Tumgik
#Différence d'âge
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15 / 05 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE écrite en collaboration avec mon ami @tidodore2
UNE HISTOIRE D'EURABIE
- LES PIEDS DE WISSAM -
PARTIE DE submissivegayfrenchboy
Depuis que la France appartient aux Arabes, les hommes blancs tremblent face aux hommes musulmans. En réalité, c'était déjà le cas avant la conquête. Quoiqu'il en soit, le vieux Thierry avait travaillé toute sa vie pour se payer une maison. Hélas pour lui, il avait été contraint de l'offrir à un jeune garçon arabe arrivé en France depuis son enfance, alors que la famille de Thierry vivait en France depuis toujours.
Thierry avait reçu l'autorisation de rester vivre chez lui à condition qu'il serve Wissam, un jeune arabe musclé et dominant.
La retraite reposante que le gros Thierry espérait ne verrait jamais le jour...
Wissam, assis sur le parquet de sa terrasse, regardait avec dégoût son esclave nettoyer le sol en le léchant. Thierry admirait les longs pieds de son maitre, ayant faim de la sueur d'arabe à laquelle il s'était habitué.
WASSIM : "Hey tu veut quoi ? Arrête de fixer mes pieds putain, tu me dégoutes ! Si tu les aime tant que ça, lèche les sale con! Mais d'abord renifle et lèche l'intérieur de mes claquettes, pauv' con !"
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PARTIE DE tidodore2
THIERRY : "Oui, pardon mon seigneur, je n'arrive pas à m'empêcher de regarder la magnificence de vos divins pieds ! Merci de me faire lecher chaque centimètres de vos claquettes pour me punir d'être un être aussi minable ! C'est tellement difficile de passer ma langue de soumis entre chaque petit interstice ! J'en ai pour des heures, maitre !"
PARTIE DE submissivegayfrenchboy
WASSIM : "Sad famak (="Ta gueule", en arabe)! Putain mais j'en ai tellement rien à foutre de ta difficulté à lécher des semelles de claquettes, débile ! Juste estime toi heureux que je fasse pas lécher le côté de la chaussure avec lequel je marche ! Au moins en léchant l'intérieur tu peut avaler ma sueur, wjah zabi ("tête de bite" en arabe) !"
Thierry obéit à son maître et se mit à lécher l'intérieur puis l'extérieur des claquettes de son divin jeune maitre. Beaucoup plus jeune que lui, il était plus beau et fort que Thierry ne l'avait jamais été.
WASSIM : "Arrête, kelbe (= "chien" en arabe) !!"
Wassim prit les claquettes avant de donner des coups avec au visage de son gros esclave blanc. Les joues de celui-ci étaient toute rouge.
WASSIM : "Arrête de bouger ou je continue !!"
Thierry prit les gifles de claquettes pendant 10 minutes, et Wissam avait si peu de respect pour les vieux hommes blancs qu'il était très violent. Thierry était obligé de regarder son grand maître dans les yeux.
Quand la torture s'arrêta, le visage de Thierry bouillonnait mais sa petite bite était toute dure !
WASSIM : "Regarde toi, je te claque et t'es excité ! T'es vraiment une charmouta (= "merde" en arabe) !"
Wassim claqua donc les couilles de Thierry et les écrasa, saura dessus et rigolait de la souffrance de son vieil esclave moche.
Lorsqu'il s'arrêta enfin, il accorda au gros serviteur l'immense honneur de décrasser ses pieds transpirants. Lécher les pieds du jeune et beau Wissam était pour Thierry des moments de pur bonheur.
FIN DE L'HISTOIRE
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🇺🇲🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲
PERSONAL FICTIONAL STORY written in collaboration with my friend @tidodore2
AN EURABIA STORY
- WISSAM'S FEET MUST BE LICKED -
PART OF submissivegayfrenchboy
Since France belongs to the Arabs, white men tremble in the face of Muslim men. In reality, this was already the case before the conquest. Be that as it may, old Thierry had worked all his life to afford a house.
Unfortunately for him, he had been forced to offer it to a young Arab boy who had arrived in France since his childhood, while Thierry's family had always lived in France.
Thierry had received permission to stay at home on the condition that he serve Wissam, a muscular and dominant young Arab. The restful retirement that big Thierry was hoping for would never see the light of day...
Wissam, seated on the parquet floor of his terrace, watched with disgust as his slave licked the floor. Thierry admired his master's long feet, hungry for the Arab sweat he had grown accustomed to.
WASSIM: "Hey what do you want? Stop staring at my fucking feet, you're disgusting me! If you like them that much, lick them stupid bastards! But first sniff and lick the inside of my flip-flops, you poor bastard!"
PART OF tidodore2
THIERRY: "Yes, sorry my lord, I can't stop myself from looking at the magnificence of your divine feet! Thank you for making me lick every inch of your tap shoes to punish me for being such a pathetic being! It's so difficult to pass my submissive tongue between each little gap! It'll take me hours, master!"
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PART OF submissivegayfrenchboy
WASSIM: "Sad famak ("Shut up", in Arabic)!! Damn but I don't give a damn about your difficulty licking tap soles, stupid! Just consider yourself lucky that I don't make people lick the side of the shoe. shoe I walk in! At least by licking the inside you can swallow my sweat, wjah zabi ("dick head" in Arabic)!"
Thierry obeyed his master and began to lick the inside and then the outside of his divine young master's tap shoes. Much younger than him, he was more handsome and stronger than Thierry had ever been.
WASSIM: "Stop, kelbe (= "dog" in Arabic)!!"
Wassim took the tap dance before kicking his fat white slave in the face. His cheeks were all red.
WASSIM: "Stop moving or I'll continue!!"
Thierry took the tap-dancing slaps for 10 minutes, and Wissam had so little respect for old white men that he was very violent. Thierry had to look his grand master in the eye.
When the torture stopped, Thierry's face was bubbling but his little cock was very hard!
WASSIM: "Look at you, I'm slapping you and you're excited! You're really a charmouta (= "shit" in Arabic)!"
Wassim therefore slapped Thierry's balls and crushed them, knew about it and laughed at the suffering of his ugly old slave.
When he finally stopped, he gave the fat servant the great honor of cleaning his sweaty feet. Licking the feet of the young and handsome Wissam was for Thierry moments of pure happiness.
END OF THE STORY
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ayanna-tired · 2 years
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Sortir du silence
TW : Viol conjugal/Relation toxique/Sexisme
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J'ose enfin me lancer… attention c'est un témoignage délicat, et c'est la deuxième fois que j'en parle seulement en dehors de ma thérapeute...
Quand j'étais au lycée, je suis sortie avec un homme de presque 10 ans mon ainé. Par le passé, quand ils étaient très jeunes, sa petite sœur l'avait accusée de viol incestueux et personne ne l'avait prise au sérieux, ou du moins, dans le doute, on a rien fait d'autre contre cet homme que de lui demander de se prendre son propre appartement pour ne plus être sous le même toit que sa sœur. C'est lui qui m'a raconté ça, les larmes aux yeux, victimes de l'instabilité de sa sœur qu'il était. Et c'est vrai qu'elle était un peu dépressive, un peu à la dérive… alors je l'ai cru lui. Je croyais l'aimer après tout, comment aurait-il pu faire ça ?
Mais voilà… un soir il a eu envie de faire l'amour… et moi pas. Je lui ai dit non, mais il a insisté encore et encore, me faisant culpabiliser… j'ai cédé, et il a commencé à me violer… Il ne s'est arrêté que quand il s'est rendu compte que j'étais en train de pleurer en silence… sa réaction ? La colère. J'étais fautive et capricieuse.
Je n'ai compris que c'était un viol conjugal que des années plus tard en thérapie.
J'étais trop jeune, mais ça m'aura apprit à voir les "red flag", sa sœur que je n'ai pas prise au sérieux… son ex à qui il a fait du revange porn (d'ailleurs le juge lui a juste dit que c'était pas très bien et il s'en ai tiré sans rien)… moi qui n'étais qu'une gamine… ses colères, sa maniaquerie, sa manière de m'isoler et de faire en sorte que je ne vive qu'à travers lui, ses ami-e-s, sa passion…
Mais voilà, j'étais une fille, sa sœur aussi. On ne nous a pas protégées, on ne nous a pas prise au sérieux…
Aujourd'hui c'est un secret, ce viol conjugal, que je garde farouchement, surtout auprès de ma famille… ils ne comprendraient pas et ne prendraient pas ma défense. Après tout ils ont laissé la gamine que j'étais sortir avec un beauf d'une trentaine d'années !
C'est ça aussi le sexisme ordinaire… ne pas croire les femmes qui sont victimes, ne pas prendre au sérieux les choses graves… trouver normal qu'un homme viol sa petite amie parce qu'après tout, il y a le devoir conjugal…
Voilà… c'est un bout de mon histoire…
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J'ai proposé ce témoignage au comte Instagram "Sexisme Ordinaire STOP" anonymement... pour moi c'est une grande étape. Je guette la publication mais ça ne se fera pas tout de suite...
Ayanna, septembre 2022
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 106
C'est la dernière semaine de l'ancienne organisation (travail et baises).
Mercredi,
Jean fait sa dernière passe chez le vieux au valet. Dès que nous entrons, j'annonce la nouvelle au client. Il est content et nous demande d'attendre 5mn. Il revient avec mon enveloppe. Elle me parait plus épaisse que d'habitude. Le temps de monter à la chambre, je l'ouvre et effectivement il a ajouté 50%. Ça a du bon le changement de personnel !
Bien que la confiance se soit installée, je ne voudrais pas qu'il s'autorise sur Jean des " excentricités " pour sa dernière passe et je préfère rester avec eux.
Ce n'est pas désagréable d'autant plus que le valet (toujours aussi stylé et appétissant) vient me servir. Il m'offre un verre et comme j'écarte les cuisses (ce qui plaque bien mon jeans sur ma bite bandée) il s'agenouille et dégrafe ma braguette. Je lui prends la tête ente mes mains et après qu'il eut dégagé ma queue, lui force (façon de parler, il est consentant) la bouche. ;C'est un vorace en manque, il me l'avale jusqu'aux couilles. Je dois plutôt le ralentir que le pousser à m'avaler entier ! Pendant ce temps là sur le lit à baldaquin, Jean se fait démonter la rondelle. Je relève le valet et lui ordonne de quitter le bas. Je vais l'enculer à demi-déshabillé. Il s'exécute et de lui-même se penche en appui sur un dossier de fauteuil, écartant des deux mains ses fesses. Sa rondelle glabre me fait toujours autant d'effet et kpoté, je m'enfonce avec délice dans ce trou.
J'ai bien fait de rester avec Jean car je surprends une ou deux fois le client tenter des trucs pas " catholiques " style, enculage sans kpote et au final jutage dans la bouche de Jean. Les deux fois un regard appuyé à suffit à éviter le pire. Je jute dans la kpote bien calé au fond du valet. Trop bon ! De son coté Jean à fini. Douches rapides et nous rentrons. Jean me remercie d'être resté avec lui car il aurait été mal pour refuser les excès (vu la différence de force entre lui et son client). Je lui dis que c'est normal, je me suis toujours bien occupé de lui. Il me demande s'il doit continuer à amener des jeunots à sa mère. Je lui réponds que cela vaudrait mieux sinon elle risque d'être méchamment en manque.
Il me dit alors que la moyenne d'âge va augmenter, les portes du lycée s'étant refermées. Par contre des copains étudiant en manque et surtout en manque de baise plus originale qu'en position du missionnaire, il en trouve quand il veut. Je lui dis qu'il la gère comme il veut, pour moi, maintenant ce n'est qu'une source de revenu parmi d'autre. Je lui demande de continuer à enregistrer. Peut être découvrirons nous un " spécial pervers " dans le lot. Il me dit que le bourge qui avait enculé son pote c'était déjà pas mal. J'en conviens. Je le laisse devant sa porte, je ne tiens pas particulièrement à rencontrer sa reum.
Jeudi, Je passe chez Emma. J'aime bien mes jeudis " hétéros ". Elle est chaude comme à notre deuxième rencontre. Aussitôt la porte de la maison passée, elle me saute dessus. Elle est nue et ses bras autour de mon cou, ses cuisses sur mes hanches, elle se colle à mon cuir comme une sangsue. Nous nous roulons un patin d'enfer alors que je la plaque contre le premier mur venu. Je bande sous le cuir et ne peux libérer mon sexe. Elle le sait et serre encore plus les cuisses autour de ma taille.
Sa chatte commence à mouiller mon cuir, je nous pousse jusqu'au séjour et la dépose sur la table. Je dé zippe ma combi en partant du base et kpote ma bite raide avant de lui défoncer la chatte. C'est chaud et ça rentre tout seul ! Elle reste accrochée à mon cou et nous continuons à mélanger nos salives. C'est pas mal, mais elle sait que je préfère son cul (c'est souvent le cas chez les bis tendance très homo !).
Je la retourne, ses pieds au sol, les seins écrasés sur le plateau de la table, je regarde quelques seconde ce cul avant de le perforer de ma bite. Hargggh que la résistance d'un anus est plus plaisant que la mollesse d'une chatte ! J'ôte mes gants de moto et lui prend les épaules pour appuyer chacun de mes coups de reins. Ça lui soulève les pieds du sol. Elle apprécie la force de l'enculage.
Je glisse une de mes mains sur sa chatte et joue avec son clito. Je sens aussitôt son anus se serrer convulsivement. C'est encore meilleur ! Je glisse ma deuxième main sur un sein. Entre la stimulation anale, celle clitoridienne et le malaxage de son téton gauche, elle abdique et jouit bruyamment. Je suis obligé de maintenir ses hanches de mes deux mains pour éviter d'être éjecté de son corps.
Je continu des va et vient désordonnés, bloqué dans mes mouvements par les contractions de son anus. Mais c'est trop bon et j'en rempli ma kpote. Fatigué, je me retire et me couche, dos sur la table à coté d'elle. Elle rampe sur moi et se colle sur mon coté. Nous restons quelques instants. J'attends qu'elle sorte de l'état post coïtal en lui caressant délicatement le dos. Un bon 1/4 heure plus tard, elle se relève sur un coude le regard fixé sur moi. Je ne bouge pas.
Elle dé zippe ma combi du bon coté pour l'enlever, écarte les pans et relève mon t-shirt pour me caresser les pecs et les abdos. Je ne bouge toujours pas la laissant dans ses pensées. Elle finit par me dire " bonjour ", c'est vrai que nous n'avions pas eu le temps de nous saluer ! Elle se penche sur mon nombril, pose sa langue dessus t remonte doucement. Passage sur mes tétons encore raidis par le plaisir, glissement sur ma pomme d'Adam et atterrissage sur mes lèvres pour une pelle langoureuse.
Après quelques instants, je me redresse. Je descends de ;la table, m'extirpe de ma combi et la dresse sur une chaise. Je pars me doucher. Au passage dans la chambre je choisis un shorty dans la collection qu'elle a acquise pour moi et me coule dans la douche. Emma me rejoint quelques minutes plus tard alors que je me rince et reste sous le jet brûlant, délassant mes muscles. Je la savonne, la caressant plus que l'étrillant. Ses seins sont encore hypersensibles et le passage de mes paumes sur les tétons la fait frissonner. Je la rince et nous restons embrassés sous le jet. Une fois séchés, j'enfile le shorty, Emma un peignoir et nous allons prendre un café à la cuisine.
Nous papotons, je lui fais part de ma nouvelle organisation (travail à la maison en indépendant, pas le recrutement de mes deux nouvelles putes !), elle me félicite d'avoir fait le pas et me demande si je suis toujours " escort ". Je lui dis - oui bien sûr. Du coup elle me demande si je pourrais me libérer un samedi soir, elle voudrait que je l'accompagne à une soirée organisée par un des associés de feu son mari. Quand je lui en demande la raison, elle me dit vouloir se débarrasser d'un soupirant auprès de son portefeuille d'action ;en lui montrant qu'elle n'a besoin de personne pour mener sa vie. L'idée d'être un homme objet ne me fait pas peur, il faut juste que j'obtienne l'accord de Marc. La date annoncée me laisse le temps d'acquérir un vernis de connaissance du milieu des affaires auprès du père de Ric. Pour ce qui est du commerce, ma petite affaire m'a appris les rudiments de l'offre et la demande et niveau culturel, mon éducation m'a laissée de beaux restes.
Nous refaisons l'amour avec plus de tendresse, la furie étant passée avec notre premier rapport.
Dès que Marc rentre je lui parle de la demande d'Emma. Il me dit être d'accord. Depuis notre clash, nos rapports ont évolués et il me fait confiance. Il sait que même si je m'investi plus en tant qu'escort, c'est lui que j'aime.
Nous passons la soirée à faire l'amour. Je le fais monter doucement en pression alternant pipes avec gobages de couilles et léchages du périnée. En apéritif, je réussis à le faire juter dans ma bouche. Je le bois et il me prend la bouche pour en récupérer une partie. Petit dîner et nous remettons cela. Simplement, dans notre lit (chose assez rare il est vrai) il m'a fait l'amour divinement. Ses baisers, ses caresses et la force de sa pénétration font de lui un amant parfait. Après m'avoir amené à le supplier de m'enculer, il s'est exécuté pour mon plus grand plaisir. Chaque centimètre se sa queue participe à la montée de l'excitation. Je m'applique à lui rendre la pareille en serrant mon anus pour lui masser la verge, arrivant à le bloquer quand il n'y laisse que le gland. Nous continuons ainsi, faisant varier les positions jusqu'à ce qu'il explose dans mon cul écrasant mes cuisses sur mon torse afin de pouvoir me rouler un patin. Sans me toucher, je jute entre nos deux corps collés. Avant de nous endormir je lui dis que je l'aime et j'ai le plaisir de l'entendre me le dire aussi (ce qui est rare même si cela fait quelques temps qu'il en a convenu).
Vendredi
C'est mon dernier jour chez mon patron, je lui amène Jimmy pour le présenter et qu'ils fassent connaissance. L'entretien se passe bien. Je lui fais visiter la boite, le vestiaire avec son placard, ses cottes et ses chaussures de sécurité, la salle de repos, les quelques bureaux. Son charme agit déjà sur celle qui s'occupe de l'administration (et qui n'est autre que la femme du boss), je ne m'en fait plus pour lui !
Au retour, je lui dis qu'il est très sexy dans sa combi de travail à double zip. Il rigole et verifie de sa main l'effet qu'il à produit sur moi. Je bande dur. Sans que je ne demande rien, il me déboutonne le ;jeans et me pipe alors que je conduis. Heureusement que la voiture connait le chemin, car je n'ai pas vu grand-chose de la route. Arrêté dans la cour de la maison, j'ai pris sa tête entre mes mains et la bloquant contre le volant, je lui ai sodomisé la gorge. Il m'avait trop excité de ptit con ! J'ai juté dans a gueule en lui disant de tout avaler pour pas tacher le cuir des siège. Quand nous sommes sortis, Samir et Ammed nous attendaient. Samir voulait savoir comment s'était passé l'entretien d'embauche. C'est Jimmy qui lui a dit qu'il était pris et de tourner sur lui-même pour faire admirer la cotte grise et bleue. Samir m'a remercié d'avoir tiré Jimmy de l'avenir de dealer qui l'attendait.
Dès le samedi après midi, j'ai été chercher Ed. A partir du moment où il prend son portable, ses parents le laisse faire ce qu'il veut. Je lui montre ses quartiers, qui sont les même que ceux de Jimmy et lui dis que le lit est assez grand pour eux deux (deux mètres par deux, pour deux crevettes d'1,65m par même pas 50Kg).
En attendant, WE de formatage au futur taf. Nous passons le plus clair de notre temps au donjon. De temps à autre, Marc nous rejoint pour se vider les couilles. J'organise des pauses où nous profitons de la piscine. Autant je laisse Jimmy prendre le soleil, un beur bronzé ça le fait, autant Ed se couvre d'un peignoir quand on se repose sur les chaises longues, lui son attrait de blond c'est aussi sa peau très blanche. A la fin du W, avec Marc nous les double-sodomisons. Je les ai préparés comme il faut et ils sont demandeurs. Après un galop sur la selle équipé de notre plus gros gode (le 28 x 7.5) où Ed a expliqué (fort de son expérience de cavalier) à Jimmy comment mimer les mouvements. Nous avons commencé par Jimmy. Mes jambes emmêlées à celles de Marc, nos bites collées, couvertes de graisse, j'ai demandé à Jimmy de venir s'assoir dessus. Le gland de Marc juste entré dans le sphincter, j'ai senti le mien pousser à la porte. Un petit coup de cul et Jimmy l'a fait passer. La suite a été un vrai délice. Lentement il s'est assis sur nos cuisses. Ed à coté n'en perdait pas une miette, il savait que plus tard ce serait son tour. Jimmy l'a rassuré en nous disant que c'était trop bon ! Avec notre aide, il a amorcé un mouvement de pompe qui avait l'air de lui faire autant plaisir qu'à nous.
Après quelques instants, ça a été le tour d'Ed. Avec lui il faut toujours un peu de poppers pour faciliter la chose. Une fois bien callés dans on cul, nous avons vu notre ptit beur venir lui bouffer la tige. J'ai laissé faire. Quand il s'asseyait sur nos cuisses, il sortait de la bouche de Jimmy pour y rentrer dès qu'il retirait nos bite de son cul. Poppers, pipe ou excitation du moment, toujours est il qu'il s'est déchainé et s'est défoncé l'anus sur nos bites raides à un rythme infernal. Bien stimulés par la première double-sodo, nous avons tout lâché quand lui-même tapissait la gorge de son comparse de son sperme.
Nous nous sommes retrouvés tous les 4 dos sur les tatamis à récupérer de nos efforts. Pas longtemps, Ed s'est rappelé que Jimmy n'avait pas joui et a vite remédié à cela. Petite pipe et 30 secondes plus tard il avalait le sperme. Ils sont revenus vers nous, Jimmy se couchant sur moi alors qu'Ed se posait sur Marc. Petits bisous et ils se sont endormis leurs têtes callées dans le creux de nos épaules.
Avec Marc, nous nous sommes regardés et avons décidé de ne pas bouger tout de suite. Du coup nous nous sommes endormis aussi et c'est Samir et Ammed qui nous réveillés. Isolé, le temps ne passe pas avec la même vitesse dans le donjon.
Douches pour tout le monde et j'ai raccompagné Ed quand Samir se chargeait de Jimmy.
Quand il faisait son petit sac à dos, je lui ai offert un plug de travail, pour qu'il puisse en semaine se roder l'anus accompagné de son pot de graisse.
Comme l'autre fois, son frère était seul à l'attendre. C'est un gentil môme. Quand nous avons passés la porte, il nous a sautés au cou. C'est vrai qu'il a du s'ennuyer ferme, seul pendant deux jours. Il a cuisiné Ed pour savoir ce qu'il avait fait du WE. Ce dernier a éludé en inventant des balades en moto. A mon départ j'ai nettement senti sa petite bite raide sous son short contre mon cuir. Du coup j'ai glissé dans l'oreille d'Ed que bientôt il faudra qu'il lui apprenne à se masturber !
JARDINIER
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nemosisworld · 3 months
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Depuis la nuit des temps, les êtres humains s'aiment d'amour, quelle que soit la différence. L'amour n'a pas d'âge. Il n'y a pas d'amour impossible. Tout amour vaut mieux que le manque d'amour.
Philippe Labro, Franz et Clara
Ph. Louis Dazy
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cpourtonbien · 2 months
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Quand - chez tonton et tatie - tu as dû te déshabiller en même temps que les petits pour - malgré la différence d'âge - prendre le bain avec eux ...
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quemajoiedemeure · 10 months
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Ce week-end j'ai suivi ma meuf a un apero chez une de ses anciennes collègues de taf qui s'est mariée, je connaissais personne je venais en soutien et aussi parce que je m'attendais à de l'alcool gratuit. Il y en avait et heureusement parce qu'un des mecs m'a dit que ça serait moi qui allumerait le barbecue, et ensuite une vieille nous a affirmé qu'on allait se marier aussi avec ma meuf parce que quand même "c'est un truc à faire" (j'ai répondu non aux deux) et puis les mecs se sont tous mis à jouer aux palets pendant que les meufs parlaient, j'ai rempli un deuxième verre de truc petillant alcoolisé (pas du vrai champagne) et je suis allé visiter la baraque, c'était assez chiant, un pavillon avec les prénoms des enfants sur les portes de leurs chambres, absolument rien sur les murs sauf des photos encadrées de la famille, et une seule bibliothèque à l'étage avec les livres des gamins et une petite étagère avec ceux des parents (deux Musso, plein de livres sur quel prénom choisir pour son enfant, un autre qui s'appelait "les bons réflexes pour devenir père", un album d'Asterix et des trucs de développement personnel)
C'était tellement pathétique que j'ai fini le truc pétillant, j'ai pensé "ils les ont mis où leurs souvenirs ?" parce que ça aurait pu être la maison de n'importe quelle personne présente que ça aurait fait aucune différence, ça aurait pu être la maison de n'importe qui dans ce pays que ça aurait fait aucune différence, si demain ils étaient évacués à cause d'une éruption volcanique ils pourraient recréer leur maison à l'identique en quelques passages à Conforama et en deux commandes Vistaprint
Je suis allé pisser trois fois pour évacuer le vin et pour m'occuper (je pensais pas que la moyenne d'âge serait aussi élevée, j'avais vaguement l'espoir de trouver quelqu'un qui aurait de la c mais leur seule drogue à eux c'était plutôt la viande grasse des chipolatas qui finira par leur boucher les artères) au dessus du réservoir de la chasse d'eau il y avait un cadre avec des papillons morts épinglés dedans, quatre papillons morts, je les ai pris en photo et j'ai envoyé la photo à Kévin pour pas mourir seul avec mon affliction, et puis je me suis senti élitiste mais il était 17h et j'étais bourré
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cloud-hoper · 9 months
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(jour 4)
[...]
le plus dur est de remettre chaque action à sa place
laquelle était malveillante, ignorante, stupide, intentionnée ?
quelles actions sont excusées parce qu'on était trop jeunes, lesquelles aggravées par la différence d'âge et de maturité ?
quelles ont été mes actions ?
quel rôle ai-je joué, petite poupée indocile qui se faufilait entre les silences ?
être a la fois ma propre alliée et ma propre traître
pourquoi ai-je parlé de cette manière
agi de cette manière
séduit de cette manière
quelle peur, quelle envie me poussaient ?
aujourd'hui je tutoie le seuil de mes réponses
demain, je toucherai peut-être du bout des doigts la fin du puzzle
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sabinerondissime · 1 year
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Différence d'âge
Il semble que quand un homme apprend qu'une femme a un amant beaucoup plus jeune qu'elle, il pense immédiatement que la femme doit prendre son pied avec ce bel étalon.
Dans ce genre de situation, les femmes pensent plus souvent que cette femme a de la chance d'avoir séduit un homme plus jeune.
Dans ma réalité, j'ai été séduite par un homme de 25 ans de moins que moi, parce qu'il m'a fait rire, parce qu'il est intelligent, parce qu'il est beau, oui, aussi ! Parce qu'il m'a parlé comme personne ne l'avait fait, parce qu'il a été présent, parce que comme moi, ses sentiments se sont développés au fil des semaines, des mois et aujourd'hui, des années..
Cela n'a rien à voir avec l'âge, ni le sexe. Cela a à voir avec la personne. J'ai eu des amants de 12 ans plus que moi, d'autres de mon âge et d'autres qui avaient 20 ans de moins que moi. Cela n'a jamais été dans l'espoir d'une quelconque performance sexuelle ! C'est une affaire de cœur, avant tout. En tout cas, en ce qui me concerne.
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Roman d'amour : Été 85 (Ozon, 2020)
Peu de temps après sa sortie, j'avais parlé d’Été 85 avec un ami de mes parents qui avait détesté le film à cause du personnage de David (Benjamin Voisin), parce qu'il connaissait des mecs comme lui quand il était au lycée et qu'il pouvait pas les blairer.
Mais François Ozon ne fait pas seulement de David un personnage, il en fait un concept ; le concept d'un premier amour auquel on peut donner la personnalité que l'on désire, puisqu'il n'est de toutes façons pas fait pour durer. Et ce personnage-concept du premier amour est d'autant plus identifiable grâce à l'appel à la nostalgie que représentent les années 1980 (ici magnifiées par un travail impressionnant des décors et des costumes). L'époque, le scénario qui met en avant un premier amour homosexuel entre deux jeunes garçons, ainsi que la représentation de la jeunesse juive européenne ne sont évidemment pas sans rappeler Call me by your name (Guadagnino, 2018), la différence d'âge et les affaires de pèche en moins.
Ozon fait danser l'art, l'amour et la mort comme il fait danser Alexis, David et Kate ; il jongle entre le passé et le présent dans le cadre d'une affaire judiciaire finalement plutôt insignifiante, mais qui est le parfait prétexte pour l'écriture du roman d'Alexis. Le film n'est alors qu'une mise en images de son point de vue peu fiable, ce qui contribue brillamment à justifier le vide apparent de David qui n'est vu qu'au travers les yeux d'un amoureux qui ne le connaît pas.
Peut-être que ce que l'on retiendra du cinéma de François Ozon, ce sera l'amour superficiel, les garçons transis et les femmes qui pleurent. Ici en tout cas, le réalisateur semble saisir la fugacité de la vitesse, de la jeunesse et des amours estivales.
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masterofbiography · 9 months
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Stefan Salvatore est né le 1er novembre 1846 à Mystic Falls de Guiseppe et Lily. Il a un frère Damon, qui a sept ans de plus. Durant son enfance, sa mère tombe malade de la tuberculose. Stefan fait alors tout pour l'éviter tant qu'il souffre de la voir ainsi. Son père, un homme strict et inquiétant, envoie la pauvre femme loin de chez eux et c'est là-bas qu'elle meurt, sans avoir revu ses fils. Cet épisode a profondément marqué Stefan. Les deux frères se retrouvent alors seuls avec leur père et, malgré leur différence d'âge, s'entendent à merveille. D'après les flashbacks, il est évident que Stefan était le fils préféré de Giuseppe. En tant qu'humain, Stefan était gentil, chaleureux, compatissant, intelligent, introverti, responsable, respectueux et noble. En somme, c'était un jeune homme respectable qui jouissait en plus d'un physique plaisant. Un jour durant l'année 1864, Katherine Pierce et sa servante Emily Bennett arrivent à Mystic Falls. Stefan tombe fou amoureux de Katherine, jeune fille sensuelle et joueuse au charme irrésistible. Il ignore cependant que celle qu'il aime est en fait un vampire fourbe et sans pitié. Elle lui fait boire régulièrement son sang contre son gré (elle l'hypnotise pour obtenir ce qu'elle veut.) et lorsque Stefan est tué par son père pour avoir voulu protéger Katherine de la mort, il se transforme en vampire. Il achève sa transformation en se nourrissant du sang de son propre père. Connu sous le nom du "Boucher de Monterey", il hante la région et assassine sauvagement tous ceux qui ont le malheur de croiser sa route. Lorsqu'il boit du sang humain, Stefan devient incontrôlable et d'une cruauté sans bornes. C'est à ce moment-là qu'il rencontre la jolie Lexi, un vampire qui lui redonne goût à la vie, à l'amour, et le remet dans le droit chemin en le mettant au régime du sang animal. Stefan revient à Mystic Falls après avoir sauvé Elena Gilbert (chose qu'elle apprendra plus tard) de l'accident de voiture qui a coûté la vie à ses parents. Il avait alors remarqué l'exacte ressemblance d'Elena avec Katherine et est, de ce fait, fortement intrigué. Il ira jusqu'à se faire passer pour un lycéen pour l'approcher. Bien qu'ils vivent ensuite une histoire d'amour, celle-ci prendra fin quand Stefan perdra son humanité sous l'hypnose de l'hybride Klaus. Sans cette humanité, Stefan est un vampire incontrôlable sur sa soif de sang. Lorsqu'il succombe à ses désirs, il est plus que sauvage, une bête capable d'arracher une tête par sa simple morsure. Malgré cela, à la fin, il remet toujours la tête de sa victime sur son corps comme pour réparer. Je joue Stefan uniquement sans son humanité suite à cette hypnose. Dans ma version, s'il n'est pas asservi à Klaus, il cherche un moyen de se venger de l'Originel en cherchant un moyen de le tuer. Une chose pas évidente à cause du lien qui l'unit à tous les autres vampires de sa lignée. Je refuse de jouer avec des Elena Gilbert vampire, car elle m'insupporte plus que d'habitude dans cette version-là.
Joue avec : Rebekah Mikaelson - Damon Salvatore
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04 / 04 / 2024
🇬🇧🇺🇸 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇸
PERSONAL FICTIONAL STORY
A BNWO STORY
- DEODORANTS UNDER THE BNWO -
This story is set in the early years of the New Black World Order. Boubakar was an old black man. Aged around sixty, he had known the world before, and had never wanted to own a white slave. However, as he grew older, he would not have refused a cleaning man to cook for him, or a foot massage in front of the television, or his back because he had aches. But he wanted to do things on his own.
His neighbor across the street had a white slave for every task: a gardener, a cook, a masseur, a cleaner, a sex slave. But Boubakar justified their presence by the fact that his neighbor's family was a large family. And, officially, they were not really slaves, but employees living in the employer's home and receiving no salary, or a very small salary. It was slavery without saying the name.
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Boubakar, tall and muscular for his age, was still quite tired, because at 65 he had more difficulty walking. He sat down in his chair, placed his feet painfully on his footrest and turned on the television.
He came across a stupid reality TV show whose concept was simplistic: it was a competition between Black men and white boys, and the goal of the Black men was to enslave the most white boys, the goal of the boys white being to remain free until the end of the adventure. This show was very popular because the white boys conquered during the show had the "right" to remain in the service of the Black man who had conquered them. There were variations of the show with Black women versus white girls, or Black men and women versus white boys and white girls. So, there were Black men who seduced white girls and Black women who seduced white boys. It was a fun and entertaining way to find love or a slave.
Boubakar watched this program until the commercial. Usually he took the opportunity to go get something to drink, since he had no slave to do it for him. However, that day, he saw a different advertisement. We saw an old Black man shirtless in his bathroom, bald with a gray and white beard. He took out a deodorant and lifted his armpit.
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THE BLACK MAN IN THE ADVERTISING: "A chemical deodorant? That's not what I want to use anymore. It's not ecological and healthy. But what to take? I found the solution with A WHITE TONGUE."
The old black man raised his armpits and there appeared on the screen a handsome, muscular white man and a beautiful, full-breasted white woman, each with a black necklace around their neck.
THE BLACK MAN IN THE ADVERTISING: “All I have to do is press this remote and the deodorants come on.”
The old Black man pressed a remote control and the white woman placed under his left armpit and the handsome muscular white man under the right armpit began to lick his armpits, then blow on them tenderly.
THE BLACK MAN IN THE ADVERTISING: "And there you have it, thanks to my human deodorants, my armpits have never smelled so good, because their fresh breath lasts a day. Then, I put them away like real deodorants!"
The handsome white man and the beautiful white woman obediently entered a closet, before the old black man spoke to the camera.
THE BLACK MAN IN THE ADVERTISING: “Who said white people were useless? 😉”
The advertisement ended with the addresses of the stores where human deodorants were sold. Interested in the idea of ​​buying a human deodorant because he no longer had normal deodorant, Boubakar left his house.
He gestured to his neighbor, another old Black man, who was reading the newspaper on his patio with a pretty white girl kneeling at his feet to suck his cock, while his sons were having fun whipping the muscular white gardener.
He walked toward downtown and saw several black couples leashing a white male or female slave behind them.
Suddenly, a little white boy, completely naked except for a tiny chastity cage, came up on all fours to sniff her shoes excitedly. Boubakar moved back slightly, but the tiny, thin white boy continued to approach Boubakar's shoes, his tongue hanging out. “At my feet, dog!”, rang out a deep male voice. The little white boy smiled shyly at Boubakar before running towards his master who was holding the leash connected to the human dog's collar on his wrist.
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It was then that Boubakar saw Blaise, a tall, rather thin Black man, very well dressed, who was the eldest son of one of his best friends.
BOUBAKAR: “Blaise, I haven’t seen you for a long time! Are you coming to visit your old father?”
BLAISE: “Nice to see you again Mr. Boubakar. Yes, I went shopping for him, it gave me an excuse to walk and take my dog ​​out.”
Boubakar noticed that behind the tall but thin, bald and elegant young Black man was a handsome, very muscular white man, whose only clothing was strappy sandals and a black thong, in addition to a slave collar. He held many, many shopping bags in his hands and on his back, and bowed his head in silence.
BOUBAKAR: “Do you own white people?”
BLAISE: "We have to find a use for them 🤣! I have my own pet dog, and my carrier behind me, whose main function is to carry things. Dad has several, one for each task."
BOUBAKAR: “I must admit that I can get by without it.”
BLAISE: "Really ? 😱 But when you're erect, do you...?"
BOUBAKAR: “Well, I masturbate.”
BLAISE: "I haven't masturbated since I got my own fluffer. But wait, don't tell me you still use toilet paper to wipe yourself after you shit!"
BOUBAKAR: “Yes, why?”
BLAISE: “No one does that these days, white people are made to wipe our asses so we don’t have to!”
BOUBAKAR: “I saw that there was a new way to deodorize your armpits, I plan to buy a human deodorant to start.”
BLAISE: "Ah yes, Dad has already had one for some time, she is very pretty and its tongue is very soft so he uses it to lick his armpits during his nap. And then, buying white ones helps support the economy. Well, it was a pleasure to meet you, Mr. Boubakar, but a slave is waiting in the dungeon for me to whip him."
BOUBAKAR: “He didn’t do anything wrong I hope.”
BLAISE: "No, he just dared to pull his head out of my ass when I farted while he was licking it. I think 100 little lashes should remind him of the honor of smelling Black farts. See you soon, Mr Boubakar !”
The dog barked one last time at Boubakar, and Blaise and his slaves continued on their way.
Boubakar arrived at the deodorant store.
A white butler opened the door for him and bowed his head as he passed. In the past there were guards at the entrance to stores who were Black men, chosen because their strength and skin color inspired fear. Since the establishment of the New Black World Order, Black men were useful elsewhere, so their job as extras was done by white servants.
The store manager, a rather large Black man, welcomed him with open arms. He asked him if he wanted a stool or an armchair. Not knowing what to choose, as he is not used to shopping in town, Boubakar chooses a stool. The chubby Black boss snapped his fingers: a white valet brought two stools, which were actually a little white boy and a little white girl whose arms and legs were folded behind their bodies and their heads were raised. The big Black boss put his huge ass on the young white woman's face as if nothing had happened. Boubakar, who did not have a white slave, hesitated before sitting on the young man's face in a human chair. He wiggled his big ass until his anus was level with the nose of the ugly young man beneath him.
On the walls, posters or video screens represented sublime Black men revealing their armpits, polluted or hairless, but which any white person would be honored to be able to taste.
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BOUBAKAR: “Could you explain to me how my deodorant is selected, please?”
STORE MANAGER: "Exactly, sir. You'll have to start by choosing a genre."
Boubakar wanted a white boy.
THE SHOP MANAGER: “And now I will show you the models, which are classified by size.”
In the back of the store there were white boys on one side and white girls on the other, standing completely naked behind sheets of glass, motionless and tied to the wall by their collars and ankle chains. They all had ribbons over their eyes. Docile, like living objects.
THE SHOP MANAGER: “The deodorants are classified by size, because the head of the deodorant must reach the level of your armpits while standing, therefore without having to bend down or stand up to be able to clean them.”
Boubakar looked around and saw a pretty little white boy, quite thin, like all the deodorants were except the plus size models, tall and muscular white men reserved for very tall Black men. The plump boss snapped his fingers and a white employee opened a glass door, unfastened the slave's padlocks and brought him to face Boubakar, whose jacket and shirt had been removed by a white servant. She had placed them on a chair. So, at the boss's request, Boubakar raised his armpit.
THE SHOP MANAGER: "It's simple to use. You press the button on the remote control, and the collar will send the order to the deodorant's brain to open its mouth. The yellow button is for breathing, the green for the tongue, and red to extinguish."
The boss pressed the yellow button and the slave, whose head reached the level of Boubakar's armpit, began to blow on it. His breath was fresh and smelled of flowers.
THE MANAGER: “The mouth of the deodorant only closes if you press the green button for licking or the red button for closing it. Let me show you the licking.”
He pressed the green button and the white boy licked Boubakar's armpit, who enjoyed seeing the soft, long pink tongue of the little skinny white boy licking his stinky old armpits without being disgusted at all.
After five minutes, the manager pressed the red button and the mouth closed. He wanted to explain Boubakar how the slave works.
THE SHOP MANAGER: “The tongues of deodorants are elongated, that is to say, they are longer in order to lick more of the armpit area than a normal human tongue would. Deodorants have been genetically modified by state-certified laboratories. They do not need to be fed, and therefore to do their natural needs. They can live without eating. To keep their breath fresh, be sure to always leave in their mouth one or more tablets, and add more in their mouth as soon as you notice that the tablet has evaporated. Otherwise you can buy the automatic refill, which consists of a headset that inserts a tablet into the mouth of the deodorant as soon as he has finished swallowing the previous one. As you notice, the pastilles are diffused in the mouth, on the palate and in the tongue, in order to maintain fresh breath. You can choose the desired flavors in our store, such as the real deodorants have different scents."
Boubakar kept the current flavor, meadowflower, and bought a reserve of pastilles.
SHOP MANAGER: "One last thing before this deodorant is yours, sir. Would you like a mute or talking deodorant."
BOUBAKAR: “Mute?”
He didn't want to give the impression that he was unfamiliar with this type of transaction, but Boubakar had to admit that never having owned a white slave made him feel a little old-fashioned.
THE BOSS OF THE SHOP : "We can take away his ability to speak, so that he is a real object, or program him phrases like "Thank you Master" or "Your armpits are delicious, Master", if you like flattery."
BOUBAKAR: “I’ll keep it as it is, thank you.”
The deodorant was delivered to Boubakar's house an hour later, in a box opened before his eyes to confirm the product. Boubakar leaned towards the white slave from whom he removed his mask covering his eyes.
The young boy had never seen men, since he was born to be a living deodorant. When he saw his owner, the small, skinny white boy immediately fell madly in love with the old black man.
The white boy must have licked his armpits while he took his nap.
For several days, Boubakar used his slave only as a deodorant, making him blow it on his armpits in the morning before locking him in a closet until the next morning.
Taking advantage of having a white slave, Boubakar decided to eventually use him as a household slave, teaching him how to do household chores. The slave and the master thus became closer, because Boubakar, alone and lonely, began to talk more while having the company of his cute little white boy, while the slave felt protected by this physically impressive but old Black man. very kind, cuddly and tender who taught him so many things.
Over time, the slave also had to blow his cool breath on the master's long stinking feet to freshen them, or lick them to clean them of their sweat. He had to do the same with the equally sweaty and smelly big ass of his owner with whom he was secretly madly in love.
As he grew older, the old Black man became more and more gassy, ​​and his farts became more and more stinky. After each fart released, sometimes on his son's face or rather chest, Deo had to blow his flowery breath on the stinking asshole to refresh it and make the putrid anus smell like roses. His white boy was not a human but was truly a useful living object for whom Boubakar had a lot of affection.
Old and alone for a long time, the Black man who could have been the boy's grandfather also fell in love with his slave. He behaved towards him like a father, protective and teaching him things, both so that he could serve him but also so that they could discuss together.
His daily nap of several hours allowed him to have his ass licked by the young white man, but also of course his armpits since the old man maintained an athletic physique by practicing sporting activities which made him sweat. Fortunately, when he returns, his human deodorant will clean him with his breath once he has taken a shower.
Deo had to keep his mouth closed, or rather he couldn't open it until Boubakar pressed the remote control that opened his mouth. He therefore had complete control over this white slave.
Nevertheless, he valued his education, taught him the history of black people in America, other black populations but particularly Africa. Like a schoolboy, Deo raised his hand for permission to ask questions. Boubakar taught him the fascinating history of Africa, the different countries, their landscapes, their Kings and Queens,...
Deo was fascinated by Boubakar's culture, which taught him to read and speak with books about Africa, and also to use as a personal reader while he relaxed.
Boubakar had no expense in feeding the slave, who only had to stay at his master's feet and blow on him under the table while he ate. No expense on clothes either, Deo's pretty little skinny body - as its owner had renamed it - was thus available for the caresses of the old Black man.
He only made one expense: the helmet which put a tablet in the slave's mouth so that Deo's breath was perpetually fresh and smelled of flowers. That's why he often kissed his little white boy who smelled good.
The old man demanded that his slave blow on his feet during his sleep, or in his big ass which he had to lick regularly during the night because he sweated quickly.
Madly in love with each other without telling each other, the master and his slave now welcomed Boubakar's friends into his home, and they were finally on an equal footing with Boubakar now that he also owned a white man.
Boubakar had his feet, ass and armpits licked in his garden, visible to his neighbors.
The world was so much better with the enslavement of white people, because natural resources were better shared, white people were in their place.
END OF THE STORY
My previous story about an old Black man worshipped during the BNWO
I was inspired by an advertisement where you see a Black man using a deodorant 😊
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There is a lot of advertisements with Black men, i think it's because they are so hot 🥵
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🇫🇷 FRANÇAIS / FRENCH 🇫🇷
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE
HISTOIRE DE L'ORDRE MONDIAL NOIR
- LES DÉODORANTS HUMAINS -
Cette histoire se situe dans les premières années du Nouvel Ordre Mondial Noir.
Boubakar était un vieil homme Noir. Âgé d'une soixantaine d'années, il avait connu le monde d'avant, et n'avais jamais voulu posséder d'esclave blanc. Néanmoins, vieillissant, il n'aurait pas refuser un homme de ménage pour cuisiner pour lui, ou un massage des pieds devant la télévision, ou du dos car il avait des courbatures. Mais il voulait faire les choses par lui-même.
Son voisin d'en face avait un esclave blanc pour chaque tâche : un jardinier, un cuisinier, un masseur, un nettoyeur, un esclave sexuel. Mais Boubakar justifiait leur présence par le fait que la famille de son voisin était une grande famille. Et, officiellement, ils n'étaient pas vraiment des esclaves, mais des employés vivants au domicile patronale et ne percevant aucun salaire, ou un très petit salaire. C'était un esclavage sans en dire le nom.
Boubakar, grand et musclé pour son âge, était quand même assez fatigué, car à 65 ans il avait plus de mal à marcher.
Il s'assit dans son fauteuil, posa péniblement ses pieds sur son repose pieds et alluma la télévision. Il tomba sur une émission de télé-réalité débile dont le concept était simpliste : c'était un concours opposant des hommes Noirs à des garçons blancs, et le but des hommes Noirs était d'asservir le plus de garçons blancs, le but des garçons blancs étant de rester libre jusqu'à la fin de l'aventure. Cette émission était très populaire car les garçons blancs conquis au cours de l'émission avait le "droit" de rester au service de l'homme Noir qui les avait conquis. Il existait des variantes de l'émission avec des femmes Noires contre des filles blanches, ou alors des hommes et des femmes Noires contre des garçons blancs et des filles blanches. Ainsi, il y avait des hommes Noirs qui séduisait des filles blanches et des femmes Noires qui séduisait des garçons blancs. C'était une manière ludique et divertissante de trouver l'amour ou un esclave.
Boubakar regarda cette émission jusqu'à la publicité. D'habitude il en profitait pour aller se chercher à boire, puisqu'il n'avait pas d'esclave pour le faire pour lui. Or, ce jour-là, il vit une publicité différente.
On voyait un vieil homme Noir torse nu dans sa salle de bain, chauve avec une barbe grise et blanche. Il sortit un déodorant et souleva son aisselle.
L'HOMME NOIR DE LA PUBLICITÉ : "Un déodorant chimique ? Ce n'est plus ce que j'ai envie d'utiliser. Ce n'est pas écologique ni sain pour le corps. Mais quoi prendre ? J'ai trouvé la solution avec UNE LANGUE."
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Le vieil homme Noir releva ses aisselles et apparurent à l'écran un bel homme blanc musclé et une belle femme blanche à la poitrine généreuse, avec chacun un collier noir autour du cou.
L'HOMME NOIR DE LA PUBLICITÉ : "Je n'ai qu'à appuyer sur cette télécommande et les déodorants se mettent en usage."
Le vieil homme Noir appuya sur une télécommande et la femme blanche placée sous son aisselle gauche et le bel homme blanc musclé sous l'aisselle droite se mirent à lécher ses aisselles, puis à souffler dessus avec tendresse.
L'HOMME NOIR DE LA PUBLICITÉ : "Et voilà, grâce à mes déodorants humains, mes aisselles n'ont jamais senti aussi bon, car leur haleine fraîche dure une journée. Ensuite, je les range comme de vrais déodorants !"
Le bel homme blanc et la belle femme blanche sont docilement rentré dans un placard, avant que le vieil homme Noir s'adresse face caméra.
L'HOMME NOIR DE LA PUBLICITÉ : "Qui a dit que les Blancs étaient inutiles ? 😉"
La publicité se termina par l'adresse des boutiques où étaient vendus les déodorants humains.
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Intéressé à l'idée de s'acheter un déodorant humain car il n'avait plus de déodorant normal, Boubakar sortit de chez lui. Il fit signe à son voisin, un autre vieil homme Noir, qui lisait le journal sur sa terrasse avec une jolie fille blanche agenouillée à ses pieds pour sucer sa bite, tandis que ses fils s'amusaient à fouetter le jardinier blanc musclé.
Il marcha en direction du centre-ville et vit plusieurs couples Noirs tenant en laisse derrière eux un esclave blanc, homme ou femme.
Soudain, un petit garçon blanc, entièrement nu à l'exception d'une minuscule cage de chasteté, arriva à quatre pattes pour renifler ses chaussures avec excitation. Boubakar eut un léger mouvement de recule, mais le tout petit garçon blanc et mince continuait de s'approcher des chaussures de Boubakar, la langue pendante.
"Aux pieds, chien !", retentit une voix grave masculine. Le petit garçon blanc sourit timidement à Boubakar avant de courir vers son maître qui tenait au poignet la laisse reliée au collier du chien humain.
C'est alors que Boubakar vit Blaise, un grand homme Noir plutôt mince, très bien habillé, qui est le fils aîné d'un de ses meilleurs amis.
BOUBAKAR : "Blaise, je ne t'avais pas vu depuis longtemps ! Tu viens rendre visite à ton vieux père ?"
BLAISE : "Ravi de vous revoir Monsieur Boubakar. Oui, j'ai été faire des courses pour lui, ça m'a donné un prétexte pour marcher et sortir mon chien."
Boubakar remarqua que derrière le grand mais mince jeune homme noir chauve et élégant se trouvait un bel homme musclé très musclé, dont les seuls vêtements étaient des sandales à lanières et un string noir, en plus d'un collier d'esclave. Il tenait de très nombreux sacs de courses dans ses mains et sur le dos, et baissait la tête en silence.
BOUBAKAR : "Tu possèdes des Blancs ?"
BLAISE : "Il faut bien leur trouver une utilité ! J'ai mon propre toutou de compagnie, et mon porteur derrière moi, dont la fonction principale est de porter des choses. Papa en a plusieurs, une pour chaque tâche."
BOUBAKAR : "Je dois t'avouer que je m'en sors sans."
BLAISE : "Ah bon ? 😱 Mais quand tu es en érection tu....?"
BOUBAKAR : "Eh bien, je me masturbe."
BLAISE : "Je ne me suis plus masturbé depuis que j'ai mon propre suceur. Mais attends, ne me dis pas que tu utilises encore du papier toilette pour t'essuyer après avoir chier !"
BOUBAKAR : "Si, pourquoi ?"
BLAISE : "Plus personne ne fait ça de nos jours, les Blancs sont fait pour essuyer nos culs afin qu'on ait pas à le faire !"
BOUBAKAR : "J'ai vu qu'il y avait une nouvelle façon de désodoriser ses aisselles, je compte m'acheter un déodorant humain pour commencer."
BLAISE : "Ah oui, Papa en a déjà une depuis quelque temps, elle est très jolie et sa langue est très douce alors il l'utilise pour lécher ses aisselles pendant sa sieste. Et puis, acheter des blancs permet de soutenir l'économie. Bon, ça m'a fait plaisir de vous croiser, Monsieur Boubakar, mais un esclave attend au dongeon que je le fouette."
BOUBAKAR : "Il n'a rien fait de mal j'espère."
BLAISE : "Non, il a simplement oser retirer sa tête de mon cul quand j'ai pété pendant qu'il me le léchait. Je pense que 100 petits coups de fouets devraient lui rappeler l'honneur de sentir des pets noirs. À bientôt !"
Le toutou aboya une dernière fois vers Boubakar, et Blaise et ses esclaves continuèrent leur route.
Boubakar arriva à la boutique de déodorant.
Un majordome blanc lui ouvrit la porte et courba la tête à son passage. Autrefois il y avait des gardes à l'entrée des magasins qui étaient des hommes Noirs, choisis parce que leur force et leur couleur de peau inspiraient la crainte. Depuis l'instauration du Nouvel Ordre Mondial Noir, les hommes Noirs étaient utiles ailleurs, donc leur métier de figuration était fait par des valets blancs.
Le gérant de la boutique, un homme Noir plutôt gros, l'accueillit à bras ouvert. Il lui demanda s'il voulait un tabouret ou un fauteuil. Ne sachant que choisir, car peu habitué à faire les courses en ville, Boubakar choisit un tabouret.
Le gros patron Noir claqua des doigts : un valet blanc apporta deux tabourets, qui étaient en fait un petit garçon blanc et une petite fille blanche dont les bras et les jambes étaient repliés à l'arrière de leur corps et la tête était relevée. Le gros patron Noir posa son énorme cul sur le visage de la jeune femme blanche comme si de rien n'était. Boubakar, qui n'avait pas d'esclave blanc, hésita avant de s'asseoir sur le visage du jeune homme chaise humaine. Il remuant son vireux gros cul jusqu'à ce que son anus soit au niveau du nez du jeune homme moche sous lui.
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Sur les murs, des posters ou des écrans vidéos représentaient de sublimes hommes Noirs dévoilant leurs aisselles, pollues ou imberbes, mais que n'importe quel blanc serait honoré de pouvoir goûter.
BOUBAKAR : "Pourriez vous m'expliquer comment se fait la sélection de mon déodorant, s'il vous plaît ?"
LE GÉRANT DU MAGASIN : "Tout à fait, monsieur. Vous devrez commencer par choisir un genre."
Boubakar voulait un garçon blanc.
LE GÉRANT DE LA BOUTIQUE : "Et maintenant je vais vous montrer les modèles, qui sont classés par taille."
Dans l'arrière boutique se trouvait des garçons blancs d'un côté et des filles blanches de l'autre, debout et entièrement nus derrière des plaques de verre, immobiles et attachés au mur par leurs colliers et des chaînes aux chevilles. Ils avaient tous un ruban sur les yeux. Dociles, tels des objets vivants.
LE GÉRANT DE LA BOUTIQUE : "Les déodorants sont classés par taille, car il faut que la tête du déodorant arrive au niveau de vos aisselles en étant debout, donc sans avoir à se baisser ou à se lever pour pouvoir les nettoyer."
Boubakar fit le tour et vit un joli petit garçon blanc assez fin, comme l'étaient tous les déodorants à l'exception des modèles grandes tailles, des hommes blancs grands et musclés réservés aux hommes Noirs de très grande taille.
Le patron rondouillet claqua des doigts et un employé blanc ouvrit une porte en verre, détacha les cadenas de l'esclave et l'amena face à Boubakar, dont la veste et la chemise avait été retiré par une servante blanche. Elle les avait posé sur une chaise.
Alors, à la demande du patron, Boubakar leva son aisselle.
LE GÉRANT DE LA BOUTIQUE : "L'usage est simple. Vous appuyez sur le bouton de la télécommande, et le collier va envoyer l'ordre au cerveau du déodorant d'ouvrir la bouche. Le bouton jaune sert pour le souffle, le vert pour la langue, et le rouge pour éteindre."
Le patron appuya sur le bouton jaune et l'esclave, dont la tête arrivait au niveau de l'aisselle de Boubakar, se mit à souffler dessus. Son haleine était fraîche et sentait les fleurs.
LE GÉRANT : "La bouche du déodorant ne se referme que si vous appuyez sur le bouton vert pour le léchage ou rouge pour la fermer. Je me permet de vous montrer le léchage."
Il appuya sur le bouton vert et le garçon blanc lécha l'aisselle de Boubakar, qui aima voir la douce et longue langue rose du petit garçon blanc maigre lécher ses vieilles aisselles puantes sans être dégouté du tout.
Au bout de cinq minutes, le gérant appuya sur le bouton rouge et la bouche se ferma.
LE GÉRANT DE LA BOUTIQUE : "Les langues des déodorants sont allongés, c'est-à-dire qu'elles sont plus longues afin de lécher plus de surface d'aisselle qu'une langue d'humain normal ne le ferait. Les déodorants ont été génétiquement modifiés par des laboratoires certifiés par l'État. Ils n'ont pas besoin d'être nourris, et donc de faire leurs besoins naturels. Ils peuvent vivre sans s'alimenter. Pour maintenir leur haleine fraîche, veillez à toujours laisser dans leur bouche une ou plusieurs pastilles, et rajoutez en dans leur bouche dès que vous constatez que la pastille s'est évaporé. Sinon vous pouvez achetez la recharge automatique, qui consiste en un casque qui insère une pastille dans la bouche du déodorant dès qu'il a fini d'avaler la précédente. Comme vous le remarquez, les pastilles se diffusent dans la bouche, sur le palais et dans la langue, afin de maintenir une haleine fraîche. Vous pouvez choisir les saveurs désirés dans notre boutique, comme les vrais déodorants ont des parfums différents."
Boubakar conserva la saveur actuelle, fleur des prés, et acheta une réserve de pastilles.
LE GÉRANT DE LA BOUTIQUE : "Une dernière chose avant que ce déodorant ne soit à vous, monsieur. Désirez-vous un déodorant muet ou parlant."
BOUBAKAR : "Muet ?"
Il ne voulait pas trop donner l'impression de ne pas connaître ce genre de transaction, mais Boubakar devait avouer que n'avoir jamais posséder d'esclave blanc le faisait sentir un peu démodé.
LE PATRON DE LA BOUTIQUE : "Nous pouvons lui retirer l'usage de la parole, pour qu'il soit un vrai objet, ou lui programmer des phrases comme "Merci Maître" ou "Vos aisselles sont délicieuses, Maître", si vous aimez les flatteries."
BOUBAKAR : "Je le garde tel qu'il est, merci."
Le déodorant fut livré à la maison de Boubakar une heure plus tard, dans une boîte ouverte sous ses yeux pour effectuer la confirmation du produit.
Boubakar se pencha vers l'esclave blanc à qui il retira son masque lui couvrant les yeux.
Le jeune garçon n'avait jamais vu d'hommes, puisqu'il était né pour être un déodorant vivant. Lorsqu'il vit son propriétaire, le jeune garçon blanc petit et maigre tomba immédiatement fou amoureux du vieil homme Noir.
Le garçon blanc a dû lécher ses aisselles pendant qu'il fit sa sieste. Pendant plusieurs jours, Boubakar n'utilisait son esclave que comme un déodorant, lui faisant souffler sur ses aisselles le matin avant de l'enfermer dans un placard jusqu'au lendemain matin.
Mais, après quelque temps, il décida de l'utiliser d'une autre manière. Il lui fit souffler et lécher ses longs pieds suants et fatigués, puis il lui fit faire pareil avec son gros cul.
Profitant d'avoir un esclave blanc, Boubakar décida de finalement l'utiliser comme esclave ménager, en lui apprenant comment faire les tâches ménagères. L'esclave et le maître se sont ainsi rapprochés, car Boubakar, seul et solitaire, se mit à parler davantage en ayant la compagnie de son mignon petit garçon blanc, tandis que l'esclave se sentait protégé par ce vieil homme Noir physiquement impressionnant mais très gentil, câlin et tendre qui lui apprenait tant de choses.
Avec le temps, l'esclave a aussi dû souffler son haleine fraîche sur les longs pieds puants du maître pour les rafraîchir, ou les lécher pour les nettoyer de leur sueur. Il devait en faire de même avec le gros cul également suant et puant de son propriétaire dont il était secrètement fou amoureux.
En vieillissant, le vieil homme Noir était de plus en plus gazeux, et ses pets étaient de plus en plus puants. Après chaque pet lâché, parfois sur le visage ou plutôt le torse de son fils, Deo devait souffler son haleine fleuri sur le trou du cul puant pour le rafraîchir et que l'anus putride sente la rose. Son garçon blanc n'était pas un humain mais était vraiment un objet vivant utile et pour qui Boubakar avait beaucoup d'affection.
Vieux et seul depuis longtemps, l'homme qui aurait pû être le grand-père du garçon tomba également amoureux de son esclave. Il se comportait avec lui en père, protecteur et lui apprenant des choses, à la fois pour qu'il le serve mais aussi pour qu'ils puissent discuter ensemble.
Sa sieste journalière de plusieurs heures lui permettait de se faire lécher le cul par le jeune homme blanc, mais aussi bien sûr les aisselles puisque le vieil homme conservait un physique athlétique en pratiquant des activités sportives qui le rendait transpirant. Heureusement, à son retour, son déodorant humain le nettoyer avec son souffle une fois sa douche prise.
Deo devait garder la bouche fermé, ou plutôt il ne pouvait pas l'ouvrir tant que Boubakar n'appuyait pas sur la télécommande qui ouvrait sa bouche. Il avait donc tout contrôle sur cet esclave blanc.
Néanmoins, il tenait à son instruction, lui appris l'Histoire des Noirs d'Amérique, des autres populations noires mais particulièrement de l'Afrique. Comme un écolier, Deo levait la main pour la permission de poser des questions.
Boubakar lui apprenait l'Histoire passionnante de l'Afrique, les différents pays, leurs paysages, leurs Rois et Reines,...
Deo était fasciné par la culture de Boubakar, qui lui apprenait à lire et à parler avec des livres sur l'Afrique, et aussi pour l'utiliser en lecteur personnel pendant qu'il se détendait.
Boubakar n'avait pas de dépense à affaire pour nourrir l'esclave, qui n'avait qu'à rester aux pieds de son maître pour souffler dessus sous la table pendant qu'il mangeait. Pas de dépense non plus des vêtements, le joli petit corps maigre de Deo - ainsi que l'avait renommé son propriétaire - était ainsi disponible pour les caresses du vieil homme Noir. Il ne fit qu'une dépense : le casque qui mettait une pastille dans la bouche de l'esclave afin que l'haleine de Deo soit perpétuellement fraîche et sente bon les fleurs. Ainsi il aimait être embrassé par lui.
Le vieil homme exigea de son esclave qu'il souffle sur ses pieds durant son sommeil, ou dans son gros cul qu'il lui fallait régulièrement lécher durant la nuit car il suait vite.
Fou amoureux l'un de l'autre sans se le dire, le maître et son esclave désormais accueillaient les amis de Boubakar chez lui, et ils étaient enfin à égalité avec Boubakar maintenant qu'il possédait lui aussi un blanc.
Boubakar se faisait ainsi lécher les pieds, le cul et les aisselles dans son jardin, visible par ses voisins.
Le monde allait tellement mieux avec la mise en esclavage des blancs, car les ressources naturelles étaient mieux partagés, les Blancs étaient à leur place.
FIN DE L'HISTOIRE
Ma plus récente histoire sur un vieil homme Noir vénéré durant le Nouvel Ordre Mondial Noir
J'ai été inspiré par une pub de déodorants
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Il y a de nombreuses publicités de déodorants avec des hommes Noirs 🥰
youtube
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albertinefloyd · 1 year
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Lundi 9 janvier 2023.
Ça y est. Artyom est parti. Son avion est en ce moment même en train de décoller.
Un peu triste qu'il soit parti. Et en même temps, j'ai toujours ce petit réconfort de retrouver mon quotidien. C'est comme quand on revient de France après avoir visité la famille : on se sent très seuls, comme si on était les seuls êtres humains à vivre sur le continent américain... et on se rend compte que ce n'est pas si désagréable, comme sentiment.
Ouais. Athos et moi, on est très associaux.
Sur une note un peu plus terne, néanmoins, je retiendrai cet étrange décalage entre Artyom et moi. Décalage que j'avais ressenti la dernière fois qu'il était venu, quand il avait 18-19 ans, et qui s'est approfondi depuis.
J'imagine que la distance joue énormément. À chaque fois que je retrouve les membres de ma famille, j'ai l'impression qu'on est tous en pleine mer, sur des radeaux qui partent à la dérive dans des directions différentes. Mais il n'y a pas que ça. Cette fois, j'ai vraiment ressenti la différence d'âge. Et ça, c'est la première fois que ça me frappe à ce point.
Est ce que c'est parce que je suis devenue parent ? Parce que 30 ans, c'est un certain cap ? Parce que lui est à cet âge bizarre où on pense avoir tout compris à la vie, juste sous prétexte que ça y est, on n'a plus 20 ans ?
J'en sais rien. C'était bizarre. J'ai eu l'impression, pendant ces 15 jours, d'assister à l'écho de son adolescence. Sauf que cette fois, je n'étais plus dans le rôle de la complice un peu cool à qui on taxe des clopes, mais dans celui de la vieille ennuyeuse qui ne comprend rien et se couche tôt.
Il faut croire que 24 ans ressemble beaucoup à 16 ans. Mais du coup, 30 ans, ça ressemble à quoi ?
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bienvenuechezmoi · 1 year
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Ça c'est la France de Macron
Ptn je viens de lire l'histoire de Priscilla Majani après des semaines d'évitement. Ça me dégoûte. La système français me dégoûte. Les hommes me dégoutent.
Évidemment que j'aurai fait pareil. Même si elle doit passer les 5 prochaines années en prison, jque la "Justice" lui ordonne je sais que tout les jours de ses 5 ans d'emprisonnement elle se lèvera en se disant que ça valait le coup.
Comment voulez-vous que la condamnation soit pour le geniteur quand le gouvernement actuel est un gouvernement de violeur. Ouvertement violeur. Sans aucune honte à l'être.
Nous somme dans une "justice" de l'aveu et mysogine (évidemment) hérité de la chasse aux sorcières alors tant que les hommes ne diront pas eux-mêmes qu'ils sont des sombre merde on sera toujours là à compter nos traumatisées, nos blessées et nos mortes.
Le plus drôle c'est qu'on ne parle même pas ici d'un combat d'une garde d'enfant, car l'ado ne veut pas revoir son géniteur incestueux. Pour le mec, le pauvre gars, l'enflure de ses morts c'est une bataille de pouvoir sur ce qui est pour lui un objet humain qui lui appartient et qui doit être sous son influence. Que Mme Majani ait pris la décision de lui enlever l'enfant est davantage un affront pour lui que la perte de l'enfant en lui même qui était pour cette enflure un simple objet sexuel.
Je ne reviendrai pas sur le sujet que leur couple avait une grande différence d'âge. Même si je le pense très fort.
Pareil, qu'elle est le nom de cette enflure alors que celui de Mme Majani est placardé partout dans les tabloïd français comme "la meuf qui a volé un enfant" alors que les journaux devraient titrer "la mère qui a sauvé sa fille d'un prédateur sexuel".
Bref c'est une histoire terriblement banale, à l'exception près que cette fois, la mère a décidé que ça ne se passerait pas comme d'habitude. Qu'elle ne laisserait pas sa fille se faire violer une semaine sur deux. La mère a décidé que les hommes ne gagneraient pas si facilement. Alors, des années plus tard, en patriarchie les conséquences de cette désobéissance sont visibles aujourd'hui par une condamnation de la "justice" des hommes pour les hommes. Cette histoire fait le tour de la France, car c'est d'abord une histoire de la désobéissance d'une femme envers un homme et ça pour notre système c'est inadmissible et cela doit être puni.
Combien de femmes laissent couler ou fond semblant de ne pas voir les violeurs de leur famille car elles savent qu'elles ne gagneront pas ?
Ce sujet fait une effroyable boucle avec le scandale Bastien Vives. Quand on vit dans une société où l'inceste, la pedocriminalité n'est pas condamnée et laisse derrière des enfants psychologiquement et physiquement bousillé.e.s, il est intolérable d'érotiser des images de ce genre. Il n'y a rien de subversif à cela, il appui simplement le statut quo.
Je finirai en disant que ça paraît évident après l'exposition médiatique de cette affaire pour la majorité que le père est un pedocriminel mais la "Justice" ne le voit pas de cette façon. Elle a condamné l'enlèvement en evinçant délibérément l'élément déclencheur de cette acte. Mme Majani a avoué l'enlèvement (car elle ne pouvait pas faire autrement) elle est donc condamné ; l'enflure ne veut rien admettre, il n'est pas condamné.
Que quelqu'un ose appeler la "présomption d'innocence" et je le massacre. Ce quelqu'un qui n'a aucune idée de ce que ce terme juridique signifie.
On est où là ?
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vampywriter · 2 years
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4. Chien / Pas un chat
Bal des anciens élèves. Il y en a certains que Martin n'avait pas vus depuis, pfiou, bien 10 ans, depuis le dernier jour des examens, et le jour où ils étaient revenus pour apprendre s'ils l'avaient ou non, ce sacré diplôme. Et les voilà, tous grandis. Certains sont venus avec leurs compagnons, certains ont même amené des enfants. Martin n'a pas d'enfants à amener… pas encore. Il aurait bien amené son compagnon, mais la situation est… délicate. Puis André n'avait pas envie de venir, et Martin ne pouvait que le comprendre. Déjà qu'il n'avait pas été sûr de vouloir venir, quel intérêt cela aurait-il eu pour André, quand les anciens parents d'élèves n'étaient pas invités. En y repensant, c'est dommage, les parents d'élèves seraient sûrement ravis de voir les anciens camarades de leurs enfants. Enfin, certains parents en tous cas. Et André aurait pu venir en toute discrétion. 
Au bout d'une heure, Martin décide qu'il a vu assez de monde, pris assez de nouvelles; il est temps pour lui de rentrer. Il regarde la foule une dernière fois puis se dirige décidé vers la porte d'entrée, et la cour pavée qui sépare la salle du parking. Là, il passe un coup de fil rapide. André a promis de faire taxi, au cas où Martin voudrait boire des boissons "pour adultes". Il n'en a pas bues, mais il n'a du coup pas de véhicule. 
""André" ? Sérieusement ? Où tu t'es dégoté un mec avec un nom pareil ?"
Martin se retourne pour voir Max, dont André est le père. Leur relation a pour le moins été… difficile. Elle s'est mal terminée, et Max n'a plus parlé à André depuis bientôt 10 ans. C'était avant que Martin ne rencontre André au travail. Par jeux de pistons, Martin s'était vite retrouvé dans un poste à responsabilité, et André était dans son équipe, alors la balance pouvoir - âge n'était pas complètement déséquilibrée. Mais là, Martin regarde Max, et il se demande comment répondre à la question. Il décide de choisir l'honnêteté, mais l'honnêteté stratégique. 
"Au travail."
"C'est pas un gars de notre âge, si ?"
"J'ai connu un André plus jeune que nous, tu sais ? Mais non, pas de notre âge. On a une certaine différence d'âge, mais on le vit bien. Et toi, tu n'as personne ?"
"Nan, mais je le vis bien," Max lui fait un clin d'œil et rit.
Martin sourit avec iel. Tant mieux, il aura de bonnes nouvelles à ramener à André… A défaut de ramener Max en personne. Martin ne sait pas quoi ajouter. Il aimerait parler pour André, mais Max ne voudrait pas l'entendre. Il t'aime, tu sais ? Personne ne t'a outé à lui, il se renseignait sur sa propre sexualité et a trouvé ton article dans un journal Queer. Ta mère n'ose plus rien lui dire à ton sujet, ça le rend malade. Si tu savais comme il s'en veut. Mais ce n'est pas à Max de le pardonner. Personne ne peut forcer Max à le pardonner. Et André n'a pas besoin du pardon de Max pour avancer dans la vie. Il aimerait juste être un père à nouveau… un père pour l'enfant qu'il a vu grandir.
Le téléphone de Martin vibre. Il décroche. C'est André qui lui dit qu'il est arrivé. Martin raccroche et relève la tête pour dire au revoir à Max, mais Max a le visage fermé. 
"Ton André, c'est—"
"Max, écoute—"
"Non! Comment tu peux— Tu étais dans ma classe, pendant des années, tu me connais bordel, tu sais ce qu'il m'a fait, comment tu peux lui pardonner, le laisser…"
"Max, il a changé, je te promets. Si tu pouvais juste lui parler cinq minutes… Et j'y peux rien si je l'aime OK ? Appelons un chat, un chat, ton père, c'est mon DILF," Martin hausse les épaules en levant les mains pour montrer pattes blanches.
"Mais t'as rien compris, moi je veux bien qu'on appelle un chat, un chat, mais c'est pas un chat ! C'est un chien, je lui pardonnerai jamais, et je veux plus jamais entendre parler de lui. Alors dis-lui que les cartes d'anniversaire et du nouvel an, il peut se les garder."
Martin perd toute trace de sourire. Dans sa tirade, Max s'est redressé.e du mur contre lequel iel se tenait, s'est avancé.e vers Martin, et dans son dos, André était venu à la rencontre de Martin plutôt que de l'attendre dans la voiture. Martin hoche la tête, distrait, pressé.
"Si tu veux bien m'excuser."
Puis il contourne Max et court après André, qui a déjà fait demi-tour.
"Je suis désolé, chat."
"J'ai bien fait de ne pas venir."
Martin n'ajoute rien. Il entend comme André a la gorge nouée. Il ne peut que le prendre dans ses bras et attendre que ça passe.
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aspellnameddesire · 2 years
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Premier tableau : A Troubled Love Story.
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LILY
Sorcière d'une vingtaine d'année, Lily est amnésique à la suite d'un accident. N'ayant pas tout oublié pour autant, elle tente de se remémorer ce qu'aurait pu être ses dernières années auprès de son compagnon.
Ayant des émotions exacerbées, elle ne peut se cacher derrière une carapace froide, ayant l'impression de vivre les évènements avec intensité et vivacité.  
BRYAN
Humain d'une trentaine d'année, Bryan est tombé sous le charme de Lily malgré leur différence d'âge certaine. Ayant vécu des moments difficile à cause de sa famille et de son milieu, il s'est renfermé sur lui même. Dans un long passage obscur, il a vu la lumière que représentait la sorcière dans sa vie.
Même s'ils ne se connaissaient pas, il a eu l'impression qu'une connexion certaine s'était crée entre eux. Mais à chaque jour passé, il avait l'impression qu'elle lui cachait des choses : qui était-elle vraiment ? qu'avait-elle de si spécial ? Et pour lui, les secrets finissent toujours pas être découverts.
LEUR RELATION : Ensembles depuis un an, Bryan se veut être le petit ami tendre et à l'écoute. Et pourtant, toutes les nuits, elle rêve de lui, violent, lui criant dessus, la frappant, lui faisant du mal. Elle ne sait pas si c’est du passé ou du futur mais elle sait que cet évènement est inscrit dans une réalité. Et pourtant, elle n’arrive pas à déceler une once de méchanceté en lui.
VARIATION POSSIBLE : Un duo si vous aimez traiter des relations amoureuses, qui peut aussi marcher avec Lily ayant opéré un sort d'oubli sur Bryan, par exemple.
Alors qui veut les jouer ? Qui voudra suivre leur histoire sur A SPELL NAMED DESIRE dès vendredi prochain ?
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At the moment I have the feeling Emmanuel is getting older and Brigitte younger. She is so pretty and as has already been said, she seems much more confident. That's so nice.
Brigitte’s words... 😜
"Le seul avantage de ce quinquennat, c'est que notre différence d'âge se réduit à vue d'œil", (Emmanuel Macron : vérités et légendes by Arthur Berdah)
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