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#serre-livres
2t2r · 6 years
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Quand Yoda tient les livres avec la force
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/quand-yoda-tient-les-livres-avec-la-force/
Quand Yoda tient les livres avec la force
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pas-de-la-kaamelott · 2 years
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QUI MAIS QUI FAIT ÇA BORDEL DE MERDE
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frenchcurious · 1 month
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Serre-livres chats, 1930-5 - Conçu par Walter von Nessen (américain) - Chase Brass & Copper Co., Inc., Waterbury, Connecticut, via le musée de Brooklyn. - source Casey Dunham.
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ernestinee · 10 months
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Congééééé du coup je lis je joue à acnh je lis je mange je dors je regarde Netflix je lis je vais me balader avec l'ado ou avec son père, je joue à acnh (beaucoup ohlala), je lis encore, je dors un peu devant le tour de France ou la F1 et voil�� voilà le programme du bonheur et du coup comme je voulais acheter des BD à mes patients pour la fin de l'année scolaire, je me suis dit que c'était l'occasion de commencer une nouvelle série de manga parce que justement j'ai pleeeiiin de place dans la bibliothèque (c'est faux) et j'ai opté pour Arbos anima. C'est en 5 tomes, ils sont édités par Glénat pour la VF depuis 2016 et là ça n'a pas l'air ni d'être terminé ni de continuer donc peut-être que la fin du tome 5 me laissera dans un état de frustration insupportable mais en attendant c'est une chouette lecture.
On est dans un seinen assez sympa qui m'a attirée avec sa couverture, puis le résumé m'a plu parce qu'il est question de botanique. Un jeune garçon, Noah, possède le don de lire la mémoire des plantes, ce don est vécu comme une malédiction par sa famille, qui l'enferme pendant 15 ans dans la serre. Sympa sympa.
Il devient "collecteur botaniste", il reçoit des missions pour lesquelles il doit chercher et collecter des plantes rares. Au fil des chapitres du premier tome, on fait la connaissance du personnage central ainsi que de ses deux acolytes : un ancien pirate qui lui sert de garde du corps, et une jeune fille qui souhaite venger sa forêt, brûlée il y a longtemps par un autre collecteur. D'ailleurs elle déteste les collecteurs parce qu'elle les prend pour des pilleurs et c'est un peu ça, mais Noah c'est pas pareil, il aime les plantes, il les traite bien, et il veille à en laisser dans leur milieu naturel.
Le tome 2 voit l'arrivée de l'ennemi principal, qui est justement le type qui a brûlé la forêt, c'est fou les hasards de la vie hein, sauf qu'il s'en fout de cette forêt, pour lui c'est de l'histoire ancienne, il veut juste tout savoir sur le don de Noah parce qu'il est un tantinet jaloux. Et manifestement, il est plutôt belliqueux.
Ça me fait seulement 9 livres depuis le début de l'année, les examens ont fait baisser les stats et celui-ci et les autres sont résumés dans le billet épinglé
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mmepastel · 4 months
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In extremis avant la fin de l’année, j’ai un de mes plus gros coups de cœur de lecture de 2023 avec -encore- Audur Ava Ólafsdóttir et son Éden !
Il s’agit de cultiver son jardin… comme Voltaire le préconisait il y a longtemps, phrase qu’elle paraphrase et prête à d’autres écrivains dans le roman… (ou bien ces autres citations existent vraiment et je ne les connaissais pas ? Hypothèse plus crédible)
Plus libre que jamais, l’autrice nous emmène dans un genre de fable enchantée. Elle a l’air de se promener avec son héroïne placide (tout le monde lui parle mais elle répond très peu, ce qui est déconcertant, comique et assez puissant à l’arrivée, j’ai trouvé), de passer du coq-à-l’âne, de digresser, mais un vrai itinéraire se trace, mine de rien.
Alba, l’héroïne assez taiseuse et pourtant amoureuse des mots (elle est linguiste et attache un intérêt infini à ceux-ci, leur étymologie, leur évolution, leur déclinaison, leurs échos…), évolue grandement du début à la fin du récit. Le langage et ses racines, les arbres et les leurs… drôle d’écho et de paradoxe. Au début du récit, Alba parcours le monde en avion pour participer à des colloques sur les langues menacées d’extinction. Mais dans ce monde, très moderne, le dérèglement climatique s’impose à elle. L’Islande a trop de vent pour posséder beaucoup d’arbres, et ceux qui ont peu de racines sont vite menacés. Et pour sauver des langues, elle alourdit son empreinte carbone ! Elle procède à un calcul et réalise qu’il lui faut planter 5600 arbres pour compenser ce qu’elle inflige à la planète. Elle aime toujours les mots, mais elle semble aimer de façon croissante le silence. Hop, changement de vie, face à son père perplexe et à sa sœur bavarde et assommante de questions. Elle garde le cap. Fait fi de rumeurs concernant une liaison tapageuse. Se tait, agit.
Avec beaucoup d’humour, de poésie et une forme d’optimisme résolu (bienvenu en ces temps catastrophistes anxiogènes), on assiste à sa mutation. Elle devient semeuse ; semeuse de mots : dans son nouveau hameau où elle a acheté une petite maison (plus petite que son appartement de la capitale !), elle dépose ses livres de linguistique à l’épicerie solidaire. Contre toute attente, ses livres séduisent et circulent ; tous ces gens prétendument peu cultivés se passionnent pour les mots et en redemandent). Elle sème aussi dans son jardin, ou plutôt elle plante bouleaux et mélèzes, un érable symboliquement important, répare une serre pour d’autres cultures, construit lentement mais sûrement un mur de pierres pour protéger ses plants du vent. Elle sème la langue islandaise au hameau qui a accueilli des migrants, et se prend d’affection pour un jeune homme qu’elle va prendre sous son aile. Par ces petits gestes, elle réenchante sa vie et celle de ceux qui l’entourent sans perdre de son œil acéré. Elle se réinvente et donne au lecteur une immense bouffée d’air frais, extrêmement appréciable, revigorante. Elle se place au centre de son existence comme si elle arrangeait son environnement autour d’elle. Pas pour être importante, mais pour être au cœur de quelque chose de vivant, en faire partie, être à l’intérieur d’un tout.
Cette lecture fait du bien, à partager sans modération, on est loin de risquer l’overdose d’optimisme en ce moment, ce serait bête de se priver.
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c-etait-ailleurs · 5 months
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Lettre de Victor Hugo à Charles Baudelaire
J’ai reçu, Monsieur, votre noble lettre et votre beau livre. L’art est comme l’azur, c’est le champ infini. Vous venez de le prouver. Vos Fleurs du mal rayonnent et éblouissent comme des étoiles. Continuez. Je crie bravo de toutes mes forces à votre vigoureux esprit. Permettez-moi de finir ces quelques lignes par une félicitation. Une des rares décorations que le régime actuel peut accorder, vous venez de la recevoir. Ce qu’il appelle sa justice vous a condamné au nom de ce qu’il appelle sa morale. C’est là une couronne de plus.
Je vous serre la main, poète. Victor Hugo
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icariebzh · 2 months
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".../...Il est un peu en avance, toujours aucune trace de ses amis. Il s'assoit sur un banc de jardin qui jouxte le musée de l'Homme et sort de sa poche La Chambre de Giovanni. Il l'a commencé dans le métro, les premières pages lui plaisent déjà. Il prend un crayon et son carnet puis, le livre en équilibre sur ses genoux note:"...on ne peut malheureusement pas inventer nos amarres, nos amants ni nos amis, pas plus qu'on ne peut inventer nos parents. La vie nous les donne et nous les reprend, et la grande difficulté est de dire oui à la vie." "La vie nous les donne et nous les reprend" répète-t-il. Etrange, comme les mots lus dans un livre, choisi au hasard sur la table d'une librairie, peuvent résonner en nous. Il arrête de lire et, les yeux dans le vide, se souvient de la mort de son père, de ces moments où, comme sa mère, il avait arrêté de dire oui à la vie. Il n'aime pas y repenser, pourtant les mots de Baldwin l'y obligent. Il entend le souffle court et rauque de son père, la toux et les crachats. Il redoutait ces bruits qui venaient la nuit de la chambre voisine et l'avaient amené à haïr son père. Comme il aurait préféré continuer à l'aimer! Il savait bien qu'il n'y pouvait rien., qu'il ne faisait pas semblant de mourir, qu'il ne faisait pas exprès de s'étouffer, mais il lui en voulait de le déranger dans son travail et dans son sommeil, il avait l'impression qu'il abandonnait sans combattre, sans se soucier du vide qu'il allait laisser. La mort et le vide. S'il ne s'était pas rendu compte sur le coup de l'effet que cette extinction progressive avait sur lui, s'il n'avait pas compris à quel point la tristesse et la conscience de la mort s'étaient emparées de lui, il avait bien ressenti la diminution du temps que sa mère pouvait lui consacrer: leurs sorties au cinéma s'étaient arrêtées et les moments qu'ils partageaient autour des devoirs et des livres qu'il lui lisait s'étaient réduits. Le souvenir des soirées qu'il passait seul, ou pire encore avec sa tante paternelle et ses cousins insupportables, quand sa mère était à l'hôpital pour veiller son père dans la phase terminale de son cancer, lui serre encore le coeur, cette sensation d'abandon dont il n'arrivait pas à se détacher, partagé entre acceptation et jalousie. Comment pouvait-il être jaloux d'un  mourant?  Lui le bon élève, sérieux et travailleur, avait avait perdu l'envie d'aller au lycée du jour où  il avait compris que la maladie se son père était incurable. Il se souvient-là sur son banc, un peu triste maintenant, sans même se rendre compte de l'agitation qui s'accentue autour de lui,  des mouvements des forces de l'ordre et des manifestants qui commencent à occuper les points stratégiques- des matins où il lui était  impossible de se lever, malgré les efforts de sa mère, et où il finissait comme son père, par rester couché et louper les cours. Il avait quatorze ans quand la maladie s'était déclarée, et il avait fallu que Georges meure, deux ans plus tard, pour qu'il sorte de sa déprime.
Et comme pour marquer ce retour dans le monde des vivants, il s'était mis à porter des tenues voyantes de dandy inspirée des muscadins, à parler comme un aristocrate, à se laisser  pousser les cheveux, à fumer et à boire, à écouter du rock anglais autant que du Wagner...
Bref à se faire remarquer.
Il avait un peu honte de le dire, mais la mort de son père avait été une libération.
.../..."
Charles Salles extrait de: Alain Pacadis Face B-Editions: La Table Ronde
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maracujapassion · 9 months
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Je ne sais pas trop quel est le projet. Pourquoi j'écris aujourd'hui. Tellement de choses se sont produites dans la vie.
Agression, rechute mais j'ai de solides pros qui m'entourent, maladies, toujours présente pour les patients. La vie, ce tourbillon qui vient éprouver le calme apparent.
NG .. est toujours NG : tantôt calme la tête dans ses livres, tantôt un volcan d'émotions ambulant. J'essaye de lui donner des clés pour apprendre à s'apaiser surtout quand elle est frustrée. Ce n'est pas gagné et parfois je me demande ce que j'ai fait de travers. On se réajuste, on accueille les émotions, je lis beaucoup et je tente d'appliquer pour que ça aille. Arf. Pourtant, aussi éreintant que cela puisse être, j'aime la voir grandir et devenir une fille. J'aime quand elle me raconte ses histoires rocambolesques. J'aime quand elle reste dans sa bulle avec ses livres. J'aime quand elle nous fait un show dans la salon. J'aime quand elle arrive à laisser sa sœur faire de même sans l'interrompre. J'aime l'autonomie qu'elle acquiert mais j'apprécie quand elle a tout de même besoin de moi par moment. J'aime la voir élaborer des plans pour atteindre ce qu'elle souhaite et j'aime l'encourager quand selon elle, il n'y a pas d'espoir.
Bebe coccinelle devrait se rebaptiser en catcheuse pro : ce n'est pas du tout Ng. C'est normal, me direz-vous! Plutôt introvertie, il faut vraiment être proche d'elle pour espérer voir un demi sourire sur son visage. Elle est plutôt dans le style "action réaction". Grimpeuse pro, prise de risque à 400%, têtue, regarde dans le blanc des yeux pour faire ses expérimentations autrement bêtises ahahah ! Et puis sans comprendre vraiment, on a droit à de gros câlins et sa sœur aussi. C'est une boule d'amour qui s'impose. Elle est d'une patience impressionnante pour faire des choses qui peuvent être agaçante. Téméraire et déterminée mais aussi maligne. J'aime cette petite personne qui a su prendre sa place rapidement dans ce trio.
Les 2 forment un duo très comique. Entre chamaillerie et câlins, les mots doux, les blagues, les parties de cache cache. La construction d'une fusée avec 7382928392 km de scotch et des cartons. A quoi acheter des cadeaux si c'est pour qu'elles passent du temps dans des cartons ?
L'Homme ? L'Homme est toujours là après un gros passage à vide. C'était prévisible vu ce qu'on a vécu. Un passage aux enfers. Mais l'Homme reste l'Homme. On avance. On s'épaule. Dans les moments compliqués, on serre les dents ensemble même si ce n'est pas évident. Je le redécouvre et lui aussi. Il n'est pas parfait mais il est toujours celui qui me convient. On doit vieillir ensemble. C'est ça le plan.
Je poursuis ma thérapie avec une psy, une nutritionniste, mon médecin pour ma santé qui jn est pas au beau fixe.
Voilà. Un peu de moi dans un néant de post.
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comment aimer les livres et la planète ? - partie 1 : achat et lecture
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1) l'impact de la fabrication du livre sur la planète
Pour mesurer l’impact du livre sur l’environnement on peut faire une Analyse du Cycle de Vie (ACV) du livre, de l’extraction des ressources au recyclage (l’analyse de l’empreinte carbone est moins intéressante car unidimensionnelle). Dans cet article je me base sur la seule ACV du livre en France, réalisée par les éditions Terre Vivante sur « 1 tirage de 5000 exemplaires d'un livre de 310 g broché cousu de 160 pages en format 15x21 cm sur papier couché de 115 g/m2 PEFC »
a) papier
Plus de 70 % des impacts du livre sur l'environnement sont dus à la fabrication du papier. Il faut 2 à 3 tonnes de bois pour fabriquer une tonne de papier classique [1] Selon la Commission européenne, l'industrie du papier est la deuxième plus consommatrice d’eau douce. Elle serait avec l’imprimerie à l'origine de plus d’1 % des émissions globales de gaz à effet de serre. 70% du CO2 produit lors de la fabrication d’un livre vient de la fabrication du papier [2]. La production d’un seul livre émet environ 4 kilos de gaz à effet de serre. [3]
Elle utilise aussi des produits chimiques qui peuvent être toxiques et génère des déchets qui seront incinérés. Avant, on utilisait des gaz chlorés très polluants pour blanchir le papier mais aujourd’hui on peut le remplacer par un mélange de bioxyde de chlore avec du péroxyde d'hydrogène (eau oxygénée) ou par du péroxyde d'hydrogène avec de l'ozone.
Le remplacement des forêts anciennes par des monocultures d'eucalyptus engendre une perte de biodiversité et l'érosion des sols.
La fabrication de papier génère également des déchets (effluents issus du lessiveur) qui seront incinérés.
b) papier recyclé
La fabrication de papier recyclé est plus économe en eau et en énergie que la fabrication de papier à partir de bois car il est plus facile de faire de la pâte à papier à partir du papier qu'à partir du bois, la phase d'élimination de la lignine n'étant pas nécessaire. D'après Ecofolio, l'éco-organisme chargé du traitement des papiers, « la production de papier recyclé, par rapport à celle de papier non recyclé, consomme jusqu'à trois fois moins d'énergie, trois fois moins d'eau ».
Attention, les fibres ne se recyclent pas à l’infini, au bout d’environ cinq fois les fibres sont trop courtes (puisque redécoupés à chaque fois) et doivent être remplacées par des fibres de bois.
c) livre numérique
Le livre numérique ne représente aujourd’hui que 8,2% du marché. (2017).
Jean-François Ménard, analyste principal au Centre international de référence sur le cycle de vie des produits, procédés et services (CIRAIG) a réalisé une analyse comparée du cycle de vie d’un livre papier et d’un livre numérique et estime que l’empreinte environnementale du livre numérique est environ 1/10 de celle du livre papier, calculé comme si les deux tiers des lecteurs utilisaient un iPad et le tiers restant un Kindle. [4]
D’après une étude Ifop réalisée en 2016, il faut quatre ans pour les gros lecteurs, et soixante pour les lecteurs occasionnels, pour amortir l’impact environnemental d’une liseuse électronique (pour ces derniers il est plus écolo de lire des livres papier). [5]
2) lire d’occasion et emprunter en bibliothèque/à des amis
Plus il y a de personne qui lisent un même livre, plus son impact environnemental est faible. En plus, les bibliothécaires vous veulent du bien ! Iels sont là pour vous faire passer le meilleur moment possible avec un livre et iels n’attendent qu’une demande !
Là il y a évidemment une conversation à avoir sur la rémunération des auteur-ice-s, libraires et acteur-ice-s du livre en général. Je suis personnellement d’avis que la chaîne du livre a beaucoup de problèmes et que les auteur-ice-s sont si peu rémunéré-e-s qu’il serait plus efficace pour les lecteur-ice-s de les soutenir directement, en les rémunérant directement par exemple (si l’auteur-ice a un Tipeee par exemple, même si malheureusement la plupart n’en ont pas). Mais c’est une conversation pour plus tard.
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3) Solutions/conclusion
- choisir des livres imprimés sur papier recyclé (éditions Alto, Héliotrope, Mémoire d’encrier et Annika Parance, notamment impriment systématiquement sur papier recyclé),
- choisir des ouvrages imprimés avec du papier provenant d’arbres issus de forêts contrôlées (logo FSC en début ou en fin de livre, PEFC, Imprim’Vert…)
- emprunter / acheter d’occasion (mais soutenir les auteurs d’autres façons)
- beaucoup utiliser sa liseuse, et essayer de prolonger sa durée de vie au maximum (en la faisant réparer si elle a un problème et en s’en occupant bien)
- aller acheter le livre à pied/vélo/transports en communs et apporter son sac en tissu
- choisir un livre imprimé en France (dans votre pays de résidence)
Ressources:
[1] Greenpeace
[2] http://blog.sustainablog.org/eco-libris-how-green-is-the-book-publishing-industry-part-2/
[3] https://www.americanprogress.org/issues/green/news/2009/02/25/5615/its-easy-being-green-how-to-be-a-greener-reader/
[4] https://www.ledevoir.com/lire/589417/pour-la-planete-vaut-il-mieux-lire-sur-papier-ou-en-numerique
[5] https://fondationlitterairefleurdelys.com/2017/12/16/e-book-contre-livre-papier-quel-est-le-plus-ecologique-par-francois-girard-notre-planete-info/
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marie-swriting · 1 year
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Être La Seule Pour Toi - Benedict Bridgerton
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Masterlist
Résumé : Tu as toujours eu du mal avec le passé de Benedict car il a été avec beaucoup de femmes avant toi and savoir qu'il doit encore regarder des femmes nues pour son art n'aide pas à faire disparaitre tes peurs.
Warnings : le reader manque de confiance en elle et est un peu jalouse, sous-entendus sexuels, mention de peintures nues, fin fluffy, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 2.3k
Version Wattpad
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : All Your Exes par Julia Michaels
Ta lecture est interrompue par l'arrivée de Benedict, rentrant tout juste de l'Académie. Tu fermes ton livre et le retrouves devant l'entrée de votre maison en train d'enlever son manteau. Tu embrasses ton époux chastement pour le saluer. Il te fait un sourire et récupère au sol un tableau enveloppé dans du papier.
- Une autre de tes œuvres d'art ? lui demandes-tu en souriant.
- Oui, j'ai enfin eu la permission de la ramener. Viens, je vais te la montrer.
Benedict prend ta main et t'amène dans la pièce dédiée à sa passion. Il te fait fermer les yeux pendant qu'il défait le papier et pose le tableau sur son chevalet.
- Tu peux les ouvrir.
En posant ton regard sur la peinture, la surprise prend possession de ton visage face au corps féminin dévêtu devant toi. Tu sens tes joues chauffer légèrement avant de t'exclamer en forçant un sourire :
- Oh ! Encore un nu.
- Eh bien, nous devons bien apprendre à dessiner l'anatomie humaine, rigole-t-il.
- C'est ce que j'ai cru comprendre. Ta peinture est magnifique, Benedict, complimentes-tu, sincèrement. Tu t'améliores à chaque fois. Malgré mon manque de connaissance en art, je peux remarquer que ta technique s'affine de jour en jour. Tu as parfaitement bien réussi à capturer la... beauté du corps de cette femme, déclares-tu en tentant de garder une voix calme.
- Serait-ce de la jalousie que je détecte ? demande Benedict avec un narquois.
- Quoi ? Bien sûr que non ! C'est ridicule.
- Il me semblait pourtant. 
Tu lèves les yeux au ciel face à sa remarque, feignant l’agacement. Tu tentes de cacher un peu mieux tes émotions, mais Benedict voit clair dans ton jeu. Il pose ses mains sur tes hanches et te rapproche de lui en te regardant avec amour.
- Tu sais bien que peu importe les femmes présentes à l'Académie, tu es celle que je pourrais admirer toute la journée sans me lasser. Tu es la seule femme que je vois, précise-t-il en appuyant sur le premier mot.
- J'espère bien !
Benedict te serre contre lui et te caresse délicatement l’épaule. Ta tête posée sur son torse, tu te rappelles que tu es la seule à pouvoir être contre lui.
- Et toi, ajoute-t-il, espiègle, tu es la seule qui a le privilège d'admirer ce beau corps sous tous les angles.
- Benedict !
Tu te sépares de lui, gênée par son insinuation alors qu'il s'esclaffe. Tu lui frappes l'épaule, le faisant rigoler de plus belles. Tu caches ton visage dans tes mains. Il a toujours les mots pour t'embarrasser en un instant. Tu sais que sa dernière phrase est surtout pour détendre l'atmosphère, mais tu ne peux empêcher une partie de toi d'être contrariée, malgré tout. Tu sais qu'observer ces femmes nues est pour son art et rien d'autre, mais tes angoisses grandissent à chaque nouveau tableau.
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Le week-end, vous profitez d'une exposition d'art pour sortir. Benedict t'en a parlé pendant un mois. Il attendait ce moment avec impatience. Même si l'art reste quelque chose d'inconnu pour toi, tu es toujours curieuse de voir les différentes œuvres. Enfin, tu aimes surtout écouter les commentaires de Benedict. Il est quelqu'un qui ne retient pas ses mots, mais quand il admire une œuvre, c'est pire. Il n'attend pas de former une réflexion complète avant de parler. Il exprime son ressenti dès que ses yeux se posent sur l'art.
A la galerie, vous regardez les tableaux et statues à votre rythme. Ton bras accroché au sien, tu l'écoutes divaguer tout en cherchant les détails qu'il pointe. Grâce à ses analyses, tu découvres toujours des nouveaux éléments. Alors qu'il est en pleine réflexion sur un tableau représentant une forêt avec un lac d'un artiste inconnu, tu laisses ton regard passé de la peinture à son visage. Tu le vois froncer ses sourcils puis ses yeux s'agrandir, son visage passe par pleins d'émotions en un instant, rendant sa pensée encore plus vivante. Sentant ton regard sur lui, Benedict arrête son commentaire et tourne la tête vers toi avec un sourire en coin :
- Tu sais que l'œuvre d'art est en face de toi ?
- Je sais.
- J'ai parlé pendant longtemps encore, n'est-ce pas ?
- En effet, lui confirmes-tu et il paraît gêné pendant une seconde. Mais j'aime bien. Sans toi, je ne comprendrais vraiment rien à ce que je regarde alors continue.
- Tu es la seule personne qui veut autant m'écouter. Même Eloïse se lasse.
- Je ne suis pas ta femme pour rien. Alors, qu'as-tu d'autres à ajouter sur ce tableau ?
- Je n'ai rien de plus à dire, mais je pense que je vais encore le regarder un peu. Tu peux avancer, je te rejoindrai dans quelques instants.
- Très bien.
Benedict embrasse le dos de ta main, te faisant sourire. Tu t'éloignes de lui, te dirigeant vers le mur d'à côté découvrant le portrait d'une femme avec un enfant. Tu commences à regarder les personnages, attendant de voir la présence de Benedict apparaître à n'importe quel moment. Mais, même après une dizaine de minutes, il ne vient pas. Tu te tournes vers l'endroit où tu l'as laissé, les sourcils froncés et le vois en train de discuter avec une femme. Aux premiers regards, tu ignores qui elle est et devines que leur échange est cordial. En faisant un peu plus attention, son visage te parait familier, même si tu n’arrives pas à savoir où tu l’as déjà vue. Tu débats mentalement avant de te décider à les rejoindre avec un sourire poli.
- Oh, chérie ! commence Benedict en te voyant. Désolé, j'allais bientôt arriver.
- Bonjour, dit la femme.
- Y/N, voici Mademoiselle Tessa Brown. Elle était à l'Académie.
- L'académie ? Je croyais que les femmes n'avaient pas le droit d'étudier là-bas, la questionnes-tu, perdue.
- C'est le cas. Je travaillais en tant que modèle pour pouvoir écouter les enseignements.
- Je vois, déclares-tu, comprenant d’où tu la connais avant de la regarder de haut en bas, malgré toi. Je ne me suis pas encore présentée, excusez-moi, Y/N Bridgerton, sa femme, ajoutes-tu en appuyant sur le dernier mot.
- Enchantée.
- Mademoiselle Brown me disait qu'elle était l'artiste de ce tableau, t'informe Benedict, ramenant ton attention sur la peinture.
- Vraiment ?
- J'ai enfin osé franchir le pas et proposé une de mes œuvres. J'en suis très fière.
- Vous pouvez l'être, votre œuvre est belle. J'espère qu'un jour vous pourrez exposer en dévoilant votre nom, lui dis-tu, sincèrement.
- Je l'espère également. Je m'excuse, je dois partir. Au revoir, Lord et Lady Bridgerton.
- Au revoir, Mademoiselle Brown.
Tu ne peux t'empêcher de la suivre du regard en essayant de comprendre quelle était la nature de sa relation avec Benedict. Tu sais que tu es ridicule, mais Benedict a déjà vu son corps sous toutes les coutures pour son art alors pour ton cerveau, c’est une raison suffisante pour s’imaginer des scénarios. Soudainement, tu te rappelles qu’Anthony l'avait évoquée lors d'une discussion avec son frère, discussion qu'il avait arrêtée quand il t'avait vu entrer dans la pièce. Tu n'as jamais osé questionner Benedict, jugeant que tu n’étais pas censée entendre ce bout de conversation en premier lieu. Mais après avoir rencontré Tessa Brown, ta curiosité a refait surface.
Pendant le reste de l'exposition jusqu'au retour chez vous, tu restes assez silencieuse. Tu essayes de paraître normale, mais tes pensées sont trop importantes pour communiquer. Heureusement, en arrivant, l'excuse de la lecture te permet de t'échapper et de réfléchir tranquillement. Alors que tu continues de fixer la même page, tu entends Benedict dessiner au fusain. Tes angoisses grandissent à chaque réflexion. Ton côté rationnel n'arrive pas à se faire de la place dans ton esprit alors tu continues à paniquer. Tu secoues rapidement la tête, voulant effacer toutes ses pensées. Tu tentes réellement de lire quand Benedict pose son carnet de croquis et se met en face de toi :
- Qu'est-ce qui ne va pas ?
- De quoi parles-tu ? demandes-tu, feignant l'ignorance.
- Tu n'as presque rien dit depuis que l'on a quitté l'exposition et tu fixes la même page pendant vingt minutes.
- Je ne fixe pas...
- Je te connais, Y/N, t'interrompt-il, inquiet. Quelque chose ne va pas, je le sais.
- Ce n'est rien, le rassures-tu.
Tu fermes ton livre et te lèves du sofa. Tu t'apprêtes à quitter la pièce quand il pose une main délicate sur ton bras, t'arrêtant dans ton mouvement.
- Tu es énervée ? questionne Benedict.
- Pourquoi serais-je énervée ?
- Ne crois pas que je n'ai pas vu ton regard quand tu as rencontré Tessa Brown.
- Quel est le rapport ?
- Tu l'as dévisagée et tu as été un peu sèche, précise-t-il, te vexant instantanément.
- J'ai littéralement complimenté son travail.
- Tu veux que je te rappelle la façon dont tu t'es présentée à elle ? Tu as bien appuyé sur le mot "femme". Pas que je n'apprécie pas, j'aime quand tu le précises, surtout si tu es jalouse.
- Je ne suis pas jalouse, le contredis-tu. Je n'ai aucune raison de l’être, comme tu l'as dit la dernière fois, je suis la seule à avoir le privilège de t'admirer sous tous les angles, non ?
- C'est vrai. Alors, dis-moi ce qui ne va pas, insiste-t-il et tu baisses le regard.
- C'est ridicule.
- Y/N, parle-moi.
Il pose une main sur ta joue, te forçant à relever les yeux vers lui.
- C'est juste que… Je sais que tu l’as déjà peinte et j’ai l’impression que tu la connaissais plutôt bien. Est-ce qu'il y a eu quelque chose entre toi et elle, avant nous ? demandes-tu en t'éloignant légèrement.
- Oui, je dois avouer que nous avons eu une aventure. Mais cela ne représentait rien !
- Je ne te blâme pas, Benedict, lui assures-tu. Cela serait idiot de ma part de le faire. Tu me l'avais dit que tu avais eu plusieurs femmes avant moi. Je le sais et je ne t'en veux pas. Et, je sais que notre société n'est pas aussi stricte avec les hommes ayant des relations avant le mariage qu'avec nous, les femmes. Je le sais, insistes-tu, submergée. Mais je ne peux pas m'empêcher d'y penser. Et j'aimerais qu'on soit sur un pied d'égalité.
- Que veux-tu dire précisément ? veut-il savoir, curieux.
- Benedict, tu as eu une vie entière avant moi, commences-tu, exposant tes peurs. Tu as dansé avec pleins de femmes, tu as embrassé encore plus de femmes, tu as partagé de nombreuses nuits avec ces dernières, il y en a d'autres que tu as vues nues pour ton art et tu as eu des sentiments pour certaines. Ce n'est pas pareil pour moi. Je n'ai dansé qu'avec très peu d'hommes, tu es le seul que j'ai embrassé, le seul avec qui j'ai partagé mes nuits et le seul pour qui j'ai eu des sentiments. Je ne peux pas m'empêcher de penser que, sur ce point, nous sommes tellement éloignés. Et je sais que c'était avant moi et que ces rencontres sont une partie de qui tu es, mais j'aimerais qu'elles n'existent pas. J'aimerais être la seule pour toi comme tu es le seul pour moi, lui avoues-tu, vulnérable. Je sais que, parfois, tes frères se retiennent d'évoquer des moments de ta vie par respect pour moi, mais tout serait plus simple si on était sur un pied d'égalité. Je n'aurais plus à m'inquiéter à me demander si tu as été proche de la femme avec laquelle tu parles et si tu as été proche avec elle, à quel point. Encore une fois, je sais que ces peurs sont ridicules. Je sais que tu m'aimes et que tu ne me blesserais jamais. J'ai confiance en toi, mais je veux juste vivre dans un monde où tu n'as pas ces souvenirs avec ces femmes, un monde où elles n'auraient jamais eu de relation avec toi.
Ton monologue fini, tu reprends ta respiration. Tu n'avais même pas remarqué que tu avais parlé aussi vite. Tu n'oses pas regarder Benedict, appréhendant qu'il te juge, même si tu sais qu’il ne le ferait jamais.
- Y/N, je m'en veux de savoir que je te cause du souci, même si c'est involontaire de ma part. J’aurais également aimé que tu sois la première femme que j'ai rencontrée, car si cela avait été le cas, je n'aurais pas perdu une seconde et je t'aurais passé la bague au doigt plus tôt, déclare Benedict en prenant ta main. Peu importe ce que j'ai vécu avec ces femmes avant toi, ce que j'ai pu ressentir pour elles n'est pas comparable à ce que je ressens pour toi. Tu es la seule femme pour laquelle j'ai réellement eu des sentiments. Tu es la seule personne que j'ai réellement aimée et que j'aimerai jusqu'à la fin de ma vie. Tu es la seule femme qui compte pour moi. Si je peux faire quelque chose pour te faire oublier toutes ces peurs, je le ferai parce que je t'aime. Je déteste savoir que tu tortures l'esprit, surtout si j'en suis la cause.
Tu le regardes avec tendresse, reconnaissante d'avoir un mari si attentionné. Tu prends sa deuxième main dans la tienne, lui souris et lui précises :
- Je dois juste totalement accepter que tu aies connu d'autres femmes. Comme je t'ai dit, j'ai confiance en toi. Ce sont juste mes insécurités qui parlent. J'arriverai à les surmonter. Mais je suis contente de t'en avoir parlé. J'ai l'impression d'être libérée d'un poids.
- Je suis ravi de l'entendre. Je t'aime, Y/N. Tu es et tu seras toujours la seule personne dans mon cœur, ne l'oublie jamais.
Benedict rapproche son visage du tien avant de t'embrasser avec délicatesse. Votre baiser dure quelques instants, mais il est rempli d’amour et de passion. Quand vous vous séparez, tu plonges tes yeux dans les siens avec un sourire.
- Je t'aime, Benedict.
Tu places ta tête sur son torse, entendant les battements de son cœur pendant qu'il te tient contre lui. Il embrasse le haut de ta tête avant d'y poser sa joue. Plus vous restez enlacés, plus tes angoisses se dissipent. Tu arrives à lâcher un soupir de soulagement pendant qu'il caresse délicatement ton bras. Tu fermes tes yeux, chérissant ce moment jusqu'à ce que Benedict rapproche sa bouche de ton oreille avec un air malicieux avant de chuchoter :
- Nous pouvons monter dans notre chambre et je pourrai te prouver que tu es la seule femme à mes yeux.
- Benedict ! cris-tu, gênée alors qu’il rigole.
- Te voir embarrassée est ce que j'aime le plus chez toi, déclare Benedict en posant à nouveau ses lèvres sur les tiennes et tu fonds à son touché.
Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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idereahellyeah · 2 years
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Merci @etsicetaitmavie ✨️
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Mon métier 🏥
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"Vous en faites un joli métier" est la phrase que j'entends de la bouche de 90% des patients âgés que je m'occupe mais sincèrement je me demande bien pourquoi.
Je savais avant de commencer que ça n'était un métier idyllique mais en 10 ans j'ai vu notre système de santé s'effondrer petit à petit, même hors coviderie. Alors on fait parce qu'on doit faire, comme on peut, avec ce qu'on a. Le réel problème c'est que quand le personnel est dévoué ça fonctionne sinon ça se crashe. Je trouve ça terrible en fait de me dire que selon où tu te fais soigner c'est la roulette russe. Alors après tous les services et tous les hôpitaux ne sont pas concernés à même échelle.
Pour ma part, j'ai toujours à coeur mon métier et les gens que j'y croise alors je ferais toujours en sorte d'aller là où les conditions sont les plus clémentes, au moins pour les patients.
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Top 5 films : 📽🎬
- The eternal sunshine of the spotless mind
- Interstellar
- L'étrange Noël de Mr Jack
- L'empire contre attaque
- Fight Club
Top 5 livres : 📚 📖
- Le poète - Michael Connelly
- La coupe de feu - JK Rowling
- Misery - Stephen King
- De battre mon cœur s'est arrêté - Alexandra Lanoix
- L'homme aux cercles bleus - Fred Vargas
Top 5 musique : 🎧🎶
- The extasy of god - Ennio Moriconne
- Stairway to heaven - Bob Dylan
- Wonderwall - Oasis
- Superheroes - Daft Punk
- Thunderstruck - ACDC
Top 5 séries : 📺📼
- Six feet under
- Westworld
- Breaking Bad
- Friends
- New Girl
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Un patient plus qu'un autre? 🫂
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Chaque année j'ai le nom d'un patient que je n'oublierais jamais gravé en moi. Malheureusement c'est souvent des patients auquels je me suis attachée et qui n'ont pas survécu malgré une longue prise en charge. Je me souviens également  de beaucoup d'autres: des histoires tragiques, des histoires simples, des histoires belles ou des histoires drôles. Parfois je me dis que je suis chanceuse de vivre toutes ses rencontres.
Si je dois choisir une histoire je te dirais celle de cette patiente, cancer du sein qui récidive et qui se retrouve dans mon service parce que ses métastases pulmonaire lui ont fait faire un arrêt respiratoire et elle a été intubée.
Nous sommes à J2 de son hospitalisation, elle est consciente et on lui annonce que l'on va pouvoir l'extuber. Cependant il se peut qu'elle n'y survive pas, les risques d'inflammation et donc que ses bronches se bouchent au retrait sont très élevés. Elle comprend et on fait entrer ses filles pour qu'elles viennent lui dire aurevoir au cas où. Elles sont toutes les trois ensembles, une de ses filles tient fort sa mère par la main, l'autre se couche avec elle dans le lit et elles pleurent, ensemble. Moi je prépare une perfusion dans la chambre et le parallèle avec ma mère malade à l'époque est trop grand. Ma gorge se serre, mes mains ne répondent plus et je quitte la chambre précipitament pour pleurer, loin d'elles. Je ne peux pas leur faire ça, elles ont besoin de moi.
Au final l'extubation est miraculeuse: la patiente la réussi sans aucune répercussion et elle gagne des mois de vie en plus avec ses filles. Elle reste quelques temps encore chez nous et on parle beaucoup, je me lui explique ma situation et elle m'a remonter le moral comme personne n'avait réussi à le faire jusqu'à lors. Sa joie de vivre, son flegme et son réalisme m'ont touchée, sa force quoi.
Elle est partie un jour où je n'étais pas là, elle m'a laissé un mot à garder avec moi et m'a fait promettre de le détruire quand le combat que ma mère serait terminé. J'ai tenu ma promesse à la rémission, de son côté ma patiente a finalement également gagné son combat et elle a déménagé à la montagne afin d'avoir une maison au milieu de rien "juste pour avoir le plaisir d'être réveillée par la rosée du matin et le bruit des animaux de la forêt" comme elle me le disait si bien.
💙
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alain-keler · 1 year
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Journal du lundi 3 avril 2023.
Résumé des épisodes précédents :
  Je travaille sur un projet personnel sur les minorités dans l’ex-monde communiste d’Europe, projet qui verra la parution d’un livre en 2000 « vents d’Est » et qui obtiendra en 1997 à New York le prix Eugene Smith.
  Mon troisième voyage me conduit dans l’enclave arménienne du Haut-Karabakh, enclave découpée par Staline selon un adage bien connu : diviser pour mieux régner, et  dont les résultats amèneront jusqu’à aujourd’hui des conflits après la dislocation de l’empire soviétique. Je loge dans la maison de MSF à Stepanakert, capitale du Haut-Karabakh.
Les Arméniens désignent également le Haut-Karabakh sous le nom d'Artsakh, en référence à la dixième province du royaume d'Arménie. Haut Karabakh se traduit par montagne noire ou jardin noir montagneux.
Mercredi 13 avril 1994.
Refoulé sur le front militaire, je suis la guerre de l’intérieur.
La vie continue. Je photographie un mariage. La mariée me paraissait beaucoup plus jeune que son époux. Sur une autre photo, un verre à la main, il lui serre sa main très fort, trop fort peut-être à mon sens. Cela ne ressemble pas à un geste d’amour. Il a l’air très dur. Je peux aussi me tromper, ils sont peut-être très amoureux. Ou pas.
En regardant une photo, on peut imaginer toutes sorte de choses, se faire des idées bonnes ou mauvaises. L’interprétation de ce que l’on voit dépend aussi de notre humeur. Ce que l’on apprécie un jour, on peut le détester le lendemain.
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madamecercle · 2 years
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La serre pour voir - — sortie d'un livre et de son cadre
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baby-lalune · 2 years
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j'ai du mal à comprendre pourquoi les adultes prennent aussi peu au sérieux l'état mental et la santé mentale en général des jeunes. ma génération est épuisée, doit faire face aux traumatismes générationnels dans une société où on a ouvert les yeux sur mille et une choses, où on accepte enfin de parler, de s'écouter et de ne plus suivre le rythme effréné de la vie, sans se poser de questions, sans remettre en question. les adultes invalident notre fatigue et pense que nous ne sommes que fainéants. aujourd'hui, on veut s'écouter, se poser. s'autoriser à vivre et non pas à juste survivre. on veut avoir le temps de flâner, de créer, d'échouer, de tenter. on veut aussi avoir le temps de ne rien faire. de ne pas nécessairement être en activité. ce temps dans ma tête je l'ai perdu avec le début de la vie d'adulte. mon imaginaire s'étire tellement que je le sens disparaître. j'ai dû mal à créer, parce que je dois tout le temps produire selon des consignes que je ne comprends qu'à moitié. j'ai toujours une tâche à exécuter, une corvée dont il faut s'écouter. parfois j'ai juste envie de tout abandonner. de me retirer de la vie active, m'enfermer quelque part avec une pile de livres, de la peinture, de la bonne nourriture, et écouter la musique, des podcasts. me remplir de culture sans avoir à surveiller l'heure, décider de manger la même chose 10 fois, ou tout simplement sauter des repas sans le justifier. flâner dans des tenues du dehors dedans, m'endormir sans mettre de réveil ou de rappel pour la journée.
ce soir, je fais une crise d'angoisse parce que ça ne fait qu'une semaine que j'ai repris le travail, et que je suffoque déjà. les journées sont trop longues quand je travaille, et les heures rapetissent à la minute où je rentre chez moi. il est déjà tard, il faut aller dormir. mon cœur se serre, je n'ai plus le temps d'exister.
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mmepastel · 5 months
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Toujours en vue du festival Lettres d’Automne, j’ai enfin lu Sylvain Prudhomme. D’abord son dernier, L’enfant dans le taxi, puis, dans la foulée, Par les routes, lauréat du Prix Femina en 2019.
Je les ai dévorés. Impossible de les lâcher. Ils sont assez différents quant aux thèmes, mais les « je » des narrateurs, Sacha et Simon, ont en commun une belle sensibilité, une certaine disposition au bonheur je dirais, et une attention portée à l’autre.
L’écriture de Sylvain Prudhomme est souple, élastique, fluide, portée par un souffle, une amplitude qui entraîne le lecteur dans ses pas. On le suit facilement, comme un nouvel ami devenu vite familier.
L’enfant dans le taxi est un récit à forte teneur autobiographique : l’auteur a en effet découvert un secret de famille, un enfant de son grand-père, né d’un lit illégitime, conçu avec un allemande à la fin de la guerre. Enfant nommé M., pour lequel Simon va se passionner, soulevant la chape de plomb et de poussière que la famille toute entière a lentement fait retomber sur cette existence. Son envie de connaître M. correspond à une tendresse pour les boiteux, les esseulés, lui qui justement traverse une séparation amoureuse. En écho au silence du grand-père, le lecteur observe justement Simon être père, désormais célibataire, et son cœur se serre en constatant le contraste entre père aimant et attentif et père dans le déni.
Dans l’autre roman, la question de la paternité est aussi bien présente, étrangement d’ailleurs puisqu’on assiste à ce qui ressemble à une substitution de pères… comme si la qualité de la relation remplaçait l’identité.
Mais il est surtout question d’amitié, d’amour, et de vision du bonheur. Deux versions s’opposent entre l’ami de Sacha, surnommé uniquement « l’auto-stoppeur », épris de vagabondages, et Sacha, plus introverti, plus cérébral, souvent vissé à sa chaise d’écrivain. Marie, au milieu, femme solaire qui sait aimer et accepter l’absence, finit par s’éprendre de celui qui est là, plutôt que de celui qui ne cesse de repartir. L’auto-stoppeur, pourtant heureux, comblé, a peur de se figer, comme dans le film de Cedric Kahn, Trop de bonheur, qui m’avait beaucoup marquée, il y a bien longtemps pourtant. Comme si le couple, le foyer, finissait par vous figer, vous rendre statique, paresseux, immobile ; il redoute de perdre l’élan qui le pousse hors de chez lui, vers l’inconnu, le désir de découvrir, de rencontrer. Quitte à y laisser des plumes, sacrément précieuses.
L’auteur dit que ces deux facettes existent en chacun de nous, et j’acquiesce. Et si l’auto-stoppeur et Sacha étaient deux facettes d’un même homme ?
Dans tous les cas, ces deux livres m’ont fait forte impression, j’ai été touchée par ces questionnements cruciaux (filiations, couple, bonheur…) et séduite par l’écriture précise et limpide de l’auteur.
Update : j’ai lu ce recueil de nouvelles ci-dessous et c’est également très bien, très sensible et émouvant.
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manuitchezbina · 1 year
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Analyse de séquence: Elephant (2003), dir. Gus Van Sant
00:58:16 - 01:00:36
Caractéristiques esthétiques  Gus Van Sant refuse le montage pour la séquence analysée : il y a qu'un long plan séquence qui suit Michelle de dos, ce que fait appelle à l’univers des jeux vidéos, un sujet très discuté dans les études sur le film.
Au même temps, le choix d’encadrer Michelle de dos donne l'impression que quelqu’un la suit, qu’elle est coincée, sur préssion, ce qu’on voit dans la scène antérieure, avec la prof de gym qui insiste pour que l’adolescente s'habille plus légèrement pour son cours, même qu’elle soit évidemment pas confortable. Également, elle sera bientôt coincée face à l’attaque des tueurs qui vont, selon l’ordre chronologique, entrer à la bibliothèque et la tirer dessus quelques instants après le début de son travail. 
Le choix de mettre Eli et John en flou dans l'arrière-plan mais de maintenir le son de leur conversation si clair indique que dans ce moment-là on accompagne Michelle, mais que, malgré son déconcertement et mal à l'aise, il y aura toujours la coexistence avec les autres adolescents. Elle n’aura pas le temps de s’isoler pour digérer la violence soufferte dans son cours de gym, elle doit continuer à vivre entourée de ses collègues et d’aller travailler.  
Indices visuels et sonores La principale fonction des indices visuels et sonores dans cet extrait est de montrer au spectateur l’angoisse de Michelle: La caméra qui la suit comme un policier qui suit un voleur; 
la musique, qui est peut-être intradiégétique mais apporte quand même une sensation funèbre; son cri très subtilement entendu parmi l’ambiance. 
Structure et enjeux dramatiques La séquence se passe dans un seul temps, sans raccords et sans ellipses. Pendant tout son chemin, on voit le mal à l’aise de Michelle dans le lycée. Après son arrivée à la bibliothèque, elle est encore timide et déplacée, mais l’acte d’avoir une tâche à accomplir semble la distraire un peu de son inconfort général. 
L’idée aussi de que Michelle parle à personne dans son chemin et que les deux seuls élèves qu’elle croise interagissent entre eux met en évidence sa solitude et son manque d'habiletés sociales en général. 
Description détaillée  La séquence est composée d’un long plan séquence, un travelling qui suit Michelle. Ce parcours s’initie avec un plan taille sur la lycéenne de dos, qui sort d’une chambre où la lumière est complètement rouge pour arriver au couloir du lycée, où il y une lumière qui semble naturelle, rentrant des grandes fenêtres du côté droit. On entend l’ambiance du lycée, une musique lente et Michelle qui semble pleurer subtilement. 
Au fond du couloir, Eli et John se croisent et discutent brièvement. Ils sont en arrière plan, flous. 
L'alarme sonne et Michelle commence à courir et le travelling s’accélère pour la suivre. Elle rentre dans une séssion plutôt obscure. La caméra continue à la capturer de son dos mais l'échelle se serre plus et Michelle rentre en plan épaules.
La personnage entre dans la bibliothèque et le bibliothécaire vient lui parler pour expliquer ses tâches: il faut qu’elle commence par mettre des livres en rayons. Elle prend son chariot et commence son travail. On écoute les bruits des livres manipulés. 
Ensuite, Michelle entend un bruit étrange et tourne en arrière, c'est-à-dire vers la caméra, pour regarder ce qui se passe. 
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