Tumgik
#trompettiste
carbone14 · 6 months
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Dizzy Gillespie at the Newspaper Guild Canteen - 1944
Photo de Arthur Leipzig
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abelkia · 2 years
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Jaimie Branch (1983-2022) #jaimiebranch #musician #jazz #trumpet #trompettiste #internationalanthem #freejazz #improvisation #militante #womensart #musicienne #huntington #newyork #nyc #newenglandconservatory #boston #chicago #musique #baltimore #towsonuniversity https://www.instagram.com/p/ChqYnJvK27P/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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raleksd · 5 months
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(via Robe trapèze for Sale avec l'œuvre « SENSATION INOUBLIABLE DU FESTIVAL DE JAZZ DE MONTRÉAL. » de l'artiste Frantz CIALEC)
Hey you!
Just sold!!
"UNFORGETTABLE MONTREAL JAZZ FESTIVAL FEELING."
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Enjoy your International Jazz Festival    
 Have a wonderful Sunday !!
Stay tuned,
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webcoupdoeil · 2 years
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youtube
Voici un cours de trompette avec la méthode Julien Porret, dans ce cours, vous apprendrez à jouer en mesure, à prendre correctement vos respirations, à déchiffrer une partition et surtout à prendre du plaisir en jouant de la trompette ! https://youtu.be/HqZLrX9QRPU
#trompette #trompettiste #coursdetrompette #apprendre #apprendrelatrompette #apprendreensamusant #apprendreautrement #coursparticuliers #coursenligne #formationenligne #formationadistance #coursdechant #alaindamien #chant #musique #profdepiano #instamusic #studiomichal #spiew #schenatsarecoledemusique #pianoteacher #noplp #nauczyciel #montreuil #mia #coursdepianoenligne #instagood #dalida #confinement #concoursdechant #coachingvocal #coach #chanteuse #casting #bravo #zoom
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twafordizzy · 2 years
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Bijna iedere dag muziek: Chet Baker
Bijna iedere dag muziek: Chet Baker
https://youtu.be/27398omqBGM Zeker door zijn ongelukkige einde (val uit een hotelraam in Amsterdam) zou je Chet Baker (1929-1988, Yale, USA) verwachten bij de sectie De val, maar ik gun hem een plekje bij contemplatie. Hij was dan wel een junk, gesproken werd over 6 gram heroïne per dag, maar ergens straalt toch nog levensvreugde door in zijn muziek, of in ieder geval: een liefde voor muziek as…
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fidjiefidjie · 8 months
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Bonjour, bonne journée ☕️ 🎺
Le trompettiste de Barcelone, calle del Marquès De Barberà 🇪🇸 Espagne 1963
Photo de Eugeni Forcano
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ortodelmondo · 5 months
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Jo le trompettiste et sa femme a  Harlem, 1935 Henri Cartier-Bresson
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jpbjazz · 2 months
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LÉGENDES DU JAZZ
FREDDIE HUBBARD, UN GÉNIE MÉCONNU
‘’From the moment he played one note, you knew that was Freddie Hubbard. So he had a sound that was distinctive as Miles Davis, as Louis Armstrong, as Clifford Brown. I mean, he’s one of those trumpet players. He’s also an extraordinary powerful player - great stamina, great range. He swung very hard, was a beautiful ballad player {...}. He was quite a musician.’’
- Stanley Crouch
Né le 7 avril 1938 à Indianapolis en Indiana, Freddie Hubbard a commencé sa carrière musicale comme membre du groupe du Arsenal Technical High School à Indianapolis, où il a appris à jouer du tuba, du cor français et du mellaphone (une sorte de trompette), avant de fixer son choix sur la trompette et le flugelhorn. Freddie avait été initié au jazz par son frère Earmon Jr., un pianiste qui était un grand admirateur de Bud Powell.
Après avoir constaté son grand talent, le trompettiste Lee Katzman, qui avait joué dans l’orchestre de Stan Kenton, lui avait conseillé d’aller étudier au Arthur Jordan Conservatory of Music (devenu de nos jours le Jordan College of the Arts de l’Université Butler) avec Max Woodbury, le trompettiste principal de l’Indianapolis Symphony Orchestra. À l’adolescence, Hubbard avait participé à sa première session d’enregistrement en accompagnant les frères Wes et Montgomery. Il avait aussi collaboré avec le bassiste Larry Ridley et le saxophoniste James Spaulding. À la même époque où Hubbard participait à son premier enregistrement avec les frères Montgomery, il avait fondé un premier groupe nommé ‘’The Jazz Contemporaries’’ avec le bassiste Larry Ridley, le saxophoniste et flutiste James Spaulding, le pianiste Walt Miller et le batteur Paul Parker. Le groupe se produisait souvent au George’s Bar, un club très populaire sur l’Indiana Avenue.
UNE ASCENSION RAPIDE
En 1958, à l’âge de vingt ans, Hubbard s’était installé à New York. Hubbard avait connu un succès instantané en accompagnant les meilleurs musiciens de jazz de l’époque, dont Philly Joe Jones, Sonny Rollins, Slide Hampton, Eric Dolphy, J.J. Johnson et Quincy Jones. À la même période, Hubbard avait aussi partagé un appartement avec le multi-insrumentiste Eric Dolphy.
Sur la recommandation de Miles Davis, Hubbard avait signé un contrat avec Blue Note avec qui il avait  enregistré son premier album comme leader en novembre 1960, intitulé ‘’Open Sesame.’’ Participaient à l’enregistrement le saxophoniste Tina Brooks, le pianiste McCoy Tyner, le bassiste Sam Jones et le batteur Clifford Jarvis. Six jours plus tard, Hubbard avait renvoyé l’ascenseur à Brooks en collaborant à son album True Blue. En l’espace d’un an, Hubbard avait enregistré deux autres albums, ‘’Going Up’’, avec McCoy Tyner et Hank Mobley, ainsi que ‘’Hub Cap’’, avec Julian Priester et Jimmy Heath.
Après avoir entendu Hubbard jouer avec le trompettiste Don Cherry, le saxophoniste Ornette Coleman l’avait invité à participer à son album ‘’Free Jazz.’’ En 1960-1961, Hubbard s’était également joint à Quincy Jones dans le cadre d’une tournée en Europe. Il avait aussi travaillé avec le batteur Max Roach.
En mai 1961, Hubbard avait collaboré avec John Coltrane sur son dernier enregistrement pour Atlantic, intitulé ‘’Olé Coltrane’’. Avec Eric Dolphy et Art Davis, Hubbard avait aussi été invité à participer au premier album de Coltrane pour Impulse, intitulé ‘’Africa-Brass.’’ En août 1961, Hubbard avait enregistré ‘’Ready for Freddy’’, sa première collaboration avec le saxophoniste Wayne Shorter, qui est considéré comme un des sommets de sa carrière. À la fin de la même année, Hubbard était devenu un partenaire régulier de Shorter lorsqu’il avait remplacé Lee Morgan avec les Jazz Messengers d’Art Blakey. Hubbard avait enregistré plus de dix albums live et en studio avec Blakey durant la période la plus productive du groupe. Les années 1960 avaient aussi été une période faste pour Hubbard, qui avait enregistré huit albums comme leader pour Blue Note, et plus d’une vingtaine comme membre d’autres formations. Hubbard était demeuré avec Blakey jusqu’en 1966, alors qu’il avait décidé de former l’un des nombreux petits groupes sous son nom. Faisaient également partie de la formation son ancien associé de Blue Note, James Spaulding, le pianiste Kenny Barron et le batteur Louis Hayes. Le groupe avait enregistré avec Atlantic.
C’est à cette époque que Hubbard avait commencé à se libérer des influences de Clifford  Brown et de Lee Morgan et à développer son propre son. Il avait aussi remporté le prix du meilleur trompettiste de jazz décerné par le magazine DownBeat.
Pendant les années 1960, Hubbard avait aussi participé comme accompagnateur aux plus importants albums de l’époque, dont ‘’The Blues and Abstract Truth’’ d’Oliver Nelson, ‘’Out of Lunch!’’ d’Eric Dolphy, ‘’Maiden Voyage’’ d’Herbie Hancock, et ‘’Speak No Evil’’ de Wayne Shorter. Même s’il n’avait pas ouvertement adopté le free jazz, Hubbard avait participé à deux de ses albums-phares : ‘’Free Jazz’’ d’Ornette Coleman et ‘’Ascension’’ de John Coltrane, en plus de collaborer à l’enregistrement d’une des compositions les plus avant-gardistes de Sonny Rollins, intitulée ‘’East Broadway Run Down’’ (tirée de l’album du même nom), avec Elvin Jones et Jimmy Garrison, deux membres du célèbre quartet de John Coltrane.
‘’I don’t know how I met all these people’’, avait plus tard expliqué Hubbard. ‘’But a lot of them came to get me, too. They sought me out because they saw I wanted to experiment, and during that period, I was changing my style of the trumpet. I was trying to play the trumpet like a saxophone.’’
Le style de Hubbard avait changé après qu’il se soit établi à Hollywood dans les années 1970. En Californie, les trompettistes jouaient un rôle plus effacé et plus discret, et Hubbard avait dû s’adapter. Il racontait : ‘’You know, lifestyle out there is different from mine than in New York. I was in the Hollywood Hills, above the Bowl. I could look at the ocean on this side. I can hear the concerts free at the Bowl. And I had a big swimming pool. I had parties all the time, and the trumpet just was in the corner a lot of the time, when it should have been on my lips.’’
Hubbard avait connu son plus grand succès commercial dans les années 1970 lorsqu’il avait participé à une série d’albums pour la compagnie CTI Records de Creed Taylor, ce qui lui avait permis d’éclipser Stanley Turrentine, Hubert Laws et même George Benson. Même si ses premiers disques des années 1970, ‘’Red Clay’’, ‘’First Light’’ (qui avait remporté un prix Grammy en 1972 comme meilleure performance instrumentale par un artiste de jazz) et ‘’Sky Dive’’ avaient été plutôt bien reçus et étaient considérés comme ses meilleurs, les albums que Hubbard avait enregistrés plus tard (il avait même flirté avec le jazz-fusion en collaborant avec Red Clay dans le cadre de l’enregistrement des albums ‘’Straight Life’’, ‘’Sky Dive’’ et ‘’First Light’’) avaient été critiqués en raison de leur approche trop commerciale. L’album ‘’First Light’’ mettait en vedette les pianistes Herbie Hancock et Richard Wyands, les guitaristes Eric Gale et George Benson, le contrebassiste Ron Carter, le batteur Jack DeJohnette et le percussionniste Airto Moreira. En 1994, Hubbard avait renoué avec la chanteuse et compositrice Catherine Whitney, qui avait également collaboré à l’album ‘’First Light.’’
Après avoir signé avec Columbia, en 1977, Hubbard s’était joint au groupe tout-étoile V.S.O.P., aux côtés d’Herbie Hancock, de Tony Williams, de Ron Carter et de Wayne Shorter. Tous les membres du groupe à l’exception d’Hubbard avaient fait partie du quintet de Miles Davis au milieu des années 1960. Plusieurs des enregistrements en concert du groupe avaient été publiés plus tard. En 1978, Hubbard avait également collaboré à la pièce ‘’Zanzibar’’ du chanteur Billy Joel. La pièce était tirée de l’album ‘’52nd Street’’ qui avait remporté un prix Grammy l’année suivante comme meilleur disque de jazz.
PROBLÈMES DE SANTÉ ET DÉCÈS
Dans les années 1980, Hubbard avait fondé un nouveau groupe, cette fois avec Billy Childs et Larry Klein. Accueilli chaleureusement par la critique, le groupe avait présenté plusieurs concerts aux États-Unis et en Europe, souvent en compagnie du saxophoniste ténor Joe Henderson, avec un répertoire composé de pièces de hard bop et de jazz modal. Hubbard s’était également produit au festival de jazz de Monterey en 1980 et en 1989 (cette fois avec le vibraphoniste Bobby Hutcherson). Avec Woody Shaw, Hubbard avait enregistré deux albums pour Blue Note. Les deux hommes ont aussi joué en concert en duo de 1985 à 1987. Toujours en 1987, Hubbard avait co-dirigé l’enregistrement de l’album ‘’Stardust’’ avec Buddy Golson. L’année suivante, Hubbard avait de nouveau équipe fait avec Art Blakey à l’occasion d’un concert en Hollande, ce qui avait donné lieu à l’enregistrement de l’album ‘’Free the Wind.’’ La même année, Hubbard avait joué des solos de flugelhorn et de trompette sur deux pièces de l’album ‘’Reg Strikes Back’’ d’Elton John. En 1990, Hubbard avait fait une apparition au Japon dans le cadre d’un concert mettant en vedette le batteur Elvin Jones, le saxophoniste Sonny Fortune, les pianistes George Duke et Benny Green, les contrebassistes Ron Carter et Rufus Reid, et la chanteuse Salena Jones. Hubbard a également joué au festival de jazz de Varsovie, dans le cadre d’une performance qui avait été immortalisée sur l’album ‘’Live at the the Warsaw Jazz Festival’’, publié en 1992 par les disques Jazzmen.
Au début des années 1990, Hubbard, qui était déterminé à recommencer à jouer ce qu’il qualifiait de ‘’vrai jazz’’, s’était installé à Philadelphie et avait contribué à l’émergence de nouveaux talents en intégrant à sa nouvelle formation le contrebassiste Christian McBride, le saxophoniste Javon Jackson, le batteur Carl Allen et le pianiste Benny Green. Hubbard a également collaboré avec le New Jazz Composers Octet, avec lequel il avait joué et enregistré un album collectif dirigé par le trompettiste David Weiss.
En dépit de plusieurs problèmes de santé dont une blessure à la lèvre supérieure qui avait dégénéré en infection en 1992, Hubbard avait continué de jouer et d’enregistrer à l’occasion, même s’il n’était plus au sommet de son art comme il l’avait été au début de sa carrière. Découragé, Hubbard s’était mia à boire et avait contracté un ulcère qui avait failli causer sa mort. Hubbard expliquait: ‘’I started drinking Jack Daniel’s to feel good, you know ? Jack Daniel’s and Coca Cola. And I had an ulcer. I went over in London and I fell out. I’ve never passed out, but I lost four pints of blood. And the doctor said, ‘You’re going o clean up your body, because otherwise you’re looking to go.’ So I said, ‘Well, I’m not ready to go, so let me cool out.’’’
Refusant de se laisser abattre, Hubbard avait contribué à garder vivant le flambeau du jazz en contribuant à des cliniques et à des résidences dans de nombreux collèges américains.
Incarnation vivante du hard bop, Hubbard avait remporté plusieurs honneurs au cours de sa carrière. En 2006, la National Endowmnent for the Arts lui avait accordé la plus importante distinction remise à un musicien de jazz aux États-Unis, le NEA Jazz Masters Award. Au début des années 1970, il avait même supplanté Miles Davis dans les sondages organisés afin de désigner le meilleur trompettiste du monde du jazz.  
Freddie Hubbard est mort le 29 décembre 2008 à Sherman Oaks, en Californie, à la suite de complications dues à une attaque cardiaque survenue le 26 novembre précédent. Il était âgé de soixante-dix ans. Peu avant son décès, Hubbard avait enregistré un dernier album intitulé ‘’On the Real Side.’’
À la fin de sa vie, Hubbard avait développé des liens étroits avec la Jazz Foundation of America. Hubbard expliquait: ‘’When I had congestive heart failure and couldn't work, The Jazz Foundation paid my mortgage for several months and saved my home! Thank God for those people." À la fin de sa vie, la Fondation avait d’ailleurs assuré les soins de Hubbard par l’entremise de son fonds d’urgence. Après sa mort, les héritiers du trompettiste avaient demandé que des dons admissibles pour fins d’impôt soient faits en son nom à la Jazz Foundation of America.
Considéré comme un des trompettistes les plus importants et les plus innovateurs du bop, du hard bop et du post-bop, Freddie Hubbard s’était progressivement affranchi de l’influence de géants comme Miles Davis et Clifford Brown qui avaient été ses modèles au début de sa carrière pour forger sa propre personnalité musicale. Au cours de sa longue carrière, Hubbard a enregistré plus de cinquante albums sous son nom en plus de collaborer avec les plus importants artistes de jazz de son époque. Peu après sa mort en 2008, le magazine Down Beat avait qualifié Hubbard de ‘’trompettiste le plus puissant et prolifique’’ de l’histoire du jazz (il avait enregistré plus de 300 albums en tout et pour tout, tant comme leader que comme collaborateur). Le critique de jazz Stanley Crouch  le considérait comme le trompettiste le plus important et le plus original des quarante dernières années. Crouch précisait: ‘’From the moment he played one note, you knew that was Freddie Hubbard. So he had a sound that was distinctive as Miles Davis, as Louis Armstrong, as Clifford Brown. I mean, he’s one of those trumpet players. He’s also an extraordinary powerful player - great stamina, great range. He swung very hard, was a beautiful ballad player and seemed to have very few limitations in terms of getting through material, whether the material was very simple material or very complex material. He was quite a musician.’’
Le trompettiste Wynton Marsalis considérait Hubbard comme une des principales influences. Il expliquait: ‘’All the trumpet players in the ‘70’s, you can hear Freddie Hubbard’s sound and everything worth playing. He’s such a phenomenal trumpet player - just the largeness of his sound, the velocity and the swing.’’
©-2023-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES :
‘’Freddie Hubbard.’’ Wikipedia, 2022.
‘’Freddie Hubbard, Trumpeter born.’’ National Endowment for the Arts, 2022.
VITALE, Tom. ‘’Freddie Hubbard : A Jazz Icon Remembered.’’ All Things Considered, 11 août 2001,
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didierleclair · 2 months
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DEE DEE BRIDGEWATER, THE BLUESY JAZZ QUEEN
Dee Dee Bridgewater received Grammys and Jazz Master Awards and many other distinctions for her contribution to Jazz and to Art in general.
Her style has the quality of taking any classic and make it her own. He voice is clear, full of emotion. She loves collaborating with the younger generations like the trumpetist Theo Croker or the bass player Christian McBride. She feels at ease surrounded by a solo trumpet, a funky bass or any instrument accompanying her. Dee Dee Bridgwater will play and respond to the instruments in a skillful way.
She’s well known in Europe, especially in France and can scat anytime like in One Fine Thing in her album Dee Dee’s Feathers (2015). Not too long ago, the jazz singer came up with an album that is not jazz but extremely soulful called Memphis, Yes, I’m Ready (2017). I would suggest Hound Dog, a bluesy piece that will make anyone appreciate her craft.
Dee Dee Bridgwater started in the 70’s and her version of the title Afro Blue announced the arrival of an incredible singer who beside jazz can venture in any genre. She’s the definition of the bluesy jazz artist.
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Dee Dee Bridgewater a reçu de nombreuses distinctions honorifiques, Grammy et autres pour sa contribution au Jazz et aux arts en général.
Son style est basé sur le fait qu’elle puisse prendre un morceau classique et en faire quelque chose à elle. Sa voix est claire et porte l’émotion nécessaire. Elle aime collaborer avec des générations plus jeunes comme le trompettiste Theo Croker ou le bassiste Christian McBride. Dee Dee se sent à l’aise avec une trompette pour l’accompagner ou une bass funky. Elle peut réagir aux notes qu’on lui donne avec dextérité.
Bien connue en Europe, surtout en France, Dee Dee maîtrise aussi l’art du scat, cet art de faire des sons complexes en suivant une mélodie improvisée. C’est ce qu’elle fait dans « One Fine Thing » dans l’album Dee Dee’s Feathers (2015). Elle a sorti un album blues Memphis, Yes, I’m Ready (2017) et je recommande « Hound Dog ».
Elle a commencé sa carrière dans les années 70 et sa version de « Afro Blue » a annoncé l’arrivée d’une artiste hors du commun. #deedeebridgewater #jazz
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dg-music · 11 months
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Ornette Coleman, saxophoniste de jazz américain, violoniste, trompettiste et compositeur
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vicnormansstuff · 1 year
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« Les directives contre la musique classique émanent de la presse étatsunienne : le New York Times accuse la musique classique de masquer un “problème raciste”, le National Public Radio observe que ce milieu est "extrêmement blanc et de plus en plus marginalisé", et New Music USA va jusqu’à affirmer que “la musique classique est intrinsèquement raciste”.
Répondant aux injonctions du mouvement Black Lives Matter, un rapport de l’Université d’Oxford récemment médiatisé considère que “la musique blanche européenne de la période esclavagiste cause une grande détresse aux étudiants de couleur”. Apportant sa pierre à la lapidation, le trompettiste “racisé” Ibrahim Maalouf dénonce l’orchestre philharmonique de Vienne pour son “manque de diversité ethnique”. C’est la violoniste chinoise Zhang Zhang qui lui répond : “La musique est le langage de tous les humains. Même quand nous ne parlons pas la même langue nous pouvons jouer ensemble. La musique est un témoignage de notre humanité. Votre haine et la culture de la dénonciation ne passeront pas par nous." »
Thierry Decruzy, "Démondialiser la musique. Une réponse au naufrage musical européen", La Nouvelle Librairie/Iliade, 2022, p.105-106
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philoursmars · 10 months
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Revenons à mon projet de présenter la plupart de mes 55800 photos (environ).  On est en 2017. Oui, mon blog est né en 2017 mais je vais prolonger ce projet...jusqu’à l’année 2018 . Allez....
Au Louvre-Lens, il y eut une très belle expo : “Musiques de l’Antiquité” :
- alternés avec : le Sarcophage des Muses - Rome, 150 ap. JC. 
- Ouadjèt de Bouto avec Penpé, trompettiste - Saïs, Basse Epoque, 550 av. JC.
- banquet musical rituel - Suse, 2600 av. JC. 
- Léto, Artémis et Apollon citharède - Italie, 25 av. JC.
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jazzplusplus · 8 months
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Le Vintage Orchestra joue les compositions et arrangements du trompettiste Fabien Mary.
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La France, le jazz et ses festivals
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webcoupdoeil · 2 years
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Cours de trompette avec un professeur
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swedesinstockholm · 1 year
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il vient toujours un moment où je me dis que ça fait longtemps que j’ai plus raconté ma vie en ligne, alors c’est parti mon kiki, retour sur le début de l’année puis la suite de l’année émoji tourbillon
18 janvier
je viens de penser au cours de théâtre de ce soir auquel je n’irai pas puisque j’ai arrêté les cours cette année. j’avais invité ma prof à la maison pour le lui annoncer, j’avais fait un cake aux amandes et aux pépites de chocolat et on a bu un thé dans la cuisine et j’ai oublié de lui faire visiter le reste de la maison je suis vraiment une bille sociale. elle avait l’air très déçue et je me suis sentie un peu mal mais en même temps pas du tout, surtout après ma lecture à la maison poème à bruxelles, j’arrive pas à croire le temps que j’ai passé à croupir avec des adultes chiants alors que j’aurais pu le passer avec des artistes inspirants, même si lundi à la maison poème ils m’agaçaient à peu près tous et que je me sentais un peu seule. mais pendant que je les regardais tous passer sur scène un par un à faire leur show, tranquillement installée sur mon siège au premier rang parce qu’heureusement je suis passée en premier, j’en pouvais plus d’envie, d’envie de leur milieu, de leur privilège d’être entourés d’art et de pouvoir collaborer et expérimenter et avoir accès à tout ça, de pouvoir dire leurs textes avec une trompettiste de jazz et un guitariste tout en jouant du violoncelle, avec une fille qui fait des sons électroniques avec une imprimante, etc.
mais en fait les deux performances qui m’ont le plus plu c’était juste de la lecture simple. la première c’était une fille dans un costume trop grand qui lisait un texte en s’embrouillant parfois un peu dans sa diction mais c’était pas grave, c’était un texte sur sa nouvelle imprimante et le manuscrit qu’elle voulait imprimer pour l’envoyer à des maisons d’édition, c’était un peu le genre de mon journal mais en plus écrit et recherché et la salle explosait de rire, c’était grisant, j’avais tellement envie d’être à sa place parce que j’aurais pu, elle racontait comment elle s’entraînait à se faire interviewer depuis qu’elle avait dix ans et c’était plein d’exagérations comiques et à la fin elle a été acclamée comme une rockstar et ohlala le rêve, le rêve de faire comme elle, le rêve que la littérature, les mots puissent fédérer à ce point, sur une scène.
la deuxième performance qui m’a le plus plu c’était le type chevelu qui est passé en dernier et qui a lu un texte autobio à la première personne pareil tout seul sans effets particuliers, c’était un texte sur le roman qu’il était en train d’écrire et dans son roman il parle d’un voyage en avion où son ami lui explique comment l’avion fait pour voler et il part dans des réflexions poétiques et très drôles et puis y a une musique douce qui commence et on entend l’enregistrement de la conversation dans l’avion et son ami qui lui fait promettre de pas utiliser leur conversation dans son livre et puis il s’est mis à chanter une phrase qu’il répétait doucement avec la musique et c’était vraiment magnifique. j’avais envie d’aller le serrer dans mes bras après. je l’ai pas fait mais j’ai fait presque pire, en ressortant des loges avec ma parka et mon sac je l’ai vu planté sur la scène et j’en ai profité, j’ai marché droit vers lui j’ai posé ma main sur son bras et j’ai commencé à fangirler hardcore, je lui ai demandé s’il avait déjà écrit des livres comme une groupie littéraire débile (il a publié deux recueils de poésie) et puis il a dit on peut aller boire un verre au bar si tu veux et j’avais décidé de rentrer mais je l’ai suivi jusqu’au bar en bas et puis il a commencé à parler avec une fille qu’il connaissait et j’ai eu des flashbacks de mauvais souvenirs de quand j’étais hétéro alors je me suis vite enfuie. j’ai un peu cherché la fille avec le costume trop grand pour lui déclarer mon admiration mais je la trouvais pas alors je suis partie.
j’ai passé beaucoup de temps à me sentir seule et inadaptée dans la soirée. déjà j’avais peur donc j’avais froid et mes jambes arrêtaient pas de trembler donc je suis restée emmitouflée dans ma parka moche toute la soirée, sauf quand je suis montée sur scène, lovée sur le canapé près du bar avec une tasse de thé pour réchauffer mes mains gelées à attendre que quelqu’un vienne me parler. mais tout le monde se connaissait et c’était intimidant. je trouve les gens des écoles d’art toujours très intimidants et ça m’énerve. est-ce que je deviendrais intimidante si je faisais une école d’art moi aussi? est-ce que ça me donnerait enfin un peu de tenue? j’ai un peu discuté avec une autre fille qui connaissait personne dans les loges pendant qu’on mangeait nos pains garnis libanais, elle venait exprès de bourg-en-bresse. elle aussi elle sortait d’une école d’art. à besançon. elle disait que toute la scène artistique française se partageait entre bruxelles et marseille. marseille c’est bien aussi parce qu’y a la mer mais je crois que j’y survivrais pas deux minutes.
mais venons-en aux moments où j’allais bien, au moment où j’ai marché vers le micro quand perrine a dit mon nom et que j’ai dit bonsoir à la salle sans voir les gens plongés dans l’obscurité et que j’ai commencé à lire mon texte, tranquillement, en pensant à faire des pauses et à regarder le public invisible. aux moments où les gens rigolaient aux passages drôles. le plaisir que je prenais à bien articuler, à la fluidité de mes phrases, aux rimes, aux allitérations, au rythme. le rythme bien, bien plus lent que celui des chorégraphies du spectacle. mon rythme. le moment où on m’a applaudie à la fin et où certains m’ont acclamée. tous les gens qui m’ont dit bravo lara après. le garçon du public qui me faisait des signes juste avant le début de la deuxième partie pour me féliciter, je le voyais à peine dans la pénombre, il me faisait des grands pouces en l’air enthousiastes trop chou. je crois qu’il me suit sur ig depuis, j’ai reconnu sa silhouette. il est musicien de jazz alors évidemment j’ai commencé à fantasmer sur une collaboration eh salut raphaël tu veux bien composer de la musique pour que je puisse chanter mes chansons? ce serait pas trop cool ça? et puis je suis retombée pour un bref instant dans ma vie d’hétéro pré-lesbienne où je tombais amoureuse de tous les garçons musiciens qui croisaient mon chemin.
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