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#Les Aigles du Rome
curtvilescomic · 5 months
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Morphea from Les Aigles du Rome Eagles of Rome by Enrico Marini
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ninonlitaussi · 23 days
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Bouddica de Jean-Laurent Del Socorro
Angleterre, an I. Après avoir conquis la Gaule, l’Empire romain entend se rendre maître de l’île de Bretagne. C’est pourtant sans compter sur la révolte qui gronde parmi les Celtes. A leur tête, Boudicca, la chef du clan icène qui rasera Londres et fera trembler l’empire des aigles jusqu’à Rome même. Continue reading Bouddica de Jean-Laurent Del Socorro
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gabrielle1953 · 7 months
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Chacun de nous est le dernier des Européens.
Je sens peser sur mes épaules misérables le poids démesuré du plus glorieux des héritages. A moi, qui ne suis rien et qui n’apporte rien, la civilisation fait un cadeau gigantesque : le patrimoine de l’Europe. Il est fait de trésors et de souvenirs. Chacun de nous, je crois, à Londres et à Vienne, à Berlin et à Madrid, à Athènes et à Varsovie, à Rome et à Paris, à Sofia et à Belgrade, doit ressentir le même drame.
Chacun de nous est le dernier des Européens.
Je suis le prince débile issu d’une lignée de colosses et qui va peut-être clore une race. Je mourrai sans postérité, stérilisé par l’atome ou égorgé par un fanatique. Et mes frères auront le même sort. Des géants nous précèdent, des héros et des savants, des explorateurs de la terre et des explorateurs de l’âme, des César et des Antoine, des monarques et des capitaines, des silhouettes sévères en robe de bure, de belles courtisanes ou des brutes implacables. Tout un cortège de grandes figures, resplendissantes de splendeur et de puissance, se déroule à nos yeux, immense fardeau pour nos contemporains dérisoires. Voici que s’amassent à l’Orient les nuages sinistres de la ruée païenne et barbare.
Je vais mourir. Je meurs. Et la race Europe avec moi. Avec nous. Je ne laisserai rien.
Depuis cinquante ans j’ai dispersé l’héritage. Et laissé le royaume du ciel en friche. Je n’aurais pas d’héritiers dans ce monde hostile et chaotique. Je ne puis laisser qu’un message : l’histoire, la très belle histoire d’une civilisation mortelle, qui se croyait invincible. Une civilisation pour laquelle des milliards d’hommes ont lutté et vaincu pendant trente siècles. Personne ne sera là pour me lire. Qu’importe. Voici comme un dernier cri de rage et d’amertume.
Taxez-moi de romantisme, qu’importe !
Pour moi, le trésor du monde, c’est une infante de Vélasquez, un opéra de Wagner ou une cathédrale gothique. C’est un calvaire breton ou une nécropole de Champagne.
C’est le Romancero du Cid, ou le visage hugolien de “l’enfant grec”.
C’est un tombeau des Invalides, ou le Grand Aigle de Schönbrunn, l’Alcazar de Tolède, ou le Colisée de Rome, la Tour de Londres, ou celle de Galata, le sang de Budapest ou le quadrige orgueilleux de la Porte de Brandebourg devenue le poste frontière de l’Europe mutilée.
Pour toutes ces pierres, pour tous ces aigles et pour toutes ces croix, pour la mémoire de l’héroïsme et du génie de nos pères, pour notre terre menacée d’esclavage et le souvenir d’un grand passé, la lutte ne sera jamais vaine.
Frêle Geneviève de Paris, patronne de l’Europe, seule contre les hordes mongoles, tu symbolises notre esprit de résistance. Et toi, vainqueur blond au visage de dieu, Macédonien aux dix milles fidèles, Alexandre, toi qui conquis le monde oriental avec ta foi et ton épée, dressé contre le destin et le sens de l’Histoire, tu symboliseras peut-être un jour le triomphe de l’Europe impériale.
Jean de Brem (1935 – 1963),
Extrait de « Le Testament d’un Européen«
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christophe76460 · 7 months
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Après cela, dans mes visions nocturnes, je vis surgir une quatrième bête, effrayante, terrifiante et d’une force extraordinaire ; elle avait d’énormes dents de fer, elle dévorait, déchiquetait et piétinait ce qui restait de ses victimes ; elle était bien différente des bêtes qui l’avaient précédée ; elle avait aussi dix cornes (Daniel 7:7).
La répétition dans mes visions nocturnes annonce quelque chose de nouveau. Il s’agit de la venue d’un monstre plus terrifiant que les précédents. Alors que Daniel a essayé de comparer les trois premières bêtes qui lui sont apparues à des animaux qu’on peut voir dans un zoo, comme un lion, un aigle, un ours ou un léopard, ce dernier monstre ne ressemble à rien de connu, c’est pourquoi Daniel n’essaie ni de l’identifier ni de lui donner un nom.
Cependant, tout porte à croire que dans la révélation qu’il a reçue, l’apôtre Jean a vu la même chose que Daniel. En effet, il la décrit possédant dix cornes tout comme le monstre de Daniel. Je lis le passage de Jean :
Alors je vis monter de la mer une bête qui avait sept têtes et dix cornes. Elle portait sur ses cornes dix diadèmes et sur ses têtes étaient inscrits des titres insultants pour Dieu. La bête que je vis avait l’allure d’un léopard, ses pattes ressemblaient à celles d’un ours et sa gueule à celle d’un lion. Le dragon lui donna sa puissance, son trône et une grande autorité (Apocalypse 13:1-2).
Le quatrième monstre que Daniel aperçoit dans sa vision correspond à l’Empire romain. Il est représenté par les jambes en fer, les pieds partiellement en fer et partiellement en argile de la statue de Nabuchodonosor.
Alors que les fauves précédents étaient féroces et détruisaient tout sur leur passage, ce monstre-ci est bien pire. Quand Daniel a interprété ce quatrième empire au roi de Babylone, il a dit :
Il sera dur comme le fer ; comme le fer pulvérise et écrase tout et le met en pièces, ainsi il pulvérisera et mettra en pièces tous les autres royaumes (Daniel 2:40).
Ce qui est cohérent avec ce qu’il dit ici du monstre qui est effrayant, terrifiant et d’une force extraordinaire ; qui a d’énormes dents de fer, qui dévore, déchiquette et piétine ce qui reste de ses victimes. Ce quatrième animal est donc très différent des précédents ce qui explique aussi pourquoi Daniel s’attarde davantage sur lui que sur les trois autres.
La principale caractéristique du premier monstre était sa majesté, du second, sa voracité, du troisième, son agilité et du quatrième, sa force brutale, sa férocité et sa formidable puissance de destruction. Avec ses dents de fer, c’est davantage une machine à broyer qu’un animal. Il ne connaît pas la pitié et lui résister est fatal.
Comme je l’ai déjà dit, les dix cornes de ce monstre correspondent aux dix orteils de la statue. Or dans le symbolisme des Textes Sacrés, la corne représente un pouvoir et la force, et le chiffre dix un ensemble, une totalité. Plus loin, il est dit qu’il s’agit de rois ou états et ils ne se succéderont pas mais existeront ensemble. Le quatrième empire se divisera donc en plusieurs entités qui formeront une alliance.
L’Empire romain a commencé par absorber l’Égypte, la Syrie, les Balkans et la Grèce puis a continué à faire tache d’huile pour atteindre son zénith sous l’empereur César Auguste. Il a surpassé tous les grands empires précédents et rien n’échappait à sa puissance (Daniel 2:40; 7:7, 23). L’Empire romain fut le premier qui avait des frontières en Orient et en Occident. Il devint tellement grand qu’il était impossible à quiconque de le fuir.
Or c’est au moment où Rome atteint son apogée que se déroule la première phase du royaume de Dieu avec l’apparition de Jésus-Christ (né sous César Auguste). Puis, en même temps que l’Église se développe, l’empire subit les coups de boutoir des invasions barbares qui réussissent à le disloquer à cause de sa corruption interne. Il se divisera alors progressivement en une multiplicité d’états qui sont représentés dans les visions de Daniel par les dix cornes et les dix orteils.
Dans l’avenir, l’Empire romain se reconstituera sous la botte d’un nouveau César (appelé la petite corne, l’Antichrist), mais après sept ans de règne aura lieu la seconde phase du royaume de Dieu avec le retour triomphant du Messie qui viendra établir son royaume de mille ans sur terre. Un jour, ces prophéties sortiront des pages des Textes Sacrés pour s’accomplir et faire la une des journaux.
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J’ai toujours aimé les films avec des monstres qui sont là pour vous faire peur alors que je suis confortablement assis dans mon fauteuil. J’admire le savoir-faire et l’ingéniosité de ceux qui créent les effets spéciaux. À l’origine, ces monstres étaient en papier mâché et aujourd’hui ce sont des images virtuelles. Mais que ce soient les uns ou les autres, ils n’ont vraiment rien d’effrayant parce qu’ils n’existent pas. Par contre, s’ils gambadaient dans les rues, ce serait une tout autre affaire.
À la fin des temps surgira une alliance d’états despotiques qui aura à sa tête un être tellement vil que le pire des monstres que vous pouvez imaginer est un enfant de chœur à côté de lui.
Je continue à lire dans le chapitre sept de Daniel.
Après cela, dans mes visions nocturnes, je vis surgir une quatrième bête, effrayante, terrifiante et d’une force extraordinaire ; elle avait d’énormes dents de fer, elle dévorait, déchiquetait et piétinait ce qui restait de ses victimes ; elle était bien différente des bêtes qui l’avaient précédée ; elle avait aussi dix cornes. J’observais ces cornes et voilà qu’au milieu d’elles surgit une autre corne plus petite : trois des premières cornes furent arrachées devant elle. Sur cette corne, il y avait des yeux ressemblant à des yeux humains, et une bouche qui parlait avec arrogance (Daniel 7:7-8).
Cette quatrième bête est l’Empire romain, mais il aura plusieurs phases. Un jour apparaîtra un ensemble de dix états ou peut-être plus puisque le chiffre dix désigne symboliquement une totalité plutôt que dix unités. Puis au milieu d’eux se lèvera un nouveau venu. Il sera d’abord petit et insignifiant mais il grandira vite et remplacera brusquement et violemment trois états sans doute en les assimilant. Cette petite corne est décrite comme ayant des yeux ce qui représente l’ingéniosité, les capacités intellectuelles et les manœuvres rusées.
Cet homme sera véritablement et littéralement diablement intelligent. Il le sait et en tire gloire, et son orgueil est à la mesure de son pouvoir. Il s’agit bien sûr de l’Antichrist. L’apôtre Paul décrit cet homme inique quand il parle du jour du Seigneur, disant qu’il n’aura pas lieu avant que l’apostasie soit arrivée, et que se révèle l’homme impie, le fils de perdition, l’adversaire qui s’élève au-dessus de tout ce qu’on appelle Dieu ou qu’on adore, et qui va jusqu’à s’asseoir dans le temple de Dieu et se faire passer lui-même pour Dieu. L’avènement de l’impie se produira par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, et avec toutes les séductions de l’injustice (2Thessaloniciens 2:3-4, 9)
La deuxième phase de l’Empire romain est décrite dans la statue de Nabuchodonosor par les dix orteils qui sont un mélange de fer et d’argile, ce qui pourrait signifier un pouvoir autocratique au sein d’une alliance fragile d’états issus de l’Empire romain.
À l’heure actuelle, les pays de la Communauté européenne ont tous un régime démocratique où chacun veut avoir son mot à dire. Alors, on vote et on élit des candidats censés représenter le peuple. Mais dans la réalité, ce sont les groupes de pression, les grands argentiers et les magouilles politiciennes qui décident du vainqueur. C’est ce système biscornu qui donne une apparente légitimité aux élus qui permettra aussi à l’Antichrist de prendre le pouvoir.
Mais quand Jésus établira son royaume, il sera le roi doté d’un pouvoir absolu. Il n’y aura ni élection ni consultation ni chambre de ceci ou de cela ; ce sera un régime dictatorial bienveillant. Pour commencer, il n’essaiera pas de se remplir les poches, d’ailleurs l’argent tel que nous le connaissons n’aura plus cours. Ensuite, il fera régner la justice, la vraie, sans entourloupettes et sans vices de formes ou de procédures et le monde entier devra courber l’échine sous son sceptre royal.
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« Je sens peser sur mes épaules misérables le poids démesuré du plus glorieux des héritages. À moi, qui ne suis rien et qui n’apporte rien, la civilisation fait un cadeau gigantesque : le patrimoine de l’Europe. Il est fait de trésors et de souvenirs. Chacun de nous, je crois, à Londres et à Vienne, à Berlin et à Madrid, à Athènes et à Varsovie, à Rome et à Paris, à Sofia et à Belgrade, doit ressentir le même drame. Chacun de nous est le dernier des Européens. Je suis le prince débile issu d’une lignée de colosses et qui va peut-être clore une race. Je mourrai sans postérité, stérilisé par l’atome ou égorgé par un fanatique. Et mes frères auront le même sort. Des géants nous précèdent, des héros et des savants, des explorateurs de la terre et des explorateurs de l’âme, des César et des Antoine, des monarques et des capitaines, des silhouettes sévères en robe de bure, de belles courtisanes ou des brutes implacables. Tout un cortège de grandes figures, resplendissantes de splendeur et de puissance, se déroule à nos yeux, immense fardeau pour nos contemporains dérisoires. Voici que s’amassent à l’Orient les nuages sinistres de la ruée païenne et barbare. Je vais mourir. Je meurs. Et la race Europe avec moi. Avec nous. Je ne laisserai rien. Depuis cinquante ans j’ai dispersé l’héritage. Et laissé le royaume du ciel en friche. Je n’aurais pas d’héritiers dans ce monde hostile et chaotique. Je ne puis laisser qu’un message : l’histoire, la très belle histoire d’une civilisation mortelle, qui se croyait invincible. Une civilisation pour laquelle des milliards d’hommes ont lutté et vaincu pendant trente siècles. Personne ne sera là pour me lire. Qu’importe. Voici comme un dernier cri de rage et d’amertume : le Testament d'un Européen. »
« Chaque geste que vous ferez vers une Europe unifiée protègera un peu plus le trésor du monde. Taxez-moi de romantisme, qu’importe ! Pour moi, le trésor du monde, c’est une infante de Vélasquez, un opéra de Wagner ou une cathédrale gothique. C’est un calvaire breton ou une nécropole de Champagne. C’est le Romancero du Cid ou le visage hugolien de “l’enfant grec”. C’est un tombeau des Invalides ou le Grand Aigle de Schönbrunn, l’Alcazar de Tolède ou le colisée de Rome, la Tour de Londres ou celle de Galata, le sang de Budapest ou le quadrige orgueilleux de la Porte de Brandebourg devenue le poste frontière de l’Europe mutilée. Pour toutes ces pierres, pour tous ces aigles et pour toutes ces croix, pour la mémoire de l’héroïsme et du génie de nos pères, pour notre terre menacée d’esclavage et le souvenir d’un grand passé, la lutte ne sera jamais vaine. Frêle Geneviève de Paris, patronne de l’Europe, seule contre les hordes mongoles, tu symbolises notre esprit de résistance. Et toi, vainqueur blond au visage de dieu, macédonien aux dix milles fidèles, Alexandre, toi qui conquis le monde oriental avec ta foi et ton épée, dressé contre le destin et le sens de l’Histoire, tu symboliseras peut-être un jour le triomphe de l’Europe impériale. »
► Avant-propos de Jean de Brem dans Le testament d’un Européen., 1964.
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navisseli · 3 years
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Des femmes queer au fil de l’Histoire
3 recommandations livresques
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Ici Seli !
J’adore lire des romans historiques, et parmi mes suggestions, vous en retrouverez encore beaucoup. Et parmi toutes ces histoires, il y a forcément de nombreuses romances et forcément une écrasante majorité de romances hétérosexuelles. Et ces dernières sont malheureusement, dans de trop nombreux cas, toxiques, malsaines et tout ce qui va avec. Le plus souvent, le contexte historique sert d’excuse pour valider les idées et fantasmes de l’auteurice sur les rapports hommes/femmes d’autrefois. Oubliant par là même que même si le patriarcat a souvent été à son apogée dans notre passé, les abus et les viols restaient bel et bien des crimes.
Du coup, histoire de se changer un peu les idées, je vous propose trois romans où ces histoires toxiques sont très en retrait, voir absentes, pour mettre en valeur des relations entre femmes basées sur autre chose que le sexe maître et la domination. Histoire de ne pas oublier non plus que les personnes LGBTQI+ ont toujours été là, et qu’iels militent pour leur droit depuis aussi longtemps que les autres.  
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Reine, guerrière et bisexuelle
Boudicca, de Jean-Laurent Del Soccoro
Résumé :  Angleterre, an I. Après la Gaule, l’Empire romain entend se rendre maître de l’île de Bretagne. Pourtant la révolte gronde parmi les Celtes, avec à leur tête Boudicca, la chef du clan icène. Qui est cette reine qui va raser Londres et faire trembler l’empire des aigles jusqu’à Rome ? À la fois amante, mère et guerrière mais avant tout femme libre au destin tragique, Boudicca est la biographie historique et onirique de celle qui incarne aujourd’hui encore la révolte.
Commençons dans l’antiquité avec la reine Boudicca. Si le but est de nous donner un aperçu de la vie de cette femme semi-légendaire de sa naissance à sa mort, je dois avouer que la question de sa sexualité et de ses amours reste assez en retrait. Néanmoins, cet aspect de sa vie fait corps avec qui elle est et ce qu’elle a entrepris et participe à nous brosser le portrait d’une femme hors du commun. 
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L’histoire d’un couple comme les autres
Beignets de tomates vertes, de Fannie Flagg
Résumé :  "Un sacrée numéro, Idgie ! La première fois qu'elle a vu Ruth, elle a piqué un fard et elle a filé à l'étage pour se laver et se mettre de la gomina. Par la suite, elles ont ouvert le café et ne se sont plus jamais quittées. Ah ! Les beignets de tomates vertes du Whistle Stop Café ... J'en salive encore !" Un demi-siècle plus tard, Ninny, quatre-vingt-six ans, raconte à son amie Evelyn l'histoire du Whistle Stop, en Alabama. Il s'en ai passé des choses, dans cette petite bourgade plantée au nord de la voie ferrée ! Et Evelyn, quarante-huit ans, mari indifférent, vie sans relief, écoute, fascinée. Découvre un autre monde. Apprend à s'affirmer, grâce à Ninny, l'adorable vieille dame. Chronique du Sud profond de 1929 à 1988, ce roman tendre et généreux vous fera rire aux éclats et, au détour d'une page, essuyer une larme. Humour et nostalgie : une recette au parfum subtil ...
Après cette femme incroyable que fut Boudicca, il me semblait important de présenter un autre récit de vie, fictif cette fois, mais plus quotidien. Le couple que forment Ruth et Idgie fait face à de nombreuses embûches mais est empreint d’une grande chaleur et malgré tout, leur amour met du baume au coeur. Leur histoire n’est pas le centre absolu du roman mais en demeure un point essentiel, un tour de force pour un roman paru en 1987. D’ailleurs son adaptation cinéma va se faire ravaler la façade à grands coups d’heterowashing où Ruth et Idgies ne seront plus que des amies... 
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Transgresser le genre, la sexualité et la réalité
Passing Strange, de Ellen Klages
Résumé : San Francisco, 1940. Six femmes, avocate, artiste ou scientifique, choisissent d’assumer librement leurs vies et leur homosexualité dans une société dominée par les hommes. Elles essayent de faire plier la ville des brumes par la force de leurs désirs… ou par celle de l’ori-kami. Mais en science comme en magie, il y a toujours un prix à payer quand la réalité reprend ses droits.
Ce roman évolue quasi exclusivement dans les cercles queer, en particulier lesbiens, de San Francisco et nous propose tout un panel de personnages divers et de relations. Si les personnages principaux et les événements sont purement fictifs, le roman parvient à insuffler au couple formé par Haskel et Emilie un parfum d’évidence au sein d’une société qui fera tout pour que leur idylle n’ait pas lieu. En plus de nous proposer une histoire transpirant la diversité et la solidarité féminine, ce roman nous rappelle qu’en termes de droits, rien ne doit jamais être tenu pour acquis. 
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CHISTOPHE C'est qu'il en a fait du chemin #Christophe depuis la création de son  groupe "Danny Baby et les Hooligans" avec lequel il reprenait "Be-Bop-A Lula" de #GeneVincent.  Propulsé vedette yé-yé en 1965, alors qu’il n’a pas encore 20 ans, grâce à Aline, vendu à plus d'un million d'exemplaires, il enfonce le clou avec " Les Marionnettes" et pose sur la fameuse « photo du siècle » prise pour #Salutlescopains par @JeanMariePérier.  Les années 70 voient éclore un Christophe nouveau qui assume son goût pour les sons psychédéliques. Fini les looks à la James Dean.   C'est désormais les cheveux longs et peroxydés, la moustache second empire et en costume trois pièces cravate- souvent des Cerruti- qu'il se présente. Il adopte les vestes velours ou de satin (dont une parme), les chemises à col pelle à tarte qu'il accompagne d'un foulard.  Nouveau costume, nouvel album.  Les Paradis perdus, dont la pochette est emblématique de cette période vestimentaire, est écrit avec un inconnu ,Jean-Michel Jarre, qui lui concocte un autre météore Les Mots bleus , (ceux qui rendent les gens heureux). Dans les #80s, il s'essaie au perfecto rouge sang. Dans les années 2000, il adopte le combo tee-shirt, veste (souvent chamarrée), jean slim. Il porte (sans croire) une croix en sautoir, des bagues argentées, son bras s'orne d'un aigle. Le surnom donné par Bashung, «le gitan blond», est validé à 100 %" écrira Sabrina Champenois @Libération. "J'aurais pu être dans la mode. Je dessine mes fringues. J'achète des matières et je crée. Je suis presque une petite maison de couture à moi tout seul. Je ne porte que mes créations et je suis assez radical dans mes choix. Avant, je faisais mes bottes chez mon ami le bottier Capobianco, maintenant je les fais faire à Rome".  #frenchelegance #histoiredelamode #surmesure #bespoke #frenchstyle (à Daniel Lévy) https://www.instagram.com/p/COVe_xULY_L/?igshid=1ayengygr464x
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midautumnnightdream · 4 years
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THE THREE GLORIOUS DAYS
By Victor Hugo [source]
    {I., July, 1830.}
    Youth of France, sons of the bold,     Your oak-leaf victor-wreaths behold!     Our civic-laurels—honored dead!       So bright your triumphs in life's morn,       Your maiden-standards hacked and torn,     On Austerlitz might lustre shed.
    All that your fathers did re-done—     A people's rights all nobly won—     Ye tore them living from the shroud!       Three glorious days bright July's gift,       The Bastiles off our hearts ye lift!     Oh! of such deeds be ever proud!
    Of patriot sires ye lineage claim,     Their souls shone in your eye of flame;     Commencing the great work was theirs;       On you the task to finish laid       Your fruitful mother, France, who bade     Flow in one day a hundred years.
    E'en chilly Albion admires,     The grand example Europe fires;     America shall clap her hands,       When swiftly o'er the Atlantic wave,       Fame sounds the news of how the brave,     In three bright days, have burst their bands!
    With tyrant dead your fathers traced     A circle wide, with battles graced;     Victorious garland, red and vast!       Which blooming out from home did go       To Cadiz, Cairo, Rome, Moscow,     From Jemappes to Montmirail passed!
    Of warlike Lyceums{1} ye are     The favored sons; there, deeds of war     Formed e'en your plays, while o'er you shook       The battle-flags in air aloft!       Passing your lines, Napoleon oft     Electrified you with a look!
    Eagle of France! whose vivid wing     Did in a hundred places fling     A bloody feather, till one night       The arrow whelmed thee 'neath the wave!       Look up—rejoice—for now thy brave     And worthy eaglets dare the light.
    ELIZABETH COLLINS.
    {Footnote 1: The pupils of the Polytechnic Military School distinguished     themselves by their patriotic zeal and military skill, through all the     troubles.}
Original French under the cut:
DICTÉ APRÈS JUILLET 1830. [source]
I
Frères ! et vous aussi, vous avez vos journées ! Vos victoires, de chêne et de fleurs couronnées, Vos civiques lauriers, vos morts ensevelis, Vos triomphes, si beaux à l’aube de la vie, Vos jeunes étendards, troués à faire envie A de vieux drapeaux d’Austerlitz !
Soyez fiers ! vous avez fait autant que vos pères. Les droits d’un peuple entier, conquis par tant de guerres, Vous les avez tirés tout vivants du linceul. Juillet vous a donné, pour sauver vos familles, Trois de ces beaux soleils qui brûlent les bastilles : Vos pères n’en ont eu qu’un seul !
Vous êtes bien leurs fils ! c’est leur sang, c’est leur âme Qui fait vos bras d’airain et vos regards de flamme. Ils ont tout commencé. Vous avez votre tour. Votre mère, c’est bien cette France féconde Qui fait, quand il lui plaît, pour l’exemple du monde, Tenir un siècle dans un jour !
L’Angleterre jalouse et la Grèce homérique, Toute l’Europe admire, et la jeune Amérique Se lève et bat des mains, du bord des océans. Trois jours vous ont suffi pour briser vos entraves : Vous êtes les aînés d’une race de braves, Vous êtes les fils des géants !
C’est pour vous qu’ils traçaient avec des funérailles Ce cercle triomphal de plaines de batailles, Chemin victorieux, prodigieux travail, Qui, de France parti pour enserrer la terre, En passant par Moscou, Cadix, Rome et le Caire, Va de Jemmape à Montmirail !
Vous êtes les enfants des belliqueux lycées ! Là vous applaudissiez nos victoires passées ; Tous vos jeux s’ombrageaient des plis d’un étendard. Souvent Napoléon, plein de grandes pensées, Passant, les bras croisés, dans vos lignes pressées, Aimanta vos fronts d’un regard !
Aigle qu’ils devaient suivre ! aigle de notre armée Dont la plume sanglante en cent lieux est semée, Dont le tonnerre un soir s’éteignit dans les flots, Toi qui les as couvés dans l’aire paternelle, Regarde, et sois joyeuse, et crie, et bats de l’aile ! Mère, tes aiglons sont éclos !
(In French, there’s actually seven parts total - you can read them all if you click through to the link)
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feluz9 · 4 years
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La Vérité
La Vérité, lumière effrayée, astre en fuite, Évitant on ne sait quelle obscure poursuite, Après s'être montrée un instant, disparaît. Ainsi qu'une clarté passe en une forêt, Elle s'en est allée au loin dans l'étendue, Et s'est dans l'infini mystérieux perdue, Mêlée à l'ouragan, mêlée à la vapeur, Sombre, et de leur côté les hommes ont eu peur. Peur d'elle, comme elle a peur des hommes peut-être. Son effacement laisse obscure la fenêtre Ouverte dans notre âme et béante au milieu De l'ombre où l'épaisseur du temple cache Dieu. Maintenant il fait nuit, le mensonge est à l'aise. Cependant, par moments, sur la noire falaise, D'où l'on voit l'inconnu sans borne, et les roulis Du firmament tordant les astres dans ses plis, Sommet d'où l'on entend Dieu tourner son registre, Et d'où l'on aperçoit le modelé sinistre Des mondes ignorés, des vagues univers, L'un pour l'autre effrayants parce qu'ils sont divers, Faîte où les visions se confrontent entr'elles, Où les réalités, pour nous surnaturelles, Semblent avoir parfois la figure du mal, Du haut de cette cime appelée Idéal, Par instants un chercheur fait l'annonce sacrée, Et dit : — La Vérité, qui guide, échauffe et crée, Haute lueur par qui l'âme s'épanouit, Vivants, va revenir bientôt dans votre nuit ; Attendez-la. Soyez prêts à la voir paraître. — La terre alors se met à rire ; alors le prêtre, Alors le juge, alors le reître, alors le roi, Quiconque vit d'erreur, d'imposture et d'effroi, Dracon au nom des lois, Tibère au nom des hommes, Caïphe au nom du ciel, tout ce que les Sodomes Contiennent de plus sage et de plus vertueux, Tous les cœurs nés, ainsi que l'hydre, tortueux, Les frivoles, les purs, les doctes, les obscènes, Tout le bourdonnement de ces mouches malsaines, S'acharne ; un homme est fou du moment qu'il est seul. On rit d'abord ; le rire a fait plus d'un linceul ; Puis on s'indigne : — Il faut qu'un tel forfait s'expie ; L'homme osant n'être pas aveugle, est un impie ! Quoi ! celui-ci prétend qu'il voit de la clarté ! Il dit qu'il voit de loin venir la vérité ! Il sait l'heure, il connaît l'astre, il a l'insolence D'être une voix chez nous qui sommes le silence, D'être un flambeau chez nous qui sommes la noirceur ! Il vit là-haut ! il est ce monstre, le penseur ! Quoi ! sa prunelle est sainte, et serait la première Qu'éblouirait l'auguste et lointaine lumière ! L'abîme est noir pour nous et pour lui serait bleu ! Si ce n'est pas un fou, ce serait donc un dieu ! À bas ! — Et cris, fureur, sarcasme, affronts, supplices ! Les ignorants naïfs et les savants complices, Tous, car c'est l'homme auquel on ne pardonne point, Arrivent, et chacun avec sa pierre au poing. Ah ! tu viens annoncer la vérité ! prédire La fin de la bataille et la fin du délire, La fin des guerres, plus d'échafaud, le grand jour, Le plein midi, la paix, la liberté, l'amour ! Ah ! tu vois tout cela d'avance ! Plus d'envie, L'homme buvant la joie aux sources de la vie, Et la Fraternité, de ses larges rameaux Laissant tomber les biens en foule et non les maux. Pour avoir de tels yeux il faut être stupide ! À mort ! Et chacun grince, et trépigne, et lapide ; Avec tout ce qu'on a sous la main, fouets, bâtons, On frappe, on raille, on tue au hasard, à tâtons, Tant les âmes ont peur de manquer de ténèbres, Et tant les hommes sont facilement funèbres ! L'ennemi public meurt. Bien. Tout s'évanouit. Nous allons donc avoir tranquillement la nuit ! La sainte cécité publique est rétablie. On boit, on mange, on rampe, on chuchote, on oublie, L'ordre n'est plus troublé par un noir songe-creux ; On est des loups contents et des ânes heureux ; Le bonze met son masque et le temple son voile ; Quant au rêveur marchant en avant de l'étoile, Qui venait déranger Moïse et Mahomet, On ne sait même plus comment il se nommait. Et qu'annonçait-il donc ? La vérité ? Quel songe ! Au fond, la vérité, vivants, c'est un mensonge ; La vérité n'est pas. Fermons les yeux. Dormons. Tout à coup, au milieu des psaumes, des sermons, Des hymnes, des chansons, des cris, des ironies, Quelque chose à travers les brumes infinies Semble apparaître au seuil du ciel, et l'on croit voir Un point confus blanchir au fond du gouffre noir, Comme un aigle arrivant dont grandit l'envergure ; Et le point lumineux devient une figure, Et la figure croît de moment en moment, Et devient, ô terreur, un éblouissement ! C'est elle, c'est l'étoile inouïe et profonde, La Vérité ! c'est elle, âme errante du monde, Avec son évidence où nul rayon ne ment, Et son mystère aussi d'où sort un flamboiement ; Elle, de tous les yeux le seul que rien n'endorme, Elle, la regardée et la voyante énorme, C'est elle ! Ô Vérité, c'est toi ! Divinement, Elle surgit ; ainsi qu'un vaste apaisement Son radieux lever s'épand dans l'ombre immense ; Menace pour les uns, pour les autres clémence, Elle approche ; elle éclaire, à Thèbes, dans Ombos, Dans Rome, dans Paris, dans Londres, des tombeaux, Une ciguë en Grèce, une croix en Judée, Et dit : Terre, c'est moi. Qui donc m'a demandée ?
Victor Hugo
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furiefrancaise · 4 years
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𝙹𝙴𝙰𝙽 𝙽𝙸𝙲𝙾𝙻𝙰𝚂 𝙼𝙰𝚁𝙲𝙴𝚃𝚃𝙴𝙰𝚄 𝚍𝚎 𝙱𝚁𝙴𝙼 (𝟷𝟿𝟹𝟻-𝟷𝟿𝟼𝟹).
Étudiant, il milite aux Jeunes Indépendant. Il s'engage rapidement dans les parachutistes du colonel Chateau-Jobert. Après une brillante campagne en Algérie, lieutenant parachutiste, il participe à l'opération de Suez. Démobilisé, il entre en journalisme. Il participe à des journaux tels Paris Match, Combat mais aussi L'Esprit public, écrit plusieurs recueils de poèmes. Convaincu du déclin de notre civilisation, il a rejoint l'OAS-Métro dès sa création (pour la mort de Jean-Marie Bastien-Thiry, il publie une version française du chant allemand Ich hatt' einen Kameraden, sous le titre La Cavalcade). Mais déjà il ne voit d'issue que dans l'union étroite des nations européennes. C’est pourquoi il se lance dans l’écriture de son « Testament d’un Européen », magnifique œuvre d’érudition laissée inachevée. Une fresque héroïque qui retrace la construction de notre civilisation européenne qui puise ses racines à la fois dans les cultures de la Grèce et la Rome antiques et dans le christianisme.  
« Taxez-moi de romantisme, qu'importe!
 Pour moi, le trésor du monde, c'est une infante de Vélasquez, un opéra de Wagner ou une cathédrale gothique.
 C'est un calvaire breton ou une nécropole de Champagne.
 C'est le Romancero du Cid, ou le visage hugolien de "l'enfant grec".
 C'est un tombeau des Invalides, ou le Grand Aigle de Schönbrunn, l'Alcazar de Tolède, ou le Colisée de Rome, la Tour de Londres, ou celle de Galata, le sang de Budapest ou le quadrige orgueilleux de la Porte de Brandebourg devenue le poste frontière de l'Europe mutilée.
Pour toutes ces pierres, pour tous ces aigles et pour toutes ces croix, pour la mémoire de l'héroïsme et du génie de nos pères, pour notre terre menacée d'esclavage et le souvenir d'un grand passé, la lutte ne sera jamais vaine.
Frêle Geneviève de Paris, patronne de l'Europe, seule contre les hordes mongoles, tu symbolises notre esprit de résistance.
Et toi, vainqueur blond au visage de dieu, Macédonien aux dix milles fidèles, Alexandre, toi qui conquis le monde oriental avec ta foi et ton épée, dressé contre le destin et le sens de l'Histoire, tu symboliseras peut-être un jour le triomphe de l'Europe impériale. » 
Le 6 mars 1963, Jean de Brem abat devant son domicile le banquier Henri Lafond, président de la Banque de l’Union parisienne (BUP), qui avait refusé de témoigner en faveur des accusés lors des procès du Petit-Clamart, lui assénant avant de tirer : « de la part de Bastien-Thiry ! ».
Colline Ste Geneviève, près du Panthéon, le 18 avril 1963, le jeune homme âgé de 27 ans tombe sous les balles de policiers parisiens. Pour lui arracher les secrets qu'il venait d'avaler, ils lui percent la gorge sans plus de façon. La presse ne trouva rien à redire devant un tel acte de barbarie... 
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ronantheotec · 2 years
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Passionné de bandes dessinées , voici celles que j'apprécie plus particulièrement:
Les premières sont "Les Aigles de Rome" et "Scorpions" de Enrico Marini, ensuite "Sillage" de Jean David Morvan dessiné par Phillipe Buchet, "Sillage première arme" du même auteur et enfin "Walking Dead" de Robert Kirkman (une dessinée par Tony Moore, et une par Charlie Adlard).
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curtvilescomic · 5 months
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Morphea from Les Aigles du Rome Eagles of Rome by Enrico Marini
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jfblamagiehistoire · 4 years
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Napoléon présent au sénat à l'occasion de son sacre. Deux impressions numériques avec timbres par JFB.
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☞https://www.facebook.com/ArtTimbre/
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La boutique sur un ETSY
☞ https://www.etsy.com/shop/jfbdecor/
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La boutique sur un grand Marché
☞ https://www.ungrandmarche.fr/boutique/au-royaume-du-timbre
════════════ ❄❄
Napoléon rend visite au sénat de la Rome antique pour leur présenter  le code civil, l’Orbe et la main de la justice qui reposent sur la table
Pour rajouter une dose d'humour, les sénateurs ont cru bon d'accrocher un aigle impérial en l'honneur de l'empereur.
On ne présente plus Napoléon, mais je vous propose deux impressions numériques dans lesquelles on le retrouve dans une situation inhabituelle pour lui ; vous pouvez en juger sur la première vue.
Nous allons de suite les détailler.
Nous le voyons en bonne place, dans la salle où siégeait le sénat de la Rome antique.
On peut noter que sa tenue vestimentaire n'a rien envier à celle des romains.
Une bande de timbres rappelle les nombreux bustes réalisés à sa gloire.  
Dans la troisième vue, une impression qui montre le sacre de Napoléon, avec au centre les deux principaux acteurs : c'est l'occasion de mettre en avant un effet visuel sur cet instant largement repris par les peintres de l'époque.
De part et d'autre de l'image, des bustes sont rajoutés, toujours à la gloire de l'empereur.
Un bronze vient se joindre à la fête.
Enfin une deuxième bande de timbres représentant les épisodes importants de sa vie termine ce montage.
Les timbres dont il s'agit ont été émis en 1972 par Fujeira ; ils sont donc vintage, n'ont pas servis et sont pré-oblitérés.
Cette création est une pièce unique comme tout ce que je crée et c'est une idée de cadeau pour ceux qui aiment l'histoire, principalement Napoléon, et pour les philatélistes, car ils n'auront pas cet exemplaire UNIQUE.
L'impression a été réalisée sur du papier photo brillant de haute qualité : 280 gsm.
Vous pouvez conserver ces montages dans des pochettes plastiques (qui sont fournies), et les collectionner dans un classeur.
Autre solution, les mettre dans un cadre pour décorer votre intérieur. Ainsi cela pourra servir de décoration dans une entrée, un salon, une bibliothèque, une salle à manger ou une chambre. Ce sera une œuvre d'art à prix raisonnable, que vous pourrez offrir, ou vous offrir, que vous soyez collectionneur ou pas.
Un exemple de cadre vous est proposé dans la dernière vue : il s'agit d'un Cadre en bois Kota et de couleur Noir.
Attention, ce cadre n'est pas fourni.
Pour plus d'informations, n'hésitez pas à faire appel à moi.  
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Napoléon présent au sénat à l'occasion de son sacre. Deux impressions numériques avec timbres par JFB.
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Napoléon rend visite au sénat de la Rome antique pour leur présenter  le code civil, l’Orbe et la main de la justice qui reposent sur la table
Pour rajouter une dose d'humour, les sénateurs ont cru bon d'accrocher un aigle impérial en l'honneur de l'empereur.
On ne présente plus Napoléon, mais je vous propose deux impressions numériques dans lesquelles on le retrouve dans une situation inhabituelle pour lui ; vous pouvez en juger sur la première vue.
Nous allons de suite les détailler. 
Nous le voyons en bonne place, dans la salle où siégeait le sénat de la Rome antique.
On peut noter que sa tenue vestimentaire n'a rien envier à celle des romains.
Une bande de timbres rappelle les nombreux bustes réalisés à sa gloire.  
Dans la troisième vue, une impression qui montre le sacre de Napoléon, avec au centre les deux principaux acteurs : c'est l'occasion de mettre en avant un effet visuel sur cet instant largement repris par les peintres de l'époque. 
De part et d'autre de l'image, des bustes sont rajoutés, toujours à la gloire de l'empereur.
Un bronze vient se joindre à la fête. 
Enfin une deuxième bande de timbres représentant les épisodes importants de sa vie termine ce montage.
Les timbres dont il s'agit ont été émis en 1972 par Fujeira ; ils sont donc vintage, n'ont pas servis et sont pré-oblitérés.
Cette création est une pièce unique comme tout ce que je crée et c'est une idée de cadeau pour ceux qui aiment l'histoire, principalement Napoléon, et pour les philatélistes, car ils n'auront pas cet exemplaire UNIQUE.
L'impression a été réalisée sur du papier photo brillant de haute qualité : 280 gsm. 
Vous pouvez conserver ces montages dans des pochettes plastiques (qui sont fournies), et les collectionner dans un classeur.
 Autre solution, les mettre dans un cadre pour décorer votre intérieur. Ainsi cela pourra servir de décoration dans une entrée, un salon, une bibliothèque, une salle à manger ou une chambre. Ce sera une œuvre d'art à prix raisonnable, que vous pourrez offrir, ou vous offrir, que vous soyez collectionneur ou pas.
Un exemple de cadre vous est proposé dans la dernière vue : il s'agit d'un Cadre en bois Kota et de couleur Noir. 
Attention, ce cadre n'est pas fourni.
Pour plus d'informations, n'hésitez pas à faire appel à moi.   
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christophe76460 · 4 years
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L'INFILTRATION DES AGENTS DE SATAN DANS L'EGLISE , LA TACTIQUE DE L'ENNEMI
Apocalypse. 12 verset 13
« Et lorsque le dragon vit qu’il avait été précipité sur la terre, il persécuta la femme qui avait mis au monde l’enfant mâle. »
Quand le Diable vit qu’il ne lui était plus permis d’entrer au Ciel après que l'enfant mâle "Christ " soit enlevé vers Dieu et vers son trône , satan alla persécuter l’église .
Par conséquent, le dragon persécuta l’église dans sa période Chrétienne , l'histoire nous rappelle qu'au temps des disciples il y eu une grande persécution des chrétiens , cela perdura pendant 4 siècles .
LISTE DES PERSÉCUTIONS DU 1ER SIÈCLE AU 4 eme SIÈCLE
a.Première persécution à Jérusalem : mort d'Etienne
b.La persécution de Néron (54-68), à laquelle la tradition rattachera les martyrs de Pierre et de Paul de Tarse
c.La persécution de Domitien (81–96)
d.La persécution de Trajan (98–117)
e.La persécution de Marc Aurèle (161–180), Martyrs de Lyon
f.La persécution de Septime Sévère (193–211)
g.La persécution de Maximin le Thrace (235–238)
h.La persécution de Dèce (249–251), martyr de Fabien
i.La persécution de Valérien (253–260), martyr de Laurent de Rome
j.La persécution d'Aurélien (270–275)
k.La persécution de Dioclétien (284–305), la dernière et la plus grave des persécutions
Tragédie des siecles Ellen White chap 2 p 40
Dans tous les lieux où ils cherchaient refuge, les disciples du Christ étaient traqués comme des fauves. Obligés de se cacher dans des endroits désolés et solitaires, ils étaient “dénués de tout, persécutés, maltraités — eux dont le monde n’était pas digne — errants dans les déserts et les montagnes, dans les cavernes et les antres de la terre”.
A travers ces cruelles persécutions, les témoins de Jésus gardèrent la foi. Privés de tout confort, sevrés de la lumière du soleil dans les sombres mais hospitalières profondeurs de la terre, ils ne proféraient aucune plainte.
Tragédie des siècles Ellen White chap 2 p 42
Les efforts de Satan pour détruire l’Eglise par la violence étaient inutiles. Le grand conflit dans lequel périssaient les disciples du Christ ne s’arrêtait pas avec la vie de ces fidèles témoins tombés à leur poste. Apparemment vaincus, ils étaient vainqueurs. Les serviteurs de Dieu pouvaient mourir: l’Evangile continuait à se répandre, et le nombre de ses adhérents allait en augmentant.
Retournons dans l'apocalypse
Apocalypse . 12 verset 14
« Et à la femme deux ailes d’un grand aigle lui furent données, afin qu’elle puisse s’envoler vers le désert, en son lieu, où elle est nourrie pour un temps, et des temps, et la moitié d’un temps, loin de la face du serpent. »
À cause de la persécution, il fut donné à l’église des moyens pour s’enfuir de la terre promise (la vigne) vers la terre des Gentils (le désert).
Apocalypse . 12 verset 15
« Et le serpent lança de sa gueule de l’eau, comme un fleuve en crue, après la femme, afin qu’elle soit emportée par le fleuve. »
Au début, le serpent persécuta l’église, mais comme il vit que l’église croissait et prospérait toujours, il changea de tactique et commença plutôt à persécuter les Païens qui ne se joignirent pas à l’église et à susciter des pasteurs par lesquels faire entrer un fleuve de non convertis pour paganiser l’église afin qu’elle ne puisse les Évangéliser.
Tragédie des siecles Ellen White chap 2 p 42 et 43
Pour mieux réussir dans sa guerre contre le gouvernement du ciel, Satan songea alors à une tactique nouvelle: dresser sa bannière au sein de l’Eglise chrétienne, comptant que s’il pouvait séduire les disciples du Christ et attirer sur eux le déplaisir de Dieu, ils deviendraient pour lui une proie facile.
A partir de ce moment, le grand adversaire entreprit d’obtenir par la ruse ce qu’il n’avait pu s’assurer par la contrainte. La persécution cessa et fut remplacée par l’appât dangereux de la prospérité et des honneurs temporels. Des idolâtres furent amenés à adhérer partiellement à la foi chrétienne, tout en rejetant certaines vérités essentielles. Ils prétendaient accepter Jésus comme le Fils de Dieu et croire à sa mort et à sa résurrection, mais n’avaient pas conscience de leur état de péché, ni de leur besoin de repentance.
Prêts à faire quelques concessions, ils proposèrent aux chrétiens d’en faire autant, de façon à se rencontrer sur le même terrain.
L’Eglise courut alors un péril en regard duquel la prison, la torture, le feu et l’épée eussent été des bienfaits. Certains chrétiens demeurèrent inébranlables, déclarant que tout compromis leur était impossible. D’autres se montrèrent prêts à céder ou à modifier certains points de leur foi dans l’espoir d’amener ces nouveaux croyants à une conversion complète. Une heure d’angoisse avait sonné pour les fidèles disciples de Jésus-Christ. Sous le manteau du christianisme, Satan lui-même pénétrait dans l’Eglise pour la corrompre, en détournant les esprits de la Parole de vérité.
La plupart des chrétiens consentirent finalement à sacrifier la pureté de leur foi. Un accord fut conclu entre le christianisme et le paganisme. Les idolâtres se donnèrent pour convertis et membres de l’Eglise, tout en demeurant attachés à leurs divinités et en se bornant à remplacer les objets de leur culte par les images de Jésus, de Marie et des saints. Le levain de l’idolâtrie ainsi introduit dans l’Eglise y poursuivit son œuvre néfaste. De fausses doctrines, des rites superstitieux et des cérémonies païennes se glissèrent dans le credo et dans le culte chrétiens. L’union des fidèles et des idolâtres corrompit le christianisme, et l’Eglise perdit sa pureté et sa puissance .
Avec cette nouvelle tactique satan instaura la papauté en espérant changer les temps et la loi , la bible fut interdite et on instaura le dimanche jour du soleil comme le 7eme jour d'adoration , jusqu'à nos jours , le jour du dimanche est observé comme jour d'adoration par les protestants .
Tragédie des siècles Ellen White chap 3 p 54
En détournant les hommes de la loi de Dieu, le grand apostat avait réussi à “s’élever au-dessus de tout ce qu’on appelle Dieu ou de ce qu’on adore”. Il avait osé s’attaquer au seul des préceptes divins qui attire incontestablement l’attention de toute l’humanité sur le Dieu vivant et vrai. Le quatrième commandement, en appelant Dieu le Créateur des cieux et de la terre, le distingue de tous les faux dieux. Or, c’est à titre de mémorial de la création que le septième jour fut sanctifié comme jour de repos pour la famille humaine. Il était destiné à rappeler constamment aux hommes que Dieu est la source de leur être, l’objet de leur vénération et de leur culte. Voilà pourquoi Satan s’efforce de détourner l’homme de la fidélité et de l’obéissance qu’il doit à Dieu, et dirige ses attaques contre le commandement qui proclame Dieu comme Créateur de toutes choses.
Aujourd’hui, les protestants assurent que la résurrection du Christ a fait du dimanche le jour de repos des chrétiens. Mais ils n’étayent cette affirmation d’aucune preuve biblique. Jamais Jésus ni ses apôtres n’ont fait un pareil honneur à ce jour. L’observation du dimanche comme jour de repos a été engendrée par “le mystère de l’iniquité”
Apocalypse . 12 verset 16
« Et la terre aida la femme, et la terre ouvrit sa bouche et engloutit le fleuve que le dragon avait lancé de sa gueule. »
C’est ainsi que l’église sera purifiée et que l’ivraie sera détruite ; en tant qu’ivraie ils seront brûlés ; en tant qu’ouvriers non rentables ils seront jetés dans les ténèbres du dehors où ils pleurent et grincent des dents ; en tant qu’invités impropres aux noces ils sont jetés dans les ténèbres du dehors ; en tant que vierges folles l’entrée leur est refusée ; en tant que chèvres ils sont envoyés dans un châtiment éternel ; en tant que fleuve du dragon ils sont engloutis par la terre. Mais, la chose réelle qui leur arrive à tous est pleinement décrite dans la prophétie d’Ézéchiel au chapitre 9. Lisons Ézéchiel 9.
Ezéquiel. 9 verset 1 à 11
« Et Il cria à mes oreilles d’une voix forte, disant : Faites approcher ceux qui ont charge de la ville, chacun avec son arme de destruction dans sa main. Et voici, six hommes venaient du chemin de la porte supérieure qui est face au nord, et chacun son arme de massacre dans sa main ; et un homme était au milieu d’eux vêtu de lin, avec à son coté un encrier d’écrivain ; et ils entrèrent, et se tinrent près de l’autel de bronze.
« Et la gloire du DIEU d’Israël s’éleva de dessus le chérubin sur lequel elle était, et vint vers le seuil de la maison. Et Il appela l’homme vêtu de lin, qui avait l’encrier d’écrivain à son côté. Et le SEIGNEUR lui dit : Passe au milieu de la ville, au milieu de Jérusalem, et fais une marque sur les fronts des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui se font au dedans d’elle.
« Et Il dit aux autres, moi l’entendant : Passez par la ville après lui, et frappez ; que votre œil n’épargne personne, et n’ayez aucune pitié. Tuez entièrement vieux et jeunes hommes, vierges, et enfants et femmes ; mais n’approchez aucun sur lesquels est la marque, et commencez par Mon sanctuaire. Et ils commencèrent par les anciens qui étaient devant la maison. Et il leur dit : Profanez la maison, et remplissez les cours de tués, sortez. Et ils sortirent, et frappèrent dans la ville.
« Or il arriva que tandis qu’ils frappaient et que je restais seul, je tombai sur ma face, je criai et dis : Ah, Seigneur DIEU ! Veux-tu détruire tout le reste d’Israël, en versant ta fureur sur Jérusalem ?
« Et Il me dit : L’iniquité de la maison d’Israël et de Juda est excessivement grande, et le pays est plein de sang, et la ville pleine de perversité ; car ils disent : Le SEIGNEUR a abandonné la terre ; le SEIGNEUR ne voit pas. Et quant à Moi, Mon œil aussi n’épargnera pas, et Je n’aurai pas de pitié non plus, mais Je récompenserai leur conduite sur leur tête. Et voici, l’homme vêtu de lin, qui avait l’encrier à son côté, rapporta l’affaire, disant : J’ai fait comme tu m’as commandé. »
La promesse de purifier Jérusalem, Juda et Israël demeure aussi sûre que n’importe quelle promesse de la Parole. Les termes Jérusalem, Juda, Israël vous savez, ne peuvent s’appliquer qu’à l’église, l’endroit où chacun devrait soupirer et gémir contre les abominations.
Ceux qui ne soupirent et ne gémissent sont laissés sans la marque et alors les anges qui doivent châtier l’église tuent chacun d’entre eux — « les vieux, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes. »
Seuls ceux qui ont la marque seront laissés.
Ils sont le reste. Les anges doivent s’occuper à la fois du blé et de l’ivraie.
Oui, il doit y avoir un net débarras de toutes sortes d’ivraie tout comme anciennement il y eut un net débarras de tous les premiers nés dans les maisons qui n’avaient pas peint le linteau de leurs portes avec le sang sacrificiel au soir de la Pâque dans le pays d’Égypte. Ainsi, en sera-t-il au commencement de la moisson, lors de la purification de l’église : les anges tueront chacun de ceux qui entretiennent les abominations « au dedans d’elle ».
QUAND AURA LIEU CETTE COMPLÈTE PURIFICATION ?
Quand aura lieu cette complète purification ?
Pour trouver la réponse tournons-nous vers Sophonie .
Sophonie. 1 verset 2, 3
« Je consumerai entièrement toutes choses de dessus le pays, dit le SEIGNEUR. Je consumerai homme et bête ; Je consumerai les oiseaux du ciel et les poissons de la mer, et les pierres d’achoppement avec les méchants, et Je retrancherai l’homme du pays, dit le SEIGNEUR. » (version Darby).
Il y a ici une promesse que le SEIGNEUR doit purifier entièrement la terre et je suis sûr qu’aucun d’entre vous ne dira que ces prophéties n’aient jamais été accomplies.
Sophonie . 1 verset : 4, 5
« J’étendrai aussi Ma main sur Juda et sur tous les habitants de Jérusalem ; et Je retrancherai de ce lieu le reste de Baal, et le nom des Chemarim avec les prêtres, Et ceux qui adorent sur les toits devant l’armée du ciel, et ceux qui adorent et jurent par le SEIGNEUR, et qui jurent par Malcham »
Non seulement la terre, mais aussi le peuple composant la maison de Juda doivent être purifiés. Il doit y avoir une terre et également un peuple pur , ce retranchement ne c'est jamais accompli du temps de Sophonie , donc cette prophétie s'accomplira dans l'avenir .
Sophonie 1 verset 6
« Et ceux qui se sont détournés du SEIGNEUR, et ceux qui n’ont pas cherché le SEIGNEUR, et ne s’enquièrent pas de Lui. »
Les refroidis et les indifférents, ceux qui sont instables et qui ne voient pas la nécessité de DIEU doivent périr avec l’ivraie.
Sophonie 1 verset 7
« Tais-toi en présence du Seigneur DIEU car le jour du SEIGNEUR est proche ; car le SEIGNEUR a préparé un sacrifice, Il a convié Ses invités. »
C’est le grand et redoutable jour du SEIGNEUR longtemps attendu.
Sophonie . 1 verset 8
« Et il arrivera au jour du sacrifice du SEIGNEUR, que Je punirai les princes, et les enfants du roi, et tous ceux qui sont habillés de vêtements étranges. »
Sophonie 1 verset 9-11
« Je punirai aussi en ce jour-là tous ceux qui sautent par-dessus le seuil, qui remplissent de violence et de tromperie les maisons de leurs maîtres. Et en ce jour-là, dit le SEIGNEUR, il y aura le bruit d’un cri depuis la porte des poissons, et un hurlement depuis la seconde, et un grand fracas depuis les collines. Hurlez, vous habitants de Mactès, car tous les marchands sont détruits, tous ceux qui apportaient de l’argent sont retranchés. »
Le grand désastre viendra à la fois de la porte des poissons et des collines — de la terre et de la mer. À la fois ceux qui remplissent de violence et de fraude la maison de leur maître et les méchants maîtres eux-mêmes seront punis.
Sophonie 1 verset 12-18
« Et il arrivera, en ce temps-là, que Je fouillerai Jérusalem avec des bougies, et Je punirai les hommes qui sont figés sur leurs lies, qui disent dans leur cœur, Le SEIGNEUR ne fera ni bien ni mal. C’est pourquoi leurs biens deviendront un butin, et leurs maisons une désolation ; ils bâtiront aussi des maisons, mais ne les habiteront pas ; et ils planteront des vignes, mais n’en boiront pas le vin. Le grand jour du SEIGNEUR est proche, il est proche, et se hâte grandement, et même la voix du jour du SEIGNEUR ; l’homme puissant criera là amèrement. Ce jour est un jour de colère, un jour d’angoisse et de détresse, un jour de dévastation et de désolation, un jour sombre et triste, un jour de nuages et d’épaisse obscurité, Un jour de trompette et d’alarme contre les villes fortifiées et contre les hautes tours. Et J’amènerai la détresse sur les hommes, si bien qu’ils marcheront comme des aveugles, parce qu’ils ont péché contre le SEIGNEUR ; et leur sang sera répandu comme de la poussière, et leur chair comme des excréments. Ni leur argent, ni leur or ne pourront les délivrer au jour de la colère du SEIGNEUR ; mais tout le pays sera dévoré par le feu de Sa jalousie ; car Il se débarrassera rapidement de tous les habitants du pays. »
L’époque du jour du SEIGNEUR est indiquée par une « colère », une « angoisse », une « détresse », un « dévastation », une « désolation », par des « ténèbres » et une « obscurité » — un temps pendant lequel personne ne sait quoi faire pour éviter le désastre, un temps de crainte tel que même les villes les mieux fortifiées seront effrayées. Autant que je sache il n’y en a jamais eu de semblable.
La condition du monde aujourd’hui est l’unique condition qui répond au défit de ces prophéties. Puisque ceci est vrai alors c’est le jour où le SEIGNEUR fouillera Jérusalem avec des bougies. C’est le jour où il purifie Son peuple du péché et des pécheurs. C’est le grand et redoutable jour du SEIGNEUR.
Ce jugement des vivants commencera par la maison de Dieu par Ezequiel 9 et se poursuivra avec les plaies dans le monde , ceux qui ne prendront pas garde aux écritures périront .
1 Pierre 4 verset 17 à 18
Car c'est le moment où le jugement va commencer par la maison de Dieu. Or, si c'est par nous qu'il commence, quelle sera la fin de ceux qui n'obéissent pas à l'Evangile de Dieu? 18Et si le juste se sauve avec peine, que deviendront l'impie et le pécheur?…
Malachie . 3 verset 1-5
« Voici, J’enverrai Mon messager, et il préparera le chemin devant Moi, et le SEIGNEUR que vous cherchez viendra soudainement à Son temple, c’est-à-dire le messager de l’alliance en qui vous prenez plaisir ; voici, il viendra, dit le SEIGNEUR des armées. Mais qui pourra supporter le jour de sa venue ? Et qui subsistera quand il paraîtra ? Car il est comme le feu du raffineur, et comme la potasse des foulons. Et il sera assis, comme celui qui raffine et purifie l’argent ; et il purifiera les fils de Lévi, et les purgera comme l’or et l’argent, afin qu’ils puissent offrir au SEIGNEUR une offrande dans la droiture. Alors l’offrande de Juda et de Jérusalem sera agréable au SEIGNEUR comme aux jours anciens, comme aux premières années. Et Je M’approcherai de vous pour le jugement, et Je serai un rapide témoin contre les sorciers, et contre les adultères et contre ceux qui jurent faussement, et contre ceux qui oppriment le salarié sur sa paye, et la veuve et l’orphelin, et qui détournent l’étranger de son droit, et qui ne Me craignent pas, dit le SEIGNEUR des armées. »
Nous-mêmes, ne devrions nous pas nous considérer maintenant comme le peuple le plus fortuné du monde sachant auparavant ces choses ?
Ne serons-nous pas contents et reconnaissants d’être déjà avertis que nous approchons du temps de la moisson et que l’opportunité nous est donné de nous y préparer ?
Apocalypse. 18 verset 1 – « Et après ces choses, je vis un autre ange descendre du ciel, ayant un grand pouvoir ; et la terre fut illuminée de sa gloire. »
L’accomplissement de cette écriture est appelé le Grand Cri du Message du Troisième Ange .
Mais notez que toute la terre est éclairée par sa gloire.
Maintenant, remarquons ce qui se passe après que le Message du Troisième Ange avec son addition soit répandu sur la terre, après que la terre soit éclairée de la gloire de l’ange.
Apocalypse . 18 verset 2
« Et il cria puissamment d’une forte voix, disant : Babylone la grande est tombée, elle est tombée, et est devenue l’habitation des diables, et le repaire de tout esprit infecte, et une cage de tout oiseau impur et détestable. »
Ah, après que la terre soit éclairée, alors Babylone tombe. Il est donc clair que Babylone en réalité n’est pas encore tombée. En fait, la domination de Babylone sur le monde entier n’est même pas encore venue à l’existence, car elle doit encore s’asseoir (gouverner) sur la bête (le monde) . Voir Apocalypse 17
Apocalypse . 18 verset 4
« Et j’entendis une autre voix du ciel, disant : Sortez du milieu d’elle, Mon peuple ; afin que vous ne participiez pas à ses péchés, et que vous ne receviez pas de ses plaies … »
Cette voix du ciel, vous voyez, vient vers le peuple de Dieu après que la terre ait été éclairée par le Grand Cri de l’ange. La mission de la Voix est de dire que le peuple de Dieu doit sortir de Babylone afin de ne pas participer à ses péchés et de ne pas avoir part à ses fléaux. Si à cause de cela, ils doivent sortir de Babylone, donc l’endroit où ils seront appelés à venir, est un endroit sans péché et ainsi à l’abri du danger des plaies.
En effet, il serait vain si le peuple était appelé à sortir d’un lieu de péché pour être amené dans un autre lieu de péché , de plus sortir d'une église pour aller dans une autre église ne protégera pas des plaies , donc il faut un endroit comme l'était Gosen du temps de Moise .
« Review and Herald, » 19 Nov. 1908. Ellen White
« Le message du troisième ange doit éclairer la terre de sa gloire mais seuls ceux qui ont résisté à la tentation avec la force du Tout-Puissant seront autoriser à avoir une part dans sa proclamation lorsqu’il deviendra un grand cri. »
La plupart des Chrétiens savent qu’il y a deux classes dans l’église, l’ivraie et le bon grain , mais peu, sinon personne ne semble s’en soucier. Cependant, en tant que réformateurs, nous ne pouvons nous permettre d’être indifférents particulièrement depuis que cette grande lumière sur ce sujet nous a été donnée. Maintenant, nous pouvons intelligemment choisir d’être du « bon grain » ou de « l’ivraie ».
Par conséquent, les hommes qui reposent dans leur maison qui agissent comme si le SEIGNEUR avait abandonné la terre auront leur châtiment.
Non seulement nous devons voir et sentir le jour du SEIGNEUR approcher, mais nous devons même entendre Sa Voix.
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Text
“ Chaque geste que vous ferez vers une Europe unifiée protègera un peu plus le trésor du monde. Taxez-moi de romantisme, qu’importe !
Pour moi, le trésor du monde, c’est une Infante de Vélasquez, un opéra de Wagner ou une cathédrale gothique. C’est un calvaire breton ou une nécropole de Champagne. C’est le Romancero du Cid ou le visage hugolien de “ l’enfant grec ”. C’est un tombeau des Invalides ou le Grand Aigle de Schönbrunn, l’Alcazar de Tolède ou le Colisée de Rome, la Tour de Londres ou celle de Galata, le sang de Budapest ou le quadrige orgueilleux de la Porte de Brandebourg devenue le poste frontière de l’Europe mutilée.
Pour toutes ces pierres, pour tous ces aigles et pour toutes ces croix, pour la mémoire de l’héroïsme et du génie de nos pères, pour notre terre menacée d’esclavage et le souvenir d’un grand passé, la lutte ne sera jamais vaine. Frêle Geneviève de Paris, patronne de l’Europe, seule contre les hordes mongoles, tu symbolise notre esprit de résistance. Et toi, vainqueur blond au visage de dieu, Macédonien aux dix-mille fidèles, Alexandre, toi qui conquis le monde oriental avec ta foi et ton épée, dressé contre le destin et le sens de l’Histoire, tu symboliseras peut-être un jour le triomphe de l’Europe impériale.”
Avant-propos de Jean de Brem dans “ Le testament d’un Européen - 1964
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