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#eaux profondes
les-larmes-d-eros · 6 months
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"Hello voisin", par Ivanoel Barreto
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ozu-teapot · 1 year
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Eaux profondes | Michel Deville | 1981
Isabelle Huppert
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missdreamalot · 9 months
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Eaux profondes (1981). dir. Michel Deville
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rachelmygod · 9 months
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Eaux profondes (Michel Deville, 1981)
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hedgehog-moss · 9 months
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do you have any recommendations for favorite french-language poetry? esp written by women?
Yes, sure! We might not have the same tastes (I like nature poetry mostly, and good old lavish alexandrine verse—I find the predictability of it very soothing) but here are excerpts of poems by 13 French-language poétesses :)
(I wanted to add a few men at the end but I spent too much time on the women, and the French male poets I enjoy are very well-known ones anyway, e.g. Hugo, Mallarmé, Prévert, Aragon... also André Breton's surrealist poetry)
• Sabine Amable Voïart, known as Amable Tastu (1798-1885)
D’où vient que l’âme humaine est ainsi disposée, Que jamais ses regards troublés et mécontens N’ont pu s’accoutumer à la marche du temps? Sur l’éternel chemin, chaque borne posée Nous attriste. D’où vient? je ne sais; mais toujours Le vertige nous prend à voir couler nos jours: 
Si vous reparcourez l’enclos où votre enfance Avez-vous souvenir, à l’âge où tout enchante, D’une voix qui vous plut, voix timide et touchante, […] Que, plus tard, cette voix résonne à votre oreille, De vos rêves déçus vous raillez la merveille, Vous prenant en pitié d’avoir si mal jugé… Elle est la même encor; mais vous avez changé!
• Louise-Victorine Ackermann (1813-1890)
(A la comète de 1861) […] Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre L'homme aura disparu. Du fond de ce séjour Si son œil ne doit pas contempler ton retour, Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire, Dans l'espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain.
• Marie Dauguet (1860-1942)
Mon coeur est né sauvage et seul comme un merle, Que berça la chanson du vent, subtil orchestre, Ivre des noirs myrtils dont la forêt s'emperle, Grisé d'odeur de source et d'haleine sylvestre. […]
Et d'abord très souvent j'étouffe dans moi-même, Tout m'y semble étriqué, trop étroit et mesquin, Et je fuis l'infini pour l'infini que j'aime, Parmi le ciel, les eaux, les circuits des chemins.
• Alice de Chambrier (1861-1882) (she is Swiss)
J’ai vu comme l’on voit quelquefois dans un rêve, Une immense Cité près d’une immense grève, Avec des dômes d’or et des palais géants, Des temples incrustés de mille diamants […]
Plus tard j’ai repassé devant cette cité, Et voulant la revoir, je m’y suis arrêtée; Mais à peine mes pas ont foulé sa poussière Que devant mes regards elle s’est tout entière Écroulée—et n’est plus qu’une ruine immense Dont le cri des Vautours trouble seul le silence.
• Lucie Delarue-Mardrus (1868-1949)
1. Humanité sans force, endurante moitié Du monde, ô camarade éternelle, ô moi-même ! Femme, femme, qui donc te dira que je t’aime D’un cœur si gros d’amour et si lourd de pitié ?
2. J’aime, en quelque lieu que ce soit, L’heure où l’existence, pour moi, Redevient nocturne et muette.
L’heure sans lois et sans humains, Sans hiers et sans lendemains, Où je ne suis plus que poète.
La seule heure d’esprit total, Celle où, jusqu’oublier mon mal Je sens se fermer toute plaie,
Car je ne fus moi-même, vraie, Car je ne fus ce que suis, — Passionnément — que les nuits.
• Anna de Noailles (1876-1933)
Nature au cœur profond sur qui les cieux reposent, Nul n’aura comme moi si chaudement aimé La lumière des jours et la douceur des choses, L’eau luisante et la terre où la vie a germé.
La forêt, les étangs et les plaines fécondes Ont plus touché mes yeux que les regards humains, Je me suis appuyée à la beauté du monde Et j’ai tenu l’odeur des saisons dans mes mains.
• Renée Vivien (1877-1911) (English, mainly wrote in French)
Dans l’azur de l’avril et dans l’air de l’automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme où le désir frissonne.
[…] Vêtu de clair de lune et de reflets d’argent, Le bouleau virginal à l’ivoire changeant Projette avec pudeur ses blancheurs incertaines. Les tilleuls ont l’odeur des âpres cheveux bruns, Et des acacias aux verdures lointaines Tombe divinement la neige des parfums.
• Valentine Penrose (1898-1978)
Notre Père qui êtes aux cieux des doux matins bercés aux fleurs des laitues bleues, […] que votre nom soit sanctifié ! O Brume d’or dans les vergers, que votre volonté soit faite ! Sur la Terre comme au Ciel ; sur la terre élançant ses arbres au soleil, sur les labours luisants chevauchés de noyers, sur le sol des jardins de chaleur tout vrillés […]. Donnez-nous aujourd’hui notre Pain quotidien. Dans la fraîche cuisine où bourdonne une guêpe, où les fourmis montent leur noir petit chemin […] Et pardonnez-nous nos offenses… […]
• Louise de Vilmorin (1902-1969)
Pois de senteur en ma demeure Et sur mon cœur poids de cent heures
Je t’enlacerai, tu t’en lasseras
Étonnamment monotone et lasse, Est ton âme en mon automne, hélas !
• Andrée Chedid (1920-2011)
Échappant à l'enclume du temps L'Univers sème ses formes Véhicule ses songes S'invente des tumultes
[…] Enserrée dans son globe Empoignant son noyau La Terre emporte l'histoire Vers son immense dérive.
• Anne Perrier (1922-2017) (also Swiss)
1. Ô rompre les amarres Partir partir Je ne suis pas de ceux qui restent La maison le jardin tant aimés Ne sont jamais derrière mais devant Dans la splendide brume Inconnue
2. Lorsque la mort viendra Je voudrais que ce soit comme aujourd'hui Un grand soir droit laiteux et immobile Et surtout je voudrais Que tout se tienne bien tranquille Pour que j'entende Une dernière fois respirer cette terre Pendant que doucement s'écarteront de moi Les mains aimées Qui m'attachent au monde
• Marie-Claire Bancquart (1932-2019)
1. Un tremble c'est le nom du peuplier blanc : luisance furtive.
Éclair des feuilles leur vie scintille
instant après instant elles chuchotent que nous avons aussi des moments miroitants minuscules, étincelantes traces de nous sur le monde. 2. Je suis l’encolure d’un pays vêtu de toile et d’eau, longtemps ténébreux, maintenant étalé sur la nuit, croisé une fois pour toutes par le crépuscule, et qui entend les soleils célébrer leur courbe.
Je suis son oreille, et, dans son oreille, ce qui, bruissant, permet le bruit.
[…] Mais suis-je enclave, ou bien ce pays serait le creux nécessaire au violon, l’autour-de-moi facilitant mémoire?
• Hélène Dorion (1958 - ) (she's from Québec)
Autour de moi les notes lumineuses d'une feuille venue jusqu'à la branche pour remuer avec le souffle danse et boit l'eau qui la sauve au matin quand recommence son chemin vers le soir
et je marche aussi d'un pas qui repose dans l'infini j'écoute le monde qui bruit à travers les arbres seuls comme des êtres occupés à devenir leur forme singulière
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homomenhommes · 15 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 146
Dimanche chez Alex et Johan
Réveil tardif et seul. J'enfile un shorty et sors de la chambre. comme je passe devant celle de nos hôtes, et que la porte est entrouverte, je jette un oeil et voit Johan seul sur le lit. Nu sur le ventre, je me laisse attirer par son dos parfait et ses fesses rondes. Comme je m'approche, il dort toujours. Je me glisse à ses cotés et passe ma main délicatement sur son corps. Un léger frisson parcours sa peau sans le réveiller. Je remplace ma main par mes lèvres. Je pose ma langue sur sa nuque et descend la colonne vertébrale jusqu'à ses fesses. Là j'obtiens une réaction et il se tourne entrouvre les yeux et me voit. Il tends les bras et m'attire vers lui. Nous nous roulons un patin avant de nous rendormir collés. C'est une bonne heure plus tard que nous sommes réveillés par Alex et Marc mort de rire de nous trouver ainsi. Je mate les braguettes, elles sont bien tendues. Ils avancent tous les deux du même coté du lit. Pas la peine de faire un dessin, je m'approche du bord, défais la ceinture et ouvre le pantalon de Marc alors que Johan fait de même à mes cotés avec son mec. Les 22cm de Marc sortent comme un diable de sa boite. J'attrape le gland au passage et aspire sa queue. Pour plus de pratique je me mets à 4 pattes sur le matelas. Johan m'imite et nous sommes collés des épaules aux hanches. Les mains de nos mâles tiennent nos têtes et ils utilisent nos bouches à leurs grés. Nous ne sommes que les réceptacles de leurs excitations. Régulièrement le gland de Marc passe la glotte et vient se faire serrer par ma gorge. Un coup d'oeil de coté et je vois qu'Alex s'enfonce aussi jusqu'aux amygdales de Johan. 5 mn à nous bourrer nos gorges et ils se lâchent. J'avale tout et Johan de même. Chacun prend bien soin de ne laisser sortir le gland de son " nourrisseur " qu'une fois nettoyé du moindre spermatozoïde survivant.
Alors qu'ils les rangent derrière leurs braguettes, Johan et moi sommes bien réveillés et nos tiges tendues à mort prouvent l'état dans lequel ils nous ont mis. Je me jette sur Johan et embouche ses 20cm. Il me fait tomber sur le lit et en 69 me rend la pareille. J'ai l'impression de me faire une auto-fellation ! Marc et Alex nous quittent en nous disant que le café nous attend. Seul Johan et moi, nous nous faisons l'amour. Doucement, sensuellement, chacun exacerbe l'excitation de l'autre. Le 69 nous ayant amené au bord de la jouissance, nous nous sommes arrêtés et avons laissé retombé la pression. Dans les bras l'un de l'autre nous nous sommes roulés un patin lent, langoureux avant que je glisse ma bouche sur son cou, son pec gauche avec arrêt sur le téton pour le faire durcir et le mordiller. Continuant ma descente, ma langue a repris contact avec son gland, mais juste pour aller titiller son frein puis descendre encore plus bas pour prendre ne bouche une puis ses deux boules et les faire rouler délicatement sous ma langue. Quelques instants plus tard, je cheminais sur son périnée et atteignais enfin les bords de son anus. Pour m'aidé, il avait relevé ses jambes et les retenais sous ses genoux, cette position, mettant son anus à découvert. Là, j'ai mis tout mon savoir faire à lui préparer la rondelle. D'un passage sage de ma langue sur l'anneau, au pointage de cette dernière dans son trou, du mordillement des abords au salivage " grande eaux ", tout y est passé. Le but étant que j'obtienne de lui une demande d'enculage dans les règles. Je crois qu'il appréciait tellement qu'il a fait durer le plaisir. Ce n'est que bien ouvert (en cours de route mes doigts étaient entrés en action eux aussi), alors que ma langue léchait sans difficultés le premier cm de trou qu'il m'a enfin supplié de l'enculer. Kpote mise express sur ma bite qui bandait déjà depuis le début et je m'enfonçais avec délice au plus profond de son être. La préparation longue avait porté ses fruits et sans plus de lubrifiant que ma salive et celui du préservatif, je glissais mes 20cm entiers. Arrivé au fond, si on peut dire, je n'ai plus bougé. Nous sommes restés tous les deux à apprécier ce moment. Couché entre ses jambes, j'ai approché mon visage du sien et nous nous sommes roulés un patin. Ce moment spécial s'est interrompu quand j'ai senti son bassin commencer à bouger, rouler sur ma tige. Quelle salope ! la poésie du moment étant passée, je me suis redressé et mes mains à la pliure de ses genoux, j'ai entamé un limage de compétition. De grands coups de bassin destinés à utiliser la totalité de mes 20cm, une arrivée en buttée violente pour ne pas qu'il perde un seul mm de ma queue, des pilonnages de fond de trou, en passant par tous les type possible de ramonage, je l'ai fait crier de plaisir. De son coté, il m'a joué tout le panel possible de pression anale, de faible me laissant passer sans problème à forte où j'étais obligé de pousser fort pour rentrer.
Alors que je m'arrêtais quelques instants pour éviter de juter, il m'a glissé qu'il souhaitait me rendre la pareille.
Aussitôt je me dégageais et me posais à 4 pattes sur le lit. Ses mains ont écarté mes fesses et j'ai senti un courant d'air sur ma rondelle juste avant de sentir le mouillé de sa salive. Maitrisant assez bien mon muscle anal, je me suis détendu pour faciliter l'entrée de sa langue. Bien chauds, les préliminaires ont été expédiés assez vite. J'ai senti alors son gland se poser sur mon trou. Un petit coup de ses reins et il m'a entré son gland puis s'est arrêté. J'en voulais plus et il faisait exprès de me faire lambiner. J'ai donc reculer d'un coup, emprisonnant la totalité de sa queue dans mon cul. là, j'ai serré mon anneau pour qu'il ne puisse plus bouger (ce qu'il n'est pas encore capable de faire !). Je l'ai relâché alors qu'il me boxait (gentiment) les cotes pour que je cesse. Il sait enculer très bien aussi même si ce n'est pas sa " position " avec Alex. Ce n'est pas plus la mienne avec Marc d'ailleurs. J'ai bien apprécier sa technique et il savait bien taper sur ma prostate à chaque intromission. Excité par notre première partie, nous avons atteint rapidement le summum et il a rempli sa kpote au fond de moi comme je recueillais dans ma main ma production. Je me couchais sur le dos et alors qu'il n'avait pas encore bougé, j'ai fait couler lentement mon sperme dans ma bouche. Ses yeux fixés sur moi, un " saloooope " est sorti du fond de son coeur. J'ai avalé puis éclaté de rire. Il s'est couché sur moi et nous avons roulé sur le lit
Douches ensemble dans leur salle de bain et nous sommes descendu son bras sur mes épaules et le mien sur ses reins.
Notre arrivée dans la cuisine nous a valu quelques commentaires sur notre discrétion. C'est vrai que toutes les portes ouvertes, ils ont du en entendre une bonne partie ! C'est toujours collés que nous disons bonjours à nos hommes.
Lors de leur prochain passage à la maison nous inviterons Igor et ses jumeaux, je suis impatient qu'ils me découvrent avec Johan.
En attendant, Alex nous rappelle que dans quelques heures arrive le premier mec pour le poste de service. Vu l'heure, nous brunchons, Café, jambon, oeufs, fromage, croissants en dessert.
Le premier convoqué est l'étudiant blond. Il arrive à deux heure pile, ponctuel ! Johan lui ouvre et l'emmène au bureau. Configuration : Alex derrière son grand bureau, Marc à ses cotés, Johan et moi sur des fauteuils. Le mec est assis sur sa chaise au milieu. Alex vérifie le pédigrée, il s'appelle Julien, et lit la carte d'identité pour s'assurer de sa majorité (il a en réalité 20 ans). Puis vient une première série de question (préparées avec Marc). Les réponses sont satisfaisantes. Notamment sur le trip " service complet ".
Vient le passage strip-tease. Les vêtement larges dévoilent un corps bien musclé (muscu et natation) imberbe et rasé (pas de poils pubiens visibles), légèrement bronzé avec un soupçon de marque de maillot. Sa bite au repos fait déjà une bonne dizaine de cm et surplombe deux petites couilles collées.
A la demande d'Alex, il se branle et nous présente rapidement un beau 22cm x 5, gland dégagé. Sur ordre, il se tourne et présente son dos, il se penche et écarte ses fesses. L'anneau dévoilé est très légèrement ovale, signe d'une utilisation par de bons diamètres. Pas de poils non plus de ce coté là.
Alex se lève et vient s'appuyer sur le devant du bureau, Marc se positionne à ses cotés. On passe maintenant aux exercices pratiques. Je devine, et je ne suis pas le seuil, leurs deux bites bien bandées. Julien se met à leurs genoux et commence à ouvrir la ceinture et la braguette d'Alex. Il en sort le beau 23x6 qui se cachait derrière. Sans appréhension, il l'embouche arrivant même à coller ses lèvres sur le pubis. Vu sa position ça dénote une bonne pratique de la chose ! Il lui fait le coup encore 2/3 fois puis passe aux 22cm de Marc qu'il avale avec la même facilité. Johan sort de son fauteuil et entreprend de lui graisser le cul après l'avoir soulevé pour le mettre en position 4 pattes. Je le vois enfiler deux doigts du premier coup. J'en déduit qu'il ne sera pas des plus serré ! Alex me demande de l'enculer en premier. J'obéi et tombe mon jeans avant de me placer. Le temps que Johan me couvre d'une kpote, je passe deux doigts dans son cul et tire vers le haut pour qu'il se mette sur ses pieds. Cela fait, il est plié à 90° pour sucer nos mecs. D'un pieds, je lui écarte les siens pour mettre sa rondelle à la bonne hauteur puis l'enfile. Bien lubrifié par Johan et surtout avec un trou qui en a vu d'autre, je m'enfonce jusqu'à butter mon pubis sur ses fesses sans difficultés. Mes mains sur ses hanches, je lui tamponne le cul sèchement. Alex me demande alors de leur lui laisser. Je m'écarte et il offre à Marc de me remplacer. La salope est alors embroché comme un agneau de méchoui. Avec Johan, nous admirons le technicité de nos deux hommes tout en nous caressant l'un l'autre. Echange de places et Alex teste enfin le trou de son futur serviteur. ;Marc et Alex commente Julien comme si ce dernier n'était pas entre eux. Ils analysent sa capacité buccale et anale de façon quasi clinique. A ce qu'on peut voir, ça ne fait pas débander Julien. Alex demande alors à Johan d'aller chercher le matériel. Je suis surpris car le sujet n'étais pas venu sur le tapis avant. Johan revient avec collier et laisse, harnais. Pause pour enfiler tout ça sur Julien et serrer les attaches. Le cuir noir ressort bien sur sa peau blanche. Nouveau tableau. Alex demande à Johan de kpoter Julien et de se faire enculer. Nous apprécions quelques instants les coups de reins pro de Julien dans le cul de Johan avant qu'Alex lui rentre à nouveau dans le cul. Marc me rejoint et je le satisfais en parallèle par une bonne pipe et reçois ma récompense par son jus délectable. Je relève la tête juste pour voir l'explosion en cascade, Johan sur le bureau, Julien, à la demande d'Alex, a sorti sa bite et éclabousse le dos de Johan d'une bonne couche de sperme blanc alors qu'Alex se vide dans sa kpote, les main sur les hanches de Julien pour enfoncer ses 23cm au plus profond de son cul.
Quelques instants plus tard, tous réajustés dans nos vêtements, Alex monte avec Julien au deuxième étage pour montrer ses futurs appartements. Au retour, il le congédie en lui promettant une réponse en fin de semaine suivante.
Je propose alors à Alex de voir ce que la police a sur lui dans ses fichiers ainsi que pour le second postulant, si ça peut le rassurer complètement. Il accepte avec plaisir me disant que cela lèvera les doutes.
Vers 16h arrive le second mec, le black, Maalouf. Comme dans sa description. Noir très noir, grand (1,95) et carré. Nous reprenons nos positions dans le bureau d'Alex. Questionnaire légèrement différent, incluant une partie cuisine absente du premier entretien. Mais nous arrivons quand même au même stade, le nu intégral. Encore plus beau que sur la photo. Belles masses musculaires harmonieusement développées, sexe au repos de plus de 15cm, le tout conforme à la description sur internet. Les seuls poils hormis le cm sur son crane est une touffe bien maîtrisée au dessus de la bite, petit trapèze taillé à la même hauteur.
Là Alex change le test. Il l'emmène au sous sol pour un test de développé couché. Quelques échauffements et il soulève comme une plume une barre à 120 Kg puis progressivement à150 Kg. Ses pecs ont explosés et luisent sous une fine couche de sueur. Envoi à la douche puis passage au donjon. Le jeune homme ne cille pas devant le matériel. Il se place sur le sling à la demande d'Alex et de lui même attrape les suspentes de ses mains tout en plaçant ses chevilles dans les boucles de cuir prévues. Il bande maintenant plus franchement et les 25cm annoncés semblent être au rendez vous. Alex demande à Johan d'aller s'asseoir dessus. Une fois le pieu noir Kpoté et le cul de Johan graissé, avec Marc je le soulève et nous l'asseyons sur le mat noir au gland violet. Johan ne maitrise rien, c'est nous qui donnons la vitesse de pénétration. Un relâchement sec de quelques cm lui fait prendre le gland dans son fondement. Bien que le sexe d'Alex soit de bonne taille, Johan morfle quand même à la pénétration XXL. Nous poursuivons la descente de Johan sur le pal noir à la vitesse demandée par Alex. Quand nous arrivons au dernier cm, ce dernier nous dit de tout lâcher et Johan gueule car ce sont les plus épais évidemment. J'inspecte le sling qui à l'air de bien tenir le poids des deux mecs. Alors qu'il est caché par Johan du regard du jeune black, nous le voyons kpoter et bien graisser sa bite avant de l'enfiler d'un coup entre les fesses noires. Le poids de Johan sur lui l'empêche de se soulever s'il l'avait voulu. Avec Marc nous restons alors simples spectateurs. Nos deux amis se déchaînent sur la " bête " qui à l'air de bien apprécier le traitement. Le premier Johan marbre les pecs avec son jus blanc. Au même moment, le black gueule et d'un coup de rein soulève Johan, entrainant Alex collé à son cul. il doit jouir lui aussi et Alex à son tour jouit. Moi de mon coté j'ai recueilli une nouvelle fois le sperme de Marc dans ma bouche mais ce coup ci nous le partageons par une bonne pelle.
Nous aidons Johan à descendre. La kpote de Maalouf semble contenir un demi litre de foutre. Il sort du sling et passage aux douches des trois acolytes. Alex confirme si besoin était l'engagement plus que probable pour le samedi suivant.
Dernière formalité, Maalouf visite le deuxième étage, les futurs appartements du service.
Nous quittons nos amis en début de soirée. Je promets à Alex de lui fournir le pédigrée de ses deux futur hommes de service au plus tôt. Marc prend le volant et je passe les deux coups de fils nécessaires. Le premier à mon client commissaire pour lui demander si ses collègues de XXX pouvaient trouver des renseignements sur Julien et Maalouf, et le deuxième à " DGSE " comme je l'ai surnommé pour la même chose. Ils me promettent tous les deux une réponse pour le mercredi suivants.
J'ai dormi les trois quart du retour laissant mon jouet entre les mains de Marc.
JARDINIER
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icariebzh · 1 month
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"Solitude. Un si merveilleux mot. Isolement. Elle était là, la connexion, dans le dictionnaire, qui me sautait aux yeux. Ne pas vivre en un lieu isolé ou à l'écart ; mais faire un îlot de ce lieu ; être séparé, détaché ou rompre ses liens avec le reste du monde, s'isoler…. Je voulais la mer pour moi toute seule, là, emprisonnée. Printemps, été, automne, hiver, pouvoir la regarder changer. Matin et soir, isolée de sa réalité. Craquements, fracas, éclats de tessons et d'éclisses en colère. Vent violent labourant ses sillons dans des eaux profondes et d'un gris transparent. Je peux contempler. Je sais que ma solitude est là dans cette contemplation. Je n'ai pas d'autre fonction."
Jennifer Johnston extrait de: "Un homme sur la plage"
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les-larmes-d-eros · 8 months
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La Pluie, par Ivanoel Barreto
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ozu-teapot · 1 year
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Eaux profondes | Michel Deville | 1981
Isabelle Huppert
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missdreamalot · 9 months
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Eaux profondes (1981). dir. Michel Deville
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satinea · 10 months
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Dans la forêt
Qu’il est joyeux aujourd’hui
Le chêne aux rameaux sans nombre,
Myst��rieux point d’appui
De toute la forêt sombre !
Comme quand nous triomphons,
Il frémit, l’arbre civique ;
Il répand à plis profonds
Sa grande ombre magnifique.
D’où lui vient cette gaieté ?
D’où vient qu’il vibre et se dresse,
Et semble faire à l’été
Une plus fière caresse ?
C’est le quatorze juillet.
À pareil jour, sur la terre
La liberté s’éveillait
Et riait dans le tonnerre.
Peuple, à pareil jour râlait
Le passé, ce noir pirate ;
Paris prenait au collet
La Bastille scélérate.
À pareil jour, un décret
Chassait la nuit de la France,
Et l’infini s’éclairait
Du côté de l’espérance.
Tous les ans, à pareil jour,
Le chêne au Dieu qui nous crée
Envoie un frisson d’amour,
Et rit à l’aube sacrée.
Il se souvient, tout joyeux,
Comme on lui prenait ses branches !
L’âme humaine dans les cieux,
Fière, ouvrait ses ailes blanches.
Car le vieux chêne est gaulois :
Il hait la nuit et le cloître ;
Il ne sait pas d’autres lois
Que d’être grand et de croître.
Il est grec, il est romain ;
Sa cime monte, âpre et noire,
Au-dessus du genre humain
Dans une lueur de gloire.
Sa feuille, chère aux soldats,
Va, sans peur et sans reproche,
Du front d’Epaminondas
À l’uniforme de Hoche.
Il est le vieillard des bois ;
Il a, richesse de l’âge,
Dans sa racine Autrefois,
Et Demain dans son feuillage.
Les rayons, les vents, les eaux,
Tremblent dans toutes ses fibres ;
Comme il a besoin d’oiseaux,
Il aime les peuples libres.
C’est son jour. Il est content.
C’est l’immense anniversaire.
Paris était haletant.
La lumière était sincère.
Au loin roulait le tambour… -
Jour béni ? jour populaire,
Où l’on vit un chant d’amour
Sortir d’un cri de colère !
Il tressaille, aux vents bercé,
Colosse où dans l’ombre austère
L’avenir et le passé
Mêlent leur double mystère.
Les éclipses, s’il en est,
Ce vieux naïf les ignore.
Il sait que tout ce qui naît,
L’œuf muet, le vent sonore,
Le nid rempli de bonheur,
La fleur sortant des décombres,
Est la parole d’honneur
Que Dieu donne aux vivants sombres.
Il sait, calme et souriant,
Sérénité formidable !
Qu’un peuple est un orient,
Et que l’astre est imperdable.
Il me salue en passant,
L’arbre auguste et centenaire ;
Et dans le bois innocent
Qui chante et que je vénère,
Étalant mille couleurs,
Autour du chêne superbe
Toutes les petites fleurs
Font leur toilette dans l’herbe.
L’aurore aux pavots dormants
Verse sa coupe enchantée ;
Le lys met ses diamants ;
La rose est décolletée.
Aux chenilles de velours
Le jasmin tend ses aiguières ;
L’arum conte ses amours,
Et la garance ses guerres.
Le moineau-franc, gai, taquin,
Dans le houx qui se pavoise,
D’un refrain républicain
Orne sa chanson grivoise.
L’ajonc rit près du chemin ;
Tous les buissons des ravines
Ont leur bouquet à la main ;
L’air est plein de voix divines.
Et ce doux monde charmant,
Heureux sous le ciel prospère,
Épanoui, dit gaiement :
C’est la fête du grand-père.
***
« Célébration du 14 juillet dans la forêt ».
Victor Hugo, le poète en exil, commémore seul le jour où “la liberté s’éveillait”,, les vers sont rédigés en 1859.
Claude Monet - Forêt de Fontainebleau
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A la nuit
Nuits où meurent l'azur, les bruits et les contours, Où les vives clartés s'éteignent une à une, Ô nuit, urne profonde où les cendres du jour Descendent mollement et dansent à la lune,
Jardin d'épais ombrage, abri des corps déments, Grand coeur en qui tout rêve et tout désir pénètre Pour le repos charnel ou l'assouvissement, Nuit pleine des sommeils et des fautes de l'être,
Nuit propice aux plaisirs, à l'oubli, tour à tour, Où dans le calme obscur l'âme s'ouvre et tressaille Comme une fleur à qui le vent porte l'amour, Ou bien s'abat ainsi qu'un chevreau dans la paille,
Nuit penchée au-dessus des villes et des eaux, Toi qui regardes l'homme avec tes yeux d'étoiles, Vois mon coeur bondissant, ivre comme un bateau, Dont le vent rompt le mât et fait claquer la toile !
Regarde, nuit dont l'oeil argente les cailloux, Ce coeur phosphorescent dont la vive brûlure Éclairerait, ainsi que les yeux des hiboux, L'heure sans clair de lune où l'ombre n'est pas sûre.
Vois mon coeur plus rompu, plus lourd et plus amer Que le rude filet que les pêcheurs nocturnes Lèvent, plein de poissons, d'algues et d'eau de mer Dans la brume mouillée, agile et taciturne.
A ce coeur si rompu, si amer et si lourd, Accorde le dormir sans songes et sans peines, Sauve-le du regret, de l'orgueil, de l'amour, Ô pitoyable nuit, mort brève, nuit humaine !...
Anna de Noailles
[Delphin Enjolras - Le murmure de la mer]
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tournevole · 8 months
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L’oreille-de-mer On le trouve après les grandes marées d'équinoxe Parmi les roches primaires Que les siècles de sang n'ont pas désagrégées, Ce coquillage vide et toujours anonyme ; On le porte à l’oreille, il n’est pas musicien, Mais serti plus profond, incrusté dans le crâne, Il fait entendre à qui l'occupe, à qui devient Son nouvel habitant, Au-delà de l'écho des mers originelles, Le battement De la ligne perdue de partage des eaux. Patrice de La Tour du Pin « Une Lutte pour la vie » [Le Pâtis de la création, suite de 30 poèmes], Gallimard, 1970.
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presentslointains · 6 days
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L'hapalémur du lac Alaotra
L'hapalémur du lac Alaotra, également connu sous le nom de lémurien d'Alaotra, est une espèce endémique et emblématique de Madagascar, spécifiquement adaptée à l'écosystème unique du plus grand lac de l'île, le lac Alaotra.
Ce lémurien, scientifiquement appelé Hapalemur alaotrensis, est remarquable pour son pelage soyeux, qui varie du brun au gris, et ses grands yeux expressifs. Sa queue est plus longue que son corps et lui permet de maintenir l'équilibre lorsqu'il se déplace dans les roseaux et les arbres bordant le lac.
Habitant principalement les zones humides des marécages et des forêts autour du lac Alaotra, cet animal est un expert dans l'art de la navigation aquatique. Il se nourrit principalement de feuilles, de pousses et de fruits, mais il est également connu pour pêcher des insectes et des crustacés dans les eaux peu profondes du lac.
Malheureusement, l'hapalémur du lac Alaotra est confronté à de graves menaces, notamment la perte et la dégradation de son habitat due à l'agriculture, à la chasse et à l'introduction d'espèces invasives. En conséquence, il est classé comme une espèce en danger critique d'extinction par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
Des efforts de conservation sont en cours pour protéger cette espèce précieuse, notamment la création de réserves naturelles et des programmes de sensibilisation auprès des communautés locales. En préservant l'habitat du lémurien d'Alaotra et en sensibilisant à son importance écologique, nous pouvons espérer garantir la survie de cette espèce unique et contribuer à la préservation de la biodiversité exceptionnelle de Madagascar.
L'hapalémur du lac Alaotra est également remarquable pour son comportement social complexe. Il vit généralement en petits groupes familiaux, composés d'un mâle dominant, de plusieurs femelles et de leurs jeunes. Ces groupes maintiennent des liens forts grâce à des interactions sociales telles que le toilettage mutuel et les vocalisations.
La reproduction chez l'hapalémur d'Alaotra est saisonnière, avec des naissances généralement observées pendant la saison des pluies, lorsque les ressources alimentaires sont abondantes. Les femelles donnent naissance à un seul petit après une gestation d'environ 120 jours, et le nouveau-né est soigneusement pris en charge par sa mère et les autres membres du groupe.
Outre son rôle écologique crucial dans l'écosystème du lac Alaotra, l'hapalémur est également important sur le plan culturel pour les communautés locales malgaches. Il est considéré comme un symbole de la richesse naturelle et de la biodiversité unique de l'île, et son image est souvent utilisée pour promouvoir la conservation de l'environnement et sensibiliser à la protection des espèces menacées.
Pour assurer la survie à long terme de l'hapalémur du lac Alaotra, des mesures de conservation intégrées sont nécessaires, notamment la protection de son habitat, la gestion durable des ressources naturelles et l'engagement des communautés locales dans la conservation de cette espèce emblématique.
En apprenant à apprécier et à protéger des animaux comme l'hapalémur du lac Alaotra, nous contribuons non seulement à préserver la diversité biologique de Madagascar, mais aussi à assurer un avenir durable pour les générations futures. https://presentslointains-madagascar.com/pages/lhapalemur-du-lac-alaotra
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cricxuss · 14 days
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Soulève tes paupières
Regarde-moi dans les mots...
Regarde-toi dans mes mots
Viens marcher dans ma terre
nager au profond de mes eaux
Laisse les arbres tenir
se tordre sous les vents
nouer au ciel du désir
Viens plonger sous mes écailles
dans les courants contraires
Soulève tes paupières, s’il te plait
Regarde-moi dans les mots
Viens danser dans ma lumière
PatR. "Regarde-moi dans les mots"
(Prochainement)
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