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#on ne souffle pas !
lolochaponnay · 2 months
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Une jeune et jolie prof d'anglais reçoit dans sa classe la visite d'un inspecteur d'académie. Il lui dit de faire comme s'il n'était pas là et va s'installer au fond de la classe. L'enseignante commence son cours, puis à un moment elle va écrire "Pussy is a cat and Snoopy is a dog" au tableau, faisant admirer une charmante mini-jupe particulièrement moulante. Quand elle a fini, elle demande : - Qui peut me le traduire ? Toto lève la main : - Ça veut dire "Quel beau petit cul !" La prof, outrer, lui lance sèchement : - Tu prends la porte immédiatement et tu es collé mercredi ! Toto prend ses affaires, se lève et en passant à coter de l'inspecteur il lui dit : - Quand on ne sait pas, on ne souffle pas !
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praline1968 · 5 months
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Mon beau Charly,
Mon petit bouchon,
Ma beauté suprême,
Ma petite merveille,
Il y a 1 an aujourd’hui, tu prenais ton envol à 3h40 alors que tu étais dans mes bras.
Tu étais agité, j’ai essayé de t’apaiser mais je n’y suis pas arrivée à mon plus grand désespoir.
Malgré des signes d’affaiblissement que j’avais mis sur le compte d’un début de vieillesse,
Je n’ai pas vu, senti, compris, qu’une tumeur grandissait dans ton ventre depuis des mois.
Le poids des regrets et de la culpabilité me ronge un peu plus chaque jour.
Ton départ est le plus grand malheur de ma vie terrestre, nous étions si fusionnels.
Tu étais ma boussole, tu étais ma lumière, aujourd’hui, sans toi, je suis perdue dans le noir.
J’ai perdu le goût de vivre, plus rien n’a d’intérêt ni de sens dorénavant.
J’attends juste la fin au plus vite en espérant que je pourrai enfin te retrouver.
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🎤 Michel Pépé ~ Le coeur des anges 🎧
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(Petit poème que j’ai écrit pour toi le 24 décembre 2022)
🩵 Mon Charly 🩵
Il y a 9 ans, tu apparaissais et venais combler ma vie,
Tél un don venu du ciel, tu rallumais mes jours et mes nuits,
Pour moi, revenait alors le goût de vivre, l’énergie,
Un vrai bonheur, un éclair de temps et de vie qui déjà s’enfuit,
Et me laisse dans un silence, une solitude et une détresse infinie.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Petit chien de caractère, petit être d’exception,
Tes grands yeux noirs respiraient l’intelligence,
Coquin, joueur, espiègle, bavard et râleur,
Tu t’exprimais toujours avec ferveur,
Florilège d’intonations sonores,
Tu t’affirmais avec assurance, énergie et passion,
T’avoir dans mon existence fut une extraordinaire chance.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Tes mimiques, ta joie de vivre, tes discours, ta drôlerie,
Emplissait la maison de joie, de rires et de fantaisie,
Ta démarche aérienne si gracieuse, telle une élégante danseuse,
Ton majestueux panachon exprimait ton humeur toujours joyeuse,
Ta présence nous inondait d’amour et rayonnait d’une manière inouïe.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Ce si triste et douloureux dernier soir,
Malgré ton hospitalisation, je t’ai ramené dans ta maison, près des tiens,
Je ne voulais pas que tu restes à la clinique sans personne ni rien,
Seul dans cette cage, dans la peur, l’angoisse, le froid et le noir,
Je ne sais pas si ma décision fût la bonne,
J’espère juste que ce choix aurait aussi été le tien.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
La nuit de ce 22 décembre qui a vu s’éteindre ta lumière,
Quand ton souffle s’est subitement arrêté,
Et que ton petit corps dans mes bras a soudain cessé de s’agiter,
J’ai senti ton esprit s’envoler, tu étais enfin libéré.
J’ai alors ressenti cet indescriptible vide abyssal où s’arrête l’univers,
Incommensurable et insupportable déchirure qu’à jamais j’aurai du mal à porter.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A présent, il me reste les médicaments pour ne pas sombrer,
Pour parvenir à trouver le sommeil et ne plus penser,
Malheureusement, chaque jour, il faut bien se réveiller,
Retrouver et affronter cette terrible réalité,
Cette douleur immense, il faudra beaucoup de temps pour l’effacer 💔
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A jamais, pour toujours, je t’aime mon Charly 💕 💞
J’espère te retrouver bientôt pour l’éternité dans l’amour infini 🙏🏻
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borgien · 2 months
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debout, attaché, bras levés, yeux bandés, demeurer ainsi un long moment, suffisamment pour que la notion du temps s’efface, pour que toutes sortes d’idées me traversent l’esprit me laissant dans un sentiment étrange où se mêlent craintes et désirs exacerbés, exaltés...
puis, la sentir se coller à moi, sentir dans mon dos nu ses seins au travers d’une fine étoffe caressante, sentir ses doigts effleurer ma peau, attiser mon désir, sentir ses ongles griffer légèrement ma chair, sentir son souffle éveiller mon derme...
puis, sa main se glisse dans mon boxer, chemine sous mes couilles, les soupèse, les serre légèrement, remonte sur mon sexe à demi bandé, découvre le gland, doigts le caressant, sa main remontant vers mes narines, se glisse entre mes lèvres, elle chuchotant : « goûte, goûte à ton sexe... »
puis, sa main se glisse à nouveau dans mon boxer, chemine entre mes fesses, caresse mon anneau culier, un doigts s’y faufilant, sa main remonte vers mes narines, se glisse entre mes lèvres, elle chuchotant : « goûte, goûte à ton cul... »
puis, se détachant de moi, moi attentif au moindre de ses gestes, voulant connaître ce qui m’attend...
des lanières de cuir dans lesquelles je reconnais un martinet, glissent sur ma peau, caressent mon dos, mes seins, elle se rapprochant et chuchotant : « je vais laisser des marques partout sur ta peau pour que tu saches à qui tu appartiens, je ne m'arrêterai pas jusqu'à ce que tu sanglotes ou que tu me supplies d’arrêter, ce n'est qu'à ce moment-là que je passerai doucement mes lèvres et mes doigts sur ces marques. . .
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coolvieilledentelle · 3 months
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"Il y a les amours secrètes qui tirent leur force du silence. Il y a des amours platoniques qui échangent des idées et des valeurs. Il y a des amours romantiques, douces et tendres comme des soupirs. Il y a des amours éclatantes, qui s'allument et meurent au cours d'une seule rencontre. Il y a des amours sereines qui voyagent dans le train des habitudes.
Puis… Il y a les autres, plus rares, celles qui coupent le souffle, qui restent attachés au cœur et à la peau, qui ne connaissent pas le temps et n’ont pas de définition. "
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hey-kae · 2 years
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Mini You
Pairing: Dad!Pierre Gasly x female reader
Request: hello! i’m back with another request. this one is based on a tiktok i saw: pierre and the reader (they don’t necessarily have to be married) have a son (he would be like 2 years old) and pierre planned a boys day with charles and of course he brings his son with him so the reader has the idea to dress their son exactly like pierre is gonna dress and when their done she’s like “let’s go show daddy!”. just pure fluff, really!
Warnings: -
Sidenote: I’m super bad at picking out names but the child is called Théo. I hope that’s not too bad! Also, Pierre and reader are married here just because who wouldn’t want to get to call Pierre their husband?🫠 Hope you like it!!
Pierre having time off meant he would be trying to fit his little family into every activity he agrees to that would involve him leaving the house or shifting his attention elsewhere, especially his son who he was extremely attached to. Théo, who had recently turned two, was the spitting image of his father minus his lips and hair that turned out looking like yours. His eyes however, were identical to Pierre’s, the same shade of crystal blue that you found yourself adoring more and more as the years passed.
That morning, you woke up alone in bed to a loud clatter resonating through the house but originating in the kitchen. The noise wasn’t unexpected since Pierre was home on a break but the sound of pans and spoons with the laughter of your husband and the small giggles of your son was concerning.
Make no mistake, Pierre was amazing with Théo. In fact, he was so good with him, it surprised you at first. He fell so naturally into the role of a dad the second he heard his son’s first cry, tears welling up in his joyful eyes as he cradled his then new born in his arms, whispering to him soft words like “Ma vie est la tienne maintenant, petit ange.” My life is yours now, little angel. and “Je vais te protéger, toi et ta maman, jusqu'à mon dernier souffle.” I’m gonna protect you and your mom until my dying breath.
However, him with Théo in the kitchen always ended with a mess.
Yawning, you pulled yourself out of the comfortable bed and strolled lazily towards the kitchen, eyes still sleepy and brain still half asleep. Once you reached the open door, your sight landed on Pierre, shirtless and only dressed in loose shorts, facing Théo who was sat up on the counter, giggling as his father tickled his stomach. You stood still and watched them for a moment, trying hard to ignore the pile of plates and bowls stacked up beside them right by a batch of burnt pancakes.
It was rather admirable how much these two enjoyed each other’s company, how entertaining they found each other despite how young Théo still was. Their interactions were most definitely your favorite things to ever watch as they seemed to prove how good of a job you had done when you fell in love with Pierre and decided that he was the one person you wanted to call your lifelong partner, your husband and the father of your children.
“The food looks good.” You broke your silence a few seconds later, smiling and crossing your arms in front of your chest while leaning against the doorframe.
“Maman!” Mom! Théo squealed, clapping his little hands together in excitement. Pierre helped him off the counter and watched him run towards you with a smile on his face.
“Bonjour, mon ange.” You replied, mirroring his excitement and leaning down to pick him up, placing a kiss on his cheek while crossing the distance towards your husband.
“Et bonjour à toi aussi, Chef Pierre.” And good morning to you too, Chef Pierre.
With a huge grin on his face, Pierre leaned towards you and quickly pecked your lips while Théo giggled, entertaining himself with your hair.
“Je crois pas qu’on pourrait manger ça.” I don’t think we’ll he able to eat this. He cringed, gesturing towards the pancakes.
“Ah, vraiment? Je ne l’aurais jamais deviné si tu ma pas dis!” Oh, really? I wouldn’t never guessed it if you didn’t tell me! You teased as you took in the kitchen’s disastrous state.
Pierre was quick to take notice of your dreading gaze.
“Don’t worry, baby. I’ll do the cleaning.” He smiled at you assuringly, “But then I’ll need you to dress Théo and prepare his things ‘cause i want to take him out with me today.” He said, turned around and immediately started loading the dishwasher.
You put Théo down on the floor since he had begun to complain about being held and went to help Pierre.
“Hm, where are you taking him?” You curiously asked.
“I would’ve invited you but it’s kind of a boys day. I haven’t seen the guys in a while and Charles is in town right now so… yeah. Unless you stick on a fake mustache, you can’t really go.” He grinned, his eyes still repeatedly drifting off the check on his son who was now sat on the floor, playing with a miniature F1 car and making car sounds as he pushed it around on the floor. You and Pierre took him to the paddock only once before deciding that he was still far too young for that environment but even a while later, Théo still imitated the sound of the cars while playing.
Much to Pierre’s amusement, Théo refused to play with the Alpha Tauri car, always picking out ones that had bright colors instead. His favorites seemed to be the McLaren and the Ferrari, both gifted to him, one from Charles and the other from Lando, each of them obvious from who. Pierre would try to sneak the Alpha Tauri one into Théo’s hands but it would end up getting chucked away seconds later, leaving you laughing while your husband watched your son in frustration.
“Bah, je sais que ce n’est pas la meilleure voiture mais papa est le pilote de celle-ci.” Well, I know it's not the best car but dad is the driver of it. He would try to explain to his son, repeatedly pointing to the white and navy car, only to get ignored by Théo.
“How do you know he wouldn’t be bored halfway through the day? He might start bugging you.” You asked Pierre, wanting him to fully enjoy his day with his friends.
“He wants to go.” He shrugged. “N’est-ce pas, Théo? Tu veux partir avec papa, mon petit homme? Tu veux que tu passe la journée avec papa et ses amis?” Isn’t that right, Théo? You wanna go with dad, my little man? You wanna spend the day with dad and his friends? He picked him up, tickling his stomach and smiling as Théo giggled and clapped his hands.
You watched them with a soft smile of adoration, deep down knowing that Pierre would end up taking Théo with him no matter what.
“Oui! Partire avec papa!” Théo beamed with an adorable smile on his small face.
“Alors, dit a maman qu’elle doit t’habiller, mon ange.” So, tell mommy that she has to dress you, my angel. Pierre let him go and he ran towards you, clasping his small fingers around your hand and dragging you to his room.
You flashed Pierre a quick grin and walked by Théo’s little figure, you attention constantly on his steps, making sure he wouldn’t stumble or trip until you reached his room.
As you picked him up and sat him on the chair by his bed, you realized the mess from the kitchen had gone further than what you had noticed. The back part of Théo’s hair had traces of flour and he smelled like burned pancakes.
“My god, Pierre.” You expressed your annoyance. Your son couldn’t speak english yet, you and Pierre having decided to stick with french for now to avoid confusing him, but he smiled widely at the mention of his father’s name.
“Papa!” He beamed.
“Oui, mon petit. Papa. I’m gonna kill him.” You said with a big smile, caressing your son’s blushed cheeks with love before carrying him to the bathroom to clean him up.
Ten minutes later, Théo had clean hair and smelled fresh again. Now, you only had to decide what to dress him in. That’s when you realized you had no clue where they were going, therefore you had no idea what type of outfit would be best.
Making sure Théo was safely sat on his bed, you left the room to question Pierre about his plans. First, you checked the kitchen but found it empty and decently clean now. Smiling, you made your way to yours and Pierre’s bedroom. The door was slightly opened so you went in instantly.
Pierre was stood in front of the mirror, now dressed in white shorts and a baby blue shirt along with his blue and white jordans, fixing his hair and putting on perfume.
It almost immediately resurfaced in your mind that Théo had almost identical clothes so instead of asking Pierre about what should you dress Théo in, you decided to just imitate his outfit.
You pretended you needed your phone to check the time when your husband took notice of your presence in the room, his eyes following your movements while a small smile played on his face.
“You look good.” You complimented him, wrapping your arms around him for a few seconds, giving him a kiss slightly longer than the one you exchanged in the kitchen in presence of your young son.
“Merci, chérie.” He smiled once you pulled away, squeezing you closer to him before you let go, making your way back out of the room.
“Je t’aime.” I love you. You heard him say once you were in the hallway.
Smiling as you walked, you replied with a teasing “Je sais” I know and waiting to hear his reaction, a small laugh, before you said the words back.
“Je t’aime aussi.” I love you too.
Walking into Théo’s room, you found him still sat quietly on the bed, entertaining himself with a bunch of toys by his side.
“Tu veux t’habiller comme papa?” You wanna dress like dad? Je smiled at him as you pulled his closet open.
“Comme papa!” Like dad! He was clearly excited, moving to get off the bed.
You rushed to his side, helping him off and letting him join you by the wardrobe as you pulled out his white shorts and put them on him, his adorable blue eyes watching your every movement as you did.
Then you started searching for Théo’s shirt that matched Pierre’s, grinning as you found that it’s color was basically identical to his father’s.
“Pierre vas être si content quand il te verra habillé comme lui, petit ange.” Pierre is gonna be so happy when he sees you dressed like him, little angel. You started imagining your husband’s reaction to the outfit, your heart already swelling just from thinking about it.
Following that, you pulled out the tiny looking Nike box, fishing out the shoes identical to Pierre’s from inside it.
The memories of when Pierre came home from a trip with the small jordans with him made their way back to your mind. Théo had repeatedly pointed out that his shoes matched his fathers, making both of you and Pierre laugh at how adorable the small Nikes looked on his feet.
The outfit was completed after you managed to put the shoes on Théo’s feet, him complaining a bit about having to ditch being barefoot. Luckily, with a bit of sweet-talking, it all worked out.
You took a step back, smiling widely at how adorable your son looked then quickly packed him a change pf clothes along with a few essentials in a small bag Pierre would have to keep in his car just in case things got messy.
“Allez-y, on va montrer papa maintenant!” Come on, we’re gonna show dad now! You clasped his little hand with his and he walked beside you with the biggest, most adorable smile on his face.
Once you two reached the living room, before you were in Pierre’s line of view, you spoke up to warn him so Théo’s outfit would stay a surprise.
“Pierre, ferme les yeux. Théo a une surprise pour toi.” Pierre, close your eyes. Théo has a surprise for you.
The little guy beside you giggled, his hand over his smiling mouth as you waited a few seconds before appearing in the door with him.
You gave Théo a small pat on the shoulder, gesturing for him to go to Pierre. With a small chuckle, he eagerly ran to his father, climbing quickly onto his lap and poking his cheek.
“Regarde!” He beamed, both of you waiting for Pierre to open his eyes now.
As soon as Pierre caught a glimpse of Théo, a wide smile appeared on his face. He got up and placed Théo on the ground, crouching down in front of him with heart eyes that made your heart feel like it was gonna burst out of your chest.
“T’es très beau, mon ange et tu t’es habillé comme moi? Maman vas être si jalouse maintenant! Que va-t-on faire?” You are so handsome, my angel and you’re dressed like me? Mom is gonna be so jealous now! What are we gonna do? Pierre grinned with a love packed expression, his eyes glistening as he looked at his son.
Théo, clearly more than happy being the center of his father’s attention, giggled and wrapped his small hands around Pierre’s neck.
“Je t’aime, mon petit amour.” I love you, my little love. Pierre spoke into the hug, his eyes closing as his arms wrapped around his young son, his heart nearly bursting with love for the small family the two of you had created.
“Je t’aime, papa!” Théo was quick to reply while his father picked him up and sat him on the couch before heading your way.
“Thank you so much for this, chérie. I am so lucky to have you and Théo. I love you beyond words.” He brought you to his chest and kissed your temples.
Nothing compared to being in Pierre’s arms. The feelings of serenity and safety his hugs provided you were to die for. It was yet another reason as to why you were so thankful for his presence in your life and for the fact that he was the father of your child, knowing that Théo would grow up always feeling safe by his side and in his presence.
“I love you too, i love you so much.” You said back, smiling into his chest before pulling away since he probably should get going.
Your gaze drifted back to Théo who was watching with a smile, his expression and facial features looking too much like Pierre’s.
“He’s a mini you, i swear!” You chuckled, “Kinda not fair ‘cause i’m the one who carried him for 9 months but whatever.” You childishly but jokingly complained, Pierre chuckling at your remark.
“Next one will look like you. Hopefully, at least.” He teased and you rolled your eyes playfully, moving a bit to retrieve Théo’s things that you prepared.
“This has everything you might need.” You handed him the bag, “If he starts bugging you about leaving, just give me a call and i’ll pick him up.”
Pierre nodded, pulling the bag over his shoulder and picking Théo up, heading to the front door.
“Have fun!” You told Pierre, continuing in french so Théo would understand, “Au revoir, mes amours!” See you later, my loves! You blew them a kiss, your son quickly returning it as Pierre waved goodbye to you before disappearing out the door.
When the front door clicked shut and silence reigned over the house, you fell back against the couch, planning out your day in your head. You were eager for some quiet and relaxation as that seemed almost impossible with Pierre and Théo around, together forming quite the chaotic duo around the house.
Though you were so grateful for some alone time, it was undeniable that you’d miss their presence throughout the day.
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abdou-lorenzo · 4 months
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La musique est le véritable souffle de la vie.....✨✨✨
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On mange pour ne pas mourir de faim.....✨
On chante pour s'entendre vivre......💞🪕✨
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Yasmina Khadra....🪶
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mare-avatars · 4 months
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Quand je vois tous ces forums forums 'pour public mature et averti' qui ne sont pourtant que "interdit aux -16ans", j'ai VRAIMENT envie de secouer des gens.
On le sait que c'est pour pouvoir poster vos publicités sans balise [hide] sur PRD et dans le chan général de serveurs de pub, mais damn ça ne vous gêne pas de potentiellement jouer des trucs sensibles avec des mineurs.es juste pour avoir de la visibilité ? Non parce que news flash de vieille : à 16 ans on est ni mature, ni averti.e, on pense l'être mais on est ultra influençable et impressionnable.
A mesure que la population rpgique prend de l'âge, il va vraiment falloir qu'on trouve un moyen de protéger les jeunes. C'est pas sain ou normal de jouer des ships tourmentés ++ avec un age-gap de 11 ans entre les personnes de chaque côté de l'écran, surtout quand le.a plus jeune a vu ses années lycées/fac impactées par la pandémie et le.a plus vieux se souvient du passage à l'euro. J'vais pas parler de grooming ou de manipulation, mais juste rappeler qu'il y a une différence monstrueuse de vécu et de recul. Evidemment que c'est à gérer au cas par cas et que j'ai des potes rpgique en début de vingtaine... Evidemment aussi que c'est pas avec elleux que j'écris mes trucs les plus sombres.
Les trentenaires-ou-presque, on a tous vécu des situations louches dans le rpg, j'crois que c'est un peu notre devoir de veiller sur celleux qui débarquent maintenant et n'ont pas nos expériences traumatiques pour savoir se méfier...
Dans la même veine, il va aussi falloir qu'on trouve une façon de distinguer les forums +18 qui le sont parce qu'ils traitent de q* et ceux qui sont +18 parce que la communauté a conscience des sujets et des tw abordés et ne veut pas interagir avec des ENFANTS. Oui, un adolescent est un enfant. Non, pas moyen de contourner, vous sonnez juste comme Jean-Kylian, 23 ans qui vient en Twingo tunée pour chercher sa copine 'mature pour son âge' sur le parking du collège. C'est glauque.
*aucun mal à être sur un forum olé olé, il n'y a pas de jugement, ce sont juste deux communautés différentes qui n'ont pas besoin d'être toujours foutues dans le même panier.
Fin bref, j'arrête de /rant/, j'vous encourage juste à vous interroger sur les priorités morales des gens qui ont des forums darkos mais qui laissent la porte ouverte aux enfants. On se sait et on souffle un peu.
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lisaalmeida · 10 months
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Ton odeur
Je ne la connais pas
Pourtant tu m'habilles l'esprit
Et tu habites toutes mes pensées
Impalpable...
Indécente
Et tu me submerges
Je reste toujours
sans souffle
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unesimplevie · 5 months
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Il y a ce moment où j'ai juste envie de me refermer dans ce câlin que je ne connais pas, d'écouter les battements du cœur, le souffle, le bruit du silence..
Là où la peau se touche et les parfums se mélangent..
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peutetreplusblog · 7 months
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Quand j’ai ouvert cette porte
Je ne m’y attendais pas
Le souffle coupé
J’ai fait demi-tour
Et je suis ressorti
Après réflexion, pourquoi cette porte n’était-elle pas verrouillée…
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urwendii · 1 month
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This was supposed to be posted for @silmarillionepistolary but life got in the way.
Note: French, some sort of prose.
Pairing: Maedhros x Fingon
Son père ayant péri, Maitimo écrit une lettre finale à Findekáno avant de partir rencontrer Melkor.
Pardonne moi mon amour,
Pardonne moi Finno de devoir t'écrire lorsque le monde n’est qu’obscurité, lorsque nos épées suintant encore du sang de nos péchés ne sont à peine rangées. 
Pardonne moi Finno pour n'avoir pas su être grand et dans notre folie envolée dans ce vent si rugissant, ne me viens maintenant que le goût amer des regrets. 
Pardonne moi Finno pour ne pas lutter, ne pas pleurer, ne pas crier. L'éloquence des mots qui furent un jour mon arme s'est évaporée comme une simple flamme sur laquelle on souffle avant de se coucher. 
Pardonne moi mon amour car si il y a dorénavant des cendres sous mes ongles, dans mes yeux; celles dans mon cœur tapissent déjà une triste destinée presque achevée. 
Pardonne moi mon amour, car je dois m'en aller au plus loin dans cette obscurité, et je la redoute, je la maudit, elle qui m'aura bientôt trahie. Il est l’heure à présent où lorsque je me lèverai, roi de quelques heures, couronné de larmes et de colère, je marcherai alors, la tête levée. 
Pardonne moi Finno même si dans mon cœur résonne encore la poésie de ton corps et moi ivre de tes baisers, lorsque nous étions inconscients et si beaux, mon amour, dans notre gaieté. 
Pardonne moi mon amour, car à quoi peut bien rimer mon existence si séparé de toi, je ne peux que prier que tu aies renoncé. 
Russo.
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borgien · 2 months
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Comme elle me l’a demandé, je suis nu au milieu de la pièce. Elle viens se coller contre moi, dans mon dos. Ses narines viennent me renifler dans mon cou, son souffle me fait frissonner. Elle me chuchote : « Ta peau est blanche, très blanche, elle ne le restera pas longtemps... ». Ses mots me troublent... 
Nos corps s’emboîtent, son ventre se frottant à mes fesses, mes sens s’emballent. Une main glisse sur ma poitrine, mes seins, l’autre, sur son cou, refermant lentement son étreinte, danse sensuelle... 
Elle chuchote ; « Tu es à moi… »
Elle s’écarte, ma croupe se retrouve soudainement offerte et mise à sa disposition, qui appelle une claque, puis une autre, faisant retentir un cri (de surprise, de douleur, de plaisir ?).
Elle me tourmente en me caressant ou en me griffant, selon l’angle de ses ongles sur mes chairs. .
Commence une nouvelle série d’élans de ses mains sur mes fesses, cette fois-ci avec une force augmentée... Je crie.
En guise de récompense, elle m’annonce la venue du martinet et me demande de me présenter dans la posture appropriée pour recevoir la chaleur à venir  : « agenouillé, tout le cul et les cuisses à ciel ouvert ». Après les coups de martinet, viendront ses coups de ses reins qu’elle aura ceint d’une verge...
Puis, bien plus tard, reposant ma tête sur ses cuisses, ses mains caressant mon visage, elle dira : « tu vois, quand je te permets de te comporter en petite chienne assoiffée d’indécence, chaque geste, chaque parole, tout se mue en plaisir...
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coolvieilledentelle · 3 months
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Et les plus belles empreintes que nous pouvons laisser ne sont pas faites de mots, mais de ces merveilleux gestes qui ont le parfum d’une fleur et le toucher délicat d’un souffle de vent.
Ce sont des empreintes de frissons de joie pour l’âme.
Loredana Bertone
Bonne soirée chers amis
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vertalligatorus · 1 month
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nos chants en écho (ii)
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C’est généralement dans le gris et le brouhaha qu’elle vous trouve, l’île aux échos. Un flyer rédigé à la main à demi détaché d’un vieux mur décrépi, une annonce radio prodiguée par une voix nasillarde qui crépite ou encore une carte postale à l’aspect vieilli qui se glisse entre deux retards de paiements. Elle s’invite toujours là où vous l’attendez le moins, là où vous en avez le plus besoin. L’invitation est toujours différente, comme conçue spécialement pour vous — sans que votre nom y figure pourtant. Elle se présente toujours comme une coïncidence, ne s’impose jamais ; alors libre à vous de l’ignorer ou de prendre votre téléphone et de composer le numéro, seule constante qui y figure toujours. C'est l'Amiral qui décroche à chaque heure du jour et de la nuit. Il vous crie par-dessus les bruits de la mer agitée qu’il attendait votre appel et lorsque quelques heures plus tard vous posez le combiné votre bouche est sèche et votre valise à demi faite. Depuis le continent — ne vous avisez pas de mentionner lequel une fois arrivé.e sur l’île — il faut plusieurs heures pour la rejoindre. La mer est toujours capricieuse mais l'Amiral affirme qu’il amène toujours ces passagers à bon port. Puis le soleil finit par percer la brume et alors, les contours de l'île se dessinent devant vous. Et alors que vos pieds rejoignent la terre ferme, vos oreilles commencent à bourdonner; petit à petit il se fait entendre : L'Écho de l'île. Mais le bourdonnement ne vous inquiète pas plus que les nombreuses fleurs qui poussent en plein hiver, les animaux étrangers que vous apercevez en forêt ou encore ce nuage qui semble en permanence suivre votre voisin d'en face... Parce qu'arriver ici c'est embrasser l'étrangeté de l'île, accepter que les règles du normal ne cessent de se tordre, au plus grand plaisir des habitants loufoques de ce lopin de terre aux allures fantastiques...
NOS CHANTS EN ÉCHO. 🦪🐚🐮🌊
@jaamjaam (poupa), douce mélancolie. (ena), @adoko (pau) et moi vous présentons la deuxième version de notre très cher forum low fantasy!! nous avons en effet remanié un peu le fond et désormais, la magie est un peu plus forte à Brambles. Pendant ce temps, une tempête souffle fort et la pluie s'apprête à faire déborder les rivières...
— fc réels — pas de minimum de rps par mois, ni de mots — moodboard
comme promis, j'ai utilisé les merveilleuses textures de @carpathesknight my dear, i miss u<333 merci d'avoir créé ce pack je vais le saigner pour mes prochains avatars et devenir encore + d4rk. bref!! n'hésitez pas à nous rejoindre, à très vite!!
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alicedusstuff · 10 months
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Pensée nocturne_version française
Wukong n'a jamais écouté les conseils de Macaque. Chaque philosophie sombre était contrée par une pensée heureuse. Chaque avertissement était balayé d'un revers de la main, effacée d'un baiser, soufflée d'un câlin, ou épousseté de l'idée d'un idéal incertain. En soit, tout ce que le Macaque pouvait dire qui n’allait pas dans le sens du légendaire roi singe était ignoré de la plus belle des manières. Et ce n’est que maintenant, dans le creux de son lit, au milieu de la nuit, coincé dans les bras de la cruelle personne qui l’avait tant de fois rejeté et désiré à la fois, que l’esprit de Macaque lui fit un rappel bruyant de sa condition. 
"Wukong ne m'écoute pas…" réalisa Macaque. 
Et l'idée même que cette réalité se répète à nouveau dans le futur dans lequel il se trouvait le paralysait. Était-il sain de reprendre sa relation avec Wukong ? Non. Ça ne l'était certainement pas. Macaque savait plus que trop bien ce que l'un et l'autre voyaient en eux. Le singe de pierre voyait en Macaque, le compagnon fidèle et aimant qu'il regrettait avoir assassiné. Et le singe de l'ombre voyait en Wukong le doux bonheur brûlant qui l'avait forcé à tout nier pour se laisser consumer jusqu'à la tombe. 
C'était clair que si Macaque et Wukong s'étaient une fois  aimés sincèrement à leur premier "je t'aime"; ils n'aimaient tous deux chez l'autre,  aujourd'hui,  que le souvenir fané qu'ils représentaient. 
Aucun d'eux ne se connaissait plus. Leur mouvements restaient en synchronisation; mais ils n'étaient plus harmonisés de la même façon qu'avant. La différence entre ces deux faits était aussi fine et confuse que la différence entre amour et adoration. 
"Wukong ne m'aime pas." Réalise Macaque pour la seconde fois, tandis que son  souffle s'accélère. 
Le singe à la fourrure de jais se retourna dans son lit, et se blottit dans les bras de son compagnon. Depuis la destruction de la maison de Wukong sur la montagne de fleurs et de fruits, le singe de pierre était en cohabitation avec Macaque. La situation les avait rapprochés, et ils avaient alors décidé de reprendre leur relation, depuis longtemps brisée. Mais maintenant, Macaque doutait. Il aurait dû dormir. S'il s'était endormis,  il n'aurait pas pensé autant. Pourquoi diable ne dormait-il pas ? 
Macaque ferma fortement les yeux. Ses muscles se tendirent sous l’effort, comme si tout son corps essayait de le forcer à dormir. Malgré tout, le geste ne fait que rendre Macaque encore plus conscient de ses pensées parasites. Il ne devrait pas penser. Il ne devrait vraiment pas laisser son esprit lui jouer des tours. Mais il n’y pouvait plus rien. Chaque tentative mise en œuvre pour faire disparaître les pensées sombres était conclue par une vague encore plus forte de pensées obscures. 
Dieux! N'allaient-elles pas se taire !?
-Macaque. 
Le cœur de Macaque loupa un battement et ses oreilles s’agitèrent une seconde. Macaque tentait de regarder autour de lui. Il leva les yeux vers Wukong pour voir si ce dernier dormait réellement. 
Avait-il imaginé la voix du sage ? 
Le souffle de Macaque s’arrêta, uniquement pour écouter la respiration de Wukong, s’assurer de si ce dernier était bien celui qui avait ouvert la bouche, ou s’il avait juste entendu une voix. 
Cela lui arrivait souvent à l’époque. Les ombres lui sussuraient toujours un aperçu du futur, ou du passé de temps à autre. Et c’était si réel que Macaque avait du mal à les différencier de la réalité. Mais ces derniers siècles, il avait été seul quand ces manifestations vocales lui étaient arrivées. 
Le souffle de Wukong était régulier, et lourd. Sa peau était chaude. Et bien que Macaque adorait se coller à cette fourrure qui sentait le soleil; il était, là maintenant, bien trop concentré à s’assurer du fait que Wukong dormait bel et bien. 
-Wukong ? 
Murmurra Macaque, incertain, malgré le fait évident que son compagnon n’avait pas pipé mot. La respiration de Wukong changea de rythme, comme si ce dernier s'était réveillé à l’appel de Macaque. Mais non. Il dormait toujours. Macaque le savait. Le singe de l’ombre sourit, satisfait, et mis à l’aise dans les bras de Wukong; s’agitant comme un petit oiseau qui essayait de s'ébrouer pour retirer la pluie de ses plumes. Puis, quand il fut enfin bien installé, il ferma les yeux encore, essayant de remplacer ses inquiétudes par le battement de cœur de l’homme qu’il aimait. 
-Je t’aime Mac…
Macaque se tendit et leva des yeux surpris vers Wukong dont le rythme reprit un ton plus agité, laissant échapper au sage quelques ronflements. C’était une phrase dite de façon incompréhensible. Les paroles d’une personne endormie. Peut-être même que ce n’était rien de plus que les mots échappés tout droit des rêves de Wukong, mais Macaque les avait entendus de façon bien trop claire. 
Wukong avait dit qu’il aimait Macaque. Il avait dit Mac! Pas Liu Er. Wukong n’avait pas utilisé l’ancien nom de Macaque. Il avait…Wukong a…il aimait…il…!
Le cœur de Macaque battait trop vite dans sa poitrine. Il cognait si fort que le singe de l’ombre eut peur que le son réveille Wukong. Oh par pitié, faites que Wukong ne se réveillerait pas. 
Si il le faisait, il verrait certainement le visage rouge de Macaque, et le sourire qu’il était incapable de faire disparaitre. Les yeux du singe à la fourrure de jais montreraient certainement tout l’amour qu’il portait à Wukong? et Macaque n’était pas prêt à ce que Wukong voit cette expression de lui. Ce serait tellement honteux. Il se sentirait si déshonoré, si Wukong découvrait à quel point des mots aussi simples avaient excité le singe à ses côtés. 
C’était stupide de penser ainsi. Mais le Macaque serait prêt à tuer Wukong, plutôt que de lui avouer combien une simple phrase avait été efficace. Suffisamment pour lui permettre d’effacer ses doutes, et lui permettre de dormir à nouveau.  Dieu! Macaque détestait tellement Wukong! Ce crétin était beaucoup trop adorable pour le bien du singe de l’ombre. 
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La banque de Savoie joue à cache-cache avec ses clients depuis plus longtemps que le plus vieux des habitants ne s'en souvienne. Le rideau de fer n'a pas été remonté depuis l'époque où l'on payait sa baguette en francs. — Tu vois cette relique, Roger ? dit Léo en gratifiant le mur d'un coup de pied nonchalant. On dirait le tableau d'un peintre maudit. — Mouais… Figure-toi que le vieux Marcel m'a dit qu'il y a encore du blé là-dedans. Un trésor que le banquier a oublié sous le comptoir avant de filer à l’anglaise. Léo, à la fois sceptique et amusé, allume une cigarette avec tout le soin d'un homme sur le point de résoudre le mystère de l'univers. — Et comment tu comptes entrer, Einstein ? Tu vas demander poliment au rideau de se lever ? — Nan, tu sais bien que la politesse, c'est pas mon truc. Par contre, j'ai un tournevis dans la poche. — Et après, qu'est-ce qu'on fait ? On s'achète un château ? demande Léo en expirant une volute de fumée. — Un château ? Pourquoi pas l'Élysée tant que t’y es ?! Non, on investit dans un truc sûr, un truc qui ne déçoit jamais. — Comme quoi ? Une appli pour les nostalgiques du Minitel ? Les deux compères éclatent de rire. Et alors qu'ils s'apprêtent à mettre leur plan à exécution, le rideau de fer se met à grincer, comme réveillé par leur audace. Ils se figent, le souffle coupé. Une voix sort de derrière le rideau, rauque et amusée. — Vous comptez vraiment cambrioler une banque avec un tournevis et un paquet de cigarettes ? Léo et Roger se regardent, mi-terrifiés, mi-intrigués. La banque de Savoie, apparemment, n'a pas encore dit son dernier mot.
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