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#saint thomas d'aquin
fleurdusoir · 8 months
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[...] les créatures se divisent en deux groupes : en bas, celles qui, dépourvues de raison, n'ont d'autre principe d'action que leur nature; et plus haut, celles qui sont, en outre, douées d'une libre volonté.
Saint Thomas d’Aquin, La Providence
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ameretat · 5 months
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Saint Thomas d'Aquin, prière pour obtenir les vertus
Ô Dieu qui pouvez tout, qui savait tout, qui n'avez ni commencement ni fin, vous qui donnez les vertus, les conservez et les récompensez, daignez me stabiliser sur le sol ferme de la foi, me protéger de l'inexpugnable bouclier de l'espérance, me parer du vêtement nuptial de la charité.
Donnez moi la justice de vous être soumis, par la prudence d'éviter les pièges du diable, par la tempérance de garder un juste milieu, par la force de supporter patiemment l'adversité. [...]
Apprenez moi à garder la règle dans ma tenue, ma démarche et mes gestes, retenir sur mes lèvres toute parole vaine, préserver mes pas de tout écart, empêcher mes yeux de divaguer, défendre mes oreilles des rumeurs, tenir le front humblement incliné, élever mon esprit vers le ciel, mépriser ce qui passe, ne désirer que vous seul, dompter ma chair, purifier ma conscience, honorer les saints, vous louer dignement, progresser dans le bien et couronner mes bonnes actions par une sainte mort.
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philoursmars · 1 year
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Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 55000 photos (nouveau compte approximatif. On se rapproche du présent !).
2015. Marseille en été. Dans la rue Dieudé, l’ancienne école Saint-Thomas d’Aquin. C’est là qu’eut lieu une formidable expo d’art contemporain, “Aux Tableaux !”
- les 5 premières : Lili B.  : “Fantômes”
- les 2 dernières : Leile Ross Willis : “Pouët-Pouët Piou-Piou Cocotte”
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longingpolaris · 2 years
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I always have Francis live in montmartre but for some reason I feel like that doesn't suit Françoise... she needs to live at the seventh arrondissement
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jeanchrisosme · 3 months
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Les choses que nous aimons nous disent qui nous sommes.
Saint Thomas d'Aquin.
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lapleiade · 10 months
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Le terme de mes travaux est venu; tout ce que j’ai écrit et enseigné me semble un brin de paille auprès de ce que j’ai vu et de ce qui m’a été dévoilé.
Saint Thomas d'Aquin
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cornishpixiez · 1 year
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7 up!
rules: post 7 (or more) lines of a wip you’ve been working on. this is from the previous chapter of the absolute denial of everything is sacred
thank you so much @anouri @fruity-individual and @greenvlvetcouch for the tag!! i love y'all <3
Regulus hated him at first sight, liked him at second, and loved him at third. Really loved him in his own broken way. Even when they fought, most likely when Barty did something stupid that earned him a week locked up in his room and got worse treatment than usual. Even when Barty kissed him for the first time behind a bush far away from the patio's entrance, and Regulus hated him for it—pushed him away with tears in his eyes because Bee had ruined everything. Blew the safety bubble they had built and let it float away.
He was trying to hold on to this friendship he didn't even want in the first place with nails and teeth; Regulus needed it, needed Barty to be his friend even though his heart raced when they touched, even if he thought Barty was too pretty for the world they lived in, too carefree, too confident in his own skin. No one could ever be as lovely as him, and he looked at Regulus with such affection (impish, smug smiles and knowing stares) it was impossible not to fall. 
But the last time he had seen two boys kiss, he had lost it all. Regulus had nothing left besides Barty, and he couldn't handle losing him too.
Yet he didn't. Barty stuck to him even when Regulus gave him the silent treatment—sat by his side at every meal, followed him on the patio in the afternoon breaks, smuggled him pencils (an eyebrow pencil stolen from a careless nurse, a red one that turned into watercolour if mixed with water, and a graffiti one, for writing poetry) and napkins for sketching because they weren't allowed to own stationary outside of class.
Barty told him everything about his dad, Barthemius Crouch Senior, a British Lord who gambled and messed with dirty politics and bloody deals. He had drawn him once—an impressive and realistic portrait Regulus would have kept if Barty had not shredded it right after. He hated his father.
His father hated him too. Told him Barty killed his mother because he was born. He said that, if given a choice, he would have chosen her to be alive instead. They were not actual Catholics, not like the Blacks. Bee was there because he accidentally popped too many pills one night, and the Clinique Catholique Privée de Saint Thomas d'Aquin was also one of the best rehab centres for teenagers in Europe. Barty was only twelve when that happened.
They kissed when they could, alone, on the roof at midnight, where no one could see them even if they squinted hard enough. It was chaste and sweet—they were still kids even though they had seen and experienced too much, too young. Regulus always thought about the irony of hiding on the roof to kiss a boy, thought about what he had done to his brother, hated himself for it, and wanted to scrub the memory out.
tagging @deermessrs @arakhnee and @pjxckson <3
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claudehenrion · 1 year
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Peut-on encore espérer ?
 Même si elle professe une forte préférence pour le pire, notre époque est, aussi, capable du meilleur, ce qui maintient en vie les optimistes. Un des problèmes les plus graves du moment, c'est que la Presse, néfaste et mortifère au delà de ses propres espérances, ne vante jamais que ce qui est à rejeter, à condamner, à refuser... mais que, par un biais inexplicable (mais permanent), elle présente comme le ''nec plus ultra'' d'une pensée qu'elle prétend bonne sur des critères --connus d'elle-seule– qui sont tous mauvais : plus c'est désespérant et plus elle le dit salvifique... ce qui  explique pourquoi nos contemporains (car cette pathologie est mondiale) croient que ce ''pire'' pourrait être une solution. C’est un mensonge !
Or il n'en est rien : à côté de ce qui constitue la trame sombre de notre (sur)-vie quotidienne revue et corrigée dans le sens du ''pas d'espoir'' (la ''no hope Society'' des 'ricains)-- il existe une vie, ''la vraie vie'', à l'extrême opposé de tout ce que nous racontent politiciens et journalistes, une fois de plus unis dans une entreprise inexplicable de destruction de toute société organisée –et plus particulièrement de notre civilisation judéo-chrétienne, dont toutes les valeurs –vraies, celles-là-- sont le contraire des anti-valeurs qui nous sont sans cesse présentés comme la nouvelle base d'idées qui devraient construire un monde nouveau. C'est un autre mensonge.
On a du mal à croire que quelques milliers de ''mal-pensants'' arrivent à maintenir 8 milliards d'humains la tête sous l'eau... biberonnés à l'eau du Léthé, pour oublier qu'il existe une ou des alternative(s)... Et pourtant, le 24 novembre dernier, a eu lieu, rue Saint-Guillaume, juste en face du cloaque contre-intellectuel, dé-politique et a-moral qu'est devenu ce qui fut Science-Po (devenu Science-Pipeau, affirment les ''anciens''), en plein cœur de ce quartier latin qui fut le lieu géométrique et le rendez-vous de notre belle jeunesse, l’ouverture d’ un ''Centre Saint Thomas d'Aquin'' (en abrégé : ''le CST''). Dans un beau discours inaugural, Eléonore de Noüel, sa Directrice, a déclaré que cette ouverture répondait à un authentique scandale : Thomas d'Aquin, un des plus grands penseurs de l'humanité, est quasi inconnu en France.  Ce mystère fait partie des préoccupations contre-civilisatrices qui font fonctionner –de plus en plus mal-- le moteur (arrêté !) de nos intellectuels en manque total de cerveau, de culture, de jugeote... et de solutions qui en soient.
Et pourtant Dieu sait (si j'ose !) si l'intention des pères de la scolastique était de tout faire pour réconcilier la philosophie grecque (et particulièrement l'aristotélisme), avec  la théologie chrétienne : la théologie et la philosophie, pour eux, ne sauraient conduire à des vérités opposées. ''Vaste programme'', aurait dit qui nous savons... d'autant plus que, pour en arriver à cet ambitieux projet, ils en appelaient à la médiation de Dieu, ce qui, évidemment, ne peut mener, aujourd'hui, qu'à accélérer la danse de Saint Guy des ''Wokistes'' qui ont fait de cet ex-haut lieu de la pensée française un bas-fond de la bêtise humaine, soumis à des aberrations sans queue ni tête... ni lendemains possibles. Et ces idées, contre toute intelligence et toute sagesse, sont reprises par nos gouvernants, vraiment pas à la hauteur de leur boulot et des défis qu'ils sont censés redresser. et qu’ils ne voient même pas
Pour Thomas (bien loin d'être Saint, in illo tempore), ''gouverner, c'est administrer la Cité d'après la vertu de Justice, en vue du bien commun''... notion qui ne saurait en aucun cas se confondre  avec les concepts, aussi vagues que flous, ''d'intérêt général'' ou –pire encore, puisque impossible-- de leur ''vivre ensemble''. Mais notre personnel politique ne sait plus compter au delà de ''49.3'', et notre Assemblée Nationale se déshonore dans de fausses querelles et de stupides invectives (car même leurs fausses indignations sonnent ''toc' … et le sont : on les sent fabriquées de toutes pièces, sans aucun fondement, mais exclusivement destinées à faire du ou le ''buzz'' (en français : ''des bruits incongrus'' ?). Nous vivons un temps où les ministres sont... les nuls que nous subissons, où les députés sont... les ravageurs de l'ex-LREM ou de la ''NUPES'', et où la vie intellectuelle... tourne autour de la sottise vulgaire d'un Cyril Hannouna, ce faux faiseur de faux rois d'une heure ! Dans des clashes d'une bêtise crasse, l'arène politique et la politique elle-même ne sont plus que des lieux où se déchaînent de fausses passions sordides, inutiles, et tout... sauf dignes du plus petit intérêt !
La dérive des idées-du-jour vers tout ce qui est ''franchement mauvais'' pour l'Homme, et celle de la construction européenne (un beau rêve assassiné par des idéologues sans foi ni loi) ont accéléré l'étiolement du principe d'identité nationale, voire, plus grave encore, de la Nation proprement dite, et ont invisiblement conduit trois générations de politiciens à ne plus faire reposer l'ordre dans la Cité que sur des ''droits de l'Homme'' (mal définis !)–ratatinés en ''droits humains'' sous la pression de harpies haineuses--, en supprimant l'ordre établi, les principes qui le régissent et tous les ''corps intermédiaires'' (famille, école, église, syndicats, partis, etc).   Or s'il n'y a plus d'intermédiaire entre l'individu et l'universel, l'idée-même que puisse exister un ''ordre collectif commun'' disparaît... et il ne reste, sur la table de négociations devenues impossibles, que des litanies de revendications venant le plus souvent de minorités qui se sentent exacerbées et qui se croient exaspérées.... ou qui veulent s'offrir la plus grande part possible du gâteau.
L'excellent Pierre Manent, dans son propos inaugural du ''Centre Thomas d'Aquin'' cité plus haut, a posé la question : ''L'ordre politique est-il rationnel ?'', et a répondu : ''Notre monde est devenu un monde de monades'' (NDLR : du grec μονoς, monos = un, l'unité. En métaphysique, on définit une ‘’monade’’ soit comme une Unité suprême – exemple : l’Un, Dieu, le Principe des nombres--, soit comme un élément spirituel minimal –exemple : le signe, le logo, le schéma. Pour simplifier, traduisons-le, ici, par ''Unité'')... ''un monde d'Unités, donc, où chaque Unité a le droit absolu de voir son désir satisfait ou son rêve réalisé... où chacun a le droit d'être un enfant infiniment capricieux''. Je ne sais pas si cette analyse dresse devant vous, comme elle le fait devant moi, le mur en construction de notre échec actuel et le spectacle de notre longue descente vers l'enfer, chacun croyant qu'il a raison contre la raison, l'intelligence, la réflexion… et l'Histoire de l'humanité. N'oublions pas Ezéchiel : ''Malheur à la Cité dont le roi est un enfant ''… un ''roi'' qui condamne, sans pardon possible, tous ceux qui, soignants ou pas, ne se plient pas à ses caprices puérils, pourtant scientifiquement et autrement démontrés injustifiables. Le prophète aurait été bienvenu d’ajouter un membre utile à sa phrase : ''Et malheur, aussi, au pays dont tous les sujets se comportent comme des enfants...''.
Il se confirme chaque jour (et plusieurs fois par jour, hélas!) que notre monde a perdu la raison. La seule existence d'un ''Centre Thomas d'Aquin'', le ''Docteur Commun'' devenu Saint entre temps, sera-t-elle suffisante pour redresser tout ce qui a glissé ''de traviole'' ? En période de disettes (et Dieu sait s'il nous en manque, des choses, dans l'enchevêtrement ''indé-chosable'' des crises que nous subissons !), ''mieux vaut quelque chose que rien...''. Quant à nous... tout ce que nous pouvons faire, à titre individuel, c'est l'espérer, et prier, pour ceux qui savent encore : en ce temps d'Avent plus encore que d'habitude, ça ne peut pas faire de mal !
H-Cl.
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jloisse · 1 year
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« S'il est bien clair que le commerce dresse l'homme contre l'homme, il est aussi clair que ce qui dresse le plus immanquablement l'homme contre l'homme, c'est cette forme pure du commerce qu'est le commerce de l'argent. »
Saint Thomas d'Aquin
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lesliensdesarah · 1 year
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✧˚₊‧୭⁺‿︵ 𝐒𝐚𝐢𝐧𝐭 𝐓𝐡𝐨𝐦𝐚𝐬 𝐝’𝐀𝐪𝐮𝐢𝐧 ‿︵⁺୭‧₊˚✧
Entre 1266 et 1273, Saint Thomas d'Aquin rédigeait 𝑳𝒂 𝑺𝒐𝒎𝒎𝒆 𝑻𝒉𝒆́𝒐𝒍𝒐𝒈𝒊𝒒𝒖𝒆 un traité philosophique et théologique constitué (mais inachevé) de 3 parties.
Il propose une quantité incroyable de questions, regroupées par thèmes et répondant par, selon lui, les connaissances utiles au salut.
3 fois le volume de la #Bible, faisant de cet ouvrage un trésor de richesse intellectuelle, une collection de dissertations abordant tous les sujets que l'on puisse imaginer, traités avec précision et profondeur.
Dans l'un d'eux, il écrivait ceci :
“Il est plus beau d’éclairer que de briller seulement.”
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Photo : Eglise de Doullens (80 Somme - France)
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fleurdusoir · 2 years
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La grâce suppose la nature et la porte à son accomplissement  [...]
Saint Thomas d’Aquin
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terrecorse · 24 days
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Lettre de Ange Rovere à Monseigneur Bustillo
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Éminence
Je me permets, une nouvelle fois, de venir vers vous après avoir lu et relu l'entretien que vous avez accordé au journal « Le Pélerin ».
Que l'homme Bustillo soit favorable à l'autonomie de la Corse est son droit le plus absolu. Même si, pour cela, il met en avant des raisons que la simple raison ne saurait, du moins à mes yeux, admettre : les cas du Pays Basque espagnol et de la Vénétie. C'est oublier deux choses : l'histoire de l'Espagne et de l'Italie n'est pas celle de la France, le raisonnement par analogie n'est pas un raisonnement par la preuve. Mais laissons cette controverse.
L'évêque justifie sa position en évoquant « le principe de subsidiarité porté par l'Église ». Cet argument fait problème. Il est au cœur, vous le savez mieux que moi, de la théologie de saint Thomas d'Aquin ; il sert de fondement à « Rerum novarum » qui en 1891 définit ce qu'on appelle la « Doctrine sociale de l'Église », prolongée par Jean-Paul II dans « Centesimus annus » et confortée par le Cardinal Ratzinger du temps où il était Préfet pour la Doctrine de Foi » avant d'occuper le trône de Saint Pierre. Il ne vous a pas échappé que ce principe figure en toutes lettres dans le traité de Maastricht puis dans celui d’Amsterdam. Il ne s'agit pas ici d'analogies mais d'inspirations partagées. Si l'Église affirme qu'existe un « ordre moral transcendant et universel qui ne peut que s'édifier que sur Dieu » s'imposant à tous les chrétiens, les traités, et vous l'assumez implicitement, ont transposés ce principe en droit européen : la subsidiarité européenne s'impose aux États membres mais a également pour vocation de réguler les relations des « collectivités de base » (communes, régions etc…) avec l'État dont elles sont constitutives. Elle substitue une méthode de répartition des tâches aux valeurs dont est porteur l'État-Nation construit par les citoyens dans leurs luttes multiformes pendant des décennies. Pour la France, ces « valeurs » s'appellent la « solidarité nationale » caricaturée sous le vocable « Jacobinisme ». Savez-vous, Éminence, que le budget de l'État inscrit dans ses dépenses 500 millions d'euros pour que le prix du KW/H soit le même à Dunkerque et à Bonifacio ? Vous préconisez que la CDC ait la maîtrise de la santé ; Dieu nous en préserve alors qu'elle n'arrive pas à régler le problème des déchets.
Vous êtes, Éminence, évêque de l'Église de Corse, communauté de chrétiens aux options politiques diverses, incluant, je suis bien placé pour le savoir, les communistes qui, pour la plupart, se marient à l'église, baptisent leurs enfants et tiennent à un enterrement religieux. Par-delà leurs choix citoyens, tous les catholiques de cette île doivent être, par leur pasteur, respectés dans la manière dont ils vivent leur foi. L'évêque se doit de rassembler « le Peuple de Dieu » devoir d'autant plus impérieux que vous soulignez « l'unité culturelle...autour de la tradition catholique » qui est effectivement une des composantes de notre culture, comme d'ailleurs la laïcité ou notre attachement aux services publics, vecteurs essentiels de la démocratie française.
La question de l'autonomie fait d'autant plus débat que ses contours ne sont pas définis. Une partie de la droite s'interroge par crainte de voir disparaître le socle républicain sur lequel s'est construite la nation française ; une grande partie de la gauche aussi, et pour les mêmes raisons. Les diverses composantes du nationalisme sont au bord de l'affrontement. La mission de l'évêque est-elle d'endosser l'habit du militant politique en faveur d'un camp ? À un moment dramatique de notre histoire récente Mgr Thomas a su prendre la hauteur nécessaire et gagner le cœur de tous les insulaires par ses engagements pour la paix. Dans les années 1990, la voix de l'Église a accompagné et cautionné le « débat identitaire » qui s'est finalement soldé par ce que les nationalistes qualifient « d'années de plomb : plus de 40 assassinats par ans entre clans rivaux. Le Ciel fasse que l'avenir ne nous réserve pas ce bégaiement de l'histoire tragique et sanglant. À la place qui est la votre vous pouvez contribuer à l'éviter. Vous évoquez, Éminence, la Vierge Marie. Le « Dio salvi Regina » qui appelle à l'unité des chrétiens autour de la mère du Christ, Mère de Miséricorde, n'est pas celui que vous entonnez tous les dimanches. Je vous ai fait parvenir le texte original qui n'a rien à voir avec l'hymne qui clôture chaque messe et transformée, pour des raisons politiques, en chant xénophobe et d'exclusion. Il serait temps que l'Église de Corse revienne à ses fondamentaux : la paix dans les cœurs dans le respect de l'autre.
Pour finir, permettez-moi de vous poser une question. Vous êtes cardinal, membre de la Curie, donc du gouvernement du Vatican État souverain. Vous intervenez de plus en plus dans le débat politique d'un autre État souverain : ainsi votre préconisation d'une forme de « laïcité corse » dans le sillage de Monsieur Talamoni. S'il s'agit d'une démarche personnelle, elle outrepasse le rôle que vous confère la loi de 1905 ; s'il s'agit d'une initiative cautionnée par le Vatican elle est en violation du droit international et suscite en moi nombre de questions.
Veuillez pardonner Éminence la longueur de cette lettre. Mais j'ai la faiblesse de croire que les questions posées méritaient de l'être. Au moins pour deux raisons : une vie consacrée à l'engagement citoyen mais aussi à l'histoire de cette île, notamment de son Église.
Croyez, Éminence, en ma parfaite considération.
Ange Rovere
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philoursmars · 1 year
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Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 55000 photos (nouveau compte approximatif. On se rapproche du présent !).
2015. Marseille en été. Dans la rue Dieudé, l’ancienne école Saint-Thomas d’Aquin. C’est là qu’eut lieu une formidable expo d’art contemporain, “Aux Tableaux !”
Lapin Thur : “Conseil de Discipliine”
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paroissedemartigues · 1 month
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jeanchrisosme · 1 year
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Les choses que nous aimons nous disent qui nous sommes.
Saint Thomas d'Aquin
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atypikal-life · 3 months
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saint Thomas d'Aquin
#voyage #ocean #life #lifestyle #news #music #playlist #youtube #bulot #Joconde #musée #escrologie #Villefranche #Paris #France
Code couleur : gris, noir et blancCafé : pas avant le début d’après-midi en raison d’une grasse matinée excessivement longue.Nettoyage de mon bloc-notes numérique, lecture, préparation de nouveaux articles, bilan des acquisitions du mois, accrochage de quelques-unes d’entre elles, procrastination et un constat…Bien que cela ne constitue pas une liste très longue, l’après-midi s’est trouvé occupé…
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