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#musique chretienne
jonnyardor · 2 months
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christophe76460 · 19 hours
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ADORATION ET LOUANGE CHRETIENNE QUI TOUCHENT L'ÂME 🙏 MAGNIFIQUE MUSIQUE ...
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jubaunetwork · 4 months
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Le dimanche 24 décembre prochain, Eglise Chretienne de Pillatre nous présente la deuxième édition de leur concert traditionnel de noël au dit campus de l’Église Chrétienne de Pillatre à partir de 4:00 PM. Concert baptisé “NWÈL NAN PON” autour du thème : “Jesus-Christ, le cadeau du monde.” Jean 3:16 L’animation musicale sera assurée par la CHORALE DES ENFANTS, HEAVENLY SISTERS, LA CHORALE CORNERSTONE, LA GRANDE CHORALE, LE GROUPE LES AMIS CELESTE, LES DAMES DORCAS, L’ÉQUIPE ADORATION, BROTHER HOOD MC : Rév. Bobanoit Lucceus Source: Casodji Media Group - Facebook page #gospel #music #worship #praise #news #musique #évangélique #actualités #bgospelmagazine #bgospel
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mika-monet · 9 months
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Meilleur Chant d'Adoration et Louange Chretienne Musique - Magnifique Ch...
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magalie1308 · 2 years
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Prière du soir pour dormir en paix - Prière avant de dormir pour une nui...
Bien aime tu passes par des moments difficiles et tu cherches à les résoudre par des solutions humaines, sache que Dieu va intervenir à sa manière !
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etre-un-convertis · 6 years
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(MUSIQUES PAROLES CHRETIENNES)
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christophe76460 · 8 days
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ADORATION ET LOUANGE CHRETIENNE POUR BIEN COMMENCER LA JOURNÉE 🙏 MUSIQUE...
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A. VIVALDI: «Filiae maestae Jerusalem» RV 638 [II.Sileant Zephyri], Ph.J...
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jubaunetwork · 6 months
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Mwen se yon rachte psalmiste Sandraïca Voltaire salut a Tous, mwen se psalmiste VOLTAIRE Sandraïca, mwen abite plateau central, donc mwen kontan rantre nan monde musical evangelique la mwen se yon Jeune chretienne , mwen kwe me nap Beni nan inspiration que bondye banm , que bondye beni Nou mes amis 👉 Lien vers : YouTube 👉 Lien vers : Facebook #gospel #music #worship #praise #news #musique #évangélique #actualités #bgospelmagazine #bgospel
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reseau-actu · 5 years
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David Eubank, protestant de 58 ans et ancien membre des forces spéciales américaines, est engagé depuis 25 ans auprès des peuples chrétiens de Birmanie. Depuis 2016, son organisation des Free Burma Rangers intervient régulièrement en Irak et en Syrie, où nous l’avons suivi lors de sa dernière mission, tenant son fusil d’une main, la Bible de l’autre.
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De nos envoyés spéciaux Vincent Jolly (texte) et Antoine Agoudjian (photos)
«Les hommes de Daech et moi, on a un point en commun. Ils sont prêts à mourir pour leur dieu. Comme moi. Simplement, eux, ils ont choisi le mauvais.» Assis dans la fraîcheur bienvenue d’un Range Rover blindé, fusil d’assaut coincé contre le fauteuil passager, David Eubank s’interrompt quelques instants pour répondre au talkie-walkie grésillant accroché au pare-soleil. Derrière les épaisses vitres poussiéreuses du véhicule défilent des steppes tapissées de champs de blé au milieu desquels se dressent, picorant frénétiquement le sol, les pompes à tête de cheval des forages pétroliers du Kurdistan syrien.
Nous passons Hassaké en direction de Deir ez-Zor, ville à une centaine de kilomètres du dernier bastion de l’Etat islamique où, quelques semaines auparavant, les Forces démocratiques syriennes livraient l’ultime bataille contre l’organisation terroriste. «Ça a l’air calme comme ça, mais il ne faut pas s’y tromper, reprend David en soulevant l’accoudoir pour y attraper une canette de soda. Depuis qu’on est arrivés, il y a un mois, le rythme des attentats et des accrochages a augmenté dans la région.»
Ancien béret vert
A 58 ans, cet ancien militaire a la voix de ceux que l’on écoute avec attention lorsqu’il parle, des muscles tendus comme la corde d’un arc et des traits qui inspirent naturellement le respect. Baghouz, David y était. Ainsi qu’à Raqqa et Mossoul où, aux côtés des soldats kurdes et irakiens, il apporta le soutien de son organisation, les Free Burma Rangers (FBR). Engagé depuis vingt-deux ans auprès des différents peuples chrétiens en Birmanie, cet ancien ranger du second bataillon et ancien béret vert de l’armée américaine a décidé en 2016 d’exporter son action au Proche et au Moyen-Orient. «Nous nous sommes d’abord rendus à Sinjar, en Irak, après avoir reçu l’e-mail d’un ami nous demandant de venir en aide aux Yézidis, raconte Eubank. A partir de ce moment, nous avons accompagné la bataille contre l’Etat islamique.»
David Eubank sur le front à Mossoul, après avoir porté secours à une fillette prise sous le feu des snipers. - Crédits photo : ANTOINE/AGOUDJIAN
A Mossoul, ce vétéran passe près de neuf mois sur la ligne de front à combattre dans cet entrelacs meurtrier de venelles et de maisons piégées par les hommes de Daech. Avec lui, sa femme Karen, ses deux filles Sahale et Suuzanne, son fils Peter et une dizaine de membres des FBR, composée de rangers birmans et de volontaires venus du monde entier. «Pendant que j’étais sur le front pour me battre, ils apportaient un soutien médical et logistique aux soldats et aux civils.»
Installée à Chiang Mai, dans le nord de la Thaïlande où David passa son enfance avec ses deux parents missionnaires chrétiens, l’ONG Free Burma Rangers compte plus de 450 rangers bénévoles, une quinzaine d’employés à plein temps et opère sur un budget d’environ 2 millions de��dollars par an - exclusivement rassemblés via des donations privées. «Lorsque nous avons besoin de fonds pour une opération, en Birmanie ou ailleurs, nous prions Jésus et espérons que le Seigneur nous réponde, ajoute ce Texan de naissance sans rentrer dans plus de détails. Mais j’ai aussi la chance d’avoir des amis qui ont beaucoup d’argent.»
«Quand j’ai débuté ma carrière de militaire, je me suis posé cette question : est-ce possible d’être chrétien tout en étant quelqu’un qui prend des vies ? J’ai prié. Et j’ai réalisé que l’on pouvait servir Jésus en étant un bon soldat»
David Eubank
Chrétien convaincu, David assure voir la main de Dieu dans ses choix et dans les événements qui ponctuent sa vie. «Je n’aime pas galvauder son nom quand je raconte mon histoire, poursuit celui qui ne se réclame d’aucune obédience particulière, mais un disciple de Jésus. Mais je sais que c’est Lui qui guide mon cœur.» Et de poursuivre: «Quand j’ai débuté ma carrière de militaire, je me suis posé cette question: est-ce possible d’être chrétien tout en étant quelqu’un qui prend des vies? J’ai prié. Et j’ai réalisé que l’on pouvait servir Jésus en étant un bon soldat.»
Sur la ligne de front de Mossoul, alors qu’il apporte un soutien logistique aux hommes de l’armée irakienne, il se retrouve nez à nez avec quatre combattants de Daech qui ouvrent le feu sur eux. L’un des soldats est touché six fois, le casque de David reçoit deux autres balles dans son casque en kevlar. «Tout s’est passé en un instant, raconte-t-il. Je me suis relevé et mis à couvert alors qu’ils continuaient de nous arroser. J’ai visé, j’ai tiré. Le premier est tombé, puis le deuxième, puis le troisième… et le quatrième a pris la fuite.» L’Evangile selon saint Colt. «Ce jour-là, Jésus m’a sauvé la vie. Et celle du soldat blessé aussi car il a survécu à ses blessures.»
Base militaire du FDS, près de Raqqa, composée exclusivement de combattantes kurdes du YPG, (milice kurde inféodée au FDS). Dave Eubank s’agenouille et effectue une prière à la gloire de femmes kurdes pour célébrer leur courage et leur engagement. - Crédits photo : Antoine Agoudjian pour le Figaro Magazine
Une enfance dans la jungle
Intervention divine ou non, c’est aussi sa formation d’élite qui l’a tiré de cette situation et de toutes celles qu’il a connues auparavant. Pour ce seul garçon d’une fratrie de quatre, éduqué par un vétéran de la guerre de Corée et une chanteuse de Broadway, l’entraînement a débuté dès l’enfance passée à courir dans la jungle thaïlandaise aux côtés des tribus chrétiennes. «J’ai appris à tirer dès l’âge de 5 ans, se souvient Eubank. J’étais boy-scout, et j’ai passé le plus clair de mon temps avec des soldats américains engagés dans la guerre du Vietnam, ou avec des peuples tribaux. Ça m’a appris que plus on en sait, moins on a besoin de choses.»
Les années passent et il est alors temps de rentrer aux Etats-Unis. 1979, direction son Texas natal et Texas A & M, l’une des plus prestigieuses universités militaires du pays où il devient cadet. Engagé en 1983 dans l’infanterie, il intègre le 2nd Ranger Battalion puis le 1st Special Forces Group des bérets verts. Son premier théâtre d’opérations? L’Amérique latine, en pleine guerre des narcos. «J’étais de retour dans la jungle, s’amuse Eubank. C’était comme la Thaïlande, mais avec des gens qui parlent espagnol.» Puis il rencontre sa femme, Karen, qu’il épouse sur une plage de Malibu, en Californie, une semaine avant de repartir en Thaïlande où le couple fonde les Free Burma Rangers en 1997 - la junte birmane repousse alors l’armée vers la frontière birmano-thaïlandaise.
«Ce voyage, cette mission, c’est surtout pour créer des liens avec la communauté chrétienne et essayer de consolider les remparts face à Daech»
David Eubank
Le talkie-walkie se remet à grésiller, interrompant Eubank dans son récit: «Changement de programme: nous avons trouvé un endroit où dormir à Hassaké finalement. Et demain, nous irons au camp d’al-Hol.» Le convoi de sept véhicules se dirige alors vers le centre-ville où les FBR ont rendez-vous avec la communauté chrétienne et les responsables de l’organisation de la Croix syriaque, une ONG locale qui tente notamment de construire un centre pour enfants. «L’idée est de construire un parc de jeux pour qu’ils puissent avoir un endroit où se retrouver, et ne pas traîner n’importe où», explique Malek Jakoud Hanna, responsable de la Croix syriaque pour la ville d’Hassaké lors d’une visite d’un terrain vague d’où nous apercevons les dômes d’une église assyrienne. «Les combats sont terminés, mais l’emprise idéologique de l’Etat islamique est toujours très forte ici. Particulièrement sur les jeunes.»
» LIRE AUSSI - La grande inquiétude des chrétiens d’Orient
Plus tard dans la soirée, David et Karen donneront 25.000 dollars pour aider à la construction de ce centre pour enfants. Une transaction en espèces sonnantes et trébuchantes faite devant témoins. Une semaine plus tôt, c’est une liasse de 7000 dollars que le FBR remettait à la petite communauté chrétienne de Raqqa pour la reconstruction d’une église détruite. En un peu moins de deux mois sur place, David aura distribué près de 80 000 dollars.
David n’hésite pas à distribuer de l’argent pour aider à la reconstruction du pays. - Crédits photo : ANTOINE/AGOUDJIAN
«Ce voyage, cette mission, c’est surtout pour créer des liens avec la communauté et essayer de consolider les remparts face à Daech, résume Eubank. Il y avait 200 000 chrétiens dans cette zone avant, maintenant ils seraient moins de 60 000. Alors on fait ce que l’on peut, mais ce n’est pas assez. Ils ont besoin d’un lion pour les aider face à l’islamisme, et nous, nous sommes une souris.»
Conscient que, depuis la chute de Baghouz, l’attention du monde et des médias sur la situation en Syrie s’est, - comme d’habitude -, considérablement résorbée, et que les combats ne sont finalement que l’écume de la guerre, David a souhaité retourner sur le terrain pour poursuivre son action. Pour lutter contre les courants de fond qui, eux, sont toujours en œuvre.
Alors qu’une lumière vespérale vient caresser les toits écorchés de la ville d’Hassaké, les rangers préparent le camp pour la nuit. Les Birmans cuisinent dans la petite cour du bâtiment que la Croix syriaque leur a prêté pour la nuit tandis que les enfants de David font leurs devoirs sur des canapés. Les autres volontaires s’offrent un moment de repos, consultent leurs e-mails et écoutent de la musique.
«Tu n’as pas besoin de croire en Dieu pour voir les bonnes actions qu’ils font. Je voulais faire de l’humanitaire, et je suis tombé sur eux»
Adam, un soldat dano-américain
Beaucoup sont chrétiens, d’autres non. C’est le cas d’Adam, un Dano-Américain membre de l’armée danoise qui a pris une année de congé pour venir aider les Free Burma Rangers. «Tu n’as pas besoin de croire en Dieu pour voir les bonnes actions qu’ils font, témoigne ce soldat de 28 ans. Je voulais faire de l’humanitaire, et je suis tombé sur eux. Ce n’est pas une énorme machine, mais justement: ils sont plus libres et plus efficaces.»
Chaque matin, le FBR débute la journée par les dévotions. David, Karen ou un ranger y prononce un sermon avant de demander s’il y a des requêtes de prières. «Aujourd’hui, nous allons dans un endroit plein de petits démons, s’amuse Eubank pour conclure la prière, debout au centre de la pièce où la vingtaine de membres du FBR est rassemblée. Ce sont les femmes et les enfants des combattants de Daech. Je sais qu’ils ne sont pas sympathiques, qu’ils nous détestent. Mais nous n’avons pas à être comme eux. Et les enfants sont innocents.»
Venir en aide aux réfugiés
Nous filons vers le camp d’al-Hol, près de la frontière irakienne, où 73.000 personnes vivent dans un champ de tentes blanches surplombées par des réservoirs d’eau en plastique rouge. David, qui souhaite se concentrer sur les orphelins, négocie l’accès à l’intérieur du camp avec les autorités kurdes. «Ailleurs, les gens seraient ravis d’avoir de l’aide en plus, commente-t-il en s’amusant. Mais ici, c’est toujours compliqué. Ils nous disent de leur donner l’argent et de les laisser faire.» Une heure plus tard, l’accès est autorisé.
A l’intérieur d’une tente plombée par la chaleur, les rangers rencontrent les orphelins, leur donnent des gâteaux, montent une pièce de théâtre et procurent des fournitures aux responsables du centre. L’un des Birmans, guitare à la main, entonne Take Me Home, Country Roads, de John Denver. Parmi les enfants, des étrangers. Et une Française: Amina Amedjar. Elle a 12 ans, vient d’Angers et a été emmenée en Syrie par sa mère, Rahma Amedjar, tuée dans les combats à Baghouz. En 2009, Rahma Amedjar protestait avec Réseau éducation sans frontières contre l’expulsion au Maroc de son mari (et père d’Amina), dénonçant «la condamnation de toute une famille», sept ans avant d’emmener sa fille en Syrie. A ce jour, les grands-parents et la tante d’Amina manquent à l’appel en France. «Nous n’arrivons pas à les retrouver», explique un membre de l’association de l’antenne du Maine-et-Loire.
Suuzanne, la cadette de la famille, aide à la distribution de matériel dans le camp d’Aïn Issa. - Crédits photo : ANTOINE/AGOUDJIAN
De retour aux véhicules garés dans les allées du camp, les rangers se font interpeller par plusieurs femmes vêtues de niqab. «On nous laisse là sans nouvelles de nos maris», déplore l’une d’entre elle. «Il fait chaud, on n’a pas assez à boire et à manger», ajoute une autre. «On ne sait pas ce qu’on va devenir», témoigne une dernière. «Je me demande si elles se souciaient de ça pour les esclaves yézidies de leurs maris», commente, amer, l’un des rangers tout en continuant de distribuer des bouteilles d’eau en arborant un sourire forcé.
«Le souci, c’est que, dans ces camps, une sorte de mafia s’est organisée, analyse David. Des femmes nous ont raconté qu’elles ne pouvaient pas retirer leur niqab par peur de représailles, d’autres sont toujours fidèles à l’idéologie de Daech.» Un témoignage qui rejoint celui d’une autre Française, Anissa Bruneau, que nous avions retrouvé en février dernier lors du siège de Baghouz. Toujours enfermée dans le camp de Roj, elle et sa famille en France tentent toujours d’obtenir son retour dans l’Hexagone.
Sur la question du retour éventuel des combattants et de leurs familles dans les pays d’origines, David Eubank avoue ne pas avoir d’opinion tranchée. «Mais l’Europe doit agir, observe le vétéran. En gardant ces gens dans cette situation, on laisse l’idéologie de Daech végéter et incuber. On sait ce qu’il se passe lorsque l’on abandonne des populations après les conflits.»
» LIRE AUSSI - Rapatriement d’enfants de djihadistes: un recours inédit contre la France devant la CEDH
Deux jours plus tard, près de Qamichli, le FBR rencontre Elizabeth Koriya, responsable de l’Association culturelle syriaque et très proche de l’administration kurde. Au détour de la conversation surgissent l’Europe et la France. «On ne compte plus sur eux pour l’avenir, assène cette femme d’une soixantaine d’années. On a rencontré des membres du Parlement européen de passage dans la région, ils n’ont apporté aucune réponse. C’était juste de la communication.»
«Aujourd’hui, l’Europe est trop faible face à l’islamisme. Il n’y a que les Etats-Unis qui peuvent nous aider»
Elizabeth Koriya, responsable de l’Association culturelle syriaque
Et d’ajouter sans transition: «L’histoire se répète. Le Sayfo (le génocide assyrien de 1915 par l’Empire ottoman), c’était il y a un siècle. Ils ont juste recommencé. Et aujourd’hui, l’Europe est trop faible face à l’islamisme. Il n’y a que les Etats-Unis qui peuvent nous aider.»
Et David Eubank de renchérir: «C’est terrifiant de voir l’inertie des pays occidentaux. Ils ne se rendent pas compte de ce qui se passe ici.» Le FBR quittait la Syrie peu de temps après pour retourner en Thaïlande et s’occuper d’une nouvelle session de formation de rangers. «Je ne sais pas quand nous reviendrons en Syrie, admet Eubank. Dans un an, sans doute, si rien de grave n’arrive avant.»
Avant de le quitter, quelques jours après l’opération de libération des otages au Bénin ayant coûté la vie aux soldats français Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, nous lui faisons part de la situation alarmante au Sahel qui voit grandir le danger islamiste. «Peut-être que nous interviendrons là-bas un jour, répond Eubank. Si Dieu le veut.»
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lesamazones · 6 years
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Ladys
CHEF DE COEUR
“La féminité est une caractéristique propre à chaque femme.  C’est être sensible, aimable, travailleuse, dévouée à son mari, amoureuse du bien mais au delà de tout, c’est être une femme ancrée dans la religion chretienne. Une femme qui ne se laisse pas aller aux ragots, aux intrigues, qui ne parle que le langage de la vérité, prudente, réceptive et discrète.“
Ladys Sotomayor Martiatu vie et travaille à la capitale de Cuba, La Havane. Toujours attirée par la musique, elle prend des cours de piano et chante à la chorale de son église dès l’âge de 5 ans. A 13 ans, elle intègre le conservatoire où elle étudie d ‘abord le chant choral puis la direction de chœur. Après ses études, elle commence à enseigner la direction de chœur et le chant au conservatoire de La Havane. En tant que soprano, elle fait partie déjà en tant qu’étudiante de la chorale de son conservatoire qui lui permet de participer aux nombreux festivals de musique classique et musique populaire cubaine. En 2011, sa voix lui vaut une place au Chœur National. Parallèlement Ladys est nommée au poste du chef de Chœur National des Enfants à La Havane. Elle adore travailler avec les jeunes car elle apprécie leur pureté. Ses recrus qui viennent de tous les milieux sociaux sont unis grâce au chant autour des valeurs fortes comme l’honnêteté et la responsabilité. Le chœur a un répertoire très large, chante en plusieurs langues et participe aux nombreux festivals ainsi qu’au film italien de Franco Nero qui sortira en décembre 2018. Ladys rêve de créer une école de musique pour les enfants qui ont des difficultés et handicaps mentaux. Elle aimerait bien que la musique devienne pour eux une voie thérapeutique et la manière de se réaliser.
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