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#dans le Kansas
denisenini · 8 months
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Le vrai Charles Ingalls
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psalm22-6 · 11 months
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Source: the Los Angeles Herald, 16 August 1902
"Say, what's become of Fatty Malloy?" "Fatty? Oh, he cracked a gofe, an' a ' collar glued him before he could blow, an' the beak handed him a ten-spot." "Poor Fatty! I'm leary that he'll croak in the stir. Say, did you hear about Dutch Charlie? He got on his upper an' I grafted a benny an' was sent to the band house." "Dutch Charlie's a dead one. What's Jimmie Burke's graft row?'" "Jlmmie's a stall for a dip. Him an' his pal got a jacket last week." Had this conversation been a real one, as it might well have been, how many readers of this article chancing to have overheard the talk, would have had the slightest inkling of its meaning? Yet there are men who use these seemingly meaningless words and phrases and convey their meaning in them more readily than in the more polite forms of every day conversation. The questions and answers that serve to introduce this article are in the language of the professional criminal — a language which is as strange and as interesting and as full of revelations as any that could engage the attention of the student. [. . .] The very nature of this language and the use to which it is put demands that it be constantly changing. Criminals use it not so much for the sake of slangy and forcible expression, but to be able to talk while in the presence of honest people without having their conversation understood. Victor Hugo recognized this fact, and in his immortal "Les Miserables" he devotes several intensely interesting chapters to the language of criminals which he calls "argot." Many attempts have been made to prepare dictionaries of the criminal's vocabulary, but the fact that this vocabulary is so variable must always make the attempt a failure. Police officers try to keep themselves informed as to the changes In this remarkable language and in Kansas City none has been more successful in doing so, probably, than Detective Charles Sanderson. [. . .] The following list, however, contains, in addition to those already given, some of the most commonly used terms: Bilked—Fooled. Brltch—Front trousers pocket. Boobie hatch—Police station. Bit—Share. Caught up—To confess. Cold—Dead. Chop—To stop. Croaker—Doctor. Bum or phoney—Spurious gems or Jewelry. Crack—To make an assertion. Case—A dollar. Cup—To take. Cuducer—A conductor. Ditch—To throw away. Dummy—Bread. Dog—Sausage. Down below—Alluding to the penitentiary. Duck—A can of beer; to get away. Dick—Sheriff, constable or officer of any kind. Damper—Money drawer. Boost—To shoplift. Dan—Dynamite. Ducket—A ticket. Dos—A bed. Derby—A good haul. Elbow—A detective; also a bull; a harness bull is a uniformed officer. Fall money—Money put up for a man in trouble. Framed up—To make complete arrangements. Frisk—Search. Flag—To stop. Front—A good showing. Flash roll—Bills wrapped around paper to make a big showing, used by confidence men. Got it all—Life imprisonment. Gam—A leg. Glim—Spectacles. Gun—A thief. Gun. cannon or dip—A pickpocket Goods—Money. Hop—Opium. Hotel man—A hotel thief. Hooker—Woman thug. Hopscotching—Taking chances. Heel—A sneak thief. Holster—A shoplifter. Hoof—To walk. Instrument—One who picks the pockets of a man. John O'Brien—A freight train. Jug—A bank. Jerve—A vest pocket. James—A jimmy, a small crowbar. Knockout—A drug dope. Knocker—One who interferes. Kicks—Shoes. Kick—A pocket. Knowledge box—A college. Kangarooed—Given a false trial. Kip—To sleep. Leather—A pocketbook. Lam—To run.
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jpbjazz · 2 months
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LÉGENDES DU JAZZ
HERB ELLIS, LA GUITARE SWING À SON MEILLEUR
"If you're not swinging, he's going to make you swing."
- Les Paul
Né le 4 août 1921 à Farmersville, près de Dallas, au Texas, Mitchell Herbert Ellis était le fils du cultivateur de coton Clifford Ellis et de Martha Kennedy. Ellis avait commencé à se passionner pour la guitare électrique après avoir entendu le musicien country George Barnes à la radio.
Après avoir commencé à jouer de l’harmonica  et du banjo, Ellis avait adopté la guitare à l’âge de huit ou neuf ans. Son frère aîné jouait également de la guitare.
Après s’être inscrit à une majeure en musique au North Texas State College en 1939, Ellis avait commencé à être influencé par le prodige de la guitare électrique Charlie Christian. Ellis avait également été influencé par Django Reinhardt. Parmi les camarades de classe d’Ellis à North Texas State College à l’époque, on retrouvait le saxophoniste et arrangeur Jimmy Giuffre (avec qui il avait partagé une chambre), le compositeur et trompettiste Gene Roland et le contrebassiste Harry Babasin. Ellis avait étudié la contrebasse à l’université, car il n’existait pas encore de programme de guitare à l’époque. Faute d’argent, Ellis avait dû abandonner ses études au collège en 1941.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Après avoir quitté le collège en 1941, Ellis était parti en tournée durant six mois avec un groupe de l’Université du Kansas. Ellis s’était par la suite installé à Kansas City, au Missouri, afin de perfectionner son style. Rejeté par l’armée en raison d’un souffle au coeur, Ellis s’était joint au big band de Charlie Fisk. Il s’était aussi produit dans différents clubs, collaborant notamment avec Charlie Parker (celui-ci n’avait pas encore découvert le bebop à l’époque).
En 1943, Ellis s’était joint au groupe Glen Gray and the Casa Lorna Orchestra. C’est dans le cadre de sa collaboration avec le groupe qu’Ellis avait rencontré le pianiste Lou Carter avec qui il s’était joint en 1944 à l’orchestre de Jimmy Dorsey. Le contrebassiste et violoniste Johnny Frigo avait rejoint Ellis et Carter un peu plus tard. C’est avec le groupe de Dorsey qu’Ellis avait enregistré ses premiers solos.
Ellis était demeuré avec l’orchestre de Dorsey jusqu’en 1947. Dans le cadre de sa collaboration avec le groupe, Ellis avait fait de nombreux enregistrements et tournées et s’était produit dans les salles de danse et les cinémas.
C’est alors que s’était produit un tournant capital qui avait changé la carrière d’Ellis à jamais. À l’époque, le groupe de Dorsey avait un trou de six semaines dans son calendrier. John Frigo, qui avait déjà quitté le groupe à ce moment-là, connaissait le propriétaire du Peter Stuyvesant Hotel à Buffalo. Ellis, Frigo et Carter avaient alors formé un trio appelé les Soft Winds. Largement inspiré du trio de Nat King Cole, le groupe avait joué à l’Hôtel durant six mois. Le son du groupe était souvent comparé à un groupe très populaire à l’époque, le  Page Cavanaugh Trio. Même si es Soft Winds avaient poursuivi leurs activités jusqu’en 1953, ils n’avaient jamais remporté le succès auxquels ils auraient pu s’attendre. "We played six nights a week and practiced five days a week", avait commenté Carter. Commentant le travail du groupe, Ellis avait expliqué au cours d’une entrevue qu’il avait accordée en 1993: “We didn’t hear things in terms of having a drummer, but it worked well.”
Un des spectateurs assidus des concerts du trio était le pianiste Oscar Peterson. Ce dernier se produisait habituellement à l’hôtel les dimanches soirs. Lorsque Frigo avait quitté le groupe, Peterson avait approché Ellis, car il se cherchait un guitariste pour remplacer Barney Kessel. Décrivant la réaction de Peterson lorsqu’il l’avait entendu jouer avec le trio, Ellis avait précisé: “He liked it. So he and I went out later that night and jammed at some place in Buffalo. I didn’t see him again until 1953 when [guitarist] Barney Kessel left his group. That’s when he called me for the job.”
Ellis avait fait partie du trio de Peterson de 1953 à 1958. Avec le contrebassiste Ray Brown, le trio était devenu le groupe le plus enregistré de l’époque. Comme Scott Yanow l’écrivait dans le All-Music Guide to Jazz, le groupe était éventuellement devenu un des plus grands trios avec piano de tous les temps. Yanow avait ajouté: ‘’It was never so much a matter of Peterson having two other musicians accompany him as it was that they could meet the pianist as near- equals and consistently inspire him. And unlike most trios, O.P.'s had many arranged sections that constantly needed rehearsals and were often quite dazzling." Ironiquement, comme seul musicien blanc du groupe, Ellis avait été placé dans une position plutôt délicate à une époque où le racisme était encore dominant.
Grâce à leur grande complicité, les trois membres du trio s’inspiraient constamment l’un l’autre, contribuant ainsi à garder leur musique toujours aussi fraîche et entraînante. Ellis avait déclaré au sujet de cette période:
"It was probably the highlight of my career to play with those guys--they're the best on their respective instruments. We had a lot of really difficult arrangements. Oscar wrote really hard for us. We'd have to memorize everything. Oscar's a mental giant, you know, and he never forgot anything. He'd give me stuff to play and I'd say, 'I can't play this, Oscar.' He'd say, 'Yes, you can; I know how much you can play.' I'd go practice and, sure enough, he'd be right every time."
En plus de leurs enregistrements en studio et en concert, le trio de Peterson avait également servi de section rythmique maison pour les disques Verve de Norman Granz, notamment dans le cadre de collaborations avec des saxophonistes comme Ben Webster et Stan Getz, et des trompettistes comme Dizzy Gillespie, Roy Eldridge, et Harry ‘’Sweets’’ Edison. Même si Ellis était membre à part entière de la section rythmique dans le cadre de ces enregistrements, il ne jouait pas en solo sur toutes les pièces. Avec le batteur, Buddy Rich, Ellis avait aussi participé à un album en duo mettant en vedette Ella Fitzgerald et Louis Armstrong.
Le trio avait également servi de noyau aux tournées de Jazz at the Philarmonic qui se produisaient régulièrement aux États-Unis et en Europe. Lassé de faire des tournées, Ellis avait quitté le trio de Peterson en novembre 1958. Peterson étant convaincu qu’il ne trouverait aucun guitariste capable d’arriver à la cheville d’Ellis, il l’avait remplacé par un batteur, Ed Thigpen. Lorsque le trio de Peterson s’était réuni plusieurs années plus tard, l’atmosphère était devenue beaucoup plus détendue. Comme l’avait souligné le fils d’Ellis, Mitch, “That time was very special to all of them. He and Ray roomed together; they were really best friends. When they got back together in the ‘80s it was a lot more fun, a lot more relaxed.”
Après avoir quitté le trio de Peterson, Ellis était parti en tournée avec la chanteuse Ella Fitzgerald de 1957 à 1960. Il avait aussi brièvement accompagné la chanteuse Julie London. Également actrice, London avait remporté un grand succès avec la chanson "Cry Me A River."
Ellis, qui en avait assez de la vie de musicien de tournée, avait par la suite amorcé une longue carrière comme musicien de studio pour la télévision et le cinéma. Parmi les émissions de télévision auxquelles Ellis avaient participé, on remarquait les talk shows de Steve Allen, de Regis Philbin, de Danny Kaye, de Red Skelton, de Joey Bishop, de Della Reese et de Merv Griffin. Dans un article publié dans le magazine Down Beat, le critique Leonard Feather avait commenté: "Philbin had the most jazz-oriented house group..., Terry Gibbs'. In fact it was composed entirely of jazz musicians, [including] guitarist Ellis, the only holdover from the Allen show and still one of the great swingers of any decade." Dans le cadre de l’émission d’Allen, Ellis était membre du Donn Trenner Orchestra aux côtés de virtuoses comme le joueur de trombone Frank Rosolino.
Ellis a aussi joué sur plusieurs musiques de films au cours de la même décennie. À la fin des années 1960, Ellis avait éventuellement abandonné le travail de musicien de studio pour mieux se concentrer sur sa carrière musicale.
Dans les années 1970, Ellis avait fait équipe avec des guitaristes de jazz dominants, d’abord en duo avec Joe Pass et Barney Kessel, puis en trio. Le trio d’Ellis avec Barney Kessel et Charlie Byrd avait éventuellement donné naissance au groupe Great Guitars, dont avait également fait partie plus tard le guitariste Tal Farlow. Continuant d’enregistrer et de se produire en concert régulièrement, Ellis avait d’abord enregistré le premier d’une série de trois albums pour les disques Concord. Par la suite, Ellis avait fait équipe avec les guitaristes Freddie Green, un des piliers de l’orchestre de Count Basie, et Laurindo Almeida, un ancien membre de l’orchestre de Stan Kenton. Au cours de cette période, Ellis avait également enregistré avec le contrebassiste Ray Brown, les saxophonistes Jimmy Giuffre et Coleman Hawkins et le violoniste Stuff Smith. Ellis avait aussi rendu hommage à son idole Charlie Christian sur un album intitulé "Hello, Charlie Christian." Ellis avait également enregistré des manuels d’instruction sur vidéo.
Ellis avait également continué de se produire dans les festivals. Dans les années 1970, Ellis avait été en vedette dans un épisode de la série ‘’Sanford and Son’’ dans lequel il avait accompagné le chanteur Fred Sanford. Ellis avait également donné des cours de guitare au dessinateur Gary Larson. En échange, Larson avait réalisé l’illustration de la pochette de l’album ‘’Doggin’ Around’’ qu’Ellis avait enregistré avec le conrebassite Red Mitchell en 1988.
Ellis jouait avec des guitares Gibson depuis trente-sept ans lorsque la compagnie Gibson avait lancé une guitare à son nom, la Gibson Herb Ellis Model, aussi connue sous le nom d’ES165.
En 1982, Ellis avait formé le groupe Triple Threat avec Monty Alexander et Ray Brown.
DERNIÈRES ANNÉES
Ellis, qui adorait se produire en public, réunissait souvent certains de ses amis dans le cadre de certains événements spéciaux. Lors d’une croisière de jazz tenue en novembre 1995, Ellis avait réuni son ancien groupe Soft Winds. Cette fois, John Frigo avait joué exclusivement du violon. Keter Betts était à la contrebasse et Lou Carter au piano. Commentant l’événement, le pianiste Lou Carter avait déclaré: "None of us had played together for forty years, We got up on the bandstand of the Norway without any rehearsal and swung our butts off!" À la fin des années 1940, le groupe avait remporté un certain succès avec deux pièces qu’il avait reprises lors de la croisière: I Told Ya I Love Ya, Now Get Out!" et "Detour Ahead." Cette dernière pièce, qui était devenue un standard du jazz, avait été reprise par de grands noms du jazz comme Billie Holiday, Bill Evans et Jane Monheit.
En 1998, le JVC jazz festival de New York avait commémoré la carrière d’Ellis dans le cadre de la présentation d’une série de concerts-hommage.
Ellis a été intronisé au sein du Arkansas Jazz Hall of Fame en 1994. Le 15 novembre 1997, l’University of North Texas College of Music avait décerné à Ellis un doctorat honorifique en musique. Ellis a aussi remporté un prix Grammy pour sa participation à l’album "The Legendary Oscar Peterson Trio Live at the Blue Note" en 1990. Admirateur de longue date de la guitariste de jazz Emily Remler, Ellis avait d’ailleurs participé à un album à sa mémoire.
Ellis avait enregistré plusieurs albums comme leader au cours de sa carrière, dont ‘’Nothing But the Blues’’, qui avait été enregistré en 1957 avec Roy Eldridge et Stan Getz, et qui est considéré comme un des meilleurs de sa carrière. Même si plusieurs des premiers albums d’Ellis sont aujourd’hui épuisés, ses disques ‘’Ellis in Wonderland’’ (1956), ‘’Ellis Meets Jimmy Giuffre’’ (1959) et ‘’Thank You, Charlie Christian’’ (1960) sont considérés comme des modèles d’enregistrements pour de petites formations avec guitare.
Au cours de sa carrière, Ellis avait collaboré avec de grands noms du jazz comme Joe Pass (son successeur avec le trio d’Oscar Peterson), les saxophonistes Art Pepper, Ben Webster, Coleman Hawkins, Jimmy Giuffre et Stan Getz, le guitariste brésilien Laurindo Almeida, les trompettistes Roy Eldridge, Dizzy Gillespie, Louis Armstrong et Harry ‘’Sweets’’ Edison, le violoniste Stuff Smith, la chanteuse Ella Fitzgerald, les pianistes Monty Alexander et George Duke et le batteur Buddy Rich.
Lors d’un test à l’aveugle réalisé en 1992 pour le magazine Down Beat, le guitariste Les Paul avait commenté un album d’Ellis avec Joe Pass en ces termes: "You get Joe Pass all by himself and he can pretty well stun ya....And the same thing with Herb Ellis. If you're not swinging, he's gonna make you swing. Of that whole bunch of guys who play hollow-body guitar on the front pickup, I think Herb Ellis has got the most drive." Ellis avait particulièrement apprécié de collaborer avec Pass. Comme l’avait expliqué le fils d’Ellis, Mitch: “It meant a great deal to him . . . they formed this real connection.”
Ellis était particulièrement reconnu pour l’emploi d’une technique qu’il avait probablement apprise du guitariste Ray Crawford, et qui lui permettait de frapper ses cordes un peu à la manière d’un instrument de percussion.
Herb Ellis est décédé le 28 mars 2010 à sa résidence de Los Angeles des suites de la maladie d’Alzheimer. Il était âgé de quatre-vingt-huit ans. Ont survécu à Ellis son épouse Patti Gahagan (qu’il avait épousée en 1957), son fils Mitch, sa fille Kari et trois petits-enfants.
Faisant le bilan de l’évolution du jazz, Ellis avait commenté en 1996: “There have been changes in jazz and new styles come along. I play straight ahead, what you might call mainstream, jazz. That’s what I played when I started and that’s what I still play. I wish everyone else good luck and God bless, but I’ve found mine and I’m going to stick with it.”
Dans son ouvrage intitulé The Jazz Guitarists, Stan Britt avait salué ainsi la contribution d’Ellis au monde du jazz: "Throughout all his musical ventures-- on-record or otherwise--Ellis evidences the kind of strong consistency and lasting commitment that has made him something of a legend amongst guitarists."
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
COLE, Tom. ‘’Great Guitarist Herb Ellis Dies.’’ NPR, 30 mars 2010.
FORDHAM, John. ‘’Herb Ellis obituary.’’ The Guardian, 2 février 2010.
‘’Herb Ellis.’’ Wikipedia, 2023.
‘’Herb Ellis.’’ All About Jazz, 2023.
‘’Herb Ellis Biography.’’ Net Industries, 2023.
THURSBY, Keith. ‘’Herb Ellis dies at 88; jazz guitarist.’’ Los Angeles Times, 31 mars 2010.
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aroundtheworldiej · 2 years
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#MeToo: What changes in our society?
by Marie Coppo
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It’s been five years this month, since the #MeToo movement has been created. It was launched in 2007 by Tarana Burke, an Afro American social worker. Her purpose was to denounce sexual harassment and violence against woman. How does this movement impact society?
Millions of people speak out their truth on social media against sexual abuse, harassment and misconduct. It never happened before 2017, violence against women was not something that people talked about. During this time, many powerful figures have been pointed out for abusing those who either work or wanted to work in the entertainment industry. The former most influent and powerful men in Hollywood, Harvey Weinstein, has been accused by 90 women to committed rape and sexual harassment in hotels in Beverly Hills between 2004 and 2013. His trial started a week ago, in California.
At the end of the same year, this movement reached French people, and they joined the movement creating their own hashtag: #BalanceTonPorc. It is the French journalist, Sandra Muller who tweeted first the hashtag : « #BalanceTonPorc !! toi aussi raconte en donnant le nom et les détails d'un harcèlement sexuel que tu as connu dans ton boulot. Je vous attends.”, the American actress Alyssa Milano translated it: « If you've been sexually harassed or assaulted write 'me too' as a reply to this tweet ». These tweets provoked a shockwave in the whole world, it was so huge that it changed the perspective of lots of people who did not realise how big the problem was. It was not random; millions of victims would share their story.
Indeed, as a movement that was supposed to concern Hollywood, it is safe to say that this has gone far beyond that. It opened a whole new debate. People began to talk about the violence that can be anywhere and against everyone in every sphere of our society. To give numbers, according to NousToutes organisation in France, 0,6% of rapists are condemned, 80% of the domestic violence cases are closed and no further actions are taken, 65% of victims femicide had reported to the police. Me Too has today, reached the most suffocating of these oppressions: incest. The numbers are also revealing that one in ten children are victims of incest.
Several organisations in France and in the USA, like “Osez le Féminisme” or “Time’s Up” are fighting everyday by educating young people in school, teaching them respect and equality. They set up meetings to organise marches and protestations during the year. They also support victims in their cases and trials. Unfortunately, since last summer the situation seems to be moving backwards: the Supreme Court has overturned Roe V. Wade, the historic statement that gave women the right to dispose of their bodies, the right to choose for their life. Today, an American woman who lives in Kansas must travel another country or state to get an abortion.
Furthermore, the mediatic treatment Amber Heard received during her trial against her former-husband Johnny Depp shows that there is still work to do on these questions. When the verdict was revealed, the TV show host Meghan McCain even tweeted: “MeToo is dead”. What if it was the moment for a brand-new movement to come out?
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Malcolm X
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lemondeabicyclette · 2 years
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Les masques faciaux contiennent du dioxyde de titane causant le cancer - Dans une étude de 12 masques faciaux, chaque masque contenait des particules de dioxyde de titane (TiO2) dans au moins une couche, à des niveaux qui « décomposaient le niveau d'exposition acceptable ».
L'Agence internationale de recherche sur le cancer classe le dioxyde de titane comme un cancérogène du groupe 2B, ce qui signifie qu'il est "éventuellement cancérogène pour l'homme" par inhalation.
Une méta-analyse a appelé à repenser la sécurité du nano-TiO2, citant de nombreux effets toxiques chez l'homme et les animaux aquatiques.
Comment les masques vous rendent malade
Les conséquences potentielles de la respiration de particules cancérogènes provenant de masques faciaux portés pendant la pandémie de Covid-19 ne seront pas connues avant des années, mais des signes inquiétants ont été soulevés dès le début selon lesquels le port de masques faciaux a des conséquences, sans aucun avantage significatif.
Dr. Zacharias Fögen a mené une étude pour savoir si l'utilisation obligatoire d'un masque a influencé le taux de létalité des cas de Covid-19 au Kansas du 1er août au 15 octobre 2020. Il a choisi l'État du Kansas parce que, bien que sous obligation de masque, les comtés ont été autorisés à s'y conformer ou pas.
Son analyse a révélé que les comtés avec masques obligatoires avaient des taux de mortalité nettement plus élevés que les comtés sans obligation. « Ces résultats suggèrent que le port du masque pourrait constituer une menace encore inconnue pour l'utilisateur au lieu de le protéger, ce qui fait du port obligatoire une intervention épidémiologique discutable », a-t-il conclu.
Cette menace, a-t-il expliqué, pourrait être quelque chose appelé "l'effet Foegen" - l'idée que la réinhalation profonde des gouttelettes et des virions capturés sur les masques faciaux pourrait rendre l'infection à Covid-19 plus probable ou plus grave.
Les masques ont un impact psychologique extrême
Les répercussions physiques ne sont qu'un aspect à considérer, car les conséquences psychologiques de l'obligation de porter un masque sont également graves. La revue Pediatrics a récemment souligné le fardeau ressenti par les parents, les cliniciens et les patients dans les services de cancérologie pédiatrique lorsqu'ils ont été contraints de porter des masques.
Cachés par des masques faciaux, les cliniciens se sont sentis impuissants à faire preuve d'empathie et de compassion lors des conversations les plus difficiles avec leurs patients et leurs familles, selon un clinicien qui a dû livrer des nouvelles de santé dévastatrices sur l'enfant d'un ami.
YouTube vous laisse désormais affirmer que les masques ne fonctionnent pas
Vous vous souvenez peut-être que plusieurs personnalités publiques ont été déplatformées par de multiples médias sociaux et d'autres médias en ligne pour s'exprimer contre le narratif des masques, y compris la notion erronée selon laquelle les masques étaient utiles pour réduire les cas de Covid-19. En effet, il n'y a pas si longtemps, même certains médecins s'exprimaient contre les masques.
Maintenant, il semble que YouTube ait changé d'air, car il a mis à jour ses politiques sur ce qui constitue une "désinformation". Déclarer que "les masques ne jouent pas de rôle dans la prévention de la contraction ou de la transmission du Covid-19", ou que "le port d'un masque est dangereux ou cause des effets négatifs sur la santé physique", était auparavant une violation de leur politique, mais ce verbiage a depuis été supprimé de ses exemples de désinformation.
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alain-keler · 1 year
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Journal du jeudi 5 janvier 2023
Vents d’Est : avril 1993- avril 1999. Les minorités en Europe de l’Est après la chute de l’empire soviétique.
Dimanche 28 septembre 1997.
Cérémonie commémorant le massacre de Baby Yar, un quartier de Kiev où furent massacrés les 33.000 juifs par les nazis les 29 et 30 septembre 1941.
Le vendredi 12 septembre 1997, je reçois un coup de téléphone de John Morris*. Un message sur mon répondeur disait : Alain « I have good news for you » , « j’ai de bonnes nouvelles pour vous ». John était le correspondant en Europe du prix Eugene Smith**, une bourse de photojournalisme créé en 1980 en mémoire du grand photographe américain décédé en 1978.
Le lundi 20 octobre se déroula à New York la cérémonie du prix à l’ICP, international center of Photography.
En recevant le prix je faisais un discours expliquant les raisons de ce travail sur les minorités dans l’ex-monde communiste d’Europe. Un livre, « Vents d’Est » allait être publié en août 2000 aux éditions Marval. ***
Je vais dans ce journal vous présenter dans le désordre des photos de ce travail initié en 1993 et terminé en 1999.
En Ukraine je travaillais sur la communauté juive. Entre 1941 et 1944, près d’un million et demi de juifs d’Ukraine, hommes, femmes et enfants ont été assassinés par les nazis. L’immense majorité d’entre eux sont morts sous les balles des Einsatz gruppen (commandos SS, souvent aidés par des ukrainiens de l’ouest, dont l’antisémitisme était notoire). La devise ses commandos SS était : « une balle, un juif ». ****
Pour l’histoire, l’actuel président de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky est d’origine juive, et il symbolise la résistance à l’agression de l’armée russe.
Les 33.000 juifs assassinés à Baby Yar les 29 et 30 septembre 1941 furent présentés en URSS comme des citoyens soviétiques, et jamais comme juifs.
*John Godfrey Morris est responsable de la couverture photographique de la seconde guerre mondiale sur le front occidental pour le magazine Life dont il est photo editeur au bureau de Londres. Il parvient à sauver onze images historiques du débarquement du 6 juin 1944 en Normandie des films de Robert Capa endommagées au développement. Il réalisera en amateur en juillet-Août 1944 des photos de la libération en Normandie et en Bretagne. En 1953, John Morris rejoint l’agence Magnum, cofondée en 1947 par Robert Capa, Henri Cartier Bresson, John Rodger, William vandivert et David Seymour.
John Morris
Source Wikipedia.
https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2017/07/28/john-morris-un-homme-d-images_5166280_3382.html
**William Eugene Smith, connu sous le diminutif familier de « Gene Smith » ou encore comme « W. Eugene Smith » (né le 30 décembre 1918 à Wichita, Kansas - mort le 15 octobre 1978 à Tucson, Arizona), est un photojournaliste américain, photographe de guerre pendant la Guerre du Pacifique.
Sa rigueur et son exigence en ont fait un modèle pour des générations de photographes, attachés à la valeur du témoignage que permet la photographie. W. Eugene Smith était, au sens littéral du terme, ce que les Américains appellent un « concerned photographer », un photographe engagé, qui utilisait son appareil photographique comme une arme pour défendre ses idées. Source Wikipedia
*** "Le 24 septembre 1997, place de l’indépendance, en plein cœur de Kiev, capitale de l’Ukraine, je photographiais un homme qui vendait Mein Kampf, parmi d’autres livres nationalistes et fascistes.
Quatre jours plus tard, dans la même ville, on commémorait le massacre de Babi Yar, un quartier de Kiev, où 33 000 personnes furent assassinées par les nazis, les 29 et 30 septembre 1941.
Mes grands parents et leur plus jeune fille âgée de onze ans furent arrêtés à Clermont-Ferrand le 18 novembre 1943. Ils étaient partis pour le voyage au bout de la nuit. Les 33 000 personnes massacrées à Babi Yar et mes grands parents avaient en commun d’être juifs. C’était suffisant aux yeux des nazis et des collaborateurs français pour les envoyer à une mort terrible. Ils faisaient tous partie de ce qui était à l’époque la plus grande minorité d’Europe… »
**** https://www.humanite.fr/node/389237
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mmepastel · 1 year
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Ouille.
Ça ne va pas être facile de rendre compte de cette lecture.
Le troisième roman de Ben Lerner (et le troisième que je lis de lui), est particulièrement dense et complexe.
Je comprends le lien qu’il a avec les deux précédents, puisque le matériau de base est le même ; les trois romans ont un ancrage autobiographique fort. Au fond, c’est comme si ces trois livres étaient une trilogie autobiographique. Ou autofictionnelle, même si la nuance m’échappe un peu, honnêtement.
Le problème c’est que je me souviens assez mal des deux précédents, sauf qu’ils m’avaient éblouie. Les intrigues, le lien entre les personnages, les problématiques me semblent confuses désormais dans mon souvenir.
Cette fois, Ben Lerner se penche sur son enfance à travers le personnage d’Adam, fils des psychologues Jonathan et Jane (autrice féministe à succès), tout deux exerçant à la Fondation Topeka, dans la ville pareillement nommée, au Kansas. S’ajoute un troisième personnage qui pourrait être plus fictionnel, Darren, moins évident, et qui pourtant, grâce au style de l’auteur apparaît paradoxalement très authentique. Peut-être est-il archétypal, le double « dysfonctionnel » d’Adam, celui qui ne sait pas parler, et qui n’est que sensation et émotions brutes, et symbolique, utile dans la démonstration du romancier (car on ne peut nier une dimension démonstrative dans ce roman ambitieux).
Beaucoup de thématiques sont abordées : la difficulté du féminisme dans des années encore écrasées par le patriarcat, dans un état américain assez plouc (MiddleWest, Middle Class), la difficulté de la masculinéité qui se sait condamnée mais qui a de beaux restes, de plus en plus violente car en danger (et à l’intérieur de cette problématique, on aura le cas du père Jonathan, éclipsé par sa femme, et celui du fils qui doit se construire, avec quels modèles ?), l’incompréhension familiale, la difficulté du couple, les mutations de l’amitié, l’inclusion, etc…
Je ne retiendrais que celle qui m’a marquée notablement : celle du langage, et je pense qu’elle recoupe toutes les autres. Le langage, c’est le pouvoir. La preuve, l’opposition entre Darren qui ne parle pas ou mal,né du mauvais côté de la société, du côté pauvre et peu éduqué, et qui finira par commettre un acte violent, et Adam, né dans une famille intelligente et cultivée, qui excelle à discourir, au point de participer au lycée à des joutes verbales où l’étalement est une arme cruciale (débiter des arguments à toutes vitesse comme les hommes politiques pour déborder son adversaire). Ça marche à presque tous les coups (sauf quand ça ne marche pas : Adam adulte qui essaie de raisonner un père dans une aire de jeux et qui échoue, et finit lui même par avoir un geste « relativement » violent). Alors, savoir parler, ce serait savoir déborder l’adversaire ? Ce serait savoir parler comme un homme blanc qui fait de la politique ? Voilà qui serait bien réducteur et décevant, sans pour autant être totalement faux hélas.
J’ai particulièrement adoré le début du livre, avec la scène où une jeune fille échappe au discours masculin et patriarcal de son beau père en disparaissant progressivement sous la table où elle est coincée à l’écouter ; oui, elle glisse sous la table et le laisse seul. J’ai eu un fou rire en imaginant la scène. Scène qui trouve son écho sur un bateau, assez désopilante aussi, qui montre bien combien la parole s’étale et étouffe autrui. Arme puissante, elle permet de mettre au jour des choses refoulées (je pense à Jane), de récupérer de la vérité, tout comme elle permet de la cacher, surtout si elle est dévoyée, insincère, répétée, si elle n’est pas intime, mais absorbée, ingérée. La parole est aussi menacée par la perte de sens dont témoigne le livre, pleinement ancré dans son époque, avec l’avènement de Trump. Et le sort des jeunes qui souffrent dans le roman sans qu’on puisse connaître les raisons de leurs malaises (souvent intenses et destructeurs) me paraît être le signe de cette perte de sens, ce vide abyssal, pire que les malédictions satanistes redoutées par les parents dans les années 70. Un mal ultra moderne en quelque sorte.
En lisant le livre, on est également ivre des mots de Ben Lerner, excellemment traduit par Jakuta Alikavazovic (encore elle !), qui les fait tournoyer et se percuter jusqu’à l’étourdissement. On se sent gagné par une inquiétante étrangeté pour tout dire, avec un temps circulaire, doublé d’une interchangeabilité de nos êtres, répliqués à l’infini dans le passé et le futur et aux quatre coins de l’Amérique. Cette non fixité est extrêmement anxiogène, vertigineuse, accentuée par des effets d’échos qui émaillent tout le roman (des paroles, citations reviennent sans cesse).
Bref, je fais sans doute une erreur de parler de ma lecture, à peine achevée. Je n’ai pas eu le temps de redescendre, de digérer (vilain mot) le charivari qui m’a ballottée tout du long. Je suis décontenancée donc, un peu sonnée, groggy, mais extrêmement admirative encore par la stimulation de cette lecture. J’insiste sur l’humour présent dans le roman, car j’ai lu deci-delà des critiques qui n’en parlent guère, et pour moi, ce fut un aspect non négligeable de mon plaisir.
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C’est avec 600 dollars empruntés à leur mère que les deux frères Frank et Dan Carney, aidés de leur ami John Bender, ouvrirent le 15 juin 1958 ce qui allait devenir le premier Pizza Hut du monde. Ils louèrent pour cela une petite bâtisse juste assez grande pour accueillir un peu plus d’une vingtaine de places assises. Bien situés à un carrefour fréquenté de la ville de Wichita, au Kansas, ils rencontrèrent un vif succès et leur premier restaurant sous franchise apparaît dès 1959 à Topeka
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It was with 600 dollars borrowed from their mother that the two brothers Frank and Dan Carney, helped by their friend John Bender, opened on June 15, 1958 what was to become the first Pizza Hut in the world. For this they rented a small building just big enough to accommodate a little more than twenty seats. Well located at a busy crossroads in the city of Wichita, Kansas, they met with great success and their first restaurant under franchise appeared in 1959 in Topeka
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manieresdedire · 2 years
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Réveil
Après plusieurs mois fertiles en évènements perturbants, petite pause :
rêverie 
             évasion
                            délire
         utopie
                      mélancolie ...
litanie
            soupirs.
MOI J'AURAIS VOULU
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Parcourir le monde, découvrir ses merveilles et comprendre ses mystères ;
               Observer la nature et les astres ;
                              Connaître l'Europe, l'Asie, l'Amérique, l'Afrique, l’Océanie et les pôles ;
                 Rencontrer les autres ;
      Écouter ; Apprendre ...
               Tant de choses à faire et si peu de temps
PARCOURIR le Siam et la Thaïlande ; le Vietnam, le Caucase, le Sénégal et le Niger ; le Pérou, le Cameroun, la Kabylie, l'Australie ; le Kansas et l'Ontario ; l'Italie, le Québec ; les Carpates sans oublier l'Ardèche, les Cévennes et la Camargue ; le Morbihan, le Yémen, la Tchétchénie, l'Arménie, l'Ingoudie ; la Tanzanie et le Yucatan  ...
DÉCOUVRIR les souks des casbahs Algériennes et les fjords Norvégiens ; les lochs Écossais ; les icebergs du Groenland ; les geysers d'Irlande ; trop tard pour les bouddhas de Bâmiyân ; les favelas de Rio ; l'Auvergne et ses puys ; Samarcande et Assouan ; l'archipel de Palaos et de Zanzibar ; le Rajasthan et ses palais ...
SUIVRE les chemins de l'Inca ainsi que ceux de Compostelle ; la grande muraille de Chine ; les pistes du Far-West et du Kalahari ; les crêtes des Pyrénées et la cordillère des Andes ...
TRAVERSER la banquise et ses blizzards, la vallée de la mort, la jungle de Bornéo, les forêts profondes de conifères du Transvaal, le lac Titicaca et le Tanganyika, le désert d'Atacama et celui de Gobi ...
SURPLOMBER le grand canyon ; les gorges du Tarn ; les falaises d’Étretat ; les chutes du Niagara ...
DÉVALER les pentes enneigées de l'Himalaya, celles du Mont Blanc et de l'Aneto ; de l'Oural, de l'Etna et celles enfumées du Popocatepetl ...
DESCENDRE les grands fleuves du monde, Nil, Missouri, Mississippi, la Iéna, l'Orénoque et le Zaïre et plus simplement la Garonne, la Durance et encore le Tage, le Rubicon, l'Uele ...
TRANSHUMER avec les peuples Valaque et Tsaatan ; avec les bergers Pyrénéens et Vosgiens ...
MIGRER avec les oies sauvages, les cigognes d'Alsace, les immenses troupeaux de gnous, les gracieux papillons du Brésil et les hirondelles ...
COURIR avec les chevaux sauvages de Patagonie et ceux de Gengis Khan ; avec les chiens de traineaux huskys, malamutes et samoyèdes ...
VOIR les incontournables Machu Picchu et Katmandu, Cordes sur Ciel venue tout droit du Moyen Age, Pompéï l'ensevelie, Tijuanaco, Santander ; les arènes d'Arles ; dommage pour le colosse de Rhodes ; Saint Bertrand de Comminges et le site de Troie ; les ruines des villes Nazcas ; le royaume de Sabbat ; Guizèh et la vallée des rois ; les Baux de Provence et les châteaux cathares sur leur piton rocheux ; Syracuse et l'île d'Ouessant ; les grandes ailes blanches des moulins à vent et les petits seaux des norias artisanales ...
ME FONDRE dans les étendues glacées de Mandchourie et d'Alaska ainsi que les déserts brûlants du Sahara et du Colorado ; dans le bocage Vendéen et les rizières d'ici ou d'ailleurs ; dans les salines de Sicile, les champs de tulipe de la Hollande et les sapins du Canada ...
ME PERDRE dans les bayous de Louisiane, dans le maquis Corse, les forêts Khmères, les marais du Poitou et la mangrove ; dans les profondeurs des abysses et pourquoi pas les étoiles et les lointaines galaxies ...
VIVRE au milieu des troupeaux de mérinos de Cornouailles, des derniers aurochs ou bisons, des petits chevaux de Przervalski ...
GARDER les troupeaux des Massaï, les rennes des Lapons, les chèvres africaines aux longues oreilles ; les chamelles des hommes bleus et les lamas des Mayas ; les chameaux laineux de Bactriane et les yacks du Tibet ...
NAGER en apnée avec les Gitans de la mer à la suite des dauphins et des raies Nanta ; avec les baleines bleues et celles à bosse ; les otaries et les narvals et même avec Nessie le "monstre" du loch Ness et les orques tueuses ...
DANSER avec les gracieuses grues du Japon et les cobras sacrés ...
JOUER du cor Suisse et du yukulele ; des tambours du Bronx et même de la flûte de Pan ; et pourquoi pas du didgeridoo  ...
HURLER avec les loups et les lémuriens ...
CONNAITRE le yiddish et le sanskrit, le wolof, le basque et le breton ; le yakoute et les hiéroglyphes ; le corse, le sumérien et le créole et peut-être même l'espéranto langage universel  ...
APPRENDRE les danses Zoulous ; à jouer de la cornemuse et de la kena ; la sardane et la polka ; la bourrée et les danses slaves ; à utiliser le banjo et l'ocarina ; les valses de Vienne et la langue sifflée des bergers Grecs ...
OBSERVER les colibris et les perroquets ; les oiseaux lyres et le quetzal pourvoyeur de plumes pour les coiffes des Incas ; les kangourous et le secret bien caché dans leur poche ; les éléphants et les grands singes des montagnes au dos argenté ; le serpent liane ; les ours bruns et les ours blancs avant qu'ils ne disparaissent ; ceux à lunette et le grizzli ; les oiseaux de paradis aux plumes et danses irréelles et ceux qui sont de véritables artistes en matière de nid ...
EXPLORER la canopée amazonienne et les grottes sous-marines ; le gouffre du Vercors, l'île de Pâques protégée par ses moaïs et les cités perdues d'Ankhor ; celles des Aztèques et des Toltèques ainsi que celles du Mexique ...
CHERCHER le légendaire yéti et les fabuleuses licornes ; l'orang outang, le grand et le petit panda, le koala, le raton laveur comique avec son masque de Zorro ; l’étrange ornithorynque et le dugong ; les Iroquois et les Hurons ; les derniers Inuits et les hommes Sentinelle ...
TROUVER le pays des rêves avec tout son petit peuple d'elfes, lutins, gnomes, sorciers, korrigans ; les walkyries et les sirènes ; Merlin l'enchanteur et la fée Morgane ...
RENCONTRER les Peuls, les Pygmées ; les femmes girafes aux innombrables anneaux et les indiens à plateaux ; les anciens coupeurs de têtes Jivaros et les descendants des cannibales ; les Népalais ; les bateliers de la Dordogne et de la Volga ; les filles de Galilée, les Dogons et les Waganias ; les anciens nomades Hmongs ; les pêcheurs d'algues Dayaks et ceux d'huîtres perlières ; les intrépides cueilleurs de miel du Népal ...
ÉCOUTER les griots africains, les marabouts et les conteurs ; les ancêtres de tous les peuples ; les youyous des femmes arabes et les tyroliennes ...
ESSAYER les yourtes mongoles, les igloos esquimaux, les cases africaines, les wigwams apaches, les huttes, les paillotes mais aussi les gabarres et les caravelles de Christophe Colomb, les radeaux des Pascuans et ceux en jonc torota des indiens Aymara ...
COMPRENDRE les énigmatiques dessins de Lascaux et autres lieux, les anciens druides de Stonehenge ; l’Égypte avec ses mystères et ses pyramides ; le vaudou et le secret des chamans ...
ADMIRER le Kilimandjaro et ses cerisiers en fleurs ; les madras martiniquais ; les cactus aux fleurs éphémères ; la voie lactée et la grande ourse ; les baobabs, les orchidées aux formes étranges, le corail avant son déclin ; les jardins suspendues de Babylone et la faune incongrue des fonds sous-marins ; celle extravagante des régions inconnues ; les minarets d'Iran et l'armée enterrée de l’empereur Qin ...
CARESSER l'ivoire, l'ébène et l'acajou, le cède du Liban, le palissandre, le pin des Landes, l'eucalyptus ...
TRANSFORMER la soie, la pourpre et l'indigo, le topaze et le saphir, le rubis et l’agate, l'opaline, l'ambre et la coralline, l'aigue marine ...
RESSENTIR le vent du Ténéré, les alizés, les embruns du Zambèze, le Simoun, le Mistral et la Tramontane ...
RESPIRER les épices de Ceylan ; le parfum des plantes exotiques, des caféiers, des cacaoyers, des palmiers dattiers, des bananiers ainsi que la fleur de tiaré et le coprah donnant le monoï à l'odeur suave des îles Marquises ; les effluves éphémères des bambous en fleurs, les senteurs des plaines d'Ukraine et l'odeur nauséabonde de la rafflesia ...
Tant de choses ... si peu de temps ...
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     ET JE SUIS LA !
Flo
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robegalline06 · 2 years
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Bonjour Citoyen, vassal au demeurant corvéable sûrement, Nous sommes de fait et de preuves dans une monarchie républicaine.. Pour services rendus à cette république ,elle se doit de gratifier ses ''fils'' de trônes.. L'argent n'a jamais d'odeur , s'est bien connu. !! .De cette odeur de sueurs et d'angoisses quand elle manque.. L'absolue félicité de se sentir porté par la grâce ou cet état est sans fin Le manant doit croire que l'homme fait Roi peut ne plus avoir de grâce qu'il n'en rend même plus compte.. Un président est ce à vie ? L'avis de quoi ? Du peuple qui paye ou du peuple qui trime. .La république est perverse mais il faut le taire.. L'irresponsabilité des actes est une des perversions de cette assemblée constituante qui s'est transformée en république ou l'honneur est devenue un vain mot.. Alors, pour donner pitance de justice à ces manants populeux l'on fonde la cour de justice de la république sensée régimenter le Roi .. Mais le Roi en a cure car il est le fonctionnaire suprême.. Le statut de Roi de la république en fait un homme serviteur de cet état à vie. .Le gargarisme démocratique est "  persona non grata " en république des Rois. .Ils ont toutes prérogatives et telle une divinité immortelle.. Avec ces postulats il est permis aux Rois de brûler le denier populaire.. Avantages en nature sans sel ou gabelle . La populace se tait et perdure le système de cette monarchie toute dorée qui se targue d'être une démocratie d'égalité.. La France ex fille aînée de la vierge de pureté est devenue fille de petite vie aux vertus républicaines.. Vive la France des Rois élus du peuple .. Il faut bien que ses fils soient remerciés de les avoir trompé le plus souvent.. Pauvre France.. Cordialement Dr Nicole Franjou Kansas US N/B Aux frais du peuple nos ex-présidents les ont en OR massif !! Petites mains Sans Dent , et de Sales Cons réunis, Traversez la rue pour le bonheur du travail bien fait..
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christophe76460 · 7 days
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𝐍𝐄 𝐏𝐋𝐄𝐔𝐑𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐐𝐔𝐀𝐍𝐃 𝐓𝐎𝐔𝐓 𝐍'𝐄𝐒𝐓 𝐏𝐀𝐒 𝐆𝐔É𝐑𝚰 😯
Il s'est passé quelque chose pendant que j'étais à Kansas City. Le Kansas City Star a envoyé une journaliste aux services. J'ai fait sa connaissance, une charmante jeune femme à l'esprit journalistique aiguisé. Elle a assisté à tous les services et le dernier soir, après la réunion, elle est revenue dans ma loge. Un de mes assistants l'a fait entrer et elle m'a trouvée en train de pleurer. Elle était gênée, mais j'ai continué et j'ai mis mon âme à nu, oubliant qu'elle était journaliste.
J'ai dit : "Vous savez, les gens penseraient qu'après un service miraculeux comme celui-ci, alors que des dizaines et des dizaines de personnes ont été guéries, je serais la personne la plus heureuse du monde. Je suis reconnaissant d'avoir vu la manifestation de la puissance de Dieu. Mais personne ne sait la peine et le chagrin que je ressens pour ceux qui n'ont pas été guéris. Je me demande si, en sachant mieux comment coopérer avec le Saint-Esprit, j'aurais pu accomplir davantage pour Dieu". Je n'ai pas pu retenir le flot de larmes et le journaliste a fini par s'exprimer.
Environ trois semaines plus tard, j'ai reçu une lettre de cette journaliste. Elle disait : "Je n'écris pas en tant que journaliste du Kansas City Star, mais en tant que personne qui avait un ami dans ce dernier service. Il était avocat. Il était en train de mourir d'un cancer. Ils l'ont amené sur une civière. Environ une semaine après votre départ de Kansas City, je me suis rendu chez lui et j'ai été accueilli à la porte d'entrée par sa femme. Elle m'a dit que Tom était mort. J'ai commencé à partir, mais elle a insisté pour que j'entre. Son visage était rayonnant. Elle m'a dit : "Ce service dans l'auditorium est la meilleure chose qui soit arrivée à Tom. De toute évidence, il n'était pas guéri. Nous l'avons ramené chez lui sur la même civière que celle sur laquelle il avait été transporté. Mais c'est pendant ce service que Tom s'est préparé à la mort. Allongé sur cette civière, alors que la puissance de Dieu s'abattait sur lui, mon mari a accepté le Christ et reçu le pardon de ses péchés. Avant cela, il luttait. Après, il était en paix. La mort a été facile - victorieuse. C'était glorieux de l'entendre remercier Jésus pour le pardon de ses péchés".
La journaliste termine sa lettre : "Kathryn Kuhlman, ne pleurez plus après un service religieux. Lorsque vous pensez qu'il aurait dû y avoir des résultats plus importants que la guérison de corps malades, souvenez-vous toujours de mon ami Tom. Le plus grand miracle qui ait pu lui arriver a été le salut de son âme".
Non, je ne comprends pas pourquoi tout le monde n'est pas guéri physiquement. Mais tous peuvent être guéris spirituellement. C'est le plus grand miracle qu'un être humain puisse connaître.
- Kathryn Kuhlman ( A GLIMPSE INTO GLORY )
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denisenini · 6 months
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Laura Ingalls Wilder
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#Laura Ingalls Wilder#née le 7 février 1867 à Pepin dans le Wisconsin et morte le 10 février 1957 à Mansfield dans le Missouri#est une femme de lettres américaine#auteur de la série de romans pour enfants La Petite Maison dans la prairie#inspirée par sa propre enfance au sein d'une famille de pionniers américains à la fin du xixe siècle. Le succès de cette série de romans a#dont la première a été la série américaine La Petite Maison dans la prairie#dans laquelle l'actrice Melissa Gilbert jouait le rôle de Laura.#Biographie#Fille de Charles et de Caroline Ingalls#Laura Elizabeth Ingalls naquit le 7 février 1867 près de Pepin#dans le Wisconsin. Elle est la deuxième de leurs cinq enfants : Mary#Laura#Carrie#Freddy et Grace. Bien qu’étant une élève intelligente et brillante#son éducation fut sporadique étant donné que sa famille déménagea de nombreuses fois à travers le Midwest et vivait souvent dans des endroi#En 1868#les Ingalls quittèrent Pepin pour s’installer à Chariton County dans le Missouri. Un an plus tard#ils s’installèrent à Independence#dans le Kansas#où Laura apprit à écrire[réf. nécessaire]. En 1871#ils retournèrent à Pepin#où Laura et sa sœur Mary furent inscrites à la Barry Corner School. Au bout de trois ans#ils quittèrent définitivement la ville et partirent pour Walnut Grove#dans le Minnesota. Ils habitèrent d’abord dans une maison creusée dans la berge d’un ruisseau1#jusqu’à ce qu’ils eussent fini de construire leur maison. Ils quittèrent brièvement la ville#de 1876 à 1877#pour vivre à Burr Oak#dans l’Iowa#où Charles Ingalls travailla dans un hôtel puis dans un moulin#puis ils déménagèrent dans le Dakota où ils passèrent leurs hivers en ville
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zehub · 12 days
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"Chaque jour est une calamité" : la sous-culture de la catastrophe dans les quartiers défavorisés de Séoul
Une étude de l'université du Kansas montre que les habitants des jjokbang-chon (quartiers défavorisés) de Séoul sont si habitués à vivr
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jpbjazz · 1 day
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LÉGENDES DU JAZZ
LES DÉBUTS DU JAZZ ‘’BLANC’’: FRANK TESCHEMACHER
Né le 13 mars 1906 à Kansas City, au Missouri, Frank Teschemacher était le plus jeune des trois enfants de Charles Teschemacher et Charlotte McCorkell. Charles Teschemacher s’était installé à Chicago avec sa famille en 1912 après avoir été transféré par son employeur, une compagnie de chemin de fer.
Teschemacher avait d’abord pris des cours de piano, mais il était rapidement passé au banjo qu’il avait appris essentiellement en autodidacte. Préférant qu’il étudie un instrument plus conventionnel, les parents de Teschemacher lui avaient fait suivre des cours de violon à l’âge de dix ans. Teschemacher s’était plutôt bien débrouillé et avait même appris à lire la musique. Préférant la musique populaire, Teschemacher avait été initié au saxophone alto par un ami peu avant d’avoir amorcé ses études au Austin High School. Teschemacher n’avait d’ailleurs pas tardé à s’acheter son propre saxophone quelque temps plus tard.
Il n’avait pas été facile pour Teschemacher de s’adapter à son nouvel environnement. Plutôt mince, timide, renfermé et sujet à l’acné, Teschemacher était souvent au-dessous de la moyenne comme étudiant, mais il excellait dans ses cours de musique. La vie sociale de Teschemacher se limitait souvent à ses intérêts musicaux et il passait la majeure partie de son temps avec un groupe d’amis qui comprenait les frères Jimmy et Dick McPartland,Jim Lanigan et Bud Freeman, et qui s’était éventuellement fait connaître sous le nom de Austin High School Gang.
Le groupe se passionnait particulièrement pour les enregistrements des New Orleans Rhythm Kings, un groupe de dixieland blanc qui était bâti autour des musiciens George Brunies, Leon Roppolo et Paul Mares de La Nouvelle-Orléans. À l’époque, les New Orleans Rhythm Kings avaient décroché une longue période de résidence au Friar’s Inn, un speakeasy qui était la propriété du tenancier de clubs de nuit Mike Fritzel. Le Friar’s Inn était d’autant plus intéressant pour les jeunes garçons qu’il avait la réputation d’être fréquenté par des gangsters...
Après avoir recruté le pianiste Dave North et le batteur Dave Tough (qui fréquentait le Oak Park High School situé à proximité), la Austin High School Gang avait formé un groupe appelé les Blue Friars pour rendre hommage au Friar’s Inn. Peu après, le groupe avait commencé à se produire dans des danses locales tout en jouant à l’occasion à l’extérieur de la ville.
C’est à peu près à la même époque que Teschemacher avait été présenté au clarinettiste et saxophoniste Bud Freeman. Après avoir appris les techniques de base de la clarinette, Teschemacher avait même commencé à la préférer au saxophone, même s’il avait continué de jouer des deux instruments.
En 1923, les membres de la Austin High School Gang étaient devenus suffisamment connus dans la région pour attirer l’attention de Husk O’Hare, un promoteur agressif qui avait de bons contacts dans les clubs. Après avoir changé le nom du groupe pour les Blue Dragons, O’Hare lui avait obtenu des contrats à la radio et dans les salles de danse. O’Hare avait notamment décroché un contrat pour le groupe au populaire White City Amusement Park où il s’était produit sous le nom de “Husk O’Hare’s Wolverines“.
À la grande déception de ses parents, Teschemacher avait commencé à consacrer de moins en moins de temps à ses études et avait éventuellement abandonné complètement l’école durant son année senior. À l’époque, Teschemacher avait commencé à se tenir avec un groupe de jeunes musiciens blancs de Chicago comprenant Eddie Condon, Gene Krupa, Joe Sullivan, Muggsy Spanier, Benny Goodman et Floyd O’Brien. Passionnés par la scène du jazz à Chicago, ces musiciens avaient en commun d’être fascinés par le style et la technique des musiciens de jazz de couleur. L’un des favoris de Teschemacher à cette époque était le clarinettiste Johnny Dodds, un partenaire de Louis Armstrong avec qui il s’était fait connaître pour son jeu imitant le son du cornet. Teschemacher avait également été très influencé par Bix Beiderbecke, avec qui il avait d’ailleurs enregistré plus tard.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
En raison de sa passion pour la musique, de sa polyvalence (il jouait du banjo, du violon, de la clarinette, du saxophone et du piano) et de son désir de prendre tout contrat qui se présentait, Teschemacher avait commencé à travailler régulièrement, contribuant notamment avec Wingy Manone, Sig Meyers, Charley Straight, Floyd Town et Art Kassel. Même s’il avait participé à plusieurs tournées, les principaux contrats de Teschemacher avaient lieu dans les salles de danse et les parcs d’amusement qui avaient commencé à se multiplier dans la région de Chicago entre les années 1900 et 1920.
Teschemacher avait fait ses débuts sur disque avec les Chicagoans de Red McKenzie et Eddie Condon le 9 décembre 1927 avec qui il avait enregistré les pièces “Sugar” et “China Boy“. Une autre session avait eu lieu une semaine plus tard et avait permis d’enregistrer deux autres pièces: “Nobody’s Sweetheart” et “Liza“. Avaient également participé aux sessions des membres du Austin High School Gang comme Jimmy McPartland, Bud Freeman et Jim Lanigan, ainsi que les membres des  Chicagoans Eddie Condon, Gene Krupa et Joe Sullivan. La session était dirigée par l’ancien disc-jockey Red McKenzie.
Au printemps 1928, Teschemacher avait enregistré avec deux autres groupes de McKenzie et Condon, les Chicago Rhythm Kings et les Jungle Kings. Le 28 avril de la même année, Teschemacher avait fait ses premiers enregistrements comme leader pour les disques Brunswick avec un groupe appelé les Frank Teschmacher’s Chicagoans. Les pièces enregistrées étaient “Jazz Me Blues” et “Singing the Blues”. Même si les bandes maîtresses de la session avaient été rejetées et détruites, une version test de la pièce “Jazz Me Blues” avait été découverte plus tard avant d’être publiée en 1939 sur l’étiquette  United Hot Clubs of America (UHCA) et d’être rééditée par les disques Decca.
Au milieu de l’année 1928, avec le déplacement de la scène du jazz de Chicago à New York, Teschemacher s’était joint à Eddie Condon, Joe Sullivan, Gene Krupa, Bud Freeman, Jimmy McPartland et Red McKenzie pour découvrir de nouvelles opportunités de se produire dans le Big Apple. Même s’ils avaient obtenu peu d’occasions de jouer comme groupe, les membres de la formation avaient décroché quelques engagements à titre individuel. Teschmacher avait d’ailleurs obtenu plus que sa part de ces contrats et avait joué avec les orchestres de Sam Lanin, Ben Pollack, Red Nichols, Miff Mole, Don Redman et les Dorsey Brothers.
Après avoir passé cinq mois à New York, Teschmacher  avait finalement eu le mal du pays et était retourné à Chicago. Il faut dire que Teschmacher était marié depuis huit mois à une jeune femme de Chicago, Helen, et était anxieux de la retrouver. Malheureusement, le mariage s’était conclu par un divorce à l’amiable le 7 novembre 1930. La famille de Teschemacher n’avait jamais apprécié Helen. Sa mère l’avait même qualifiée de ‘’unfortunate thing”.
De 1929 à 1930, Teschemacher s’était surtout produit dans la région de Chicago, mais il avait enregistré de façon beaucoup plus occasionnelle. Il avait aussi fait une brève tournée avec le Jan Garber Orchestra pour qui il avait écrit des arrangements et joué du violon et des instruments à vent. Durant cette période, Teschemacher avait également enregistré avec le Club Royale Orchestra de Wingy Manone, Ted Lewis et le Friar’s Society Orchestra d’Elmer Schoebel, qui avait pris la relève des New Orleans Rhythm Kings.
En 1931, Teschemacher travaillait toujours dans le circuit des salles de danse. Lors d’une prestation avec le Benny Meroff Orchestra au Granada Ballroom, Teschemacher s’était lié d’amitié avec le trompettiste ‘’Wild Bill’’ Davison. Le duo avait éventuellement formé son propre big band. À l’hiver de 1931-32, le groupe avait d’ailleurs tenu des auditions afin de sélectionner les meilleurs musiciens disponibles. Même si le big band avait décroché peu de contrats, il avait récolté d’excellentes critiques. Finalement, le groupe avait décroché un engagement à long terme au Guyon’s Paradise Ballroom dans le West Side à partir de mars 1932. Propriété de J. Louis Guyon, un promoteur impliqué dans les salles de danse depuis 1909, le club avait ouvert ses portes en 1914. Située sur le côté ouest de l’Avenue Crawford Nord (aujourd’hui la route Pulaski), à environ un bloc au nord de la rue Madison Nord, la salle était éloignée de seulement deux miles du Austin High School que Teschemacher avait fréquenté avec les autres membres du groupe.
UNE MORT TRAGIQUE
Le soir du 29 février 1932, Teschemacher avait invité Davison à passer la nuit à son appartement afin de se préparer à la pratique du groupe prévue pour le lendemain. Après avoir fait escale dans un speakeasy pour visiter un confrère musicien, le duo se dirigeait vers l’appartement de Teschemacher dans la décapotable Packard de Davison lorsque celle-ci était entrée en collision avec une voiture de taxi de couleur jaune dont les lumières étaient éteintes. La voiture de Davison avait terminé sa course contre un arbre, projetant les deux occupants à travers le pare-prise. Victime d’une fracture du crâne, Teschemacher avait été transporté au Ravenswood Hospital situé à environ un mille à l’ouest du site de l’incident. C’est là qu’il était mort quatre heures plus tard. Les médecins avaient déclaré par la suite que Teschemacher aurait eu de meilleures chances de survivre à l’incident s’il avait pu se protéger la tête avec ses mains.
Brièvement détenus par la police pour négligence, Davison et le chauffeur de taxi avaient éventuellement été disculpés par l’enquête du coroner. La mort de Teschemacher avait cependant tourmenté Davison pendant des années et l’avait même forcé à quitter Chicago et à abandonner la direction du groupe à Toasty Paul.
Teschemacher avait été enterré, peu avant son 26e anniversaire de naissance, au Woodlawn Cemetery à Forest Park, dans les Illinois, non loin du Austin High School. Son ex-épouse Helen avait assisté aux obsèques. Parmi les porteurs du cerceuil, on remarquait le chef d’orchestre Floyd Town, le pianiste pianist Jess Stacy et le batteur George Wettling. Même si Kensel C. “Toasty” Paul avait assuré la relève de Teschemacher au Paradise Ballroom, le groupe n’avait plus été le même sans lui. Selon le pianiste remplaçant du groupe Oro “Tut” Soper, la mort de Teschemacher avait emporté un peu l’âme de la formation.
En raison de la brièveté de sa carrière, Teschemacher était toujours resté un peu controversé. Même si la technique de Teschemacher avait souvent été critiquée pour son caractère primitif et peu conventionnel, certains critiques avaient fait remarquer que ces déficiences étaient simplement attribuables au fait qu’il avait continué de se développer et qu’il n’avait pas encore atteint le sommet de son potentiel. D’autres critiques avaient ajouté que le style de Teschemacher n’aurait pas tardé à être imité et qu’il serait sûrement devenu un grand innovateur s’il avait vécu plus longtemps. Mais même si certains avaient critiqué le talent de Teschemacher comme clarinettiste, il avait toujours ignoré ces critiques de son vivant.
Le travail de Teschemacher comme leader avait exercé une influence considérable sur de futurs grands noms du jazz comme Benny Goodman et Pee Wee Russell. Outre son jeu à la clarinette, Teschemacher avait également enregistré au saxophone. Le réalisateur Ken Burns a rendu hommage à Teschemacher dans le cadre du deuxième épisode de sa série sur le Jazz diffusée sur le réseau PBS en 2001.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Frank Teschemacher.’’ Wikipedia, 2024.
‘’Frank Teschemacher (1906-1932).’’ The Syncopated Times, avril 2024.
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sportifdujour · 1 month
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5 méthodes explosives pour bâtir une communauté de fer dans la gym!
Les êtres humains sont des animaux sociaux, c'est un fait indéniable. Nous avons besoin de nos comparses pour nous détendre, nous amuser et, pour certains, pour rivaliser dans des sports d'équipe. Même les épreuves sportives individuelles comme le CrossFit créent un sentiment de communauté, montrant l'importance de construire une telle communauté dans une salle de gym. On dit souvent que l'union fait la force, et cela s'applique parfaitement à ceux d'entre nous qui cherchent à se mettre en forme. Combien de fois avez-vous été poussé à faire quelques répétitions supplémentaires par un autre athlète ? Combien de fois avez-vous cherché à dépasser le coureur sur le tapis roulant à côté de vous ? Nous sommes prêts à parier que cela vous est arrivé souvent. En plus d'améliorer votre force physique et votre confiance en vous, la salle de gym peut également être une plate-forme fantastique pour construire une communauté solide, alignée sur vos valeurs et qui vous pousse à aller toujours plus loin. Avec tous ces avantages, pourquoi ne pas lancer dès maintenant une campagne pour construire une communauté forte dans votre salle de sport ? Allez, on y va ! Le chemin pour atteindre vos objectifs de mise en forme peut être éprouvant physiquement et mentalement, mais imaginez le faire au sein d'une communauté florissante de passionnés de la salle de sport. Rejoindre un réseau de salles de sport partageant les mêmes valeurs vous permettra d'être plus confiant et motivé, avec le même objectif que le gagnant du titre de M. Olympia huit fois, Arnold Schwarzenegger, a atteint dans sa gloire. Voici quelques-uns des avantages qui résultent de la construction et de la participation à une communauté de fitness dynamique : - La responsabilité - Des occasions de croissance et de développement - De la compétition - Des conversations franches et honnêtes La responsabilité est un facteur clé pour rester motivé. Si vous avez quelqu'un qui vous attend dans la salle de sport, vous êtes plus susceptible de rester sur la bonne voie et de conserver une discipline dans vos entraînements. L'amitié dans la salle de sport ne se limite pas à des conversations légères lors des pauses entre les séries, mais peut aussi vous offrir des conseils, des astuces et des critiques constructives pour améliorer les résultats de vos séances d'entraînement. Rejoindre une communauté de fitness positive vous offrira une inspiration sans pareille. Alors, n'hésitez plus à faire partie de la famille de fitness dynamique qui vous aidera à atteindre vos objectifs de remise en forme !
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En matière de fitness, être entouré de gens inspirants et motivants peut faire toute la différence. Que vous soyez fan de The Rock, Tom Daley, Ronda Rousey ou Stretch Armstrong, ou simplement d'autres membres de votre gym, ces personnes peuvent vous donner la force de persévérer dans votre routine et de vous dépasser. Mais pourquoi se limiter à l'enthousiasme amical ? En travaillant avec des personnes plus avancées dans leur parcours de remise en forme, vous pourrez repousser vos limites et vous surpasser - des chercheurs de l'Université d'État du Kansas ont même constaté que vous pourriez travailler jusqu'à 200 % plus dur ! Et puisque nous parlons de défis, parlons également de santé mentale. S'il est souvent difficile de parler de ses sentiments, la salle de sport peut être l'endroit idéal pour trouver une communauté positive et encourageante qui vous permettra de vous exprimer librement et de vous rappeler que vous n'êtes jamais seul dans votre combat. Selon une étude récente, les personnes qui se lancent dans un voyage de perte de poids avec un partenaire ont 40 % de chances de plus d'atteindre leurs objectifs que celles qui travaillent seules. Alors n'attendez plus, trouvez votre équipe et donnez le meilleur de vous-même ! Si vous cherchez un soutien supplémentaire pour votre santé mentale, ne cherchez pas plus loin que notre centre de ressources. Comment se faire des amis à la salle de gym ? C'est une question qui peut hanter l'esprit de beaucoup de gens. Mais nous avons des conseils judicieux pour vous aider à embrasser la communauté de la gym et à construire des amitiés à travers votre passion commune pour la forme physique. Tout d'abord, ne vous forcez pas à devenir le meilleur ami de tout le monde. Mais n'ayez pas peur d'être social. Commencez par un sourire amical et un bonjour. Avec le temps, cela peut évoluer en de véritables conversations. Cependant, pour réussir à vous intégrer à la communauté de la gym, il y a certaines formalités à respecter. Vous devez vous présenter et montrer votre intérêt pour la communauté. Ne soyez pas timide, soyez audacieux ! Si vous repérez un habitué de la salle de gym, n'ayez pas peur d'aller vers lui et d'échanger sur ses performances sportives. Qui sait ? Votre parcours pourrait être similaire et vous pourriez travailler ensemble en vous soutenant mutuellement. Mais gardez à l'esprit que quand vous êtes dans cet espace, vous devez être respectueux envers les autres. Certains ne seront pas là pour papoter ou sortir de leur bulle. Interrompre quelqu'un pendant un set, monopoliser une machine ou trop suer sur les équipements n'est pas correct. Et, pour l'amour de tout ce qui est saint, ne fixez personne ou ne faites de commentaires inappropriés ! Savoir être utile est aussi une qualité à avoir dans ce lieu. Si jamais tu vois un.e autre gym-goer en difficulté, n'hésite pas à proposer ton aide. Que ce soit pour repérer un squat ou ajuster une machine, tes deux cents peuvent faire toute la différence. Attention toutefois, pas question de se montrer arrogant ou de vouloir donner des leçons de fitness. Demande toujours leur permission et offre-leur des conseils constructifs s'ils en manifestent l'envie. Qui sait, tu pourrais même apprendre un ou deux trucs de leur part !
On le sait, la salle de gym n'est pas forcément le lieu idéal pour engager la conversation. Mais si tu te sens l'âme d'un.e socializer, il existe des options pour te rapprocher des autres membres. Pourquoi ne pas réserver une classe où la camaraderie et l'esprit d'équipe règnent en maîtres ? Ou alors, renseigne-toi auprès de la réception sur les différentes possibilités de rejoindre un groupe de discussion au sein de la salle de gym. Alors, prêt.e à sortir de ta zone de confort ? C'est toi qui vois ! Pour bâtir une communauté solide de gymnastique, il faut trouver un partenaire motivé et déterminé à atteindre ses objectifs. Trouver un ami avec des intérêts similaires peut rendre l'entraînement plus amusant et stimulant. Vous pouvez vous soutenir mutuellement pour repousser vos limites, développer davantage vos muscles et économiser sur les trajets en partageant les frais d'essence. Si vous ne connaissez personne dans votre entourage qui partage votre passion, n'hésitez pas à demander à un membre de votre salle de gym. Asseyez-vous à côté de lui pendant les pauses entre les séries et demandez-lui s'il pourrait vous rejoindre pour une session un jour. Ou mieux encore, demandez-lui de vous donner un spot pendant vos séries et profitez-en pour discuter de votre passion commune pour le sport. Soyez audacieux et proactif dans la recherche d'un partenaire d'entraînement. Vous pourriez être surpris de voir à quel point les gens sont disposés à partager leur expérience et à vous aider à atteindre vos objectifs. Alors, n'hésitez pas à sortir de votre zone de confort et à vous lancer dans cette aventure collective excitante. Demander un endroit est un geste courageux, qui démontre votre détermination à créer une communauté de gymnastique soudée. C'est une façon de bâtir sur des fondations solides, tout en vous assurant que votre pratique ne finit pas aux urgences. Nous aimons tous nous sentir en sécurité, mais il est également important de se connecter avec les autres membres de la communauté, d'échanger sur les plans du week-end ou simplement de discuter de la forme. En trouvant un influenceur de fitness, vous pouvez ajouter une dimension supplémentaire à votre expérience de gymnastique. Ces experts peuvent apporter de la valeur à votre pratique à travers des conversations inspirantes en personne ou sur les réseaux sociaux. N'hésitez pas à les approcher et à discuter avec eux pour en savoir plus sur leur parcours et leur vision de la remise en forme. Avec un peu de courage, vous pouvez atteindre de nouveaux sommets et bâtir une communauté forte et unie. Les influenceurs du fitness sont des leaders inspirants qui débordent de sagesse et de conseils inestimables pour vous aider à atteindre vos objectifs de santé et de forme physique. Ils sont un modèle accessible au sein de votre communauté de gym, prêts à vous accueillir à bras ouverts et à vous guider vers votre meilleure version. Et si vous cherchez à élargir votre cercle d'amis de gym, ne cherchez pas plus loin que les activités extrascolaires proposées par votre centre de remise en forme. Du yoga apaisant à la randonnée exaltante, en passant par les compétitions de lancer de hache, ces activités sont l'occasion idéale de renforcer les liens avec vos camarades d'entraînement et de poursuivre votre amitié en dehors de la salle de gym. Car dans le monde du fitness, les bonnes tribus apportent de bonnes vis-à-vis. Rejoignez une communauté vouée à la santé et à la force mentale, et laissez-les vous motiver et vous soutenir tout au long de votre parcours. Rappelez-vous que la salle de gym est bien plus qu'un simple lieu d'entraînement - c'est une communauté florissante de personnes partageant les mêmes objectifs. Alors, allons-y !
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Des accessoires incontournables : casquettes, chaussettes et survêtements certifiés
Des accessoires incontournables : casquettes, chaussettes et survêtements certifiés. Dans le monde du sportswear, les accessoires jouent un rôle essentiel pour compléter votre tenue et ajouter une touche de style. Parmi les incontournables, on retrouve les casquettes, les chaussettes et les survêtements certifiés. Les casquettes sont à la fois pratiques et tendance, offrant une protection contre le soleil tout en ajoutant une note décontractée à votre look. Optez pour des modèles avec des logos ou des motifs originaux pour afficher votre personnalité. Les chaussettes, souvent négligées, sont pourtant indispensables pour assurer votre confort lors de vos séances d'entraînement. Choisissez des chaussettes de qualité, conçues spécialement pour le sport, afin d'éviter les frottements et les ampoules. De plus, optez pour des chaussettes certifiées, garantissant des conditions de production respectueuses de l'environnement et des droits des travailleurs. Enfin, les survêtements certifiés sont une option idéale pour ceux qui souhaitent allier confort et responsabilité environnementale. Ces survêtements sont fabriqués à partir de matériaux durables et respectueux de l'environnement, tels que le coton bio ou recyclé. En choisissant des vêtements certifiés, vous soutenez également des pratiques éthiques et responsables dans l'industrie de la mode. En conclusion, ne sous-estimez pas l'importance des accessoires dans votre dressing sportswear. Les casquettes, les chaussettes et les survêtements certifiés sont des pièces indispensables pour compléter votre tenue avec style tout en privilégiant le confort et la durabilité. Faites le choix de produits certifiés pour soutenir une consommation responsable et contribuer à la préservation de l'environnement.
Optez pour le coton bio : la consommation d'eau responsable dans la mode sportswear
Lorsque vous choisissez vos vêtements de sport, il est essentiel de prendre en compte leur impact sur l'environnement. Opter pour des articles en coton biologique est une excellente façon de réduire votre empreinte écologique, en particulier en ce qui concerne la consommation d'eau. Contrairement au coton conventionnel, la culture du coton biologique n'utilise pas de pesticides ou d'engrais chimiques nocifs pour l'environnement. La production de coton conventionnel est connue pour être extrêmement gourmande en eau. En revanche, le coton biologique nécessite beaucoup moins d'eau pour pousser. En fait, selon certaines estimations, la culture du coton biologique peut réduire la consommation d'eau jusqu'à 91% par rapport au coton conventionnel. En optant pour des vêtements de sport en coton bio, vous contribuez à préserver les ressources en eau précieuses de notre planète. De plus, le coton biologique est généralement cultivé de manière durable, ce qui signifie qu'il est cultivé dans des conditions respectueuses de l'environnement et sans épuiser les sols. De nombreuses marques de sportswear ont également pris conscience de l'importance du coton biologique et proposent désormais des collections fabriquées à partir de ce matériau respectueux de l'environnement. En choisissant ces marques, vous soutenez non seulement une mode plus durable, mais vous pouvez également profiter de vêtements confortables et de haute qualité. En conclusion, lorsque vous renouvelez votre garde-robe sportswear, pensez à opter pour des vêtements en coton biologique. Non seulement vous faites un choix responsable pour l'environnement, mais vous pouvez également profiter d'une mode confortable et durable. Faites un geste pour la planète tout en restant stylé !
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diarioelpepazo · 3 months
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El tercera base venezolano viene de brillar con La Guaira, y ahora busca explotar todo su potencial en Las Mayores Josué Porras Estebanot La carrera de Maikel García viene en franco ascenso en los últimos años. En 2022, el criollo debutó en Doble A, Triple A y en Grandes Ligas, experiencias que le sirvieron para vivir su primer gran año en la Liga Venezolana de Beisbol Profesional. El año pasado, finalmente García se ganó la oportunidad de ser titular habitual en Las Mayores, al jugar 123 encuentros con los Reales de Kansas City y tomar más de 450 turnos al bate, lo que le sirvió para volver a Venezuela y ser pieza clave en el primer título de Tiburones de La Guaira en 37 años. Ahora, con mucha más experiencia y recorrido, el oriundo de La Sabana tiene la clara misión de ser titular desde el Opening Day con los Reales y de convertirse en uno de los mejores tercera bases de toda la Gran Carpa. Al revisar las famosas y controvertidas proyecciones de Fangraphs, está claro que en Estados Unidos aún tienen dudas de su fantástica capacidad ofensiva, pero su gran guante y algunas métricas con el madero lo colocan desde ya como una pieza importante para los suyos. ¿Cuáles son las proyecciones de Maikel García? Como es costumbre, Fangraphs refleja varios sistemas de proyecciones en su página web. De todos, probablemente los tres con mejor reputación son The Bat X, ZiPS y Steamer, así que para analizar al "Barrendero" nos quedaremos con estos tres. The Bat X, uno de los más acertados en cuanto a bateadores, le proyecta una línea ofensiva de .270/.326/.381/.707, con 128 imparables, siete cuadrangulares y 48 impulsadas en 475 turnos al bate. ZiPS, sistema desarrollado por Dan Szymborski de Fangraphs, le da a García una línea de .261/.318/.362/.680 en 522 turnos, en los que además tendría 136 inatrapables, seis vuelacercas y 55 rayitas fletadas. Steamer es un poco más optimista, ya que vaticinan promedios más que interesantes de .269/.333/.382/.715 a lo largo de 444 turnos oficiales. Además, el criollo acumularía 119 hits, siete jonrones y 46 empujadas. Aunque los números no son demasiado alentadores, hay métricas que no se tuvieron en cuenta y que demuestran que el venezolano tiene capacidad de sobra para brillar con el madero, como su 50.6% de conexiones potentes durante 2023, o su whiff de 82% que refleja los pocos swings fallidos que hace. Para recibir en tu celular esta y otras informaciones, únete a nuestras redes sociales, síguenos en Instagram, Twitter y Facebook como @DiarioElPepazo El Pepazo/Meridiano
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