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blackpointgame · 1 year
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denorteanorte · 1 year
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Asado con Parqué Bar Cultural en Tigre
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antowilly · 10 months
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El día que yo falte os come la mugre
Queridos aquí os dejo la lista ideal para dejar el parqué y los azulejos como un jaspe. Ha salido un puñado de canciones variado, como vosotros, dinámico y enérgico como vosotros y lleno de un buen rollo, como vosotros. Espero que hagáis buen uso de ella. Creo que he puesto todas las aportaciones, porque últimamente tumblr no me notifica algunas menciones (a ver si el @staff lo arregla). Si echáis en falta algo no tenéis más que pedir por esa boquita y lo incluyo. Un abrazaco a todos.
PD: no he encontrado en Spotify la versión de Kuy Sakamoto de Itsy Bitsy, que aportó @sandavito . En su lugar he puesto otra que a mi me gusta mucho, en italiano, de Marino Marini.
@sandavito @peter-nautico @anonim0-irreal @porlapaty @duckland @elnoide @callaitomaswapito @ann3xia @yannakissecae @9-cloud @amarantoo @misspecas @gabinetecagalera @xalexkiddx @yulmix @elgatorojodekazakhstan @miisd @croquetajamonera @serendipityshow @apasionadadelcafe @light-in-the-dark-sky @motosydrones2 @txigreman @reginafalan-g @senador-palpatine @mncqvq1 @louwitcher @la-musica-es-mi-unico-amigo @la-cadira @sebbgod @angienott @laranasamuray @fuertecomolamuerte @xaviolo77
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jloisse · 5 months
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⏳ Nous vivons une période de l’histoire où tout est inversé.
Le menteur est considéré comme un véridique, le sincère comme un imposteur.
Les dirigeants occupent des places qu'ils ne méritent pas…
Israël qui a envahi une terre entière, la Palestine 48, est la seule occupation militaire qui perdure à notre époque et toute occupation militaire est vouée à disparaître.
Tout le monde sait que c'est une occupation qui a volé la terre d’un peuple et pourtant, ils affirment que c’est une démocratie. Lorsque les palestiniens ont pu voter librement et démocratiquement en choisissant le Hamas, ce seul droit a été interdit au peuple. Un droit qui est obstrué depuis maintenant 18 ans.
Tel Aviv a vu le jour sur la destruction de plusieurs villages palestiniens, sur les ruines de Tall Al Rabih, la colline du printemps, qui a été rayé de la carte. Pourtant, on entend que les palestiniens sont ceux qui veulent rayer Israël de la carte.
Israël vole chaque jour un peu plus les terres de Cisjordanie, les quartiers de Jérusalem, occupe le Golan et les fermes de chebaa et assiège la Bande de Gaza.
Israël a vu le jour sur la Nakba, le massacre, le sang et le déplacement du peuple palestinien. Pourtant, ce sont les palestiniens qui sont traités d’assassins.
Israël pratique la torture dans les prisons, kidnappe chaque jour hommes femmes et enfants, mais le monde entier est choqué lorsque des soldats sont pris en captivité et bien traités.
Des milliers d’enfants croupissent dans les geôles israéliennes sans aucun droit et sous la torture.
Israël pratique les pires tortures dans ses prisons.
Les colons profanent depuis des décennies les lieux saints chrétiens et musulmans. Tous les jours les colons tuent, volent et agressent en toute impunité les palestiniens. Tous les jours les colons volent des maisons et les occupent illégalement. Tous les jours l’occupation sioniste détruit des maisons à Jérusalem et en Cisjordanie occupée. Les palestiniens sont parqués à Hébron et n’ont même pas le droit de passer par des routes réservées aux colons.
Israël détruit les cimetières et volent les organes des martyrs. Israël transforme des mosquées en discothèque ou en synagogue sans être inquiété.
Israël change subtilement le statu quo de Jérusalem et de la mosquée Al Aqsa, pour parvenir à son objectif de construire un temple sur les ruines du site Al Aqsa, troisième lieu saint de l’Islam.
Tout est organisé pour effacer toutes traces de la présence palestinienne par la destruction des monuments et du patrimoine arabe.
Israël asphyxie la Bande de Gaza depuis plus de 15 ans avec un blocus illégal, maritime, terrestre, aérien et même sous-terrain sans être inquiété.
Israël a massacré des centaines de milliers d’enfants, d’innocents depuis sa création, mais ce sont les palestiniens que l'on qualifie de terroristes parce qu'ils osent résister.
Israël bombarde des civils librement et avec des bombes interdites par toutes les conventions. Israël viole depuis toujours toutes les conventions et les traités internationaux.
Israël assiège Gaza avec des restrictions inhumaines à travers le droit de se déplacer, l’alimentation, l’électricité, l’eau, les médicaments, la pêche, le droit de voyager, et tous les produits de premières nécessités ainsi que les matériaux de construction.
Israël peut bombarder n’importe quel pays dans la région en toute sécurité.
Israël empêche les journalistes de travailler en censurant l’information ou en faisant disparaître tout simplement ceux qui dérangent l’occupation.
Israël a construit un mur de l’apartheid en Cisjordanie et Jérusalem en volant les terres.
Israël pratique à travers son agence du mossad le meurtre dans n’importe quel pays en toute impunité.
Israël fait de la vie des palestiniens un enfer à travers ses checkpoints à travers toute la Cisjordanie, Jérusalem, et points de passages de la Bande de Gaza.
L’armée israélienne débarque quotidiennement au milieu de la nuit chez les palestiniens pour kidnapper, dévaster et humilier.
Tous les colons sont armés et sont sous la protection de l’armée.
Pour le monde Israël a le droit de se défendre malgré toutes ses injustices.
Et tout cela dure depuis trop longtemps dans un silence complice et assourdissant.
Les derniers jours de septembre et les premiers jours d’octobre 2023, Israël a fais le pas de trop avec sa répression dans la mosquée Al Aqsa, interdisant aux propriétaires des terres l’entrée dans le site sacré et faisant entrer devant eux les colons. Le dernier maillon a craqué et le volcan de la Bande de Gaza a explosé sur le visage de l’occupant qui opprime depuis plus d’un demi-siècle le peuple palestinien.
Et alors le silence s’est brisé. Les palestiniens ont été traités de terroristes, d’assassins, de tueurs de civils par les leaders politiques du monde entier et les médias mainstream corrompus. Le monde a fermé les yeux sur les agissements de l'oppresseur et a condamné l'opprimé.
Israël a un très lourd casier judiciaire et il devra payer ses crimes depuis le premier jour de son occupation.
Le peuple palestinien n’a aujourd’hui plus rien à perdre et se moque royalement des jugements des hypocrites et des ignorants qui se sont réveillés le 7 octobre, s'impliquant soudain dans le
conflit qu'ils ont ignoré pendant des décennies, feignant maîtriser le sujet quand ils sont incapables de situer Jérusalem sur une carte.
Le peuple palestinien résistera jusqu’à la libération, le peuple palestinien est un peuple de résistants, des enfants aux leaders qui ne connaissent pas la peur. Le dernier des palestiniens humiliera et résistera à la face des envahisseurs. Des envahisseurs qui combattent uniquement derrière des armes, des tours, des blindés, des F16, des drones. Des lâches qui n’ont aucune légitimité ni avenir sur notre terre sainte.
Ceux qui les soutiennent aujourd’hui verrons bientôt qu’ils se sont fait trompés, mais il sera alors trop tard et ils vivront dans la honte, la honte d’avoir été complices à travers de fausses convictions.
Bientôt, très bientôt, la Palestine sera libre et le peuple palestinien vaincra.
Vous voyez cela loin mais nous le voyons très proche.
{ La libération sera au lever du soleil. }
{ Lundi 15 janvier 2024
Sentinel }
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un-girasol-caotico · 1 year
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Día 19 - Dulce
Esa dulce primavera de hace dos años aún me hace recordar cada palabra, cada sueño, cada beso y esas tardes en el parqué disfrutando de tu estadía junto a mí...
| Sea & Sun
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ekman · 1 year
Photo
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J’ai divorcé d’avec les Français au moment du confinement. Quand je les ai vus accepter sans broncher d’être parqués comme du bétail. C’est donc qu’ils sont, factuellement, du bétail. En plus, ils sont aussi leurs propres matons, s’accordant scrupuleusement des dérogations de sortie motivées et conformes. Fascinant. À cette époque, je m’amusais à leur faire part de mes nombreuses et longues escapades, moments magnifiques dans un quartier offert au silence, sur les sentiers d’une forêt désertée où toute la faune, usuellement contenue par le passage des ploucs péri-urbains et autres retraités queshuaïsés, sortait de son contenant convenu et débordait sur les chemins, les parkings, les bords d’autoroute. Il fallait voir leurs gueules interdites. Comme si j’avais avoué la préparation d’un attentat ou l’élaboration d’un assassinat. Et pourtant... Il suffisait d’ouvrir sa porte, de marcher, de gagner les bois puis de s’arrêter et d’attendre quelques minutes à écouter tous les oiseaux – c’est à dire ceux que la rumeur humaine laisse habituellement inaudibles – pour apecevoir, loin des ombres forestières, renards et biches, et noter le comportement étonnamment entreprenant des corvidés, bien moins craintifs que d’habitude, employés à réinvestir les lieux à grands renforts de cris perçants et de disputes renouvelées. Pendant ce temps-là, claquemurés chez eux, les Français regardaient les chaînes infos avec leur compteur rouge sang indiquant le nombre de morts en cours. Extraordinaire ! Une mise en scène totalitaire, une pression visuelle constante, un univers sonore saturé de mises en garde, de menaces et d’invectives. Et le masque. Le masque ! Muselière de tissu bleu destinée à faire taire tous et chacun. Distanciation sociale aussi : pas de contact, pas même de frôlement ! Un mètre réglementaire, avec les marques au sol comme dans les dépôts ou les usines ! Et dans la queue aux caisses des magasins, les regards suspicieux à la première toux, au premier reniflement... Je pensais que les gens étaient devenus fous ; ils étaient juste livrés à leurs névroses. On voyait le conditionnement à l’œuvre. On mesurait le champ infini de leurs renoncements. Et je me suis mis à les détester, accrochés à leur bulle existentielle, tétanisés par l’idée de mourir, prêts à tout trahir, tout balancer, dans l’espoir de s’entendre dire “allez, c’est bon, vous allez vivre à nouveau, et tout sera comme avant”. Voix de l’État qui sait tout mieux que vous, qui a barre sur votre volonté, vos divergences, vos doutes raisonnables. La France, et son assourdissant récit révolutionnaire, les combattants de la Liberté, la patrie des Droits de l’Homme, tout ce folklore clinquant montrait avec éclat sa vacuité, son inutilité, son imposture pour tout dire. Les Français se tenaient depuis longtemps éloignés du sacré, à l’abri - pensaient-ils – de toute tentation de transcendance, sans aucune morale autre que républicaine, sans éthique mais avec l’état de droit. Ils voulaient, pour toujours, jouir sans entraves. Ils découvrent maintenant ce que signifie souffrir sans répit. J.-M. M.
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carbone14 · 7 months
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Lancement du paquebot Cap Arcona – Chantier naval Blohm & Voss – Hambourg – 14 mai 1927
Le 3 mai 1945, le Paquebot Cap Arcona est coulé par l'aviation britannique avec deux autres navires (le Thielbek et le Deutschland) alors que sont parqués à bord des milliers de déportés. Le 14 avril 1945, Himmler ordonne de transférer les prisonniers du camp de concentration de Neuengamme vers la Suède pour les remettre aux alliés en échange de certains avantages. Le naufrage du Cap Arcona a causé la mort d'environ 5 250 personnes.
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eiffel21 · 10 months
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Sieste
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Tom s’endormit rapidement après le repas. Ce n’était pas son habitude, mais il avait senti une grosse fatigue le terrasser et s’était allongé pour une petite sieste. A peine les yeux clos, les questions à propos de Joe lui revinrent en tête, tournant en boucle : comment le crocodile pouvait-il savoir, sentir à qui il avait affaire ? Comment avait-il échappé à toutes les traques ? Vivait-il seul ou avec d’autres ? Il le voyait glisser silencieusement dans l’eau ou la végétation, apparaissant et disparaissant comme par magie. Il sentait le souffle de son grognement puissant, à en faire trembler l’eau du marécage… Un long silence, puis une voix un peu rauque se fit entendre :
« Tom, tu es un jeune homme bien intelligent... »
L’esprit embrumé, il se retourna dans son lit. Avait-il bien entendu ? Joe lui parlait-il vraiment ?
« Ca fait longtemps que j’attends quelqu’un comme toi… quelqu’un qui puisse entendre mon histoire, avant que je ne parte pour de bon… »
Tom n’en croyait pas ses oreilles : Joe l’avait choisi, lui, pour raconter son histoire ! Il se retourna sur son lit et resta concentré, les yeux fermés. Il ne voulait en aucun cas que la voix se taise.
« Je suis né il y a fort longtemps dans une ferme, bien loin d’ici… Moi et les miens y étions parqués, séparés les uns des autres, bien mal traités. L’une des tiens est venue un jour et m’a montré du doigt. Son regard était différent, ses gestes moins durs que ce que je connaissais. Ensuite, je me suis retrouvé dans le noir, secoué pendant un bon moment, sauf quand celle qui est des tiens me donnait de la viande et de l’eau. Finalement, le sol a eu fini de trembler et je suis sorti dans la lumière. Tout ce temps dans le noir avait transformé mes petites écailles brunes en belles écailles brillantes. Et j’étais ici, dans ces marécages, libre.  Celle qui est des tiens m’a laissé m’éloigner en paix. »
Tom n’en revenait pas. Joe, un crocodile d’élevage ! Il connaissait les hommes et leurs comportements, il avait eu le temps de les observer. Il avait aussi repéré ceux qui le maltraitaient et les autres… Tout cela était resté gravé dans sa mémoire. Voilà qui expliquait beaucoup de choses…
Joe poursuivit.
« Aujourd’hui, je suis fatigué. Ceux qui sont des tiens viennent souvent ici. Ils cherchent les miens, me cherchent… ils ne sont pas bons pour nous, ils tuent la nature et nous, peu à peu. Et je suis épuisé. »
La voix faiblit avant de reprendre.
« Demain matin, je m’endormirai pour de bon. Tu me trouveras près du long marécage, là où les grues font leur nid au printemps. Viens me retrouver. »
Tom s’éveilla en sursaut, le front trempé de sueur. Il ne pouvait pas croire qu’il s’agissait d’un r��ve, tout avait l’air si réel. La voix rauque de Joe résonnait encore dans son esprit. Dehors il faisait nuit noire, sa sieste avait duré des heures. Il lui restait un peu de temps avant le lever du jour.
Il saisit son portable et lança une recherche, bien décidé à vérifier les informations que Joe lui avait données. Il trouva rapidement trace d’une ferme à crocodiles sur la côte ouest du pays, où les plus grands maroquiniers venaient choisir les peaux qu’ils pourraient transformer. 18 heures de route. Cela semblait coller. Les journaux locaux faisaient état, cinquante ans plus tôt, d’une visite dans la dite ferme d’une starlette américaine, venue pour choisir le cuir de son futur sac à main. Elle avait finalement acheté un crocodile et était partie avec. Tous deux étaient ensuite tombés dans l’oubli.
Le petit matin était enfin venu. Tom enfila des bottes et partit pour le marécage. Comme guidé par son instinct, il retrouva le lieu mentionné dans son rêve par le vieux crocodile. En s’approchant, il entendit un souffle rauque, à peine audible. C’était lui, aucun doute n’était possible. Le soleil levant reflétait sa lumière sur les écailles du reptile, qui referma ses yeux jaunes pour la dernière fois. Tom était touché par la grandeur et la beauté de l’animal. Il essuya ses larmes avant de faire rouler, avec beaucoup de respect, le corps de Joe au fond de l’eau, son ultime demeure.
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perduedansmatete · 11 months
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et purée on est samedi soir mais même si je voulais m'amuser toute la night et que j'étais pas juste une grosse boule de frustration je pourrais même pas parce qu'on est parqués comme des animaux à partir de 21h et ça m'énerve encore plus et je déteste tous les parisiens dont lui encore une fois qui peuvent sortir comme si de rien n'était et rentrer à pied chez eux bande de privilégiés grrrrrrrrrr
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horyia · 3 months
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Forum dystopie, fantasy
Inlassablement, malgré la couche opaque qui recouvre le hublot à votre droite, votre regard tente d’apercevoir la mystérieuse destination. C’est si simple de divaguer, d’imaginer un dôme gigantesque au milieu de nulle part, avec juste une petite lumière sur le dessus pour dire aux avions de faire attention à leur altitude. C’est que ça vous rend nerveux, cette histoire. L’entretien auquel vous n’aviez certainement pas postulé (contrairement aux cinquante refus qui s'entassent dans votre boîte mail), et puis tout le reste. Ces longues semaines à rassurer vos parents que non, vous n’allez pas sur la Lune, c’est juste un emploi qui nécessite une certaine confidentialité. Vous vous remémorez les instructions, alignées sur une feuille qu’il a fallu signer en quatre exemplaires, le but même de votre mission. Contenir les anomalies au sein du dôme. S’assurer qu’aucune ne parvienne à s’échapper. Faire aboutir le projet de recherche sur la création de ces erreurs de la nature. Enfin, ce ne sont pas les mots exacts, mais pour vous, ça pourrait être la même chose. Des individus dotés de pouvoirs variés, parfois terrifiants, qu’on a extrait de Terre parallèles à la vôtre, puis parqués dans ce dôme. Vous imaginez un grand portail comme dans Stargate SG-1, avec des inconnu.e.s qui en surgissent, ébahi.e.s par ce qu’iels voient. Le voyant demandant de remettre votre ceinture pour l'atterrissage s’allume, et ça ne soulage pas la boule dans votre gorge qui ne fait que croître. Une anomalie provoque automatiquement l'annihilation de la Terre dont iel est originaire, c’est la phrase qui reste gravée dans votre esprit. Des dizaines de monstres, qui ne savent même pas ce qu’iels sont—ça vous donne la nausée. Et bientôt, vous serez parmi eux, coincé.e sous le dôme pendant six mois. Tout ça pour un salaire vaguement mieux que votre ancien emploi. Au moins, la couverture maladie est bonne, vous vous consolez, doigts moites qui peinent à attacher votre ceinture. Quelle idée vos supérieur.e.s ont eu, bordel.
La vision du forum : Avant toute chose il est important de noter que le forum se veut accueillant pour tous.tes. Aucune forme de discrimination, ni manque de respect ne sera toléré. Tous les faceclaims sont autorisés. Ce forum qui mêle fantastique et science-fiction évoluera avec ses membres, et est fait pour être un lieu de vie communautaire. Incarnez une anomalie venant de n'importe quelle époque, ou bien un membre de l'Olympe là pour les maintenir sous contrôle.
Rejoignez-nous sur Desiderium, on vous attend avec impatience ♥
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clearmoonbasement · 2 years
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✨CUMPLEAÑOS DE SONIC EN DISNEYLAND ✨
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¡para celebrar el cumpleaños de sonic ugly, el y tails se fueron a Disneyland a pasarla genial teniendo un tur por todo el parqué! 💫⭐
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blackpointgame · 8 months
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http://arubio28814.blogspot.com
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caluartsblog · 8 months
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El Empleo Más Corto de Minha Vida
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Mi primer trabajo en Portugal no fue de los más duraderos de mi vida, creo que en total tuve diez horas de contrato laboral, esas diez horas fueron las que determinaron el quiebre del acuerdo.
Llegué a Porto con la esperanza de vivir allí por lo menos unos meses y pensar que hacer. Había pactado con una amiga que hice en el viaje, llegar donde ella, su novio y dos hermanos, Hansel y Gretel, compartían un T1 (dícese del departamento de una habitación y una cocina comedor). Enseguida me di cuenta que comencé mejor que antes. Fui bienvenida, salimos de fiesta, recorrimos diferentes lugares de la ciudad mientras repartía cvs pues estás eran mis vacaciones antes de comenzar a trabajar de nuevo. Yo estaba tranquila, sabía administrarme y me traía un colchóncito para sobrevivir unos meses aunque gastarlo en sobrevivir no era el plan.
Está es la parte en que las cosas empiezan a salir relativamente mal.
Uno de los inconvenientes fue que mi amiga a la que, a partir de ahora, llamaré la Mari Elena, se encontraba en un filme diferente al mío. En el cual, vaya uno a saber por qué, era una especie de salvadora.
La Mari Elena hacía dos días trabajaba en una empresa de limpieza de alquileres temporales. Yo por mi parte iba mi quinto día en mi nuevo destino, ya con los respectivos trámites listos para comenzar a trabajar.
Salí al mediodía por mi cuenta a cumplir con mi obligación y disfrutar mis vacaciones, todo en una tarde, escuchaba a las personas hablar y no entender ni un caralho, llegué a la playa y volví al depto tipo 22hs, en el camino ví una llamada perdida de mi amiga , pensé que tal vez era para cenar juntas o algún plan así, le contesté preguntándole cómo estaba me dijo "bien, ya está". Me bañe y me fui a dormir.
9:00hs. de la mañana siguiente me despierta Gretel [cualquier persona hubiese jurado que estaba gritando, pero en realidad ella habla así] hablando por teléfono y pisando mi cama, la cuál estaba a la altura del parqué, abro los ojos y escucho "si! Está acá! Ahí te la paso!" Me pasa el celular. Me siento en un reflejo por despertar y entender la situación
- Hola! Creo que dije.
Del otro lado la Mari Elena en su trabajo diciéndome de trabajar porque una amiga "le falló", sus palabras no las mías.
Enseguida pensé buena onda, ya me voy metiendo en el laburo, veo como es y de paso me hago unos pesos.
-¡Me cambio y voy! Coordinamos que me pase la ubicación.
Me levanté de un salto.
La Mari me pasaba la ubicación y yo coloqué el agua en el microondas para hacerme un café mientras me cambiaba feliz, día soleado y mi nuevo destino prometía.
Me llama. No habían pasado ni cinco minutos.
- Ya saliste? Me pregunta en un tono de buena onda.
-No, me estoy preparando. Le contesté.
Reclamo un poco y el tono de voz fue cambiando, me quede confundida sin saber desde cuándo elegí ese trato.
Salí sin beber el café, y a calzon quitado les cuento que ni los dientes me lavé. El sol me pegó en la cara y mi outfit total black (me dijeron de ir vestida de negro) absorbió todo el calor de las cuatro cuadras colina abajo mientras la Mari Elena me daba indicaciones que yo estaba siguiendo minusiosamente.
Me pasé. El punto de encuentro era a tres calles arriba. La Mari por supuesto, muy enojada, me llama y me da un sermón de madre que yo afortunadamente por la relación que tengo con la inigualable única mami nunca tuve.
Corte el teléfono, queria pensar más tranquila. A esta altura del recorrido yo ya tenía esas lágrimas de cara al sol de la mañana sin protector solar ni skin care,
Me llama.
-No voy! Le contesté con el carácter que me suele caracterizar.
Entre tire y afloje termine accediendo a ir. La situación fue que volver a la casa no era una buena opción y La Mari Elena todavía estaba insistiendo.
El GPS me marcaba que ya llegué, de un almacén cerrado a las 9:20 AM una señora muy desalineada, aquel desalineado que solo te puede dar un sótano utilizado para lavar secar y planchar sábanas y toallas. Nos presentamos y me indico que doble sábanas hasta que lleguen mis compañeros para llevarme a los deptos.
Estaba en medio de mi tarea y pronto, me dijeron que suba unos bolsos con sábanas, toallas, productos de limpieza y una aspiradora. Llego al auto como puedo y estaba repleto de bolsos, aspiradoras y productos de limpieza, me siento y la aspiradora y yo no entrabamos, el chófer optó por colocar la aspiradora encima mío. Emprendimos viaje.
Conocí a mi compañera, argentina de cabello azul y un tatuaje del último mundial ganado. Una copa con tres estrellas o algo similar, todavía se estaba curando.
Limpiamos 18 departamentos.
Sin descansos y arrastrando por toda la ciudad un bolso lleno de productos de limpieza y una aspiradora, ya no me sentía tan cómoda. Llegamos a dónde nos pasaban a buscar para culminar con nuestro día, recupere el ánimo, dije me puedo acostumbrar.
Llego una Kangoo blanca solo que los asientos de atrás los habían quitado para que entren más bolsos con toallas y sábanas sucias, tocaba ir encima de todo esto. Llegamos y ahora faltaba bajar las aspiradoras y bolsos. Y así siempre estaba a faltar alguna tarea y las horas seguían pasando y yo seguía ahí, tuve un descanso, fue en el momento que el jefe me comentó que yo ahora iba a tener que trabajar más así ellos podían tener más trabajo y no despedir en el invierno. Yo recién los conocía y me había convertido en una pieza clave de su empresa, bueno no me dijo trabajar el doble, dijo trabalhar mais. Volví a mis tareas, no me gustó la cara de nadie ahí así que busque a la desalineada y Renuncio! Le dije orgullosa, págame mi día. Me pagaron después de intentar que me vaya y vuelva otro día, yo firme ahí, Sin mi dinero no me voy! El hombre me miró y de muy mala gana me dió un puñado de monedas y un billete de 20 euros.
Caminando por la vereda y todavia cayendo en cuenta de esa experiencia, volví a la casa y por supuesto llame a mi amiga de verdad para reírnos juntas de todo lo sucedido.
El dibujo es un personaje que yo amo, en el trabajo dándolo todo siempre y sobretodo siendo ella misma con sus singularidades.
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https://calu99.blogspot.com/2023/10/el-empleo-mas-corto-de-minha-vida.html
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enriquemzn262 · 9 months
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Tabletop games?
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Does parqués (Parcheesi) count?
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belanova · 8 months
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Ok gente creó que estoy a mi límite de estrés.... Necesito vender yaoi en mi parqué.
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perenne33 · 1 year
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Vamos al parqué?💚
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