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La main (2023)

Titre original: Talk to Me Date de sortie: 2023-07-24|(95 min) Genres: Horreur,Thriller Qualités: 720p – 1080p

Synopsis:Lorsqu'un groupe d'amis découvre comment conjurer les esprits à l'aide d'une mystérieuse main hantée, ils deviennent accros à ce nouveau frisson, et l’expérience fait le tour des réseaux sociaux. Une seule règle à respecter : ils ne doivent pas tenir la main plus de 90 secondes. Lorsque l’un d’entre eux l’enfreint, ils vont être rattrapés par les esprits, les obligeant à choisir : à qui se fier, aux morts ou aux vivants ?

La main is a 2023 American superhero film based on the Marvel Comics character Black Panther. Produced by Marvel Studios and distributed by Walt Disney Studios Motion Pictures, it is the sequel to Black Panther (2018) and the 30th film in the Marvel Cinematic Universe (MCU). Directed by Ryan Coogler, who co-wrote the screenplay with Joe Robert Cole, the film stars Letitia Wright, Lupita Nyong'o, Danai Gurira, Winston Duke, Florence Kasumba, Dominique Thorne, Michaela Coel, Tenoch Huerta, Martin Freeman, and Angela Bassett. In the film, the leaders of Wakanda fight to protect their nation in the wake of King T'Challa's death.

Ideas for a sequel began after the release of Black Panther in February 2018. Coogler negotiated to return as director in the following months, and Marvel Studios officially confirmed the sequel's development in mid-2019. Plans for the film changed in August 2020 when Black Panther star Chadwick Boseman died from colon cancer, with Marvel choosing not to recast his role of T'Challa. Other main cast members from the first film were confirmed to return by that November, and the title was announced in May 2021. Production initially took place from late June to early November 2021, in Atlanta and Brunswick, Georgia, as well as around Massachusetts, before a hiatus to allow Wright to recover from an injury sustained during filming. Production resumed by mid-January 2023 and wrapped in late March in Puerto Rico.

La main premiered at the El Capitan Theatre and the Dolby Theatre in Hollywood on October 26, 2023, and was released in the United States on November 11, 2023, as the final film in Phase Four of the MCU. The film received positive reviews from critics, who praised the cast's performances (particularly Wright's, Huerta's, and Bassett's), emotional weight, Coogler's direction, action sequences, musical score, and tribute to Boseman.

Sortie du film La main : Date de sortie?

L’intrigue du film La main

Queen Ramonda, Shuri, M’Baku, Okoye and the Dora Milaje fight to protect their nation from intervening world powers in the wake of King T’Challa’s death. As the Wakandans strive to embrace their next chapter, the heroes must band together with the help of War Dog Nakia and Everett Ross and forge a new path for the kingdom of Wakanda.

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22 mars 2023 en salle / Action De Chad Stahelski Par Michael Finch, Shay Hatten Avec Keanu Reeves, Donnie Yen, Bill Skarsgård Titre original John Wick: Chapter 4

SYNOPSIS

La nuit du 5 au 6 décembre 1986, Malik Oussekine est mort à la suite d’une intervention de la police, alors que Paris était secoué par des manifestations estudiantines contre une nouvelle réforme de l’éducation. Le ministère de l’intérieur est d’autant plus enclin à étouffer cette affaire, qu’un autre français d’origine algérienne a été tué la même nuit par un officier de police.

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Dans les premiers instants de la nouvelle comédie spéciale de Netflix Death to 2020, Samuel L.Jackson, jouant un journaliste vétéran blasé nommé Dash Bracket, demande aux cinéastes de fiction à quoi sert leur documentaire de fiction.

Les intervieweurs hors écran ne répondent jamais à la question, et ce manque de clarté résume cette parodie d'une heure. Un faux documentaire «année en revue» de Charlie Brooker, alias le gars du Black Mirror, Death to 2020 est une expérience qui ne se justifie jamais.

Parsemé de stars et plein de séquences d'archives par cœur, Death to 2020 est agressivement fade, comme si quelque chose à propos de 2020 avait défié les tentatives de Brooker de le parodier. Ce n’est pas comme s’il ne faisait pas l’effort: la satire remplie de sketchs compte près de 20 écrivains. Il n’y a pas 20 blagues dans cette rétrospective, cependant, et ce n’est pas parce que le sujet n’est pas plein d’absurdité.

Mais contrairement aux efforts comiques plus astucieux de Brooker - par exemple, la satire acerbe de l'épisode de la saison quatre inspiré de Gamergate de Black Mirror, «USS Callister» - cette sortie est complètement édentée. La plupart des 67 minutes de l'émission nous disent simplement ce que nous savons déjà, car nous venons de le vivre. La prémisse de Death to 2020 semble être que le public aimera revivre l'année, tout comme les fans de Rifftrax aiment se soumettre à de mauvais films. Mais les horreurs de 2020 ne sont pas exactement des tirages au box-office ou du matériel incontournable - et sans commentaire de qualité pour animer le voyage dans le passé, le film est une heure fastidieuse perdue.

Depuis le début, Death to 2020 n'est manifestement pas drôle. Hugh Grant enfile une perruque blonde et joue un historien qui se moque des politiciens. Tracey Ullman enfile une perruque blonde et joue la reine, qui se moque de Meghan Markle. Il y a une parodie d'Elon Musk nommée Bark Multiverse (Kumail Nanjiani), qui construit un bunker de survie, car bien sûr il y en a et bien sûr qu'il le fait. Un scientifique nommé Pyrex Flask (Samson Kayo) laisse tomber l'humour le plus doux qu'on puisse imaginer à propos de Covid-19 et de la pandémie.

Tout cela est incroyablement banal et sans inspiration. La chose la plus stricte que le documentaire ait à dire sur les républicains qui soutiennent Trump est - attendez-le - ils créent leur propre réalité. La chose la plus stricte que l'on puisse trouver pour s'attaquer à Joe Biden est - attendez-le - il est vraiment vieux. Je parie que vous pouvez déjà deviner exactement ce que les écrivains pensent de la culture d'annulation. C'est vrai: ce ne sont pas des fans!

Ce type d'humour de la peinture par numéros ne se prête pas vraiment à s'attaquer aux aspects plus profonds de la guerre culturelle, tels que la crise épistémique en cours ou les manifestations contre la brutalité policière, mais Brooker et sa compagnie se sont bien sûr donné la mission de soulever ces questions aussi. Tout cela est au service de la peinture du coronavirus comme un cavalier apocalyptique quatre en un, nous pesant sur notre péché de passer trop de temps à nous crier dessus sur Twitter.

Brooker adore embrocher des types narcissiques et extrêmement en ligne pour être trop accro aux médias sociaux. Mais si ce sermon semblait vide quand il était habillé avec les vêtements plus chics de Black Mirror, ici, où il est présenté comme le principal plat à emporter du faux documentaire, il se révèle tout simplement insipide et sans originalité. Peut-être que la pire offense absolue de Death to 2020 est qu'elle gaspille le père adolescent de Stranger Things, Joe Keery, sur ses blagues stupides sur les réseaux sociaux, ternissant ses antécédents jusqu'ici sans faille. Nous comprenons, Charlie Brooker: les YouTubers et les influenceurs sont tous superficiels et obsédés par l'influence, et 2008 veut que ses punchlines reviennent. Merci, ensuite.

Brooker réalise quelque chose qui ressemble à un commentaire significatif sur l'année seulement lorsque lui et le reste des écrivains arrêtent de faire des blagues fatiguées et permettent à l'absurdité des images de l'année de parler d'elles-mêmes. Par exemple, pendant un clip d'une manifestation anti-Covid-19, un patriote potentiel tient une pancarte qui proclame: «Le vaccin est dans le wagon couvert» - une référence apparente à l'Holocauste. Ce moment n'est pas abordé par le film, car il est presque impossible à résoudre. Comment répondez-vous à ce niveau de déconnexion de la réalité?

Malheureusement pour nous, ces moments de commentaire silencieux sont beaucoup trop rares. Brooker et son armée d'écrivains couvrent tous les temps forts des 14 derniers mois - sinon de manière exhaustive, puis de manière épuisée (et épuisante). Le tristement célèbre débat présidentiel américain? «Une bataille de rap dans une maison pour personnes âgées.» Quant à Trump, il aurait peut-être été moins sensible à Covid «si quelqu'un lui disait que les cagoules blanches protègent contre le virus».

Je le reprend. La pire offense de Death jusqu'en 2020 n'est pas de gaspiller autant de membres de la distribution étoilés, de Leslie Jones à Lisa Kudrow. C'est que, malgré tout ce qu'il veut peindre les médias sociaux comme l'ennemi, chaque morceau de son humour ressemble à une répétition des médias sociaux. C’est comme si les auteurs d’humour recherchaient sur Twitter les tweets «top» générés par algorithme sur chacun des sujets qui leur ont été assignés, griffonnaient tout ce qui contenait plus de 1 500 mentions J'aime et l’appelaient par jour.

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Hawkeye (série télévisée)

Cet article est une ébauche concernant une série télévisée américaine.

Cet article ou cette section contient des informations sur une série télévisée en cours de production, programmée ou prévue.

Le texte est susceptible de contenir des informations spéculatives et son contenu peut être nettement modifié au fur et à mesure de l’avancement de la série et des informations disponibles s’y rapportant.

[La dernière modification de cette page a été faite le 20 décembre 2021 à 11h:45]

Hawkeye est une mini-série créée par Jonathan Igla pour le service de streaming Disney+, basée sur le personnage de Marvel Comics du même nom. Il se déroule dans l'Univers cinématographique Marvel (MCU), partageant la continuité avec les films de la franchise. La série se déroule après les événements du film Avengers: Endgame (2019), dans le cadre de la phase IV du MCU, et présente le nouveau super-héros Kate Bishop/Hawkeye.

Les deux premiers épisodes de la série sont sortis le 24 novembre 2021 et le reste de la série est diffusée au rythme d'un épisode par semaine. Une série dérivée axée sur le personnage de Maya Lopez / Echo, joué par Alaqua Cox (en) est en cours de développement.

Ayant pris sa retraite des Avengers après leur victoire finale sur Thanos, Clint Barton, alias Hawkeye, s'apprête à passer Noël avec sa famille ; mais tous ses plans se retrouvent bouleversés quand Kate Bishop, jeune archère et justicière néophyte, parvient à récupérer un de ses anciens costumes et se retrouve avec tous les ennemis de l'ex-Avenger sur le dos, notamment le « gang des survêts » dirigé par Maya Lopez/Echo qui cherche à venger la mort de son père des mains de Ronin, mais aussi la Veuve noire Yelena Belova que la comtesse Valentina de Fontaine a lancé aux trousses de Barton, en lui indiquant faussement qu'il était le responsable de la mort de Natasha Romanoff (voire la séquence post-générique du film Black Widow).

Genèse et développement

En septembre 2018, Marvel Studios développait plusieurs mini-séries pour le service de streaming Disney+, centrées sur des personnages de « deuxième niveau » des films de l'Univers cinématographique Marvel (MCU) qui n'avaient ou étaient peu susceptibles de jouer dans leurs propres films.

En avril 2019, le développement d'une série d'aventures mettant en vedette Jeremy Renner dans le rôle qu'il tenait dans les films du MCU Clint Barton / Hawkeye avait commencé. L'intrigue devait suivre Barton alors qu'il lègue le manteau de Hawkeye à Kate Bishop. Kevin Feige doit produire la série, pour une saison de six à huit épisodes.

Renner avait initialement signé pour jouer dans un long métrage autonome axé sur son personnage, mais a accepté de jouer dans une série à la place après que Feige a décidé de redévelopper le projet pour Disney+].

Feige a officiellement annoncé Hawkeye au San Diego Comic-Con en juillet.

En septembre 2019, Jonathan Igla est annoncé comme scénariste en chef de la série. Amy Berg avait aussi été candidate au poste de showrunner.

En juillet 2020, Rhys Thomas a été embauché pour diriger un bloc d'épisodes pour la série et pour servir de producteur exécutif, avec le duo de réalisateurs Bert & Bertie embauché pour diriger un autre bloc. Borys Kit du Hollywood Reporter a estimé que l'embauche de ces directeurs a indiqué que la série pourrait avoir un « ton léger », étant donné le travail passé de chacun. Les budgets pour chaque épisode s'élevaient à 25 millions de dollars.

Katie Mathewson et Tanner Bean sont les scénaristes de la série

Lors de l'annonce officielle de la série, Kevin Feige et Jeremy Renner ont déclaré que la série suivrait Clint Barton / Hawkeye alors qu'il apprend à Kate Bishop à être un "super-héros sans super-pouvoirs", et explorerait davantage le temps de Barton en tant que justicier Ronin qui a été évoqué pour la première fois dans Avengers: Endgame en 2019

En octobre 2019, le producteur exécutif Trinh Tran a déclaré que la série explorerait le passé de Barton, et a confirmé que le manteau de Hawkeye serait passé à Kate Bishop. Hawkeye est influencé par la course de Matt Fraction avec le personnage dans les bandes dessinées.

La série présente Lucky the Pizza Dog, un golden retriever qui est un compagnon de Barton et Bishop, et des photos de tournage montrent Barton avec une prothèse auditive, indiquant que sa perte auditive serait explorée dans la série, adaptant l'arc narratif écrit par Matt Fraction en 2012 qui présentait à la fois Lucky et la perte auditive du personnage.

Avec l'annonce officielle de la série en juillet 2019, il a été confirmé que Jeremy Renner jouerait dans la série en tant que Clint Barton.

Début septembre 2019, Hailee Steinfeld s'était vue offrir le rôle de Kate Bishop, mais elle n'a signé le contrat qu'un mois plus tard. Le magazine américain Variety a indiqué que l'une des raisons à cela était une clause de non-concurrence dans son contrat avec Apple TV+ pour avoir joué dans la série Dickinson. Le magazine a estimé que Steinfeld serait en mesure de négocier cette clause, d'autant plus qu'aucune autre actrice n'avait été approchée pour le rôle de Bishop.

Interrogée sur son rôle dans la série peu de temps après, Steinfeld a déclaré que ce n'était «Ce n'est pas forcément quelque chose qui se passe».

Steinfeld a toutefois été confirmée dans le rôle de Bishop en décembre 2020, avec l'annonce de Vera Farmiga comme Eleanor Bishop (mère de Kate), Florence Pugh dans le rôle de Yelena Belova / Black Widow, Fra Fee dans le rôle de Kazi, Tony Dalton en Jack Duquesne, Alaqua Cox pour Maya Lopez / Echo, Zahn McClarnon pour William Lopez, et Brian d'Arcy James dans un rôle non divulgué. Pugh reprend son rôle du film Black Widow (2021).

Le tournage a commencé début décembre 2020 à New York, avec Rhys Thomas et Bert & Bertie à la réalisation, et Eric Steelberg en tant que directeur de la photographie.

La série est filmée sous le titre de travail "Anchor Point". Le tournage a eu lieu au centre-ville de Brooklyn, y compris à la station de métro Hoyt-Schermerhorn Streets, et à Manhattan à Washington Square Park, Midtown, Hell's Kitchen, East Village et le Lotte New York Palace Hotel. Les photos d'ensemble ont également indiqué que la série se produirait pendant la saison de Noël et présenterait une fête de Noël[24]. Le tournage supplémentaire a eu lieu aux Trilith Studios à Atlanta en Géorgie.

Le 22 février 2021, le tournage a commencé au centre-ville de Canton, en Géorgie, pendant une semaine, se poursuivant dans la région entre le 4 mars 2021 et le 5 mars 2021[25].

Le tournage s'est terminé le 21 avril 2021

Titre original et français : Hawkeye

Création : Jonathan Igla, d'après les personnages créés par Stan Lee et Don Heck

Réalisation : Rhys Thomas et Bert & Bertie

Scénario : Katie Mathewson et Tanner Bean

Direction artistique : Eric Steelberg

Costumes :

Musique originale : Christophe Beck

Casting :

Producteurs exécutifs : Trinh Tran

Société de production : Marvel Studios

Société de distribution : Disney Media Distribution

Budget : Environ 200 million de dollars

Diffuseur : Disney+

Pays d'origine : États-Unis

Langue d'origine : anglais

Format : couleur

Genres : super-héros

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[cinematografiacritica]

[Crítica] Liga da Justiça de Zack Snyder

Por Gustavo Mariano

Qualquer pessoa que acompanhou a indústria cinematográfica nos últimos anos ouviu falar, pelo menos uma vez, sobre o movimento #ReleaseTheSnyderCut (Libere o Corte de Snyder, em tradução livre). Com uma petição online, o movimento atingiu altíssimos patamares chegando até os astros de Liga da Justiça (2017) que apoiaram o lançamento de uma nova versão do filme. 

Toda essa agitação aconteceu devido aos inúmeros problemas de produção do longa de 2017. A infelicidade da Warner Bros. com a visão do diretor Zack Snyder, após O Homem de Aço (2013) e Batman vs Superman: A Origem da Justiça (2016), só aumentou com as gravações do filme da equipe da DC. O descontentamento chegou ao ponto do diretor ser afastado na pós-produção e substituído por Joss Whedon (Os Vingadores, 2012), que foi encarregado das refilmagens para adicionar um tom mais leve e mais humor. No fim, Liga da Justiça (2017) foi um fracasso de bilheteria e odiado pelo público. Dito isso, após três anos de campanha, os fãs insatisfeitos com o filme que chegou aos cinemas e o diretor Zack Snyder conseguiram, finalmente, que a Warner aceitasse finalizar o filme original em 2020, marcando seu lançamento para o ano seguinte no serviço de streaming HBO Max.

Liga da Justiça de Zack Snyder permaneceu com suas quatro horas de duração, e com liberdade quase total para o diretor terminar seu projeto; podendo até mesmo gravar novas cenas. O filme exacerba o trabalho de Snyder, abusando de todas as suas características; tanto as boas quanto as ruins. O filtro escuro, a dessaturação, o close-up e o slow motion estão presentes de forma contundente no longa, chegando, em alguns momentos, ao uso excessivo dessas técnicas. E é no excesso que os problemas se encontram. Várias cenas poderiam ser reduzidas ou retiradas na primeira metade do filme sem que atrapalhassem uma versão de três horas do longa. O slow motion está presente em lugares sem necessidade, parecendo apenas floreios do diretor. Tentando ser épico e grandioso, o filme às vezes prefere focar em momentos sem importância do que na história, trazendo um ritmo inconsistente para o roteiro na parte inicial. É nas primeiras horas que o público que não gosta ou não está familiarizado com o trabalho de Snyder pode largar o filme - justamente por conta desse excesso inicial. Há também algumas contradições com o que foi estabelecido no DCEU após 2017, principalmente com Aquaman (2018). Por isso, o filme funciona melhor como um universo à parte, ou no máximo, como conclusão do que hoje é conhecido como a Trilogia de Zack Snyder (O Homem de Aço, Batman vs Superman: A Origem da Justiça Edição Definitiva e agora Liga da Justiça).

Essa nova versão da Liga da Justiça claramente é melhor que a colcha de retalhos que estreou quatro anos atrás. Os filmes possuem a mesma premissa, entretanto, suas estruturas são completamente distintas. Bruce Wayne precisa reunir uma equipe de heróis para defender a Terra de uma invasão após a morte do Superman. Ben Affleck lidera o elenco com seu Batman inspirado pelos quadrinhos de Frank Miller, e forma uma equipe bem entrosada com Gal Gadot (Mulher-Maravilha), Ezra Miller (Flash), Jason Momoa (Aquaman) e Ray Fisher (Ciborgue). Desta forma, todos os atores estão bem, e nessa versão ganham mais camadas. Henry Cavill, o Supeman, não tem muito tempo de tela, contudo, o ator mantém a imponência do Homem de Aço com a gloriosa roupa preta.

O grande destaque dessa nova versão fica com o Ciborgue de Fisher. O ator foi uma das peças-chave para o lançamento da versão de Snyder. A história do herói foi quase inteiramente cortada em 2017, com Fisher acusando os produtores de racismo e atitudes inadequadas. Antes mesmo do lançamento do longa, o diretor comentou repetidas vezes que Victor Stone, o alter-ego do herói, era a alma da história. Assim, Ciborgue é o centro do filme com seu passado trágico e seu presente apoplético e melancólico. Este ano, percebemos o quanto foi perdido, em termos narrativos, no filme de 2017, já que a família Stone foi completamente removida do roteiro. A trama flui de maneira muito mais natural na Liga da Justiça de Zack Snyder do que no filme de Joss Whedon pelo simples fato de que os eventos que resultam na culminação do filme passam pela história do Ciborgue.

Apesar dos excessos e um roteiro inicialmente inconsistente, o épico de Zack Snyder consegue se mostrar uma grande história de super-heróis. Dividida em capítulos como uma graphic novel, o longa engrandece o panteão dos maiores personagens da DC Comics e oferece um competente desfecho para a tumultuada trajetória de Snyder no DCEU.

Lançamento: 18 de março de 2021

Direção: Zack Snyder

Roteiro: Chris Terrio

Produção: Warner Bros. e DC Films

IMDb: 8.1

Onde assistir: HBO Max

Imagem: Warner Bros. Pictures

#ação #crítica

[cruellaflim]

Les 10 films les plus incontournables de l'été, de 'Cruella' à 'Candyman'

Vin Diesel sauve le monde et conduit beaucoup trop vite (et un peu furieux), un super-héros Marvel combat des méchants (comme d'habitude) et quelques films d'horreur sont prêts à effrayer vos sandales. Tout comme un carnet de vaccination rempli, ce sont des vues bienvenues pour les cinéphiles.

Après la débâcle de 2020 due au COVID-19, la saison des films d'été est de retour, même si elle n'est peut-être pas exactement revenue à la normale. Pourtant, c'est beaucoup mieux que ce que nous étions il y a un an: les cinémas rouvrent à travers le pays, la capacité limitée par projection augmente et les films que les gens ne pouvaient pas attendre l'été dernier se mélangent aux grands films prévus pour 2021. Ajoutez à cela que les services de streaming sont désormais des joueurs aux heures de grande écoute (en particulier pour les familles avec des enfants qui n'ont pas été vaccinés), et il y a beaucoup à aimer et à voir d'ici la fête du Travail.

Voici les 10 films que vous devez absolument voir cet été.

Saison des films d'été: allons-nous en avoir un cette année? Oui, si nous sommes bons

Cruella

Vedettes: Emma Stone, Emma Thompson, Mark Strong

Réalisateur: Craig Gillespie

The skinny: La méchante Disney qui déteste les Dalmations, Cruella De Vil, obtient un prequel d'action en direct qui se déroule dans le punk-rock des années 1970 à Londres. Stone incarne la fashionista Estrella, une jeune fille avec un flair pour le design qui fait équipe avec deux autres faiseurs de méfaits et vise à abattre une baronne (Thompson).

Où regarder: dans les salles et sur Disney + le 28 mai.

Army of the Dead

Vedettes: Dave Bautista, Ella Purnell, Omari Hardwick, Ana De La

Reguera Réalisateur: Zack Snyder

Le maigre: Après qu'une épidémie de zombies ait transformé Las Vegas en zone de quarantaine, un groupe de mercenaires bien armés s'aventure dans ce qui reste de Sin City avec 32 heures pour voler 200 millions de dollars à un casino abandonné. Malheureusement, les résidents morts-vivants de l'endroit sont intelligents, rapides et (malheureusement pour nos héros) très organisés.

Où regarder: Dans les salles le 14 mai, sur Netflix le 21 mai.

Spiral

Vedettes: Chris Rock, Samuel L. Jackson, Max Minghella

Réalisateur: Darren Lynn Bousman

Le maigre: Dans le neuvième film de la franchise d'horreur "Saw", le détective Ezekiel Banks (Rock, également producteur exécutif), son père (Jackson) et un flic recrue (Minghella), enquêtent sur une série de meurtres macabres portant l'étrange familier. symbole du puzzle du cerveau de la fabrication de pièges.

Où regarder: Dans les salles le 14 mai.

A Quiet Place Part II

Vedettes: Emily Blunt, Millicent Simmonds, Cillian Murphy

Réalisateur: John Krasinski

Le maigre: La suite d'horreur reprend de la fin tragique du hit original de 2018, alors qu'une mère (Blunt) et ses deux enfants (Simmonds et Noah Jupe) s'aventurent dans le monde, essayent de garder le silence et d'éviter d'être attaqués par des vicieux. des monstres aveugles et découvrez de nouvelles menaces humaines.

Où regarder: Dans les salles le 28 mai.

F9

Vedettes: Vin Diesel, Michelle Rodriguez, John Cena

Réalisateur: Justin Lin

Le maigre: Dans la neuvième extravagance d'action "Fast and Furious", Dominic Toretto (Diesel) et son équipe accueillent le vieil ami Han (Sung Kang) - que tout le monde pensait mort - dans la famille tout en faisant face à une double menace: un retour hacker ennemi (Charlize Theron) et frère cadet tueur de Dom (Cena).

Où regarder: Dans les salles le 25 juin.

Black Widow

Vedettes: Scarlett Johansson, Florence Pugh, Rachel Weisz

Réalisateur: Cate Shortland

Le maigre: L'agent secret résident des Avengers, Natasha Romanoff (Johansson) obtient enfin son propre film de super-héros Marvel en solo. La nouvelle aventure trouve Black Widow face aux conséquences de son ancienne vie d'espionne, renouant avec sa «sœur» Yelena (Pugh) et s'attaquant au mystérieux supervillain Taskmaster.

Où regarder: dans les salles et sur Disney + le 9 juillet.

Space Jam: A New Legacy

Vedettes: LeBron James, Don Cheadle, Zendaya

Directeur: Malcolm D. Lee

The skinny: Un réoutillage de "Space Jam" de Michael Jordan en 1996, la nouvelle comédie familiale animée / live-action trouve James (comme lui-même) emmené dans un paysage numérique par une intelligence artificielle voyous (Cheadle). Pour s'échapper, le héros des cerceaux fait équipe avec la Tune Squad de Bugs Bunny pour claquer un groupe de stars du basket-ball monstrueusement puissantes.

Où regarder: Dans les salles et sur HBO Max le 16 juillet.

The Suicide Squad

Vedettes: Margot Robbie, Idris Elba, Viola Davis

Réalisateur: James Gunn

Le maigre: l'honcho du gouvernement Amanda Waller (Davis) envoie un groupe hétéroclite de super-vilains emprisonnés - y compris Harley Quinn (Robbie), Bloodsport (Elba) et Peacemaker (John Cena) - dans une mission insensée sur une île isolée qui implique des guérilleros, la jungle menaces et une étoile de mer géante.

Où regarder: dans les salles et sur HBO Max le 6 août.

Respect

Vedettes: Jennifer Hudson, Forest Whitaker, Marlon Wayans Réalisateur: Liesl Tommy

Le maigre: Le biopic musical raconte la vie d'Aretha Franklin (Hudson), la reine de la soul, depuis son enfance à Detroit en chantant dans l'église baptiste de son père (Whitaker) jusqu'aux années 1960 tout en se développant en tant qu'artiste, naviguant dans un drame interpersonnel et devenir une célébrité internationale. Où regarder: Dans les salles le 13 août.

Candyman

Vedettes: Yahya Abdul-Mateen II, Teyonah Parris, Colman Domingo

Directeur: Nia DaCosta

Le maigre: Utilisant le "Candyman" original de 1992 comme légende urbaine dans sa propre intrigue, la refonte de l'horreur produite par Jordan Peele suit un artiste de Chicago (Mateen) si intrigué par le mythe obsédant d'un tueur aux mains crochues qu'il devient une fontaine de besoin d'inspiration, même si elle fait un certain nombre sur sa santé mentale.

Où regarder: Dans les salles le 27 août.

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[universoe]

Os Melhores Filmes de 2020

Enfim, 2020 acabou. Como tudo o quê envolveu o ano passado, a minha (mais singela do que nunca) lista de melhores do ano também foi afetada pela pandemia que nos assolou e ainda nos assola. Afetada não só em sua finalização ao adotar a premiação do Oscar como parâmetro de início e término de um ano cinematográfico, mas também me afetou como um consumidor de filmes.

Cinema sempre foi algo que consumi "na rua". Em casa, as prioridades sempre foram outras: séries, livros e competições esportivas. Filmes eram vistos em menor quantidade e, em sua grande maioria, em revisões. Nunca que a tônica doméstica seriam filmes inéditos. Não em sua essência.

Daí, desde março de 2020, o Cinema virou um grande My French Film Festival (festival de cinema francês contemporâneo pioneiro na realização de mostras online. Realizado sempre em janeiro, teve sua 11ª edição esse ano). Com um detalhe: se nos cinemas os filmes se mantinham à nossa disposição durante o tempo que estivessem em cartaz, em casa (salvas algumas exceções) eles se acumulam em watchlists. Assim, sigo tentando conciliar páginas, episódios e longas nessa nova rotina, embora confesse que hábitos não são assim tão fáceis de se modificar.

Agora, deixando o chororô de lado, vamos falar sobre os meus favoritos da temporada. Ano atípico. Escolhas atípicas. Formato atípico. Regras atípicas. Explico a seguir:

--------

- Meu ano 2020 cinematográfico balizado sempre pelo Oscar se iniciou em 10 de fevereiro de 2020 e se estendeu até o longínquo dia 24 de abril de 2021. Pode ter durado mais de um ano no calendário, porém, hiatos em que nenhum filme foi visto foram tantos que o período considerado se equiparou praticamente a um ano mesmo.

- Para ser justo, não constaram entre os 189 filmes vistos nesse período os longas documentários do 26º É Tudo Verdade que ocorreu entre 08 e 18 de abril. Estes já considero como parte da temporada 2021.

- Os títulos válidos para o ranking de Melhores Filmes são aqueles que estrearam comercialmente ou foram apresentados em festivais no Brasil (fisicamente ou de forma online).

- Se sempre trago aqueles 15 filmes considerados por mim os melhores da temporada, o ranking de 2020 se limitará a 10 títulos. A predominância da Mostra Internacional de Cinema de São Paulo é avassaladora nesse ano, 80% dos escolhidos vieram dela (curtir intensamente a Mostra, mesmo que de casa, foi um hábito que não se alterou na pandemia). Os outros dois títulos foram estreias "convencionais" em serviços de streaming.

E, antes de apresentar os escolhidos, mais uma vez presto a minha singela homenagem ao maior incentivador desse meu compilado de todos os anos, meu amigo Alexandre Arroyo do site De Cinéfilo para Cinéfilo, um incansável entusiasta do Cinema e uma das minhas maiores referências na área!

MELHORES FILMES DE 2020

10) A Morte do Cinema e do Meu Pai Também [The Death of Cinema and My Father Too - Israel/França, 2020]

O amor pelo Cinema compartilhado pelo pai e filho rende discussões calorosas aqui. Uma homenagem metalinguística que transita entre o real e a ficção.

(visto na Mostra Internacional de Cinema SP)

9) Ema [Idem - Chile, 2019]

A vingança é um combustível e tanto para quem está disposto a se alimentar dela. Um prato frio servido com um visual deslumbrante!

(visto no Mubi)

8) Gatilho [Trigger - Rússia, 2020]

A natureza do ASMR explorada com propriedade pelos aspectos técnicos do filme. Uma imersão sensorial que deságua num grande dilema vivido pela protagonista.

[sem trailer disponível]

(visto na Mostra Internacional de Cinema SP)

7) Emicida: AmarElo - É Tudo Pra Ontem [Idem - Brasil, 2020]

É um documentário de bastidores. É um show. E também é uma poética e potente aula de história.

(visto na Netflix)

6) La Chancha [Idem - Argentina, 2020]

Traumas do passado não têm prazo de validade. Não importa quanto tempo passe, eles serão capazes de desestabilizar até a mais centrada das pessoas.

(visto na Mostra Internacional de Cinema SP)

5) Pai [Otac - Sérvia/França/Alemanha/Eslovênia/Croácia/Bósnia e Herzegovina, 2020]

A resiliência e a retidão comoventes de um pai humilde determinado a reaver a guarda de seus filhos.

(visto na Mostra Internacional de Cinema SP)

4) 17 Quadras [17 Blocks - EUA, 2019]

Vinte anos. Quatro gerações de uma família negra tão próxima do cerne político americano (17 quadras distante do Capitólio) e mais próxima ainda da violência.

(visto na Mostra Internacional de Cinema SP)

3) A Terra é Azul Como Uma Laranja [The Earth is Blue as an Orange - Ucrânia/Lituânia, 2020]

Um ambiente familiar criativamente instigante num cenário desolador: o documentário se passa numa cidade ucraniana sitiada pela guerra civil.

(visto na Mostra Internacional de Cinema SP)

2) A Saída dos Trens [Iesirea trenurilor din gara - Romênia, 2020]

Um filme-memorial cru em homenagem aos milhares de judeus romenos mortos no Massacre de Iasi em 1941.

Aqui, o documentário em dois tempos: 1º) um dos inúmeros depoimentos que compõem a produção e em 2º) imagens externas do massacre.

(visto na Mostra Internacional de Cinema SP)

1) City Hall [Idem - EUA, 2020]

Os bastidores esmiuçados daquela responsável por administrar/organizar o espaço e a vida daqueles que o ocupam: a prefeitura. Para quem gosta e é entusiasta do assunto esse documentário é um prato cheio.

(visto na Mostra Internacional de Cinema SP)

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[lesecumeurs]

“Le secteur culturel semble avoir été sacrifié, réduit à néant au profit des longues files d’attente qui se formaient devant les étals des grandes marques décoratives et vestimentaires.”

Cyril est très certainement l’écumeur que j’ai le plus souvent l’occasion de croiser sans lui avoir donné rendez-vous : quand ce n’est pas dans la file d’attente d’une salle de cinéma, c’est au sous-sol de Beaubourg ou sur le seuil d’une galerie photo. Cyril a longtemps tenu sur son temps libre une mailing-list dédiée à l’actualité des concerts parisiens : son exhaustivité et sa régularité en faisait un modèle à côté duquel la concurrence rasait les murs. J’ai toujours été étonné qu’il ne soit pas débauché par un média d’actualité : Cyril, c’est Lylo à lui tout seul. Même s’il n’exerce plus cette activité de salubrité publique, il continue discrètement à faire du prosélytisme : il est toujours le premier à me signaler la rétrospective d’une réalisatrice tchèque ou un festival de documentaires en ligne. 

Salut Philippe,

en temps normal, la politesse voudrait que je te réponde « tout va bien, merci, j’espère que toi aussi » mais ce n’est pas vraiment le cas.

Quand tu fais partie de la catégorie de gens hyper actifs qui ne rentrent chez eux que pour y dormir (ou presque), après un début d’année bien rempli en concerts, expositions et cinémas, le premier confinement a été un véritable coup de massue. Je n’avais absolument plus goût à rien, impossible d’allumer la platine vinyle ou d’écouter un CD. Les seuls instants que j’ai appréciés ont été de découvrir les rues de Paris désertées et de capturer ces instants en photographies ainsi que la vision de quelques livestreams proposés sur instagram chaque semaine par les impeccables Low ou par l’espiègle Fyfe Dangerfield ou encore chaque jour par La Blogothèque, dont le climax a été le très bel hommage à Elliott Smith fin juin. J’ai également profité de la mise en ligne de films proposés (souvent gratuitement) par des festivals comme Cinéma Du Réel, le Champs-Elysées Film Festival, Traces de Vie et également par le Centre Pompidou, mk2 et la Cinémathèque.

Depuis plus de dix ans, je passe du temps à dénicher et à répertorier les concerts à ne pas manquer à Paris et dans sa région. Tu te rends d’autant plus compte, suite à leur arrêt brutal, du rôle de sociabilisation que ces moments de partage peuvent représenter. La joie d’y croiser les connaissances que tu peux t’y faire au fil du temps, de saluer l’agent de sécurité, le personnel de la billetterie, les serveuses et serveurs de bar, de discuter avec les personnalités de la scène musicale locale ou encore avec les organisateurs de concerts qui te confient autour d’un verre des informations sur leur programmation à venir a fait place à un gros vide. Certaines personnes m’ont suggéré d’annoncer les dates des concerts en ligne, je n’ai pas senti l’envie de m’y mettre, je préfère attendre le retour des concerts en salles pour redémarrer Open Up Your Ears.

Le second confinement a été un peu plus positif. J’ai renoué avec la télévision que je n’avais plus allumée depuis plus de dix ans et dont j’ai changé de modèle. Je suis passé d’un coup de l’écran cathodique au streaming connecté ! J’ai attaqué la vision intégrale (pas encore achevée pour certaines) de séries comme Six Feet Under, The X-files, South Park, The League Of Gentlemen, Dark... J’ai aussi pu découvrir trois ans après l'extraordinaire troisième saison de Twin Peaks dont tous les épisodes sont réalisés par un David Lynch en grande forme qui se fait plaisir en invitant des artistes comme Nine Inch Nails, Chromatics, Sharon Van Etten ou encore Au Revoir Simone à jouer un titre lors d’une scène. Un pur délice.

Il faut saluer une parenthèse enchantée qui a pu prendre place cet été grâce aux concerts en extérieur des équipes du Supersonic sur la terrasse du Trabendo, ceux sur les quais et la terrasse de Petit Bain, ceux sur la nouvelle air de jeux de La Station ou bien même ceux assis en intérieur dans le cadre de Jazz à la Villette ainsi que le très bon concert inattendu et inespéré de Fontaines DC à la Maison de la Radio. Ces moments de retrouvailles et de délectations ont été de trop rares instants exutoires en 2020.

L’année a également été marquée par l’annulation des festivals auxquels je me fais une joie de me rendre chaque année (ou presque) comme The Great Escape à Brighton, Primavera Sound Festival à Barcelone, La Route du Rock à Saint-Malo ou encore l’Iceland Airwaves à Reykjavik. C’est l’occasion idéale de profiter en même temps d’une ville et d’artistes que tu affectionnes, de mêler tourisme et musique.

Même si personne ne pouvait s’attendre à vivre cette pandémie, la communication gouvernementale a été une véritable catastrophe. A grands renforts de positivisme, on a laissé espérer aux acteurs de secteurs à l’arrêt qu’ils pourraient reprendre leurs activités pour finalement revenir sur cette décision. C’est dire la méconnaissance de ceux qui gouvernent sur l’organisation ou la tenue d’événements tels que des concerts ou des festivals (savent-ils d’ailleurs ce qu’est un festival ? Si l’on s’en tient aux déclarations des différents ministres successifs au poste de la culture, la réponse semble être encore et toujours non). Le secteur navigue à vue depuis plus d’un an. Les programmateurs en sont parfois au 4 ou au 5ème report de date, certains artistes préfèrent tout annuler en attendant que ça se tasse, le public se lasse et n’achète plus de place. Il est compliqué dans ces conditions de rester positif. Quand tu vois qu’un an après le premier confinement on en débute un troisième ou encore que les concerts assis de The Divine Comedy prévus en septembre 2021 à La Cité de la Musique sont déjà reportés à septembre 2022, tu te dis que les belles paroles de la ministre de la culture sur la tenue de festivals assis en plein air et limités à 5.000 personnes ne sont encore qu’un coup d’épée dans l’eau. Du blabla pour brasser du vent, faire patienter les gens en attendant que ça s’arrange parce qu’il ne faut pas faire perdre espoir. Au bout de quatre mois et demi de fermeture des établissements culturels, c’est un nouveau confinement qui nous est proposé, tu parles d’un espoir.

En l’absence de concerts, je me suis surpris à reprendre mes activités adolescentes en reprenant une carte de cinéma illimité. J’ai dévoré le cycle d’une cinquantaine de films japonais de la Filmothèque, la rétrospective Christopher Nolan, l’Etrange Festival du Forum des Images, les films documentaires chiliens proposés par la Bpi du Centre Pompidou ... Soit plus de 200 films avalés en quatre mois et demi, sans jamais avoir l’impression d’être en danger et sans tomber malade. D’où une grande incompréhension lorsque le gouvernement a pris la décision de maintenir les lieux culturels fermés tout en reconnaissant qu’ils ne représentaient pas un risque de contamination. Aucun souci mais on va éviter quand même. Si l’on commençait à appliquer ce principe de précaution pour tout ce qui nous entoure, on finirait par rester allongé à attendre que la mort vienne nous cueillir. La veille de la présumée réouverture, je me suis promené dans le quartier latin et je voyais les employés des cinémas s’activer en placardant les affiches des films et les programmes. Tout ça pour rien, pour annoncer de prochaines séances fantômes. Le gouvernement allait envoyer promener leur travail impliqué d’un revers de main. Pareil pour les musées, de nombreuses expositions ont été accrochées puis décrochées sans accueillir de public. L’exposition photographique Noir et blanc au Grand Palais a nécessité trois ans de travail pour terminer en exposition virtuelle payante sur un ordinateur. La grande exposition Matisse du Centre Pompidou n’aura accueilli du public que pendant 9 jours avant d’être démontée et j’en passe. J’ai eu l’impression d’assister à d’énormes gâchis. Le secteur culturel semble avoir été sacrifié, réduit à néant au profit des longues files d’attente qui se formaient devant les étals des grandes marques décoratives et vestimentaires. Je vous fais le pari que vous tirerez plus profit d’une exposition ou d’un film que d’un pull ou d’une table basse mais ce n’est visiblement pas l’avis de tout le monde.

Le temps où l’on se retrouvait dans la moiteur des salles un verre à la main semble bien loin, espérons qu’il revienne vite.

Prends soin de toi A bientôt, Cyril

Photo : Benoit Grimalt, 2013.

[mundojaneausten]

Filmes inspirados em Jane Austen nos catálogos de streaming – Janeiro 2021

Quer assistir filmes inspirados na obra de Jane Austen? Veja o que está disponível nos catálogos das plataformas de streaming no Brasil em janeiro de 2021!

Esta lista se baseou em pesquisas realizadas no site JustWatch, com consultas feitas no dia 8 de janeiro de 2021. Portanto, pode ser que algum título tenha saído do catálogo dependendo do dia em que você buscar.

Atenção: não foram incluídos abaixo os filmes que podem ser alugados ou comprados nos serviços de streaming. Os que estão na lista são aqueles que ficam disponíveis para quem assina os serviços, sem custo adicional.  Colocamos as sinopses com informações do AdoroCinema e adicionamos alguns comentários nossos.

Vamos à lista em ordem cronológica das produções!

Metropolitan (1990)

Título original: Metropolitan

Onde assistir: MUBI

Sinopse: Quase todas as noites, um grupo de esquerdistas da alta classe se reúne para jogar bridge, discutir o socialismo de Charles Fourier e falar da mobilidade social. São eles: o cínico Nick, o filosófico Charlie, a festeira Sally, a metalúrgica Audrey e... Tom. Tom não é tão sofisticado como os outros e critica o modo de vida dos companheiros.

Nosso comentário: A lista já começou meio estranha, né? Pois bem, descobri nas pesquisas que esse filme existe e que ele faz paralelos com a trama de Mansfield Park. Aviso logo que não assisti, mas fiquei curiosa por um detalhe: o roteirista é Whit Stillman, o mesmo que adaptou Lady Susan no filme Amor & Amizade.

Razão e Sensibilidade (1995)

Título original: Sense and Sensibility

Onde assistir: HBO Go

Sinopse: Em virtude da morte do marido, uma viúva e as três filhas passam a enfrentar dificuldades financeiras, pois praticamente toda a herança foi para um filho do primeiro casamento, que ignora a promessa feita no leito de morte de seu pai que ampararia as meias-irmãs. Neste contexto, enquanto uma irmã prática (Emma Thompson), usando a razão como principal forma de conduzir as situações, a outra (Kate Winslet) se mostra emotiva, sem se reprimir nunca com uma sensibilidade à flor da pele.

Nosso comentário: Só não é a melhor versão porque existe a minissérie que a BBC (sempre ela!) lançou em 2008. Com esse filme, Emma Thompson ganhou o Oscar na categoria de Melhor Roteiro Adaptado. Ela chegou a ser indicada também como Melhor Atriz.  

As Patricinhas de Beverly Hills (1995)

Título original: Clueless

Onde assistir: Amazon Prime, Globoplay e Telecine Play

Sinopse: Em Beverly Hills, a adolescente Cher (Alicia Silverstone), filha de uma advogado (Dan Hedaya) muito rico, passa seu tempo em conversas fúteis e fazendo compras com amigas totalmente alienadas como ela. Mas a chegada do enteado de seu pai, Josh (Paul Rudd), muda tudo por criticá-la de não tomar conhecimento com o "mundo real".

Nosso comentário: Esse ícone dos anos 1990 prova o quanto o livro Emma tem sorte com boas adaptações. Se você cresceu nessa década, são altas as chances de você ter assistido antes de saber quem era Jane Austen. Grandes chances também de Paul Rudd ter sido seu crush antes de você usar essa palavra!

O Diário de Bridget Jones (2001)

Título original: Bridget Jones’s Diary

Onde assistir: Netflix

Sinopse: Bridget Jones (Renée Zellweger) é uma mulher de 32 anos que, em pleno Ano Novo, decide que já está mais do que na hora de tomar o controle de sua própria vida e começar a escrever um diário. Com isso, Bridget começa a escrever o mais provocativo, erótico e histérico livro que já esteve na cabeceira de sua cama, onde ela irá colocar também suas opiniões sobre os mais diversos assuntos de sua nova vida.

Nosso comentário: Dificilmente esse filme é novidade para você, foi um hit dos anos 2000! O filme adaptou o livro de Helen Fielding, que utilizou elementos essenciais da trama de Orgulho e Preconceito. Mais uma vez, temos Colin Firth como Mr. Darcy! E a trilha sonora é simplesmente maravilhosa.

Orgulho e Preconceito (2005)

Título original: Pride and Prejudice

Onde assistir: Netflix

Sinopse: As cinco irmãs Bennet - Elizabeth (Keira Knightley), Jane (Rosamund Pike), Lydia (Jena Malone), Mary (Talulah Riley) e Kitty (Carey Mulligan) - foram criadas por uma mãe (Brenda Blethyn) que tinha fixação em lhes encontrar maridos que garantissem seu futuro. Porém Elizabeth deseja ter uma vida mais ampla do que apenas se dedicar ao marido, sendo apoiada pelo pai (Donald Sutherland). Quando o sr. Bingley (Simon Woods), um solteiro rico, passa a morar em uma mansão vizinha, as irmãs logo ficam agitadas. Jane logo parece que conquistará o coração do novo vizinho, enquanto que Elizabeth conhece o bonito e esnobe sr. Darcy (Matthew Macfadyen). Os encontros entre Elizabeth e Darcy passam a ser cada vez mais constantes, apesar de eles sempre discutirem.

Nosso comentário: Infelizmente, não encontramos a minissérie da BBC em nenhum catálogo brasileiro. Bem que a Netflix poderia disponibilizar, hein? Mas voltando ao filme, é aquela versão pela qual a maioria dos fãs entrou no mundo Austen. Sempre bom revisitar!

Amor e Inocência (2007)

Título original: Becoming Jane

Onde assistir: Belas Artes à La Carte

Sinopse: Jane Austen (Anne Hathaway) tem 20 anos e começa a se destacar como uma escritora. Enquanto ela está mais interessada em desvendar o mundo, seus pais querem que ela logo se case com um homem rico, que possa assegurar seu status perante a sociedade. O principal candidato é o sr. Wisley (Laurence Fox), neto da aristocrata Lady Gresham (Maggie Smith), mas Jane se interessa é pelo malandro Tom Lefroy (James McAvoy), cuja inteligência e arrogância a provocam.

Nosso comentário: Fala sobre a vida da autora? Fala. Com uma boa dose de exagero e um ângulo duvidoso. Não deixa de ser uma obra legal, mas sabemos que é uma grande fanfic se comparada com as biografias publicadas sobre Jane Austen.

A Casa do Lago (2007)

Título original: The Lake House

Onde assistir: Globoplay

Sinopse: Kate Forster (Sandra Bullock) é uma médica solitária, que morava em uma casa à beira de um lago. Esta casa é ocupada por Alex Wyler (Keanu Reeves), um arquiteto frustrado. Kate passa a trocar cartas com Alex, com quem mantém um relacionamento à distância por dois anos. É quando, ao se descobrirem apaixonados um pelo outro, eles buscam um meio de se encontrar.

Nosso comentário: Ok, ok, é exagero colocar A Casa do Lago nessa lista, pois não é essencialmente um livro baseado nas obras de Jane Austen. Porém, o romance Persuasão aparece de uma forma especial por ser o livro preferido da personagem. E como meu livro preferido não tem lá muita sorte com adaptações, peço licença de incluir essa referência por aqui.  

Sem Prada Nem Nada (2011)

Título original: From Prada to Nada

Onde assistir: Netflix, Amazon Prime, Vid Plus e NOW Net Claro

Sinopse: As irmãs Nora (Camila Belle) e Mary Dominguez (Alexa PenaVega) cresceram acostumadas ao conforto e ao luxo, mas após a morte do pai elas veem seu mundo desabar. Elas então, são obrigadas a mudar-se para a casa da tia ao descobrirem que o pai estava falido. A partir daí, Nora e Mary precisarão se adaptar a um novo estilo de vida isento de riqueza e ostentação.

Nosso comentário: Uma versão moderna de Razão e Sensibilidade, bem levinha e divertida. A história é ambientada em Los Angeles e aborda a cultura da comunidade mexicana.

Marrying Mr. Darcy (2018)

Título original: Marrying Mr. Darcy

Onde assistir: HBO Go

Sinopse: Elizabeth Scott, uma professora prática, está planejando uma pequena cerimônia de outono para seu casamento com Donovan, um empresário reservado. Mas os dois têm personalidades tão diferentes que a tarefa é imprevisível, e a família dela só atrapalha.

Nosso comentário: Este filme é uma sequência do Unleashing Mr. Darcy, baseado no livro escrito por Teri Wilson, que adapta Orgulho e Preconceito para os amantes de cachorrinhos. Não dá para esperar taaanta coisa dos filmes produzidos para o Hallmark Channel, e esse foi mais fraco em comparação com o primeiro.   

Emma (2020)

Título original: Emma

Onde assistir: Telecine Play e NOW Net Claro

Sinopse: Emma Woodhouse é uma jovem rica e inteligente, que não tem pretensões de se casar tão cedo para ficar sempre perto do pai. Porém, isso não a impede de dar uma de 'casamenteira', tentando juntar casais que considere apropriados entre seus conhecidos, sem perceber os problemas causados com sua imaginação e teimosia.

Nosso comentário: Temos aqui um Mr. Knightley mais vulnerável, uma fotografia incrível e mais uma prova de que Emma é privilegiada até na qualidade das adaptações. Imagina se 2020 tivesse sido normal, poderíamos ter conferido no cinema... 

Prontos para fazer a pipoca e preparar a sessão Austen? Nos vemos na próxima!

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Assistir After Depois da Verdade (2020) Filme Completo Dublado Português

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Assistir filme: | ✮☛ https://starmovie.org/pt/movie/613504

Lançado: 2020-09-02 Tempo de Execução: 105 minutos Gênero: Romance, Drama Estrelas: Josephine Langford, Hero Fiennes Tiffin, Shane Paul McGhie, Dylan Sprouse, Samuel Larsen

Assista e faça o download do filme After Depois da Verdade Full Um dos maiores impactos da indústria de streaming de filmes está na indústria de Blu-Ray HD, que efetivamente cumpriu sua missão. Morte com a popularização do conteúdo online. O aumento no streaming de mídia causou a queda de muitas empresas de aluguel de Blu-Ray HD, como a Blockbuster. Um artigo do New York Times publicou um artigo sobre os serviços Netflix Blu-Ray HD. Eu declaro que A Netflix continua seus serviços de Blu-Ray HD com 5,3 milhões de assinantes, o que representa uma queda significativa em relação ao ano anterior. Por outro lado, seus serviços de transmissão têm 65 milhões de membros. Assista a um estudo sobre filmes que avaliou o "Impacto da transmissão de filmes no tradicional Aluguer de filmes em Blu-Ray HD ”, verificou-se que os inquiridos já não compram filmes em Blu-Ray HD quase tanto, se alguma vez, como a transmissão assumiu O mercado. No filme After Depois da Verdade Full, os espectadores não descobriram que a qualidade do filme era significativamente diferente entre o Blu-Ray HD e a transmissão on-line. Os problemas que os entrevistados acreditavam que precisavam melhorar com a transmissão de filmes incluíam funções de avanço rápido ou retrocesso, além de funções de pesquisa O artigo destaca que a qualidade da transmissão de filmes como indústria só aumentará com o tempo, uma vez que a publicidade A receita continua aumentando o drama After Depois da Verdade (Assista em Full HD After Depois da Verdade) Assista e baixe After Depois da Verdade Movie são codificados diretamente do disco Blu-ray para 1080p ou 720p (dependendo do disco fonte) e use o codec x264. Eles podem ser extraídos de discos BD25 ou BD50 (ou Blu-ray UHD em resoluções mais altas). BDRips são de um Disco Blu-ray e codificado em uma resolução mais baixa a partir de sua fonte (ou seja, 1080p a 720p / 576p / 480p). Um BRRip é um vídeo já codificado com uma resolução HD (geralmente 1080p) que é então transcodificado para uma resolução SD. Veja After Depois da Verdade Movie BD / BRRip em aparência de resolução Blu-Ray HDRip melhor, independentemente, porque a codificação vem de uma fonte de maior qualidade. Os BRRips são apenas de uma resolução HD para uma resolução SD, enquanto Os BDRips podem variar de 2160p a 1080p, etc. sempre que a resolução do disco de origem diminui. O BDRip não é uma transcodificação e pode fluir para codificação, mas o BRRip só pode diminuir para as resoluções SD à medida que elas são transcodificadas. BD / BRRips em As resoluções Blu-Ray HDRip podem variar entre os codecs XviD ou x264 (geralmente de 700 MB e 1,5 GB de tamanho, bem como os maiores Blu-Ray HD5 ou Blu-Ray HD9: 4,5 GB ou 8,4 GB), o tamanho varia de acordo com a duração e a qualidade das versões, mas quanto maior o tamanho, maior a probabilidade de eles usarem o codec x264. Assista e baixe After Depois da Verdade Movie Blu-Ray

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SYNOPSIS ET DÉTAILS Le troisième volet de la trilogie À tous les garçons que j'ai aimés

Tout a commencé avec une lettre d'amour, puis s'est poursuivi avec une nouvelle romance. Et maintenant, que réserve l'avenir à Lara Jean et Peter ?

12 février 2021 / 1h 49min / Romance, Comédie, Drame De Michael Fimognari Avec Lana Condor, Noah Centineo, John Corbett Nationalité Américain CRITIQUE DU FILM Après le joli succès du sympathique À tous les garçons que j’ai aimés, Netflix avait rapidement donné le feu vert à ses deux suites, À tous les garçons que j’ai aimés : je t’aime toujours , sortie en 2020 sur la plateforme, et Pour toujours et à jamais, qui débarque un an jour pour jour après son prédécesseur – stratégiquement placé deux jours avant la Saint-Valentin.

Si le deuxième chapitre ne retrouvait pas la pincée de charme qui faisait le sel de cette romcom adolescente, une conclusion à la hauteur pouvait rattraper la mise et asseoir à la franchise amoureuse un statut de pêché mignon générationnel honorable. Dans À tous les garçons 3, on retrouve ainsi, Lara Jean, ses sœurs, son boyfriend et ses amis et son petit-copain après des vacances familiales en Corée avec sa famille, alors que la fin de l’été annonce un changement de vie : l’entrée imminente à la fac. Et, plus encore que son avenir universitaire, la question de la relation qu’elle entretient avec Peter est au centre de ses inquiétudes : les deux jeunes tourtereaux résisteront à l’éloignement s’ils sont affectés dans deux universités différentes ? PLUS C’EST LONG, MOINS C’EST BON Malheureusement, ce dernier volet souffre de la même impression que le récit patine laborieusement, à désespérément vouloir faire durer le suspens – plutôt que le plaisir – alors que tout le monde se doute bien qu’en dépit des innombrables rebondissements prévisibles, l’épilogue illustrera le titre guimauve de ce 3e volet. Entre temps, il faudra donc se coltiner les atermoiements de l’adolescente concernant celui avec qui elle se projette (littéralement, à l’image) avec le triple combo « bague aux doigts, pavillon en banlieue bourgeoise et bébé en route ».

Au final, la trilogie tire sa révérence en laissant le sentiment désagréable d’avoir servi (une seconde fois) cette même soupe industrielle allongée à l’eau, gâchant la plaisante bonne surprise du premier film et confirmant le célèbre adage : les histoires les plus courtes sont souvent les meilleures. Mots clés :

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Après "Palm Springs", l'un des meilleurs films de 2020, vous pouvez penser qu'une autre comédie romantique douce-amère se déroulant dans une boucle temporelle / anomalie temporelle (pensez à "Groundhog Day") vous donne l'impression d'être dans une boucle temporelle qui se répète à l'infini . Mais il ne vous faudra pas longtemps pour vous rendre compte qu'au contraire, vous regardez un film tout à fait charmant, engageant et, oui, original. C'est un délice. «La carte des choses parfaites minuscules» est sur Mark (Kyle Allen) et Margaret (Kathryn Newton de «Freaky»). La similitude de leurs noms n'est pas une coïncidence. En plus d'être les deux seules personnes à répéter sans cesse le même jour, elles semblent avoir peu de choses en commun. Il est sans but et artistique. Elle est concentrée et aime les mathématiques et les sciences.

Au début, Mark est pris dans ses propres préoccupations, utilisant ce qu'il a appris en revivant le même jour pour s'amuser en rendant la journée aussi fluide que possible. Il sait exactement où il doit être pour attraper le pain grillé qui sort du grille-pain ou attraper la tasse renversée de la table avant qu'elle ne touche le sol.

Et puis, un jour, ou plutôt la millionième répétition du même jour, il voit Margaret. Elle n'a pas envie de devenir amie et lui dit très peu sur elle-même ou pourquoi elle doit partir à la même heure tous les jours (le même jour, vous voyez ce que je veux dire).

Ils ne sont pas sûrs de vouloir sortir de la boucle temporelle. Ils voient les avantages d'une vie sans conséquences. Une coupe de cheveux mohawk. Un tatouage. Un accident de voiture, casser beaucoup de choses. Ils voient les avantages d'un monde étroitement observé, les possibilités. Ils voient les inconvénients d'une vie sans conséquences. Ils voient que même les actions qui seront effacées des heures plus tard font encore une différence. J'ai aimé la façon dont le film nous laisse subtilement et les personnages découvrent peu à peu qu'il existe d'autres façons d'être coincé, même pour des personnages qui ne sont pas pris dans la boucle temporelle. Le meilleur ami de Mark, Henry (Jermaine Harris), est assis sur le canapé et joue au même jeu vidéo. Les parents de Mark sont coincés à leur manière. Et Margaret, malgré ses projets pour l'avenir, est coincée dans plus d'une boucle temporelle.

Le dialogue est suffisamment vif et spirituel pour que vous souhaitiez vous pencher en avant pour vous assurer de ne rien manquer. Réalisé avec brio et magnifiquement interprété, c'est un film que vous voudrez regarder plus d'une fois et vous n'aurez jamais l'impression de répéter la même expérience.

Les parents doivent savoir que ce film a un langage fort, la triste mort d'un parent, le stress familial et la consommation d'alcool chez les adolescents.

Discussion en famille: Pourquoi Mark et Margaret sont-ils entrés dans une boucle temporelle? Si vous pouviez choisir un jour pour vivre encore et encore, le feriez-vous? Quel jour? Que feriez-vous en premier?

Si vous aimez ça, essayez: "Time Bandits" (c'est aussi génial que Mark le dit), et d'autres classiques de la boucle temporelle comme "Groundhog Day", "The Edge of Tomorrow" et "Palm Springs". Vous apprécierez également d'autres romances fantastiques comme "Eternal Sunshine of the Spotless Mind" et "Stranger than Fiction" Mark fait remarquer à Margaret des détails uniques sur la ville et ses habitants. De la quête publique d'un chien perdu, par exemple, à plusieurs petits spectacles et événements impliquant des étrangers partout, le duo énergique cherche à documenter tous les moments spéciaux. Certains dont ils sont simplement témoins avec une célébration privée. D'autres qu'ils orchestrent pour les réaliser. Chacun est une mémoire liée à un lieu partagé. Chacun d'eux est une belle appréciation de la perfection des moments singuliers de la vie, bons et mauvais. Lorsqu'un film vous fait voir cela en vous, c'est un niveau d'effet Pixar Punch.

Cette quête énergique multiplie le zèle contagieux de The Map of Tiny Perfect Things. L'auteur de la trilogie Magicians et contributeur au magazine TIME, Lev Grossman, a eu la chance d'adapter sa propre histoire courte au scénario du film réalisé par Ian Samuel (Sierra Burgess est un perdant) pour son deuxième long métrage. Les touches personnelles et les «règles» du genre du décor, pour ainsi dire, brillent très bien pour ne pas être un rechapage d'idées que nous avons vues auparavant. L'épine dorsale d'un solide film de voyage dans le temps est son montage, et Andrea Bottigliero se surpasse en organisant et en dupliquant tout le hasard fabriqué.

Les gens appelleront The Map of Tiny Perfect Things commode et artificiel et manqueront honteusement la reconnaissance fondamentale. Newton et Allen, bien que tous deux un peu trop vieux pour jouer à des villes de giroflées convaincantes, incorporent suffisamment de défauts de caractère et de peurs mélodramatiques pour ajouter une moralité moulable à leur attractivité. Nous les soutenons, ce qui est le point de réussite après tous les coups de coude pour aimer les petites choses de la vie. Il y a une place pour la beauté comme celle-ci, même si cela vient facilement. Allez-y et remerciez ce film pour votre temps sans licenciement.

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Synopsis Jean-Louis réalise en rentrant chez lui que son coeur s’est arrêté. Plus un seul battement dans sa poitrine, aucun pouls, rien. Pourtant, il est conscient, il parle, se déplace. Est-il encore vivant ? Est-il déjà mort ? Ni son ami vétérinaire Michel, ni sa femme Valérie ne trouvent d’explication à cet étrange phénomène. Alors que Jean-Louis panique, Valérie se tourne vers Margaux, sa coach de vie, un peu gourou, pas tout à fait marabout, mais très connectée aux forces occultes. Et elle a une solution qui va mettre Jean-Louis face au tabou ultime… Regarder L’origine du monde film complet, Regarder L’origine du monde Streaming vf, Regarder L’origine du monde Streaming Vostfr, Regarder L’origine du monde Streaming vf gratuit, Regarder L’origine du monde Streaming YouRegarder, Regarder L’origine du monde Telecharger, Regarder L’origine du monde Film Complet en streaming, Regarder L’origine du monde Uptobox, Regarder L’origine du monde Film complet en français, Regarder L’origine du monde Streaming vf gratuit complet, L’origine du monde film complet L’origine du monde 2021 film complet L’origine du monde film complet en français L’origine du monde streaming vostfr L’origine du monde film streaming L’origine du monde streaming vf L’origine du monde film complet en ligne L’origine du monde film complet en ligne gratuit L’origine du monde film complet en ligne gratuitement L’origine du monde film complet télécharger L’origine du monde film complet sous-titre L’origine du monde film 2021 streaming vf L’origine du monde bande annonce vf L’origine du monde 2021 film complet en francais L’origine du monde 2021 Film Complet Streaming VF Entier Français, L’origine du monde 2021 Regarder Film en Streaming en Français, L’origine du monde 2021 Stream Film Complet Entier VF en Français, L’origine du monde 2021 streaming VF film en entier gratuit, L’origine du monde 2021 film complet streaming Vk gratuit, L’origine du monde 2021 Regarder Film en Streaming, L’origine du monde 2021 Film télécharger Torrent, L’origine du monde 2021 film complet en Français, L’origine du monde 2021 regarder en streaming, L’origine du monde 2021 youtube film entier, L’origine du monde 2021 streaming vf youwacth, L’origine du monde 2021 streaming en entier, L’origine du monde 2021 Regarder Gratuitment, L’origine du monde 2021 regarder film streaming, Its somewhat ironic that a movie about time travel can’t be reviewed properly until your future self rewatches the movie. It’s bold of Nolan to make such a thoroughly dense blockbuster. He assumes people will actually want to see L’origine du monde more than once so they can understand it properly, which some may not. This movie makes the chronology of Inception look as simplistic as tic-tac-toe. Ergo, it’s hard for me to give an accurate rating, without having seen it twice, as I’m still trying to figure out whether everything does indeed make sense. If it does, this movie is easily a 9 or 10. If it doesn’t, it’s a 6. It’s further not helped by the fact that the dialogue in the first 15 minutes of the movie is painfully hard to understand / hear. Either they were behind masks; they were practically mumbling; the sound effects were too loud; or all of the above. The exposition scenes are also waayyy too brief for something this complex — a problem also shared with Interstellar actually. (Interstellar had this minimalist exposition problem explaining Blight, where if you weren’t careful, you’d miss this one sentence / scene in the entire movie explaining that Blight was a viral bacteria: “Earth’s atmosphere is 80% nitrogen, we don’t even breathe nitrogen. Blight does, and as it thrives, our air gets less and less oxygen”). I guess it’s a Nolan quirk. Hopefully, a revision of the film audio sorts the sound mixing out. I do like the soundtrack, but it’s too loud initially. I liked all the actors. You think John Washington can’t act at first, but he can, and he grows on you as the film progresses. And Pattinson is his usual charming self. Elizabeth is a surprise treat. And so on. Its worth a watch either way. See it with subtitles if you can. And definitely don’t expect to fully understand whats going on the first time around. Its one hell of a complicated film. It will be very hard for an average viewer to gather all the information provided by this movie at the first watch. But the more you watch it, more hidden elements will come to light. And when you are able to put these hidden elements together. You will realize that this movie is just a “masterpiece” which takes the legacy of Christopher Nolan Forward If I talk about acting, Then I have to say that Robert Pattinson has really proved himself as a very good actor in these recent years. And I am sure his acting skills will increase with time. His performance is charming and very smooth. Whenever he is on the camera, he steals the focus John David Washington is also fantastic in this movie. His performance is electrifying, I hope to see more from him in the future. Other characters such as Kenneth Branagh, Elizabeth, Himesh Patel, Dimple Kapadia, Clémence Poésy have also done quite well. And I dont think there is a need to talk about Michael Caine Talking about Music, its awesome. I dont think you will miss Hans Zimmer’s score. Ludwig has done a sufficient job. There is no lack of good score in the movie Gotta love the editing and post production which has been put into this movie. I think its fair to say this Nolan film has focused more in its post production. The main problem in the movie is the sound mixing. Plot is already complex and some dialogues are very soft due to the high music score. It makes it harder to realize what is going on in the movie. Other Nolan movies had loud BGM too. But Audio and dialogues weren’t a problem My humble request to everyone is to please let the movie sink in your thoughts. Let your mind grasp all the elements of this movie. I am sure more people will find it better. Even those who think they got the plot. I can bet they are wrong. L’origine du monde is the long awaited new movie from Christopher Nolan. The movie that’s set to reboot the multiplexes post-Covid. It’s a manic, extremely loud, extremely baffling sci-fi cum spy rollercoaster that will please a lot of Nolan fan-boys but which left me with very mixed views. John David Washington (Denzel’s lad) plays “The Protagonist” — a crack-CIA field operative who is an unstoppable one-man army in the style of Hobbs or Shaw. Recruited into an even more shadowy organisation, he’s on the trail of an international arms dealer, Andrei Sator (Kenneth Branagh in full villain mode). Sator is bullying his estranged wife Kat (Elizabeth Debicki) over custody of their son (and the film unusually has a BBFC warning about “Domestic Abuse”). Our hero jets the world to try to prevent a very particular kind of Armageddon while also keeping the vulnerable and attractive Kat alive. This is cinema at its biggest and boldest. Nolan has taken a cinema ‘splurge’ gun, filled it with money, set it on rapid fire, removed the safety and let rip at the screen. Given that Nolan is famous for doing all of his ‘effects’ for real and ‘in camera’, some of what you see performed is almost unbelievable. You thought crashing a train through rush-hour traffic in “Inception” was crazy? You ain’t seen nothing yet with the airport scene! And for lovers of Chinooks (I must admit I am one and rush out of the house to see one if I hear it coming!) there is positively Chinook-p*rn on offer in the film’s ridiculously huge finale. The ‘inversion’ aspects of the story also lends itself to some fight scenes — one in particular in an airport ‘freeport’ — which are both bizarre to watch and, I imagine, technically extremely challenging to pull off. In this regard John David Washington is an acrobatic and talented stunt performer in his own right, and must have trained for months for this role. Nolan’s crew also certainly racked up their air miles pre-lockdown, since the locations range far and wide across the world. The locations encompassed Denmark, Estonia, India, Italy, Norway, the United Kingdom, and United States. Hoyte Van Hoytema’s cinematography is lush in introducing these, especially the beautiful Italian coast scenes. Although I did miss the David Arnold strings that would typically introduce these in a Bond movie: it felt like that was missing. The ‘timey-wimey’ aspects of the plot are also intriguing and very cleverly done. There are numerous points at which you think “Oh, that’s a sloppy continuity error” or “Shame the production design team missed that cracked wing mirror”. Then later in the movie, you get at least a dozen “Aha!” moments. Some of them (no spoilers) are jaw-droppingly spectacular. Perhaps the best twist is hidden in the final line of the movie. I only processed it on the way home. And so to the first of my significant gripes with L’origine du monde. The sound mix in the movie is all over the place. I’d go stronger than that… it’s truly awful (expletive deleted)! Nolan often implements Shakespeare’s trick of having characters in the play provide exposition of the plot to aid comprehension. But unfortunately, all of this exposition dialogue was largely incomprehensible. This was due to: the ear-splitting volume of the sound: 2020 movie audiences are going to be suffering from ‘L’origine du mondeis’! (LOL); the dialogue is poorly mixed with the thumping music by Ludwig Göransson (Wot? No Hans Zimmer?); a large proportion of the dialogue was through masks of varying description (#covid-appropriate). Aaron Taylor-Johnson was particularly unintelligible to my ears. Overall, watching this with subtitles at a special showing might be advisable! OK, so I only have a PhD in Physics… but at times I was completely lost as to the intricacies of the plot. It made “Inception” look like “The Tiger Who Came to Tea”. There was an obvious ‘McGuffin’ in “Inception” — — (“These ‘dream levels’… how exactly are they architected??”…. “Don’t worry… they’ll never notice”. And we didn’t!) In “L’origine du monde” there are McGuffins nested in McGuffins. So much of this is casually waved L’origine du monde as “future stuff… you’re not qualified” that it feels vaguely condescending to the audience. At one point Sator says to Kat “You don’t know what’s going on, do you?” and she shakes her head blankly. We’re right with you there luv! There are also gaps in the storyline that jar. The word “L’origine du monde”? What does it mean. Is it just a password? I’m none the wiser. The manic pace of L’origine du monde and the constant din means that the movie gallops along like a series of disconnected (albeit brilliant) action set pieces. For me, it has none of the emotional heart of the Cobb’s marriage problems from “Inception” or the father/daughter separation of “Interstellar”. In fact, you barely care for anyone in the movie, perhaps with the exception of Kat. It’s a talented cast. As mentioned above, John David Washington is muscular and athletic in the role. It’s a big load for the actor to carry in such a tent-pole movie, given his only significant starring role before was in the excellent BlacKkKlansman. But he carries it off well. A worthy successor to Gerard Butler and Jason Statham for action roles in the next 10 years. This is also a great performance by Robert Pattinson, in his most high-profile film in a long time, playing the vaguely alcoholic and Carré-esque support guy. Pattinson’s Potter co-star Clemence Poésy also pops up — rather more un-glam that usual — as the scientist plot-expositor early in the movie. Nolan’s regular Michael Caine also pops up. although the 87-year old legend is starting to show his age: His speech was obviously affected at the time of filming (though nice try Mr Nolan in trying to disguise that with a mouth full of food!). But in my book, any amount of Caine in a movie is a plus. He also gets to deliver the best killer line in the film about snobbery! However, it’s Kenneth Branagh and Elizabeth Debicki that really stand out. They were both fabulous, especially when they were bouncing off each other in their marital battle royale. So, given this was my most anticipated movie of the year, it’s a bit of a curate’s egg for me. A mixture of being awe-struck at times and slightly disappointed at others. It’s a movie which needs a second watch, so I’m heading back today to give my ear drums another bashing! And this is one where I reserve the right to revisit my rating after that second watch… it’s not likely to go down… but it might go up. (For the full graphical review, check out One Mann’s Movies on t’interweb and Facebook. Thanks.) As this will be non-spoiler, I can’t say too much about the story. However, what I can is this: L’origine du monde’s story is quite dynamic in the sense that you won’t understand it till it wants you to. So, for the first half, your brain is fighting for hints and pieces to puzzle together the story. It isn’t until halfway through the movie that L’origine du monde invites you to the fantastic storytelling by Christopher Nolan. Acting is beyond phenomenal, and I’d be genuinely surprised if neither Robert Pattinson nor John David Washington doesn’t receive an Oscar nomination for best actor. It’s also hard not to mention how good Elizabeth Debicki and Aaron Johnson both are. All around, great acting, and the dialogue amps up the quality of the movie. The idea of this movie is damn fascinating, and while there are films that explore time-travelling, there’s never been anything quite like this. It has such a beautiful charm and for the most part, explains everything thoroughly. It feels so much more complex than any form of time-travelling we’ve seen, and no less could’ve been expected from Nolan. Oh my lord, the score for this film fits so perfectly. Every scene that’s meant to feel intense was amped by a hundred because of how good the score was. Let me just say though, none of them will be found iconic, but they fit the story and scenes so well. In the end, I walked out, feeling very satisfied. Nevertheless, I do have issues with the film that I cannot really express without spoiling bits of the story. There are definitely little inconsistencies that I found myself uncovering as the story progressed. However, I only had one issue that I found impacted my enjoyment. That issue was understanding some of the dialogue. No, not in the sense that the movie is too complicated, but more that it was hard to make out was being said at times. It felt like the movie required subtitles, but that probably was because, at a time in the film, there was far too much exposition. Nevertheless, I loved this film, I’ll be watching it at least two more times, and I think most of you in this group will enjoy it. I definitely suggest watching it in theatres if possible, just so you can get that excitement. (4/5) & (8.5/10) for those that care about number scores. At first, I want to ask Christopher Nolan one question, HOW THE HELL YOU DID THIS? Seriously I want to have an answer, How did he write such as this masterpiece! How did he get this complicated, fabulous and creative idea? What is going on in his mind? The story is written and directed perfectly, the narration style was absolutely unique. I have no idea how can anyone direct such as this story, that was a huge challenge, and as usual Nolan gave us a masterpiece that we’ll put beside (Memento), (Inception) and (Interstellar) The movie is so fast-paced in a good way, there was no boring moment. The chemistry between John David Washington and Robert Pattinson was great and funny and both of their performance was really good. Elizabeth Debicki performance was the best in the movie because she had the chance to show her acting abilities and she cached up that chance and showed us an A level acting. The music wasn’t unique and distinct as the music of Interstellar for example and I think this movie needed the touch of Hans Zimmer, I’m not saying that Ludwig Göransson failed but Hans Zimmer in another level. If there was something I’d say that I didn’t like it in the movie would it be that Nolan discarded any set up or characters backgrounds except Elizabeth Debicki dramatic story but it wasn’t that bad for me, I didn’t care about that, the exciting story didn’t give me the chance to focus on it. But the actual problem was the third act, it was really complicated and I got lost and I convinced myself to discard the questions that were in my head and enjoy the well-made action sequences and Elizabeth Debicki performance. I think this kind of movie that gets better with a second and third watch. I honestly don’t quite know where to begin with L’origine du monde. I love Christopher Nolan’s work but I have never seen a more complicated film (and I understood Memento). After nearly three hours, I came L’origine du monde from L’origine du monde not knowing myself, my mind reduced to nothing more than piles of ash. Was there time travel involved? Hmm, there was definitely something about time inversion. I mean, does Nolan even understand what he wrote? Look, I give credit to the director because he’s one of the few directors left who knows how to create a compelling and intelligent blockbuster. L’origine du monde is full of Nolan trademarks — the gratuitous Michael Caine cameo, a loud, really loud score, complete with stunning cinematography and slickly inventive action set-pieces. This time around however, Nolan has finally managed to ‘out-Nolan’ himself: the palindromic plot, whilst creatively ambitious, is simply far too complicated for its own good. L’origine du monde is overlong, overstuffed, pretentious and too exhausting to comprehend in its entirety — it makes Inception and Interstellar look like Peppa Pig by comparison. I’m aware of the technical wizardry and creative mastery in this film and lord knows I’ll have to watch this again. For those who want a puzzle, L’origine du monde at least provides a unique cinematic experience. But to actually enjoy solving it Nolan wants you to work

#l’origine du monde

[claudehenrion]

Mais jusqu'où... et jusqu'à quand ?

  Depuis le début de cet an de vraie disgrâce qu'est 2020, la Terre semble être soumise, dans tous les domaines, à une force d'accélération de l'Histoire que rien n'explique (si ce n'est, peut-être, que nous avons sans doute, sans nous en rendre compte, franchi le ''pic'' de quelque courbe du destin, celui au-delà duquel un retour en arrière ne peut être que miraculeux). Mais -et c'est plus grave encore- rien ne justifie ni n'explique cette force, rien ne permet de la comprendre, rien ne semble pouvoir la ''canaliser''... et rien ne peut -à ce jour- la ralentir, même un tout petit peu. D'où l'impression très partagée que le monde est devenu complètement dingo !

  Devant les cataclysmes qu'annoncent, sans que le doute soit possible, des transformations non-désirées et la vitesse de changements qui s'imposent à nous sans que personne ne les désire, sans que nul n'en ait vu les prodromes, sans que rien ne laisse espérer qu'ils puissent s'arrêter... les gouvernements s'affolent, les ''gourous'' sont silencieux (c'est la seule bonne nouvelle !), et les gens ''normaux'' s'effraient et vont chercher dans le passé des solutions  différentes de tout ce qui leur est proposé par de faux prophètes qui n’ont que de vieilles ''nouvelles recettes'' -qui non seulement n'ont jamais fonctionné nulle part, même un peu, mais qui sont responsables de l'impréparation des pays à la méga-crise qui nous fait mourir.

  Au lieu que les rangs se resserrent (ce qui n'était pas impossible, si nos ''élites'' étaient juste un peu plus intelligentes et ne se retranchaient pas dans des postures, intenables à terme, de contrainte et de viol des mentalités), on constate que l'impéritie, la nullité et le manque de jugeote des gouvernants creusent sans cesse le gouffre qui sépare les administrés des administrateurs... qui n’ont plus que des armes cent fois utilisées et très émoussées pour tenter de remettre les choses dans ce bel ordre ancien que les populations réclament majoritairement. Schématiquement, pour tenter de canaliser un peuple qui ne croit ni ne veut plus de rien de ce qu'ils racontent ou proposent, les gouvernants de la France ne disposent plus que de deux ''armes'' : la peur et la contrainte, dans ce sens ou dans un autre. Et ils ne se privent pas d'en abuser, pour notre plus grand malheur !

  Sous le faux prétexte de ''nous rassurer'', mais en vérité, pour calmer LEUR panique à eux, nos dirigeants se réfugient derrière une floraison de mots en ''-isme'' (par exemple : le ''populisme'', longtemps le plus indigeste, vient de trouver un successeur avec le ''complotisme'', dont la définition est simple : si tu n'es pas d'accord avec moi, tu es un ''complotiste'', même si j'ai tort)... On aurait pu penser que dans un pays qui clame fort son démocratisme, tout contradicteur serait en droit d'attendre des preuves qu'il se trompe, et pas des insultes... d'entendre des arguments qui tiennent la route, et pas des mises en cause de son bon sens qui n'ont aucun autre sens que le faire douter de celui de son interlocuteur... ou qu'un doute, émis, aurait droit  à des démonstrations ''à l'ancienne'' (je veux dire : intelligentes), et pas à des portes qui se ferment en claquant violemment, pas à des interdictions-de-dire-ou-de-penser, pas à des mises au placard ou à des sanctions administratives, pas à une interdiction sur les médias ''main stream''...  et pas à la force publique, au bâillonnement et au pilori comme seuls arguments (inutiles !).

  Cette année 2020 a vu le monde entier (ou peu s'en faut) tourner le dos à pratiquement tout ce qui l'a (et nous a) précédé. Qui aurait pu imaginer, il y a six mois encore, que nous accepterions de vivre dans un monde exclusivement peuplé de gens sans visage, qui ne se parlent plus (et pire, qui se fuient l'un l'autre), dont chacun est isolé de tout, a peur de tout, refuse tout ? Qui aurait pu croire que la France, et pas qu'elle, se serait laissé emprisonner dans une caricature de société, se découvrirait peuplée de délateurs et de masochistes qui réclament ''plus'' de tout ce qui est insupportable dans l'instant et mortel, à terme ? Qui aurait imaginé que les bébés à la naissance seraient privés du sourire de leur maman, et que les vieillards crèveraient tout seuls dans des Ehpads tout droit copiés d’après le film d'horreur ''Soylent green'', qui m'avait si profondément marqué, lors de sa sortie, en 1973 ? Je ne me doutais pas, alors, que ces images insupportables et ce monde de cauchemar deviendraient ma (et notre) réalité, 50 années plus tard, à peine...

  Retour sur images : Soylent Green (en français : Soleil vert), est un film américain d’anticipation et d’horreur, tiré du roman éponyme de Harry Harrisson (1966) dont l'histoire se déroule en 2022 (NDLR : il s'était trompé de quelques mois à peine!). Sur toute la Terre, les océans se meurent, la canicule est générale à cause de l'effet de serre, et les ressources sont épuisées, ce qui entraîne une pollution, un effondrement des richesses naturelles, une pauvreté et une surpopulation dont la seule ''sortie'' possible se trouve dans l'euthanasie volontaire. Les autorités, un petit groupe de ''sachants'', dépendent de la fabrication d'aliments artificiels conçus par la société Soylent, un super-géant industriel... (NDLR : de nos jours, il faudrait plutôt parler d’un ‘’géant germano-américain de la pharmacie'' !)

  Le scénario est simple : à la suite du meurtre d'un proche des cercles de ces dirigeants (qui sont tous des inconnus distants, innommés et innommables, et qui dirigent toute cette immense dystopie sans jamais apparaître en tant que ce qu'ils sont)... le détective en charge de résoudre ce crime s'aperçoit que cette caste fait tout pour l'empêcher de découvrir la vérité... Le film datant de 1973 (il avait eu le grand Prix au Festival d'Avoriaz en 1974), le mot ''complotiste'' n'apparaît pas encore, et le scénariste n'a pas osé redonner vie aux humiliants ''Ausweis'' de sinistre mémoire. Cependant, même sans ces excès, il y a tant et tant des situations décrites dans le film qui ont refait surface ces mois derniers que qui a vu ce film, à l'époque, ne peut pas ne pas faire un parallèle avec l'enfer dont parle le désormais célèbre film ''Hold-Up'' qui essaie de résumer les perspectives qui nous restent réellement ouvertes...  même si ''comparaison, dit-on, n'est pas raison’’ !

  La situation actuelle est-elle comparable ? On est en droit de se poser cette question, devant la violence des mesures punitives imposées à un peuple entier, qui est traité, disent certains (dont moi), comme un ramassis d'enfants irresponsables, apparemment sans beaucoup de résultats concluants. Et de plus en plus de voix parlent d'illégitimité et d'une tendance à une dérive autoritaire préoccupante. Quoi qu'il en soit, il ne me paraît pas qu'on commette un péché contre l'esprit en se demandant si la tentation ne va pas être forte, pour un pouvoir macroniste qui ne brille pas par sa modération, de profiter d’un "effet d’aubaine" dans le combat dont ils ont fait une lutte à mort entre ''le Bien'' (eux) et ''le Mal'' (les autres) et, donc, d'interdire bientôt toute forme d'opposition, ostracisée d'avance sous le qualificatif automatique de ''complotiste'', comme le demande l'euro-députée LREM Ilana Cicurel pour qui ''le virus du complotisme est plus dangereux que le Covid lui-même'' (Merci à Sonia Mabrouk de l'avoir vertement ''recadrée''!). Il n’est pas prouvé que la complophobie ne soit pas aussi grave que le complotisme !

  Plus que jamais, il convient de rester calmes : la ''complophobie'' par système n'est pas une réponse ! Et ne pas être d'accord avec les tâtonnements, les variations, les improvisations, les mensonges, souvent, et le manque de stratégie du gouvernement et de nos ''gourous-qui-n'en-sont-pas'' (depuis le début)... ce n'est pas mettre la République en danger, si les mots ont encore un sens ! Comme le remarque avec bon sens et sagesse (et sa très grande culture...) le philosophe Michel Rosenzweig : ''On a vraiment le sentiment que ce documentaire (Hold-Up --NDLR) les a atteints au "bon" endroit, au centre-même de leurs conflits névrotiques''. Puissent-ils vite s'en rendre compte et redescendre sur terre, où souffrent -par leur seule faute- la majorité des vivants... 

H-Cl.