#emmanuel axe

[danbenzvi]

On The Jukebox: Yo-Yo Ma, Leonidas Kavakos and Emmanuel Ax - "Beethoven For Three: Symphony Number Four and Opus 97, "Archduke" "

#yo yo ma #leonidas kavakos #emmanuel ax #beethoven for three #symphony no. 4 #op. 97 archduke

[krispyweiss]

Album Review: Yo-Yo Ma, Emmanuel Ax & Leonidas Kavakos - Beethoven for Three: Symphony No. 6 “Pastorale” and Op. 1, No. 3

The miraculous thing about Yo-Yo Ma, Emmanuel Ax & Leonidas Kavakos’ latest Beethoven for Three LP is they make listeners believe ol’ Ludwig was writing specifically for them.

This is ludicrous, of course. Beethoven’s been dead since 1827 and Ma, Ax and Kavakos were born in the 20th century. Yet, the trio’s renderings of Symphony No. 6 in F Major “Pastorale” and Piano Trio No. 3 in C Minor, Op. 1, No. 3 nevertheless make a convincing case the composer was thinking of Ma’s cello, Ax’s piano and Kavakos’ violin when he put feather-dipped-in-ink to paper.

And when the Three - with Ax in the lead - channel the sweeping drama of a massive orchestra on Movement IV. “The Storm,” they validate the less-is-sometimes-more philosophy.

That written, more is more on the Piano Trio as the diversity of instrumentation adds unexpected color and nuance to the piece.

This is the second - Symphonies Nos. 2 and 5 was released earlier this year - in a series of unspecified length. Assuming the quality remains at this level, Beethoven for Three should continue for as long as Ma, Ax and Kavakos desire.

Grade card: Yo-Yo Ma, Emmanuel Ax & Leonidas Kavakos - Beethoven for Three: Symphony No. 6 “Pastorale” and Op. 1, No. 3 - A-

11/22/22

#beethoven for three #yo yo ma #emmanuel ax #leonidas kavakos #beethoven #2022 albums

[lepartidelamort]

Macron concocte le déploiement de l’armée française à Odessa

Macron devra être jugé pour crime contre la paix

Avouez tout de même que nous avons une bonne analyse de la situation.

Avant-hier, le 12 mars, dans notre article sur les projets de guerre de Macron, nous disions exactement :

Macron va nous entraîner dans ce désastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN déploiera ses unités à l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un désastre irréparable stratégiquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accès à la mer. C’est sûrement sur cet axe que Macron déploierait des troupes françaises.

Aujourd’hui, 14 mars, le journal Le Monde révèle le contenu des discussions de Macron avec son équipe de gangsters en vue du déclenchement d’une guerre généralisée en Europe.

Le Monde :

Emmanuel Macron trinque, un verre de whisky à la main. La nuit s’étire, ce 21 février, dans le salon des portraits, à l’Elysée. Le chef de l’Etat répond à ceux qui le félicitent pour son « beau discours » en l’honneur des résistants arméniens Missak et Mélinée Manouchian qu’il vient de faire entrer au Panthéon. Mais le président de la République est songeur. La situation en Ukraine, envahie par les troupes russes depuis deux ans maintenant, se dégrade. La guerre s’enlise. « De toute façon, dans l’année qui vient, je vais devoir envoyer des mecs à Odessa », lâche, d’un air dégagé, le chef de l’Etat devant une poignée d’invités.

Si un journal juif comme Le Monde se met à diffuser ces informations, c’est pour préparer le terrain en vue de l’entrée en guerre de la France contre la Russie. Macron doit parler ce soir, il faut donc attendrir le gigot.

En prenant le contrôle d’Odessa, le but de Macron, ou plus exactement des juifs qui se cachent derrière lui, est de contrôler le flux de céréales qui va vers l’Afrique.

Ces juifs de Paris n’ont toujours pas digéré de s’être fait dégager en quelques mois de l’Afrique de l’Ouest. Ils veulent revenir en force en menaçant ces pays de famine. Le juif Attal l’a laissé transparaître dans son appel à la guerre, tout en justifiant cette pulsion d’agiotage par les intérêts de « l’agriculture française », pourtant menacée par la production à bas coût ukrainienne.

Il y a un autre point, méconnu : Odessa est un repaire historique de la juiverie.

Ces juifs savent que le moindre kilomètre carré conquis par la Russie est un kilomètre irrémédiablement perdu. L’idée d’abandonner Odessa les rend totalement hystériques.

Nous sommes donc à ce moment charnière où, demain, pour les Ides de Mars, Macron organisera avec les Polonais le basculement exigé par la juiverie internationale, en présence de Scholz, pris en otage d’un train infernal qu’il ne maîtrise pas.

Dès cette époque, l’envoi de « troupes au sol » (« boots on the ground », dans le langage militaire) devient une option examinée par les autorités françaises, dans le plus grand secret. Elle est évoquée lors d’un conseil de défense, le 12 juin 2023 à l’Elysée. « Le rôle des militaires est de toujours préparer le maximum d’options possibles, de façon à aider à la décision politico-militaire du président de la République », explique Pierre Schill, chef d’état-major de l’armée de terre, pour lequel il ne faut pas voir dans l’annonce de M. Macron une escalade improvisée sur un coin de table. « Ce que dit le président de la République est d’abord un message politique et stratégique. Le premier objectif est d’envoyer [à la Russie] un signal de volonté et d’engagement dans la durée », assure l’officier supérieur.

Depuis la fin 2023, les troupes de Kiev perdent du terrain dans le Donbass. « Il y a aujourd’hui en Ukraine deux lutteurs qui se tiennent à la gorge, assure le général Schill. Il est impossible de savoir lequel des deux va plier le genou le premier, mais il ne faut pas que l’Ukraine perde. C’est notre mission et notre intérêt. »

Les champs de patates de l’Ukraine, dont tout le monde se foutait en France jusqu’à ce que la CIA n’en décide autrement, ne font pas partie des intérêts de qui que ce soit en Europe de l’Ouest.

Du moins, pour ce qui concerne les goyim.

Schill veut faire tuer autant de golems que nécessaire

Il faut partir du principe que l’oligarchie au pouvoir a définitivement perdu contact avec la réalité. La société française, criblée de dettes et racialement balkanisée, ne résistera pas à une grande guerre. Les émeutes raciales de l’été dernier ont démontré l’état de pourrissement profond qui prévaut.

Deux camps se forment donc, avec les bellicistes à la solde des juifs d’un côté et le peuple de l’autre.

Il faut quand même se rappeler qu’au départ, il y a deux ans, il n’était question que de livrer des gilets pare-balles à Zelensky. On voit où la passivité nous a menés. Le projet des juifs depuis toujours est une guerre contre la Russie, avec une inévitable escalade nucléaire au menu.

Poutine rappelle sans cesse aux peuples d’Europe la gravité de la situation, les médias juifs déploient tous leurs efforts pour rassurer les goyim afin qu’ils marchent aveuglément à l’abattoir.

La formule gagnante ici et de désigner les fauteurs de guerre à la vindicte populaire en prévision des inévitables troubles révolutionnaires qui suivront.

L’objectif, une fois le régime éreinté par le conflit, est de détruire l’ordre démocratique par lequel les juifs nous oppriment.

Participez à cet effort en tractant autour de vous, selon les consignes connues.

#Dempart

[talentforlying]

@handgiven: ❛ Tell me it's worth it. Tell me you know the risk and I'll be there with you. I'll back you up. Just tell me. ❜ — HOUSE OF USHER STARTERS

if there's one thing that john constantine never does, it's hesitate.

no, because it's always a meaningful pause, ennit? or a moment of serious consideration, or a beat of calculation, or simple fucking theatrics. he doesn't just freeze up, silver tongue rusted to the back of his teeth, as if staring into emmanuel's determined ( human ) eyes and knowing he's about to lie is as caustic to the body as it is to the soul.

the guilt was one beast to tame when em was still an angel, when a lie was just a test of that all-knowing all-seeing shtick — when he knew that no matter the transgression, there would still be a healing hand to coax the breath back into his body if he fucked it all up, someone to stay damnation at the door. when the faith poured into the chipped vessel of his being was so vast and fucking unfathomable that there was no way to stem the tide, nothing he could say or do to break the seawall of em's steady forgiveness, until there was no point in lying anymore because damn it, god damn it, he wanted em to know what he was sacrificing for and still find him worthy.

now, though . . . now constantine hesitates. because this is the knife's edge he walks on, the game he plays: a gamble and a slim chance. a tug at the strings of fate to make the tightrope wobble as he walks it, just for a little more ooh from the crowd. it might not be worth it. it might mean fuckall in the grand scheme, and he might be sticking his neck out just to get the axe. but if he says that, if he's honest, it'll be an argument — or worse, disapproval, which em has a way of making sting as deep as the nails at the crucifixion. and if he lies, promises it's worth it, then em will stand beside him, even knowing that if it all falls through, there'll be no last heavenly reprieve. even knowing constantine's word might not mean shit. even if only to save him the forsaken feeling of losing his head alone.

christ, how long had he spent as a kid, wishing god loved him enough to spare him the pain of living, only for the love of an angel to cut him deeper than any knife?

' i know the risk. ' his hand is as firm as it is heavy on the back of em's neck, squeezing lightly, and he makes himself look into those trusting fucking eyes, because he has to remember this later, when he fucks it all up. the second to the instant to the micro-nano-moment before cashing em a check he knows is going to bounce: an empty promise that they might both die doing something meaningful. ' i need you there, em. i'm counting on you. '

and if he manages to lock the door to hell behind him and throw away the key before em can get a foot in, spare the former angel of mercy from bearing witness to a loss he can no longer prevent, then no matter how angry em is with him afterwards, at least for once in his life, john constantine won't be a liar anymore. because it will be worth it. it'll be fucking worth it.

#handgiven #( V. ) STEPS FROM THE SHADOWS. ( i. ) #john when em says shit like this with his whole chest: OTL #he knows who he has to be to survive but em makes him want to Live do you get me!! do you see the vision!! #and then when em falls he wants them BOTH to survive and the person he has to become then is someone New and Worse!! #he's got that fear of watching faith degrade...so desperate not to witness its loss entirely that he'll take any tainted substitute #even if it means self-sacrificial/reckless behavior to try to earn it back the way it used to be & lying to try and remove it entirely #does ANY of this make sense i am simply!!!! all i can say is i was listening to 'first light' by hozier while writing this #( answered. ) THIS IS JOHN CONSTANTINE. FUCK OFF.

[bpod-bpod]

Body Pattern

Thanks to their transparent embryos, scientists can watch as young zebrafish develop, providing unique opportunities for studying how bodies are built. This image of an embryo was taken by researchers working on the origins of facial abnormalities, but others are using zebrafish to investigate more fundamental processes in early development. In vertebrate embryos, gradients of a signalling protein called nodal help cells to work out their position along key body axes, like front to back or left to right. Cells receive the signal by detecting nodal with a complex of multiple receptors, including two types of activin receptor (Acvr1 and Acvr2). Developing zebrafish have several forms of each receptor type, whose exact roles are not entirely understood; by knocking out each one, alone and in combination with others, researchers recently managed to determine which receptors are critical for nodal signalling, potentially helping to better understand this process in humans too.

Written by Emmanuelle Briolat

Image by Oscar Ruiz and George Eisenhoffer

Described research by Hannes Preiß and colleagues, Friedrich Miescher Laboratory of the Max Planck Society, Germany; University of Konstanz, Germany

Image originally published with a Creative Commons Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)

Published in eLife, September 2022

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#science #biomedicine #developmental biology #embryo development #immunofluorescence #zebrafish #fish face #genetics

[tomatoluvr69]

@elicash tagged me to share five songs I’ve been listening to a lot lately!!!!!!!!!!!!!! I’ve really loved reading everyone’s :3 (wow that emoticon is a throwback…leaving it tho).

1. La Complainte Du Partisan by Emmanuel d’Astier de la Vigerie & Anna Marly. This is the original version of the song that would later become Leonard Cohen’s The Partisan, off a 100 song French patriotic WWII song collection. Would I recommend it? No lol

2. This Mess We’re In by PJ Harvey & Thom Yorke (of Beatles fame) I like this one because I’m also in a mess!! Small world. Would I recommend it? Yes. The song, not being in a mess lol

3. Careful With That Axe, Eugene by Pink Floyd get it I made it pink. The Relics version not the Ummagumma version even tho I like that too. Would I recommend? No but yes but no

4. Heroin— 1965 demo version by Lou Reed I love it 😭 it’s rough around the edges but so personable and it’s such a joy to get to hear the early version of a song I know so well and love. He sounds so young and goofy

5. Early Mornin’ Rain by Peter Paul & Mary. Love this song recommend it 1000000%. I’ve also been listening to Just A Little Bit Of Rain by Karen Dalton which is thematically similar and almost made this list. I should make a rain playlist!!!!! Omg omw to do it now it will be so awesome

I think a bunch of ppl have already been tagged but I don’t remember who 😭😭 but I’ll tag @lastyears-man @frogeye-pierce @plaid-nightmares @death-of-a-ladies-man and literally anyone who wants to do it, you can tag me!!!

#tag games

[bopinion]

2023 / 15

Aperçu of the Week:

"The forest was shrinking but the trees kept voting for the axe, for the axe was clever and convinced the trees that because of his handle was made of wood he was one of them."

(Turkish proverb)

Bad News of the Week:

The European Union is actually well positioned in terms of foreign policy. Commission President Ursula von der Leyen and Council President Charles Michel are internationally recognized and have long been involved in the G7, for example. And Josep Borrell, formerly a Spanish minister and President of the European Parliament, as "High Representative of the European Union for Foreign Affairs and Security Policy," is also an internationally recognized personality, the EU foreign minister, so to speak.

Nevertheless, each nation state likes to cook its own soup, a classic political power game. By this I don't even mean guys like Hungarian Prime Minister Viktor Orbán, who regularly has to make it clear who is the master of the house by refusing to agree on common terms (not to say blackmailing). No, I mean, at least this week, French President Emmanuel Macron. He has been dreaming of being the "leading European" since the departure of Angela Merkel. Or as it is called in Washington DC, "the one to call when you want to talk to Europe."

All right, Macron is undoubtedly a committed European. And France, as the EU's second-largest member state, is a central power on the continent. With that comes the responsibility to appear wise, balanced and, above all, coordinated in awareness of one's own position. And that is precisely what Macron is not doing. The most recent example was his visit to Xi Jinping at Easter. Where he preferred to make his own mark and put France's economic interests first. As French head of state, he is allowed to do that, no question. But not under the European flag.

People on the old continent rubbed their eyes in amazement at his announcement that Europe should act more independently in the conflict with China over Taiwan. Explicitly delineated to the USA. If that would not happen, Europe would be in danger of becoming a vassal between the United States and China, even though it could be a third pole. "The worst thing would be to think that we Europeans should be fellow travelers on this issue and adapt to the American rhythm and a Chinese overreaction." Excuse me?

Criticism came from all sides. Manfred Weber, chairman of the conservative EPP as the largest group in the EU Parliament, for example, said that the EU states were making themselves untrustworthy "if on the one hand you demand sovereignty for Europe and then conclude every economic deal you can with China. (...) The Chinese leadership will not respect the Europeans like that." Or U.S. Senator Marco Rubio: If Europe does not side with China or the U.S. on the Taiwan issue, then perhaps the U.S. should not side with either in the Ukraine conflict. The unanimous opinion: a foreign policy disaster for Europe.

German Foreign Minister Annlena Baerbock showed in Beijing yesterday that there is another way. She demanded not only no Chinese arms deliveries to Russia, but also no so-called dual-use goods such as IT or chemicals that could be used militarily. She called for de-escalation on the Taiwan issue. She requested fair economic conditions. She denounced eroding human rights and discrimination. In short, she showed more balls than Macron. And she never forgot her role as a German politician. Not once did she presume to speak for Europe. Good girl.

Good News of the Week:

Germany's last nuclear power plants will be shut down today. Forever, please. Because that was the plan of the German government, which not coincidentally includes the Greens. But the wailing is loud: Is our energy supply really secure? Aren't nuclear power plants cleaner than coal-fired power plants? What can be bad about a form of energy on which neighbor Poland (announced just this week) is betting its future? Why shut down safe nuclear power plants here, when next door in the Czech Republic, decrepit Soviet-era plants are crumbling away? And isn't this just a symbolic debate by the Greens?

No. And once again, in all clarity: No! Nuclear energy is and remains Pandora's box of energy sources. Three-Mile-Island, Chernobyl and Fukushima are already forgotten? If the technology of a photovoltaic system, a wind turbine or - yes, for gods sake - a coal-fired power plant fails, you simply shut it down. That's it. This is not possible with a nuclear reactor. Because the nuclear isotopes don't give a shit if mankind doesn't want them anymore. They just keep on reacting. Until eternity. That is their nature.

Just to remind you: the half-life of uranium 235, the isotope most commonly used in fuel rods, is 703,800,000 years. And it takes ten half-lives (yeah, that means over 7 billion years) before it is no longer highly harmful to humans. So the stuff is still reacting after a period of time before mankind even existed - because the prehistoric man Homo habilis emerged just a comparatively paltry 2 million years ago in East Africa. And still there is no secure final disposal for the nuclear waste. Not because the relevant authorities would not make an effort. But simply because the inconceivably long time in which the waste could enter the groundwater, for example, is beyond the imagination of material science and geology. By far.

So: any nation, any country, any government that decides not to add an additional risk to the one that already exists should be commended. Period. So, at this point, also a "Thank you, well done!". And, dear Mr. Macron, if you are already looking for your place in the history books: don't bet on a special role in Taiwan policy (see above), rather put an end to the madness of your country's energy policy. Unbelievable: sometimes even Germany is suitable as a role model for France. And I don't even have to put an ironic emoji behind this statement - at least in this case....

Personal happy moment of the week:

For over 30 years, I have hardly changed physically. Okay, the connective tissue is weakening and I have already shrunk by 4 cm. The only difference that really stands out, besides less and grayer hair, is my belly. Of which I thought it knew only one development: bigger and thicker. Last Wednesday I had to get out of the house early and wanted to let my wife sleep in. So I put my clothes out the night before. And then realized the next day that my pants were too baggy for me. And had to keep pulling them up all day to the amusement of my colleagues. And still thought that was pretty good. Because after all, that means nothing other than that my belly has been more fatty before.

I couldn't care less...

...about the leakage of top-secret US documents. How can a 21-year-old National Guardsman, who is barely old enough to buy a can of bad beer, already have access to such explosive information? This is simply a flaw in the system.

As I write this...

...I'm still full to bursting from a brunch with friends. The second time this week after Easter Monday. This could directly become my favorite meal. Especially if my wife makes a quiche for it. It just tastes good every time.

Post Scriptum

In 1938, farmer Earl Silas Tupper had a brilliant idea when he learned about polyethylene plastic at the DuPont chemical company: at a time when refrigerators were not yet a standard in every kitchen, food would keep longer in an airtight plastic bowl. Tupperware was born, the rest is history. Tupper parties have already taken place at my house, too, and certainly three dozen pieces are to be found in various cupboards and drawers for years - and in the refrigerator, of course.

Now Tupperware Brands Corporation is threatened with insolvency as sales and stock have plummeted. Since this can hardly be due to the product, especially in times when disposable packaging is being abolished, it must be the marketing and distribution. Because until 2018, at least in Germany, the products were only available at these legendary Tupperware parties. Now there is an online store, but still no sales in stationary retail. Allegedly, "promising talks" are currently taking place, one reads. I hope this happens quickly enough. I would really miss this brand.

#thoughts #aperçu #good news #bad news #news of the week #happy moments #politics #turkish #european union #europe #china #emmanuel macron #annalena baerbock #taiwan #germany #nuclear energy #the greens #fat belly #leakage #top secret files #brunch #tupperware #Party #quiche #national guard #france #nuclear waste #power plant #european council #atomic age

[catgirlbutthole]

Typo in the political post 😣 I was so blinded by my hate for Emmanuel Macron that I couldn't write properly. So hard to write a post one handed (other hand is sharpening an axe)

[nomoretears-707]

Sex can be something beautiful, and shouldn’t be forbidden as if it was mere violence. Labeled? Yeah, of course, that’s more than valid. But forbidden?

We are in the XXI century. Sex deserves everyone starts to see it as what it is, a healthy act full of fun, fantasies, and bliss, not something worse than violence.

Not a monster we should defeat.

I cannot stop thinking of this quote that, as far as I know, belongs to George R.R. Martin. This one:

I can describe an axe entering a human skull in great explicit detail and no one will blink twice at it. I provide a similar description, just as detailed, of a penis entering a vagina, and I get letters about it and people swearing off. To my mind this is kind of frustrating, it’s madness. Ultimately, in the history of [the] world, penises entering vaginas have given a lot of people a lot of pleasure; axes entering skulls, well, not so much.

This quote encapsulates all my thoughts.

When I was young, I was at a Catholic school. All my male classmates used to talk all day about their cum and how they spilled it over super models’ faces after jerking off. “Last night I did it twice over Pampita’s face”, “I did it over Sabrina Rojas’ face!”, etc.

One day I thought, “well, if they can talk about it, I can, too”, and I talked about it, about how I learned to jerk off thinking of a beautiful actress from the erotic movie that was so popular on midnight cable those days. My friend felt she discovered a new world; she made me all kinds of questions, but other people heard my story.

All school attacked me. All school. “Of course you jerk off; you’re so fucking ugly that no one would ever want to fuck you”, “fucking lesbian”, “you’re weird”, “you’re not normal.”

Nice (?).

Fanfiction.Net, during the before AO3 era, used to label violence & sex as if they were the same; both were forbidden, but those self-called critics only reported sex, not violence. Axes kept killing people, but a penis and a vagina or ass or mouth or thighs having fun together were reported non-stop.

My problem with all this is the double moral. Is sex as bad as violence? You can tell me both are explicit, but is it fair to label them as the same? Does Tumblr say something about violence?

Can I post an axe entering someone’s skull but not a penis entering another body with the latter’s consent?

I think the only problem here is we still see sex from a conservative perspective. We don’t see it as something natural, beautiful, healthy, all what it is when consent reigns. I respect everyone’s thoughts, but I still remember Teen Pam and how bad she felt after realizing boys could talk about their cum, but I had no right to talk about my middle finger between my legs while thinking of Emmanuelle.

I will always stay on her side, preferring penises & vaginas & more penises & more vaginas & nudity & pleasure & sex than axes entering skulls.

Penises & vaginas are hotter, if you ask me.

#Thoughts #Dead Dove Content is another matter #I believe it should be carefully labeled #Very carefully #Not everyone is comfortable with it and that’s extremely valid #But consented sex between adults? #That doesn’t deserve to be as forbidden as a fucking axe killing some random Rhaegar Targaryen (?) #There’s a line there and I believe is time to stop ignoring it #Y eso es todo (?)

[toutmontbeliard-com]

Rachat des activités nucléaires de General Electric par EDF : soulagements à Belfort

Le Président de la République Emmanuel Macron a annoncé qu’à compter du vendredi 31 mai 2024, EDF reprendra officiellement les activités nucléaires de General Electric, dont la maintenance et la fabrication des turbines Arabelle à Belfort. Marie-Guite Dufay, Présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté : "L’annonce du Président est la concrétisation d’une promesse très attendue par les salariés de Belfort, formulée en 2022. C’est un soulagement pour les hommes et les femmes qui représentent l’excellence de la filière nucléaire française, et qui ont subi les stratégies de GE. Je me réjouis par ailleurs de voir les compétences de Belfort et du Nord Franche-Comté reconnues et confortées. Cette opération de rachat doit permette de garantir notre autonomie énergétique, mais doit également profiter à Belfort avec à la clé des investissements et de nouvelles commandes ; le projet industriel qui découle de ce rachat doit être connu au plus vite afin de sécuriser l’avenir des salariés. Cette intervention est dans la droite ligne de ce que j’ai toujours préconisée, à savoir le mix énergétique. Mais si la relance du nucléaire est un axe essentiel de notre souveraineté énergétique, n’oublions pas le développement des énergies renouvelables. Dans cette optique, les activités éoliennes et hydroélectriques encore détenues par GE depuis le rachat d’Alstom, sont un point de vigilance majeur. Ainsi, j’espère que le Président de la République sera à Belfort pour l’inauguration de la première Gigafactory d'électrolyseurs en France de McPhy, qu’il a contribué à installer dans le Nord-Franche-Comté, afin de rappeler l’importance de la diversification des énergies dans notre stratégie de souveraineté". Read the full article

[zehub]

Emmanuel Macron, président de la République : "Avec France 2030, il faut qu'on accélère sur l'hydrogène et la capture du carbone"

À l’occasion d’un déplacement à Toulouse sur le site d’Airbus, Emmanuel Macron a fait connaître ses axes prioritaires pour la poursuite du plan France 2030, lancé il y a deux ans. Le président de la République veut accélérer sur l’hydrogène pour « faire de la France une plaque tournante du transport d'hydrogène, et être très compétitif ». Il a également annoncé des « financements massifs pour explorer le potentiel » de l'hydrogène naturel. 

[krispyweiss]

Song Review: Yo-Yo Ma, Emanuel Ax and Leonidas Kavakos - “Piano Trio No. 3 in C Minor, Op. 1, No. 3: II. Andante cantabile con variazioni”

Beethoven’s “Piano Trio” becomes a cello-piano-and-violin concerto when Yo-Yo Ma, Emanuel Ax and Leonidas Kavakos set their instruments to it.

A piece of the piece - “Andante cantabile con variazioni” - is out to preview the trio’s next Beethoven for Three release, Symphony No. 6 “Pastorale” and Op. 1, No. 3, arriving Nov. 11.

It is, of course, exceptional, even as it turns Beethoven over and sets him on his head. Pianist Ax is, also of course, the pre-eminent voice in this excerpt. But Ma and Kavakos provide essential accompaniment marking yet another remarkable collaboration for this international triad of modern classical giants.

Grade card: Yo-Yo Ma, Emanuel Ax and Leonidas Kavakos - “Piano Trio No. 3 in C Minor, Op. 1, No. 3: II. Andante cantabile con variazioni” - A

10/4/22

#Youtube #beethoven #yo yo ma #emmanuel ax #leonidas kavakos

[globmedia]

Hôpital Laquintinie

Les malades au centre des préoccupations

La 4ème assemblée générale ordinaire de l’hôpital Laquintinie de Douala s’est tenue hier jeudi à Bonanjo dans un contexte marqué par l'implémentation de la Couverture Santé Universelle, l'amélioration de la qualité des soins, l'optimisation du plateau technique des formations sanitaires du Cameroun, et la formation du personnel hospitalier.

Le personnel de l’Hôpital Laquintinie de Douala s’est retrouvé à la maison de parti de Bonanjo pour tenir sa 4ème assemblée générale ordinaire dans l'optique de dresser le bilan des activités médicales. C’était dans une salle archicomble et en présence du directeur dudit hôpital, le Pr Noël Emmanuel Essomba que ce grand moment d’échanges s’est déroulé. Un moment pendant lequel le patron a laissé la possibilité à tout son personnel de décider démocratiquement des conditions de travail. La rencontre a également permis d’évaluer le parcours, les réalisations, les difficultés rencontrées. Une démarche conforme à la Politique gouvernementale en matière de Santé Publique, prescrite par le Président de la République et à la Stratégie Sectorielle de Santé du Cameroun 2016-2027, dans laquelle s'inscrit l'Hôpital Laquintinie de Douala. Au regard des mutations profondes de la société, de la mondialisation, des avancées technologiques, et de l'apparition de nouvelles formes de pathologies, les formations sanitaires sont appelées à s'adapter aux contextes, ainsi qu'aux différents enjeux et défis, pour une meilleure qualité de service et une prise en charge professionnelle des malades. L'Hôpital Laquintinie de Douala axe sa stratégie sur une politique participative de son d��veloppement à travers ses différentes instances, dont l'Assemblée générale. « Je voudrais au-delà de cette forte mobilisation, vous rappeler que quatre ans après, on a compris l’importance de cette assise. Je voudrais simplement être dithyrambique pour dire à ceux qui ne sont pas de l’hôpital Laquintinie que nous connaissons des points forts et des points faibles aussi. Je voudrais également saluer l’équipe dirigeante de cette formation sanitaire qui, tous les matins, se concertent, toutes les semaines, fait des descentes pour s’assurer que çà et là, ça marche ou ça ne marche pas. Ce qui nous permet de prendre des résolutions rapides, des interventions efficaces et c’est certainement ce qui aboutit à ce résultat. » atteste le Pr Noël Emmanuel Essomba, patron de l’hôpital lors de son discours. Pendant cette rencontre, un diagnostic sans complaisance de l'état de santé de l'hôpital, des résolutions, des engagements de tout le personnel et une ordonnance devant s'appliquer à tous, au travers des mutations envisagées par le top management se sont faits, donnant une garantie d’une nouvelle année réussie.

Panisse Istral Fotso

Réaction

Pr Noël Emmanuel Essomba, Directeur de l’hôpital Laquintinie de Douala

« Je voudrais que vous constatiez par vous-même la satisfaction de l’ensemble du personnel. »

 C’est cette même satisfaction que je partage, parce que nous avons évalué les activités de l’année qui s’achève, nous avons fait des projections à la dernière assemblée générale et vous avez constaté que tout a été accompli. C’est donc une satisfaction qui nous anime, vous avez pu entendre, parce qu’on a permis à l’ensemble des médias de couvrir la totalité de nos travaux, que les transferts des malades à l’hôpital Laquintinie sont passés de 1500 en 2022 à 6000 transferts au cours de cette année, ce qui témoigne de la confiance que les formations sanitaires et la population portent sur l’hôpital Laquintinie. J’ai exhorté mes collaborateurs à plus d’effort parce que le gouvernement de la République nous demande encore plus pour assurer la prise en charge des camerounais. Vous avez vu comment on s’est levé comme un seul homme pour dire, on y va monsieur le Directeur, on soutient cette initiative et je ne peux qu’être un Directeur content et heureux.

Propos recueillis par Panisse Istral Fotso

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We went to the symphony last night. Update: Emmanuel Ax is still a very, very good pianist.

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CLIMAT "La technologie ne suffira pas à nous sauver"

Au lendemain des annonces d'Emmanuel Macron, l'ancien vice-président du GIEC, Jean Jouzel, déplore un manque d'ambition et craint l'émergence d'un nouveau discours climatosceptique

Production d'un million de pompes à chaleur, autant de voitures électriques, création de 13 RER métropolitains, décarbonation de 50 sites industriels… Emmanuel Macron a dévoilé, le 25 septembre, les grands axes de sa feuille de route écologique.

Ces mesures seront-elles suffisantes pour atteindre l'objectif de réduction de 55 % de nos émissions de CO2 en 2030? Entretien avec le paléo-climatologue Jean Jouzel, qui relève des incohérences dans le discours présidentiel. Et pointe du doigt ceux qui pensent que la « transition peut encore attendre ».

Les mesures annoncées par Emmanuel Macron sont-elles, selon vous, à la hauteur? Elles sont intéressantes, mais je crains qu'elles soient insuffisantes pour tenir notre objectif; qui est de baisser d'au moins 55 % nos émissions de gaz à effet de serre à l'horizon 2030. Pour y parvenir, Emmanuel Macron mise exclusivement sur des solutions techniques. Il nous dit que nous allons pouvoir faire cette transition écologique sans avoir à bouleverser nos modes de vie, et que nous allons même pouvoir continuer à consommer comme avant. Je ne partage pas du tout cette idée que la technologie suffira à elle seule à nous sauver.

Vous n'avez pas le sentiment que l'exécutif soit décidé à changer de braquet sur ce sujet? J'avais placé de grands espoirs dans la convention citoyenne pour le climat J'ai été très déçu par ce qu'en a fait Emmanuel Macron. En sera-t-il autrement cette fois-ci? Je l'espère mais je, constate qu'il y a toujours un décalage entre les annonces et les actes. Un exemple: On présente une série de mesures de planification écologigue. mais on continue en menu temps à soutenir un projet autoroutier comme l'A69 dont on sait qu'il ne peut que conduire à augmenter nos émissions de CO2.

On vous sent désabusé… J'ai été très troublé par plusieurs déclarations du président de la République, qui entretient une forme de confusion sur le climat. Je l'ai entendu dire récemment que « la France, c'est à peu près 1 % des émissions mondiales » [lors de son entretien sur la chaîne Youtube « Hugo décrypte », NDLR]. Or il s'agit d'un élément de langage qui est d'ordinaire brandi par ceux qui ne veulent surtout pas agir. Non seulement il minimise notre responsabilité historique niais c'est en plus très démobilisateur puisqu'il laisse entendre que la lutte contre le réchauffement climatique, au fond, ne nous concerne pas vraiment. Ce n'est pas avec ce genre de propos que l'on va réussir à embarquer tous les Français. J'ai évidemment été agacé aussi par son «Qui aurait pu prédire la crise climatique?» [phrase prononcée lors de ses voeux aux Français le 31 décembre 2022]. Ma première rencontre avec Emmanuel Macron, c'était il y a tout juste dix ans, lorsque j'ai été invité à l'Elysée pour présenter les conclusions du cinquième rapport du Giec devant François Hollande, dont il était alors le secrétaire général adjoint du cabinet. Tout ce que nous vivons aujourd'hui était annoncé dans ce document que j'avais résumé devant lui…

Vous avez marqué les esprits en exprimant votre exaspération après un échange avec Patrick Pouyanné, le patron de TotalEnergies, à l'université du Medef: Qu'est-ce qui vous a mis en colère?

Ce ne sont pas tant les propos de Patrick Pouyanné qui m'ont mis en colère que la réaction du public. Lui n'a fait que dérouler son argumentaire habituel, à savoir qu'en matière de transition écologique il faut se « hâter lentement ». Je suis en complet désaccord avec ce discours mais il ne m'a guère étonné. Les patrons des compagnies pétrolières ne contestent plus frontalement la réalité du réchauffement climatique, ils expliquent qu'il n'est ni possible ni souhaitable d'aller trop vite. Le fait qu'il soit très applaudi m'a, en revanche, beaucoup surpris et déçu. Cela signifie que les chefs d'entreprise qui étaient là souscrivent à cette idée que la transition peut encore attendre. Ils acceptent donc implicitement que nous allions vers un monde plus chaud de 3°C, soit +4°C en France. C'est terrible…

Lors de ce débat, Patrick Pouyané a invoqué la « vie réelle »: son entreprise ne fait que répondre à la demande. La vie réelle, c'est aussi le Canada qui vient de voir l'équivalent du quart de la surface de la France partir en fumée, les canicules et les sécheresses qui s'aggravent, des inondations comme celles qui viennent de tuer plus de 4 000 personnes en Libye! C'est également un pays comme l'Iran où l'on a été obligê de tout arrêter pendant deux jours parce qu'il faisait 55 °C. Patrick Pouyanné sous-entend que les scientifiques sont hors-sol. C'est tout le contraire. Les effets du réchauffement sont maintenant sous nos yeux, et ce ne sont que les prémices de ce qui nous attend.

Il explique également qu'il est impossible de se passer des énergies fossiles à court terme… Il a raison. Mais Patrick Pouyanné fait comme si nous venions tout juste de découvrir le problème alors que les scientifiques expliquent depuis quarante ans qu'il faut arrêter de brûler des combustibles fossiles! L'argument qui consiste à dire qu'on ne peut pas se passer de pétrole du jour au lendemain est de ce point de vue assez malhonnête.

Comment expliquez-vous l'inertie actuelle sur le front du climat? La lutte contre le réchauffement climatique exige d'avoir une vision à moyen et à long terme. Or nous vivons dans un système économique ultralibéral où, en raison du poids écrasant des actionnaires sur les stratégies des entreprises, seul compte le court terme. Le capitalisme, tel qu'il fonctionne aujourd'hui, est incompatible avec la transition écologique.

Etes-vous surpris par la persistance des discours climatosceptiques, alors que les effets du changement climatique sont manifestes? J'ai longtemps pensé, un peu naïvement, qu'à mesure que les effets du changement climatique seraient de plus en plus concrets, l'action allait suivre. Mais le climatoscepticisme se transforme. Pour justifier le statu quo, on nous dit que la transition prendra du temps ou que la technologie va nous sauver. Avec la COP28 qui approche, j'observe une offensive très forte pour que des outils comme la capture du carbone et la géo-ingénierie soient mis sur la table. Nous sommes en train de perdre la bataille face à ceux qui veulent continuer à freiner, coûte que coûte, la réduction de nos émissions de CO2.

L'été 2023 a été marqué par plusieurs tragédies climatiques. Le réchauffement est-il en train de s'emballer? Très ponctuellement, nous observons des événements plus extrêmes que prévu. Mais je ne crois pas qu'il faille parler d'emballement. Dans l'ensemble, tout est hélas conforme à ce qui était annoncé par nos modélisations. J'ai récemment entendu des élus du Rassemblement national accuser le GIEC d'être alarmiste. Mais on ne peut que constater aujourd'hui que les scientifiques n'avaient absolument rien exagéré.

Des mouvements écologistes, comme Extinction Rebellion ou Les Soulèvements de la Terre, font le choix de la désobéissance civile. Soutenez-vous cette stratégie? Bien sûr. Nous faisons preuve, vis-à-vis des jeunes générations, d'un égoïsme stupéfiant. Comment s'étonner qu'une partie d'entre eux n'acceptent pas ça? Que le ministre de l'Intérieur parle d'« écoterrorisme » à leur sujet, ce n'est pas acceptable. Le gouvernement se trompe de menace. C'est le changement climatique qui met notre société en péril. ■ BIO EXPRESS Ancien vice-président duGIEC, le paléoclimatologue JEAN JOUZEL dirige l'association Météo et Climat, qui coorganise du 6 au 8 octobre le 20e Forum international de la Météo et du Climat, à Paris. Il a récemment publié « Climat Itinéraire d'un pionnier », avec Paul Goupil (Ed. Ouest-France).

Propos recueillis par SÉBASTIEN BILLARD

Article publié dans le magazine L'OBS du 5 octobre 2023

#urgenceclimatique #giec #capitalisme

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