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#Sociologie du hardeur
lounesdarbois · 2 months
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Qu'est-ce que vous croyez? Bien sûr que ces choses sont difficiles à prouver. Bien sûr que "peut-être le parquet pourra établir que"... Dans 100 ans peut-être. Idem pour le sarce de John Michael. J'avais tout dit sur un certain Sean du même nom, coïncidence, dans Sociologie du hardeur, et ce type a d'ailleurs fini sa carrière dans le transporn 1 an après la publication, tous les hashtags Twitter en témoignaient. C'est ainsi, la vie nous a fadé... Mais il faut à nos passifs mégotteurs du mainstream des preuves, toujours plus de "décodage" décrypté, débunké, des tableaux noirs remplis à la craie de démonstrations par certitudes rationnelles... Et une fois cela fait ils baillent. "C'est ennuyeux vos histoires, là..." On sait combien la pente "certitude rationnelle" a porté chance à la Civilisation depuis Descartes. Mais on en veut encore. La preuve, la démocratie, la trans-pa-rence.
La personne a une silhouette d'homme, une entrejambe d'homme, une tête d'homme, mais ce n'est pas assez prouvé encore. Mar-a-Lago? "Mais ça prouve rien". La dame est une femme à barbe? "Et alors? Elle a le droit". Cent photos l'accablent. "Quoi, tu es transphobe?". Jacassages de crabes dans un panier de rivalité mimétique alors que l'objectif est de se libérer du joug de ces parasites accrochés sur la France. Pendant ce temps eux poursuivent leurs objectifs. Invasions, avortements, euthanasie, enfants sous influence... Et le bon mainstream parle encore rationnel, preuve mathématique, langage robot. Bon...
« Notre peuple a le droit de se dire quitte envers les Démocraties. De 1914 à 1918, il leur a sacrifié deux millions de morts et les trois quarts de la fortune nationale. En 1939, elles lui ont demandé le sacrifice total. »
Georges Bernanos, La France contre les robots (1947)
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aurevoirmonty · 5 months
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« Le Blanc marche dans la rue comme individu. Le non-Blanc marche dans la rue comme fragment d’une communauté. »
Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017)
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raisongardee · 2 years
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“Les nobles peuples de l’Antiquité pratiquaient l’ascèse et le jeûne couramment, volontairement. La gorgée d’eau, l’olive, le citron, le poisson grillé exhalaient dans ces conditions infiniment plus d’arôme. L’abondance succédant bientôt à cette frugalité première requérait de raffiner les plaisirs dévalués de ces nourritures viriles. On ajouta du sel puis des épices, puis des herbes à mesure de l’accoutumance au plaisir. Puis on en arriva aux sauces, aux crèmes, pour encore daigner trouver aux mets un goût passable, d’où sévérité des guides culinaires, d’où sagesse des jeûnes. Il fallait désormais du "à la", n’est-ce pas, du poisson "à la crème", tian de légume "à la grecque", etc. […] Il en va de même pour les nourritures charnelles de la porn-industrie où les simples photos des pin-up perdent de leur saveur au profit de la pornostar non pas seule, mais agrémentée de sa bite dans le cul, baisée à la Arentino, à la Maserata, à la Twinkie… Comprends-tu maintenant ? L’excès de virtuel explicite dévalue la vraie femme, dont jadis la simple vue d’une épaule, d’une cheville suffisait à l’homme, qui en concevait de terribles érections. Aujourd’hui les femmes entièrement nues, épilées, surmaquillées, fouettées, enculées, giflées, quasi-violées, peinent à lever quelques demi-gaules chez les spectateurs blasés par une vie entière d’exposition au nu publicitaire.”
Lounès Darbois, Sociologie du hardeur. Pour une résistance à la pornographie, 2017.
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“Si l'on mettait bout à bout les viols, les crimes d'honneur, les multiples agressions, c'est-à-dire les meurtres ratés, les intimidations de voisinage, les bagarres de soirées, de transports commun, les hiérarchies de cours d'école, les exactions de chauffards et toute la palette des faits divers commis chaque jour, chaque heure, ces milliers de germes isolés soudain placés bout à bout mettraient à jour la plus formidable entreprise d'oppression d'un peuple innocent que le monde ait connu depuis les invasions barbares, la plus systématique et la plus révoltante persécution mise à l'oeuvre sous la voûte céleste, la destruction ourdie famille après famille, hameau après hameau, lentement diluée dans le temps, patiemment, imperceptiblement…”
Lounès Darbois, Sociologie du hardeur
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basilepesso · 6 years
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Comme ça vient de la maison d'édition de soral, vous ne regarderez pas, et me "unfrienderez" d'ailleurs peut-être. Pourtant, le sujet est gravissime, et cette BD écrite par le franco-maghrébin (désolé, je ne connais pas le pays d'origine de Lounès) Lounès Darbois semble le traiter particulièrement bien. Petite bande-annonce dans laquelle on voit, entre autres, le célèbre réalisateur français de porno Pierre Woodman déclarer en conduisant : "Y a une fille qu'est vierge du cul, elle arrive, aujourd'hui c'est anal et double (NDLR : double pénétration), demain c'est double anal, après-demain si on peut on essaie de lui en mettre trois dans l'cul" (à 1.00).
ÉVIDEMMENT, on ne parlera pas des graves problèmes d'incontinence et de dilatation anale à vie pour des femmes-objets qui, passé 30-35 ans, peuvent se débrouiller avec leur anus de femme de 95 ans.
On y apprend aussi que l'industrie du sexe génère un business annuel de plus de 100 milliards de dollars.
Lu ailleurs : les stats de visionnage de porno, avec les stats de fréquence hebdomadaire par personne, sont effarantes, je n'ai plus les chiffres exacts en tête.
N'hésitez pas à faire des recherches sur les origines du porno contemporain, l'industrie américaine en particulier, et les religions des promoteurs de cette industrie, qui sont le plus souvent sous pseudo. C'est édifiant, très dur à trouver, mais vous ferez l'effort, n'est-il pas ? Vous êtes si avides de vérité.
2 minutes de vidéo.
Basile Pesso, FreeLand, 27 juillet 2 018, 1e diffusion ce jour-là (Fb) Vidéo : bande-anonce de la BD Sociologie du Hardeur, de Lounès Darbois Addendum : un nouvel “unfollowing” qui prouve ce que je dis tout le temps : ce ne sont pas les faits criminels, gravissimes, qui sont choquants pour vous, mais une source que vous pensez d’“extrême-droite”. Pathétique, comme d’habitude...
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lounesdarbois · 1 month
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lounesdarbois · 2 years
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Du rap à Netflix, l’américanisation de nos mentalités européennes est-elle pour vous irrémédiable ?
Cela dépend à quel âge. Le goût bien formé s’acquiert par l’éducation, il exige du temps, un apprentissage par essais et par erreurs. L’intuition, elle, est innée, elle nous aide à trouver notre vocation, à identifier nos « dégoûts très sûrs ». Hollywood et Wall Street flattent nos penchants faciles, cette fausse Amérique est une fabrique de snobisme, elle excite la volonté mondaine de se démarquer, de se montrer, de se faire valoir. Snobisme de mauvais goût comme vous le savez, mais relayé, célébré partout... Vaincre le snobisme suppose d’intimider les snobs, de leur faire honte avec plus fonctionnel, plus raffiné, plus charmant, en somme de les rendre ringard, de démoder la mode elle-même. C’est facile sur le long terme car le snobisme vieillit mal, mais le ridiculiser lorsqu’il est jeune et insolent, immédiatement, est une prouesse plus élevée. Regardez le rap de 2002 avec le XXL velours, les slips sur la tête, le style Fifty Cent et les autres... On croit rêver. Comment de tels déguisements ont-ils pu faire la loi ? Les modes s’évanouissent, le classicisme seul sort vainqueur de l’épreuve du temps. Il existe un classicisme du vêtement de sport, de la musique électronique, de l’immeuble d’habitation, de tout. C’est non pas une forme intemporelle mais l’esprit intemporel de la forme la plus adéquate à une séquence de long terme donnée, forme à laquelle on ne peut alors plus rien ajouter ni retrancher. Élie Faure, Pierre Fournier, Hédi Slimane et d’autres vous en diront plus !
Observateur de la vie à travers son expression quotidienne et urbaine, en quoi la « rue » a-t-elle changé en 30 ans ?
Un mot : féminisation, un livre : Vers la féminisation. Les filles, même voilées, sont féministes. « Le féminisme n’est pas une idéologie mais une ontologie » (Félix Niesche). Les racailles qui avaient le crâne rasé ont les cheveux longs et le visage épilé, ils foncent au sucre comme des odalisques de harem (Capri Sun, Nutella, Red Bull, Mc Flurry, etc), et aux nourritures néfastes à la virilité. Les jeunes vivent enfermés dans un triptique écrans/sucre/drogue, soit immobilité/calories sans emploi/sensations sans effort. Mais la « muscu » sous « protéine » est probablement l’écueil symétrique : le bip de portique, la salle climatisée, les écouteurs pour couvrir le tam-tam sur haut-parleurs, le bilan comptable protéines absorbées contre calories dépensées, le « programme » sur des « machines », le narcissisme du corps à « acquérir » qu’il faut ensuite « vendre » sur un marché type Tinder (et qui mène à l’homosexualité), ce sont des idées assez curieuses.
La rue n’a plus sa « street credibility ». Que peut bien signifier une notion comme l’underground aujourd’hui ? Les bandes qui traînent par désœuvrement en cherchant « s’il y a moyen de gratter » sont crédibles jusqu’aux années 1990 mais guère plus loin, pour des raisons technologiques. Un « mec de rue » smartphone en poche avec 30 applications dessus sera éventuellement un singe connecté à un robot central mais certainement pas un prolétaire qui a faim ni un bonhomme. Toute cette connectivité fébrile pue l’angoisse du face-à-face solitaire avec la vie. « Rue », cela évoque la vieille pierre, les intempéries, la débrouille virile. La rue est devenue l’antichambre de la clinique esthétique. C’est un paddock pour hommes qui attendent que l’on mise sur eux en attendant de délivrer une performance entièrement domestiquée. Dans la métaphore de la comédie humaine comprise comme un hippodrome, qui sont les maquignons ?
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aurevoirmonty · 2 years
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« Ici le film de cul joue ainsi un rôle comparable au masturbateur de taureau dans les exploitations agricoles, métier authentique. Une fois bien branlé le taureau se calme, se laisse mener docilement… »
Lounès Darbois, Sociologie du hardeur. Pour une résistance au porno, éd. Kontre Kulture.
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lounesdarbois · 3 years
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Oui des racines profondes. Des racines, comment dire...
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Des racines, eh bien, enracinées...
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Et vraiment, oui, profondes.
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Donc une théorie sans fondement.
#vigilance
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lounesdarbois · 3 years
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“Oui mais c’est l’avant-garde de la civilisation en Orient, tu comprends, ils sont comme nous en fait”... 
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lounesdarbois · 5 years
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La pornographie a contribué à armer idéologiquement les racailles.
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lounesdarbois · 5 years
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« Comment qu’on les a bien escroqués au final, ces canards, ces viktimes, ces caves qu’ont rien compris, menés en bateau d’une rive à l’autre, ramant sur promesse, jusqu’au bout, jusqu’à l’extinction! Comment qu’ils ont basculé dans les oubliettes en même pas deux générations, les races des seigneurs! Quelle plus indéniable, plus infamante, plus époustouflante fin en effet aurait-on pu rêver à leur monde! » 
Il était possédé. 
« Tu vois, ils parlent comme ça, les autres! C’est trop facile pour eux, l’époque est trop facile! Il leur suffit de détruire! Le microcéphale là, pareil pour lui, c’est trop facile! Comme il s’y est cramponné à l’aise, à son personnage de Nubien, comme il a optimisé chaque détail, comme il a cru à sa dérisoire merde de place dans la société, cet immondice, au moment même où sur la Terre mille Blancs par jour, chaque jour, abandonnaient la lutte, crevaient dans le scrupule, écœurés par les crises, les divorces, les haines absurdes, les bagarres à mort pour un strapontin dans une entreprise de profilés aluminium! Tous ces “intelligents”, victimes de leur surmoi exigeant, auraient jugé indigne de se faire bite humaine, plutôt le chômage et la mort que hardeur, et ils ont été exaucés! C’était ça le bel avenir promis à l’intelligence : avoir assez de conscience de sa propre misère pour se rendre la vie insupportable, et crever dans les labyrinthes du scrupule. Seuls les cons bénéficient d’œillères assez larges pour foncer sereins droit au but. Pour eux, hardeur, ce n’est pas grotesque, c’est le top du top, il suffisait d’y croire. Comme il y a cru lui, ce primitif, et comme ça a marché! Le pervers narcissique dans sa plus stricte acception, comme il a pu délirer d’hybris de métisseur raciste pendant des décennies, payé, re-payé… »
Sociologie du hardeur, p. 123
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lounesdarbois · 5 years
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Je lui rendis la liste. 
« Aucun, tu es sûr?
– Sûr. Si une seule occurrence avait eu lieu, les médias l’auraient immédiatement monté en épingle par création d’un mobile raciste, afin de souquer un peu plus étroitement les Blancs à fond de cale dans leurs entraves. C’est la raison pour laquelle une affaire Trayvon Martin a pu faire la une de nos illustres journaux pendant des semaines : à la moindre incartade raciale où que ce soit sur la planète, tous les battages médiatiques du monde se mettent en branle pour pousser à l’hallali terminal sur les Babtous. La rareté de ces coups de trompette révèle toutefois l’état de sécurité totale des non-Blancs chez les Blancs. La dernière fois qu’un crime dans ce sens-là est arrivé en France? 1996 ! Brahim Bouaram. Tu t’en souviens sûrement? » 
Je m’en souvenais. Les collégiens que nous étions avaient eu droit à un discours solennel du proviseur dans la cour de l’école. Il nous avait tous fait sortir dans la cour, tous, les six cent quatre-vingts élèves. D’habitude ça n’arrivait qu’à la rentrée quand il nous appelait pour nous assigner nos classes. On était tous descendus, on nous avait fait mettre en rang, on nous avait fait comprendre que ce n’était pas le moment de rigoler. Le proviseur avait discouru pendant une demi-heure sur le péril raciste, sur les heures les plus sombres, sur les skinheads qui envahissaient la France, tantôt pontifiant, tantôt menaçant, tantôt recueilli. Puis on avait fait une minute de silence. Et puis on nous avait remis au travail. 
« Voilà tu t’en souviens! Cela signifie qu’il n’y a jamais, jamais, la moindre ébauche de révolte nulle part, jamais, que l’occupation de la France, la colonisation de la France, sont complètement acceptées, intégrées! Si l’on mettait bout à bout les viols, les crimes d’honneur, les multiples agressions, c’est-à-dire les meurtres ratés, les intimidations de voisinage, les bagarres de soirées, de transports en commun, les hiérarchies de cours d’écoles, les exactions de chauffards et toute la palette des faits divers commis chaque jour, chaque heure, ces milliers de germes isolés soudain placés bout à bout mettraient à jour la plus formidable entreprise d’oppression d’un peuple innocent que le monde ait connu depuis les invasions barbares, la plus systématique et la plus révoltante persécution à l’œuvre sous la voûte céleste, la destruction ourdie famille après famille, hameau après hameau, lentement diluée dans le temps, patiemment, imperceptiblement… Ajoutons maintenant les décès sans postérité et les avortements. Chaque jour mille Français de souche disparaissent du solde démographique. Nos grands “vigilants” ne peuvent l’ignorer. Ils savent mais se taisent. Au fond, peu de gens savent avec quelle délectation les “vigilants” savourent le spectacle en cours. »
Sociologie du hardeur, page 158
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lounesdarbois · 5 years
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lounesdarbois · 5 years
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Votez par courriel pour qu’il gagne le Prix des Lecteurs en écrivant “Vote : Sociologie du hardeur” à l’attention de [email protected]
Même si le livre ne remporte pas les suffrages, sachez que tous les messages de sympathie que vous m’envoyez sont déjà une récompense en soi, et notamment ceux des lecteurs qui témoignent de la prise de conscience permise par les pages qu’ils ont lues.
Amicalement,
LD
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lounesdarbois · 5 years
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« Les gènes turbides avancent comme le désert sur les prairies, comme les rivières au départ limpides qui terminent en limon et en boue, comme les barbares sur la civilisation. Sais-tu que sous l’Antiquité, les îles grecques étaient entièrement recouvertes de pins parasols? Qu’à l’époque de Bouddha les Indiens étaient de toutes les  couleurs? Que les Mésopotamiens étaient de cette vraie et noble diversité que l’on peut voir sur les yézidis, aujourd’hui complètement massacrés? Cette horrible avancée se poursuit aujourd’hui. Ouvrons le journal à la page faits divers. Quatre personnes tués par semaine pour une cigarette ou un mauvais regard, nous dit-on. Traduction : quatre Blancs de moins, affaire étouffée, rétrécissement du gâteau, le pays s’enfonce un peu plus, et on efface tout, et on recommence. Année zéro, ça joue. Le lendemain c’était oublié, et le même carnage recommençait. Aujourd’hui tout cela est complètement oublié. Année zéro, ça joue. » 
À mesure qu’il parlait je me représentais une vue d’ensemble comme dans Sim City. La population mondiale augmentait, mais les ressources demeurées stables confrontaient bientôt chacun au phénomène de stress hydrique. La rue recourt au champ lexical de l’eau pour décrire les femmes qui passent : « elle est bonne », « elle est fraîche », « c’est une crasseuse », etc. Maupassant avait comparé dans ses souvenirs les Maghrébines qu’il avait fréquentées à l’eau trouble qui stagne au fond des puits. Peut-être que le malheur de l’Europe en ces temps d’effondrement résidait dans l’évidente santé des femmes locales, puissant vecteur d’attraction. Selon Cyril, les peuples assoiffés, technologiquement défaillants à se procurer par eux-mêmes une eau limpide, venaient jusque dans nos bras puiser notre eau dans les puits bien creusés de nos ancêtres, et bientôt on s’égorgerait sur les margelles. Mais déjà la digression géopolitique cessait, Cyril venait de reprendre le fil de son exposé. 
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En photo : Adrien, assassiné le 29/07/2018 à Grenoble par deux racailles.
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