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#Les prix littéraires
mouloudb13 · 7 months
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Mouloud Benzadi : «Les écrivains arabes doués pour remporter des prix littéraires, mais ils sont incapables d’atteindre une renommée mondiale!»
. Intervieweur : Latifa Muhammad Hasib Al-Qadi . traduit par: Nesrine Hadjira Bendjeddou Mouloud Benzadi, romancier, essayiste, linguiste, traducteur, critique et chercheur algérien britannique, est une figure éminente de la diaspora culturelle arabe. Avec des racines algériennes et un esprit influencé par la Grande-Bretagne, ses prouesses intellectuelles ne connaissent pas de limites. En…
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revuetraversees · 6 months
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Philippe VEYRUNES, «AFFAIRES DE FAMILLE», Nouvelles - Ed. Les Presses Littéraires- Prix 20 euros
Une chronique de Jeanne Champel Grenier Philippe VEYRUNES, «AFFAIRES DE FAMILLE», Nouvelles – Ed. Les Presses Littéraires- Prix 20 euros                                     Un règlement de compte sur relents de nazisme; des parricides croisés de petits commerçants frustrés à l’éducation stricte; des transports amoureux en montgolfière; l’héritage d’un malfrat notoire,”oncle d’Amérique” corse;…
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angelitam · 9 months
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Les coquelicots de Nadjma
Les coquelicots de Nadjma, présentation Alger / Tunis, elle est la fille d’un maître d’école et d’une employée de la Poste. Son père la croit morte en Syrie. Elle a été insultée, raillée et a décidé de porter le voile et ensuite le niqab, pour se protéger. Mais ceux qui la côtoient pensent qu’elle a été endoctrinée, comme bon nombre de ses compatriotes. Afin de quitter Alger, elle décide de se…
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savantefolle · 11 months
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La Savante folle remporte le Prix Trillium!
La Savante folle remporte le Prix Trillium avec un roman de SF!
Inespéré, inattendu! (Michèle en blouse fleurie recevant son beau prix! Photo par Gilles Gagnon) Trois p’tits tours… Trois fois finaliste aux prix littéraires Trillium avec un roman de SF*, cette année j’ai eu la joie de voir mon dernier, Le secret de Paloma qui a ouvert la porte et remporté cette distinction! Je ne peux que remercier les membres du jury francophone de ne pas avoir eu peur de…
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jamesmurualiterary · 1 year
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Imbolo Mbue is Prix Littéraire Les Afriques 2022 winner.
Imbolo Mbue is Prix Littéraire Les Afriques 2022 winner.
Imbolo Mbue’s Puissions-nous vivre longtemps was declared the winner of Prix Littéraire Les Afriques 2022 on December 21, 2022. Prix Littéraire Les Afriques is awarded annually to an African or writer of African descent who has written fiction highlighting a human, societal, ideological, political, cultural, economic, or historical issue related to Africa or its diaspora. Prix Les Afriques,…
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ccnountche · 1 year
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Créé en 2015 par l’association de lecteurs La Cène littéraire, le prix littéraire "Les Afriques" est décerné une fois par an à un écrivain – ou à une écrivaine – d’Afrique, qui publie une fiction. Il peut récompenser aussi un auteur afrodescendant.
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mare-avatars · 1 year
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J’ai envie d’ouvrir un nouveau forum, d’avoir un projet sur lequel me concentrer, de me lancer dans un truc qui va me donner envie de faire des efforts. J’ai envie d’arrêter le rpg, parce que ça fait des années que je cherche en vain l’endroit où me sentir à ma place sur le long terme, toujours déçue quand je ne suis pas celle qui déçoit les autres. J’ai envie de ramener à la vie un forum fermé, pour lui donner une deuxième chance, retrouver quelque chose de familier, l’impression de renouveau sans avoir à tout recommencer. J’ai envie de m’inscrire sur cinq forums différents, pour essayer une énième fois de retrouver l’engouement d’il y a dix ans, anonyme pour découvrir si je suis le problème dans l’équation. J’ai envie d’aller sur un forum kleenex, parce qu’au moins si je disparais, personne ne m’en voudra puisque ça ne va de toute façon pas tenir. J’ai envie de supprimer ce blog et tous les avatars postés dessus, de changer mon style entièrement, de disparaître sans laisser de trace. J’ai envie de trouver comment sortir de cette errance créative, dépasser le stade où la hype décède une fois le personnage validé, trouver une communauté impliquée mais chill parce qu’on est des adultes avec des obligations et que l’époque des soirées flood jusqu’au petit matin est révolue. J’ai envie d’écrire simplement, parce que c’est un passe-temps et pas une tentative pour un prix littéraire. J’ai envie de me donner du mal dans ce que je poste, parce que c’est une issue créative et que j’aime faire de jolies choses. J’ai envie de tout ça et de rien du tout à la fois, ça va, ça vient.
Est-ce qu’il est possible de faire le deuil d’une passion à laquelle on s’accroche encore ? 
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mmepastel · 4 months
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J’avais aperçu l’auteur sur des plateaux télé où l’on débat sans jamais adhérer à ses propos (dont la teneur m’échappe aujourd’hui), j’entendais un gars un peu trop libéral, je voyais un type un peu trop collet monté, plutôt antipathique. Mais c’était un jugement rapide, fondé sur un ressenti, un peu lapidaire. (Aujourd’hui, après avoir lu le livre, j’ai regardé sa page Wikipedia et même si en effet, il semble politiquement d’un bord qui n’est pas le mien, sa biographie est plus intéressante que je n’aurais cru.)
Mais ce livre là m’attirait, par son sujet, et il a été couronné par deux prix littéraires.
On sent quand même bien dès le début du roman que l’auteur est plutôt un homme d’idées que de fiction. Ses deux personnages illustrent chacun deux trajectoires face aux dégâts du changement climatique, de l’agriculture intensive, voire même du capitalisme tout court. Ils sont donc l’incarnation de papier de deux idées.
Même si le livre est astucieux, malin et plutôt bien ficelé (sauf pour la fin qui m’a laissée de marbre) ; même si l’auteur croque habilement un monde qu’il connaît bien (celui du Paris cultivé feignant de réfléchir à la société tout en jouissant de ses privilèges), il ne m’a jamais totalement convaincue. J’ai été happée par les tourments des deux protagonistes, leurs essais et leurs déboires, l’évolution de leurs idées, leurs désenchantements progressifs, mais je ne les ai pas trouvés suffisamment incarnés. Ils sont restés des êtres de papier, des idées auxquelles on a tenté de donner chair, mais sans y parvenir totalement.
Sans parler du final à mon avis raté, auquel je n’ai pas cru non plus, trop tragique et théâtral pour être crédible.
Je pense que Gaspard Koenig est un penseur très brillant, un esprit vif, cultivé voire érudit, qui a bien travaillé son sujet. J’ai beaucoup appris sur les vers de terre, mais pas seulement. Il a le mérite de réfléchir hors des sentiers battus. Mais cela ne l’empêche pas de recourir à certains raccourcis gênants, et à un ton globalement surplombant, moraliste.
Ça pourrait passer si on avait de la tendresse pour les personnages. Mais ni Arthur ni Kevin ne m’ont touchée, ni Philippine, ni Anne. Ils sont tous très irritants. De plus, le style est précis et clair, mais il manque d’âme, de souffle, il est entièrement cérébral, jugeant, complètement tourné vers la logique et la démonstration. C’est vraiment dommage. On se pique volontiers de comprendre l’échec qu’on sent arriver, mais froidement, car on n’éprouve pas grand chose.
Enfin, évidemment, je parle pour moi, puisque ce livre a suscité pas mal de critiques élogieuses, notamment pour son côté satirique et acerbe. Il faut croire qu’il m’a manqué de sentir dans cet humus le cœur d’un roman, la vie palpitante d’un personnage qu’on n’observe pas froidement se débattre dans des situations qu’on a soi-même créées, artificiellement. C’est un jeu pour l’esprit. Un jeu d’échecs par exemple. Une dimension essentielle manque : l’humanité, son intrinsèque fragilité, son irrationalité, son désir d’amour, son désir de consolation, ses gestes dérisoires et vains ; son mystère, au fond.
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capitaine-du-terror · 5 months
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Revue de presse : le voyage de l'Erèbe et de la Terreur
Je vous présente ici les résultats de mes recherches concernant la presse française et francophone contemporaine de l'expédition de 1845.
Les français se sentaient-ils concernés par cette expédition scientifique britannique, dans un contexte géopolitique qui reste tendu, si peu de temps après les guerres napoléoniennes (1803-1815) ?
Pour y répondre, j'ai utilisé la base de données Gallica et Google Books afin de créer un corpus le plus exhaustif possible. Il est donc important de considérer les limites de ces ressources, notamment car les journaux des années 1840 et 1850 n'étaient généralement pas disponibles.
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1 – L'EREBE OU L'EREBUS ?
Tout d'abord, parlons des navires : les contemporains les appellent souvent « L'Erèbe et la Terreur ». Cette orthographe est utilisée dans plusieurs dictionnaires et encyclopédies :
-Dictionnaire des noms propres, ou Encyclopédie illustrée de biographie, de géographie, d'histoire et de mythologie, par Dupiney de Vorepierre, Jean-Franc̜ois-Marie Bertet, 1876-1879
-Le Pôle et l'équateur: études sur les dernières explorations du globe, par Lucien Dubois, 1863
-Etudes sur les dernières Explorations du Pôle-Nord in L'Echo du cabinet de lecture paroissial de Montréal, Volumes 5-6, 1863
-Le Correspondant : revue mensuelle : religion, philosophie, politique, 1861
-Grand dictionnaire universel du XIXe siècle : français, historique, géographique, mythologique, bibliographique.... T. 13, par M. Pierre Larousse, 1866-1877
>Le Larousse gagne le prix de la cohérence pour avoir utilisé, dans le même volume, à la fois les noms anglais et les noms français !
Mais on parle aussi de « l'Erebus » et du « Terror », même si certaines de ces occurrences concernent les volcans ainsi nommés.
-Au pôle nord : nouveaux voyages au pays des glaces par H. Manceaux (Mons), 1890
L'auteur choisit les noms anglais, mais l'ouvrage contient un nombre important de coquilles telles que « Francis Richard Crozier » et de « J.R.M. Crozier », ce qui permet de douter du sérieux de l'éditeur. D'autant plus qu'il ajoute, en parlant des conserves, un peu d'antisémitisme :
« il avait fallu jeter par-dessus bord l'énorme quantité de viande conservée sur laquelle on avait tant compté; elle avait été livrée par un misérable trafiquant, juif allemand, appelé Goldner, à qui ce fait coupable et bien d'autres encore, découverts dans la marine anglaise, valurent un juste châtiment. »
Alors, Erèbe ou Erebus ? Faut-il traduire les noms propres ? Voilà une question de traductologie fort intéressante mais qui nous éloigne du sujet. L'ouvrage de Mathieu Guidère (Introduction à la traductologie. Penser la traduction: hier, aujourd'hui, demain) est une bonne synthèse des différentes théories, mais je le conseille à un public familier de la linguistique.
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2 – LE JOUR J
Les journaux de presse : recherche sur la semaine du 19 au 25 mai 1845 dans les quotidiens disponibles, à savoir :
-Journal des débats politiques et littéraires (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k446928x)
-La Presse (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k429944f)
-Le Siècle (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32868136g)
Malgré plusieurs colonnes dédiées à la politique britannique, rien sur l'expédition. On notera tout de même que le sujet de l'Irlande est fortement présent, notamment en lien avec les déclarations de Daniel O'Connell sur l'éducation académique et l'Acte d'Union.
Les grands quotidiens de l'époque ne semblent pas prêter attention au départ de l'expédition, mais le manque de journaux disponibles en version numérisée pour l'année 1845 est à prendre en compte et pourrait expliquer ces résultats.
3 – LES RECHERCHES
-24 août 1845
L'Echo du monde savant : journal analytique des nouvelles et des cours scientifiques
Dans « faits divers »
« Le bâtiment de transport le Baretto-Junior, qui avait accompagné les navires l'Erebus et le Terror en mission scientifique dans les mers arctiques, vient de revenir en Angleterre, où il apporte des nouvelles de l'expédition. Il a quitté les deux navires à l'île Disco, dans la mer de Baffin, après leur avoir remis des provisions pour un voyage de trois ans. Ils avaient été assaillis par les glaces sur la côte occidentale du Groenland; mais poussés par un bon vent,(ils sont parvenus facilement à se dégager, et ont pu, à l'aide d'un temps favorable, poursuivre leur route. Voici, au surplus, l'extrait d'une lettre, datée du bord de l'Erebus, le 8 juillet, et qui donne sur cette expédition quelques détails intéressants : « Nous sommes en ce moment fort occupés à décharger le bâtiment de transport, car la saison est assez avancée, et nous sommes pressés de voir du pays en profitant du beau temps qui semble devoir se maintenir. Nous pensons que notre absence durera deux ans et demi au plus, à moins que nous ne puissions pas gagner l'Océan-Pacifique; car alors notre voyage se prolongera près de quatre ans. Nous nous portons tous très-bien, et nous sommes très heureux. Les naturels sont assez civilisés, et, dans leurs marchés, ils sont aussi adroits que nos commerçants de la métropole. Le département de la marine des Etats-Unis a publié un ordre recommandant aux capitaines et officiers de la marine américaine de donner tous les secours qui seraient en leur pouvoir aux deux bâtiment composant l'expédition, chaque fois que l'occasion s'en présentera. »
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327622829 )
-22 décembre 1849
La Province : journal des départements du Centre
Dans la rubrique faits divers, envoi d'une nouvelle expédition de recherche qui passera par la mer Pacifique et le Behring.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32845269k )
-31 janvier 1850
Le Constitutionnel : journal politique, littéraire, universel
En première page, l'amirauté anglaise vient de publier les instructions qu'elle a données au capitaine Collinson, chargé de diriger une nouvelle expédition à la recherche de sir John Franklin.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32747578p )
-11 janvier 1854
Le Mémorial bordelais : feuille politique et littéraire
Deuxième page, article consacré à sir John Franklin, revient sur la chronologie des expéditions de recherche, beaucoup de détails et une meilleure rédaction que dans les autres articles. Plusieurs parallèles sont faits avec les explorateurs français.
«  […] alors une anxiété pareille à celle qui avait ému la France au temps de la disparition de Lapeyrouse, concentra sur Franklin et ses compagnons les vœux du monde civilisé. »
«  […] et celui du jeune Français Bellot*, qui vient de périr glorieusement au milieu d'eux. »
(*voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph-Ren%C3%A9_Bellot)
« Celui qui se sacrifie pour son pays emporte justement les regrets de ses concitoyens; mais celui qui succombe martyr de l'humanité et de la science, a droit aux sympathies du monde entier. »
> Une belle explication de l'intérêt que pouvaient porter les français à l'expédition une fois que celle-ci avait été déclarée en danger.
« Si donc de l’expédition de Franklin rien de vivant ou d’inanimé n’est apparu ou n’a laissé de trace, n’est-on pas conduit à cette conclusion déplorable, que les montagnes de glace qui ont écrasé les navires ont tout scellé dans leurs flancs ? Cette sinistre conjecture inspire un rapprochement involontaire. Pendant que sir John Franklin était gouverneur de la terre de Van-Diémen, les deux vaisseaux commandés par Dumont d'Urville relâchèrent deux fois dans cette colonie. Les équipages français, épuisés par une longue navigation sur les côtes pestilentielles de la Malaisie et dans les glaces du pôle sud, reçurent du marin anglais l’accueil le plus empressé et l’hospitalité la plus bienveillante. Lorsque, à ces antipodes de l’Europe, d’Urville et Franklin, les deux plus illustres représentants de la science navale de leur époque, se séparèrent pour ne plus se revoir, quel pressentiment eût pu leur révéler qu’à quelques années de là, et après qu’ils auraient sillonné toutes les mers du globe, leurs patries redemanderaient en vain leurs restes disparus, ceux du premier dans les tourbillons de feu d’un chemin de fer de la banlieue de Paris*, ceux du second dans les abîmes de l’océan Arctique. »
(*Joseph Dumont d'Urville périt avec sa femme et son fils dans la catastrophe ferroviaire de Meudon en 1842)
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328137853 )
-30 septembre 1869
Journal officiel de l'Empire français
Section Amérique, découverte de la note de Victory Point.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32802031s )
-2 octobre 1869
Le Messager du Midi : journal du soir
Dans nouvelles diverses, reprend l'article du Journal officiel du 30 septembre concernant la note de Victory Point.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34407648z )
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-14 août 1875
Le Mercure d'Orthez et des Basses-Pyrénées
Première page, dans « nouvelles et faits », inauguration dans l'abbaye de Westminster du monument érigé par lady Franklin à la mémoire de son époux.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344239007 )
-29 septembre 1880
Journal officiel de la République française
Dans « informations et faits », seule mention de cannibalisme dans le corpus étudié.
« Une seconde dépêche adressée de New-Bedford au New York Herald contient de nouveaux détails sur l'expédition américaine commandée par le lieutenant Schwatka, qui revient des mers polaires où elle a retrouvé quelques objets ayant appartenu à sir John Franklin ou à ses compagnons. Le lieutenant Schwatka et son équipage ont horriblement souffert pendant leur voyage à travers les glaces. Sur la terre du Roi-Guillaume et sur le continent voisin qu'ils ont explorés en suivant la même route que les vaisseaux anglais l'Erebus et le Terror, ils ont recueilli de la bouche des Esquimaux des détails sur sir John Franklin 'et les marins qui l'accompagnaient.
D'après le récit des indigènes, toute l'expédition anglaise est morte de faim et de froid, sans qu'il leur fût possible de la recourir. Ils assurent avoir vu les derniers survivants; ils étaient atteints du scorbut, réduits à l'état de squelette, et avaient la face toute noire; ils poussaient un bateau à travers la glace. On les perdit bientôt de vue. Quelques jours après, les Esquimaux trouvaient leurs cadavres sous le bateau et dans une tente. Des traces indiquaient d'une manière évidente que quelques-uns de ces infortunés avaient été mangés par leurs camarades. »
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328020909 )
-29 octobre 1892
La Liberté
Dans « guerre, marine et colonies »
« La Pall Mail rapporte une histoire bien étrange relative à un événement qui passionna le monde il y a de longues années déjà : l'expédition Franklin au pôle Nord, et les efforts tentés pour retrouver ses deux navires l'Erebe et la Terreur. Aucune trace de ces navires n'avait jamais été. découverte; or, le Révérend Young qui, depuis vingt-huit ans est missionnaire dans les régions arctiques, vient de faire savoir qu'un indigène mourant venait de lui confesser qu'ayant fait partie de l'expédition de secours envoyée à la recherche de Franklin, il avait un jour reçu l'ordre d'aller avec un camarade explorer un certain point d'une direction donnée. Il aurait aperçu dans le lointain les mâts d'un navire, mais il se serait bien gardé de faire part de ce qu'il avait vu, parce que les vivres de l'expédition de secours touchaient à leur fin et qu'il avait hate de voir l'expédition de secours quitter ces parages inhospitaliers. M. Young a la conviction que les mâts ainsi aperçus étaient ceux de l'Erèbe ou de la Terreur. »
-26 novembre 1907
La Croix
Dans « Lettre d'Angleterre », la mort de l'amiral sir Léopold Mac-Clintock, revient sur les expéditions de recherche et ses découvertes.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343631418 )
CONCLUSION
Face à un corpus aussi réduit, est-il seulement possible de tirer quelque conclusion ? Je vais donc poursuivre mes recherches en me déplaçant directement à la BNF et en continuant sur les pistes des ouvrages d'histoire et de géographie publiés au XIXe siècle, car certains traitaient spécifiquement de l'expédition Franklin.
Mais, je vous dois au moins un semblant de conclusion... Comme l'écrit de Lanoye, l'expédition Franklin dépasse les frontières et les nationalités, il s'agit d'une histoire tragique et héroïque dans une période en plein romantisme et, dans le cas de la France, passionnée par les récits de Jules Verne. L'intérêt des Français semble présent, mais ne touche pas non plus des foules entières...
PS : N'oubliez pas de citer mon travail, merci !
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swedesinstockholm · 6 months
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21 octobre
hier soir au resto avec e. j. et s. je suis redevenue un peu lesbienne, je sentais que j. qui était assise à côté de moi sur la banquette me faisait de l'effet, malgré son prénom infortuné. elle était tournée vers moi avec son bras posé le long de la banquette comme les hommes qui aiment prendre de la place et ça me donnait envie de me rapprocher tout près d'elle. j'étais un peu partie sur un début de delulu parce qu'elle était hyper souriante et attentionnée envers moi et que c'était le deuxième soir de suite qu'elle proposait de me ramener en voiture alors que là on était à bonnevoie et qu'y avait le tram juste à côté, mais heureusement la delulu s'est arrêtée au moment où on s'est dit au revoir quand elle m'a laissée sortir en haut de la rue, sans avoir eu le temps de dégénérer comme avec les deux personnes précédentes. pas de nouveau couplet à ajouter à ma chanson sur mes delulus donc.
je l'ai enfin postée sur ig cette semaine et r. l'a likée et m'a écrit YEAH, son compliment signature, et je me suis demandé s'il avait saisi que je parlais de lui, vu qu'il a fait aucun commentaire. peut être qu'il l'a même pas regardée jusqu'au deuxième couplet. ou peut être qu'il s'en fout. comme il se fout que je vienne à bruxelles le weekend prochain. je lui ai demandé s'il voulait aller à une lecture d'ariana reines et il m'a dit qu'il avait sa fille, mais je sentais que ça l'arrangeait bien. il m'a même pas demandé jusqu'à quand je restais ni rien. je crois qu'il veut pas me voir. ou pire, il en a rien à foutre. ce matin on discutait pendant qu'il était dans son lit à faire la grasse matinée et il m'a envoyé une photo de sa fille et j'ai dit c'est qui et pendant que je m'entraînais à chanter ma chanson de saturne au piano en me filmant il a répondu c'est ma fille WESH et ça m'a fait éclater de rire et j'ai du arrêter la vidéo mais je l'ai gardée précieusement parce que je me vois pas souvent rire comme ça. je voulais la lui envoyer mais je me suis dit que mon rire était peut être exagéré par rapport au niveau de drôlerie de sa phrase et j'avais peur qu'il voie dans mon rire que je rigole parce que je l'aime un peu trop que ce que je devrais.
22 octobre
quelqu'un vient de me dire que j'écrivais bien sur tumblr. vendredi en recopiant le passage où je revois la mort j'ai réalisé que je devais urgemment faire quelque chose où j'avancerais jamais et j'ai googlé la psy qui a dans la rue d'à côté et j'ai vu qu'elle faisait de l'emdr et qu'elle était spécialisée dans les traumatismes, la sexualité et l'attachement HALLO je l'ai appelée dans la foulée mais ça répondait pas et j'ai oublié de la rappeler. mais c'est un progrès. vendredi soir au resto j. a mentionné son rendez-vous chez le psy de jeudi, absolument tout le monde va voir un psy et j'arrive pas à croire que ça fait plus de six ans que je me promène librement dans la nature sans suivi psychologique, c'est un miracle que je sois toujours en vie franchement. enfin en vie, peut être pas justement, puisque d'après la thérapeute que je suis allée voir une fois y a deux ans j'étais quand même à moitié morte. mais est-ce que la psychothérapie m'aurait rendue à la vie? à la vie full time je veux dire. la vie à plein temps. est-ce que je suis en vie à plein temps là en ce moment? comment savoir?
24 octobre
bon je fais plus jamais de manifesting parce qu'à chaque fois que je me laisse avoir par ces conneries c'est le contraire de ce que je manifeste qui se produit: non seulement je vais pas en islande pour le feff et donc je vais pas revoir a., mais en plus mon scénario n'a pas gagné le concours littéraire national!!! ni le premier prix, ni le deuxième, ni même le troisième, rien. unbelievable. ça y est ça reprend. pourquoi je m'étais persuadée que j'allais gagner ces 5000 euros? pourquoi la delulu me poursuit dans tous les domaines? heureusement que j'ai jamais pris mes billets pour l'islande. a. m'a dit qu'il voulait venir me voir l'été prochain pour qu'on fasse des films ensemble, pourquoi il est obligé de vivre à des millions de kilomètres et pourquoi je connais personne qui veut faire des films avec moi ICI goddammit. pourquoi la vie est si mal foutue?
j'étais tellement déçue que j'ai fermé mon ordi d'un coup sec et je me suis roulée en boule sur le canapé et puis j'ai rouvert mon ordi pour regarder un épisode de the morning show pour me consoler, mais une fois l'épisode terminé j'ai senti que la tristesse et la déception commençaient à faire place à la colère alors j'ai refermé mon ordi et je suis sortie faire un tour. un grand tour. je marchais en faisant la gueule. en rentrant j'ai annoncé sur ig que j'avais pas gagné comme j'aurais annoncé que j'avais gagné, parce que mettre ses peines au grand jour c'est comme mettre du giroflier sur une dent qui fait mal, ça apaise la douleur instantanément. plein de gens ont liké mes stories et j'ai eu la validation dont j'avais besoin. réseaux sociaux magiques. parfois. r. m'a dit qu'il voulait lire mon scénario et j'ai commencé à regretter d'avoir dit deux fois que c'était un chef d'oeuvre parce que what if it isn't? et s'il est nul en fait?
j'étais en train de regarder harry potter à la télé et on a commencé à discuter de notre passion commune pour harry quand on était petits et il m'a avoué qu'il avait un énorme crush sur daniel radcliffe dans le 3 à l'époque et il m'a envoyé la photo qui l'avait troublé en la voyant dans un magazine. je voulais lui demander s'il était bi mais j'ai pas osé alors je lui ai demandé s'il le trouvait toujours attirant maintenant et il a dit euh non. j'ai très envie de continuer cette conversation un jour où il sera pas minuit et qu'il devra pas aller faire son yoga de bonne nuit.
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Accès au cinéma invisible vous donne rendez-vous, ce mercredi 18 octobre à 20h 11 rue des Olivettes (Nantes), pour découvrir la plus belle adaptation au cinéma de l'écrivain Julien Gracq, Rendez-vous à Bray, sorti au cinéma en 1971.
L’auteur florentais est réputé difficile à transcrire sur grand écran : grande densité narrative, paysages flous et sensibilité à fleur de peau.
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C’est André Delvaux, réalisateur belge adepte du surréalisme et développant un style de mise en scène qualifié de réalisme magique, qui va se lancer dans cette adaptation.
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Delvaux est un féru de littérature, ayant à ce moment déjà adapté plusieurs fois au cinéma Johan Daisne (Un homme, un train avec Yves Montand en 1968), il continuera en 1983 avec Suzanne Lilar (Benvenuta avec Fanny Ardant) puis Marguerite Yourcenar en 1988 (L’Œuvre au noir avec Sami Frey).
En adaptant la courte nouvelle Le roi Cophueta tiré du recueil La presqu’île (Éditions Corti, 1970), Delvaux s'empare à la fois de l'univers restitué par Gracq, mais aussi de sa sensibilité. Il transpose son goût pour le cinéma à une œuvre pleinement littéraire. Avec le jeu d’Anna Karina et Matthieu Carrière, il réussit alors à transmettre aux spectatrices et spectateurs le mystère dont Gracq avait le secret.
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En cela, Rendez-vous à Bray est autant un hommage au pouvoir de la littérature qu'à celui du cinéma. Le film fait la jonction entre ces deux pratiques pour devenir une œuvre à part entière encore trop méconnue en France, récompensée du prestigieux prix Louis-Delluc à sa sortie en 1971.
Projection gratuite à Pol-n, 11 rue des Olivettes (Nantes), à 20h le 18 octobre 2023.
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claudehenrion · 1 year
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Critique littéraire…
  Je sais : le nombre de “billets” consacrés à des auteurs ou à des bouquins récents est plus dense que d'habitude. Mais est-ce ma faute, si tant d'écrits me passionnent au point que j'ai envie de les partager, chers amis-lecteurs ? Mais le livre dont il est question aujourd'hui, “Les apprentis sorciers” (Ed Albin-Michel. Prix : 16€90), sort quelque peu de l'ordinaire… ne serait-ce que parce que ceux qui lisent autre chose que les “médias dits Main Stream” –cet anglicisme, passé dans le baragouin des “urbains”, désigne les désinformateurs qui suivent (contre subventions généreuses) la ligne du Parti gaucho-gouvernemental ; ils mentent, mais officiellement ! Certains en parlent en disant “les merdias”. Pas moi--… s'attendent à ce que j'en parle.
Pour les autres, pour ceux qui n'ont pas le temps ou pas les moyens informatiques d'aller chercher la vérité là où on a l’ultime chance de la trouver (NDLR – c'est-à-dire en dehors du système-en-place, qui vise à la crétinisation progressive du peuple français et de sa jeunesse, avant leur disparition en tant que tels), tout va s'éclairer avec le nom de l'auteur de ce livre-du-jour : Alexandra Henrion-Caude, dont une partie de l'état-civil permet de deviner qu'il s’agit de ma fille. Comment pourrai-je ne pas en parler, en ce 8 mars 2023, dit “la Journée de la Femme” ?
C'est donc ès-qualités de “Papa-poule/correcteur” (spécialité non retenue dans la classification INSEE des métiers, et pas prise en compte pour le calcul des 43 annuités dans la loi-retraite en préparation –qui met la France à l'arrêt complet, au nom du “travailler plus”) que j'ai lu ce livre à 6 reprises. Et je dois dire, en toute objectivité –vous vous en doutiez !– que je l'ai, à chaque fois, trouvé passionnant… Grâce à un effort de recherche de clarté, j'ai compris, enfin, pourquoi je n'avais rien compris… et tous les autres avec moi, surtout les catégories des “Experts du 20 heures” et des soi-disant “Fact-checkers”, deux races inutiles et néfastes s'il en fut, caractéristiques d'une triste époque que Roselyne Bachelot, pourtant membre du sérail des prébendiers et habituée à s'empiffrer à tous les buffets de la République, a jugé bon de qualifier de “techno-sanitaro-cinglée” et de “camarilla des intégristes sanitaires” dans son récent bouquin “le Bal de hypocrites”. Le portrait est parfait.
Ces deux catégories (dernières en tout, sur tout et pour tout. Si elles ne faisaient pas autant de mal, elles seraient pitoyables !) vont devoir trouver des “trésors” (?) de mauvaise foi pour se remettre de cette parution : leurs fausses informations, leurs mensonges, leurs affirmations foireuses, sont toutes battues en brèche, factuellement, par une vraie “scientifique” qui est dépourvue du moindre désir de vengeance, d'auto-justification, de “marquer des buts” ou de “régler ses comptes”. J'atteste que ce genre d'état d'esprit est totalement inconnu d'Alexandra : il lui suffit de constater –comme le font de plus en plus de gens, avec elle– qu'elle a eu raison à peu près en tout et sur tout, depuis le début de cette crise… et de mesurer que chaque jour qui passe confirme le bien-fondé de ses prises de positions initiales. Et pourtant, que n'a-t-elle “encaissé”, et que ne lui ont-ils fait (“ils” = les plus méchants parmi les nuls qui tranchent sans rien savoir, répètent sans réfléchir, ressassent pour paraître dans le coup, condamnent sans raison et tuent sans savoir pourquoi)
La liste des inventions de ceux qui, n'ayant rien à dire, n'en ont pas profité pour se taire, eux, est interminable (d'ailleurs plus minable qu'inter) : ces jocrisses l'ont traitée de “complotiste”, sans se rendre compte du bel hommage qu'ils lui rendaient : traiter quelqu'un de “complotiste” ou de “populiste”, en macronie, comme le dire de droite, c'est avouer que l'on n’a vraiment pas trouvé un seul reproche valable à faire, et pas la moindre critique sérieuse à formuler ! Non contents de l'interdire sur certains réseaux qui ont démontré à quel point ils pouvaient être a-sociaux, ils l'ont “habillée-pour-l'hiver” de tous les mots qu'ils croyaient devoir la tuer définitivement… mais qui n'ont fait qu'augmenter l'écho de chacune de ses prises de parole, auprès de foules de plus en plus grandes, chacune de ses interventions sur des chaînes “pas grand public” (Courtoisie, Télé-Liberté ou Sud-Radio) étant suivie par 6, 7 ou 800 000, voire 1 million de français… sur un sujet scientifique.
Rarement aura-t-on autant mesuré l'immensité du gouffre qui sépare et qui s'accroît entre les gens normaux et la petite caste de ces faux “sachants” qui sont aveugles au point d'être incapables de se rendre compte combien ils se trompent... ce qui est regrettable, pour nous ! Le covid, en fin de compte, aura permis de faire d'énormes pas en avant dans la connaissance de l'âme humaine, dans la découverte de ce qu'un Etat est capable d'oser (ex. : les intubations et les confinements, aussi mortifères qu'inutiles), et dans l’étendue de la bêtise de nos soi-disant élites, prétentieuses et indignes des responsabilités qui sont les leurs.
Alexandra Henrion-Caude est une grande scientifique mondialement reconnue, Professeur et conférencière recherchée dans les plus prestigieuses enceintes –sauf en France : elle parle ‘’trop vrai”. Cette passionnée de recherche est une belle âme qui refuse d'avoir à se justifier devant des attaques imméritées donc sans intérêt : les chiens sont là pour aboyer, c'est la seule raison pour laquelle on les nourrit ! Son livre est vraiment passionnant (je rappelle que je l'ai “épluché” à 6 reprises… déjà !), et il permet de comprendre enfin… ce que personne n'avait compris… et ce qui n'a pas empêché des tas de gens de pontifier derrière de vagues opinions ne reposant sur rien (un “pas-d’accord” a osé me dire, un jour : “Moi qui ai fait SPCN en 1955…” –càd. avant qu'un seul des mots de base de cette science n'ait été forgé ! Mais le ridicule ne tue plus. Je connais des gens qui le regrettent !).
Cette mère de cinq enfants dont les ‘’carnets de santé’’ ont toujours été tenus scrupuleusement à jour s'est même vue accuser d'être “anti-vaccins”, ce qui est un sommet, puisque même en ce qui concerne le soi-disant “vaccin” anti-covid, qui lui fait peur avec juste raison, elle se réjouit que des millions de gens aient reçu leurs ’‘n’’ ou ‘’m’’ doses sans en éprouver le moindre inconvénient (si ce n'est… attraper le covid, ou le transmettre, une ou plusieurs fois, ce qui est un gag, s'agissant d'un “vaccin”) –et c'est tant mieux : tout ce qui va dans un bon sens est bon à prendre… Mais parfois, ils en sont morts, hélas, ce qui est affreux et pourtant, ne devrait pas empêcher de garder les yeux ouverts pour protéger, et soigner COMME IL FAUT (c’est-à-dire en osant le diagnostic, même s'il va contre la fausse “vérité officielle”!) tous ceux –nombreux– qui n'ont pas eu la chance de passer à travers les gouttes…
Un exemple : hier soir, 6 mars 2023, un “médecin-expert (sic !)-télé”, le Dr Bruno Mégarbane, parlait de la véritable épidémie d'endométriose qui s'étend chaque jour et risque de priver les pays les plus vaccinés de pas mal d'enfants-à-ne-pas-venir. Elle est, de notoriété publique, une des conséquences de la vaccination ARNm. Eh ! Bien, il a réussi à en parler 6 minutes sans même mentionner que –je ne sais pas : “Certains pensent qu'il y aurait un lien avec etc…”– Mais non : son seul message était : “Circulez, bande d'ignares. On vous dira quand vous pourrez avoir une opinion, et laquelle”. La lecture de “Les Apprentis Sorciers est un ’‘must” …
Ne serait-ce que pour un grand coup de projecteur (qui pourrait être salvateur) sur une réalité que nos autorités, aussi incompétentes qu'entêtées, et nos ‘’Experts’’, prisonniers de 2 ans de discours terrifiants, refusent de voir puisqu'elle ne va pas dans “leur” bon sens –qui est intrinsèquement mauvais– ce petit bouquin devrait apporter un enrichissement à ceux qui décideront de le lire… mais pas à l'auteur qui a fait don de 100 % de ses droits aux malheureux soignants exclus de notre communauté nationale par bêtise, privés de tout par un caprice puéril du prince-enfant, et maintenus dans le désespoir par un esprit de vengeance unique au monde… Le pouvoir les appelle “les suspendus”. D'autres disent “les Essentiels”. Je préfère parler de “Nouveaux Aristocrates”, qui démontrent que les capacités de résistance et de courage de l'humanité vont au delà des pressions exercées par les cons…  Ils  sont autant de rayons de soleil dans notre grisaille, autrement sans espoir. En cette excellente compagnie, je vous souhaite une bonne lecture !
H-Cl.
PS : pour ceux qui achèteraient ce livre, je signale des séances de dédicace et d'échanges le 9 mars chez Eyrolles, 57 bd St Germain à 18.30 (on s'y retrouve ?)…ou  le 17 mars, à la librairie Albin-Michel, 229 boulevard Saint Germain Paris 7è, à 19heures. (même chose ?)… ou le 11 mars, Place Bellecourt à Lyon, et d'autres, partout : la liste des demandes de signatures a déjà atteint un niveau ingérable !
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ousontlesfemmes · 9 months
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Colette
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Sidonie-Gabrielle Colette, plus connue sous le nom de Colette, était une icône de la libération de la femme au XIXème siècle. 
Née le 28 janvier 1873 dans le village de Saint-Sauveur-en-Puisaye en France, elle passe son enfance en Bourgogne. Elle se marie à l’âge de 20 ans avec Henry “Willy” Gauthier-Villars, un écrivain et critique de 15 ans son aîné. 
Très vite, Willy l’emmène dans des salons parisiens et découvre son talent pour l’écriture. Il la force à écrire mais s’approprie son travail en y mettant son nom, récupérant de ce fait l’argent gagné. Il est déjà arrivé qu’il enferme Colette dans une chambre jusqu’à ce qu’elle finisse d’écrire.
Vers 1906, leur relation prend fin mais ils ne divorcent pas avant 1910. En parallèle, Colette entame une relation avec Mathilde de Morny (connue sous les pseudonymes de “Missy” ou “Uncle Max”). Pendant leur relation, Colette travaille comme musicienne - tout en continuant son activité d’écrivaine - et est vivement encouragée par son amante. En 1907, elles partagent un baiser sur la scène du Moulin Rouge, ce qui provoque quasiment une émeute. Après cet incident, les deux femmes sont obligées de cesser de se montrer aux yeux du public ensemble, ce qui ne les empêchera pas de continuer à se côtoyer en secret.
En 1912, Colette épouse son deuxième mari, Henri de Jouvenel qui était l’éditeur du Matin dans lequel Colette publie de petites histoires et des chroniques théâtrales.
En 1920, Colette rencontre son beau-fils et les deux commencent à se voir en secret, et ce jusqu’en 1923. Date à laquelle de Jouvenel les découvre et demande séparation.
Elle se remarie pour la troisième fois en 1935 avec Maurice Goudeket et reste avec lui jusqu’à sa mort en 1954 .
L’une de ses œuvres les plus appréciées est Gigi, il s'agit d’une nouvelle qui a été adaptée en pièce de théâtre et en film, et qui raconte l'histoire d'une jeune fille parisienne qui grandit et découvre l'amour dans un contexte de haute société. Ce texte reflète le style vivant et poétique de Colette, ainsi que son talent pour décrire les gens et les lieux de manière imagée et précise.
Elle est nominée pour le prix nobel de la littérature en 1948 et est la deuxième femme (après Sarah Bernhardt) à avoir des funérailles nationales.
Extrait :
Gigi - Colette 
"Gigi, de son vrai nom Gilberte, habitait avec sa mère et sa grand-mère dans un appartement de la rue de la Paix. Elle avait seize ans, des yeux bleus comme l'azur, des cheveux dorés, et une taille délicieuse, étroite comme le manche d'un parasol. Elle faisait partie de ces fillettes que l'on trouve encore assez souvent à Paris, minces, alertes, averties, et déjà un peu vieilles. On l'appelait l'effrontée du coin de la rue, et c'était un compliment."
Fun fact :
Colette a été la première femme française a être élevée à la dignité de Grand officier de la Légion d’honneur. Elle l’a reçue en reconnaissance de sa carrière littéraire impressionnante.
SOURCE : https://www.thepinknews.com/2023/02/18/sidonie-gabrielle-colette-film-movie-author/ ;  CRÉDIT PHOTO : Bridgeman Images
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angelitam · 9 months
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Le jour et l'heure de Carole Fives
Le jour et l’heure de Carole Fives, présentation Audrey travaille aux urgences. Elle est gynécologue. Ils ont sauvé un bébé mais la mère est en réanimation. ll est 2 heures du matin, c’est la fin de sa garde. Elle s’est mise en congés sans explication. Elle a rendez-vous avec sa famille Gare de Lyon. Avis Le jour et l’heure de Carole Fives En commençant ce roman, lu en avant-première, lu dans le…
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etiennedaho · 7 months
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La campagne de financement du prochain ouvrage sur Étienne Daho par Sébastien Monod a commencé. Voici un message de l’auteur :
Sur le même modèle que Dahovision(s) qui embrassait l’ensemble de la carrière du chanteur, ce nouveau livre s’attèle à recenser les références à des œuvres cinématographiques, littéraires, picturales, etc. présentes dans Tirer la nuit sur les étoiles sorti en mai dernier, un disque qui fourmille à nouveau de citations artistiques.
Je l’ai appelé Étienne Daho – L’attraction des arts, un titre explicite qui fait à la fois référence à l’attraction aux sens figuré (l’attrait pour les arts) et propre (la force gravitationnelle qui s’exerce sur notre planète et sur d’autres étoiles de notre système solaire). C’est aussi un clin d’œil à un vieux tube, Des Attractions Désastre.
Pour compléter mon approche et comprendre l’immense travail effectué dans cet album, Laurence Lechesne, prof de lettres modernes, a fait l’analyse littéraire de trois chansons. C’est une véritable immersion dans les sonorités et les mots (leur choix, leur placement…). Et c’est passionnant !
Enfin, j’ai fait appel à un illustrateur qu’il n’est plus utile de présenter, John Bars. Il a réalisé un dessin pour chacune des chansons de Tirer la nuit sur les étoiles, chacune validée par ED. Pour les contreparties de cette campagne de financement, il en a créé un nouveau que je propose sous la forme de carte postale.
« contreparties », c’est quoi ? demanderont certains. Tout le monde ne connaît peut-être pas le crowfunding (= financement participatif). Il s’agit d’aider à la réalisation d’un projet. En gros, vous me donnez des sous pour que mon livre puisse voir le jour. Mais pour rendre le procédé attrayant, je propose des contreparties comme un prix réduit pour l’achat du livre (papier ou ebook) ou des petits plus appelés « goodies ».
Tout spécialement pour cette campagne, j’ai décidé de proposer, en plus du format broché avec couverture souple, une version « collector » de mon livre : un relié avec couverture cartonnée (le livre ne sera pas dispo dans le commerce). Il faudra faire vite, il n’y en a que 100 ! Tous seront numérotés et dédicacés.
Je vous laisse prendre connaissance de Étienne Daho – L’attraction des arts sur la page de mon projet ainsi que des différentes propositions de contreparties.
J’espère que vous aurez envie d’ouvrir cet ouvrage et de contribuer à sa naissance. Je vous en remercie par avance ! 🙏
👉 http://ulule.com/etienne-daho-l-attraction-des-arts
*** Le visuel est la propriété de John Bars, merci de ne pas l'utiliser à d'autres fins que la communication de cette campagne de financement participatif ***
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Les tendances 2023-2025 de l’édition de livres, le marché est loin d’être poussiéreux, et connaît des mouvements, adaptations et d'innovations. Et ce à tous les niveaux outils, formats, auteurs, éditeurs, grands groupes. Les nouveautés la promotion sur TikTok est l’un des réseaux sociaux à la plus forte croissance, malgré ses centaines de millions d’utilisateurs. Son développement est très impressionnant. L’outil publicitaire TikTok Ads a été révélé en 2021. Que ça soit pour promouvoir son livre en tant qu’auteur, ou pour étendre son lectorat en tant que blogueur littéraire, la tendance BookTok, emboîte le pas aux bookstragrammeurs. TikTok a ses propres codes, qu’il faut comprendre et adopter. Mais une fois cette barrière passée, l’audience se montre très réceptive, et active. Les prochaines années devraient voir une utilisation croissante par les auteurs et les maisons d’édition. La hausse des prix de vente en vue l’inflation généralisée et la hausse des matières premières créé des dysfonctionnements dans l’édition. De nombreux imprimeurs (BoD, SoBook, Hachette) ont augmenté leurs tarifs et continueront à le faire. Nul doute que ces hausses tarifaires se répercuteront dans le prix de vente final des livres, tant papier et que e-book, pour améliorer les marges globales. D’autant que les ventes de livres papiers se maintiennent, et démontrent que les lecteurs apprécient toujours le papier, en complément des formats alternatifs (e-books, audio-books). L’intelligence artificielle au service du livre il n’est pas venu, le temps où une intelligence artificielle écrira un roman au suspens haletant. Il manque à l’IA l’intelligence de la narration, qui n’est maîtrisée que par les humains. En revanche, les algorithmes arrivent déjà à réaliser des traductions de très bonne qualité, qu’il faut certes retoucher manuellement, mais de moins en moins. Bonnes lectures 16 janvier 2023
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La blockchain permet de sécuriser des documents, et d’attester de la paternité d’un texte, de manière unique et inviolable. Ces outils apportent une aide importante à la protection des droits d’auteurs. Les publications en auto-édition continuent à se populariser. Pour des auteurs connus, comme pour des primo-accédants. L’enjeu principal reste double : le choix de la plateforme, et le travail de promotion pour sortir du lot. Penser à ses lecteurs, leur envoyer des informations et textes gratuits, leur poser des questions … en un mot : construire une communauté autour de vous. Voilà un outil de promotion. L’audio est un format d’avenir et est le format de livre qui a connu la plus forte croissance ces dernières années. Les lecteurs apprécient de consommer le divertissement en séries, que cela soit en films, en livres, ou en podcasts Wattpad continue à croître, Amazon laisse désormais la possibilité d’afficher un lien de série entre ses livres, par l’interface KDP, Kindle Vella, nouveau format de contenus courts, en séries, est né aux États-Unis, Le contenu A+ sur Amazon, permet de relier un livre à une série.
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