Tumgik
#rêve parfait
oneesanmarket · 11 months
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DYNAMIC CHORD: Kuroya Yuu -  Animate Girls Festival Metal Charm
Size: 5 cm
Price:5€/10 USD
(FREE STANDARD SHIPPING)
Units Available: 2
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ficuscircus · 1 year
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HPI rewatch: 207, "55 kilos"
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mika-white-to-blue · 18 days
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Et si le "rêve" devenait réalité ? Je répond à une offre d'emploi d'agent de nettoyage urbain, dans une commune voisine.
Mission : assurer la propreté des sols et l'entretien des rues, trottoirs, places, parkings, caniveaux, écoles et autres lieux publics.
Matériel : poussettes de nettoyage (équipées pelle et balai - pince à papiers et consommables), aspirateur, soufflette, débroussailleuse, outils de désherbage, nettoyeur haute pression.
Equipement : chaussures de sécurité, veste et pantalon haute visibilité, chasuble haute visibilité, gants, masque anti poussières, casque anti bruits, lunettes.
Profil recherché : appliquer parfaitement les consignes, travaux réalisés avec une qualité de finition irréprochable, grande disponibilité (travail jours fériés et week-end).
Réponse dans quelques semaines...
What if the “dream” came true? I responded to a job offer for an urban cleaning agent, in a neighboring town.
Mission: ensure the cleanliness of soils and the maintenance of streets, sidewalks, squares, parking lots, gutters, schools and other public places.
Equipment: cleaning strollers (equipped with shovel and broom - paper clippers and consumables), vacuum cleaner, blow gun, brush cutter, weeding tools, high pressure cleaner.
Equipment: safety shoes, high visibility jacket and pants, high visibility bib, gloves, dust mask, noise canceling headphones, glasses.
Profile sought: Apply instructions perfectly, work carried out with impeccable quality of finish, high availability (working public holidays and weekends).
Response in a few weeks...
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dykeboi · 6 months
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Blaise Drummind, b. Liverpool, 1967. Gewaltige Raume Unerschlossenen Landes [Immensité des territoires inexplorés], 2007. Huile et collage sur toile
Blaise Drummond peint un symbole réalisé par le Corbusier 'Unité d'habitation de Marseille, dans un espace vierge et blanc avec au sol des tâches de couleurs. Une phrase en anglais rythme la façade: [Parfois je fais ce rêve où nous découvrons des pièces supplémentaires dans notre maison, comme une aile secrète. Elles sont presque d'élabrées mais ont un grand potentiel pour un projet d'extension et de restauration Un nuage beige, fait d'un morceau de couverture, surplombe le bâtiment et semble perturber la quiétude du paysage. Cette ceuvre est l'illustration parfaite des préoccupations de cet artiste anglais installé en Irlande, sur la rupture entre habitat et nature, l'homme et son milieu. En reprenant les emblèmes iconiques de l'architecture moderne, Drummond traite de la contradiction entre l'utopie moderniste, son industrialisation et les nouvelles conditions de vie assujerties.
Blaise Drummond paints a symbol made by Le Corbusier, "Habitation Unit of Marseille", in a blank white space with colored spots on the ground. A sentence in English punctuates the the facade: "Sometimes I have a dream where we discover these extra rooms in our house, like a secret wing. They are pretty dilapidated but have good potential for a sort of restoration extension project." A beige cloud, made from a piece of blanket, hangs over the building and seems to disturb the peacefulness of the scene. This work is a perfect illustration of the concerns of the English artist based in Ireland, of the rupture between habitat and nature, humankind and their surroundings. By reclaiming the iconic emblems of modern architecture, Drummond addresses the contradiction between modernist utopia, its industrialisation, and the new conditions of life subject to it.
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jeanchrisosme · 3 months
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Les personnes sensibles ont toujours le cœur écorché, L'âme à l'envers, Les yeux brillants, une larme prête à couler, Un sourire accroché aux lèvres prêt à exploser. Elles vivent sur la balance des joies et des douleurs de la vie. Elles ne sont pas parfaites, au contraire. Parfois elles sont même autodestructrices, parce qu'elles respirent de la poitrine jamais des poumons. Elles vivent à mille minutes de l'heure. Les personnes sensibles savent sourire pour peu, pleurer pour un rien. S'arrêter attristées devant un arc-en-ciel Sourire à un chat Regarder vers la mer Savourer l'infini de paix et de tourment. Elles savent transformer le sable en poudre d'étoiles Allumer un rêve dans le noir. Les personnes sensibles sont là assises à l'écart, En attendant le bon moment pour vous donner cette étreinte que vous attendiez. Elles savent voir au-delà de l'apparence Au-delà d'un sourire, au-delà d'une larme. En plus de la colère, en plus de la douleur Parce qu’elles vivent de cœur.
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lisaalmeida · 4 days
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Bizarre la vie…
Tout le monde cherche à trouver le trésor caché, l’amour parfait, l’ami idéal.
Tout le monde est à la recherche de quelque chose, n’importe quoi, tant que ça ne le fait pas souffrir.
Et dans cette course à la recherche du « meilleur » on perd toute la notion du réel qui nous entoure. Nous perdons des personnes riches de défauts pour une perfection inexistante, nous perdons des occasions vraies, au détriment de rêves ambigus.
Alors qu’à côté de nous marchent tous les jours ces « Anges »…
Ils n’ont pas d’ailes, ni de voiles brillantes, ils ont le sourire dans les yeux et la simplicité dans les gestes.
Ils ne font pas de miracles, ils sont le miracle.
Parce qu’en ces temps arides de sentiments,
trouver celui qui vous fait sourire, vous caresse, prononce un simple mot gentil, peut s’appeler "Ange".
@ Isabelle Galle
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VIRTUELLEMENT SENSIBLE...
Le virtuel peut ronger de l’intérieur. Il peut tuer à petit feu...
Sur la toile, on aime, on se « like » mutuellement, on se découvre... On s'aime et on se tue petit à petit... On exprime nos rêves, nos envies, nos angoisses, nos peurs... Mais isolés dans notre sphère réelle, on se retrouve seul !
Pas de réconfort, pas de regard tendre, ni de caresses. Il n'y a que les mots et leurs immenses pouvoirs. Les mots et les maux...
Face à nous mêmes, il n'y a que notre propre reflet dans ce miroir. Usés, fatigués par tant d'épreuves. Je suis las de tant de combats, les cernes se dessinent sur mon visage.
'' Je voudrais, j'aurais aimé '', ce sont des mots que nous écrivons tous. Sur cette toile, nous vidons ce que nous avons sur le cœur. Mais en déversant sur le web nos surplus de sentiments, nous oublions que nous éclaboussons les autres de nos ondes positives, négatives, de notre énergie.
Ces autres, ces « amis » si virtuels qu'ils soient que l'on voudrait rencontrer ou réconforter... Ils n'existent pas dans nos vies, mais ont une place dans nos cœurs... Ils sont là, on ne les réconforte pas comme on le voudrait, mais par la magie de nos échanges, on arrive un petit peu à améliorer leurs quotidiens !
Le désir d'établir des contacts est ancré dans la nature humaine. L'attirance est le fruit de notre chimie interne. Nous produisons des hormones qui créent l'intimité. Nous créons des ponts neuronaux qui relient, d'un cerveau à l'autre, d'un cœur à l'autre. Une fois formés, ces liens ne peuvent être rompus.
Nos cerveaux, nos systèmes nerveux tout entier sont conçus pour que nous tissions des liens profonds et durables... Briser ces connexions peut avoir de terribles conséquences...
Chaque jour, par nos partages, on arrive à dire à l'autre, qu'il soit proche ou qu'il soit loin : « Je suis là ! Et je pense à toi ! » « Ne lâche pas ! Tiens bon, courage, Je t'aime ! »
Mais le virtuel, possède également le pouvoir d'éloigner les cœurs... Un mot de plus, ou peut-être un mot de trop et c'est toute une phrase qui peut être lue dans un autre sens que celui que le cœur voulait exprimer, quiproquos, amalgames...
Tout s'enchaîne, tout doit aller vite, de plus en plus vite, nous ne prenons même plus le temps de vivre, à l'image de cette société aux profonds abîmes, aux valeurs oubliées. Et qui nous a conditionnés à ne plus penser par nous mêmes, qui nous a enseigné à privilégier le fast food émotionnel, l'avoir ayant pris le pas sur l'être, la surconsommation n'ayant d'égale que le paraître...
Alors le cœur triste et gros, le lien même par l'intangibilité du virtuel se brise. On clique sur le fatidique « supprimer » ! Mais même si virtuel qu'il soit, un lien du cœur reste égale à lui-même.
Le cœur n'arrive pas à faire la différence entre le réel et ce qu'il n'est pas. C'est l'aspect basique de l'humain...
Parfois, je sais que je suis perchée haut, que je peux sembler si solitaire ou provenir d'une autre planète. Je suis comme je suis, pragmatique, entière, authentique, unique et sincère.
Quand j'écris, je n'ai pas cette censure qui provient très souvent de la peur de ce que peuvent penser les autres. Mes mots sont « brut de cœur », sans artifice... Sans arrière pensée.
Mes mots ne sont que des mots qui proviennent du fond du cœur, avec une authenticité et une entièreté sans égales. Je sais que nous sommes loin, que peut-être, nous ne nous connaîtrons jamais.
Cependant si tu lis ces quelques mots amis Tumblr..MeWe..Facebook ou ami « liker »... Sache que je pense à toi... Que j'essaye à chaque instant d'avoir le cœur comme une jolie fleur, de m'ouvrir à ce monde si froid et à la fois si envoûtant mais il y a des moments qui me rappellent que je ne suis qu'une femme faite de chair et de sang, aussi imparfaite soit-elle.
Je ne suis pas parfaite, je n'aspire pas à le devenir, loin de là... Et heureusement !!!
Le virtuel ne dispense pas d'être vrai et authentique. Du virtuel... Au réel, Quand les mots touchent, au delà des touches...  
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perduedansmatete · 9 months
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je suis toujours un peu en proie à une tension qui me partage entre l'espoir de tout abandonner, de ne plus rien donner et de ne plus me rabaisser à essayer d'être parfaite serviable gentille et dévouée jusqu'à la moelle, et la volonté de continuer à donner inconditionnellement le meilleur de moi-même quitte à me perdre, à me faire du mal et à m'oublier voire à le regretter tant mes efforts inconsidérés sont quelquefois loin d'être mérités, avec le recul. je crois qu'au fond de moi je rêve de tout arrêter et de laisser les choses s'en aller au lieu de courir après de la merde mais que dans le même temps j'idéalise un peu trop l'image d'une moi qui n'aurait rien à se reprocher, qui pourrait dire j'ai tout donné, mon cœur est pur, je suis allée jusqu'au bout sans me tâcher de quelque noirceur possible. mais c'est éreintant de toujours se mettre à la place des autres pour chercher à comprendre et d'y arriver si facilement, de cacher le plus loin possible ce que je ressens comme si ça ne valait rien, de pardonner et de consoler en ayant le sentiment que c'est souvent à sens unique. c'est fatigant cette impression d'être chargée d'une mission que je m'impose à moi-même. je me souviens que quand j'étais petite je croyais que tout le monde me détestait, que je ne suffisais pas et le problème c'est que j'ai grandi en voulant prouver que j'existais que j'étais aussi intéressante et en voulant gagner une place dans le cœur des gens que je n'avais pas l'impression d'avoir donc j'ai pris l'habitude de toujours vouloir faire trop d'efforts pour qu'on m'aime quand j'aime sauf que c'est inutile ça marche pas comme ça mais encore aujourd'hui quand on ne m'aime pas comme je le voudrais je prends ça comme un échec j'ai l'impression que c'est de ma faute, que je ne suis pas suffisante et ça me rend triste comme la moi de cinq ans. quand j'y pense c'est un peu comme si j'acceptais d'être dans la servitude et le don de moi car je sais que je n'ai rien d'autre à offrir parce que j'ai toujours autant de mal à voir ma plus value à me dire que j'ai autre chose à apporter que ça, je vois pas mon intérêt et je ne comprends réellement pas ce qui fait qu'on aime passer du temps avec moi vu que je n'aime déjà pas passer du temps avec moi.
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shakeskp · 2 months
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Encore un bout de fic
Parce que je viens de le corriger et qu'il y a un truc thématique avec le bout que j'ai mis hier, un extrait du monstre nom de code "It was only a kiss", et plus précisément du chapitre 3 qui fait plus de 7000 mots - pas vraiment spoiler (c'est la conséquence directe et évidente de la toute première scène de la fic), et lisible sans contexte.
Content warning: la scène se passe à l'infirmerie du Temple, avec description de quelqu'un qui sort du coma et n'est pas au meilleur de sa forme (mais rien de gore)
*
Étant donné tout le temps qu'Obi-Wan allait passer dans la cuve à bacta, on l'avait rasé pour des raisons d'hygiène avant de l'y plonger. Cet acte avait semblé à la fois d’une violence épouvantable et d'une parfaite logique. Mais en suspension dans le bacta comme dans la Force, Obi-Wan n'avait pas eu l'air tout à fait lui-même, n'avait même pas paru là. Alors, quelque part, ça avait été supportable. Ses cheveux et sa barbe avaient repoussé lentement, informes, mais encore une fois, ça n’avait pas été tout à fait lui.
Maintenant qu’il était réveillé, assis dans un lit, c’était différent.
On l'avait rasé à nouveau. Ses yeux bleu-vert semblaient immenses, presque lui manger le visage. Ses joues creusées par l'amaigrissement inévitable rehaussaient encore ses pommettes déjà hautes et lui donnaient une apparence fragile qu'Anakin n'avait jamais associée à Obi-Wan. Il ne restait de ses cheveux que quelques millimètres de rousseur, et rien de sa barbe.
Pendant un instant déroutant, Anakin eut l'impression d'être revenu douze ans en arrière.
— Sois sincère, dit Obi-Wan d'une voix éraillée, un sourire aux lèvres. Est-ce que je fais toujours trop jeune ?
— Je suis à deux doigts de te proposer de devenir mon padawan, répondit-il, la voix tout aussi rauque.
Obi-Wan voulut de toute évidence rire, mais une grimace de douleur y coupa court. Anakin s'avança comme dans un rêve et, arrivé au lit, tomba à genoux.
— Anakin.
— Je suis désolé, souffla-t-il, la gorge serrée. Je suis tellement désolé.
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 158
La Dominique fin de séjour et retour
Le séjour touche à sa fin, j'ai acquis une jolie couleur brun foncé tout comme Marc. Sauf sur les fesses et le sexe où j'ai réussi (maillot aidant) à garder un bandeau horizontal blanc d'environ 12cm de hauteur. Dans la glace, j'ai pu voir l'effet sur mes fesses. Très sexe ! le haut des fesses et le début de la raie sont bronzé alors qu'en dessous je suis resté blanc.
Deux jours avant notre départ, notre approvisionneur en chairs fraîches est arrivé avec un jeune homme. Teinte café au lait, physique de rêve, 1,80m pour 65 Kg environ musclé type natation avec des pecs bien marqués et de beaux abdos, avec une belle tête aux lèvres épaisses et rouge vif. Je n'ai pu m'empêcher de bander et Marc aussi. Vu notre accoutrement, il était difficile de cacher notre intérêt.
Le mec nous l'a présenté et nous a dit que c'était le bonus de notre séjour (bonus réservé aux bons clients). Nous serions ses premiers clients même si nous ne serions pas ses premiers mecs ! (je ne sais pas si c'était vrai, mais cela en avait l'illusion).
Après un bref moment de jalousie nos deux jeunes Toy-boy ont accepté le petit nouveau allant même lui confier dans un espagnol rapide nos caractéristiques et nos envies particulières. (Je ne parle pas cette langue mais Marc la maîtrise parfaitement ce qu'il n'ont jamais su).
J'ai laissé Marc en profiter en premier. Si nous étions ses premiers clients, il est a noter qu'il en connaissait un bout sur le sexe masculin. Dès sa première pipe, il a avalé sans sourcilier les 22cm de Marc. Avide de faire connaissance avec ses amygdales, je suis venu m'asseoir au coté de Marc et notre jeune recrue a alterné nos queues. Marc bien excité par la situation a demandé à un des Toys de lui préparer le cul. Les gémissements de plaisir qui coulait le long de nos bites dès que nous lui libérions temporairement la gorge nous ont prouvé qu'il prenait du plaisir lui aussi.
Je laissais à Marc la primeur de son trou. Kpoté, il l'a pris en levrette alors que, ses bras en appuis sur mes cuisses il continuait à me sucer.
Assis dans le canapé sur la terrasse, je me faisais piper et j'avais sous mes yeux la vue d'un superbe dos large, taille et hanches étroites enserrées par les mains fortes de Marc puis les rondeurs de ses fesses écartées par la bite de mon homme qui coulissait dedans pour leur plus grand plaisir à tous les deux.
Très très excitant ! j'ai vite mis mes mains derrières sa tête et j'ai donné le rythme de la pipe. Sans montrer de faiblesse, il a vaillamment pris mes 20cm x5 complets à chaque pénétration de sa gorge. J'ai adoré vois ses grosses lèvres rouge vif entourer ma bite et la faire disparaître entièrement. Quand Marc s'est mis à accélérer le rythme, j'ai su qu'il n'allait pas tarder à remplir sa kpote. Notre jeune homme l'a senti aussi et s'est déhanché pour l'achever. Sans cesser de me sucer, il l'a fait jouir avec une maestria digne d'un pro du sexe.
Moi je l'ai vite suivi et j'ai juste eu le temps de sortir de sa bouche avant de lui en mettre plein le visage et le dos.
Nous nous sommes tous les trois douchés avec l'aide de nos deux Toys-boys. Comme ces derniers bandaient à se faire mal, Marc leur a dit de faire un 69 et nous les avons matés enfoncés dans les grands fauteuils en osier de la terrasse, le jeunot sur les genoux de Marc.
Sans délaisser nos Toys, c'est quand même avec notre " bonus " que nous avons le plus baisé jusqu'au départ. Un " Jimmy black " ça ne se laisse pas de coté !
Nous avons revu notre " organisateur " le matin du départ. Ils nous a demandé notre avis concernant le service. Marc et moi avons été d'accord. Parfait ! les mecs proposés très bien, bonne mentalité (pute mais pas trop), physiques parfaits et motivation de tous les instants, nous nous sommes répandus en remarques positives. Nous avons passés sous silence les enveloppes que nous avons remis à chacun , cela ne le regardait pas. Pour finir nous lui avons dit que si des amis venait à passer un séjour en république dominicaine, nous leur indiquerions ses coordonnées.
Retour en France :
Nouvel avion, nouvel équipage. Je passe la moitié du voyage à mater et utiliser les services de notre steward. Jouant de ma langue sur mes lèvres et de poses aguichantes, j'en arrive à le faire bander ferme sous son pantalon de tergal. J'arrive même à passer ma main sur la bosse que fait son sexe lors d'un réapprovisionnement en champagne (1ère classe oblige). Il s'isole aux toilettes et revient 5mn plus tard le devant du pantalon plat ! Marc à qui rien n'a échappé, me gronde et me dit que j'aurais du l'accompagner, la nuit aidant, la plus part des passager dormaient, ça ne se serait pas vu.
Ni une ni deux, je rappelle notre serveur et quand il approche le fait choir d'un pied opportunément sorti dans l'allée. Je le retiens et le tire vers moi pour lui rouler un patin. Surpris il se laisse faire. Je lui glisse à l'oreille que je veux le voir dans 10mn aux toilettes puis le relâche.
J'attends et à l'heure dite, il se glisse aux toilettes sans verrouiller. Je vérifie que tout le monde dors (hormis Marc) et discrètement le rejoint.
Il est encore habillé quand je rentre. Nous nous roulons une pelle d'enfer. J'aime sa langue nerveuse qui se bat avec la mienne. Ma main vérifie qu'il bande à nouveau. C'est le cas. Sa main fait de même sur moi et constate que je suis dans le même état. Je fais glisser son pantalon sur ses chevilles et le tourne vers la carlingue. Il trébuche et prend appuis sur le fuselage de ses deux mains. J'en profite pour baisser mes jeans et me kpoter dans le mouvement. Une noisette de gel sur le gland et je le pousse entre des fesses étroites. Il se cambre pour faciliter le positionnement. Je sens sa rosette au bout de mon gland et donne un petit coup de rein. Ça rentre comme dans du beure ! je me penche sur son dos et tout bas le traite de salope. Il tourne la tête, me roule un patin puis me demande si j'aime ça. Je le lui prouve aussitôt par de grand coups de reins qui le fendent en deux. Il hâlette tout bas essayant de faire le moins de bruit possible. Je le laboure consciencieusement et il apprécie la chose. De lui même il bascule le bassin et recule pour venir au devant de ma queue. La place est compté et la seule autre position que nous pouvons prendre, c'est moi assis sur la cuvette des WC et lui assis sur ma bite. Mais j'aime moins car je ne maîtrise pas la sodomie. Nous reprenons alors la posture première pour nous terminer. Mes mains sur ses hanches, je le fait coulisser sur ma queue à la vitesse nécessaire à mon " épanouissement ". Je ne tarde pas et explose dan son cul comme il se vide dans les WC. Petite toilette dans le mini lavabo et je sors le premier. Je tombe nez à nez avec l'hôtesse de l'air de notre secteur qui me demande si son collègue est bientôt libre car ils ne vont pas tarder à servir un petit déjeuner. Je l'assure, avec un grand sourire, que maintenant c'est une histoire de secondes. Il sort aussitôt. Légère bousculade de nos trois corps dans cet espace réduit. J'entends un " c'était bon ? " de l'hôtesse et un " très " de l'enculé suivit d'un " t'as de la chance " légèrement jaloux, avant qu'ils ne rejoignent leur zone de préparation.
Je reprend ma place. Marc lève des yeux interrogateurs vers moi. Je lui dis que c'était sympa et qu'il avait un super cul étroit comme j'aime en enfiler.
La fin de notre vol s'est fait en 1ère classe +, due à la complicité " client / fournisseur " que nous avions développée plus tôt.
A Roissy, au sortir de l'avion, j'ai félicité le personnel pour la qualité de leur service et avec un clin d'oeil au steward que j'avais eu sur ma bite, je les ai remercié pour l'expérience que j'avais connue, rires contenus de l'hôtesse qui savait la chose. Au sortir de la douane, Samir et Jimmy nous attendaient. Marc demande a Samir si tout c'était bien passé, réponse positive. Jimmy quand à lui m'a sauté dans les bras, un vrai gamin ! Je laisse le chariot à bagage à Samir et nous le suivons jusqu'à la voiture. Jimmy me pousse à l'arrière et prend place à mes cotés. Marc s'assoit à l'avant et laisse le volant à Samir. Nous ne sommes pas sortis de l'aéroport que Jimmy commence à me dire tout ce qui s'est passé pour lui, me faisant un rapport détaillé des 15 jours. Il m'a rassuré quand au fait qu'aller seul aux rendez vous n'avait pas entrainé de comportements différents / violents de la part de nos clients. Le fait d'être seul a juste entrainé un allongement des séances de pas loin d'1/2 heure, rien de bien méchant. Samir reprenant sur le sujet m'a dit qu'heureusement que j'avais prévenu les clients d'Ed que c'était lui (Samir) qui l'accompagnait, sinon certains lui auraient fait des difficultés. Quand je pense que cela ne les gène pas de se faire un ptit beur, ça m'énerve un peu. Il m'a dit aussi qu'au retour des séances, à la demande d'Ed, il lui avait travaillé le cul au donjon pour le préparer au gang bang. Comme je lui demandais son avis sur son état d'avancement, il me dit qu'il était aussi prêt que Jimmy, même si il n'aura jamais la spontanéité physique et musculaire de ce dernier. Jimmy se trémousse à mes cotés, tout fier du compliment. Sa main posée sur ma cuisse remonte et vient me masser le paquet. Je bande direct . Nous sommes sur l'autoroute, je le laisse défaire ma ceinture et déboutonner mes jeans. Ma bite sort comme un diablotin de sa boite et il se penche vivement pour la couvrir de sa bouche. Marc le gronde de sa place avant. Cela ne le freine pas et il redouble d'ardeur à me sucer. Je retrouve avec plaisir les sensations que me procure sa gorge profonde et la grande efficacité du balai de sa langue sur mon gland. Il me fait monter en pression puis cesse brutalement pour éviter que je jute. Il me fait le coup trois fois et là je ne peux plus me retenir et j'envoie la sauce. Dans un souci de propreté (c'est l'argument que Jimmy me sortira quelques minutes plus tard), il avale toute ma production, rattrapant d'un doigt ma semence qui lui coule au coin des lèvres. Emporté par mon plaisir, je n'ai pas cherché à sortir de sa bouche, je crois que j'ai même appuyé sur sa tête pour m'enfoncer encore plus ! heureusement que je suis clean ! Il n'empêche que je le sermonne, une fois qu'il m'ait rendu le gland nickel, sur le danger de faire cela. Sa réponse comme quoi je suis le seul avec lequel il se lâche un peu me rassure. Je ne veux pas que mes " protégés " prennent des risques avec leurs santés.
Arrivée à la maison :
Ammed nous attendait dans l'entrée pour nous débarrasser. Alors qu'il monte nos valises, je fais la remarque qu'il avait l'air d'avoir pas mal pris question muscle (très visible puisqu'en shorty cuir).
Samir me confirme qu'Ammed souhaite arriver à un physique semblable à celui de Ric. Marc confirme que s'il continu un peu ce sera bientôt fait. Je demande à Samir si cela lui convient, réponse : une gym-queen, ça le branche bien !
Je passe un coup de phone à Ed. Je n'arrive à m'en défaire qu'au bout de 3 bons 1/4 d'heure. Il m'a tout raconté, chaque rendez vous et sa suite entre les mains de Samir en vue du gang bang avec Jimmy. Il me dit que par contre j'avais du taf à rattraper avec Théo son frère qui n'arrêtais pas de le faire bander en se promenant à poil dans leur partie de maison sans pour cela qu'il lui soulage les couilles en le suçant ou en se laissant enculer. Et de le voir se branler alors qu'il le regarde, ça commence à l'énerver passablement !
Je lui dis que je passerais moi même l'emmener à son prochain rendez vous, cela le soulagera.
JARDINIER
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oneesanmarket · 2 years
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DYNAMIC CHORD: Sakura Hinoyama - AGF 2014 Special Can Badge
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iranondeaira · 6 months
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Il faut parfois tomber de nombreuses fois amoureux avant de pouvoir réellement aimer.
Les premières fois, on rêve.
Ensuite on idéalise.
Parfois encore, on force.
Quelquefois, on attend...
Et puis un jour, on arrête de chercher et après un bon face à face avec soi-même, arrive cet être imparfait mais parfait qui ouvre notre coeur sans même avoir la clé.
Et qu'on ne peut qu'aimer.
Parce qu'il est lui, parce qu'il est vrai.
Et parce que le face à face avec soi-même qui a eu lieu permet d'en faire de même.
Alors peut naître la réciprocité...
L' Amour se construit sur des bases solides quand on a soi-même pris soin de réparer ses propres failles. Sinon, on tangue, ou pire, on chavire.
Il n'y a pas de mal à ça, mais voyager en eaux calmes ... ça fait du bien ...
Auteur inconnu
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virtchandmoir · 2 months
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iceacademyofmontreal: I.AM at Worlds 2024. What a week...! It is still difficult to find words for our gratitude, emotions and pride. The @isufigureskating together with @skatecanada and @patinageqc have organized the perfect ISU World Figure Skating Championship in our home - @montreal. THANK YOU! Our athletes, our coaches, our entire I.AM team and all of you have waited so long! With our 8th World Gold medal we could not have wished for anything more. Thank you to the entire, worldwide skating family - a dream come true! And this is why we exist, this is why I.AM!
Merci 💙
I.AM aux Mondiaux 2024. Quelle semaine...! Il est encore difficile de trouver les mots pour exprimer notre gratitude, nos émotions et notre fierté. La @isufigureskating, avec @skatecanada et @patinageqc, a organisé le parfait Championnat du monde de patinage artistique de l’ISU chez nous - à @montreal. MERCI ! Nos athlètes, nos entraîneurs, toute notre équipe I.AM et vous tous avez attendu tellement longtemps ! Avec notre 8ème médaille d’or aux mondiaux nous n’aurions pas pu souhaiter mieux. Merci à toute la famille mondiale du patinage - un rêve devenu réalité ! Et c’est pourquoi nous existons, c’est pourquoi I.AM !
@mf_dubreuil@[email protected]@[email protected]@pascal_denis75@benjbrisebois@splashmadison@adriandiazbronchud@guillaume_cizeron@steffanyhanlen@jamalaothman@annjulie_coach@chockolate02@evan_bates@thelilahjoshow@[email protected]@lagha_zak@[email protected]@jenya_jan@geoffrey_brissaud@lopareva_brissaud@[email protected]@laurencefournierbeaudry@[email protected]@quanye.1@[email protected]@missatoooo@timkoleto@[email protected]@__bubblegirl__@kbelobrov@solenemazingue_@marcopolosfuture
📸 @DanielleEarlPhotography
@britishiceskating@usfigureskating@ffsportsdeglace@iceskatingaustralia@koreaskatingunion@fedhielo_patinaje@[email protected]@skateukraineorg
#IAMatWORLDS#IAMWORLDTEAM#WorldsMTL2024#WorldFigure#iceacademyofmontreal#ISUFigure
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lisaalmeida · 7 months
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Tu connais le bonheur ?
Le bonheur est une voix,
Respire, pensée, idée ;
C ' est une attente, un parfum, un câlin,
une promesse... un geste.
Le bonheur est un cœur à se reposer,
une main à serrer,
Un bisou, un film, un livre ;
C ' est un coucher de soleil, une nuit étoilée,
quatre rires, une chanson,
un regard, une victoire,
un vrai ami
et... l'amour.
Mon bonheur à la place
C ' est dans mon propre regard
quand il réfléchit parfaitement
l'image de mes rêves...
la vôtre
Louis Louis Louis
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desviesennoiretblanc · 2 months
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Hier est déjà du passé #2
Il y a eu la journée internationale du droit des femmes et, ce 8 mars 2024, devant le n°238 d'une rue amiénoise, quelqu'un a opposé un ferme refus à Gérard Depardieu.
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Il y a eu des photos ratées. Un oiseau si près de moi, mais qui a pris son envol au moment où j'aurai pu faire la photo parfaite. Deux écureuils qui déambulent derrière une clôture, beaucoup trop nerveux et lointains pour m'offrir un bon cliché.
Il y a eu un arc-en-ciel. Le 1er avril 2024 aux alentours de  17h20.
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Il y a eu des rêves. Celui du bruit assourdissant d'un avion qui va ensuite s'écraser dans un jardin, derrière chez mes parents. Ma mère me dit que, cette même nuit, elle a rêvé d'un avion qui s'écrasait, non pas derrière leur maison, mais chez le voisin d'en face.
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ce retombé de sommeil qui recouvre ton corps te va à merveille, transparent comme la nuit ; le sommeil qui est devenu l’habit de tes rêves, l’affaissement innocent qui engendre tant de départs, tant de croyances ; la proie que mon corps en éveil n’ose approcher de peur qu'aussitôt elle ne s’envole, d'un simple geste, d'un simple mot ; le sommeil absorbe si bien les lumières et les silences qui bourdonnent tout autour de lui, l'ignorant parfait de sa fragilité, comme un verre de cristal posé au bord d'un précipice
© Pierre Cressant
(dimanche 7 mai 2006 - lundi 18 septembre 2023)
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