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#Ducaux
detournementsmineurs · 6 months
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"La Princesse de Clèves" de Jean Delannoy (1961) - adapté du roman éponyme de Madame de La Fayette qui se situe à la cour des Valois dans les dernières années du règne du Roi Henri II (1678) - avec Marina Vlady, Jean Marais, Jean-François Poron, Henri Piégay, Renée-Marie Potet, Lea Padovani, Raymond Gérôme et Annie Ducaux, décembre 2023.
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Sur Tartuffe : adaptations
Commençons donc avec ce qui a le moins à voir avec la pièce, une version écourtée de la pièce, mise en scène par Maurice Béjart en 1981.
Casting : Cléante - Bernard Dhéran, Mme Pernelle - Catherine Samie, Orgon - Michel Aumont, Elmire - Geneviève Casile, Tartuffe - Michel Duchaussoy, Dorine - Virginie Pradal, Valère - Raymond Acquaviva, Damis - Guy Michel, Mariane - Marcelline Collard
Mise en scène classique, mais saupoudrée de Béjart (donc décors un peu spéciaux, maquillage très marqué pour les personnages doubles comme Tartuffe). Super performance de Michel Aumont, qui donne à voir un Orgon complètement hypnotisé par Tartuffe (et c’est là qu’@aramielles me dit que c’est normal d’être hypnotisé par le talent de Michel Duchaussoy). J’avoue que je n’arrivais pas à déterminer si Elmire était un peu intéressée par lui ou si elle était juste extrêmement saoulée (merci m’dame Casile). Une déclaration d’amour à l’acte III qui est désespérée comme je les aime. Oh nevermind ??? Elmire intéressée ??? OH MY GOD. Orgon qui s’agenouille devant Tartuffe et lui baise la main rien que pour lui dire bonjour. Béjart I love you. Imagerie chrétienne homoérotique, on apprécie. Globalement le Tartuffe de Duchaussoy est un bon petit connard manipulateur, il jette un regard méprisant sur Orgon à ses genoux, franchement une excellente pétasse qui sied bien pour le rôle.
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Deuxième version, celle de 1975, mise en scène de Jacques Charon.
Casting : Orgon - Jacques Charon, Robert Hirsch - Tartuffe, Jacques Toja - Cléante, Michel Duchaussoy - Monsieur Loyal, François Beaulieu - L’Exempt, Jean-Noël Sissia - Damis, Bernard Alane - Valère, Denise Gence - Mme Pernelle, Claude Winter - Elmire, Françoise Seigner - Dorine, Catherine Salviat - Mariane, Denise Pezzani - Flipote
Encore une mise en scène classique, on aime. Cet Orgon a l’air un peu con (spécialité de Charon). Tartuffe, coupe au bol absolument ridicule (la laideur comme laideur de l’âme ? C'est un lieu commun que je repère parfois dans Tartuffe, où un Tartuffe moche est souvent joué comme ridicule, alors qu’un Tartuffe qu’on embellit physiquement est joué comme plutôt charmeur). Légèrement précieux, doucereux, on est carrément dans la première façon de jouer le rôle, c’est-à-dire en gros cliché, et on ne comprend presque pas comment Orgon peut être à ce point aveugle pour ne pas voir qu’il est double. Il est aussi carrément graveleux lors de la déclaration d’amour, et franchement il m’évoque plus une espèce de cancrelat qu’on a envie d’écraser qu’un manipulateur de génie (super performance d’Hirsch cependant). Une Elmire magnifique (merci m’dame Winter) et oh ! Un François Beaulieu sauvage apparaît en fin de pièce pour faire L’Exempt.
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Troisième version, de 1960, mise en scène de Louis Seigner (encore une classique).
Casting : Tartuffe - Louis Seigner, André Falcon - Damis, Paul-Emile Deiber - Orgon, Louis Eymond - L’Exempt, Henri Rollan - Cléante, Jean-Louis Jemma - Valère, René Arrieu - Monsieur Loyal, Berthe Bovy - Mme Pernelle, Andrée de Chauveron - Dorine, Annie Ducaux - Elmire, Nagali de Vendeuil - Mariane, Janine Dehelly - Flipote
L’Orgon de Deiber a l’air un peu neurasthénique, sans avoir l’air con il n’a pas l’air complètement dépendant, ça me donne l’impression bizarre que cet Orgon aurait pu se défendre de tout s’il avait prêté un peu plus attention à ce qu’il se passe chez lui (même si Tartuffe, quand on l’accuse une première fois, use énormément d’ironie pour se qualifier de pécheur, et Orgon prend ça premier degré). Tartuffe-Seigner est parfaitement jouissif à regarder, mais on reste exactement dans le schéma classique d’un personnage ridicule. Succulente Elmire, drôle à souhait (merci Annie Ducaux). Bref, ici la bonne vieille pièce familiale, quoi.
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Quatrième version, de 1971, mise en scène de Marcel Cravenne (une autre mise en scène classique)
Casting : Michel Bouquet - Tartuffe, Delphine Seyrig - Elmire, Jacques Debary - Orgon, Luce Garcia-Ville - Dorine, Madeleine Clervanne - Mme Pernelle, Claude Giraud - Cléante, Edith Garnier - Mariane, Bernard Alane - Valère, Jacques Weber (ô surprise) - Damis, Paul Le Person - Monsieur Loyal, Robert Party - L’Exempt, Christine Chicoine - Flipote
C’est marrant, cet Orgon là a plus l’air amusé en début de pièce de Tartuffe, plutôt que de dépendre de lui. Quand on accuse Tartuffe, il réagit plutôt comme si on avait donné un coup de pied dans son chiot préféré. (grmrgmrmg le Cléante de Giraud. Cet homme me rend fou depuis Les Rois Maudits). Petiot Weber, il est pitchoune. Ah, Delphine Seyrig…La fée des lilas à jamais pour moi, mais quelle bonne Elmire (et quelle belle femme jésus seigneur). Un Tartuffe très intéressant, puisqu’il n’est pas ridicule car il n’a pas l’air faux lors de sa déclaration, il a juste l’air un peu dégueulasse ; mais surtout, il brise l’apparent fil rouge de l’interprétation de ce rôle en étant enlaidi par le costume et les postiches, mais en étant totalement manipulateur. 
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Cinquième version, de 1980, mise en scène de Jean Pignol (encore et toujours une mise en scène classique)
Casting : Tartuffe - Michel Galabru, Orgon - Bernard Fresson, Elmire - Yolande Folliot, Dorine - Micheline Dax, Cléante - Pierre Gallon, Mme Pernelle - Germaine Delbat, Mariane - Nathalie Serrault, Valère - Eric Legrand, Damis - Jean-Renaud Garcia, Monsieur Loyal - Georges Montillier, L’Exempt - Pierre Negre, Laurent - Georges Sayad, Flipote - Sonia Laurent
Wow un opening directement sur la petite famille en train de prier avec Tartuffe ? Innovative ! On dirait que Tartuffe est d’abord le dealer d’Orgon parce qu’il est très, très calme au début. Ou alors il est homosexuel, au vu de la façon dont il dit “il venait d’un air doux tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux”. Le Tartuffe de Galabru est bon mais grâce à l’acteur plutôt qu’au rôle lui-même, parce qu’il lui donne justement ce côté double et ridicule (les cheveux bien gras, on pourrait utiliser la moumoute comme friteuse). Opinion tout à fait personnelle, j’aime pas le jeu de Fresson . Et définitivement, Galabru joue beaucoup sur le côté dégueu et graveleux qu’on peut facilement donner à Tartuffe. Une version, ma foi, pas la meilleure, mais pas un échec non plus. 
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Sixième version, de 1997 (retour au Français !), mise en scène de Georges Bensoussan (à quand autre chose qu’une mise en scène classique ?)
Casting : Dorine - Catherine Ferran, Orgon - Jean Dautremay, Mariane - Anne Kessler, Tartuffe - Philippe Torreton, Monsieur Loyal - Igor Tycska, Elmire - Cécile Brune, Mme Pernelle - Nathalie Nerval, Cléante - Christian Blanc, Valère - Olivier Dautrey, Damis - Eric Ruf, L’Exempt - Bruno Raffaelli, Flipote - Stéphanie Labbé, Laurent - Patrick Olivier
Décors blancs, un peu art contemporain, innovative ! Chaque costume est une couleur vive (sauf Tartuffe et Orgon, en noir, et Cléante, en marron), mais qui permet d’identifier immédiatement les personnages et surtout les fait ressortir sur le fond blanc. Jumpscare de Ruf avec une perruque absolument horrible. Aww, mini Anne Kessler, elle est pitchoune. Ô surprise, Ruf a un jeu décent ? (je le respecte en tant que metteur en scène, et je ne m’y connais pas assez en histoire du Français pour dire si c’est un bon administrateur, mais comme comédien…Il m’excusera mais je ne supporte pas son jeu). Je trouve qu’on revient à l’Orgon soit con, soit qui s’en fout un peu en début de pièce. Quoique, on pourrait dire que c’est un Orgon qui commence à développer un autre courant d’interprétation du personnage, celui de la dépendance affective forte (Tartuffe qui lui fait des petites caresses sur l’épaule ???). Dépendance affective de fou ou homosexualité cachée, c’est vous qui voyez. Torreton est jouissif, pétasse à souhait, ironique quand on l’accuse, au physique affreux avec sa perruque graisseuse (leitmotiv chez les costumiers ?). Chose intéressante, la confession de Tartuffe semble désespérée, mais elle est tellement teintée de fausseté qu’on n’y croit pas du tout. Cécile Brune (dieu quelle femme) fait une Elmire hautaine devant Tartuffe que j’A-DORE. Nouveau jumpscare de Ruf qui sort d’une fenêtre cachée haut dans le mur au lieu de sortir d’un cabinet. Bon dieu Cécile Brune, quelle femme, Elmire joue la carte séduction à fond pour l’acte IV. Tartuffe qui commence à se foutre à oilp ??? Ok why not. Costume très très très pailleté pour Tartuffe en fin de pièce. Écoutez, une mise en scène intéressante, des comédiens pas trop tartes, moi je dis que ça fait une bonne pièce.
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Septième version, de 2022, mise en scène Ivo van Hove (youpi ! une mise en scène moderne, histoire de changer un peu)
Casting : Cléante - Loïc Corbery, Orgon - Denis Podalydès, Mme Pernelle - Claude Mathieu, Damis - Julien Frison, Dorine - Dominique Blanc, Tartuffe - Christophe Montenez, Elmire - Marina Hands, Flipote - Héloïse Cholley, et pas de M. Loyal ou d’Exempt ni de Laurent, apparemment ?
Peut-on vraiment dire que je l’ai vue ? Non, je n’ai pas vu cette pièce au cinéma. Mais j’ai des photos et des extraits, de là je pose mon jugement. J’aime beaucoup les mises en scène de van Hove, qui sont souvent minimalistes et font ressortir tout le jeu des comédiens, aussi en posant une sorte de centre de scène où tout se passe. Les costumes noirs tranchent avec la pâleur des comédiens, et le carré blanc en plein milieu de la scène ressemble à un ring où les personnages s’affrontent. Autre lieu commun chez van Hove, on relève la brutalité et la violence et du texte et des personnages en eux-mêmes : tout le monde s’empoigne, se bat, se hurle dessus, c’est une famille complètement disloquée qu’on nous présente. Dominique Blanc en Dorine est parfaite. Corbery est un Cléante désillusionné, à la limite du désespéré de voir son beau-frère comme ça. Julien Frison, lui, campe un Damis qui semble moins furieux, plus un petit garçon qui voit son père s’éloigner de lui. Ma seule question est : comment envisagent-ils la pièce sans Mariane ? Est-elle juste citée ? Le moment très comique entre Orgon et Dorine serait simplement coupé ? Je n’aurais sûrement jamais la réponse, à moins que cette pièce vienne un jour sur le site de l’INA. Marina Hands est une Elmire qui floute complètement la ligne séparant deux interprétations : Elmire qui joue un rôle pour empêcher le mariage entre Tartuffe et Mariane et  confondre Tartuffe à l’acte IV, ou une Elmire véritablement intéressée par Tartuffe. Une scène assez éloquente est visible dans la bande-annonce, qu’on peut replacer justement à l’acte IV, et Elmire ne semble pas beaucoup se défendre d’un Tartuffe qui lui embrasse la nuque. Mais les deux personnages les plus intéressants sont ici Orgon et Tartuffe. Pour Orgon, Podalydès joue complètement sur l’ambiguïté constante entre Tartuffe et Orgon : apparemment complètement dépendant affectif, le “il en va de ma vie” semble très vrai ; et certaines images donnent à penser que van Hove introduit dans sa mise en scène un certain homoérotisme malsain entre ces deux personnages (et encore de l’imagerie chrétienne mise au service de l’homoérotisme, merci m’sieur van Hove). Mais pour moi, le personnage le plus fascinant est Tartuffe (Christophe Montenez mon dieu quel talent incroyable). Si il est dans “le modèle Jouvet”, c’est-à-dire un Tartuffe charmant, séduisant même, et surtout très sincère dans sa déclaration à Elmire, et qui pense croire à tout ce qu’il dit sur le Ciel, Montenez a une approche différente du personnage. Il est malsain ; quand il rentre dans une pièce, on a comme un frisson de gêne : le costume (chemise blanche, cravate blanche, mais veste noire à certains moments), la coiffure (des cheveux coupés très ras) et le maquillage (qui lui donne une pâleur mortelle et un visage émacié) n’aident pas à nous le rendre sympathique. Le ton doucereux (méprisant lorsqu’il parle à Dorine) contribue à cette impression. Surtout, c’est un Tartuffe violent, qui arrive à l’Acte III la chemise tachée de sang, due à la mortification qu’il s’est imposé (en début de pièce, apparemment ? la bande-annonce ne permet pas de le situer). Bref, une mise en scène brutale et légèrement subversive, typique du metteur en scène, qui je crois serait très intéressante à voir.
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Je vous ai réservé ma mise en scène préférée pour la fin, huitième version, de 2021, théâtre à la table, direction artistique d’Eric Ruf (qui compte comme une mise en scène moderne ?)
Casting : Mme Pernelle - Claude Mathieu, Tartuffe - Eric Génovèse, Elmire - Clotilde de Bayser, Cléante - Hervé Pierre, Monsieur Loyal, Un Sergent, et L’Exempt - Nicolas Lormeau, Orgon - Didier Sandre, Damis - Laurent Lafitte, Dorine - Anna Cervinka, Mariane - Clémentine Billy, Valère - Antoine de Foucauld
C’est pas ma version préférée pour rien : la proximité de la table permet de transformer la pièce en huis clos, les vêtements des comédiens, sombres pour la plupart, permettent de relever leurs visages, et la caméra capture d’autant mieux leurs visages qu’elle est proche. Anna Cervinka est une Dorine hilarante qui tranche avec le sérieux des autres ; le Damis de Lafitte est très abrasif ; Cléante par Hervé Pierre use toujours d’un ton extrêmement raisonnable ; les deux petits jeunes sont un couple prometteur. Comme d’habitude, je me suis concentré sur les trois personnages centraux : Elmire, Orgon, Tartuffe. Didier Sandre, trônant en bout de table en patriarche, est un Orgon qui joue sur son âge pour apparaître peut-être plus fragile, qui s’il est moins dépendant que l’Orgon de Podalydès, lui semble extrêmement attaché ; sa colère à l’accusation de Tartuffe est assez violente. Elmire, elle, si elle n’est absolument pas intéressée par Tartuffe (madame moi je veux bien prendre votre place si vous ne voulez pas de lui), aime jouer la carte de la séduction pour parvenir à ses fins, et disons-le, Clotilde de Bayser est charmante. Et Tartuffe…Là encore, pas mon Tartuffe préféré pour rien. Eric Génovèse reprend un Tartuffe qu’il avait déjà joué de cette manière (je donnerai TOUT pour voir la mise en scène de 2005 de Marcel Bozonnet). Il est tout en douceur, la déclaration à Elmire est MAGNIFIQUE et DÉSESPÉRÉE comme il sait les faire, et il est totalement dans le modèle Jouvet d’un Tartuffe qui croit à 90% ce qu’il dit. Chose que je n’avais jamais vu faire avant, le “je tâte votre habit” et ce qui s’ensuit est joué comme une excuse en mousse, comme s’il n’avait vraiment pas fait exprès de poser la main sur le genou d’Elmire, et qu’il tente de rattraper une bourde faite dans l’émotion de l’instant. Tartuffe mis en opposition d’Orgon dans le placement autour de la table le pose en second maître de maison ; sa réponse à son accusation à l’air tellement sincère qu’on y croirait presque. Retournement de comportement à l’acte IV, regard de braise et scène un peu olé-olé (si sage comparée à la mise en scène de Bozonnet où lui et Florence Viala ont failli faire leur affaire sur scène) ; c’est un autre Tartuffe qui retire son masque, celui d’un homme extrêmement froid et calculateur. Bref, pour moi l’interprétation la plus intéressante (sans prendre en compte mon admiration personnelle pour ce comédien). Une pièce que je trouve “redécouverte” par le biais du théâtre à la table qui donne toujours un éclairage autre. 
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alexlacquemanne · 1 year
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Février MMXXIII
Films
Danger : Diabolik ! (Diabolik) (1968) de Mario Bava avec John Phillip Law, Marisa Mell, Michel Piccoli, Claudio Gora, Terry-Thomas et Adolfo Celi
L'Horloger de Saint-Paul (1974) de Bertrand Tavernier avec Philippe Noiret, Jean Rochefort, Jacques Denis, Yves Afonso, Julien Bertheau et Jacques Hilling
Les Grandes Familles (1958) de Denys de La Patellière avec Jean Gabin, Jean Desailly, Pierre Brasseur, Bernard Blier, Françoise Christophe, Annie Ducaux et Louis Seigner
Les Ambitieux (The Carpetbaggers) (1964) de Edward Dmytryk avec George Peppard, Carroll Baker, Alan Ladd, Bob Cummings, Martha Hyer et Elizabeth Ashley
Bathing Beauty (1944) de George Sidney avec Red Skelton, Esther Williams, Basil Rathbone, Bill Goodwin, Jean Porter, Nana Bryant, Carlos Ramírez et Ethel Smith
Que les gros salaires lèvent le doigt ! (1982) de Denys Granier-Deferre avec Jean Poiret, Michel Piccoli, Daniel Auteuil, François Perrot, Tchéky Karyo, Nadia Barentin, François Lalande, Florence Pernel, Jeanne Lallemand et Marie Laforet
Pain, Amour et Fantaisie (Pane, amore e fantasia) (1953) de Luigi Comencini avec Vittorio De Sica, Gina Lollobrigida, Marisa Merlini, Virgilio Riento, Tina Pica et Maria-Pia Casilio
Les Ripoux (1984) de Claude Zidi avec Philippe Noiret, Thierry Lhermitte, Régine, Grace de Capitani, Julien Guiomar, Albert Simono et Claude Brosset
Scoop (2006) de Woody Allen avec Scarlett Johansson, Hugh Jackman, Woody Allen, Ian McShane, Romola Garai et Julian Glover
Sous le signe de Monte-Cristo (1968) d'André Hunebelle avec Paul Barge, Claude Jade, Anny Duperey, Pierre Brasseur, Michel Auclair, Raymond Pellegrin et Paul Le Person
Une femme sous influence (A Woman Under the Influence) (1974) de John Cassavetes avec Gena Rowlands, Peter falk, Fred Draper, Lady Rowlands, Katherine Cassavetes, Matthew Laborteaux et Matthew Cassel
L'Enquête corse (2004) d'Alain Berberian avec Christian Clavier, Jean Reno, Caterina Murino, Didier Flamand, Juliette Poissonnier, Pierre Salasca, Éric Fraticelli et Alain Maratrat
Didier (1997) d'Alain Chabat avec Jean-Pierre Bacri, Alain Chabat, Isabelle Gélinas, Lionel Abelanski, Michel Bompoil, Jean-Marie Frin, Zinedine Soualem et Elliot
Les Aventuriers de l'arche perdue (Raiders of the Lost Ark) (1981) de Steven Spielberg avec Harrison Ford, Karen Allen, Paul Freeman, Ronald Lacey, John Rhys-Davies, Denholm Elliott, Alfred Molina et Wolf Kahler
M. Hobbs prend des vacances (Mr. Hobbs Takes a Vacation) (1962) de Henry Koster avec James Stewart, Maureen O'Hara, Fabian, John Saxon, Marie Wilson et Reginald Gardiner
Mr. & Mrs. Smith (1941) d'Alfred Hitchcock avec Carole Lombard, Robert Montgomery, Gene Raymond, Jack Carson, Philip Merivale et Lucile Watson
Ulysse (Ulisse) (1954) de Mario Camerinia avec Kirk Douglas, Silvana Mangano, Anthony Quinn, Rossana Podestà, Jacques Dumesnil, Sylvie et Daniel Ivernel
Séries
Inspecteur Barnaby Saison 4, 5
Le Jardin de la mort - L'ange destructeur - Vendetta - Qui a tué Cock Robin ? - Sombre automne - Le Fruit du péché - Un village très coté - Le Ver dans le fruit - Les Sonneries de la mort - Meurtre dans un collège anglais
L'agence tous risques Saison 1, 2
Détournement - Le candidat - Un si jolie petite ville - Immigration clandestine - Poussière de diamants - Otages à l'orphelinat - Les mustangs : première partie - Les mustangs : deuxième partie - Histoire d'eau - Pression amicale - Le pain quotidien - La pêche miraculeuse - Agitateurs - Acier - La guerre des taxis - Le Scorpion du désert - Tirez sur le Cheik - Eclipse - Les marchands de poison - Dites-le avec du plomb - La vache maltaise - Pas si facile que ça
Affaires sensibles
10 mai 1981 : l’arrivée de la gauche au pouvoir - Ali contre Foreman : choc des titans à Kinshasa - Le 6 février 1973. L'incendie du collège Pailleron - Sharon Tate : l’Ange et le Démon - Voici l’histoire de Hurricane - Harlem, 21 février 1965 : Malcolm X est mort
Friends Saison 5, 6
Celui qui embrassait - Celui qui a des triplés - Celui qui accepte l'inacceptable - Celui qui rate son week-end - Celui qui a du mal à se taire - Celui qui emménage - Celui qui avait des souvenirs difficiles à avaler - Celui qui s'était fait piquer son sandwich - Celui qui avait une sœur un peu spéciale - Celui qui prenait de bonnes résolutions - Celui qui riait différemment - Celui qui avait un sac - Celui qui découvre tout - Celui qui prenait des coups - Celui qui enviait ses amis - Celui qui ne savait pas se repérer - Celui qui se sacrifiait - Celui qui ne savait pas flirter - Celui qui sauvait des vies - Celui qui jouait à la balle - Celui qui devait casser la baraque - Celui qui était à Las Vegas : 1re partie - Celui qui était à Las Vegas : 2e partie - Ceux qui revenaient de Las Vegas - Celui qui console Rachel - Celui qui était de mauvaise foi - Celui qui perdait sa belle assurance - Celui qui avait une belle bagnole - Ceux qui passaient leur dernière nuit
Coffre à Catch
#101 : Une belle petite pause dans un torrent de merde ! - #102 : Hornswoggle, Evan Bourne : le renouveau à la ECW ! - #103 : WWE Draft : la fin du Mercato d'été à la ECW ! - #104 : CM Punk et Mark Henry champions du monde !
Top Gear Saison 18, 17, 19
Spécial Journée Circuit - Made in China - Une course comme sur un green - La Vallée de la Mort - Une Lamborghini à la mer - Les pires voitures de l'histoire - Spécial Afrique : Première partie - Spécial Afrique : Deuxième partie - 1500 km à fond de 5ème
Spectacles
Un Chalet à Gstaad (2021) de Josiane Balasko avec Josiane Balasko, Armelle, Philippe Uchan, Stéphan Wojtowicz, Justine Le Pottier et George Aguilar
Livres
Friends, mes amours et cette chose terrible de Matthew Perry
Undertaker : Rise Of The Deadman de Rodrigo Lorenzo, Edu Menna, Serg Acuna et Chad Dundas
La renaissance des héros Marvel, Tome 7 : Phénix de Greg Pak, Greg Land et Kirkham
Catch : L'âge d'or, 1920-1975, l'épopée du catch français et les "Michel-Ange" du ring de Christian-Louis Eclimont
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lyslily · 6 years
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Annie Ducaux Florence est folle, Georges Lacombe (1944).
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ecrisettaistoi · 4 years
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Songe d’été
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Encore une fois, j’ai grapillé 
quelques notes estivales,
quelques restes frugaux
(les tomates du potager vont en prendre un coup)
à agrémenter de rêves royaux,
ducaux pour le manant que je suis.
Les feuilles vont me chanter la sérénade,
le soleil sera mon principal repas
et les canards tiendront lieu de
compagnons de diverses fortunes.
Entre ces vallées attend patiemment
un trésor à découvrir et armé
de mes pelles et pioches,
je compte bien le mettre à jour
en mettant à profit cette
parenthèse restée ouverte
où j’ai mis le pied pour lui éviter
de se refermer.
Advienne que pourra, qui vivra verra
et hasta la vista, mon drôle.
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weptfire · 5 years
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You’ve heard about Katharine Hepburn as Celene’s voiceclaim when speaking the common tongue. Now, here’s Annie Ducaux as Celene’s voiceclaim when speaking Orlesian.
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scribbleanalysis · 4 years
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François Bernouard sits next to the radio producer and composer Ernst Schoen. Here is something Bernouard did on the radio: a dialogue between him and Jean Le Louët on the group LES AMIS de 1914 and Théâtre Impossible, broadcast on Wednesday 1st of August 1934 for P.T.T.
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On the transcript LES AMIS de 1914 are listed as a vast new diagram as:  Paul Fort. André Salmon. André Lebey. André Varnod. Mr. Richard. Jacques Dyssord. Sometimes Bernouard. Deville. C. Fegdal. G. Duhamel. Valensi. Ernest Gaubert. Antoine Orliac, X. de Magallon. P. Corpus, JL Vaudoyer. Luc Durtain. Pierre de Guingand. AF Hérold. Th. Briant, Ch. Du Bos. F. Carco. Dr. Mardrus J. Royère. P. Bertin. A. Germain. Dr. EF Julia. René Lalou. Louis Suë. A. Lhote. D. Halévy. Mrs. and Dr. Béliard. Gabriel Boissy. J. Villon. A. Bonnard. Ed. Jaloux. André David. René Fauchois. H. Strentz. Jehan Bouvelet. René Bertrand. Asselin. Max Jacob. Jean Giraudoux. Dr. Vinchon. Emile. Fabre. Master Dernis. Arnould Galopin. Léandre Vaillat. Ch. Chassé. Mr. Rouff. Jean de Pierrefeu. Dorgelès. Pol-Neveux. Paul Leon. Mr. Bedel. Tristan Bernard. R. Groos. Van Melle. F. Lot. Maurice Ravel. E. Marsan. P. Brulat. J. Daragnès. Etienne Rey. Faure-Biguet. E. Champion. Mr. Chadourne. Florian-Parnnentier. Carlo Rim. F. Fosca. F. Crommelynck. Fernand Divoire. Krettly. Michel de Gramont. Louis Mandin. Paul Chack. Mario Meunier. Dear. Megglé. J. and J. Tharaud. Alphonse Séché. Valmy-Baysse. Louis Gillet. R. Chambe. Léon Vérane. Carlègle. Gerarl Bauër. Lemercier. Robert Bonfils. L. de Gonzague-Frick. Pierre; The guard. Fagus. Guy Lavaud. Othon Friesz. E. Montfort. R. Gillouin. Tzanck. André Arnyvelde. Gonon. Ed. Dujardin. Valéry Larbaud. A. Rivaud. Jean Prévost. R. Kerdyk. Fernand Fleuret. G. Fréjaville. H. Falck. J. Mortane. Lugné-Poë. R. Le Masle. Mr. Chevrier. Lantern. G. Kahn. G. de Lautrec. LP Fargue. Legrand-Chabrier. JE Blanche. F. Gregh. Paul Poiret. Martial Piéchaud. Gino Severini. J. Cocteau. A. Fontainas. Lucien Fabre. G. Le Rouge. Henri Duvernois. André Maurois. GL Garnier. Ramey. André Billy. Roger Dévigne. Guy Mazeline. J. Barois. Henri Massis. Léon Bailby. E. Bourcier. Georges Denis. Denis d'Inès. Jean Hervé. CR Martin. Ph. Besnard. of Chauveron. Latapia. Rosny elder. Curnonski. P. Descaves. Levesque. J. Joyce. Marcel Jouhandeau. Albert Bayet. V Brechignac. Jean Marchand. F. Casadesus. R. Fellowes. Rachilde. Mr. Laurencin. Colette. J. Sully. M. Harkavy, Y. Gall. Hermine David. Suzanne Valadon. Eve Francis. Colonna-Romano. A. and S. Bernouard. L. Noblet. Yvette Guilbert. Suzanne Desprès. Alice Dufrène. Marcelle Brou. Aldona. Chériane .: G. Rabette. Berthe Bovy. Jane Bathori. Jeanne Landre. Annie Ducaux. Gisèle Casadesus. Vera Korene. Titayna. Dussane. R. Berendt. Garcia. Jean Hervé. CR Martin. Ph. Besnard. of Chauveron. Latapia. Rosny elder. Curnonski. P. Descaves. Levesque. J. Joyce. Marcel Jouhandeau. Albert Bayet. V Brechignac. Jean Marchand. F. Casadesus. R. Fellowes. Rachilde. Mr. Laurencin. Colette. J. Sully. M. Harkavy, Y. Gall. Hermine David. Suzanne Valadon. Eve Francis. Colonna-Romano. A. and S. Bernouard. L. Noblet. Yvette Guilbert. Suzanne Desprès. Alice Dufrène. Marcelle Brou. Aldona. Chériane .: G. Rabette. Berthe Bovy. Jane Bathori. Jeanne Landre. Annie Ducaux. Gisèle Casadesus. Vera Korene. Titayna. Dussane. R. Berendt. Garcia. Jean Hervé. CR Martin. Ph. Besnard. of Chauveron. Latapia. Rosny elder. Curnonski. P. Descaves. Levesque. J. Joyce. Marcel Jouhandeau. Albert Bayet. V Brechignac. Jean Marchand. F. Casadesus. R. Fellowes. Rachilde. Mr. Laurencin. Colette. J. Sully. M. Harkavy, Y. Gall. Hermine David. Suzanne Valadon. Eve Francis. Colonna-Romano. A. and S. Bernouard. L. Noblet. Yvette Guilbert. Suzanne Desprès. Alice Dufrène. Marcelle Brou. Aldona. Chériane .: G. Rabette. Berthe Bovy. Jane Bathori. Jeanne Landre. Annie Ducaux. Gisèle Casadesus. Vera Korene. Titayna. Dussane. R. Berendt. Garcia. Hermine David. Suzanne Valadon. Eve Francis. Colonna-Romano. A. and S. Bernouard. L. Noblet. Yvette Guilbert. Suzanne Desprès. Alice Dufrène. Marcelle Brou. Aldona. Chériane .: G. Rabette. Berthe Bovy. Jane Bathori. Jeanne Landre. Annie Ducaux. Gisèle Casadesus. Vera Korene. Titayna. Dussane. R. Berendt. Garcia. Hermine David. Suzanne Valadon. Eve Francis. Colonna-Romano. A. and S. Bernouard. L. Noblet. Yvette Guilbert. Suzanne Desprès. Alice Dufrène. Marcelle Brou. Aldona. Chériane .: G. Rabette. Berthe Bovy. Jane Bathori. Jeanne Landre. Annie Ducaux. Gisèle Casadesus. Vera Korene. Titayna. Dussane. R. Berendt. Garcia. The address is given: 224 Boulevard Raspail
In the dialogue François Bernouard says that the LES AMIS de 1914 were born of out of necessity, for writers but also architects, painters, sculptors, musicians to defend lyricism in the aftermath of war: “The war and its multiple consequences had separated us. Each one like you, worked isolated, we knew each other only by our writings and certain old comrades had not seen each other for twenty years. Here are some reasons for the continued success of our evenings”
The first meeting took place on 17 February 1933. “The invitation was issued on behalf of Paul Fort, Prince des Poëtes, André Salmon, Jacques Dyssord, André Warnod, André Lebey, and me. It was a wonderful evening, despite the freezing cold; more than 600 artists and art lovers came, the elite of Paris”. On night Paul Fort declared: “Retrouvons-nous chaque vendredi et soyons les inséparables de 1914, nos cadets seront reçus comme nos enfants”
For those who survived the war, LES AMIS de 1914 was to be a place to meet to discuss art with the peaceful spirit (l'esprit pacifique) of the days which preceded the catastrophe of 1914
But they were too sensitive to those no longer present: “Our friendship should remember the dead, either before, during or after the war, and try to redress a little the injustice of fate towards those who will remain in the eternal time of the young. I cannot cite them all. These were the memories of Guillaume Apollinaire, Henri Bouvelet, Emile Despax, the Englishman Rupert Brooke, Fagus, Jehan Rictus, Charles Derennes, Joachim Gasquet, Paul Drouot, Alfred Jarry, Jean Jareas, Jean Moreas, Paul Napoleon Roinard, René Dalize, Raymond Radiguet, Jean Le Roy, Stuart Merrill, Charles de Fontenay, Jean de la Ville de Mirmont, Sanche de Gramont, Robert d'Humières, Amédée Prouvost, John-Antoine Nau, Odilon-Jean Périer, Auguste Angellier, Adrien Bertrand, André Dupont, Albert Samain, Gabriel-Tristan Franconi, Ricciotto Canudo who, born Italian, chooses the French language to express himself, all writers of first quality. The present is often unfair to them, but posterity will do them justice”
Questions of generation also come up; alongside the slippage of the category of ‘friendship’ into something militaristic (just as from German “comrade” can slip from Genossen to Kamerad and Freund/in can denote both a platonic and a non-platonic relationship)
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notasdosilencio · 6 years
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JC Ducaux - Monstro Layout from JF Borges on Vimeo.
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detournementsmineurs · 6 months
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Raymond Gérôme, Marina Vlady, Jean Marais et Annie Ducaux dans "La Princesse de Clèves" de Jean Delannoy (1961) - adapté du roman éponyme de Madame de La Fayette qui se situe à la cour des Valois dans les dernières années du règne du Roi Henri II (1678) - décembre 2023.
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lyslily · 6 years
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Annie Ducaux L'Inévitable Monsieur Dubois, Pierre Billon (1943).
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lyslily · 7 years
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Annie Ducaux Studio Harcourt
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