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#La Femme de l'ombre
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La Part de l'ombre (1945), dir. Jean Delannoy
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lisaalmeida · 2 months
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La perfection me rend malade, me dégoûte. Toutes ces femmes et ces hommes qui cherchent la perfection dans les stéréotypes créés par la société me filent le vomi.
Putains de mannequins de viande, sans personnalité ou de l'amour pour eux-mêmes.
Mêmes vêtements, même musique, les mêmes expressions, mêmes aliments, mêmes défoncées, les mêmes voitures, mêmes vies... et à la fin ? Mêmes suicides neuronaux de masse.
Pourquoi vivre comme un automate est sans l'ombre d'un doute ?... un suicide. Quand on est tous "égaux", On est tous ces personnes.
La perfection est un oiseau en cage qui vit, mange, chie et meurt dans le seul but d'être admiré.
Je veux vivre libre, gelé, affamé mais libre.
Charles Hank Bukowski
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“Dans l'antre du club de jazz, où l'obscurité se marie à l'ivresse, je m'enfonce dans l'ombre, isolé dans ma détresse. Le serveur, parfois messager discret des prémices concubines, me transmet, sur un voile, une écriture divine.
"Bonjour, Monsieur", alors, commence l'histoire de cette nouvelle vie ; une femme élégante, envoûtante mélodie. Elle désire être le chemin où nos pas se confondent, où nos empreintes tracent ensemble une autre ronde.
Dans l'attente fébrile, je pose ma plume sur le papier. "Bonjour, Madame," ma réponse, fragile pensée - peut-être, sur le chemin où je me suis égaré, nous croiserons-nous - vouée à découvrir nos affinités.
Le serveur, tel un oiseau portant mon émoi, la serviette en main, vers elle se déploie. Et ainsi, entre les harmonies et les murmures ensorcelants, s'ouvre l'étrange bal de deux amants au destin voluptueux et troublant.„
~•~
“In the den of the jazz club, where darkness blends with intoxication, i sink into the shadows, isolated in my distress. The waiter, sometimes the discreet messenger of concubine premices, transmits divine writing to me on a veil.
"Bonjour, Monsieur", then, begins the story of this new life ; an elegant woman, bewitching melody. She wants to be the path where our footsteps merge, where our footprints trace together another round.
In feverish anticipation, i put pen to paper. "Bonjour, Madame," my reply, a fragile thought - perhaps, on the path where i've lost my way, we'll cross paths - destined to discover our affinities.
The waiter, like a bird carrying my emotion, napkin in hand, towards her, unfurls. And so, between bewitching harmonies and murmurs, the strange dance of two lovers with a voluptuous and troubling destiny begins.„
~•~
— Fred Leforgeur-Baudelaire
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Visual art applied : Watercolor, felt-tip pens and oil : FLB (Fred Leforgeur-Baudelaire)
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magdalena-mojennarmor · 4 months
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Un fille très jeune sur un très vieux rocher s'assoit et fume. La fumée à sa bouche comme un serpent circule. S'approche vers elle une femme osseuse, aux angles étoffés de lourds voiles. Elle pose sur la petite un regard de craie dure. Puis, elle parle:
Telle que je te vois, petite, tu tiens dans chaque main et le bien et le mal, tu pétries le cou de cet oiseau sinistre et t'amuses du sang qui coule dans tes paumes. Sa douleur t'amuse, et la souillure te plaît. Tu ne crois ni en lui ni en la force qui le broie mais adores le sang qui encrasse tes doigts. Tu refuses de mener cette vie qui t'inonde. Passant comme une voleuse sous les enseignes vives, tu ricanes du spectacle des galeries luxueuses et à chaque table tu t'invites pour te moquer au mieux du festin des convives. Tu crois la solitude qui te ramène le soir plus vibrante et belle que toutes les voix du monde. Tu crois qu'elle en est pleine, de toutes ces voix, comme tu crois les landes pleines d'étés et de meurtres.
Certains mots prononcés te font tressaillir: navire, blessures, crime, nuit, joyaux. Ce genre de mots répandent en toi une gloire d'élection. La laideur te fascine comme l'ultime miracle, couronnement des têtes de l'ombre. Tu t'en vas chaque jour chasser la rencontre de ces infréquentables, de ceux-là qui restent quand la foule s'écarte. Tu voudrais éprouver leurs lois, partager leur langue, leur vermine, hanter leur voie. Etre des leurs, qu'ils te rebaptisent et te marient à l'un d'eux; le plus brute et sordide et dont tu admireras les yeux.
Quand tombera sur toi l'odieux frisson, tu te retourneras la bouche pleine de malédictions.
Les mots auront fané. Les trains seront passés. Les horizons affaissés sous ton corps devenu mûr. La route s'imposera: immense, droite, implacable. Comme chacun l'a fait, tu t'y engageras, toi, le reste de ta force et tes armes. Tu auras le front fier des infirmes, la bouche sèche.
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abdou-lorenzo · 2 months
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La femme c'est Babel et labyrinthe...!!
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Si vous la laissez réfléchir, vous êtes perdu. Souvenez-vous-en :
cœur chaud, tête froide....L'a b c du séducteur......😉 💞✨✨
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L'Ombre du vent de Carlos Ruiz Zafón
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feytouched · 2 months
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hi ieva!! sorry for bothering you but i'm trying to get into perfume, and was wondering if you had any recommendations for anything that smells 'angelic' while still leaving an impression, if that makes sense? i'd also love any recommendations of perfumes that smell predominantly like rose or vanilla, if you have any! i hope you have a lovely day! ♡
hi my love, it's not a bother at all, feel free to drop by my inbox whenever!!
when i think 'angelic' i think uplifting + floral + ethereal. some options to look into - amyris femme by mfk, moon carnival by vilhelm parfumerie, datura noir by serge lutens, l'eau d'hiver by frederic malle (actually probably my top suggestion here), vial of holy water by bpal, silver sky by alkemia- these all have a translucent, pearlescent sort of aura to them.
for rose perfumes, my favourites are: the entire delina line by parfums de marly, but especially delina la rosée as it is the rosiest of the bunch; l'ombre dans l'eau by diptyque for a wilder, greener, but photorealistic rose; and the lover tells of the rose by alkemia.
for vanilla: if you want pure vanilla bomb, kayali vanilla 28 is the move. it reminds me a little too much of victoria's secret body spray though so if you want something more subtle, go for whispers in the library for maison martin margiela. and for one of my all-time favourite perfumes, though it is a little more androgynous, try dorian by bpal.
lastly, on the off chance you (or someone else reading this) want something angelic in the 'be not afraid' eldritch sense of the word! ganymede by marc-antoine barrois, event horizon by bpal, or hermann à mes côtés me paraissait une ombre by état libre d'orange. or something by toskovat, i'm sure, though i haven't tried any of their stuff yet.
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auboutdespages · 2 months
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Notre rendez-vous du mois!
Hello mes papivores 2.0, et bienvenue à notre rendez-vous du mois qui s'annonce riche en émotions comme le premier. Aujourd'hui, je vous garde dans le même univers que mon précédent article, mais celui ci est un peu plus je dirais … GLAUQUE! L'écrivaine Louise Mey, auteure engagée au style on ne peut plus percutant, sait nous captiver, nous lecteurs dès les premières pages. Et ce que j'adore par dessus tout avec cette grande dame bourrée de talents c'est le fait que la plupart de ses thèmes repose sur des sujets sensibles et d'actualité, tels que les féminicides, les manipulations psychologiques, les secrets de famille et les injustices sociales.
C'est exactement dans un thème comme ceux suscités que je me suis plongée récemment. Laissez vous submerger d'émotions (je vous promets très débordantes), dans ce thriller psycho dramatique de Louise Mey: LA DEUXIEME FEMME .
Le PITCH d'abord!
Sandrine a tout pour être heureuse : un mari aimant, deux enfants magnifiques, une vie paisible. Mais un jour, tout bascule. Son mari, Thomas, lui annonce qu'il a retrouvé son ex-femme, Clara, disparue depuis des années. Sandrine se retrouve alors en proie à un sentiment de jalousie et de peur qui va crescendo. Qui est vraiment Clara ? Que veut-elle ? Sandrine est-elle en danger ?
Mon avis, toujours HUMBLEMENT!
Louise Mey sait d'habitude comment tenir son lecteur en haleine. Dès les premières pages, on est happé par l'intrigue et on a du mal à lâcher le livre. L'auteure distille savamment les indices et les rebondissements, nous menant sur de fausses pistes et nous surprenant jusqu'au dénouement final. Par contre dans ce thriller, j'ai eu beaucoup de mal aux premières pages qui ennuyaient très vite et qui ont bien failli me faire laisser tomber ce livre (heureusement que non!). On nous présente Sandrine, jeune femme ordinaire envahie de complexes (sentiment normal je vous assure!), essayant de vivre sa vie paisiblement. Son univers bascule quand son mari Thomas (attention à tous les "Thomas" de votre entourage après ça!) lui annonce qu'il a retrouvé son ex femme auparavant mystérieusement disparue… Le retour de Clara (personnage très atypique), l'ex-femme de son mari, agit comme un tremblement de terre, ravivant des blessures enfouies et semant le doute et la peur dans son esprit. Le roman explore avec profondeur les sentiments complexes de Sandrine, tiraillée entre la jalousie, la colère et l'espoir de sauver son mariage. Sa confrontation avec Clara est électrique, chaque mot résonnant comme un coup de poignard dans une atmosphère de tension palpable.
La Deuxième Femme n'est pas seulement un thriller psychologique, mais également un récit poignant sur la place des femmes dans la société. Louise Mey met en lumière les injustices et les violences auxquelles elles sont confrontées, soulignant la douleur et la solitude ressenties par celles qui se retrouvent dans l'ombre d'une autre femme. C'est un livre poignant et bouleversant qui ne se résume pas à une simple intrigue policière. Il nous confronte à la complexité des relations humaines et aux répercussions profondes de nos choix. Un récit qui m'a profondément marquée et qui m'a amenée à réfléchir sur la force et la résilience des femmes face à l'adversité. Ce qui rend ce livre particulier est le partage incroyable de sentiments que l'on peu avoir avec Sandrine: l'insécurité, la peur à chaque fois que son mari rentrait du travail, la douleur des coups qu'elle recevait, l'humiliation servie par Thomas et surtout la RAGE de vaincre et de se sortir de là une fois le déclic eu… La fois de trop! Attention, les violences psychologique et physique peuvent être difficiles à lire pour certains.
J'ai clairement savouré avec amertume (pour être honnête) ce livre et je le recommande à tous les lecteurs qui recherchent un roman intense et poignant, les amateurs de thrillers psychologiques et les personnes sensibles aux questions de société et aux violences faites aux femmes.
Vous pouvez vous procurer cette merveille au Supermarché CARREFOUR à PLAYCE, quartier WARDA à Yaoundé au rayon bibliothèque.
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Mon inspiration du jour
Il (elle) avait dans ses yeux l'immensité du ciel...
Il (elle) rendait l'ordinaire extraordinaire,
Et de l'ombre il (elle) faisait la lumière,
Il (elle) était mon tout même quand je n'avais rien,
C'était un homme (une femme) d'un autre monde.
J'aimerais une fois revoir son sourire...
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coolvieilledentelle · 11 months
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" Le coeur de la femme est un labyrinthe de subtilités qui défie l'esprit grossier du mâle à l'affût. "
Carlos Ruiz Zafón ( L'Ombre du vent (2001)
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Tu vois, mon ami, le monde se divise en deux catégories, il y a ceux qui ânonnent le "sellezéceux" (ou le "àtoutezéàtousse") de la novlangue, et ceux qui désirent apprendre à parler français. Apprendre à parler correctement sa propre langue est le premier moment du système immunitaire… Pour eux, il y a la langue, toujours verte, de Victor Hugo:
«Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont
Ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front.
Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime.
Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime.
Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,
Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.
C'est le prophète saint prosterné devant l'arche,
C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche.
Ceux dont le cœur est bon, ceux dont les jours sont pleins.
Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains.
Car de son vague ennui le néant les enivre,
Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre.
Inutiles, épars, ils traînent ici-bas
Le sombre accablement d'être en ne pensant pas.
Ils s'appellent vulgus, plebs, la tourbe, la foule.
Ils sont ce qui murmure, applaudit, siffle, coule,
Bat des mains, foule aux pieds, bâille, dit oui, dit non,
N'a jamais de figure et n'a jamais de nom ;
Troupeau qui va, revient, juge, absout, délibère,
Détruit, prêt à Marat comme prêt à Tibère,
Foule triste, joyeuse, habits dorés, bras nus,
Pêle-mêle, et poussée aux gouffres inconnus.
Ils sont les passants froids sans but, sans nœud, sans âge ;
Le bas du genre humain qui s'écroule en nuage ;
Ceux qu'on ne connaît pas, ceux qu'on ne compte pas,
Ceux qui perdent les mots, les volontés, les pas.
L'ombre obscure autour d'eux se prolonge et recule ;
Ils n'ont du plein midi qu'un lointain crépuscule,
Car, jetant au hasard les cris, les voix, le bruit,
Ils errent près du bord sinistre de la nuit.
Quoi ! ne point aimer ! suivre une morne carrière
Sans un songe en avant, sans un deuil en arrière,
Quoi ! marcher devant soi sans savoir où l'on va,
Rire de Jupiter sans croire à Jéhova,
Regarder sans respect l'astre, la fleur, la femme,
Toujours vouloir le corps, ne jamais chercher l'âme,
Pour de vains résultats faire de vains efforts,
N'attendre rien d'en haut ! ciel ! oublier les morts !
Oh non, je ne suis point de ceux-là ! grands, prospères,
Fiers, puissants, ou cachés dans d'immondes repaires,
Je les fuis, et je crains leurs sentiers détestés ;
Et j'aimerais mieux être, ô fourmis des cités,
Tourbe, foule, hommes faux, cœurs morts, races déchues,
Un arbre dans les bois qu'une âme en vos cohues !»
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lisaalmeida · 2 months
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UN BILLET DE FEMME
Puisque c'est toi qui veux nouer encore
Notre lien,
Puisque c'est toi dont le regret m'implore,
Ecoute bien :
Les longs serments, rêves trempés de charmes,
Ecrits et lus,
Comme Dieu veut qu'ils soient payés de larmes,
N'en écris plus !
Puisque la plaine après l'ombre ou l'orage
Rit au soleil,
Séchons nos yeux et reprenons courage,
Le front vermeil.
Ta voix, c'est vrai ! Se lève encore chérie
Sur mon chemin ;
Mais ne dis plus : " A toujours ! " je t'en prie ;
Dis : " A demain ! "
Nos jours lointains glissés purs et suaves,
Nos jours en fleurs ;
Nos jours blessés dans l'anneau des esclaves,
Pesants de pleurs ;
De ces tableaux dont la raison soupire
Otons nos yeux,
Comme l'enfant qui s'oublie et respire,
La vue aux cieux !
Si c'est ainsi qu'une seconde vie
Peut se rouvrir,
Pour s'écouler sous une autre asservie,
Sans trop souffrir,
Par ce billet, parole de mon âme,
Qui va vers toi,
Ce soir, où veille et te rêve une femme,
Viens ! Et prends-moi !
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the-ninth-moon · 3 hours
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𝟿𝔱𝔥 𝔪𝔬𝔬𝔫 𝔰𝔢𝔞𝔯𝔠𝔥𝔦𝔫𝔤
Instant pub, les ami·es. Car 9th moon, c'est la maison, un forum rpg med-fan cosy à la commu a-do-rable. Des inspirations à la frontière entre the witcher, bottero, lotr, the fitz and the fool. On attend plus que v o u s. Je vous présente ici quelques recherches, magnifiées par les icons de memory card VIII.
🗨️ 𝔴𝔢 𝔴𝔢𝔯𝔢 𝔞 𝔣𝔞𝔪𝔦𝔩𝑦. ( Lil, 1f )
attendue par Nelis et Jasper Aurdoza.
Rêveuse, elle en avait le caractère avant d'embrasser le pouvoir de l'imagination et du dessin. [...] Elle a disparu depuis ce début d'année, sans qu'on sache si c'est un enlèvement.
🔥 𝔡 𝔦 𝔳 𝔦 𝔫 𝔢 𝔬𝔯𝔭𝔥𝔞𝔫𝔰. ( m ; f ; n ; 1 / 5 )
KEYWORDS. orphan, gosses comme des armes, chaos, f i m j i r, sorcellerie, sacrifices, flames. attendu·es par Elio, Nithya, Morwen et Ashara.
L'orphelinat d i v i n e, murs éclatés aux froideurs noctambules, le brasier toujours avivé aux abords du jardin, les cris des gamins qui se sont tus. Il y a là quête d'une armée, gosses récupéré·es sur les bords de la route, esseulé·es, éperdu·es, qui finissent par se vautrer dans le silence et la peur, avant les ardeurs de la mort.
🌙 𝔪𝔬𝔬𝔫 𝔞𝔫𝔡 𝔰𝔱𝔞𝔯. ( 2f )
(en cours) KEYWORDS. famille, troubled peace, soldats, gathering storm, équilibre attendues par Beren Azantys.
The Moon. f 50yo+ ;; Elle est la glace, il est le feu. Elle est son phare dans la tempête, celle qui le raccroche aux choses essentielles. Il doute parfois, Beren. Elle, jamais. The Star. f 25yo ;; Tempérament flamboyant, petite fille devenue jeune femme. Son père éprouve des difficultés à la laisser voler de ses propres ailes. Il veut la protéger, elle le défie.
🏴󠁧󠁢󠁳󠁣󠁴󠁿 𝔭𝔬𝔲𝔡𝔯𝔢 𝔫𝔬𝔦𝔯𝔢. ( m ; f ; n )
KEYWORDS. dark flames, cœur de lion, homme de l'ombre, secret lies. attendu·e pa Ringer Bellona.
Il garde le corps et les cœurs, ombre parmi les ombres, la plus loyale de toutes, celle qui a tout vu, tout compris, tout acquis, sans pour autant avoir pris parti. Le laëris est connu pour son goût prononcé pour les secrets et la droiture.
🗯️ 𝔲𝔫𝔠𝔥𝔬𝔬𝔰𝔢𝔫 𝔣𝔞𝔪𝔦𝔩𝑦. ( 2m )
KEYWORDS. famille dysfonctionnelle, laeris, politique, riche, âmes en peine, rage, docilité attendu·es par Iris Dragan.
Père. m 50yo+ ;; Homme riche, statut élevé, il a pourtant fait un mariage d'amour. Sa femme, c'était son joyaux, sa lumière. [...] Retrouvailles... Elle, libre et lui, ivre de rage qu'elle soit partie. Jumeau. m 31yo ;; Iris et lui étaient proche, fusionnels. Et puis, elle l'a abandonné. Juste une note dans son lit pour lui dire au revoir. Parce que ça aurait été trop dur pour eux deux. Elle ne sait pas s'il lui en veut, aujourd'hui. Peut-être. Il en aurait le droit.
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Les Trois Mousquetaires, Chapter 27
It's Athos turn, but, poignantly, this chapter is titled "La femme d'Athos."
It's a long chapter, and one of my favorites. I've always had a soft spot for Athos and his tragic backstory. It gives the book real depth and umph and also some darkness in all that harebrained swashbuckling. So let's dive into it, shall we? *rubs hands*
D'Artagnan and Aramis mount their horses to go looking for Athos, but it turns out that Aramis is continuing the Musketeer tradition of being "fine" when he isn't. He’s still too sore from flogging himself 😵 and he almost falls from his horse. D'Artagnan practically carries him back to bed and leaves without him.
(They're all idiots.)
At least Aramis is determined to spend his recovery time well from now on - by writing poetry aka love letters.
While riding, d'Artagnan muses about Athos - the one of the three he feels most drawn to, in spite of their age difference. There are several paragraphs of descriptions of Athos' physique, his manners, his behaviour, his skill set, his education and his character, in sum showing him as the contradictory, fascinating, mysterious, noble and emotionally baggaged creature millions of readers have fallen in love with - including me. (This is an Athos stan blog, in case you haven't noticed.)
Here's my favorite paragraph:
L'air noble et distingué d'Athos, ces éclairs de grandeur qui jaillissaient de temps en temps de l'ombre où il se tenait volontairement enfermé, cette inaltérable égalité d'humeur qui en faisait le plus facile compagnon de la terre, cette gaieté forcée et mordante, cette bravoure qu'on eût appelée aveugle si elle n'eût été le résultat du plus rare sang-froid, tant de qualités attiraient plus que l'estime, plus qu l'amitié de d'Artagnan, elles attiraient son admiration.
(Athos' noble and distinguished air, those flashes of greatness that sometimes leapt from the shadows in which he voluntarily dwelt, that unalterable stoicism which made him the best companion in the world, that forced and biting gaiety, that bravery one could've called blind if it weren't the result of the rarest cold-bloodedness - so many qualities attracted not only d'Artagnan's esteem or friendship but most of all his admiration.)
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*swoons*
D'Artagnan also muses about Athos' melancholy, his drinking and his reasons behind it. We learn that "Athos alone drank for four", and "June and July were the most terrible months".
Pour le présent, il n'avait pas de chagrin, il haussait les épaules quand on lui parlait de l'avenir; son secret était donc dans le passé.
(He had no qualms with the present, he shrugged his shoulders if one spoke to him about the future; his secret must therefore lie in the past.)
Clever boy, our d'Artagnan.
My favorite quote from this chapter may be this one:
Athos, dans ses heures de privation, et ces heures étaient fréquentes, s'étaignait dans toute sa partie lumineuse, e son côté brillant disparaissait comme dans une profonde nuit.
(During his binges - and those were frequent - all the luminous parts in him were extinguished and his brilliant side disappeared into a profound night. )
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🥺🥺🥺
D'Artagnan finally arrives at the inn in Amiens where he'd left Athos behind. When he asks the disgruntled innkeeper, he learns that Athos is, in fact, still there - barricaded in the wine cellar with Mousqueton. He'd retreated there during the sword fight and refused to come out ever since, and behaves "like the devil himself" whenever anyone tries to get him out.
Unfortunately for the innkeeper, the cellar holds all wine and food supplies, so he hasn't been able to serve any of his guests, and his business is about to go belly up.
After a tussle and some back-and-forth with two hungry and thirsty Englishmen, d'Artagnan finally manages to coax Athos out of the cellar, pale and severely drunk, claiming he must have drunk 150 bottles of wine in the past 15 days.
(Someone call UNOS for a liver transplant, STAT!)
The whole cellar is a trashed. Broken bottles, emptied barrels, leftover bones from eaten hams and broken furniture that was used as a barricade.
Oops.
To pay the innkeeper off, d'Artagnan sells Athos' old horse and gives him the money. (After all, he brought a new, better ride with him.)
Athos and d'Artagnan sit down for some wine (10 additional idiot points each) and ham, and Athos, drunk as he is, finally tells d'Artagnan his story (all the while claiming he's talking about some guy calle Comte de Berry, but he isn't fooling anyone at his point anymore but himself.)
This is the short of it:
As a 25yo he'd fallen in love with a 16yo woman girl who had been living with her brother, a pastor, both newly arrived, nobody knew where from. Athos, deeply infatuated, had married her.
One day, during a hunt, she'd fallen off her horse, and when he'd cut her dress open to give her some air, he'd found a branding on her - a fleur-de-lis, the mark of a criminal. Shocked, distraught and enraged, Athos had executed his rights as a noble landowner - and executed her by hanging her from a tree.😳
D'Artagnan is as appalled as you are, dear reader! He exclaims: "Ciel! Athos! Un meurtre!" (Athos! Heavens! A murder!)
Athos' answer: He grabs a bottle and empties it in one go.
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Cheers, mate.
D'Artagnan can no longer listen to Athos' ramblings, thinking he'd go mad. He hides his face in his hands and pretends to fall asleep.
Athos, very morose: "The young ones no longer know how to drink. Although this one's one of the best."
Ha. Haha.
A brilliant chapter! Dumas walks a very fine line here between hysterical humor and a shocking revelation. Athos, raving mad, dropping insanely funny remarks and then slipping into deep, dark melancholy during his ‘confession’ makes us choke on our laughter. There’s a slippery slope from comedy to tragedy, and Dumas masters it with finesse. All the kudos, Alexandre!
PS: We will have to talk about the “I hung her from a tree” part, though. But I’ll leave that particular discussion for another day.
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abdou-lorenzo · 1 year
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La femme c'est Babel et labyrinthe... !!
Si vous la laissez réfléchir, vous êtes perdu.!!
Souvenez-vous-en : cœur chaud, tête froide.....!!
L'a b c du séducteur....💞🥀
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L'Ombre du vent de Carlos Ruiz Zafón
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Dans le noir
Bougie éteinte, plongé dans le noir, Arthur est paralysé par la peur.
--
La dernière bougie. Il souffla sur la flamme vacillante et tout devint noir. Un frisson le parcourut alors qu'il essayait en vain de distinguer la forme du corps en cire à quelques centimètres de lui. C'est comme si l'ombre de la nuit avait tout englouti. Il n'y avait plus rien. Plus de bougie. Plus de mur. Plus de chambre. Plus de bas ni de haut et plus de chaleur.
Arthur serra les dents, il y avait quelque chose dans le noir avec lui. Il pouvait sentir une ombre dans le coin de la pièce, prête à allonger une main squelettique pour l'enrouler autour de son cou afin de l'étrangler. Incapable de bouger, Arthur attendait. Il était seul, il était aveugle, il était perdu. Son cri de secours se perdit loin au fond de sa gorge, mort avant même d'être né et il se mit à trembler.
C'était une mauvaise idée. La lumière. Il lui fallait la lumière. Rallumer la bougie. Mais il ne pouvait pas bouger. Ses bras restaient balans le long de son corps tandis que la forme se rapprochait. Une main vint se poser sur son épaule et un murmure dans le creux de son oreille.
Il ne sursauta même pas, trop occupé à lutter contre l'envie de se recroqueviller sur lui-même. Les yeux fermés, les mains crispées sur les pans de sa chemise, Arthur Pendragon était tétanisé par la peur. Des doigts fins et froids se posèrent sur sa nuque et une plainte infime, aiguë, un sanglot étranglé, lui échappa. La sensation disparut aussitôt.
"Pardon, j'ai les mains froides. Attendez..."
La voix de Guenièvre le ramena à la réalité. Il était dans sa chambre, à Kaamelott. Mais ça me changeait rien. Il était toujours dans le noir.
La jeune femme à côté de lui bougait, faisait du bruit. Il l'entendit souffler, frotter ses mains l'une contre l'autre et quelques secondes à peine plus tard, elle reposa sa main sur sa nuque, maintenant chaude.
"C'est mieux ?"
Avec un petit gémissement d'affirmation, il sentit ses muscles se décontracter sous la caresse de ses doigts, tout doucement. Guenièvre saisit le bras de son mari pour en attraper l'extrémité. Patiemment, elle desserra les phalanges crispées du tissu et enroula ses doigts autour des siens sans jamais arrêter les caresses sur sa nuque.
"Tout va bien Arthur. Respirez."
Le soulagement faisait trembler ses lèvres. Il laissa sortir l'air qu'il retenait prisonnier dans ses poumons et prit une grande inspiration. Guenièvre tira un peu sur sa main et il la suivit sans protester, la laissant les guider tous les deux vers la sécurité de leur lit.
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tolivealone · 9 months
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Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l’herbe menue : Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue.
Je ne parlerai pas, je ne penserai rien : Mais l’amour infini me montera dans l’âme, Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien, Par la Nature, — heureux comme avec une femme.
__Arthur Rimbaud
❦❦❦
Je t'apprendrai l'eau, la lumière, l'arbre, la source, le torrent Le secret des vignes des pierres, le bruit du vent Toi tu m'apprendras la panthère, le chat, le renard et l'oiseau Le cri blessé du solitaire loin du troupeau Nous apprendrons à voir les choses et leur pourquoi et leur comment J'aurai l'innocence des roses, toi des enfants
Comprendre la fleur et le fruit Comprendre le monde aujourd'hui
Tu m'apprendras tes yeux de fleur Tes bras colliers, tes hanches flammes Ton rêve abeille et crève-cœur, ton rire femme Je serai l'ombre qui te suit, cette part toujours en nous-mêmes Qui se dérobe à l'autre et fuit ce que l'on aime Nous apprendrons à nous connaître en jetant bas les interdits Je serai la fenêtre ouverte et toi la nuit
Comprendre la fleur et le fruit Comprendre ce qui nous unit
Nous conjuguerons l'avenir à chaque instant présent dans toi En partageant le vin, le rire avec ceux-là Qui vivent plus haut que leurs songes, qui haïssent la solitude Qui chassent l'ombre et le mensonge des habitudes Nous apprendrons à voir le monde avec ces hommes d'aujourd'hui Dont les rêves aux nôtres se fondent à l'infini
Comprendre la fleur et le fruit Comprendre l'homme d'aujourd'hui.
youtube
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