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#fête de tous les saints
fidjiefidjie · 7 months
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La Toussaint
🕯 L'illumination des tombeaux 🕯
illustration 🖌🖍pour Le petit journal de 1913
Bel après-midi 👋
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doubtspirit · 2 years
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DÍA DE LOS MUERTOS
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coolvieilledentelle · 6 months
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Saint Nicolas aime les enfants, mais aussi les grands enfants. Et comme on est tous encore des grands enfants,  Je vous souhaite une belle fête de Saint Nicolas,
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soeurdelune · 1 year
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situations rpgiques;
vous avez envie de lier votre personnage avec celui de quelqu'un d'autre mais vous n'avez pas d'idée? i gotchu baby ♡♡♡  + ces situations concernent plutôt des personnages qui ne se connaissent pas (encore).
COURRIER; suite à des cafouillages à la poste, X reçoit toujours le courrier de Y à sa place, et même si iel fait l'effort de lui rendre ses lettres, X en ouvre une par mégarde un jour et apprend un secret inattendu sur Y.
FLEURS; à la bourre pour un rencard, X décide de piquer incognito des fleurs dans les allées d'un jardin public, mais Y, qui aime particulièrement ce parc, met X encore plus à la bourre en l'engueulant copieusement et en empêchant X de rejoindre son rendez-vous.
CANAPÉ; l'unique escalier de l'immeuble est bloqué par X, qui pensait pouvoir déménager son énorme canapé sans assistance, si bien qu'Y, en retard et de mauvaise humeur, est dans la contrainte de l'aider à dégager la sortie et se bloque le dos par la même occasion.
CINÉMA; le film qu'X a décidé d'aller voir est particulièrement mauvais et assis·e à quelques places d'iel, Y est très visiblement du même avis: les deux passent leur séance côte à côte à se plaindre de la médiocrité du film si fort qu'iels finissent par se faire jeter de la salle.
CIMETIÈRE; lors d'une visite du joli et historique cimetière local, X se cache pour faire peur à son ami·e mais se trompe et fait peur à Y, si bien qu'iel, dans un moment de panique absolue, asperge copieusement X de bombe au poivre.
TAXI; Y se glisse dans la voiture de X en méprenant le véhicule pour un taxi, mais X a tellement besoin de discuter avec une autre personne qu'iel accepte de conduire Y à sa destination.
SAINT VALENTIN; X a préparé une jolie carte pour son crush mais se trompe et dépose la missive rose chargée en cœurs dans la boîte aux lettres de Y.
MONDANITÉ; à un évènement mondain auquel ni X ni Y n'avaient envie d'assister, les deux décident de partir faire les quatre cents coups.
VOGUE; dans un magasin de vêtements, les choix de X sont tellement désastreux qu'Y se sent obligé·e d'intervenir.
CLUB; X décide de créer un club pour un de ses hobby extrêmement niche et méconnu, et Y est la seule personne à s'y pointer.
SAM; X et Y sont désigné·e·s par leurs groupes d'ami·e·s respectifs comme celleux qui ne boivent pas pour pouvoir les raccompagner en voiture, si bien qu'iels passent la soirée en étant les deux seules personnes sobres au milieu des plus extravagantes festivités.
LABYRINTHE; X et Y se perdent dans le Palais des miroirs de la fête forraine du coin et plutôt que de céder à la panique, décident de s'entraider à se sortir de là.
APPARTEMENT; à cause de la façon dont son appartement est placé, X peut voir par sa fenêtre l'intégralité du domicile de Y, si bien qu'iel est témoin tous les jours de son quotidien – le jour où X s'aperçoit qu'Y n'a pas l'air d'être sorti·e de son lit depuis plusieurs jours, iel décide d'aller voir si tout va bien.
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C'est ainsi que je me suis retrouvé parmi les rapetisseurs de monde, les postmodernes, les transhumanistes, les mondialistes, les globalistes, les journalistes, les technologistes, les algorithmés du bulbe, les scientistes, les socialistes, les progressistes, les transexualistes, les climatistes, les covidiotistes, les antiracistes, les antifascistes, les attestationistes, les confinistes, les vaccinistes, les enfermistes, les cul-erre-codistes, les maquinnesaitistes, les phoquechèqueuristes… je n'exigeais pas grand-chose et j'étais prêt à en trouver encore moins. Des barbares depuis des temps immémoriaux sont devenus encore plus barbares par la diligence, la science et même la religion, profondément inaccessibles à toute transcendance, abîmés jusqu'à la moelle à tous les degrés de l'exagération et de l'insuffisance, ternes et inharmonieux, je ne connais pas de peuple plus divisé en lui-même que les occidentés, vous y voyez des ingénieurs, des avocats, des artisans, des chefs d’entreprise, des financiers, des docteurs, des influenceurs, des journalistes, des écrivains, des maîtres et des esclaves, des jeunes et des anciens, mais pas d'hommes - n'est-ce pas comme un champ de bataille où les mains et les bras et tous les autres membres sont démembrés en tas, tandis que le sang de la vie s'écoule dans le sable ?
Chacun a droit à son écran, direz-vous, et je le dis aussi. Seulement, chacun doit être ce qu'il est, avec de l'amour, il doit être ce qu'il est, car c'est ainsi qu'un esprit vit dans ses actes, et s'il est poussé dans une profession où l'esprit ne peut vivre, qu'il la repousse avec mépris et qu'il apprenne à lire, à écrire, à dessiner, à composer, à labourer la terre, à pêcher, à chasser, à se battre ! Mais les occidentés se contentent du néant de la vie, et c'est pour cela qu'il y a tant de travail bâclé chez eux et si peu d'activités libres et agréables. Pourtant, cela pourrait être le travail de l'homme, s'il n'était pas si dépourvu de sentiment pour toute la beauté de la vie, si seulement la malédiction de la pseudo-culture ne pesait pas partout sur ce peuple éclaté.
Les vertus des anciens ne sont que des vices éclatants, comme l'a dit une mauvaise langue, je ne sais plus laquelle, et pourtant leurs vices eux-mêmes sont des vertus, car ils ne sont pas des vices ; un reste de l'esprit d'enfance et de beauté vivait encore parmi eux, et de tout ce qu'ils faisaient, rien n'était fait sans âme. Mais les vertus des occidentés sont un mal éclatant, rien de plus que la peur de l'homme, de la femme, de l’enfant, des efforts serviles arrachés au cœur stérile, et qui laissent sans esprit l'homme qui, gâté par la sainte harmonie des natures plus nobles, ne peut supporter les sursauts de la discorde qui crie dans tout l'ordre mort de ces hommes.
Je vous le dis: il n'y a rien de saint qui ne soit profané, qui ne soit dégradé dans ce peuple qui a perdu le rapport à son origine, même les sauvages, ces barbares calculateurs les poursuivent comme on applique un calcul, et il ne peut en être autrement, car là où un vice de l'homme s’est une fois formé, là il sert son but, là il cherche son profit, il est jaloux de ses profits, il n'est plus emporté par l'enthousiasme, à Dieu ne plaise ! et quand il fête, quand il aime, quand il prie, et même quand arrive la belle fête du printemps, quand le temps de la réconciliation du monde dissout toutes les inquiétudes et fait naître l'innocence dans un cœur coupable, lorsque, enivré par les chauds rayons du soleil, l'esclave oublie joyeusement ses chaînes et, apaisé par l'air divinement vivifié, les ennemis de l'homme sont aussi paisibles que les hommes, paisibles comme des enfants - quand même les chenilles poussent des ailes et les abeilles pullulent, l’occidenté,
l’occidenté, lui, reste confiné à sa profession, à son divertissement. Il ne se préoccupe guère du temps qu'il fait !
Mais c'est toi qui jugeras, sainte nature ! Car s'ils étaient humbles, ces hommes, s’ils ne se faisaient pas la loi pour le pire d'entre eux !
s'ils ne dénigraient pas ce qu'ils ne sont pas, et pourtant qu'ils dénigrent, s'ils ne se moquaient pas de Dieu, des dieux anciens!
Ou bien n'est-ce pas le divin que vous, occidentés, raillez et appelez sans âme ? L'air que vous buvez n'est-il pas l'air que vous buvez ? ne vaut-il pas mieux que vos bavardages ? que vous tous nourrissez, hommes astucieux ? Les sources de la terre et la rosée du matin rafraîchissent votre bosquet ; pourriez-vous faire cela ? Vous pouvez tuer, mais vous ne pouvez pas donner la vie, non pas sans l'amour, qui ne vient pas de toi, que tu n'as pas inventé. Tu t'inquiètes, tu fais des projets pour échapper au destin, et tu ne comprends pas que ton enfantine technique n'est d'aucun secours ; pendant ce temps, les étoiles se meuvent inoffensives au-dessus de toi.
Vous dégradez, vous détruisez la nature patiente là où elle vous tolère, et pourtant elle vit dans une jeunesse infinie, et tu ne peux pas bannir son automne et son printemps, vous ne gâtez pas son éther.
Ô elle doit être divine, car tu peux détruire et pourtant elle ne vieillit pas, elle ne vieillit pas, et malgré toi le beau reste beau.
C'est aussi un déchirement quand on voit vos artistes, et tous ceux qui respectent encore le génie, qui aiment le beau et le cultivent. Les bonnes âmes ! Elles vivent dans le monde comme des étrangers dans leur propre maison, elles sont comme le patient et souffrant Ulysse lorsqu'il s'asseyait à sa porte déguisé en mendiant, tandis que les prétendants éhontés clamaient dans la salle et demandaient : Qui nous a apporté le vagabond ?
Pleines d'amour, d'esprit et d'espoir, ses jeunes Muses grandissent pour le peuple disparate des occidentés ; on les revoit sept ans plus tard et ils errent comme des ombres, silencieux et froids. Ils sont comme la terre que l'ennemi sème avec du sel pour qu'il ne pousse jamais un brin d'herbe ; et quand ils parlent, malheur à celui qui les comprend !
Qui ne voit, dans leur titanesque projet comme dans leurs technologies protéiformes, la bataille, le combat désespéré que leur esprit troublé livre aux barbares contre les barbares auxquels il a affaire.
Tout ce qui existe sur terre est imparfait - c'est la vieille chanson des occidentés. Si quelqu'un pouvait dire une fois à ces âmes perdues que tout n'est si imparfait chez eux parce qu'ils ne laissent rien de pur sans être corrompu, rien de saint n'est épargné par leurs mains grossières et leur esprit grossier, que rien ne prospère parmi eux parce qu'ils ne respectent pas la racine, le germe de l'épanouissement, l’origine divine, que la vie parmi eux est rassise, lourde de soucis et pleine de discordes froides et muettes, parce qu'ils méprisent le génie de l'homme qui apporte la force et la noblesse dans les actes humains, la sérénité dans la souffrance, l'amour et la fraternité dans les villes et les maisons..
C'est aussi pour cela qu'ils ont si peur de la mort et qu'ils subissent, au nom de leur vie en coquille, toutes les disgrâces, parce qu'ils ne connaissent rien de plus élevé que l'œuvre bâclée qu'ils se sont donnée.
Là où un peuple aime le beau, où il honore le génie de ses artistes, là où l'esprit commun flotte comme l'air de la vie, là l'esprit timide s'ouvre, la suffisance se dissout, et tous les cœurs sont pieux et grands, et l'enthousiasme donne naissance à des héros. La patrie de tous les hommes est dans la langue, et l'étranger lui-même peut s'y attarder avec plaisir. Mais là où la nature divine et ses artistes sont ainsi insultés, là le plus beau plaisir de la vie est écarté et toute autre étoile est meilleure que la terre. Là, les hommes deviennent de plus en plus stériles, de plus en plus désolés, de plus en plus dégénérés alors qu'ils sont tous nés beaux ; la servilité s'accroît, et avec elle l'impudence, l'ivresse s'accroît avec les soucis, et l'abondance, la faim et la crainte de la famine ; la bénédiction de chaque année devient une malédiction, et tous les dieux s'enfuient.
Et malheur à l'étranger qui erre par amour et arrive chez un tel peuple, et malheur trois fois à celui qui arrive chez un tel peuple comme je l'ai fait, poussé par une grande joie comme je l'ai fait, ou poussé par un grand chagrin, cela revient au même ! Assez ! tu me connais, lecteur, et tu le prendras bien, car j'ai parlé en ton nom.
Je parlais aussi pour tous ceux qui sont dans ce pays et qui souffrent comme j'ai souffert.
(Avec Hölderlin au XXIe siècle)
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les-cris-des-fendues · 5 months
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La sacro-sainte rando familiale de Noël dans les Hautes-Corbières... La bouquiniste et son fiancé de l'O, Monsieur J une branche de houx à la main. Au loin, mon fils aîné, mes parents. Le reste de la petite troupe a pris les devants pour dresser la table des festivités.
J'espère que vous avez tous eu de très bons moments partagés entre gens qui s'aiment pour la fête de Noël.
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christophe76460 · 2 months
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👉 YESHOUA (Jesus) EST LA VRAIE PORTE.
Il est l’Agneau de Pessah qui a été immolé pour nous et l’ange de la mort est « passé outre » (Pessah) et il n’a pas touché les hébreux. .
👉 LA VRAIE FETE DE PAQUES EST SELON LE CALENDRIER JUIF.
👉 En 2023, la Pâque juive est célébrée à partir du Mercredi soir 5 Avril au Jeudi soir 13 Avril 2023 .
👉 Nous sommes dans la période de la vraie Fête de la Paque juive « Pessah ».
👉 La Fête de la Pâque dure 8 jours.
👉 En Egypte , le peuple d’Israël était esclave depuis plus de 420 ans .
La dernière nuit de leurs esclavages le sang des agneaux étaient appliqués sur les linteaux des portes des hébreux qui étaient esclaves en Égypte .
👉 Ce sang les a préservé de l’ange de la mort qui passé devant les maisons des hébreux.
👉 L’ange de la mort voyait le sang sur les linteaux des portes et il passait outre et les hébreux étaient protégés par le sang.
👉 Le lendemain était leur délivrance .
Pharaon les a laissé partir.
👉 Ce récit historique du peuple juif préfigure ce que Jésus allait accomplir pour nous lorsqu’il mourut à La Croix.
👉 Il y a 2000 ans Jesus a été crucifié et son sang a coulé pour vous libérer si vous l’acceptez comme votre Sauveur personnel .
👉 Lorsque Jésus est arrivé au Jourdain, Jean baptiste a prophétisé sur Jesus et a dit à voix haute :
👉 « Voici l’agneau de Dieu qui hôte le péché du monde, lui (Jésus) vous Baptisera (immergera) du Saint Esprit et du Feu de Dieu ».
👉 Jésus est notre Agneau de Pâques qui a été immolé sur La Croix pour nous préserver de l’ange de la mort.
Son sang a coulé pour nous purifier et nous libérer.
👉 Si vous demandez pardon pour vos péchés et acceptez Jesus comme votre Sauveur personnel , le sang de Jésus sera appliqué sur les linteaux de votre cœur pour vous pardonner, vous purifier, vous protéger et vous libérer de l’emprise de Satan (pharaon) sur votre vie.
👉 Vous pourrez sortir et être libérer de l’esprit d’Égypte pour partir vivre une nouvelle vie avec Jésus Christ.
Pharaon (Satan) sera obligé de vous libérer.
Célébrons Jesus notre « Pessah » notre protecteur et notre libérateur.
Pour huit jours, commence « Pessah » la Pâque juive.
👉 Actuellement Le peuple juif raconte en famille et en communauté le récit de la sortie d’Égypte et l’évocation des miracles qui s’y sont déroulés...
on lit la Haggada qui sont des textes anciens qui retrace l’histoire de l’Exode des Hébreux hors d’Égypte où ils étaient réduits en esclavage.
Tous les Israélites doivent rappeler et transmettre dans leurs familles le souvenir de la libération divine.
Célébrons en temps que croyants en Yeshoua (Jésus le Messie) cette fête qui parle de notre nouvelle naissance en Jesus christ qui nous a libéré de la mort spirituelle et de l’emprise du péché.
BONNE FÊTE DE PÂQUES
(Serge Fortunato)
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jogallice · 24 hours
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Aujourd’hui, mardi 21/05/24, Journée internationale du thé 🍵 Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement 🥰 58e Journée mondiale des communications sociales 🙏 et Journée mondiale des poissons migrateurs 🐟⁠⁠⁠
Trois dictons du jour pour le prix de deux :  « À la saint Constantin, arrache le plantain. » 👨‍🌾 « À la saint Constantin, c’est la fête dans le jardin. » 👩‍🌾 « À la saint Constantin, compte tes sous dans tes mains. » 🤑
Et trois autres dictons du jour pour la route : « À la saint Constantin, plante du thym. » 🌱 « Saint Constantin pluvieux, le jardinier bénit les cieux. » 🌧 « Si tu plantes à la saint Constantin, fais-le plutôt de bon matin. » 🌄
Bon deuxième jour de la semaine à tous et à toutes 🎇
Bonne fête aux Constantin·e 😘
📷 JamesO PhotO à Annecy le samedi 18/05/24 📸
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fidjiefidjie · 2 months
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☘️ Allez je vous donne le feu vert, c'est le moment de fêter la Saint Patrick ! Bonne fête à tous ! 🍀
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mariepascaleremy · 3 months
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14 FÉVRIER : ST VALENTIN & FÊTE DE LA CIGOGNE...
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Il fut un temps très ancien de l’humanité où les hommes avaient encore une conscience nébuleuse proche du sommeil, et où les femmes n’étaient fécondables qu’une fois l’an. A l’approche du printemps, l’humanité recevait des signes lui indiquant qu’elle entrait dans un temps où les femmes devenaient fertiles. Celles-ci percevaient les anges du ciel leur annonçant la venue de leurs enfants. Ils naissaient tous, 9 mois plus tard, durant les Nuits saintes, entre Noël et l’Épiphanie. Aujourd’hui, notre conscience est éveillée. Nous ne percevons plus les anges et les femmes sont fertiles n'importe quand dans l'année. Il ne reste du lointain passé qu’un symbole, celui du vol majestueux des cigognes revenant dès février dans nos régions. Tels les anges annonciateurs d'enfants que nous percevions autrefois, les blanches cigognes nous rappellent ce temps de fertilité annuel où nous étions encore régi par les Dieux et soumis au seul cycle du cosmos. Chez les anciens romains, la migration printanière des Cigognes se produisait au moment des Lupercales (de luperaus = fertilité), fêtes de la fertilité et de la purification des femmes. Aujourd'hui, le retour des cigognes coïncide avec la Saint-Valentin, transformant la fête de fertilité en célébration de l'amour. C'est une occasion de réfléchir sur la nature de l'amour, de se demander si "tomber amoureux" signifie une chute ou une transfiguration, avec des implications sur l'importance du sacrifice et du dévouement dans les relations.
BONNE ST VALENTIN À TOUS !
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coolvieilledentelle · 7 months
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Halloween est au départ une fête celtique d'origine irlandaise. Le Nouvel An Celtique ! Il y a environ 3000 ans, le calendrier Celte ne se terminait pas le 31 décembre, mais le 31 octobre. Et cette dernière nuit de l'année était la nuit du dieu de la mort (Samain ou Samhain). En octobre, les nuits se rallongent et la légende raconte que les fantômes en profitaient pour rendre visite aux vivants. Alors pour éviter que les fantômes ne viennent les hanter, les celtes avaient quelques rituels dont celui de s'habiller avec des costumes terrifiants pour faire peur aux fantômes et de se réunir pour faire la fête le soir du 31 octobre. Ce sont les immigrés irlandais qui ont apporté avec eux la tradition d'Halloween aux Etats-Unis !
Avec l'arrivée du christianisme, les catholiques décidèrent à partir du IXème siècle de fêter la Toussaint ("tous les saints"), le 1er novembre. Et si on regarde de plus près le mot anglais Halloween, c'est une sorte de raccourci de l'expression "All Hallows Eve", qui signifie "le soir de tous les saints", c'est-à-dire la veille de la Toussaint, le 31 octobre !
À l’origine, le symbole d’Halloween était... un navet ! Issu de la légende de Jack-o'-lantern (Jack à la lanterne, le personnage qui a inspiré l'Etrange Noël de Monsieur Jack !), condamné à errer éternellement dans l'obscurité entre l'enfer et le paradis en s'éclairant d'un tison posé dans un navet sculpté. Aux Etats-Unis, le navet a progressivement été remplacé par la citrouille qui pousse en octobre et qui est bien plus facile à sculpter ! C'est donc la citrouille qui a donné sa couleur orange à la version actuelle d'Halloween.
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ekman · 1 year
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Noël, donc. Noël laïc et républicain. Noël kurde, aussi. Pan ! Boum ! Noël avec Darmanain. Noël dans la joie des carcasses fumantes et des églises brisées, des croix retournées et des curés qui pardonnent tout, comme saint Connard de la pampa, cheville ouvrière du globalisme gerbatoire. Noël au balcon grâce aux réchauffement caricatural d’un monde vert qui tourne au charbon. “Atomkraft ? Nein, danke !”, qu’on pouvait lire au cul des minibus Volkswagen conduits par les pouilleux rouge-verts des années 70. Voilà le résultat, bande de glands. Noël accoudé à la balustrade, qui attend Pâques qui se fera à coups de tisonnier, à n’en pas douter. Noël dans les quartiers populaires al-jazeerisés jusqu’à la garde, champs de tir cocaïnés à la mode mexicaine. Visitez en famille le charnier du square Pablo Neruda ! Noël chez Macron, avec une belle grosse bûche au chocolat noir recouverte de poudre énergisante. Le rêve, quoi : onze footballeurs blacks qui fondent dans la bouche, pas dans la main. Noël à Bethlehem, avec ses gilets pare-balles et ses check-points. Pas de trève à Noël. Vos cadeaux sur Amazon, avec livraison par esclave bengalais offerte. Pas de trève pour Noël. On commente sur LCI, BFM et consorts. Trève des confiseurs, mon cul : ça bombarde encore et toujours à Donetsk. Ça fait plaisir à BHL qui continue de danser sous son chandelier. “Happy Hannouka !“, que ça gueule d’un bureau à l’autre, de Wall Street à la City. Noël incolore mais racisé, genre indéfini mais barbu.e. “Dis Parent 2, pour Noël je voudrais un vagin ! – On dit “Fêtes de fin d’année”, mon.a chériel.” Monde formidable qui tourne sur lui-même et perd l’équilibre. Monde qui dérape, monde qui s’étale, monde qui saigne. Noël rouge sang. Bon allez, on se dépêche, le sapin perd ses plumes, triste victime du génocide arboricole, extinction des feux, rébellion de salon. Joyeux Noël à tous – pardon, à toutes et à tous et aux autres aussi. Bref, joyeux Noël inclusif ! J.-M. M.
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claudehenrion · 2 months
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Pâques : une drôle d'invention...
Réfléchissant –même si ça ne sert à rien !-- aux problèmes que pose le fait de préférer vivre en chrétien dans un pays qui se déchristianise et se retrouve à l'opposé presque absolu de tous les modes de vie et de pensée qui ont régi pendant des siècles, directement ou pas, entre la moitié et les trois-quarts de la Terre (en des temps où, sans vivre dans un nirvanâ qui ne peut exister que dans des rêves, les populations n'avaient pas l'air franchement plus malheureux qu'elles ne l'ont aujourd'hui, sur une planète en voie d'effondrement...), je brassais mes idées, dans le vide...
Premier point d'interrogation : le personnage-même de Jésus Christ, qui est tout à fait contre-intuitif et contre-expérimental : ''De la crèche au crucifiement'', toute la vulgate chrétienne est à l'opposé exact de tout ce qu'un homme peut penser, inventer, imaginer... comme chemin vers la gloire, ou plus simplement ''vers une bonne vie'', et personne, à aucune période de l'histoire de l'humanité, n'aurait été capable d'inventer un scénario aussi ''abracadabrantesque'' et aussi invraisemblable que… ce qui a été. Je crois... parce que c'est absurde, disait Tertulien, Père de l'Eglise.(Il n'aurait pas dit ''Credo quia absurdum'', disent les puristes, mais ''Credibile est quia ineptum est'' … ce qui revient au même –sauf pour une poignée de coupeurs de cheveux en 24). 
Aucun autre Dieu, jamais, n'a été ''affublé'' (si j'osais, j'écrirais ''attiffé'' !) comme Lui a choisi de l'être... Et même... jamais un homme qui aurait eu envie de ''changer le monde'' n'aurait commis la folie d'imaginer une telle succession de difficultés initiales, d'échecs et de contre-performances. En fait, au delà de son indiscutable triomphe, le christianisme (plus de 2000 ans d'âge, et à peine quelques rides en Occident, mais ni en Afrique, ni en Sud-Amérique, et même en Asie... où sont les immenses vagues de la relève quanti- et quali- tative à notre inexplicable chute, à nous) pourrait également se lire comme l'histoire d'un homme qui s'était tiré une balle dans le pied avant de partir pour une longue marche !
Nous avions parlé dans ce Blog, à Noël, de la naissance, quasi-impossible, d'un petit bébé juif au milieu de nulle part, pris dans le mouvement brownien d'un recensement ''à l'ancienne'', entre deux animaux, au plus froid de l'hiver... naissance sensée être celle du ''Roi des juifs'' et même, à peine un peu plus tard, du ''Roi du Monde''. Aucun homme ne peut ou ne devrait croire à une telle folie : un roi, même sous la férule romaine... ça ne peut pas naître ''comme ça'' !
Mais cette véritable ''folie'' en termes de marketing, d'image et de ''comm'' devient encore plus déraisonnable si on se penche sur la Semaine Sainte et sur la Fête de Pâques. Là... plus rien n'est plausible, devant le spectacle in-regardable d'un homme ramené à sa plus simple expression, dans une mise-en-scène inhumaine, abandonné de tous, seul avec une douleur insupportable, qui meurt en public, nu, humilié, déformé, tordu, ensanglanté, insulté, flagellé (et avec le redoutable ''flagrum'', ce terrible fouet romain dont chaque lanière est lestée de boules de plomb), sans doute hurlant de douleur (la ''flagellatio'' était le plus souvent mortelle)... sous les quolibets de ses ennemis d'hier, qui se croient victorieux, un court instant...
Hier encore, Il se promenait, libre, un peu redouté sans doute –en des temps où prophètes, magiciens, mages, devins et faiseurs de miracles étaient généralement crus et souvent respectés, ''Rabbi'' aimé des masses, ami des femmes des puissants du jour, ''conférencier'' recherché jusque ''sur la montagne du sermon éponyme'', n'ayant jamais fait de mal réel à qui que ce soit (à peine quelques coups de bâton à des mercantis qui squattaient le Temple)... Hier encore, il entrait dans Jérusalem comme ''une star'' (Je demande pardon pour mon audace... mais je crois qu'il n'est pas inutile de comprendre ce que toute cette Histoire a d'absolument actuel), et le voilà emmuré dans un tombeau fermé ''façon coffre-fort''... d'où il va sortir tout seul, se montrer, marcher sur la route, se mettre à table... bref, disent ses thuriféraires ragaillardis : ''Il est ressuscité, en vérité'', comme le psalmodient si joliment les orthodoxes dans le ''Tropaire pascal'' : Χριστὸς ἀνέστη (=Christos anesti) en grec, ou Христос Воскресе (= Christos voscresse), en russe... et en ukrainien.
Ne venez pas me dire que qui que ce soit, hier comme aujourd'hui, serait prêt à miser deux sous sur la probabilité que cette histoire, ''pas possible'' de A à Z, devienne le ''top-top best seller'' de tous les temps et fasse la fortune de Hollywood et de Charlton Heston, forge un monde nouveau, règne sur Rome et sur Byzance, donne naissance à la seule civilisation qui a été mondiale, impose un vocabulaire, une vision du monde, un calendrier et un ''corpus doctrinae'' pratiquement inattaquables –sauf à se dresser contre par principe, en racontant n'importe quoi-- et reste encore (sans doute pour longtemps) la première référence morale, religieuse, intellectuelle, littéraire, artistique et éthique au monde, avec 2,5 milliards de pratiquants (car contrairement aux idées reçues, les chrétiens sont de loin les plus nombreux sur terre –un petit tiers de la population mondiale-- devant les Musulmans et leur 1,8 milliards de ''croyants'' –plus menaçants, il est vrai !).
Pour que le tableau ainsi proposé soit complet, il faut ajouter que l'immensité-même du succès a –logiquement-- suscité des sentiments hostiles et des envies de rejet (ce qui est, finalement, bien compréhensible), telle la trop connue ''thèse mythique'' (= Jésus n'a pas existé), qui est tellement éventée et démontrée fausse que je m'étonne qu'un esprit aussi délié que Michel Onfray ait pu lui consacrer 10 minutes de son temps : elle est à l'historiographie ce que l'héliocentrisme, la théorie de la Terre plate et celle des astres fixes, ou le vieux créationnisme... sont à la connaissance : des prurits de jeunesse.
En réalité, l'existence de Jésus est confirmée par neuf ''historiens'' indiscutés, ce qui est énorme, pour un personnage de ce temps-là (seul Alexandre-le-grand fait mieux !) et par des dizaines de sources chrétiennes (qu'Onfray rejette comme étant ''parties prenantes au sujet'', ce qui est absurde et reviendrait à rejeter toutes les sources du XIXè qui parlent de Napoléon sous le seul prétexte qu'elles l'ont aperçu, de loin !). Là où le fossé s'est créé entre l'Histoire et la Foi, c'est que les historiens, par excès (ou pas... Je ne prends pas parti) de ''culte de leur science (?)'', ont refusé de regarder Jésus autrement que comme un homme et rien qu'un homme –ce qui est déjà beaucoup, mais vraiment pas assez, dans ce seul cas.
Dans ''Vie et destin de Jésus de Nazareth'' (2019), Daniel Marguérat a posé la question : ''Faut-il rapporter les miracles comme les contemporains les ont vécus... ou leur refuser a priori jusqu'à toute possibilité d'occurrence ?'', et il répond : ''Que Jésus ait été un guérisseur charismatique n'est mis en doute par aucun historien. Mais c'est lorsque les évangélistes affirment que ce pouvoir lui vient de Dieu et de sa propre Déité... que quittons le domaine de l'Histoire pour entrer dans le domaine de la Foi'', et là... ''chacun pense et dit comme il veut'', et c'est très bien comme ça.
Le Triduum pascal est tout de même le moment où jamais pour parler de Jésus –''personnage historique'' vs. ''Dieu fait Homme''... ou les deux-- et pour évoquer cette charpente incontestable des fondamentaux de l'humanité... et de toute civilisation possible et à venir, jusqu'à plus ample informé. A mardi prochain. Je vous souhaite de joyeuses fêtes de Pâques.
H-Cl. 
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blogdimanche · 2 months
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Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 12,20-28
« En ce temps-là,
20 il y avait quelques Grecs parmi ceux qui étaient montés à Jérusalem pour adorer Dieu pendant la fête de la Pâque.
21 Ils abordèrent Philippe, qui était de Bethsaïde en Galilée, et lui firent cette demande : « Nous voudrions voir Jésus. »
22 Philippe va le dire à André, et tous deux vont le dire à Jésus.
23 Alors Jésus leur déclare : « L’heure est venue où le Fils de l’homme doit être glorifié.
24 Amen, amen, je vous le dis : si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit.
25 Qui aime sa vie la perd ; qui s’en détache en ce monde la gardera pour la vie éternelle.
26 Si quelqu’un veut me servir, qu’il me suive ; et là où moi je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera.
27 Maintenant mon âme est bouleversée. Que vais-je dire ? “Père, sauve-moi de cette heure” ? – Mais non ! C’est pour cela que je suis parvenu à cette heure-ci !
28 Père, glorifie ton nom ! » Alors, du ciel vint une voix qui disait : « Je l’ai glorifié et je le glorifierai encore. »
(Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)
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(Illustration du site Apprenez-nous à prier)
Commentaire Jn 12,28
« Père, glorifie ton nom ! » Alors, du ciel vint une voix qui disait : « Je l’ai glorifié et je le glorifierai encore. » (Jn 12,28) Nous sommes dans les derniers jours avant la fête de la Pâque à Jérusalem. Jésus a fait ces jours-ci une entrée triomphale dans la ville ; c’est sûr, la foule le prend pour le Messie. Et des Grecs (c’est-à-dire des Juifs de la Diaspora) se présentent juste à ce moment-là et s’adressent à ses disciples : « Nous voudrions voir Jésus » ; pas seulement l’apercevoir, mais le rencontrer, lui parler. Ses disciples viennent dire à Jésus que des Grecs souhaitent le voir ; et il répond « L’Heure est venue pour le Fils de l’homme d’être glorifié », c’est-à-dire révélé comme Dieu. Le mot « glorifier » revient plusieurs fois dans ce texte ; mot difficile pour nous, parce que, dans notre langage courant, la gloire évoque quelque chose qui n’a rien à voir avec Dieu. Pour nous, la gloire, c’est le prestige, l’auréole qui entoure une vedette, sa célébrité, l’importance que les autres lui reconnaissent. Dans la Bible, la gloire de Dieu, c’est sa Présence. Une Présence rayonnante comme le feu du Buisson Ardent où Dieu s’est révélé à Moïse (Ex 3). Et alors le mot « glorifier » veut dire tout simplement « révéler la présence de Dieu ». Quand Jésus dit « Père, glorifie ton nom », on peut traduire « Fais-toi connaître, révèle-toi tel que tu es, révèle-toi comme le Père très aimant qui a conclu avec l’humanité une Alliance d’amour ». Pour aller jusqu’au bout de cette révélation, Jésus a accepté de subir la Passion et la croix : au moment d’aborder cette Heure décisive, l’évangile que nous lisons aujourd’hui nous dit bien les sentiments qui habitent Jésus : l’angoisse, la confiance, la certitude de la victoire. L’angoisse : « Maintenant, je suis bouleversé », « Dirai-je Père, délivre-moi de cette heure ? » On a là chez Saint Jean, l’écho de Gethsémani : le même aveu de souffrance du Christ, son désir d’échapper à la mort « Père, si tu veux, éloigne cette coupe loin de moi ! » L’angoisse, oui, mais aussi la confiance : « Mais non ! C’est pour cela que je suis parvenu à cette heure-ci ! » et aussi cette certitude que « si le grain de blé meurt, il portera du fruit », au sens où de sa mort, un peuple nouveau va naître. « Si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il donne beaucoup de fruits ». À l’heure extrême où il est bouleversé, où il aborde la Passion, Jésus peut continuer à dire « que ta volonté soit faite » en toute confiance : il sait que, de cette mort, Dieu fera surgir la vie pour tous. Angoisse, confiance, et pour finir, la certitude de la victoire « Quand j’aurai été élevé de terre, j’attirerai tout à moi »… « Le prince de ce monde va être jeté dehors ». Dans ces deux phrases apparemment dissemblables, c’est de la même victoire qu’il s’agit : celle de la vérité, celle de la révélation de Dieu. Le prince de ce monde, justement, c’est celui qui, depuis le jardin de la Genèse, nous bourre la tête d’idées fausses sur Dieu. Au contraire, en contemplant la croix du Christ, qui nous dit jusqu’où va l’amour de Dieu pour l’humanité, nous ne pouvons qu’être attirés par lui. La voilà la preuve de l’amour de Dieu : le Fils accepte de mourir de la main des hommes… L’Heure est venue, la mission est accomplie. Quand Jésus a prié « Père, glorifie ton nom », Saint Jean nous dit qu’une voix vint du ciel qui disait : « Je l’ai glorifié (mon Nom) et je le glorifierai encore ». « J’ai glorifié mon Nom », c’est-à-dire je me suis révélé tel que je suis ; « et je le glorifierai encore », cela veut dire maintenant l’Heure est venue où en regardant le crucifié, vous découvrirez jusqu’où va l’amour insondable de la Trinité. Et toute cette pédagogie de révélation n’a qu’un seul but : que l’humanité entende enfin la Bonne Nouvelle de l’amour de Dieu : « C’est pour vous, dit Jésus, que cette voix s’est fait entendre. » (Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie Noëlle Thabut)
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darefollowme · 11 months
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Midsommar — la fête suédoise par excellence
Les touristes errent dans les rues désertes de la capitale vidée de Stockholmois. Et pour cause, les Suédois sont tous partis se mettre au vert pour fêter midsommar. Attendue toute l’année par ceux que la rigueur luthérienne étouffe un peu, cette fête salvatrice où se lâcher est enfin accepté, est un savant mélange de traditions hédoniques, d’orgies païennes, de l’ancienne société paysanne et de l’été idéal avec « sill, sex and sol ».
Un peu d’histoire
Midsommar célèbre le solstice d’été, une cérémonie rituelle en l’honneur du soleil et de la Terre nourricière. Importée d’Allemagne, elle se fête autour du mât fleuri, symbole phallique érigé par les costauds du village, et de ses anneaux féminins, symboles d’abondance et de fertilité. Midsommar est la fête de la fécondité depuis le haut Moyen-Âge. Cette manifestation païenne fut récupérée par l’Église pour fêter Saint Jean-Baptiste et le mât se transforma en substitut de la croix chrétienne. Si jusqu’au XIXème siècle de nombreuses variantes régionales perdurent, de nos jours le mât de mai est relativement uniforme dans tout le royaume, mais ceux de Dalécarlie, les plus richement ornés et fleuris, attirent des touristes bien au-delà des frontières.
Midsommar, jour sans nuit, était une expérience entre le naturel et le surnaturel. Ainsi, les plantes, cueillies juste au moment de la rosée, possédaient des vertus médicinales décuplées, et se rouler nu dans la rosée le matin de midsommar assurait force et santé, tandis que quelques gouttes de cette rosée magique permettait à la bière de fermenter et à la pâte à pain de bien lever. On se méfiait du Näcken, une créature maléfique des eaux, particulièrement actif à la midsommar aux abords des lacs. Mais rester sage, choisir sept fleurs différentes et les placer sous l’oreiller, permettait aux jeunes filles à marier de voir l’élu de leur coeur en rêve.
De nos jours, midsommar se fête encore, de préférence à la campagne, en famille, avec les copains et les voisins autour du mât planté dans le jardin du hembygdsgården, maison des traditions populaires. Danser la tête ornée d’une couronne de fleurs et chanter « Små Grodorna » autour du mât est une tradition assez récente et permet d’inclure les plus jeunes à des festivités marquées par des activités davantage destinées aux adultes.
Des harengs à toutes les sauces et de l’eau de vie aromatisée : sill et nubbe
Le menu de midsommar comporte des valeurs sûres et incontournables : pommes de terre primeurs suédoises, de préférence en robe des champs, à l’aneth, et sill (harengs marinés) à toutes les sauces, senapsill (à la moutarde douce), skärgårdssill (crème, ciboulette, crevettes et oeufs de poisson) et le fransk löksill qui n’a de français que le nom et sa concentration en oignons et épices. Enfin, le grand numéro de parade, la tarte au sill (recette ci-dessous).
À midsommar, les boissons alcoolisées sont consommées en grande quantité, Systembolaget réalise une grosse partie de son chiffre d’affaire annuel à cette période-là. Chaque année, les revues spécialisées proposent une liste des meilleurs nubbe. Voici mon top 3 : Hallands fläder (aux fleurs de sureau), avec son petit goût de cumin et d’anis, OP Andersson est un grand classique et enfin mon nubbe à la rhubarbe (à préparer 3 jours à l’avance — recette également ci-dessous).
Midsommar, c’est aussi la fête du slip
Il fait beau (ou pas, le plus souvent !) mais la lumière fait grimper le taux de sérotonine, on se sent bien et toutes les bonnes choses ingurgitées donnent envie de pécho… ! Même si la vente des préservatifs est exponentielle, Statistiska Centralbyrån enregistre 24 % de naissances au-dessus de la moyenne mensuelle entre le 15 mars et le 15 avril et la date de naissance la plus répandue est le 22 mars, soit exactement neuf mois après midsommar…
Soleil, soleil, soleil, pluie et grêle
La météo de la midsommar est capricieuse ! Les écarts de température varient à Stockholm, de 38 degrés en 1970 à -11 degrés en 1987. Des ondées surprises, une soirée un peu fraîche… mieux vaut s’équiper d’un pull et d’un imper. Pour ré-interpréter les pubs de harengs et de bière, vous pouvez suivre le va-et-vient de la table de l’extérieur à l’intérieur et vice-versa.
Bonus 1 : La super recette de nubbe à la rhubarbe
Ingrédients : 6-8 tiges de rhubarbe  environ 2 cm de gingembre frais • 3 c. à s. de sucre semoule • 1 bouteille d’eau de vie (j’utilise Renat, mais la vodka convient également)
Laver la rhubarbe et le gingembre puis les couper en petits troncons.
Mettre dans un pot à couvercle hermétique, avec le sucre puis recouvrir  avec l’eau de vie.
Laisser reposer au réfrigérateur pendant au moins deux jours, de préférence plus.
Filtrer la préparation au chinois (ou à travers des filtres à café).
Servi très frais, ce nubbe à la jolie couleur rosée se consomme avec modération, bien sûr !
Bonus 2 : La silltårta de parade
Ingrédients : 2 pains kavring (env 600 g) • 80 g de beurre • une boîte de matjesill de 200 g et 1 c. à s. de son jus • des restes de poisson fûmé à chaud ou à froid • une boîte d’œufs de poisson (stenbitsrom car sans colorant) • 3 feuilles de gélatine • un bel oignon rouge ou des cébettes • un pot de kesella • un pot de crème fraîche • 1 c. à s. de moutarde • 1 cm de gingembre râpé • de la ciboulette et des radis pour la déco
Pour le fond de tarte :
Réduire le pain kavring en miettes et le mélanger avec le beurre en pommade.
Tapisser un moule à bord amovible avec cette préparation en aplatissant bien, puis laisser reposer au réfrigérateur pendant environ 15 minutes.
Pour l’appareil :
Faire tremper la gélatine dans l’eau froide pendant environ 5 minutes.
Égoutter le hareng mais garder le jus.
Hacher finement l’oignon et le hareng. Mélanger l’oignon, le hareng, le kesella, la crème fraîche, le jus de hareng, les oeufs de poisson et les restes de poisson fumé et la moutarde et le gingembre. Poivrer.
Faire fondre la gélatine à feu doux. Incorporer au mélange.
Verser dans le moule. Laisser reposer au réfrigérateur au moins 3 heures pour durcir avant démoulage.
Garnir de ciboulette et de rondelles de radis avant de servir.
Bonus 3 : Fläderblomschampagne, pétillant de fleurs de sureau
Ingrédients pour 3 litres de boisson :  env. 2,5 dl de sucre de canne • 1 citron bio coupé en tranches • 1 c.à.s. de vinaigre de cidre bio • 2, 7 l d’eau • 15 corymbes de sureau sans les tiges. Il s’agit bien sûr du sureau Sambucus Nigra.
Secouer les corymbes de fleurs pour éventuellement faire tomber les insectes, puis dans un grand bocal, mettre le sucre, les tranches de citron, l’eau, le vinaigre et les fleurs de sureau. Mélanger et recouvrir le bocal d’un linge fixé à l’aide d’un élastique. Laisser macérer 4 à 6 jours à température ambiante, des petites bulles vont apparaître. Filtrer et mettre en bouteilles à capsule mécanique. Conserver les bouteilles au frais et consommer après 2 semaines.
Si vous désirez conserver votre pétillant plus longtemps, on vous conseille de laisser échapper un peu de gaz de vos bouteilles.
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monoclegraphic · 3 months
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LIVE IN CHICAGO, version 2
thématique Saint-Valentin
Trois vies, trois personnes que le destin réuni et pourtant, la fin ne sera pas la même pour chacun. Chicago est l'une des plus grandes villes des États Unis, située dans l'état de l'Illinois, elle est réputée pour son architecture, ses grattes ciel et son musée. Malheureusement, elle n'est pas toujours aussi douce et paisible qu'il n'y parait, elle offre des coins parfois peu fréquentables, des endroits malfamés et qui offre finalement plus de mal que de bien. La ville se divise en quartiers, entre gangs et fête du village, il faut le dire la ville reste toujours animée. Au milieu de tout ça vous avez nos policiers, nos pompiers qui œuvrent chaque jour pour rendre la ville plus sûre pour tous et pour que chacun puisse avoir les mêmes droits. Rien n’est simple dans la vie, on le sait tout. Il faut savoir choisir sa voie et construire son avenir alors, toi, oui toi, de quel côté de la barrière tu seras ?
N’hésitez pas à aller faire votre tour sur Live in Chicago, https://mylifeinchicago.forumactif.com/
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