve fronce les sourcils. 
- Je suis censé savoir qui c’est ?
- Je vais te la faire courte, commence Robin et Steve sait qu’elle ne va pas “la faire courte”, Y/N c’était ma première meilleure amie. On s’est rencontrées en maternelle. On était hyper proches, limite fusionnelles ! Je pense même que nos parents en avaient marre qu’on traîne tout le temps ensemble. Bref, on était vraiment comme les deux doigts de la main, tu vois ? Et un jour, en CE1, Y/N avait le béguin sur ce gamin, Justin. Franchement, je sais toujours pas ce qu’elle lui trouvait, il était un peu bête. Il avait vraiment des réflexions débiles parfois et il était même pas drôle.
- Robin, va droit au but, l’interrompt Steve.
- Le fait est qu’elle avait le béguin sur lui et elle voulait lui avouer ses sentiments, mais elle savait pas comment s’y prendre alors elle m’a demandé de l’aide et étant une bonne meilleure amie, j’ai accepté. On est allées chez moi et on a essayé de jouer la scène, on a essayé d’imaginer ce qu’elle devrait lui dire. Un coup, je disais comment elle devrait faire et elle montrait ce qu’elle pensait faire. Plus on imaginait les scénarios, plus elle avait confiance. Elle était sûre de pouvoir avoir Justin, elle en était tellement sûre qu’elle voulait se préparer pour… le bisou. On avait sept ans alors je lui ai dit qu’on pouvait s'entraîner. C’était un petit bisou de rien du tout, je n’y avais pas pensé plus que ça au début, puis quand elle a commencé à se rapprocher de plus en plus de Justin, j’ai commencé à être super protectrice, surtout qu’on commençait à parler de moins en moins et j’étais convaincue que j’étais en train de perdre ma meilleure amie, mais c’était clairement plus et…
- En gros, t’avais le béguin pour elle ? demande Steve, tentant de comprendre la situation. 
- C’était mon tout premier béguin, mais elle était déjà partie dans un autre État quand j’ai réalisé que peut-être mes sentiments pouvaient être plus profonds que ça et on a perdu contact alors je pensais que ses sentiments de gamines n’étaient rien de plus que ça, des sentiments de gamines, mais Steve quand je l’ai vue entrer dans mon cours d’histoire… Je ne saurais même pas l’expliquer. Elle est si belle et elle ne m’a pas oubliée, contrairement à ce que je pensais ! On a parlé un peu, elle m’a même donné son numéro et Steve, je crois que j’ai toujours des sentiments pour elle, finit Robin, les yeux brillants. 
- Enfin, l'un de nous va être en couple, déclare-t-il avec un sourire.
- On n’en est pas encore là ! 
- T’as dit qu’elle t’avait donné son numéro, je pense que c’est un bon signe.
- Elle veut juste que je lui fasse visiter les nouveaux endroits de la ville et qu’on sorte comme des amies. Ça ne veut rien dire !
- Si tu ne testes pas, tu ne pourras jamais en être sûre, affirme Steve et les yeux de Robin s’ouvrent en grand.
- Tu réalises à quel point c’est risqué ?
- Mais t’as l’excuse parfaite de votre moment en CE1 pour justement tâter le terrain. Faut juste amener l’histoire discrètement, suggère-t-il comme si c’était évident. 
- Tu veux dire la chose que je ne sais pas faire ? 
- Je suis sûr que tu dramatises. Appelle-la pour au moins organiser une sortie, tu aviseras après, continue Steve en prenant le téléphone et le posant devant Robin. 
- Je peux pas, on est au travail.
- C’est vrai qu’on a tellement de clients actuellement, dit ironiquement Steve en montrant les lieux vides de sa main.
- Tu sais que je te déteste, déclare Robin avec un sourire hypocrite. 
- N’oublie pas de me remercier quand tu seras enfin en couple.
- Abruti. 
Robin prend une grande respiration tout en sortant le papier de sa poche de jean. Elle admire le papier avant de saisir le téléphone et de composer le numéro. Intérieurement, elle prie pour que tu ne répondes pas ainsi elle pourra te rappeler chez elle, loin du regard de son meilleur ami. Cependant, tu n’écoutes pas ses prières et décroches au bout de cinq sonneries.
- Allô, Y/N, c’est Robin, commence-t-elle, totalement nerveuse. 
- Robin ? Hey ! Je m’attendais pas à ton appel tout de suite.
- Désolée, je te dérange peut-être ? Je peux te rappeler plus tard, c’est pas grave.
- Non ! cries-tu en devinant qu’elle allait raccrocher. Ce que je voulais dire, c’est que je pensais que tu étais au travail, donc je pensais que tu m'appellerais plus tard ou dans le week-end. 
- J’avais cinq minutes donc je me suis dit que je pourrais te passer un coup de fil pour qu’on se voie ce week-end ou un autre jour la semaine prochaine, si ça t’arrange mieux ou un autre moment, enfin dis-moi quand ça t’arrange, t’as sûrement encore pleins de cartons à déballer, divague Robin alors que Steve la regarde désespéré. 
- Robin, ce week-end, ça me va, affirme-tu avec joie. En fait, je rêve seulement d’un moment loin des cartons. On peut se voir demain ? Et on pourrait se faire une soirée pyjama chez moi, comme au bon vieux temps. 
- Pourquoi pas ! 
- Parfait, je viens te chercher demain ? Je peux prendre la voiture de mes parents donc ça sera plus simple pour sortir.
- Cool, ça m’arrange bien, car je n’ai toujours pas le permis, ça coûte trop cher, ajoute Robin, se maudissant pour cette information inutile. 
- Ça, c’est sûr, rigoles-tu. On se dit à demain, alors ?
- Ouais, à demain, Y/N.
Quand vous raccrochez, un immense sourire est visible sur le visage de Robin. Steve voit qu’elle fait tout pour contenir sa joie et il pense que c’est adorable la façon dont Robin est dans tous ses états à cause de ses sentiments pour toi.
Le reste de son temps à Family Video, Robin ne fait que de parler de votre sortie à Steve. Elle lui partage tous les scénarios possibles. Un coup, elle imagine le moment le plus mignon du monde et un autre elle pense que tu vas la repousser avec violence. Quand elle réfléchit au pire, Steve fait tout pour la rassurer. Il ne peut imaginer à quel point ça peut être compliqué pour elle d’avoir des sentiments pour une fille et de ne pas pouvoir être aussi ouverte sur ces sentiments comme elle le voudrait, alors il l’encourage un maximum, espérant qu’elle ne se stresse pas trop le lendemain et accidentellement sabotager elle-même ce moment avec toi.
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Quand tu récupères Robin chez elle, vous n’attendez pas avant de rouler dans la ville, sans destination précise en tête. Robin te raconte les derniers potins sur la ville et tu l’écoutes avec attention. Vous parlez également des années que vous avez manquées. Les conversations s'enchaînent facilement, comme si vous ne vous étiez jamais perdues de vue. La retrouver auprès de toi te remplit de bonheur, tu apprécies sa compagnie. Tu savais qu’elle te manquait, mais tu n’avais jamais imaginé que c’était à ce point. Plus tu parles avec Robin, plus tes sentiments d’autrefois deviennent de plus en plus forts. A certains moments, tu dois te retenir de parler, sachant que tu te trahirais. Robin est dans la même situation. Elle voudrait “tâter le terrain” comme Steve l’a conseillé, mais elle ne veut pas ruiner votre moment, alors elle évite d’évoquer votre moment de primaire.
Le soir, vous commencez votre soirée pyjama, presque comme quand vous aviez sept ans, la seule différence est que vous ne jouez pas avant de parler. Quand vous étiez plus jeunes, vous jouiez jusqu’à ce que tes parents viennent éteindre les lumières, à ce moment-là vous passiez votre nuit à parler discrètement. Enfin c’est que vous pensiez à l’époque, mais tes parents t’ont avoué plus tard qu’ils savaient que vous ne dormiez pas. Par ailleurs, tu en informes Robin et elle s’esclaffe en l’apprenant. Vous continuez à rigoler pendant plusieurs minutes. Quand vous reprenez enfin vos esprits, tu la regardes avec tendresse et tu souris alors que vous êtes allongées sur ton lit. 
- Ça fait longtemps que je n’avais pas passé une aussi bonne soirée, déclares-tu et Robin fronce les sourcils.
- Tu vas pas me faire croire que notre soirée pyjama rivalise avec tes soirées de lycée.
- Qui te dit que je suis invitée ?
- Y/N, je suis pas bête. T’as forcément plein d’amis dans ton ancien lycée, rétorque-t-elle comme si c’était évident.
- Loin de là ! J’avais deux amis avec qui je n’étais pas vraiment proche et un petit ami avec qui je suis restée tout juste un mois.
- J’ai dû mal à y croire.
- Crois-le ou non, mais c’est compliqué de trouver une aussi bonne meilleure amie que toi. Ou tout simplement une personne en général avec qui j’arrive avoir une connexion aussi forte, informes-tu et Robin essaye de chercher un message caché dans tes mots. 
- Comment ça “une personne en général” et ton petit ami alors ?
- Comme je t’ai dit, ça n’a pas duré. J’ai rompu avec lui avant de partir.
- Tu ne voulais pas faire une relation à distance ? demande-t-elle et tu hausses les épaules, cherchant la meilleure façon pour expliquer la situation.
- Ce n’est pas vraiment ça. J’aurais rompu même si je n’étais pas partie parce que… je ne sais pas comment dire, mais mes sentiments pour lui n’avaient pas l’air si forts que ça et quand je l’embrassais, ça paraissait… bizarre. 
Le cerveau de Robin se fige en entendant tes mots. Elle se demande si elle doit analyser avec plus d’attention ce que tu as dit. Après tout, ça a l’air assez proche de son expérience, mais peut-être que tu n’étais tout simplement pas amoureuse de ce garçon, mais que tu es quand même seulement attirée par les hommes. Robin prend son courage à deux mains et commence à “tâter le terrain” : 
- Faut croire que tu aurais besoin d’une nouvelle leçon de baisers, alors, déclare-t-elle de manière décontractée et tu ne lui réponds pas tout de suite, la faisant paniquer. Désolée, je ne voulais pas rendre la situation embarrassante.
- Tu te rappelles vraiment de ça ? questionnes-tu avec une once d’espoir.
- Ouais. Enfin, c’était par rapport à ton premier amoureux et ton premier bisou donc c’était important pour toi. Je serais une mauvaise meilleure amie si j’oubliais ce genre de détails, tente-t-elle de se justifier, voulant clore la discussion malgré ton desir de continuer la conversation.
- Il était peut-être mon premier “amoureux”, mais on peut pas dire qu’il était mon premier bisou. 
- Tu me considères comme ton premier baiser ? demande Robin, surprise, le cœur battant à mille à l’heure. 
- Nos lèvres se sont touchées, non ? Pour une seconde certes, mais ça s’est passé, affirmes-tu, nerveuse.
- Ouais, mais ça ne représentait rien. Tu voulais te préparer pour Justin, continue-t-elle,  ne voulant pas se faire de faux espoirs. Je sais toujours pas ce que tu lui trouvais, d’ailleurs.
- Moi non plus, rigoles-tu légèrement et elle te suit. Surtout qu’après ce moment, il ne m’intéressait plus tant que ça.
- Mais tu lui as quand même parlé de tes sentiments.
- J’avais sept ans, j’étais perdue. C’était pire quand je l’ai embrassé, ajoutes-tu et Robin est de plus en plus perdue.
- Je ne comprends pas, Y/N. Tu étais complètement “amoureuse” de lui, enfin comme une gamine peut l’être. Tu étais tout le temps collée à lui.
- C’était parce que j’avais peur d’être proche de toi à nouveau, avoues-tu, Robin s’assoit sur ton lit, le visage rougissant.
- Je… Je ne voulais pas t’embarrasser, je voulais seulement t’aider, je suis désolée, s’excuse-t-elle, mal à l’aise et tu te relèves en panique.
- Non, ce n’est pas ce que je voulais dire ! Ce que je voulais dire c’était qu’après ce moment, je… j’étais perdue par rapport à ce que je ressentais pour toi. Tu étais ma meilleure amie et je… je voulais plus. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, déclares-tu, mais tu abandonnes, pensant que tu n’as fait qu’empirer la situation. Désolée, j’aurais peut-être pas dû te le dire. Je comprendrais si…
- Tu le penses vraiment ? t’interrompt Robin. Tu ressentais quelque chose pour moi ?
- Je… oui et vu que j’ai déjà commencé à creuser ma tombe, autant t’avouer que je ressens encore quelque chose pour toi, continues-tu, mais elle reste silencieuse, te mettant encore plus mal à l’aise. Robin, dis quelque chose, s’il te plaît.
- J’arrive pas à croire que tu ressens la même chose que moi, dit-elle doucement.
- La même chose ?
- Y/N, quand je t’ai vue hier en cours, mon cœur a littéralement loupé un battement, commence Robin en te regardant dans les yeux. Tu as toujours été importante pour moi. J’étais vraiment dans tous mes états quand j’ai réalisé que tu étais de retour. Si tu m’avais vu parlé à Steve, tu m’aurais trouvé pathétique. Je lui ai presque parlé de notre amitié dans tous les détails et je n’ai pas tout dit parce qu’il a demandé à ce que j’aille droit au but, informe-t-elle en parlant de plus en plus vite. Malgré les années, tu as toujours du pouvoir sur moi, ça en est presque flippant, mais oui, j’ai des sentiments pour toi, j’en ai toujours eu. J’étais aussi totalement perdue quand tu étais proche de Justin, je voulais seulement que tu restes proche de moi et je ne comprenais pas pourquoi et là, je réalise que je suis en train de trop parler, mais tout ça pour dire que je tiens tellement à toi, Y/N alors oui, je ressens la même chose pour toi.
- Est-ce que ça veut dire que je peux demander une nouvelle leçon ? questionnes-tu, te sentant confiante de nouveau et en te rapprochant légèrement d’elle.
- J’en ai sûrement besoin d’une aussi. 
- Parfait, on va pouvoir s’entraider.
Délicatement, tu poses ta main sur la joue de Robin et te t’avance vers elle avec un petit sourire alors que Robin tente de cacher sa nervosité. Même si elle n’attendait que ça, elle a peur que tu penses qu’elle embrasse mal ou qu’elle ne sache pas placer ses mains comme il faut. Elle continue à trop réfléchir jusqu’à ce que tes lèvres se posent sur les siennes. A cet instant, toute son anxiété s’évanouit. Elle te rapproche d’elle en posant naturellement ses mains sur ton cou. Tu laisses ton corps agir comme il le souhaite et vous continuez à vous embrasser avec tendresse jusqu’à ce que vous n’ayez plus de souffle. Quand vous vous séparez, vous reprenez votre respiration et vos esprits avant de vous regarder avec un grand sourire. 
- Beaucoup mieux que notre premier, mais je pense que j’ai besoin d’un autre rappel, informes-tu et Robin n’attend pas avant de t’embrasser une seconde fois avec plus de passion.
Stranger Things Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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ondessiderales · 2 days
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Perdu dans mes pensées
J'ai traduit aujourd'hui la chanson d'Azura du jeu vidéo Fire Emblem Fates, Perdu(e) dans mes pensées.
Fire Emblem Fates (L'emblème du feu - Destinées) est un jeu vidéo dans lequel le protagoniste est amené à faire un choix terrible entre trois voies différentes pour le futur de son royaume et de lui-même. Chacun des trois choix est reflété dans les paroles de la chanson (voie de la lumière, voie des ténèbres, voie du milieu).*
J'ai traduit la version japonaise ainsi que la version anglaise, chaque version étant légèrement différente l'une de l'autre et se complétant bien. C'est une chanson énigmatique et prophétique qui parle du bien et du mal, du noir et du blanc, de l'éphémère et de la quête de vérité.
Version japonaise
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Yurari yurureri (Balançant, balancé) Mes pensées éphémères parcourent la balance* Comme des bulles évanescentes dans le lit de la rivière Ces mains ouvriront le chemin de demain
Tendant mes mains vers la lumière L'incorruptible épée d'argent Déchirera ces pensées somnolentes
Amenant la paix chantante au monde Une lumière douce se déverse depuis le cristal Comme un lever de soleil venant à bout des ténèbres Perdu(e) dans mes pensées
Yurari yurureri (Balançant, balancé) Mes pensées éphémères parcourent la balance Comme des bulles évanescentes dans le lit de la rivière Ces mains ouvriront le chemin de demain
Progressant dans les ténèbres Vers un trône blanc et creux (vide) Me trompant et trompant tout
Déroulant sa logique Le soleil noir s'effondre et chute piteusement Comme un coucher de soleil venant à bout de la lumière Perdu(e) dans mes pensées
La bonne voie est celle que tu choisis Elle mèneront toutes à des sourires et à des peines, à des regrets et à des rêves Errant, épuisé par l'indécision et l'incertitude Les épines entailleront alors mon corps
Déchiré en deux, me noyant dans l'abîme Mon cœur errant et dérivant Fit un vœu enfantin
Que le cadavre de l'héritier du sang Soit enterré au terme de sa folie Que leur esprit n'oublie pas mon corps Se reflétant à la surface de l'eau
Yurari yurureri (Balançant, balancé) Mes pensées éphémères parcourent la balance Comme des bulles évanescentes dans le lit de la rivière Ces mains ouvriront le chemin de demain
Yurari yurureri (Balançant, balancé)
* Les trois choix ne sont pas sans rappeler la dialectique hégélienne : thèse (le pour), antithèse (le contre), synthèse (le dépassement), source de résolution de tous les conflits et moteur de l'Histoire
* Possiblement en référence au fait de peser le pour et le contre lors d'un choix, ou possiblement en référence à la pesée du cœur dans l’Égypte Antique.
« Le mort, avec une robe blanche, est introduit par Anubis au tribunal présidé par Osiris. On pèse les bonnes et les mauvaises actions terrestres à l'aide d'une balance : sur l'un des plateaux de la balance, on place le cœur du mort et sur l'autre plateau, est mise la plume de Maât, la justice. Le dieu Thot prend note du résultat de la pesée. Pour avoir un verdict favorable, il faut que le plateau avec l'âme soit en équilibre avec que celui à la plume (la Vérité). Un monstre (lion-hippopotame-chacal-crocodile, animaux que redoutaient les Égyptiens) dévorait le défunt si le résultat lui est défavorable. Si le résultat est favorable, le mort est présenté à Osiris qui l'acceptera dans le paradis égyptien : les champs d'Ialou. »
Version anglaise
youtube
Tu es tel les vagues grises de l'océan Destinées à chercher au-delà de la rive la vie encore hors de portée Mais l'océan est changeant, comme le temps Le chemin t'appartient
Une main surgit à travers la lumière blanche Une épée à double tranchant déchire ton coeur en deux Tes pensées somnolentes s'évaporent Embrasse le jour nouveau
Chante avec moi la chanson des droits inaliénables et de l'amour La lumière se disperse dans les cieux et dans l'au-delà L'aurore perce à travers la nuit, blanche comme un os Perdu(e) dans mes pensées
Tu es tel les vagues grises de l'océan Destinées à chercher au-delà de la rive la vie encore hors de portée Mais l'océan est changeant, comme le temps Le chemin t'appartient
Embrasse les ténèbres qui sommeillent en toi Et contemple le trône blanc et creux (vide) Un héritage de mensonges Un déguisement familier
Chante avec moi la chanson de la conquête et de la destinée Le pilier noir se fissure sous son poids La nuit perce à travers le jour, dure comme un roc Perdu(e) dans mes pensées
Le chemin que tu as choisi appartient au destin, laisse-le couler Toutes tes joies et tes peines se retireront comme la marée, laisse-les couler La vie n'est pas faite que de bonheur ou que de chagrin En temps et en heure, même l'épine au fond de ton cœur se changera en rose
Un cœur accablé sombre dans l'abîme Un voile tombe sans un bruit Ni pour le jour ni pour la nuit Ni pour le bien ni pour le mal Pour la vérité et la paix tu te battras
Chante avec moi la chanson du silence et du sang La pluie tombe, mais ne peut nettoyer la salissure Au sein de mon cœur ancien la folie et l'orgueil demeurent Personne ne peut-il entendre mon cri de douleur ?
Tu es tel les vagues grises de l'océan Destinées à chercher au-delà de la rive la vie encore hors de portée Mais l'océan est changeant, comme le temps Le chemin t'appartient
Tel les vagues grises de l'océan
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« La paralysie d'analyse, c'est quand la peur de l'erreur potentielle l'emporte sur le réalisme de la valeur réelle ou potentielle de réussite, et ce déséquilibre bloque la prise de décision dans un effort inconscient de préserver les options existantes. Un trop grand nombre d'options peut bloquer la situation et entraîner cette paralysie, rendant impossible la moindre avancée. Cela peut empirer lorsque dans des situations critiques où une décision doit être prise, une personne n'est pas en mesure de fournir une réponse assez rapide, ce qui peut entraîner une situation encore plus critique que si elle avait pris une décision.
Une paralysie d'analyse peut se produire lors de la prise de décision d'ordre personnel si le décideur analyse de manière trop poussée les circonstances auxquelles il est confronté. Lorsque cela se produit, le volume de données accable le décideur, lui imposant un fardeau tel qu'il se sent submergé par l'ampleur de la tâche, le rendant incapable de trouver une issue rationnelle. »
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christophe76460 · 2 days
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Chantons !
“Vers le milieu de la nuit, Paul et Silas priaient et chantaient les louanges de Dieu, et les prisonniers les écoutaient.” Ac 16. 25
Une actrice anglaise du dix-huitième siècle, passant dans la rue, entendit chanter dans une maison. Par curiosité, elle regarda par la porte ouverte et vit un groupe de personnes assises chantant un hymne de Charles Wesley (‘Depth of mercy’ “profondeur de la miséricorde”). Elle écouta le chant puis fut amenée à faire une prière simple mais sincère. Lorsqu'elle partit, l'hymne l'avait tellement impressionnée qu'elle se procura un exemplaire d'un livre le contenant. La lecture et la relecture de l'hymne l'amenèrent à donner son cœur à Dieu et à se résoudre à quitter la scène. Le directeur du théâtre la supplia de continuer à chanter comme d’habitude, et finalement la persuada de se produire dans son théâtre. Alors que le rideau se levait, l'orchestre commença à jouer l'accompagnement d’une chanson qu'elle était censée chanter. Elle resta là comme perdue dans ses pensées, et l'orchestre, la croyant embarrassée, joua le prélude trois fois. Puis, les mains jointes, elle s'avança et chanta avec une profonde émotion : “Profondeur de la miséricorde, peut-il y avoir une miséricorde qui m'est encore réservée ?“La représentation se termina là; beaucoup étaient impressionnés, même si certains se moquèrent. Le changement amorcé par l’hymne dans sa vie fut aussi permanent que singulier. L’apôtre Paul nous encourage :“Soyez au contraire remplis de l'Esprit: dites-vous des psaumes, des hymnes et des cantiques spirituels; chantez et célébrez de tout votre cœur les louanges du Seigneur; remerciez constamment Dieu le Père pour tout, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ...” (Eph. 5. 19-21), et ailleurs : “Que la parole de Christ habite en vous dans toute sa richesse ! Instruisez-vous et avertissez-vous les uns les autres en toute sagesse par des psaumes, par des hymnes, par des cantiques spirituels, chantez pour le Seigneur de tout votre cœur sous l'inspiration de la grâce” (Co 3. 16). Paul vécut des moments très difficiles aussi ses lettres aux chrétiens vont bien plus loin qu’exposer une théorie biblique, mais sont riches de conseils inspirés par ses propres expériences. Alors que Paul et Silas chantaient, ”les prisonniers les écoutaient” (Ac 16. 25). Aujourd’hui chantons à la gloire de notre Dieu!
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yes-bernie-stuff · 2 days
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Vendredi 26 avril 2024 Chantons !
“Vers le milieu de la nuit, Paul et Silas priaient et chantaient les louanges de Dieu, et les prisonniers les écoutaient.” Ac 16. 25
Une actrice anglaise du dix-huitième siècle, passant dans la rue, entendit chanter dans une maison. Par curiosité, elle regarda par la porte ouverte et vit un groupe de personnes assises chantant un hymne de Charles Wesley (‘Depth of mercy’ “profondeur de la miséricorde”). Elle écouta le chant puis fut amenée à faire une prière simple mais sincère. Lorsqu’elle partit, l’hymne l’avait tellement impressionnée qu’elle se procura un exemplaire d’un livre le contenant. La lecture et la relecture de l’hymne l’amenèrent à donner son cœur à Dieu et à se résoudre à quitter la scène. Le directeur du théâtre la supplia de continuer à chanter comme d’habitude, et finalement la persuada de se produire dans son théâtre. Alors que le rideau se levait, l’orchestre commença à jouer l’accompagnement d’une chanson qu’elle était censée chanter. Elle resta là comme perdue dans ses pensées, et l’orchestre, la croyant embarrassée, joua le prélude trois fois. Puis, les mains jointes, elle s’avança et chanta avec une profonde émotion : “Profondeur de la miséricorde, peut-il y avoir une miséricorde qui m’est encore réservée ?“La représentation se termina là; beaucoup étaient impressionnés, même si certains se moquèrent. Le changement amorcé par l’hymne dans sa vie fut aussi permanent que singulier. L’apôtre Paul nous encourage :“Soyez au contraire remplis de l’Esprit: dites-vous des psaumes, des hymnes et des cantiques spirituels; chantez et célébrez de tout votre cœur les louanges du Seigneur; remerciez constamment Dieu le Père pour tout, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ…” (Eph. 5. 19-21), et ailleurs : “Que la parole de Christ habite en vous dans toute sa richesse ! Instruisez-vous et avertissez-vous les uns les autres en toute sagesse par des psaumes, par des hymnes, par des cantiques spirituels, chantez pour le Seigneur de tout votre cœur sous l’inspiration de la grâce” (Co 3. 16). Paul vécut des moments très difficiles aussi ses lettres aux chrétiens vont bien plus loin qu’exposer une théorie biblique, mais sont riches de conseils inspirés par ses propres expériences. Alors que Paul et Silas chantaient, ”les prisonniers les écoutaient” (Ac 16. 25). Aujourd’hui chantons à la gloire de notre Dieu!
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lifextime · 1 year
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PIXY | Fairyforest : Temptation
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Fairyforest : Temptation est le second mini-album du groupe PIXY. Les chansons ayant été mis en avant pour la promotion de l'EP sont : Addicted & Bewitched. Composé de neufs track, le mini album se divise en plusieurs parties : 5 originals tracks, 2 versions anglaises, 2 instrumentals tracks. Pour cette review je vais uniquement m'occuper des 5 originals tracks & non des clip vidéos.
01. INTRO  ( END OF THE FOREST ) | vidéo clip
Comme chaque chaque album, l'intro résume parfaitement l'album. Sombre et énigmatique l'album veut dégager une ambiance basée sur la tentation, puis on enchaîne avec un aperçu de toutes les musiques pendant deux minutes. On remarque rapidement le petit clin d'oeil à l'album.
02. Addicted | vidéo clip
La chanson possède une mélodie simple et dark à la fois, une vibe mystérieuse enveloppe cette chanson aux paroles assez confuse sur le thème de l'addiction. Je ne retiens que le vocal de Lola & Dia, puis la légèreté de Ella. Le bridge passe complètement inaperçu, j'ai l'impression que pour bien le remarquer il faut regarder le clip, mais musicalement c'est gros loupé. La chanson se laisse écouter dans la continuité de l’intro, puisqu'elle est liée directement.
03. Bewitched | vidéo clip
Toujours dans l'ambiance sombre avec une légère touche de pop et quelques effets glitchy. Une chanson qui se démarque rapidement de Addicted, et qui est pour moi beaucoup plus agréable. Une mélodie entrainante et accrochante, on peut vite rapidement garder en tête le tempo qui rythme les paroles. Et enfin un bridge qui est présent et qui introduit la partie pop de la chanson. Un sans faute pour ce track.
04. Moonlight | vidéo clip
Avec cette musique le groupe ne prend pas de risque, on garde le tempo pop avec une touche rétro. Une chanson qui ne se démarque pas vraiment puisqu'on retrouve l'ambiance mystérieuse de Addicted le tout sur une chanson assez soft. Néanmoins, la performance vocale de Dajeong est remarquable. La track passe quasi-inaperçue et reste pour moi l'ovni de l'EP. On peut penser que c'est un petit remake de la chanson " The Moon" de leur premier EP, mais en moins punchy.
05. Still With Me ( To. Winxy ) | vidéo clip
La ballade de l'album pour clôturer le mini album. Une ballade assez légère qui semble être une confession du groupe à leur fan, une façon aussi de les remercier pour leur soutiens. Une mélodie au piano pour mettre un petit point final est vraiment bien pensé, la performance vocale de Ella se démarque des autres, et c'est sans doute la surprise de l'ep.
La note finale ?
Pour résumer, je ne suis pas fan de cet EP. Mise à part Bewitched (et encore je trouve le clip horrible) & Still With Me, je trouve que c'est un loupé. Contrairement au premier opus ou nous avons le droit à deux pistes instrus et un remix, là le contenu de 2 instrus et 2 versions anglaises sont un peu de trop. J'aurais aimé un album avec 8 track originals, car là même pour un EP je trouve sa pauvre. C'est vraiment dommage que car l'intro  vraiment énigmatique avec toute les chansons, et on se retrouve avec très peu de choses. L'album se laisse écouter , mais malheureusement n'a rien à envier à Bravery.
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omagazineparis · 1 year
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Adèle 30 - un nouvel album écrit dans la tourmente ?
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Son dernier album (25) date d'il y a 6 ans (2015) et avait déjà été vendu à plusieurs millions d'exemplaires. Aujourd'hui Adèle revient avec un nouvel opus (30), enregistré dans une certaine tourmente nous livre l'artiste. Adele est une auteure-compositrice-interprète britannique qui est devenue célèbre avec son premier album "19" en 2008. Elle est née le 5 mai 1988 à Tottenham, Londres, Angleterre. La musique d'Adele est connue pour son son soul et ses paroles émotionnelles. Ses albums, dont « 19 », « 21 » et « 25 », ont été acclamés par la critique et ont connu un succès commercial, ce qui lui a valu de nombreux prix et distinctions. Certaines des chansons les plus populaires d'Adele incluent "Someone Like You", "Hello", "Rolling in the Deep" et "Set Fire to the Rain". Elle a vendu des millions de disques dans le monde et est considérée comme l'une des musiciennes les plus titrées de sa génération. En plus de sa carrière musicale, Adele a également joué dans des films et des émissions de télévision, y compris une apparition dans "Saturday Night Live" et un rôle dans le film "The World is Not Enough". Elle est également connue pour son travail philanthropique, soutenant divers organismes de bienfaisance et causes. Découvrez le nouvel album d'Adèle Doit-on s'attendre à un album plutôt sombre ? Réponse le 19 novembre prochain pour la sortie du nouvel album de la chanteuse Adèle. C'est par l'intermédiaire de ce site et de son compte Twitter que l'annonce a été officielle. https://twitter.com/Adele/status/1448287471649837061?t=9nS0vkMxQCfMkqB07swXyQ&s=19 Vendredi 15 octobre (demain), un premier titre nous sera dévoilé "Easy on me" dont voici le teaser. Les images en noir et blanc nous donne quelques indices sur l'ambiance générale de l'album qui devrait certainement retracer les moments compliqués vécus par la chanteuse ces dernières années (rupture avec son ancien compagnon Simon Konecki en 2019). A lire également : Portrait : Cyril Lignac, chef cuisinier et pâtissier populaire https://www.youtube.com/watch?v=RB9sXKVUa_s C'est un plaisir de retrouver enfin celle qui nous a fait vibrer avec Skyfall ou Rolling in the Deep ! Dites-nous en commentaires quelle est votre chanson préférée de Adèle ? (Image de couverture de l'article. Créateur : Christopher Polk | Crédits : AFPDroits d'auteur : 2017 Getty Images) Apprécier les chanteuses anglaises modernes Il y a de nombreuses chanteuses anglaises modernes talentueuses qui ont connu le succès ces dernières années. En voici quelques-unes que vous pourriez apprécier : - Adele - Connue pour sa voix puissante et émouvante, Adele est l'une des chanteuses les plus populaires et respectées au monde. Elle a remporté de nombreux prix, dont plusieurs Grammy Awards, pour ses albums et singles à succès tels que "Hello", "Someone Like You" et "Rolling in the Deep". - Dua Lipa - Cette chanteuse et compositrice est devenue l'une des artistes les plus en vue de la pop moderne. Elle a connu un succès commercial massif avec des chansons telles que "New Rules", "IDGAF" et "Levitating". - Jessie Ware - Jessie Ware est une chanteuse anglaise de soul et de R&B connue pour ses chansons mélancoliques et évocatrices. Elle a sorti plusieurs albums acclamés par la critique, dont "What's Your Pleasure?" en 2020. - Jorja Smith - Avec sa voix douce et soulful, Jorja Smith a conquis les fans de musique à travers le monde. Elle a sorti son premier album "Lost & Found" en 2018, qui a reçu des critiques élogieuses. - Florence + The Machine - Florence Welch, la chanteuse de Florence + The Machine, est connue pour ses performances vocales intenses et dramatiques. Le groupe a sorti plusieurs albums acclamés par la critique, notamment "Lungs" et "Ceremonials". Il y a bien sûr beaucoup d'autres chanteuses anglaises modernes talentueuses que vous pourriez apprécier, mais cela vous donne une idée de quelques-unes des plus populaires et influentes. Read the full article
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beatlesonline-blog · 1 year
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philippebresson · 2 years
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"L'EFFET TITANIC"
Premier roman de Lili Nyssen
Par Alpdf le Fantôme (aka Philippe BRESSON)
J'ai beau être un fantôme, j'ai beau avoir mille ans depuis longtemps (je les fais pas cela s'entend !), je lis encore des livres et c'est d'ailleurs l'une des occupations qui m'arrachent au monde des ombres, qui me rattachent encore à l'existant. Dernièrement j'ai lu, notamment, "Le théâtre de l'amante anglaise" de Marguerite Duras, "Cher connard" de Virginie Despentes, et "L'Effet Titanic" de Lili Nyssen, premier roman. J'ai d'abord eu du mal à y "entrer", comme on le dit de la mer quand elle nous paraît froide, quand notre 37 degrés Celsius matinal, encore frileux, se confronte subitement à sa vingtaine (de degrés, même en été), à son corps étranger.
Oui, j'ai d'abord eu du mal à entrer dans les premières pages de ce beau poème en prose jailli des interstices, des cicatrices de l'adolescence : parce que mon âge canonique, parce que ma disponibilité fluctuante en cette rentrée (fantomatique) parfois éprouvante, parce que le flux du moral et des marées... Parce que mon propre degré Celsius d'identification, vespéral, frileux encore, confronté à l'âge des possibles d'une mer qui, forcément, se retire peu à peu avec le temps.
Mais très vite (20-30 pages ?) je me suis laissé prendre, immergé, submergé, happé par la vague, le style, le rythme, les inflexions, les inclinations de ce "nous" déchiffré, aimé, désiré, redouté, évanoui (renoncé ?), et les visages des personnages me sont alors apparus comme autant de reflets d'un ciel à la fois sombre et changeant sur une mer aussi déchaînée que vivante, brûlante, fraîche, éclatante, vivifiante ! Et je les ai vus et parfois reconnus ces visages, et j'ai même entendu leurs voix nues : c'était elle, c'était lui, c'était moi et c'était nous, si loin, si près...
Alors, soudain, sans âge désormais, le vieux fantôme a (re)plongé. Vertige des amours naissantes, balbutiantes, émouvantes, déchirantes-déchirées, et il a été touché : touché-coulé comme ces épaves qui au tréfonds de nos mémoires et des mers ancestrales sont, je cite, autant de "carcasses immobiles sur lesquelles s'accrochent les algues. La faune éparse sur les hélices émoussées (...)"
En refermant le roman de Lili Nyssen dont je suis sûr à présent qu'il est le premier vaisseau en partance pour une traversée littéraire au long cours, j'ai cru entendre la voix de Léo Ferré qui me murmurait à l'oreille l'une des plus belles chansons-poèmes jamais écrites, et, parole de fantôme, le livre refermé, ça résonne encore...
Alpdf le Fantôme (aka Philippe BRESSON)
"L'Effet Titanic" (Premier roman de Lili Nyssen paru cz Les Avrils Édition, septembre 2022)
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"La marée, je l'ai dans le cœur qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite sœur, de mon enfant et de mon cygne
Un bateau, ça dépend comment on l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament des années lumières et j'en laisse
Je suis le fantôme jersey, celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baiser et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts de sable de la terre (...)
(Léo Ferré, La mémoire et la mer - Extrait)
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OZONE / EVOLUTION      1976-1999      REPERTOIRE                      7  OZONE
OZONE 1     URBANFOLKgroup         1976                                                                   TRIO
un duo de guitaristes de pont-à-mousson rejoint par un batteur de blenod les pont-à-mousson
/ la toute 1ère création : un étonnant instrumental latino décalé : « ultraviolet », à l’initiative de sylvain desavelle
OZONE 2        TRIBAL/PROGRESSIFgroup    1976-1978                                      QUATUOR        une fusion musicale ambitieuse    suite à l’arrivée de bmpr  (ex. dernier clavieriste du groupe rock-progressif Ketchup de Nancy, qui vient de se dissoudre)       longues pièces musicales ésotériques   dont  « prophétie atomique »    / « incandescence » (perdu)    /     ou pièces + courtes mais encore « multi séquences »: le baroque  « liturgie (a sentimental journey) » (bmpr, son compositeur, propose sur soundcloud aussi, sur un de ses 3 comptes   : une version « sauvegarde », « partition sonore ») /    ou  « auri sacra fames /tribute76 to Santana »)  
OZONE 3     instrumentalDISCOPOPgroup      QUATUOR  1978-1979                                                    
les pièces « courtes » privilégiées, mais ambitieuses, multisequences      /    leur musique devient exotérique, mais en restant instrumentale, tout signé par bmpr, arrangé par ozone3
 -alternatif rock progressif : « élégie 78 (à b.) »  /  « 1618/1648 (scènes de la guerre de 30 ans) » (= « hymne européen n°2 » à la sacem)     /  « excelsior »    /   ou  de la disco alternative : « disco game » /et  “euro disco suite”        /   et un reggae :  “jama” /
  -« joan d’Arc (le 1er combat) »  (= « fusion 3 »  à la sacem) s’inscrit parfaitement dans la vague synthépop naissante ! / cette bonne piste, malheureusement non suivie aussitôt, et prise après que le groupe se sera fourvoyé dans une disco ou post disco car impossible à proposer aux maisons de disque, sauf  petit miracle, sans passer auparavant par la case : grands studios, grosse production /
opération hymne européen pop :
proposé, et conceptualisé par bmpr  « hymne européen pop» (« l’hymne européen » à la sacem, 1er du nom) interpreté par ozone3 puis ozone3 avec des instrumentistes d’un jeune orchestre de chambre de Cologne, le KKO,       ce qui vaut à ozoneDiscOrchestra d’être clippé aussitôt par Tele Luxembourg,       et d’être presque signé par une major à paris  /  cette interprétation est écoutable : sur youtube, mais est à considerer comme non à prendre en compte, même si elle permet de prouver l’existence des thémes en 1979
bmpr a revampé cette interprétation & l’a completée par prés de 7 mn de musique nouvelle , l’hymne européen pop par ozoneDO ainsi révisé et augmenté « à la symphonique », & notamment précédé par un prologue gothique / bmpr propose sur soundcloud : d’autres versions de cet hymne européen pop, & cela ne concerne plus ozone, & notamment : un hymne européen pop numéro 2 en cours de composition)  
   adresses : bmpr goes moog / & : ozone3 goes baroque  ou encore : ozone3 goes philharmonique ou bien : ozone3 goes gothique  / les interprétations futures pourront, cependant en se servant aussi des versions nouvelles par BMPR, soit en version courte (3mn) ou en version : 10mn, pour des utilisations différentes de cet hymne
+ « indicatif  401» (desavelle / bmpr)  
OZONE 4     MULTIDANCEgroup   1980-1981                                                             OCTUOR
             à l’initiative du guitariste desavelle : élaboration de chansons dès 1980    
   / le défi (incroyablement) relevé de faire de la dance ! (les maisons de disques ne se montreront (presque) pas intéressées !, ozone commence à se dire : maudit)
/ genre postdisco : le tube potentiel très british  « innocence » signé paroles (lyrics en langue anglaise avec la collaboration de dueck, l’ex bassiste) et musique par le guitariste     /     new vintage disco : « night émotion », de bmpr / « starting block » de bmpr        /    genre   ska :  « les cool men », musique bmpr (lyrics : desavelle), « think at your friend »,  bmpr (lyrics : marie ange) / +   genre synthépop : « flippeur » (paroles musique, desavelle) /  puis les + new wave pop, musiques de desavelle : « aminagonie » (paroles : bmpr)  / « naufrage », paroles et m signés desavelle /
(+ quelques slows à l’initiative de bmpr et paroles et musiques de lui / dont l’un intéressera Barclay et Ariola durant un court temps, c’est plutôt à considérer comme une parenthèse solo du claviériste, aidé là par ozone4)
+ (réalisés lors de la période suivante, mais encore dans le mouvement de la période 4 : la très dance : song « PLFL (people looking for love) » / et tels qu’enregistrés : propriété de philippe pasderoute qui a financés les enregistrements :  les slows instrumentaux qui ont à présent nom : « the lost french slow-rock of the eighties / version 1 », ////// (mais sa cover « the lost french slow-rock of the eighties / version 2 », appartenant à bmpr (les 2 à écouter sur soundcloud, le compte spécifiquement bmpr [ou legacy bmpr, troisième compte proposant les compositions de bmpr], avec cette fois tous arrangements de bmpr, différents de la version initiale) (sacem = la composition avec les lyrics de bmpr [des 2 versions], sous le titre de « un samedi comme avant » ) / ce slow a donc été composé (paroles et mus) par bmpr, et ensuite a été arrangé par ozone et  ré-arrangé et remixé par bmpr  
OZONE 5  new wavePOPgroup   1982-1984                                      QUINTETTE     ou     TRIO                                         recentrage : la seule option new wave pop retenue    /   1er 45tours (mal) autoproduit      /      vedettariat avec préméditation ! au Midem 82     /   deux 1ers contrats signés à paris, mais problématiques et annulés  
LES SONGS  / « edition spéciale » (version instru uniquement retenue & disponible sur soundcloud, la version chantée a été exfiltrée du répertoire, reniée par le compositeur)   / « vocoder » (+ version instru, sous le nom : les cyborgs live), lyrics : bmpr /   « tristan Vox » (p+m : bmpr) / « aminagonie » (version 2, lyrics de bmpr), mus : desavelle    / « testament Vidéo » (lyrics de bmpr) avec les cornemuses des gordon highlanders, mus. : desavelle  /
puis tous :  p + m : bmpr :    « émets-moi (esperanza)» (= cover  de « fusion3» 79 en version chantée)   / «pub  tv  / version1 eighties sound »      /  et la petite bombe funk-rock :  « traque la star », version : introducing marie-hélène michel au chant2     /   /    rap : « bus stop » (non dispo)
LES INSTRUMENTAUX :
sous le nom de groupe :  [the cyborgs live] / la version instru de « vocoder », revampée par bmpr), de desavelle, et « playing rock’ n’ roll » (cover de : « ramseyer » ), plusieurs mixs sur soundcloud, une étonnante composition cette fois aussi de s. desavelle / +, tous instrumentaux de bmpr : le néo-rock progressif « viking » (non encore dispo sur soundcloud) /  + le synthépop « cinéma » / + du space age pop : « a space wedding march for the film 2001» /  + l’instru  « élévation »
(« A. F. » à la sacem)  
////////////// autre instru de cette période5 : cette fois par bmpr + ozone5 : bmpr goes baroque « dorian gray » (esquisse révisée sur soundcloud, compte bmpr), composée par bmpr (lyrics de lui aussi, non utilisés dans la version enregistrée)
/  
OZONE 6  pre frenchtouchGROUP    1984-1998
 le groupe ne se réunit plus qu’épisodiquement      /  TRIO
     créations electro-ambient pop         divers enregistrements sous contrat avec un label de Neuilly    / lequel label va s’avérer dramatiquement peu offensif   /
indifférence des majors ne venant pas à leur secours malgré -à nouveau- plusieurs chansons explosives
« aminagonie » et « tristan vox » (en face b, leur « standard » !, car « aminagonie » était plus « club ») sortent sur 45 tours (+ maxi) au Canada / = sur soundcloud : « le hit français maudit des années 80 / tristan vox », depuis juillet 2018 : 2 versions « autorisées », revampées, augmentées par le compositeur, version LongPlay1 et LP2 (intégrant 3 enregistrement, 1, au studio de l’éditeur michel pascal (live), le second au studio des dames (arrangements basiques), et le troisième au home studio du compositeur (tous arrangements, orchestration et remix par bmpr, idem pour « aminagonie »)
/  « misses X » (non disponible) (lyrics de bmpr), musique de SD / «dancing on the moon »  (lyrics et musique : s. desavelle), customisé, réorchestré et remixé par bmpr /  + la 1ère chanson spirite (spiritualiste en langage anglo-saxon)) de l’histoire de la musique pop  : « lonely hollywood », possiblement à trouver sous le nom de groupe tele/love (lyrics et musique : bmpr)
 + l’instru «la olasong » (1998) slogan et musique : bmpr (à partir d’une « descente » signée  s.d.)
+ le  slow new age « chanté » (vocodeur) et « parlé » : « Sy » = sur le net : « the sense of silence (SY) the promise mix » sort en 45 tours et cd single, lancé à l’été 1990 en France / ozone6 se cache sous le nom de Telelove / sy   musique bmpr (sauf couplets, signé SD) / lyrics : bmpr / face B :  « a subliminal day », pièce musicale minimaliste new age de bmpr / guitar solo : desavelle)  
OZONE 7  frenchtouchGROUP  (ou possible : à tele/love)   créations hors contrat        1986-(1999)                                              TRIO
compos electro-ambient-pop     /       une ultime survie artistique toujours créative !
INSTRUMENTAUX    signés bmpr  / “xyZ”  /  “les liquidateurs” (1996)  /   “ epsom’’  /   « messiaen »  
SONGS    / « pub  tv (version sixties sound) » (lyrics, musiue : bmpr)   +   « hey jacky » (leur seule « cover », celle d’un titre de S. G., « harley davidson of the bitch », lyrics : gainsbarre, musique : bmpr (écoute sur demande)
juillet 2022
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"Dance monkey" - Tones and I - Lyrics
J’ai interviewé Giulia sur son expérience d’expatriation en Australie et quand je lui ai demandé quelle était la chanson qui lui rappelait son voyage, elle m’a immédiatement parlé de cette chanson qui venait juste de sortir et qui passait sur toutes les radios. Ecoutez l’interview de Giulia sur son expérience en Australie Toni Watson est une chanteuse australienne née en 2000 qui, après avoir…
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View On WordPress
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marie-swriting · 1 year
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Être Mon Petit Ami - Chrissy Cunningham
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Stranger Things Masterlist
Résumé : Tu es la meilleure amie de Chrissy donc tu l'aides dans ses problèmes de couple avec Jason, même si tu le béguin pour elle.
Warnings : Un peu d'angst, Jason est un connard, fin mignonne, dites-moi si j'ai loupé d'autres warnings !
Nombre de mots : 2.5k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Boyfriend par Dove Cameron
Le bruit de la soirée de Jason devient moins fort alors que tu montes à l’étage. Tu commences à chercher la pièce où tu as posé ta veste en arrivant. Alors que tu marches dans le couloir, tu entends quelqu’un renifler d’une chambre. Inquiète qu’une personne ait peut-être besoin d’aide, tu frappes à la porte.
- Hey, tout va bien ?
Tu n’entends pas de réponse donc tu ouvres la porte doucement et trouve ta meilleure amie Chrissy, assise sur le sol, essuyant ses larmes.
- Chrissy ? Qu’est-ce qui ne va pas ?
- Rien. Ne t’inquiète. Va t’amuser, essaye-t-elle de sourire, mais tu ne l’écoutes pas.
Après avoir fermé la porte, tu vas t’asseoir à côté de Chrissy.
- Allez, dis-moi ce qui ne va pas.
Pour simple réponse, elle fixe ses pieds et tu comprends ce qui la chagrine.
- C’est Jason, n’est-ce pas ?
- C’est si évident ?
- Eh bien, tu sais que je ne l’aime pas vraiment et dernièrement, vous avez eu quelques désaccords, comme tu me l’as dit.
- J’ai essayé de lui parler, comme tu me l’as conseillé, elle commence à expliquer. Je lui ai dit que j’en avais marre de le voir passer tout son temps avec ses amis et pas moi, sa petite amie. Il m’a juste dit que j’exagérais, que j’essayais de le faire passer pour le méchant alors qu’il fait de son mieux, te dit Chrissy, mais elle s’arrête en voyant ton expression sur ton visage. Tu peux le dire.
- Quoi ?
- Que c’est un connard. Je sais que tu veux le dire.
- Tu peux m’en vouloir ? Ça en est un ! Il n’essaye même pas de t’écouter.
- En fait, il m’a promis qu’on passerait cette soirée et le week-end ensemble.
- Et pourtant, il n’est pas avec toi.
A ta phrase, Chrissy hoche tristement avant de regarder ses pieds à nouveau. Tu te sens mal pour ta meilleure amie. Tu détestes la voir être traitée de cette façon par Jason Carver. Il a la chance de sortir avec Chrissy, ouvertement, et il la prend pour acquise.
Tu sais que tu ne pourras jamais être avec Chrissy, même si ton béguin pour elle grandit de jour en jour depuis l’école primaire. Elle n’a jamais montré un intérêt pour les filles et elle a un petit ami. Donc, tu restes sa meilleure amie. Si ça veut dire toujours faire partie de sa vie, tu es d’accord.  Peu importe à quel point ça te brise le cœur. Tu veux ce qu’il y a de mieux pour Chrissy donc tu l’aides dans ses relations. Celle-ci avec Jason est celle que tu détestes le plus. Tu sais qu’il ne la mérite pas, mais elle décide de rester avec lui, espérant qu’il devienne meilleur.
Chrissy renifle un peu avant de reprendre la parole :
- Tu sais, je commence à penser qu’il a raison. Enfin, il a le droit de s’amuser avec ses amis, n’est-ce pas ? J’exagère, je ne devrais pas en faire toute une histoire. On a un peu dansé plus tôt. C’est juste que j’aimerais qu’on passe plus de temps ensemble, tu sais. Mais peut-être que je ruine tout.
- Chrissy Cunningham, tu vas m’écouter attentivement, tu commences en la forçant à te regarder. Tu ne ruines rien. Il est en tort. Il agit comme un connard. Tu as le droit de demander de passer du temps avec ton petit ami. Avec ce que tu me dis, je comprends qu’il ne fait pas grand-chose pour faire fonctionner la relation. Tu fais toujours des efforts. Lui, jamais.
Tu prends sa main et elle fait un petit sourire. Tu souris aussi sympathiquement.
- Chrissy, je suis désolée que ta relation avec Jason se passe ainsi, mais tu dois faire quelque chose. Tu peux clairement pas rester dans cette situation. Il te laisse toujours tombée. Il y a tellement de choses qu’il fait qui ne sont pas suffisantes. J’ai toujours su qu’il était une mauvaise personne, donc je ne suis même pas surprise qu’il ne soit pas un bon petit ami. Tout le monde pourrait être un meilleur petit ami que lui. Même moi.
- Toi ? rigole-t-elle, cachant sa bouche avec sa main et tu commences à paniquer en réalisant tes propos.
- Je veux dire, ça ne serait pas si dur, ajoutes-tu avant d’éclaircir ta gorge. Mais clairement, il y a un gars, quelque part, qui pourrait être meilleur que lui. Je suis sûre qu’il y a quelqu’un, quelque part, qui t’aimera totalement, quelqu’un qui prendra le temps pour toi, quelqu’un qui fera tout pour toi.
- Peut-être, répond Chrissy, perdue dans ses pensées. C’est juste… Jason et moi, ça fait six mois qu’on est ensemble. Je ne veux pas que cette relation ait été pour rien.
- Chrissy, est-ce que tu l’aimes ? lui demandes-tu.
Tu as peur de sa réponse. Tu sais que tu vas peut-être avoir ton cœur brisé, encore plus qu’avant.
- Peut-être ?... Je pense ?... Je ne sais pas. Il peut être gentil, parfois. Et j’ai le béguin pour lui depuis un bout de temps. Quand on passe du temps ensemble, j’aime ça.
- Ça ne veut pas nécessairement dire que tu l’aimes.
- Je sais… Qu’est-ce que tu penses que je devrais faire ?
- Tu devrais prendre du temps pour réfléchir. Viens, allons chez moi, lui dis-tu en te levant et donnant ta main pour l’aider. Il est probablement trop occupé avec les autres sportifs de toute façon.
- Tu as raison, conclut-elle en prenant ta main et se levant.
Pendant une seconde, vous restez là, à vous regarder dans les yeux.  Tu essuies sa dernière larme avec ta main de libre avant de la guider hors de la chambre.
Quand toi et Chrissy avez récupéré vos affaires, vous retournez en bas. Vous êtes sur le point de quitter la maison quand tu entends la voix de Jason appeler Chrissy, complètement bourré.
- Tu vas où, bébé ? On est censés passer le week-end ensemble, tu te rappelles ? C’est ce que tu voulais.
- Je… Jason, j’ai besoin de temps pour réfléchir. Je vais chez Y/N. Je te parlerai la semaine prochaine.
- Tu n’es pas sérieuse, Chrissy ? Tu pars vraiment ? Oh mon Dieu, tu vas encore chialer parce qu’on passe jamais de temps ensemble. Allez, reste, dit-il en se saisissant de son poignet.
- Laisse-moi tranquille, Jason ! Je veux juste du temps seule pour réfléchir sur nous, réplique-t-elle en sortant de son emprise.
Elle met son bras dans le tien et vous quittez la soirée. Jason est complètement perdu par rapport à ce qu’il vient de se passer.
Comme tu n’as pas bu, tu conduis jusqu’à chez toi. Chrissy reste silencieuse durant le trajet. Tu ne dis rien pour attirer son attention, sachant qu’elle perdue dans ses pensées, pensant à votre conversation et à son interaction avec Jason.
Quand vous arrivez, vous allez directement dans votre chambre, tentant de ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller tes parents. Quand vous êtes installées sur le lit, tu regardes Chrissy alors qu’elle reste mutique, les yeux posés sur toi également. Tu attends qu’elle parle en premier.
- Tu as raison. Jason n’est pas un bon petit ami, mais j’ai des sentiments pour lui.
- A quel point tes sentiments sont forts ? lui demandes-tu, essayant de ne pas montrer ta peine.
- Je ne sais pas. Peut-être que j’ai besoin d’un peu plus de temps pour développer mes sentiments. Après tout, je suis censée l’aimer, non ? C’est ce que les gens attendent de moi.
- Ça n’a rien à voir avec ce que les gens attendent de toi, mais avec ce que toi tu veux vraiment. Donc, dis-moi, qu’est-ce que tu veux dans un petit ami ?
- Je veux que mon petit ami soit gentil, quelqu’un qui m’écoute, qui me fasse rire, même quand je suis triste. Je veux quelqu’un avec qui je peux parler facilement. Quelqu’un avec qui je pourrais totalement me sentir à l’aise, avoue-t-elle doucement.
Elle garde ses yeux sur toi, admirant leur beauté.
- Je crois que je viens juste de te décrire, peut-être que tu devrais être mon petit ami, ajoute-t-elle, tentant de retenir son rire.
Tu fais tout pour ne pas montrer d’émotion, prétendant que tu ne viens pas d’entendre la fille que tu aimes dire que tu serais son petit ami parfait.
- Eh bien au moins, je pourrais faire tout ce que Jason est incapable de faire, réponds-tu, un air détaché.
- Ça serait pas bien compliqué, dit Chrissy avant de bailler. Je suis fatiguée. Je devrais dormir. Merci, pour tout. Tu es la meilleure, murmure-t-elle avant d’embrasser ta joue.
Même si c’est quelque chose qu’elle fait tous les jours, tu ne peux pas t’empêcher de sentir des papillons dans ton ventre. Chrissy a aucune idée du pouvoir qu’elle a sur toi. Tu aimerais pourvoir le lui dire. Tu aimerais pouvoir lui dire que tu serais prête à lui montrer comment elle devrait être aimée.
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Depuis la soirée de Jason, Chrissy est devenue distante avec toi. Tu ignores la raison, mais tu penses que c’est à cause de ta conversation avec elle. Tu as peur qu’elle ait compris tes réels sentiments pour elle et qu’elle est paniquée. En lui donnant des conseils, tu ne voulais pas être aussi ambigüe, mais ça a été le cas et maintenant, tu es en train de perdre ta meilleure amie.
Tu détestes ça. Tu ne veux pas la perdre. Tu veux arranger les choses. Peut-être qu’en lui parlant, tu pourras donner l’impression que tu agissais seulement comme une bonne amie et non comme si tu venais de confesser ton amour pour elle.
Quand ton cours d’espagnol, cours que tu partages avec Chrissy, est fini, tu ranges vite tes affaires et cours derrière elle. Quand elle t’entend appeler son prénom, elle se retourne. Elle te sourit, attendant que tu la rejoignes.
- Hey, Y/N. Tout va bien ?
- Je voulais te parler. Tu pourrais venir chez moi ce vendredi ? On s’est pas beaucoup vues cette semaine.
- Désolée, j’ai été occupée.
- Donc, c’est bon pour ce vendredi ?
- Je… Je ne peux pas, désolée. J’ai déjà quelque chose de prévu avec Jason.
- Oh. J’imagine que ça veut dire que tu as vraiment des sentiments pour lui.
- On peut dire ça.
- Je suis contente pour toi, Chrissy. J’espère juste qu’il agira mieux envers toi, dis-tu, retenant tes larmes. Je dois y aller, ajoutes-tu avant qu’elle puisse dire autre chose.
Tu commences à marcher rapidement pour quitter le lycée. Une fois sortie, tu trouves un endroit où tu peux laisser tes larmes couler. Tu savais qu’elle tomberait amoureuse de lui un jour. C’était prévisible et pourtant, ça fait quand même mal. Tu as l’impression que ton cœur a été arraché de ta poitrine.
Tu l’as perdue pour toujours. Tu en es sûre maintenant. Elle restera avec Jason alors que tu resteras seule parce que tu as tout ruiné en ne cachant pas tes sentiments comme il faut. Tu peux seulement t’en vouloir pour ton chagrin.
Quand le week-end arrive, tu es contente d’être enfin loin du lycée, même si c’est pour deux jours. Au moins, tu pourras rester enfermée dans ta chambre, à écouter des chansons tristes, souhaitant pour que les choses soient différentes.
Ironiquement, tu caches bien tes sentiments à tes parents ; si seulement tu avais fait pareil avec Chrissy… donc ils ne savent pas que tu t’es endormie en pleurant ces deux derniers jours. Ils pensent que tu vas bien donc ils te laissent seule à la maison pour se rendre à un rendez-vous romantique dans un restaurant chic sans se sentir coupable.
Alors que tu lis un livre sur ton lit, tu entends quelqu’un frapper à ta porte d’entrée. Tu ignores qui ça pourrait être. Tes parents ont leurs clés et si c’était un de tes amis de lycée, ils t’auraient appelée.
Quand tu ouvres ta porte, un air choqué prend place sur ton visage en voyant Chrissy devant toi. Elle semble un peu nerveuse. Tu peux le voir à la façon dont elle joue avec ses doigts.
- Salut, Y/N. J’aurais dû te prévenir, mais j’avais vraiment besoin de te parler.
Tu hoches la tête, la laissant entrer. Tu lui indiques le salon et elle te suit. Assises sur le canapé, tu attends qu’elle explique ce dont elle veut parler, mais seulement l’horloge familiale peut être entendue.
- Je croyais que tu avais un rendez-vous avec Jason ce soir, dis-tu, gagnant son attention.
- Ce n’était pas vraiment un rendez-vous.
- Il est ton petit ami, vous faisiez quelque chose ensemble. C’est un rendez-vous.
- J’ai rompu avec lui, avoue-t-elle, te regardant.
- Quoi ? Tu m’as dit que tu avais réalisé que tu avais des sentiments pour lui.
- J’ai réalisé que j’avais des sentiments, oui. Mais pas pour lui.
- Je suis perdue, Chrissy.
- Y/N, comme tu as dit, Jason n’est pas un bon petit ami. Et peu importe combien j’essaye, il ne changera jamais. J’en ai marre d’être dans une relation où il fait zéro effort et où je ne suis pas amoureuse.
- Je suis toujours paumée. Tu as des sentiments pour qui ?
- Tu te souviens de notre conversation de la semaine passée ?
- Oui, à propos de ça, je suis désolée si…
- Ça m’a fait comprendre quelque chose, t’interrompt-elle. Quand j’ai décrit mon petit ami parfait, ça m’a fait comprendre quelque chose. J’ai toujours su que tu avais une place spéciale dans mon cœur, mais avant la semaine dernière, je ne savais pas à quel point spécial c’était. Tu es la seule personne avec qui je ne joue pas un rôle. Je peux être la vraie moi avec toi et tu as toujours été bienveillante envers moi. Je t’aime beaucoup, Y/N. plus qu’une meilleure amie le devrait. Je sais de quoi ça a l’air et tu me détestes surement, ce que je comprendrais.
- Chrissy.
- Je veux dire, ça sort de nulle part et tu ne me vois surement pas de cette façon.
- Chrissy.
- J’avais juste besoin de le dire, même si je sais que je t’ai perdue.
- Chrissy ! cries-tu, ayant enfin son attention. Peux-tu, s’il te plaît, me laisser dire quelque chose ? lui demandes-tu et elle hoche la tête. Je t’aime beaucoup aussi. Je t’ai toujours beaucoup aimé, même quand je ne savais pas ce que c’était en primaire. Tu ne m’as pas perdue. En fait, je pensais que je t’avais perdue. Mais j’ai des sentiments pour toi, Chrissy.
- Vraiment ? questionne-t-elle, choquée.
Tu te rapproches d’elle et prends sa main alors que tu plonges tes yeux dans les siens.
- Alors, voudrais-tu être mon petit ami ? Ou dans notre cas, ma petite amie ? demande Chrissy.
- Je n’aimerais rien de plus.
Chrissy fait un grand sourire, tout comme toi. Elle se penche, nerveuse avant que tu brises la distance et l’embrasse. Ses lèvres sont douces sur les tiennes. Le baiser est lent et rempli d’amour, l’amour que vous aviez pour l’autre depuis des années, mais que vous n’aviez jamais exprimé avant aujourd’hui. Tu ressens une joie immense quand tu réalises que tu as enfin la chance d’être celle qui sort avec Chrissy Cunningham.
Stranger Things Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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drjacquescoulardeau · 3 years
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SYNCHROSOME II – ILYA & VANYA Jacques COULARDEAU – Kévin THOREZ – NADXKA
 Notre musique vise au dépaysement sonore, à la recherche d’un univers où instruments, langue et chant se conjuguent en un tout surprenant et même parfois bouleversant. Nous cherchons à capturer et reproduire des émotions par la musique et les sonorités parfois rauques de la langue anglaise.
     Pour ces albums, nous abordons des thèmes qui se veulent articulés autour de l’Amour, sa puissance, profondeur et légèreté quand il apparaît, s’éteint ou se brise pour mieux renaître… dans la   pureté ou noirceur du cœur menant à la folie, la passion ou l’illumination, mais dans des histoires actuelles ou imagées parsemées de métaphores & de surprises qui font de ces albums une aventure…
     Ces thèmes sont d’autant plus développés qu’un récit ou dialogue entre Ilya et Vanya prend corps liant les chansons et révélant deux êtres se torturant par et pour leur propre amour dans l’album Synchrosome II, Ilya and Vanya .  
     Les visuels sont des peintures de ma cousine, Caroline Guille, tableaux visibles pour certains, sur son site : caro-paint.com .
 *****
This story has to be dedicated to time and life. It is the result of meeting many people in the avenues of big Paris, gay as is well-known, and gay it is, indeed.
The songs were written to the music Kévin Thorez had previously composed. All the songs are from 2011-2012.
The dramatic story of Ilya and Vanya was written in 2013, integrating the lyrics of the songs as part of the story. It is a full homage to a young man who does not like his name to be quoted or uttered. Anonymous he will stay, just the way he likes it, and he likes many things.
The two characters carry endearing shortenings of Russian names. The names are masculine and the two shortenings are built on a feminine ending. I was attracted by this ambiguity for our birds of a feather.
*****
ALBUM MP3
Durée totale: 1:19:14
Genres: Indé & Alternatif
Format: paroles explicites
ASIN: B00J0B57BC € 9,99  (Amazon.fr)
ASIN: B00J09IYFA $11.49 (Amazon.com)
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Titre : Ohana ou le trésor caché – Date : 2021-07-22 Genre :Action,Aventure,Science- FictionSynopsis: Peter et ses amis passent leurs vacancesd’été en Europe. Ohana ou le trésor caché – is ils n’auront pas vraiment l’occasion de se reposer puisquePeter accepte d’aider Nick Fury pour débusquer les mystérieuses créatures qui sontla cause des catastrophes naturelles qui frappent le continent.
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RegarderJohn Ohana ou le trésor caché – (2021): film complet en lignegratuit Un croisé endurci par la guerre et son comSpider-Ohana ou le trésor caché – n : Far fromHomendantJohn Bloodsho- ure, une révolte audacieuse contre lacouronne anglaise corrompue. Cependant, quand Wilson “Kingpin” Fiskuses est Ohana ou le trésor caché streaming vF en lignegratuiteStreaming vf Ohana ou le trésor caché Streaming VF CompletVidéos gratuitesEpisodes, Ohana ou le trésor caché Streaming VF CompletVideo, ”Ohana ou le trésor caché – Streaming vf”’, Ohana ou le trésor caché – Streaming VF HD Allmyvideos Putlocker, Ohana ou le trésor caché Streaming VFComplet Episode Video Streaming Complet. ~ ”Ohana ou le trésor caché – Streaming VF”’ 2021 ”
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Combien de temps as-tu dormi pendant le filmJohn Ohana ou le trésor caché – ? Lamusique, l’histoire et le message étaient
phénoménaux chezSpider-Ohana ou le trésor caché – n : Far fromHome. Je ne pourrais jaJohn Ohana ou le trésor caché – is voir un autre film cinq foiscomme je l’ai fait celui-ci. Retournez voir une seconde fois et faites attention.RegarderJohn Ohana ou le trésor caché – Movie WEB-DL Il s’agit d’un fichier extraitsans erreur d’un serveur telJohn Ohana ou le trésor caché – , tel que Netflix, ASpider- Ohana ou le trésor caché – n : Far from Homezon Video, Hulu, Crunchyroll, DiscoveryGO, BBC iPlayer, etc. Ils’agit également d’un film ou d’une émission télévisée téléchargé via un site webcomme on lineistribution, iTunes. La qualité est assez bonne car ils ne sont pas ré- encodés. Les flux vidéo (H.26Endgame ou H.265) et audio (AC3 /Spider- Ohana ou le trésor caché – n : Far fromHome C) sont généralement extraits de iTunes ou d’ASpider-Ohana ou le trésor caché – n : Far fromHomezon Video, puis redistribués dans un conteneur MKV sans sacrifier la qualité.DownloadMovieJohn Ohana ou le trésor caché – L’un des
impacts les plus importants del’industrie du streaming vidéo L’industrie du DVD a connu un véritable succès grâceà la vulgarisation enJohn Ohana ou le trésor caché – sse du contenu en ligne. La montéeen puissance de la diffusion multimédia a provoqué la chute de nombreusessociétés de location de DVD telles que Blockbuster. En juillet 2015, un article duNew York Times a publié un article sur les SerJohn Ohana ou le trésor caché – s deDVD- Video de Netflix. Il a déclaré que Netflix continue ses DVD serSpider-Ohana ou le trésor caché – n : Farfrom Homes avec 5,3 millions d’abonnés, ce qui représente une baisse importantepar rapport à l’année précédente. D’autre part, leurs serSpider-Ohana ou le trésor caché – n : Far fromHomes en streaming comptent 65 millions de membres. Dans une étude deJohn Ohana ou le trésor caché – rs 2016 évaluant «l’impact de la lecture de film en continu surun DVD traditionnel MovieRental», il a été constaté que les répondants
n’achetaientpas des films sur DVD aussi gros que le mien, voire jaJohn Ohana ou le trésor caché – is,comme la diffusion en continu a conquis leJohn Ohana ou le trésor caché – rché.Regarder le filmJohn Ohana ou le trésor caché – , les téléspectateurs n’ont pas trouvé laqualité du film très différente entre le DVD et le streaming en ligne. Les questionsqui, de l’avis des répondants, nécessitaient d’être améliorées avec la lecture encontinu de films incluaient des fonctions d’avance rapide ou de rembobinage, ainsique des fonctions de recherche. L’article souligne que la qualité de la diffusion defilms en continu en tant que secteur ne fera qu’augmenter avec le temps, alors queles revenus publicitaires augmentent chaque année dans l’ensemble du secteur, cequi incite à la production de contenus de qualité.
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déchirures Blu-ray Bluraysont encodées directement à partir du disque Blu-ray en 1080p ou 720p (selon lasource du disque) et utilisent le codec x26Endgame. Ils peuvent être extraits de disquesBD25 ou BD50 (ou de disques UHD Blu-ray à des résolutions plus élevées). LesBDRips proviennent d’un disque Blu-ray et sont codés à une résolution inférieure àcelle de sa source (c’est-à-dire 1080p à 720p / 576p / Endgame80p). Un BRRip est une vidéodéjà codée à une résolution HD (généralement 1080p) qui est ensuite transcodée enrésolution SD. RegarderJohn Ohana ou le trésor caché – Movie BD / BRRip en résolutionDVDRip est plus esthétique, peu importe, car l’encodage provient d’une source demeilleure qualité. Les BRRips sont uniquement d’une résolution HD à une résolutionSD, tandis que les BDRips peuvent aller de 2160p à 1080p, etc. tant qu’ils ont unerésolution inférieure du disque source. RegarderSpider-Ohana ou le trésor caché – n : Far from
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frankienereau · 4 years
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Ich bin ein Düsseldorfer !
Je suis né pendant la construction du mur de Berlin. Cette mesquine abomination que les moins de 20 ans ne semblent pas connaître. La deuxième guerre mondiale et son lot d'horreurs ne s'étaient tus que depuis 16 ans… Comme cela semble irréel aujourd'hui. L'Allemagne n'était pas au ban des nations, non, mais elle se reconstruisait lentement, avec une force de caractère qui puisait dans une forme de déni de ce qui s'était passé. Comment faire autrement quand la culpabilité gronde au fond de soi. Regarder devant, vers un ailleurs qui gomme les cauchemars.
Début des années 70. La bande son de ces années d'enfance est primordiale. Elle participe d'une certaine forme d'émancipation vis-à-vis de la génération précédente. Car en France aussi, on veut éliminer les scories du passé musical. L'explosion du rock américain a un peu fait long feu, ici. Mais la pop anglaise des années 60 et la vague « Salut les Copains" a redistribué les cartes. La chanson « à la papa" fait moins recette que le vison yéyé. Et comme tout va vite, la pop, le rock brûlent tout sur leur passage. Gainsbourg, Ferré rejoignent les jeunes. Mais les nouvelles tendances viennent toujours d'Angleterre et des Etats-Unis. Les créateurs de mode et de sons (seul le cinéma semble résister à cette malédiction) sont anglo-saxons et leurs musiques viennent en grande partie du blues.
Issu d'une famille qui baigne dans la musique classique, je laisse mes oreilles happer les sons de la radio depuis mon plus jeune âge. Mon père a toujours une radio branchée dans une pièce et entre deux bulletins d'information, de météo et des résultats du tiercé, je guette les bribes musicales qui s'échappent de la petite machine magique sur laquelle sont gravées les mots « Pizon Bros". Je commencerai a vouer un attachement tout en douceur à Joe Dassin (première période folk) et à Sidney Bechet. A l'arrivée au collège, les choses s'accélèrent : Shocking Blue, Martin Circus, les Beatles (oui, ils se sont séparés un an auparavant mais leur empreinte ne cesse de grandir), Norman Greenbaum, le 45t est encore roi. Je n'ai pas encore d'électrophone et pas de budget pour les disques, je joue juste les 45t de mes parents sur le vieux Dynavox. Dont un superbe 45t de Dean and Jean, délicieusement doo-wop, que je m'amuse à passer en 78t pour le faire sonner comme Donald et Picsou.
Et puis il y a « Pop Corn", cet étrange et fascinant morceau instrumental du groupe ( ?) Hot Butter, qui résonne en boucle partout. Une cascade de notes issue de cet étrange instrument que l'on nomme synthétiseur. Un son électronique, qui ne ressemble à rien d'autre, qui ne semble pas venir d'Amérique ou d'Angleterre mais d'ailleurs. Un succès colossal. Sans lendemain. On oublie.
Ou pas. 1974. Trois ans ont passé, une sorte d'éternité à 13 ans. Les choses changent en cette année, ce n'est pas la révolution mais il semble que l'ancien monde de nos parents se fissure. Le président meurt, la croissance s'arrête, les esprits se libèrent, des voix s'élèvent, tout cela est confus dans mon esprit, mais on dirait que le monde semble s'accorder un peu plus à mon esprit qui s'ouvre. La radio est toujours là, en fond sonore, et un jour, un étrange son en sort. Une mélodie simple, posée sur quatre accords qui défilent comme le son des voitures quand elles nous doublent sur la route (nous roulons en Citroën Ami 6 break…). Quand le morceau change de tempo, le présentateur prend la parole (je n'apprendrai que bien plus tard que le morceau durait vingt-deux minutes) et présente le groupe dont je ne comprends pas le nom (et encore moins le titre).
La déception passée, j'essaie de me remémorer le motif mélodique et la boucle rythmique. Curieusement, elle me revient en tête sans effort et je vais m'employer, pendant le reste de la journée, à entretenir ce souvenir, recréant d'une certaine façon, la longue plage que constitue « Autobahn" sur l'album du même nom de Kraftwerk. Ce morceau va rester ancré dans mon esprit à tout jamais, étirant son harmonieuse suite d'accords évoquant le déplacement d'une voiture sur l’autoroute dans les limbes de mon cerveau. Ce synthétiseur lancinant, à mille lieues de celui, primesautier, de « Pop Corn", va éveiller un tout nouvel intérêt pour des sons différents, qui ne sont plus hérités du sacro-saint trio guitare/basse/batterie mais de nouveaux instruments fascinants, qui semblent prêts à marquer nos esprits avides de science-fiction, dans ce monde où la machine à rêver semble alors commencer a s'enrayer.
Le morceau passe assez peu sur les ondes, et le fait que le groupe soit allemand n'est pas mis en avant. La scène allemande de l'époque (les Can, Neu, Tangerine Dream, Popol Vuh, Klaus Schulze…), si célébrée aujourd'hui n'est ni structurée, ni reconnue (l'appellation Krautrock inventée par la presse musicale anglaise est d'ailleurs profondément péjorative, alors). L'identité du groupe n'est pas encore définie dans les media. Il faudra attendre deux ans et le phénoménal succès de « Radio Activity", pour que commence réellement à se dessiner l'image du quatuor élégant, raffiné et déjà un peu robotique. Le morceau, qui devient même un générique sur Europe 1 est pourtant un véritable moteur d'angoisse avec son entame en morse et sa montée mélodique suivie d'un chuintement mécanique. Le texte n'est pas plus rassurant, prédisant que le radioactivité pourrait signer la fin de l'humanité. Entre C. Jérôme, les Rubettes et Captain and Tennille, le tube de l'été détonnait quelque peu. Et cette fois-ci, Ralf Hütter et Florian Schneider, les deux têtes pensantes du groupe, apparurent dans les media. Ce fut un choc et une révélation. Un choc car ils étaient aux antipodes des vedettes du rock, même les plus étonnantes comme David Bowie ou Bryan Ferry. Chez les musiciens allemands, l'attitude, le maintien, le discours semblaient tout droit sortis d'un manuel de bonnes manières. Ils s'efforçaient de parler plusieurs langues, ce qui participait à cette idée que les racines du groupe étaient plus européennes que strictement allemandes. Originaires de Düsseldorf, ils étaient proches à la fois de l'aspect industriel qui leur valait leur nom et des racines romantiques de l'Allemagne Rhénane. Les titres « Antenna", « Air Waves" et « Ohm Sweet Ohm » combinaient également ces deux aspects : raideur expérimentale et douceur mélodique.
Alors que les ondes se remplissent de sons futuristes (Vangelis et son « Pulstar », Jean-Michel Jarre et son « Oxygène », Space Art et son « Onyx »), le coup de maitre que fut l'album suivant, « Trans Europa Express" résonne encore aujourd'hui comme un manifeste. De « Europa Endlos" au morceau-titre, Kraftwerk s'affranchit de sa germanitude pour s'inscrire dans une revendication européenne (à l'époque, pour rappel, la CEE ne comptait que 8 pays). Mais le groupe sait également rappeler ses racines allemandes en intitulant un morceau « Franz Schubert" (avec une certaine dérision même si le motif en arpèges peut rappeler le compositeur du Notturno). La pochette est également révélatrice. Le groupe apparait en photo deux fois, dans un portrait en noir et blanc qui rappelle les photos de classe en studio. Florian Schneider y apparaît comme un homme moderne, en costume trois-pièces, un peu raide. Mais son visage, et notamment son regard, trahit une forme de malaise interne, comme une forme de mélancolie mahlérienne, le cœur fébrile derrière la façade héraldique Une deuxième photo accentue encore cette impression : le groupe y pose assis autour d'une table (que l'on imagine sur la terrasse d'une auberge bavaroise) sur fond de ciel paradisiaque, le tout colorisé comme ces cartes postales G d'O des années 60 qui travestissaient la réalité sous des atours pastels. Cette photo ramène le groupe à une posture très germanique et nostalgique qui contredit l'aspect avant-gardiste de leur musique mais qui rappelle pour la dernière fois dans leur iconographie leur ancrage humain. La cassette que je possède à l'époque reprend le visuel du 45t, un fond noir avec le train à grande vitesse en motif argenté en son centre, prêt à jaillir de la boîte tant son aspect futuriste nous ramène encore à la science fiction, à l'esthétique de « Radioactivity", le groupe disparaissant au profit d'une image futuriste, cette fois-ci moins angoissante. Cette angoisse sourde qui est pourtant aussi présente dans cet album avec « Hall of Mirrors" (« Spiegelsaal" en allemand) et surtout « Les Mannequins", version chantée en français de l'original allemand « Schaufensterpuppen". Cette histoire de mannequins s'échappant de leur vitrine et déambulant dans la ville distille un malaise palpable, par son écriture cinématographique et sa scansion volontairement saccadée à outrance. Les radios s'en emparent et un 45t est édité, qui dut tomber dans l'oreille d'un certain Daniel Darc, le « Mannekin » des Taxi Girl n'étant pas sans rappeler son illustre prédécesseur.
Mais ces « Mannequins" de Kraftwerk annoncent aussi un virage dans leur carrière. Cette image d'une forme d'homme-robot va devenir centrale dans la communication du groupe à partir de l'album suivant, « The Man Machine". Depuis la pochette au visuel propagandiste arborant quatre silhouettes de profil qui n'ont plus d'humain que leurs traits différenciés, jusqu'aux titres eux-mêmes (« The Robots", « The Model", « The Man Machine", « Metropolis"), Kraftwerk semble effacer toute trace du « romantisme" qui sourdait encore dans son inspiration et dans certains aspects de sa musique jusqu'alors. Une musique dont la rythmique va elle aussi se radicaliser. On est en pleine ère disco et les membres du groupe, Florian Schneider, Ralf Hútter et Karl Bartos notamment, fréquentent les clubs et boites où cette musique fait fureur en Allemagne. Le musicien et producteur Giorgio Moroder, grand manipulateur de musique électronique dans ses studios Musicland de Munich, a signé coup sur coup l'album à succès « From Here To Eternity" (dont le morceau titre n'est pas sans rappeler « Trans Europa Express") puis un véritable coup de maitre, le « I Feel Love" de Donna Summer, qui propulse la musique disco au firmament des pistes de danse et de la musique robotique. Avec « The Robots" et « The Model", Kraftwerk polit deux joyaux pour les pistes de danse, qui deviendront des références pour toute la scène électro actuelle. Qui se réclame souvent de cet aspect robotique de la musique du groupe, qui pousse alors l’outrance mécanique jusqu'à se faire remplacer par de véritables robots sur scène. La déshumanisation poussée à l'extrême qui enthousiasme autant qu'elle effraie. Et qui semble curieusement prendre le pas sur l'inspiration du groupe qui signe avec l'album suivant, « Computer World" (1981), un manifeste désincarné dont la musique franchit encore un pas vers le tout digital glacial et dont ma thématique est presque en retard sur la science-fiction littéraire. En 1980, je passe pourtant un mois à Frankfurt où je travaille pour une entreprise afin de parfaire mon allemand. La ville vient d'inaugurer un métro flambant neuf et à chaque fois que je l'emprunte me vient en tête une petite mélodie synthétique dont le texte fait rimer « Frankfurt-am-Main" avec « U-Bahn" !
Mais c'est à partir de là que ma route s'éloigne du groupe, ne la recroisant guère qu'à l'occasion de la sortie du 45t « Tour de France" en 1983. Je pratique intensément la petite reine et me reconnais dans ce titre où l'humain retrouve ses droits à travers l'échantillonnage d'une respiration.
Le groupe se met alors en sommeil jusqu'à la sortie de l'album compilation « The Mix" en 1991. Une affaire un peu laborieuse, constituée de nouveaux enregistrements hyper-digitaux de leurs meilleurs morceaux. Là encore, l'homme-robot est mis en avant sur la pochette et c'est la combinaison de technologie et de l'âme humaine qui me manque le plus. A force de se désincarner, le groupe a perdu de cette fragilité héritée du « Sturm und Drang" qui distillait cette petite hésitation dans la machine, ce petit accroc humain qui donnait à leur musique la force d'une partition mécanique PRESQUE parfaite.
Florian Schneider a quitté le groupe en 2008, alors que celui-ci enchaînait des tournées sold-out qui enthousiasmaient les foules. Sa silhouette remplacée par une autre, il pouvait enfin se retirer du monde. On l'imagine confortablement installé dans un fauteuil, dans un costume trois-pièces, le front toujours haut, le sourcil épais, la bouche pincée dans cette moue énigmatique qu'il arbore sur la pochette de « Trans Europa Express", un livre à la main. Ou une liseuse ? Allez savoir. La glorieuse incertitude sans fin du sphinx Florian.
Crédit photo : Günther Fröhling
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lefeusacre-editions · 4 years
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BOOKHOUSE BOY #56 | Nicolas TELLOP, homme de lettres et de cœur
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Les hommes-orchestres sont parmi nous, et ils ressemblent davantage à des Bob Dylan slalomant sur les routes harnachés de microphones, guitares basses et harmonicas, qu’à des businessmen affairés à rentabiliser leurs ubiquités. S’il est une seule chose que l’homme-orchestre Nicolas Tellop tente de rentabiliser au quotidien, ce sont ses émotions. Non pas en grattant du beurre et du narcissisme à chaque prise de plume ou de parole - il sait qu’un auteur est voué à faire gagner à sa passion ce qu’il perd en heures de solitude et en cheveux gris. Non, non. Plutôt en les communiquant avec empathie à ses contemporains, à la manière d’une télétransmission amoureuse : n’est rentable que ce qui peut être transmis. Essayiste, rédacteur en chef, enseignant, directeur de collection, chroniqueur et j’en passe, Nicolas Tellop est l’écrivain stéréophonique, celui qui vous fait aimer d’un même battement du cœur Snoopy et Pierre Salvadori, Astro Boy et Kurt Vonnegut, Jr ., Franquin et les courses-poursuites cinématographiques, Highway 61 revisited et Venise. Lien secret mais vivant entre des comités de rédaction et des éditeurs qu’a priori rien ne rapprochait, il trame au sein de la pensée pop-culturelle francophone quelque chose de neuf et d’ancestral en même temps, une chanson de geste composée tout à la fois pour les nonnes, les cow-boys, les savants fous et les enfants.
“C’est parce qu’en le lisant j’ai trouvé du talent à Israel qu’il est devenu mon ami. Ce n’est pas parce qu’il est mon ami que je lui trouve du talent.“, écrivait Claude Roy à la toute fin de sa préface à la traduction du Premier d’Israel Horovitz. Lisez les livres de Nicolas Tellop, il deviendra sans doute votre ami.
| Que trouve-t-on comme nouvelles acquisitions dans ​ta bibliothèque ?
Soyons sérieux quelques instants : si ce sont des nouvelles acquisitions, elles ne sont pas encore dans ma bibliothèque. Qui range ses livres dans sa bibliothèque sitôt qu’il les a achetés ? Il existe des gens pervers au point de faire des trucs pareils ? Je préfère l’ignorer. Donc, si la question s’entend en termes de derniers achats, je dirais Let’s talk about love – pourquoi les autres ont-ils si mauvais goût de Carl Wilson, Normal de Warren Ellis et Nymphes de Giorgio Agamben. S’il fallait parler des derniers livres à avoir été lus et à avoir rejoint ma bibliothèque, je dirais La Caverne aux Idées de José Carlos Somoza, Une Année sans Cthulhu de Thierry Smolderen et Alexandre Clérisse et L’Enfer et le Paradis de Charles Asselineau.
| Quels livres marquants a​s-tu découver​​t​s ​ à l'adolescence et que ​tu possèdes toujours ?  
Mon adolescence, c’est une espèce de trou noir. Je ne sais plus ce que je lisais à l’époque. J’étais trop occupé à survivre. En fait, j’étais resté attaché à mes lectures préadolescentes, que je me contentais d’entretenir. Je relisais avec application les mêmes bandes dessinées : Tintin, Blake et Mortimer, Spirou, Astérix et tous les titres qui gravitaient autour des éditions Dupuis… Elles possédaient – que dis-je : elles possèdent – des vertus hautement consolatrices. C’est aussi à cette époque que j’ai découvert Jérôme K. Jérôme Bloche, Théodore Poussin ou encore Soda, des titres qui n’avaient pas complétement rompu avec le monde de l’enfance mais qui possédait un ton plus grave, plus dur. Dans l’enfance, je m’étais aussi plongé dans Jules Verne, Sir Arthur Conan Doyle, Agatha Christie, S.A. Steeman, Pierre Véry, Edgar Allan Poe, Oscar Wilde, Robert Louis Stevenson, Edgar Wallace… J’étais passionné par les énigmes et l’aventure. À ce titre un auteur en appelait souvent un autre. Avant tout ça, j’avais bien sûr commencé par Le Club des Cinq d’Enid Blyton ainsi que sa série des Mystères, en plus de quelques éditions allégées de grands classiques par La Bibliothèque Verte. Mais il n’a pas fallu longtemps aux livres de grands, avec leurs titres mystérieux, pour qu’ils exercent sur moi une fascination à laquelle il ne m’était pas possible de résister. Histoires extraordinaires, Le Fantôme de Canterville, L’Île au trésor, L’Assassin habite au 21, Les Disparus de Saint-Agil… C’était et ce sont encore des sésames incomparables pour pénétrer le monde de l’imaginaire. Rien que le nom d’un auteur suffisait à me transporter ailleurs. Jérôme K. Jérôme, quel nom ! Trois Hommes dans un bateau : quelle merveille…  Ce n’était pas toujours facile à lire parce que j’étais très jeune. Je me souviens avoir eu un mal fou avec Le Tour du monde en 80 Jours. J’étais en CE1 ou en CE2. J’ai dû le recommencer plusieurs fois et cela m’a pris un temps considérable. Au collège, j’ai développé une passion pour Voltaire et le Siècle des Lumières. Je lisais ses contes philosophiques et j’étais mort de rire. Je n’avais donc pas beaucoup d’amis en dehors de mes livres. En tout cas, aujourd’hui, je garde auprès de mon cœur bien plus de Jérôme K. Jérôme que de Voltaire.
| Sans égard pour sa qualité, lequel de tes livres possède la plus grande valeur sentimentale, et pourquoi ?
Le Manuel Géant des Castors Juniors, parce que tout ce qu’il y a d’utile à savoir est là-dedans.
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| Lequel de​ te​s livres prêter​ais-​tu à quelqu'un qui te plaît ?  
Aucun. C’est courir le risque que ce quelqu’un-qui-me-plaît ne me le rende pas. Je préfère lui en offrir un. Généralement, ça ne coûte pas cher et ça fait partie des meilleurs cadeaux qui puissent se faire. Après, cette stratégie de séduction a-t-elle jamais fonctionné ailleurs que dans les films ou les romans ? J’ai offert L’Invention de Morel d’Adolfo Bioy Casares à la jeune fille qui n’était pas encore, alors, ma compagne. Ai-je gagné son cœur grâce à ce monument des lettres sud-américaines ? Certainement pas – elle ne l’a toujours pas lu. Un conseil, donc, à tous les néoromantiques : laissez tomber ces techniques fantaisistes inventées par un libraire au bout du rouleau, et entraînez-vous à faire des gâteaux au chocolat.
| Que trouve-t-on comme livres honteux dans ​te​s rayonnages ?  
Aucun, ce sont tous mes copains et ils ne me font pas honte. Bon, par contre, je dois avouer posséder un petit livre d’Alain Finkielkraut, publié par l’École Polytechnique : Philosophie et modernité. Il date du début des années 2000 : il n’était pas encore devenu complétement fou, je crois. En tout cas, ça m’avait intéressé et je l’avais trouvé bien utile. Toujours est-il que, si je le possède encore, il n’a pas le droit d’être dans ma bibliothèque. En plus, il est tout moche – je parle du livre.
| Quels livres a​s​-​t​u hérité de ​te​s proches ?  
Beaucoup de bandes dessinées, les classiques de la francobelge orientés plutôt « gros nez », mais aussi le plus gros de ma collection des Bibliothèque Rose et Verte. Il y a là-dedans des livres merveilleux. Les Trois Jeunes Détectives, de Robert Arthur Jr., alliés à Alfred Hitchcock, me passionnaient. Le Trio de la Tamise de Paul Dorval également : Dave, Ted et Cathy (sans oublier le chien Watson) s’apparentaient parfois à des détectives de l’étrange. Bref, même s’il m’est arrivé d’en compléter la collection, il s’agit de livres qui étaient à la maison avant moi.
| Le livre que ​tu as le plus lu et relu ?  
Ce serait une bande dessinée, sans doute. Il m’arrivait très souvent de les lire plusieurs fois d’affilée. Je n’ai pas tenu les comptes, mais le record doit être détenu par un Tintin, sans doute L’Île Noire, Le Sceptre d’Ottokar ou le diptyque Le Secret de la Licorne – Le Trésor de Rackham le Rouge. Sinon, il y a Le Réel et son double de Clément Rosset, que j’ai usé et que j’use encore. Et sans doute Sucre de Pastèque de Richard Brautigan.
| Le livre qui suscite en ​toi des envies symboliques d'autodafé ?  
Au lycée, j’aurais dit Balzac, parce que je le mettais dans le même sac que les réalistes que je ne supportais pas. Je n’arrivais pas à concevoir qu’un roman puisse avoir d’autre vocation qu’exalter l’imaginaire. Et puis, peut-être à 20 ans, à partir de ma lecture des Illusions Perdues, j’ai dévoré plein de Balzac. Happy end : je me suis rendu compte que c’est du génie pur. Si j’avais tout fichu au feu, comment aurais-je pu prendre conscience de mon erreur ? Je ne livrerais aucun livre à l’autodafé. Du moins, c’est ma réponse politiquement correcte.
| On ​te propose de vivre éternellement dans un roman de ton choix, oui, mais lequel ?  
Pas un roman, mais une bande dessinée : Il y a un sorcier à Champignac, de Franquin. Tout y est tellement beau que ça fait presque mal à lire. La bande dessinée de l’après-guerre incarne les lieux comme aucun autre récit n’est capable de le faire. Il y a là une puissance qui est folle. Dans L’anti-atome, j’essaie d’expliquer ce mystère que détient le monde miniature des cases. La vie y semble possible comme nulle part ailleurs. Sinon, ce serait sans doute un roman qui se passerait dans la campagne anglaise, comme par exemple La Maison près du cimetière de Sheridan Le Fanu.
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| Quel est l'incunable que ​tu rêves de posséder, ton Saint Graal bibliophilique ?  
Longtemps, j’aurais répondu Léonard ou les délices d’un bouquiniste de Pierre Véry, mais une récente réédition m’a enfin permis d’assouvir ce souhait.
| Au bout d'une vie de lecture, et s'il n'en restait qu'un ?
On verra.
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Propos recueillis quelque part en 2019.
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