Tumgik
#queling interview
dagonet · 2 years
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Bob Lennon au ZEVENT 2022 [requested @garnetrena]
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greedandenby · 5 hours
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Transcript of all the French dialogue in Interview with the Vampire S2 E03 "No Pain".
You asked, yours Frenchly delivered. Bonne lecture ! (long-ass post incoming)
(did not use timestamps as these may vary, but rather scene descriptions)
Armand’s Children of Darkness:
Coven vampire: La mort punira toute infraction de la première et de la cinquième des grandes lois.
Armand sees Lestat at the theatre (performing Marivaux’s Le Triomphe de l’amour):
Lestat (as Arlequin): Ah ! Vous êtes donc des femmes !… (vous êtes deux) friponnes !… et par-dessus le marché, un honnête homme !...
Armand: Tu es le bâtard de Magnus. Je sais que tu peux m’entendre, mon enfant.
Lestat: Qui m’appelle « enfant » ?
Armand: Il est mort, n’est-ce pas ? Je peux prendre soin de toi. Je peux t’apprendre ce qu’il ne t’a pas appris. Viens à moi.
Lestat (as Arlequin): Mais de quoi s’agit-il, mes libérales dames ?
Armand: Viens à moi.
Lestat (as Arlequin): Encore plus honnête.
Armand confronts Lestat and Nicolas:
Armand (to the coven vampires): À la maison.
Coven vampires: Oui, maître. Désolés, maître.
Lestat (to Nicolas): Tu es si distrayant dans la fosse que je ne me rappelle plus du texte.
Nicolas: Je ne peux pas lire mes notes quand j’entends tes pieds sur le plancher… Nous allons nous faire attraper.
Lestat: Je l’espère… Entends-tu cela ?
Nicolas: Par-dessus tes incessantes divagations ? Comment pourrais-je entendre quoi que ce soit ?... Qu’est-ce ?
Lestat: Là… Quelqu’un me regarde.
Nicolas: Tu es toujours au centre de l’attention.
Lestat: Il pense que je ne sais pas qu’il est là.
Nicolas: Est-ce encore de la poésie ?... Viens plus près de mon oreille. Je peux seulement comprendre quand tu t’approches.
Lestat: En pardessus.
Armand: Gardes-tu ce garçon comme aide-mémoire ?
Nicolas: Lestat, connais-tu ce gitan ?
Armand: La solitude que tu ressens, il ne l’atteindra jamais. Sois avec les tiens.
[Side note: they translated « the loneliness you feel, he will not reach it » for « atteindra », but i think Armand is actually saying « il ne l’éteindra jamais », in the sense of « he will not extinguish it ». It makes a LOT more sense.]
Lestat: Et abandonner mon gilet à carreaux ? Mon col jabot ? Vivre comme une larve ?
Nicolas: Lestat, que se passe-t-il ?
Lestat: Rien. Il n’est rien… Bonne nuit, homme étrange !
Armand: Lestat ! Là !
Nicolas: Lestat ?
Lestat: Nicki !
Armand: Tu ne lui as pas révélé ta vraie nature, n’est-ce pas ?
Lestat: Quel est ce pouvoir ?... Je n’ai pas ce pouvoir !
Armand: Mais tu l’auras. Tu as le sang de Magnus. Tu gâches ton potentiel en menant cette vie-là.
Lestat: Relâche-le ! Relâche-le !!!
Armand: Et voici un buveur de sang !
Lestat: Qui es-tu ?
Armand: Je suis Armand. Je suis le chef de ton clan.
Lestat: Nicki !
Armand: Ramène ton gilet chez les larves, veux-tu ?
Lestat confronts the Children of Darkness:
Armand: Je suis heureux que tu sois venu. Il est sain et sauf.
Lestat: Il est saigné. Il ne se réveille pas… Est-ce si amusant de vivre dans une telle saleté et la puanteur ?
Coven vampire: Nous devons servir Dieu au travers de Satan et au travers d’Armand.
Lestat: Ah… Une trinité crottée.
Coven vampire: Tu vas attirer la colère de Dieu sur nous avec tes péchés !
Lestat: Qui sont ?
Coven vampire: Tu vis parmi les mortels ! Tu marches dans le temple de Dieu !
Lestat: Il parle de l’homme triste avec les mains clouées ? Ah… Bien. C’est un arbre tombé. Raboté simplement pour les simples d’esprit. Du même arbre, on fit le pied d’une table et, là, une flûte ! Rampez hors de cette prison qu’il bâtit pour vous… Dieu… Satan… Armand… Est-ce vrai ? Hm ? Nous sommes les Dieux. Vous êtes les Dieux !
Lestat visits Armand:
Lestat: Que s’est-il passé ?
Armand: Je pourrais parler jusqu’à la fin du monde sans jamais te dire tout ce que tu as détruit ici.
Lestat: Nous sommes seuls. Satan ne nous écoute pas… Comment transformes-tu l’air en feu ? Comment bouges-tu des objets par la simple force de ton esprit ?
Armand: Demande-t-il, tout en dansant dans les cendres… Tu as fait de ton Nicolas l’un des nôtres ? Est-ce que le garçon a accepté le don ?... Trop fragile. J’aurais pu te prévenir.
Lestat: Il s’en remettra.
Armand: Certainement pas.
Lestat: J’ai une idée.
Lestat performs for Armand at the theatre (again, Le Triomphe de l’amour) :
Lestat (as Arlequin): Oh ! Mes mignonnes, avant que de vous en aller, il faudra bien, s’il vous plaît, que nous…
(As Lestat) Ils viennent accompagnés, séduits dans un élan collectif. Ils rient ensemble, pleurent ensemble.
Armand: Qu’est-ce, pour un vampire ?
Lestat: Une opportunité. Hamlet est mort sous les coups d’une lame empoisonnée, mais l’acteur qui gît sous leurs yeux respire encore. Dans ce temple, croire protège. Annonce que tu es un vampire. Bois le sang à la vue de tous. Mets en scène les rituels de ton clan, pas depuis les égouts mais depuis le premier balcon.
Armand: Je n’ai pas de clan. Tu m’en as privé.
Lestat: Au contraire, maître.
(as Arlequin): Je n’ai encore qu’un commencement d’envie de n’en plus faire.
Outside the theatre:
… assouvir vos cruelles envies au théâtre des vampires !
At the theatre performance:
Victim: J’ai tant d’années ! Tant d’années !
Theatre vampire: Des années ? La mort ne respecte pas l’âge !
Armand: Regarde comme ils sont immobiles. Ils croient vraiment que c’est une pièce de théâtre. Des clous sur une porte à Wittenberg. Tu as mené une réforme, Lestat.
Lestat: Nous l’avons fait ensemble.
Armand: Tu fais une meilleure Mort.
Lestat: La faux fait tout le travail.
Armand: Après une centaine de nuits ici, tu t’ennuies déjà ?
Lestat: Seulement avec le jeu d’acteur… Allons-y.
Armand: Ici ? Maintenant ?
Lestat: C’est une loge spacieuse.
Armand: Il nous observe.
Lestat: Il devrait regarder sa partition.
Armand: Lestat… Je t’aime.
Lestat: Oui… Je t’aime aussi.
Aaaand that's it (for now), folks! Will do subsequent episodes if there's more French in them (more likely than not!). Bisous !
Tagging the peeps who requested: @nalyra-dreaming @indelicateink @chicalepidoptera @zailafaneez
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hey-kae · 1 year
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I saw you like mbappe and he was invited by Ferrari today so maybe reader is dating charles but she’s a fan of kylian and she gets to meet him in the hospitality so charles gets jealous and upset?
Could be smut or not. I’ll leave this up to you. Thanks.
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a/n: combining these two so if you don’t like mbappe, just skip the first part ig. (this is smut btw)
Mid-race, you were just a mere snap of a finger from just shouting at the screen in the hospitality out of pure frustration. You were sat alone among the crowd of people, all eyes focused on the various televisions on the room’s walls. No one was ecstatic about the on-track action but you were on a whole different level of pissed as your boyfriend had yet another bad race.
Usually, if you were watching alone, you’d be cursing out everything and everybody, but you couldn’t exactly do that here.
“Bordel de merde, quelle connerie...” For fuck’s sake, this is bullshit... You mumbled under your breath. At least most people here didn’t speak french.
Or so you thought.
“Eh, c’est pas trop gentil ça.” Hey, that’s not very nice. Someone laughed from behind you.
“Shit.” You panicked and turned around.
“Oh, Shit.” You cursed as you realized who was behind you.
“Vous supportez qui?” Who are you supporting? Kylian Mbappé, literally one of the most famous football players, casually asked, still smiling at what he heard you say as you tried to find a will and a way to answer him.
“Um…” You swallowed and looked around, “My boyfriend, Charles. I thought there wasn’t anyone who spoke french around me and- Yeah.” You prevented yourself from rambling.
“Je l’ai rencontré avant, depuis quelques années. C’était a Monaco.” I’ve met him before, a few years ago. In Monaco.
You shook your heard, “So you probably met him at a wrong time, if you met him at a Monaco GP. Well, probably. Ça dépend à quel temps du Dimanche vous l’avez rencontré, vraiment.” It depends what time of Sunday you met him.
Kylian frowned and laughed, “What?”
“Long story. Un chef-d’oeuvre.” A masterpiece.
“I’ve got time.”
And that’s how you spend half of the race with your favorite footballer, inconspicuous to the picture snapped of the conversation and posted onto Twitter.
When the race was over, you said goodbye to your one-off company and waited for Charles in his driver’s room.
After he finished his interviews, he joined you, looking a perfect mix of disappointed and pissed.
You walked up to him to give him a hug and a kiss, but he gave you a furious look that stopped you in your track.
“Moi je souffre dans la course et toi, tu flirtes avec Mbappé, ouais? Très sympas!” I’m suffering in the race and you’re flirting with Mbappé? Really nice! He was trying not to shout, he really was and you could hear it.
“Charles, what? I was-”
“Save it. I’ll know what to do about this when i’m done with the debrief, when we’re alone. Now, sit here and wait for me. You’re not going anywhere alone.” He huffed, patted your shoulder, changed out of his race suit into normal clothes and left you alone in the room.
It felt like it was forever later when he came back to get you. Charles opened the door and stood by it, gesturing for you to walk in front of him. Not a single word left his mouth, not even on the way to the hotel. He was absolutely fuming.
But the minute the door to your room shut behind the two of you, things changed.
“I finish a fucking awful race and the first fucking thing i see on my phone is my girlfriend giving fuck-me eyes to some footballer. You’re really good at this romance shit, chérie.” He gave a mocking smile.
“If you would let me-“
“I told you i don’t wanna hear it! Des excuses de ta part, des excuses de la part de l’équipe. Tu sais quoi?” Excuses from you, excuses from the team. You know what? He pushed you against the wall, his face dangerously close to yours, “Je m’en fiche.” I don’t care anymore.
“Charles, i-“
“Shh, baby.” His hand was on your cheek, his thumb on your lips, shushing you, “À genoux.” On your knees.
You sighed and got on your knees, looking up at him.
“Don’t give me those eyes. Tu sais bien quoi faire.” You know what to do. He gestured for you to hurry up.
You undid his belt and pulled down his pants and boxer and he stepped out of them. With your hand, you pumped his cock until it was completely hard and throbbing.
“Okay, now ouvre.” …open. He gatherer your hair in his hand and pulled back your head a little, your mouth open for him to push himself against your tongue until you felt him in the back of your throat and heard him grunt at the warmth as you gagged around him.
“Exactly. Reminds you that you shouldn’t be using this mouth for flirting with some french guy when at the end of the day, you’re gonna let me fuck it.”
His grip on your hair was tight enough that you had remotely no control over the movements. He needed to control at least that today, and it wasn’t like you were objecting.
He thrusted into your mouth repeatedly, moaning as he did so, making the heat pool between your legs rapidly.
He kept that going until he felt himself right on the edge then he instructed you to get up.
Charles didn’t even bother with the bedroom. There was a couch by your sides and it was perfectly suited for his intentions.
Kissing you, he pushed you back a little, taking the opportunity to pull off your clothes as well, then he turned you around and patted the back of the couch.
“Bend over.” His hand gave you a soft push, prompting you do oblige, and you did.
He stared down at your glistening pussy, tracing his finger teasingly between the folds.
“So wet, fuck… And all mine.” He spoke the last part sternly and pushed into you without any further warning.
“Oh God, Charles.” You gasped.
“That’s right. No one else can fuck you so good. He can’t fuck you like this.”
You rolled your eyes, “Says who? You should’ve let me try.”
Abruptly, he pulled you up so your back was to his chest, “Don’t fucking test me, i swear to god, chérie.”
You nodded and he let you go, thrusting into you with an exhilarating pace, making your hands fist the couch cushions.
“Tell me you’re mine.” Charles requested.
“I’m yours. Fuck, Charles.” You moaned, “I’m only yours.”
His fingers dug into the skin of your waist and he continued moving, maintaining his rhythm, rubbing your clit as well, feeling the way you kept clenching around his cock until you came, shaking under him just before his release followed, the room filling with curse words of various languages.
Barely a few breaths were taken before he pulled out and hoisted you up, carrying you into the shower.
“Fucking horrible day.” He mumbled as he walked with you in his arms.
“Sorry about the race, baby.” You kissed his neck.
“You leave the race alone. You have something else to be sorry for.” He rolled his eyes.
“You don’t trust me? He wasn’t flirting with me i swear. We actually talked about you most of the time!”
He set you down in the shower, fixed the water and joined you under the hot stream, his arms wrapping around you, bringing you closer to him as he whispered to you, “I do trust you, but i still get jealous.”
a/n: thanks for requesting🫶🏻
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freddieraimbow74 · 1 month
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Interview de Freddie pour Joepie Magazine en 1974.
Quel est le plus grand souhait de Queen en ce moment ?
Freddie Mercury : succès mondial, bien sûr. Et je ne veux pas dire des gens hystériques partout où nous allons, mais du respect et de l'enthousiasme pour les choses que nous faisons. Nous avons remarqué que notre audience est très large. Nous avons les « monstres » dans notre hall, les « snobs », mais aussi les adolescents qui achètent de la boue et les plus âgés qui veulent écouter. Avec toutes ces personnes et leur soutien, nous espérons l'aller beaucoup plus loin. Pour nous, la « crise cardiaque » est le premier pas dans cette direction. Nous sommes pleins d'idées et nous espérons pouvoir les trouver sur un prochain album.
Queen prend le volant de Led Zeppelin. Avec leur single « Killer Queen » au sommet des hit parades pour la première fois, les attentes des gens envers Queen sont très élevées. Les plus grands spécialistes en affaires prédisent que Queen prendra le volant de Led Zeppelin. Les gens n'ont pas toujours pensé à Queen comme ça. Pendant une année entière, ils ont été ignorés par la presse et n'ont pas eu l'occasion à la radio et à la télévision. C'était un cookie dur pour les garçons de Queen.
Nous en avons parlé et de leurs projets d'avenir lors d'une brève conversation avec le chanteur Freddie Mercury.
Freddie Mercury : c'est vraiment drôle comme les spécialistes se sont soudainement tournés vers nous. Jusqu'à notre troisième album « Sheer Heart Attack », ils nous ont ignorés, ou ont essayé de nous briser. Nous n'avons jamais reçu de critique constructive. Dieu merci on s'en est jamais souciés. Nous avons continué à travailler avec le même courage et le même enthousiasme et cela a tourné en notre faveur. Le public a toujours réagi et nous a très bien soutenu ; ils nous ont traînés au sommet. La presse a dû dire qui nous étions. Pendant un certain temps, nous avons rejeté les gens de Melody Maker et The New Musical Express. Au début, ils ont écrit les choses les plus terribles sur nous. Ils ont déformé nos conversations. On a fait ça pendant un an. Très souvent, des amis nous ont dit qu'ils nous envoyaient des journalistes free-lance et à chaque fois qu'ils attendaient devant une porte Maintenant avec notre album et single à la première place du top 30 ils sont obligés de nous prendre au sérieux.
Comment expliquez-vous ces réactions de la presse ?
Freddie Mercury : En Angleterre, les spécialistes aiment obtenir le générique de la découverte des groupes, ils adorent l'adulation. Quand nous avons sorti notre premier album, nous avions déjà beaucoup de fans qui ont fait en sorte que l'album entre dans les hit-parades. La presse a défendu le fait accompli. Sans jamais écrire un mot sur nous, nous sommes montés au sommet. Ils ne pouvaient pas supporter ça. ILS font les groupes, tu sais ? On n'a jamais eu de dispute avec les journalistes. Ils étaient juste fous parce qu'on a vendu nos albums sans leur implication. Dieu merci, ce n'était pas comme ça dans d'autres pays.
Sur scène tu sembles être agressif. Êtes-vous comme ça dans la vraie vie aussi ?
Freddie Mercury : pas du tout. Je suis du type doux. Sur scène je vis une sorte de transformation par l'influence de la musique. J'adore notre répertoire, je peux le vivre. Nous avons beaucoup de chance d'avoir une maison de disques qui n'essaye pas de nous forcer dans une certaine direction. Ma production serait la moitié de celle qu'elle est maintenant. Je vis sur scène. Quand je chante une chanson lente, je peux me sentir mélancolique, si la musique est agressive, ça me pompe pour que je sois plus agressive. Le public vit cela de la même façon.
Les gens vous comparent à Led Zeppelin, oui, et même aux Beatles :
Freddie Mercury : l'un dit que nous allons dépasser Led Zeppelin. Ce n'est pas notre intention. Notre intention est de nous surpasser. Bien sûr, nous espérons avoir autant de succès que dans le monde entier. Je ne pense pas que vous puissiez nous comparer à ces groupes, sauf que nous essayons de réunir leurs qualités. La technique d'enregistrement des Beatles, la puissance de Led Zeppelin et le son parfait de Yes. Nous prenons ça comme un compliment parce qu'ils ne sont pas seulement des groupes ordinaires. Personne ne nous a jamais reproché de copier les groupes, et c'est bien. J'écris beaucoup de compositions et je détesterais qu'elles comparent mon travail.
Freddie Mercury photo au Japon, avril 1975 lors de la tournée « Sheer Heart Attack ». Koh Hasebe photographe.
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yaggy031910 · 11 months
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Aimée’s and Davout’s conversation about Moniteur
While I was researching a specific letter from the Davouts in marshal Davout’s memoir, published by his youngest daughter, Louise Adelaïde d’Eckmühl, in 1879, I found a conversation between our two lovebirds, Aimée Davout and Louis Nicolas Davout, about a interview the marshal supposedly gave.
Btw, thank you, @josefavomjaaga, for mentioning this interaction in one of your reblogs. I recognised these letters because you wrote about reading them in an article once.
Aimée wrote her husband on the 27th of January 1813:
Je n’ai pas reçu de lettres de toi aujourd'hui, mon unique ami; mais j'en ai lu une dans le Moniteur. Je t'avoue que je n'ai pas reconnu ta manière d'écrire accoutumée, qui est claire, énergique et noble, tandis que rien ne l’est moins que cette phrase qui est sûrement tronquée : « Une grande quantité de mes hommes (te fait-on dire) s'est éparpillée pour chercher des refuges contre la rigueur du froid, et beaucoup ont été pris. » Je suis convaincue que tu ne dis jamais mes hommes en parlant des soldates: personne n’honore plus que toi ce titre et tu as bien raison, car, en parlant des hommes on a rarement du bien à en dire, et, en parlant des soldates on sait qu’on parle de gens d’honneur sans jalousie, sans petites passions, et toujours prèts a mourir sous leurs drapeaux. On a toujours un but pour s’écarter de la vérité, et ce serais en vain mon Louis, que tu aurais cherché à dissimuler tes pertes. Chacun sait ici que la majeure parti du [première] corps a été constamment l’auxiliaire de tous les autres, et que ses pertes ont été considérables pendant notre glorieuse marche sur Moscou. Les fatigues, la rigueur de la saison au retour n’ont pas dû le refaire, mais je ne pense pas qu’il te soit arrivé pire qu’aux autres: je crois, au contraire, que la débandade dont on nous à parler dans le vingt-neuvième bulletin n’a dû se manifester parmi les troupes de ton commandment que lorsqu’il y a eu impossibilité absolue de penser à les rallier. Lors de l’ouverture de la campagne, on ne cessait d’en vanter la tenue, la discipline et le bon esprit. On ne perd pas dans un moment une supériorité réelle; mais pour être prisé à sa valeur (surtout dans la carrière des armes), il faut n’avoir pas tout contre soi. Quel que soit le mal, l’injustice est le plus grand mal; néanmoins je suis convaincue qu’elle n’abattra jamais une âme telle que la tienne et que tu n’es pas plus navré qu’un autre: quelque navré que tu sois, tu sais remonter le courage des autres, au lieu de l’abattre. J’ai été trop à même d’en faire la triste experience; et, d’ailleurs, si de pertes plus qu’ordinaires te navrent, je suis convaincue que tu ne mets pas le public dans ta confidence. - La lettre du maréchal Ney, qui est écrite pour lui, est sur un autre ton que je n’aime pas mieux: la fin de la tienne est trop larmoyante, et la sienne un peu fanfaronne… Ne me sais pas mauvais gré, mon unique ami, si je suis sortie de la sphère un peu étroite que les hommes nous ont dévolue, en épiloguant, en commentant et en jugeant; je ne puis être étrangère à ce qui te touche, voilà mon excuse; du reste, je trouve tout bon et bien, ou plutôt je ne m’informe de rien.
English Translation: I haven’t received [any] letters from you today, my unique friend, but I read one in the Moniteur. I have to admit that I didn’t recognise your usual writing style, which is clear, energetic and noble, whereas nothing is less so than this sentence, which is surely truncated: “A large number of my men (you are being told) scattered to seek refuge from the harsh cold, and many were seized.” I am convinced that you never say “my man” while talking about soldiers: No one honours this title more than you do, and you're right to do so, because when we talk about men we rarely have anything good to say about them, and when we talk about soldiers we know that we're talking about people of honour without jealousy, without petty passions, and always ready to die under their flags. One always has a purpose for deviating from the truth, and it would be in vain, my Louis, for you to have sought to conceal your losses. Everyone here knows that the major part of the [first] corps was constantly the aid of all the others, and that its losses were considerable during our glorious march on Moscow. The exertions and the harshness of the season on the retreat may not have done it again, but I don't think that it happened to you any worse than it did to others: I believe, on the contrary, that the stampede of which we were told in the twenty-ninth bulletin must only have manifested itself among the troops of your command when it was absolutely impossible to think of rallying them. At the start of the campaign, they were constantly praising their conduct, discipline and good spirit. One does not lose in a moment […] real superiority; but to be appreciated at its value (especially in the career of arms), you must not have everything against you. Whatever the evil, injustice is the greatest evil; nevertheless, I am convinced that it will never bring down a soul like yours, and that you are no more distressed than anyone else: however distressed you may be, you know how to raise the courage of others, instead of bringing it down. I was too well able to make the sad experience; and, besides, if more than ordinary losses distress you, I am convinced that you do not put the public in your confidence. - Marshal Ney's letter, which is written for him, is in another tone which I do not like any better: the end of yours is too tearful, and his a little boastful… Don't be displeased with me, my unique friend, if I have stepped out of the rather narrow sphere that men have devolved upon us, by epiloguing, commenting and judging; I can't be a stranger to what affects you, that's my excuse; besides, I find everything good and fine, or rather I don't ask about anything.
I have a new found respect for this woman. The way she is aware about the circumstances surrounding her, her husband and the army is just lovely to read.
Now, let’s look into Davout’s answer, shall we? Davout answered his wife’s little monologue in a letter written around two weeks later on the 13th of February 1813:
J’ai éprouvé, mon Aimée, une vive satisfaction en lisant toutes tes réflexions sur la lettre que tu as lue dans le Moniteur: si ton Louis en eût été le rédacteur, tu n’aurais pas été dans le cas de faire ces réflexions. Elle a été fabriquée et insérée pour détruire tous les mensonges, réellement impudents de nos ennemis, qui poussent l’effronterie jusqu’à attribuer à la supériorité de leurs armes ce qui n’est que l’effet des privations, des fatigues et des vingt-quatre degrés de froid que les troupes ont éprouvés depuis leur départ de Moscou. Si j'en eusse été le rédacteur, comme tu l'observes, je ne me serais pas servi de l'expression mes hommes en parlant des soldâtes de mon souverain, ni n’aurais remplacé cette expression par celle de mes soldates: je sçais qu’ils sont les soldates de l’Empereur; aussi je n’emploie jamais ces expressions de: mes soldates, de mon corps d’armée… Enfin, je ne me serais pas servi non plus de cette expression: - que j’étais navré de douleur. Je regrette des soldats que perd l’Empereur […]
The letter itself continues but I am not able to cite them here because the 2 following pages where the rest of this letter would be are just not there… The document jumps from page 269 (where this letter is to be found) to page 272… :(
English translation: It gave me great satisfaction, my Aimée, to read all your thoughts on the letter you read in the Moniteur: If your Louis had been the editor, you would not have been in the position to make these reflections. It has been fabricated and inserted to destroy all the lies, truly impudent by our enemies, who go so far as to attribute to the superiority of their weapons what is only the effect of the hardships, exertions and twenty-four degrees of cold that the troops have experienced since leaving Moscow. If I had been the editor, as you have observed it, I would not have used the expression my men when speaking of my sovereign's soldiers, nor would I have replaced this expression with that of my soldiers: I know that they are the Emperor's soldiers; so I never use these expressions: my soldiers, my army corps… Finally, I wouldn't have used this expression either: - that I was heartbroken. I regret soldiers the Emperor has lost […]
I appreciate these two letters a lot because it shows me how these two lovebirds interacted with one another on a daily basis. It’s a simple conversation about one article which shows so much character from both sides. Davout is such a thoughtful husband, especially considering the era they are living in. Aimée’s attention to details is just impressive and one can see that she is self aware about the hardships she had to suffer in her life and how Davout played a role in lifting her up.
Source: Blocqueville, Louise Adélaide d'Eckmühl, Le maréchal Davout, Vol. 3.
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raccoonfallsharder · 6 months
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⋆。°✩ Critical Interview Questions for Potential Room & Crewmates ✩°。⋆ (Eleventh Visit) [added 11/22]
Version 1: Brief Explicit Content* 18+ only | no use of y/n | series | word count: 6723. brief/light mentions of oral sex, overstimulation, exhibitionism, light degradation/praise/use of the term "slut" (affectionate).
Version 2: No Explicit Content* smut-free | no use of y/n | series | word count: 6,111.
you take rocket on a fall-themed date. unbeknownst to you, he also has plans: specifically, to introduce you to some potential roommates. pure autumnal domestic fluff. no plot, some references to a romantic relationship. just pumpkin-spiced, apple-scented, maple-flavored FLUFF. like, so fluffy it might actually be boring (hey this is a -quel to The Very Boring Adventures of Space Pilot & Sweatshirt Girl so it's not like you haven't been warned). comics-rocket-based but you do not need any comics-knowledge to ride this ride. you don't need to start at the beginning of this series, but it would make it more fun (and allow some references to make more sense).
need to catch up? read ⋆。°✩ Domestic Scenes in Space Travel ✩°。⋆ aka The Very Boring Adventures of Space Pilot & Sweatshirt Girl
You’d been intent on making this time with Rocket as painless as possible, so you’ve done all your research in the preceding weeks, picking a location that tends to only have a few visitors this time of year - and especially at this time of day. It’s mid-morning in the middle of the week, and you’re hoping that fewer “Earthers” means fewer stares that your boyfriend has to endure. You wait in the rear doorway of your tiny new house - well, new to you - when he lands in the little clearing of your backyard, surrounded by trees that scratch the dove-gray sky with bare branches and flakes of bright gold. The small ship is whisper-quiet, landing with only the sound of pleasantly-crackling leaves, crispy and burnt-brown on the clover-dense lawn. You pull the long sleeves of your sweatshirt over your fingers - making little fabric-soft paws of your hands - and lean against the doorframe with your hip. You can’t stop the little smile you’ve been keeping in the corner of your mouth, like a secret. When the hatch opens, he strolls down the ramp leisurely: hands in pockets, brows and mouth flattened into practiced nonchalance. He can’t fool you, though: his whiskey-red eyes flick to you again and again while he pretends to peruse his surroundings, and every time, they gleam a little softer and a little brighter.
⋆。°✩ read more on ao3 (brief explicit content) ⋆。°✩ read more on ao3 (smut-free)
*this is intended to be read as two chapters; it is two almost-identical versions of the same one-shot. version (chapter) one has some super-brief smutty references. version (chapter) two is clean but there are some references to reader and rocket being in a romantic/sexual relationship.
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les-portes-du-sud · 9 months
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Le corps
15.08.2023
La torche éclairait le battement des secondes sur l'horloge, le jour se pointe, mon saut du lit est sans enthousiasme, un peu cassé. Le corps physique reflète probablement la déception émotionnelle... Je suis allé à 2 entretiens. Et c'est un fiasco. Dans le premier, on s'est fortement foutu de moi. Dans mon CV, il est indiqué ce que je veux, le détail du salaire dans leur offre manquait, mais la réponse au téléphone, disait pas moins que le vôtre. C'est une entreprise assez connue et je rêvais déjà que la rémunération y soit encore plus élevée. Néanmoins , je suis allée à l'autre bout de la ville. Nous avons parlé pendant une demi-heure et ils n'ont toujours pas abordé la question financière. Quand j'ai posé la question vers la fin de la discussion, il s'est avéré que le salaire était deux fois inférieur à celui porté sur mon CV. Dans ce studio de tournage, j'entendis le réalisateur vociférant : - "oh, on a tellement de boulot, des volumes de scènes à préparer Et nous ne gagnons que des centimes pour cela ... Je m'interrogeais : quelle est leur logique, je ne comprends pas? Dois-je être motivé par cela ? Ne sont-ils même pas intéressés par les avantages du demandeur, même en théorie ? ...Mais la deuxième interview a été épique. Le début est bon, après une conversation avec une autre fille, j'ai été emmenée en stage. Ils ont commencé à nous expliquer l'essentiel du travail, tout était clair et j'ai même pensé que je pourrais travailler ici, car les conditions semblaient me convenir, même si c'était un peu loin pour le trajet Mais, après un certain temps, une personne entre et, au milieu d'une phrase, interrompant le professeur, nous crie - partez ! On ne comprenait pas du tout ce qui se passait?? Mais on nous a fait sortir de la salle sans explication. Eh bien, vous n'êtes pas des salopes ?
Mais, le paradoxe est que le scénario "tu ne peux pas rester les bras croisés", a néanmoins été fixé - et puis j'ai beaucoup travaillé dans ma vie. Mais c'est pratiquement inutile. Car je n'ai toujours pas réussi à me retrouver dans le plan professionnel. Et je me cache derrière le fait que - je ne veux pas de travail au fond de moi-même, mais je dois travailler, et par conséquent, je peux faire presque n'importe quel travail jusqu'à ce que je sois déprimé. .... J'envie les artistes qui vendent leur travail... ou les chanteurs qui vendent leur voix.. Même si, ici, en plus du talent, il faut fouiller un peu plus dans les ventes et améliorer le "personal branding" pour se démarquer et vendre , et plus encore, vendre régulièrement. Mais ce n'est quand même pas la même chose que quand on n'a rien à vendre..... J'envie les belles personnes qui gagnent grâce à leur apparence... C'est à dire. tout vient d'une abondance fondamentale de quelque chose simplement accordé par la nature. Par exemple, une personne mince et plastique, engagée dans la danse, n'investit que son temps et sa force physique. Tandis qu'une personne sujette à la plénitude, inflexible, mais qui veut être danseuse, va investir toute sa vie, sa force, ses ressources, le rejet de tout autre plaisir, afin d'être au moins approximativement au niveau de ce premier. Autrement dit, leurs coûts pour le même niveau seront disproportionnellement différents. ....Quelqu'un dira qu'un talent ne suffit pas et qu'il faut des compétences supplémentaires. Eh bien, c'est compréhensible, seule une personne talentueuse, ayant des atouts physiques a une avance de cent pas sur celle qui a besoin de construire ce talent à partir de zéro. .... Et maintenant je cherche ces avantages en moi... mais bon sang, je ne les trouve pas. .... Cela signifie que la gamme de mes travaux est pratiquement quelconque, mais ils m'intéressent peu et sont très gourmands en ressources pour moi. ...Mais alors..?
Les-portes-du-sud
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stellastjamessongs · 1 year
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The Job Interview
Aveva impostato la sveglia di buon mattino e l'aveva disattivata al primo trillo, essendo già più che cosciente. Era riuscita a dormire discretamente rispetto alle proprie (pessime) aspettative, sicuramente aiutata dalla serata in compagnia e dalla conversazione spensierata e non troppo concentrata sul colloquio che avrebbe avuto da lì a poche ore. Si era sollevata dal letto e, camminando con passo felpato per non disturbare il ragazzo o Pooka che ancora dormiva nella cuccetta, si era diretta verso la cucina. In verità il rimescolio all'altezza dello stomaco era ben diverso da quello che solitamente precedeva la colazione, ma aveva già optato per qualcosa di leggero che le desse energia ma non rischiasse di appesantirla o, peggio ancora, comportasse effetti collaterali ben poco gradevoli con la prospettiva di un incontro così importante. Aveva quindi sorseggiato una tazza di the e si era costretta a mangiare almeno tre biscotti. All'arrivo di un Pooka scodinzolante e allegro, si era affrettata a versargli acqua e croccantini nelle sue ciotole ed era tornata in camera, chiudendosi l'uscio alle spalle.
Quindi (dopo aver controllato l'orologio e aver constatato che sì, era perfettamente in orario con il programma pre-colloquio), aveva steso il tappetino e indossato un completino elasticizzato che le consentisse agevolmente di seguire la sedicente playlist rilassante di un'insegnante di yoga. Dopo circa un quarto d'ora, dovette arrendersi e ammettere che era difficile stabilire se la donna avesse sopravvalutato il proprio talento, o se avrebbe dovuto rassegnarsi al fatto che il proprio corpo fosse letteralmente incapace di rilassarsi. Non restava che cominciare a prepararsi con calma e con serenità. Aveva già estratto dall'armadio il completo confezionato da Quinn e nella valigetta aveva già inserito tutta la documentazione necessaria, gli spartiti e il MacBook.
Dopo la doccia si era spalmata la crema per il corpo e, attenta a non sgualcirlo, aveva indossato il tailleur: una camicetta di un rosa antico, sotto una giacca di una sfumatura più accentuata e abbinata ai pantaloni che ne fasciavano perfettamente le gambe. Aveva indossato le scarpe eleganti ma assai scomode il cui tacco avrebbe dovuto slanciarla (se non si fosse presa una storta prima, mandando all'aria il colloquio stesso) e si era applicata un trucco leggero, prima di dedicarsi ai capelli che erano modellati in una lieve ondulatura. Aveva quindi indossato orecchini abbinati, un orologio da polso più elegante di quello quotidiano e un bracciale. Studiò il proprio riflesso un'ultima volta, lisciando la camicia da pieghe invisibili e traendo un profondo respiro, prima di accennare a un sorriso. “Buongiorno,” cinguettò a voce bassa, “mi chiamo Stella St. James, ho sempre sognato di incidere le mie canzoni e...” si interruppe, scuotendo la testa e dovendo resistere dall'impulso di passarsi le mani tra i capelli. Inspirò ed espirò profondamente, prima di schiudere gli occhi e ricominciare. “Mi chiamo Stella St. James e... credo che darò di stomaco da un momento all'altro,” gemette con voce più stridula, accomodandosi sul bordo della vasca da bagno.
Si interruppe al suono del cellulare la cui suoneria personalizzata le segnalò che si trattava della madre, come prevedibile. Seppur avesse il timore che avrebbe rischiato di vomitare se avesse parlato a lungo e prima del colloquio stesso, si costrinse a ritornare nella camera da letto per rispondere. Ma, dopotutto, la madre aveva la straordinaria capacità di condurre quasi da sola un'intera conversazione, ragion per cui dovette limitarsi a dei mormorii che le dessero prova che stesse ascoltando e fosse d'accordo. Riuscì persino a ridere della minaccia non troppo velata di sporgere denuncia contro la casa discografica nel caso in cui le avessero fatto intraprendere a vuoto quel viaggio. Le promise che le avrebbe telefonato nell'esatto momento successivo all'esito del colloquio e sospese la chiamata. Solo allora lesse i messaggi di incoraggiamento e di auguri degli amici e delle amiche, quelli di Rebecca e di Karen e l'ansia, per brevi secondi, cedette il passo alla tenerezza e a un pizzico di commozione. Scosse il capo e le parve quasi di sentire la voce di Quinn che le intimava: “Non pensarci neppure! Non è un mascara waterproof!”
Si rimise in piedi e controllò la propria agenda e l'orologio: aveva spuntato tutte le voci della lista, aveva tutto il necessario addosso e nella valigetta. Quindi, in teoria, era pronta. Devo solo smetterla di tremare e uscire da questa stanza, si disse con un ultimo sospiro. Socchiuse gli occhi, appoggiò la mano sulla maniglia, rilasciò il respiro e infine uscì dalla propria camera.
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youre-ackermine · 19 days
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bonjour Valerie!!! (⁠ʘ⁠ᴗ⁠ʘ⁠✿⁠)
je suis de retour (pas tres longtemps)!
c'est une chance que je peut t'envoyer une question en français!!!
quel est ton film / serie / dessin anime français prefere?
Bises mon amour (*^ ‿ <*)♡
Bonsoir Victoria 🩵
J'espère que tu vas bien & que tes entretiens d'embauche se sont bien déroulés!
Tiens-nous au courant 😉
Mes films français préférés sont
- Les Âmes Grises (Yves Angelo - 2005 - thriller/policier)
- La Reine Margot (Patrice Chéreau - 1994 - drame/romance en contexte historique)
- Le Dîner de Cons (Francis Veber - 1998 - comédie)
Je regarde rarement les séries françaises, mais j'adore Kaamelott (j'espère que tu l'as appréciée également!), je suis fan du cycle arthurien, l'humour est génial & inventif & la progression de l'histoire de la comédie au drame est excellente.
Pour les dessins animés, je n'en ai pas vu beaucoup. Disons Un Monstre à Paris (2011)
Merci pour ton message & à bientôt !
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English translation:
Good evening Victoria 🩵
I hope you are fine & that your job interviews went well!
Keep us updated 😉
My favourite French movies are
- Grey Souls (Yves Angelo - 2005 - thriller/crime movie)
- Queen Margot (Patrice Chéreau - 1994 - drama/romance - historical background)
- The Dinner Game (Francis Veber - 1998 - comedy)
I rarely watch French series, but I love Kaamelott (I hope you enjoyed it too!), I'm a fan of the Arthurian cycle, the humour is brilliant & inventive & the progression from the comedy story to the drama is excellent.
As for cartoons, I haven't seen many. Let's say A Monster in Paris (2011)
Thank you for your message & see you soon!
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editionskelach · 4 months
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Un jour, un livre aux Éditions Kelach.
Un chien d'Enfer.
Frissons - Démon - Deuil.
Au retour d’une soirée à l’opéra de Lille, un jeune couple est victime d’un grave accident de voiture. À son réveil à l’hôpital, Félix apprend qu’Ambre est décédée. Il se retrouve aussi affublé d’un chien qu’il n’a jamais vu, un Jack Russell espiègle et affectueux qui ne quitte plus sa chambre.
Félix le nomme Frisbee et tente de reconstruire sa vie avec lui, mais une série d’évènements étranges va lui faire comprendre que ce nouveau compagnon n’est pas ce dont il a l’air.
À mesure que les pouvoirs surnaturels de Frisbee se révèlent, les questions se font plus pressantes : qui est-il ? D’où vient-il ? Quels sont les risques à le garder ? Mais la plus importante : est-ce lui qui a provoqué l’accident ?
Et en bonus, une interview de l’auteur Maxime Herbaut.
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charleslebatman · 2 months
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i definitely think this was a rebound and charles wasn't sure what to do, charlotte didn't want to get back with him, for her reasons, so he was like "okay im going to stay with her and see how this goes" ...... LIKE REMEMBER HOW HE INTRODUCED HER AT THAT APM INTERVIEW ! YOU CANT MAKE THIS SHIT UP ! im not one to believe in theories but i can tell you when something is not genuine and that relationship isn't one of them! oh she definitely started hanging out on his circle to catch him after he and charlotte broke up ... it's so obvious // i wholeheartedly agree with this amon, everything they do as a “couple” is fishy one way or another 😭😭😭
I’m sorry I’m still on how he took the time to do a « bise » to Charlotte and a fucking see you to his girlfriend that he introduced as his friend later. 😭💀
But the lack of respect for yourself to put up with it in public is hard. There's really no love in that. If you introduce someone as your friend, it really means you don't see a future and yeah, it's just for a short time. You're really not sure about your relationship and that it's more likely to end than continue. 💀
I’m telling to every of my friends how my boyfriend introduce me as « mon amie » and say to me « see you » they would say to me the same thing. « Mais quoi ?? C’est quoi ça ?? Quel tocard ». 😭 It means he doesn’t respect the person in short. 😂
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mamusiq · 11 months
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Claude Vega impersonating Maria Callas
Claude VEGA imitates Maria CALLAS, in her presence on the set. The diva laughs heartily at this outrageous imitation and then exchanges a few words with the artist.
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Claude Vega impersonating Maria Callas
🎼♪♫🗣♪♫♫🎹♪♫♪🎷♪🎻♪♫🎺♪♫🥁♪♫🎸♫ 👇 📺 👇 https://www.youtube.com/embed/dtlzVVPnxvU
📺 il faut que je vous dise madame que nous n'aurions jamais osé de nous-mêmes d'inviter….. C;est moi qui l'ai dememde - Il m'amuse tellement tres gentil oui je l'ai vu …. pas Madame merci infiniment Mr Vega j'espère que je vous ai pas gêné écoutez non je suis tellement heureux d'être là c'est pas vrai il paraît côté là quand vous chantez quand vous faites ce numéro vous pouvez plus rien faire derrière ah c'est impossible c'est impossible rien ne passe derrière canal je ne peux plus rajouter quoi que ce soit c'est impossible et si par hasard parce que j'ai des ennuistes les gens réclament oui n'importe où dans n'importe quel endroit qui est 3000 personnes ou 5000 ou 100 toujours partout c'est à cause de la fascination que vous exercez mais aussi de la fascination qui exerce le Bel Canto il faut dire il y a une passion extraordinaire de bel canto ça va être l'objet de notre conversation maintenant certaines choses à cause de quelqu'un je crois certains pays à cause d'une personne et bien même moi je l'avoue avec humilité je suis devenu presque un mélomane parce que maintenant je vais à l'Opéra et c'est grâce à vous et nous allons avant de parler du bel canto nous
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Maria Callas - Una voce poco fa - 1954 Studio 👇 📺 👇 https://www.youtube.com/embed/hPI1xuzkU_E
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👇 📺 👇 https://youtu.be/hPI1xuzkU_E 🎼♪♫🗣♪♫♫🎹♪♫♪🎷♪🎻♪♫🎺♪♫🥁♪♫🎸♫ Maria Callas interview with Bernard Gavoty : "Une heure avec Maria Callas" "Le Monde de la Musique" : Une heure avec Maria Callas: Paris, Avenue Foch 44 👇 📺 👇 https://www.youtube.com/embed/hSb-7Tb2dmQ
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📺 https://youtu.be/hSb-7Tb2dmQ 🎼♪♫🗣♪♫♫🎹♪♫♪🎷♪🎻♪♫🎺♪♫🥁♪♫🎸♫ Claude Vega, le best of des imitations 👇 📺 👇 https://www.youtube.com/embed/mUagy8OIufc
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📺 https://youtu.be/mUagy8OIufc 📺 INA Humour vous propose de revoir les imitations de Claude Vega. 00:00 Claude Vega imite Alice Sapritch 04:31 Claude Vega imite une professeure d’éducation sexuelle 09:26 Claude Vega imite Zouc 13:10 Claude Vega imite une veuve avec Jean-Claude Brialy 18:10 Claude Vega imite Delphine Seyrig 20:50 Claude Vega imite Barbara 22:02 Claude Vega imite Annie Girardot 🎼♪♫🗣♪♫♫🎹♪♫♪🎷♪🎻♪♫🎺♪♫🥁♪♫🎸♫
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frenchdrarry · 10 months
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Blairon Headcanon :
Que se passe-t-il si Ron savait coudre ? Je veux dire, ce n’est pas délirant : sa mère sait tricoter, j’ai envie de croire qu’elle sait coudre aussi, et elle aurait eu l’envie d’apprendre à Ginny parce qu’elle pense qu’elle devrait savoir faire ça (Molly est traditionnaliste malgré elle, mais elle apprendrait à n’importe lequel de ses garçons qui en manifesteraient l’envie)
Maintenant on a Ron, qui a à peine un an de plus que sa sœur et qui est souvent exclu des jeux de ses frères car ils sont tous bien plus grands que lui et que les jumeaux sont toujours collés ensemble. Il aurait assisté aux leçons de sa mère avec Ginny et, contrairement à Ginny, aurait adoré ça. Pourquoi ? Car 1) il fait plaisir à sa mère 2) il s’occupe 3) il est patient. Bref, tout ce que n’est pas Ginny, qui a détesté devoir apprendre à coudre alors qu’elle n’a pas le droit d’aller sur un balais.
Vous l’avez ? Alors songez maintenant à Blaise, qui adore dessiner et qui adore la mode… mais qui ne saurait pas faire un ourlet pour sauver sa vie. Il dessine ses vêtements de rêve, songeant avec ironie qu’il a assez d’argent pour acheter n’importe quel vêtement mais que les seuls qu’il veut ce sont ceux qui n’existent que dans sa tête. Il se dit qu’un jour, il sera créateur de vêtements. Il embauchera un couturier et enfin, enfin il pourra porter les vêtements qu’il voulait et avoir son propre style.
Maintenant, imaginez un Ron Weasley en formation d’auror et un peu perdu se promener dans un parc, réfléchissant à sa vie. Imaginez-le passer derrière un Blaise Zabini très concentré à dessiner et imaginez Ron jeter un coup d’œil au dessin avant de se stopper net. Durant tout Poudlard, Ron a recoud les vêtements de ses amis, a appris à Harry et Luna comment coudre, a même réalisé le vêtement rêvé de Hermione : une jupe avec une énorme poche pour pouvoir mettre un livre. Il adorait coudre mais il n’avait pas assez d’imagination pour coudre de lui-même quelque chose d’original. Il préférait largement faire ce qu’on lui demandait et s’appliquer à ce que ce soit bien réalisé. Et là, alors qu’il était en train de se demander s’il ne faisait pas la plus grande erreur de sa vie en s’engageant dans les aurors, il voit Blaise Zabini dessiner des vêtements qui n’existaient pas encore. Des choses originales et excitantes, des choses qui ne demandaient qu’à être réalisées. (Par sa main.)
Je ne sais pas comment ils se sont abordés, je sais en revanche comment ils sont tombés amoureux : dans l’effervescence de la création, quand Ron créait et que Blaise voyait enfin ses idées réalisées. Blaise essayait, corrigeait, réinventait pour avoir la pièce parfaite. Puis Ron en cousait cinq ou dix et Blaise les revendait dans un coin de la boutique de Pansy et Luna (une boutique qui n’avait rien à voir avec les vêtements, elles vendaient des potions médicinales et des pierres)
Quand Blaise avait commencé à se faire un nom, il se battit bec et ongles pour être embauché comme styliste. Il finit par être embauché par la gazette, ce qui lui permit d’habiller toutes les stars qui allaient se faire interviewer par ses vêtements…et comme l’essayer c’est l’adopter, lesdites stars allaient ensuite le voir pour d’autres vêtements. Blaise acheta des locaux pour faire son propre magasin et supplia Draco de penser la décoration intérieure suite à la magnifique décoration que le blond avait lui-même choisie à son mariage et que Blaise, évidemment invité au-dit mariage, avait adoré.
Ron et Blaise avaient trouvé leur dynamique dans le travail mais ils peinaient à séparer pro et perso. Tout tournait toujours autour de l’entreprise fleurissante qu’ils étaient en train de créer. Ou plutôt, que Blaise était en train de créer. Ron se sentait à nouveau dans l’ombre, inutile, remplaçable. Tout le monde pouvait faire ce qu’il faisait. Blaise n’avait qu’à claquer des doigts et il trouverait un autre couturier en moins de temps qu’il n’en faut pour que Draco insulte Harry dire Quidditch.
Ce fut précisément le mari de Draco qui mit les points sur les i en prenant Blaise entre quatre yeux. Harry Potter-Malfoy connaissait son meilleur ami par cœur et il ne voulait pas que Blaise refasse sans le vouloir les mêmes erreurs qu’Hermione et lui avaient déjà faites sans le savoir. Blaise ainsi mit au courant et à moitié menacé de mort s’il ne changeait pas immédiatement la situation, Ron Weasley eut la surprise de se faire inviter au restaurant et de parler de tout, sauf de vêtements.
Petit à petit, ils trouvèrent leur rythme et Ron se sentit aimer pour lui-même et non pour ce qu’il savait faire. Ils adoraient aller à des restaurants sorciers très luxueux et aux pizzerias moldues beaucoup moins luxueuses. Ils aimaient les soirées Quidditch et adoraient aller regarder les matchs de Ginny. Ils détestaient se balader mais adoraient faire du kayak. Ils aimaient voyager en all inclusive et aller au buffet à volonté cinq minutes avant que ça ne ferme. Ils aimaient jouer au tennis ensemble et ils initièrent les Potter-Malfoy afin de pouvoir jouer en équipe. (ils le regrettèrent immédiatement car à partir de ce jour, ils ne gagnèrent plus jamais un match. Harry et Draco étaient les plus gros try-hardeurs de l’univers)
R B Z devint une marque fleurissante et populaire pour la qualité de ses vêtements et l’originalité de son style. Blaise put enfin s’habiller comme il le voulait, Ron avait un métier qu’il aimait, Draco devint l’effigie de la marque et tant qu’à faire, Blaise embaucha Harry comme photographe. La vie n’était pas si mal.
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freddieraimbow74 · 6 days
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20 mai 1974 - Queen sort « Seven Seas Of Rhye » avec « See What A Fool I’ve Been » aux États-Unis par Elecktra Records
Ce qui a finalement été prouvé, bien sûr, c'est la maîtrise des mots de Freddie Mercury et la difficulté de tous les autres à les interpréter et à les analyser. Les mots de « Seven Seas of Rhye » sont ambigus et défient toute explication.
Freddie a écrit cette chanson basée sur un monde fantastique appelé « Rhye » qu'il a créé avec sa sœur étant enfants.
Dans une interview radio BBC One de 1977, Freddie a déclaré : « Mes paroles sont essentiellement pour les interprétations des gens, vraiment. J'ai oublié de quoi ils parlaient. C'est vraiment factieux, je sais que c'est comme s'incliner ou la solution facile, mais c'est ce que c'est. C'est juste le fruit de votre imagination. Tout dépend de quel genre de chanson vraiment. À cette époque, j'apprenais beaucoup de choses. Comme la structure de la chanson et en ce qui concerne les paroles, elles sont très difficiles en ce qui me concerne. Je les trouve une sacrée tâche et mon point fort est en fait le contenu de la mélodie. Je me concentre d'abord sur ça ; la mélodie, puis la structure de la chanson, puis les paroles viennent après, en fait. ”
Brian a dit : « La chanson était l'idée de Freddie. Il a eu cette jolie petite idée de riff au piano. Tous les huit du milieu sont peu importe ce que j'ai fait, donc on a définitivement travaillé dessus ensemble. Mais quand il s'agissait de la sortie de l'album, Freddie a dit : « J'ai écrit ça. ” Et nous avons tous dit, «... OK ! ” Ça ne semblait pas si grave, mais Freddie a dit : « J'ai écrit les mots et c'était mon idée donc c'est ma chanson. » La loi non écrite était que la personne qui a apporté la chanson obtiendrait le mérite d'avoir écrit cette chanson. Et l'argent pour écrire cette chanson. Beaucoup plus tard dans l'histoire de la Reine, nous avons changé cela. ”
La piste n'a pas réussi à atteindre le classement aux États-Unis, mais a été un succès percé pour le groupe au Royaume-Uni ; ils ont obtenu leur entrée dans les classements culminant à #10
Le succès de la chanson a permis à Freddie de quitter son travail de jour en travaillant dans un stand du marché de Kensington à Londres et de se concentrer sur Queen !
« Sept mers de Rhye » 👉 https://youtu.be/u7e4Tr9IH5U
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mysteryshoptls · 2 years
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SSR Rook Hunt Birthday Boy Personal Story: Part 1
"Happy Birthday"
Part 1 (Part 2) (Part 3)
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[Pomefiore Dorm – Birthday Party Venue]
Happy Birthday.
NRC School Newspaper
Special Feature: Interview with the Birthday Boy
~Rook Version~
Rook: Merci, Trickster!
How does it feel celebrating with everyone?
Rook: Having so many of my fellow students in one place all wishing me a happy birthday like this… It's très bien.
Rook: When I ran into Roi du Léon in class, I made sure to tell him that I would very much like to see him at the party.
Rook: But Monsieur Dandelion came to the party to deliver a message from Leona-kun instead.
Rook: He simply said, "Like I'd ever come!" Quel dommage!
Rook: But of course, the little messenger Ruggie-kun seemed to have fully enjoyed stuffing himself at the party.
Rook: Oh, but speaking of which, I haven't seen sight of Roi du Dragon, even though I invited him…
Rook: Well, I suppose we should wait patiently some more. That is part of the thrill of the hunt, after all.
Rook: And of course, the thing that brought me the most joy was… that Vil and Epel-kun came to celebrate with me!
Rook: Whenever I gaze upon their beautiful smiling faces, I find myself feeling fortunate that I was able to join Pomefiore.
Rook: Today may be a birthday party for my sake, but I would like for everyone to enjoy themselves. Of course, that includes you.
Before you came to this school, how did you celebrate your birthdays at home?
Rook: Fufu… Well, that would be a secret.
A secret…? You really won't tell me…?
Rook: Oh là là! It seems you cannot help be curious about me.
Rook: I do understand how you feel, since once something has caught my interest, I tend to want to pursue it to the furthest extent possible. I apologize, but non!
Rook: And you see, a secret is always sweeter as long as it left a secret, Trickster.
Part 1 (Part 2) (Part 3)
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Requested by Anonymous.
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culturefrancaise · 4 months
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Je me retrouve à écouter cet album pour la première fois depuis une éternité. Ce matin, sans raison, j'avais une partie de "Stop, babe" dans la tête.
"Easy" me rappelle "Right where you left me" de Taylor Swift. Elle a aussi l'amertume de "Stressed out".
Tokio hotel c'est beaucoup, beaucoup de souvenirs. J'ai été très fan jusqu'à environ 2017. Cet album, si attendu, avait été une déception. Je n'en avais rien de foutre d'entendre à quel point Bill Kaulitz s'est drogué et planait tout le temps partout dans des soirées en Californie. Je voulais des chansons un minimum plus profondes que ça, plus sentimentales peut-être. Et puis un album de dix chansons seulement, après des années à faire poireauter les fans ? Ça sentait le poil dans la main. Ça plus leur actualité, ça montrait des gars qui n'avaient pas envie de travailler, qui comptaient pomper les économies des fans les plus loyales pour continuer à entretenir leur train de vie de luxe plutôt que de faire de la bonne musique.
En 2020 j'ai unfollow Bill pendant le premier confinement. Plus on passait de temps renfermés, plus il se montrait dénudé et prétentieux. Il m'a gonflée et j'avais pas envie de ses conneries dans ma vie.
Pourtant je reste nostalgique, et quand un nouvel album sort, j'écoute.
Et s'il y a quelque chose que je ne peux pas enlever à Bill, c'est qu'il s'en fout de ce que disent et pensent de lui les gens, il reste fidèle à lui-même. Et ça, ça m'a aidée énormément quand j'étais ado et jeune adulte. Par rapport au harcèlement scolaire, mais aussi... Bill, c'est ma première exposition à une personnalité queer (si on oublie le personnage de Thomas dans Plus belle la vie), presque dix ans avant que je ne découvre ce mot, avant que je ne me découvre queer. Quand je l'ai vu brandir fièrement notre drapeau en festival à Berlin l'été dernier, j'ai été très émue et fière de lui.
Ce qui me manque, c'est la communauté des Aliens. Il y en a sûrement plein qui sont passées à autre chose, ou qui ont maintenant pas le temps de poster sur le sujet avec leur boulot et leur famille... mais les modifications énormes apportées à Twitter n'aident pas du tout. Je ne vois plus aucun tweet d'Alien, et j'ai aussi du mal à retrouver les tweets sur l'actualité du patinage artistique. C'est le bordel.
J'ai une pensée pour Skyblog, pour les blogs d'actus qui publiaient quasi quotidiennement, pour les traductrices qui nous aidaient à comprendre les interviews, vidéos, etc. Poir celles qui ont choisi allemand LV2 et qui en ont fait quelque chose, et celles qui ont regretté parce que l'allemand c'est difficile. Pour toutes ces fanfictions qui m'ont enchantée pendant des heures et des heures et qui sont désormais perdues à jamais.
Bref, s'il y a des Aliens ici... Coucou ❤
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