#L'arbre vengeur

[bondebarras]

One book a day keeps the doctor away

“La liste des facteurs qui président à l’arrivée d’un livre entre nos mains est aussi longue que complexe, et même si l’on se croit seul dans le face-à-face avec la page, une fois venu le moment - intime - de la lecture, le livre n’en reste pas moins chargé, tel un souvenir freudien, d’une myriade de parasites.

Qui nous l’a offert, quelle était notre humeur quand nous l’avons acheté en librairie, qui nous l’a prêté et surtout pourquoi, combien de temps l’avons-nous laissé prendre la poussière, pourquoi l’avons-nous arraché à sa poussière, pourquoi à ce moment-ci, et pourquoi n’avons-nous pas dépassé la première page, etc. On pourrait ajouter à ces conjectures d’autres paramètres, plus culturels : connaissons-nous l’auteur, avons-nous d’autres livres du même auteur, est-ce le thème (signalé quelque part, en quatrième de couverture, dans la presse, etc.) qui nous a poussé vers lui, est-il publié par un éditeur en qui nous avons confiance ou au contraire dont nous n’avons pas aimé la dernière publication ? Il faudrait parvenir à dessiner la toile d’araignée au centre de laquelle nous nous recroquevillons avec le livre-mouche. Mais peut-être est-ce nous, la mouche, auquel cas ce serait le livre qui, usant des vibrations des nombreux fils au moyen desquels nous avons cru le ligoter, a réussi à nous enrober dans sa chitine d’encre et de papier.”

#Claro #Abattre son jeu #L'arbre vengeur #lire #lecture #livres #books

[professeur-stump]

Tout rentrer dans l'ordre soudain

2245.  La montagne morte de la vie, Michel Bernanos (Michel Bernanos, La montagne morte de la vie, 1963) (l'Arbre vengeur, 2022)

#Michel Bernanos #Le Compost #Légende

[christophe76460]

Bonjour et Shalom du Seigneur Jésus-Christ à vous tous mes ami(e)s, et famille en Christ. Je vous aime de l'amour de Jésus-Christ ❤️⚘️

LE SENS DE LA VIE SUR TERRE

{Genèse 1:25-27}

"…Dieu fit les animaux de la terre selon leur espèce, le bétail selon son espèce, et tous les reptiles de la terre selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon. Puis Dieu dit: Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme.…"

Dieu connait toutes choses, et Il savait qu'en créant toute la création et spécialement les hommes (humains), qu'ils désobéiraient à l'ordre que Dieu leur avait donné 'de ne pas manger du fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal '. Il savait aussi qu'il devait venir en tant qu'homme pour sauver l'humanité. Pourquoi a-t-il permis cela ? C'est pour se choisir un peuple , des enfants à aimer, une Épouse qui l'adore en "Esprit et vérité ".

"Oui Dieu aime les vrais adorateurs qu'ils l'adorent en Esprit et vérité ". Le but de notre existence est de connaître Dieu et de "l'aimer de tout ton cœur de toute ton âme de toute ta pensée et de toute tes force ".

{Jean 14:5-7}

"Thomas lui dit: Seigneur, nous ne savons où tu vas; comment pouvons-nous en savoir le chemin? Jésus lui dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Et dès maintenant vous le connaissez, et vous l'avez vu."

Jésus-Christ est venu pour nous libérer du mensonge que l'ennemi de Dieu, le diable nous tenait prisonnier. Oui , notre but est de nous préparer à connaître et à ressembler à la nature de Dieu, qui nous a été volé par le diable en Eden. Dieu ne nous a pas abandonné à notre sors. Car Adam et Eve nos premiers parents ont voulu vivre sans Dieu, ou séparés de Dieu, indépendant, vivant par leur propre force. Mais nous savons aujourd'hui par cette connaissance qui est Sa Parole (Bible) que sans Dieu nous ne pouvons pas vivre. Pour vivre nous devons dépendre de Dieu.

{Jean 8:31-32}

"Et il dit aux Juifs qui avaient cru en lui: Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libre(affranchira)"

Dieu veux que nous vivions avec Lui dans son Royaume, où Jésus-Christ est allé nous préparer une place. Oui, il y aura une nouvelle terre et des nouveaux cieux , où la mort n'existera plus, où il n'y aura plus de souffrances ni de maladie, il n'y aura plus de pleurs. Où il y aura AMOUR, JOIE, PAIX.

Oui, de génération en génération Dieu nous prépare à être héritiers de son Royaume. Jésus-Christ nous a montré le chemin. Il nous a donné la vie éternelle. Nous savons comment y arriver. Cela n'est pas par nos propre force. Dieu nous fait comprendre que sans Lui nous n'y arriverons pas.

{Éphésiens 2:8-9}

"En effet c'est par GRÂCE(cadeau) que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi et cela ne vient pas de vous, c'est un don (cadeau) de Dieu...."

Oui, tout vient de Dieu. La Bible dit : " que beaucoup voudrons y rentrer(dans le Royaume) mais n'y arriveront pas". Parce qu'ils veulent y parvenir par leur propre force. Mais Dieu dit : " Nul ne va au Père sans Jésus-Christ, et nul ne va à Jésus-Christ si ce n'est Dieu qui les attire à Jésus-Christ. " donc lâchez prise de votre égo, de votre volonté propre. Il est essentiel de mourir à nous même et naître de nouveau de l'Esprit de Dieu pour accéder au Royaume de Dieu.

C'est le but de notre vie à tous . Mais cela fait peur , car les gens on besoin de contrôler leur vie, ils laissent très difficilement leur vie dans les mains de quelqu'un d'autre. Spécialement dans les mains d'un Dieu qui leur a été dépeint comme un Dieu vengeur, qui châtie , qui punit. Certe, ces définition sont écritent dans la Bible, désignant Dieu , mais ne rabaissons pas Dieu à nous . Car nous avons tendance à nous venger, à punir ceux qui nous font du mal. Mais le sens de ces mots, pour Dieu ont un autre sens. Il châtie pour notre bien car il ne veux pas qu'on soit dans l'erreur, il punit ceux qui veux nous faire du mal, mais en faite ce n'est pas vraiment lui qui punit , c'est nous même qui le faisons par nos propres choix. En effet Dieu dit à moi la vengeance, mais pas contre nous , mais contre son ennemi le diable et ses anges déchus. Car à la fin des temps le vainqueur c'est Dieu . Il fait tout cela par Amour pour nous.

Jésus-Christ revient bientôt, sommes nous près à le recevoir ? A hériter du pays promis(Royaume de Dieu)?

Au nom de Jésus-Christ. En Christ pour toujours ❤️ ⚘️

[jaco-willie]

Illustration pour les éditions de l’Arbre Vengeur

#l'arbre vengeur #jaco #fajardo #illustration

[disparate-gallery]

Les Éditions Cornélius, le FREMOK, les Editions de l'Arbre vengeur, DISPARATE, le collectif Sapin, L'Insoleuse et Les Requins Marteaux Éditions, vous invitent le vendredi 7 décembre pour une vente exceptionnelle à la Fabrique Pola !!! 🙃🙂🙃

#projetscollectifs

[dans-la-foret]

"Le tonnerre n'est plus la voix irritée d'un dieu, ni l'éclair de son projectile vengeur. La rivière n'abrite plus d'esprits, l'arbre n'est plus le principe de vie d'un homme, et les cavernes ne sont pas habitées par des démons. Les pierres, les plantes, les animaux ne parlent plus à l'homme et l'homme ne s'adresse plus à eux en croyant qu'ils peuvent l'entendre. Son lien avec la nature a été rompu, et avec lui a disparu l'énergie affective profonde qu'engendraient ses relations symboliques." Rien de mystique dans cet extrait de L'homme et ses symboles de Carl Gustav Jung mais une observation très juste de la situation de l'homme contemporain, esseulé dans son jardin d'objets complétement déconnecté de la nature et en manque cruel d'émerveillement. Silence #moncerisierenfleurs @wingsofflo (à Kitsch'n Bar)

#moncerisierenfleurs

[revoirglasgow]

L'amour tentaculaire des pieuvres, d'une pieuvre, pour un petit garçon qui en fait le centre de son travail d'exploration scientifique et artistique...puis qui, devenu homme, l'abandonne... Cette fable poétique, imaginée par Marie Berne aux Éditions de l'Arbre Vengeur, fascine par son sujet atypique et fantastique. Une plongée au cœur de l'océan et des tourments de la vengeance née d'un amour contrarié. Le grand amour de la pieuvre || Marie Berne || Éditions de l'Arbre Vengeur. En arrière-plan : dessin original à la mine graphite sur papier Arches 230 g signé @100taur

[lostgeekette]

Trouvé sur la page Facebook des éditions Critic

Bonjour à tous ! Et pourquoi pas le Goncourt pour Critic ? Cela vous paraîtrait-il si étrange ? Nous, non ! Le saviez-vous ? Rosny aîné, l'auteur des Xipehuz, de La Guerre du Feu, de La mort de la Terre, l'auteur français d'imaginaire le plus important après le règne de Jules Verne, apparaissait dans le testament d'Edmond de Goncourt pour faire partie de la Société Littéraire de Goncourt, autrement dit de l'Académie. Rosny aîné prendra la présidence de celle-ci en 1926 et ne la lâchera qu'à sa mort, remplacé par son frère, Rosny jeune, en 1940. Alors ? Alors, l'ADN même de ce prix aujourd'hui le plus connu de tous est marqué au fer rouge par l'Imaginaire à la française, par une "école" ou une génération, plutôt, totalement oubliée des manuels scolaires, mais qui pourtant a grandement contribué à la tradition française du roman d'anticipation, de l'anticipation sociale aujourd'hui si courue, de Science-Fiction en général, d'Imaginaire quoi.... Outre Rosny, nous pensons bien entendu à des auteurs tels que Regis Messac (Quinzinzinzili), Maurice Renard (Le Péril Bleu), Théo Varlet (La Grande Panne), José Moselli (la Fin d'Illa), etc. Ces dernières années, certains éditeurs ont beaucoup œuvré pour remettre cette riche histoire inconnue aux catalogues (L'Arbre vengeur par exemple). Maintenant, il est temps, aussi de penser l'avenir de nos littératures préférées. Qu'elles soient tout simplement considérées, comme les autres. Voici venu, en tout cas, le moment d'agir ! Les éditeurs réunis ne lâcheront pas le morceau. Vive l'Imaginaire !

#France #French #up the baguette #french it up #livres #books #sf #fantasy #imaginaire #goncourt #critic

[idealconservateur]

Portrait de Victor Hugo sur fond de Notre-Dame de Reims - Jean Alaux, Maison de Victor Hugo - Hauteville House, 1822.

À la Vendée

Victor Hugo

(1802-1885)

Recueil : Odes et ballades (1826).

À M. le vicomte de Chateaubriand. I. « Qui de nous, en posant une urne cinéraire, N'a trouvé quelque ami pleurant sur un cercueil ? Autour du froid tombeau d'une épouse ou d'un frère, Qui de nous n'a mené le deuil ? » — Ainsi sur les malheurs de la France éplorée Gémissait la Muse sacrée Qui nous montra le ciel ouvert, Dans ces chants où, planant sur Rome et sur Palmyre, Sublime, elle annonçait les douceurs du martyre Et l'humble bonheur du désert. Depuis, à nos tyrans rappelant tous leurs crimes, Et vouant aux remords ces cœurs sans repentirs, Elle a dit : « En ces temps la France eut des victimes ; Mais la Vendée eut des martyrs ! » — Déplorable Vendée, a-t-on séché tes larmes ? Marches-tu, ceinte de tes armes, Au premier rang de nos guerriers ? Si l'honneur, si la foi n'est pas un vain fantôme, Montre-moi quels palais ont remplacé le chaume De tes rustiques chevaliers. Hélas ! tu te souviens des jours de ta misère ! Des flots de sang baignaient tes sillons dévastés, Et le pied des coursiers n'y foulait de poussière Que la cendre de tes cités. Ceux-là qui n'avaient pu te vaincre avec l'épée Semblaient, dans leur rage trompée, Implorer l'enfer pour appui ; Et, roulant sur la plaine en torrents de fumée, Le vaste embrasement poursuivait ton armée, Qui ne fuyait que devant lui. II. La Loire, vit alors, sur ses plages désertes, S'assembler les tribus des vengeurs de nos rois, Peuple qui ne pleurait, fier de ses nobles pertes, Que sur le trône et sur la croix. C'étaient quelques vieillards fuyant leurs toits en flammes C'étaient des enfants et des femmes, Suivis d'un reste de héros ; Au milieu d'eux marchait leur patrie exilée, Car ils ne laissaient plus qu'une terre peuplée De cadavres et de bourreaux. On dit qu'en ce moment, dans un divin délire, Un vieux prêtre parut parmi ces fiers soldats, Comme un saint chargé d'ans qui parle du martyre Aux nobles anges des combats ; Tranquille, en proclamant de sinistres présages, Les souvenirs des anciens âges S'éveillaient dans son cœur glacé ; Et, racontant le sort qu'ils devaient tous attendre, La voix de l'avenir semblait se faire attendre, Dans ses discours pleins du passé. III. « Au delà du Jourdain, après quarante années, Dieu promit une terre aux enfants d'Israël Au-delà de ces flots, après quelques journées, Le Seigneur vous promet le ciel. Ces bords ne verront plus vos phalanges errantes ; Dieu, sur des plaines dévorantes, Vous prépare un tombeau lointain ; Votre astre doit s'éteindre, à peine à son aurore ; Mais Samson expirant peut ébranler encore Les colonnes du Philistin. « Vos guerriers périront ; mais, toujours invincibles, S'ils ne peuvent punir, ils sauront se venger ; Car ils verront encor fuir ces soldats terribles Devant qui fuyait l'étranger. Vous ne mourrez pas tous sous des bras intrépides ; Les uns, sur des nefs homicides, Seront jetés aux flots mouvants ; Ceux-là promèneront des os sans sépulture, Et cacheront leurs morts sous une terre obscure, Pour les dérober aux vivants. « Et vous, ô jeune chef, ravi par la victoire Aux hasards de Mortagne, aux périls de Saumur, L'honneur de vous frapper dans un combat sans gloire Rendra célèbre un bras obscur. Il ne sera donné qu'à bien peu de nos frères De revoir, après tant de guerres, La place où furent leurs foyers ; Alors, ornant son toit de ses armes oisives, Chacun d'eux attendra que Dieu donne à nos rives Les lys, qu'il préfère aux lauriers. « Vendée, ô noble terre ! ô ma triste patrie ! Tu dois payer bien cher le retour de tes rois ! Avant que sur nos bords croisse la fleur chérie, Ton sang l'arrosera deux fois. Mais aussi, lorsqu'un jour l'Europe réunie De l'arbre de la tyrannie Aura brisé les rejetons, Tous les rois vanteront leurs camps, leur flotte immense, Et, seul, le roi chrétien mettra dans la balance L'humble glaive des vieux Bretons. « Grand Dieu ! – Si toutefois, après ces jours d'ivresse, Blessant le cœur aigri du héros oublié, Une voix insultante offrait à sa détresse Les dons ingrats de la pitié ; Si sa mère, et sa veuve, et sa fille, éplorées, S'arrêtaient, de faim dévorées, Au seuil d'un favori puissant, Rappelant à celui qu'implore leur misère Qu'elles n'ont plus ce fils, cet époux et ce père Qui croyait leur léguer son sang ; « Si, pauvre et délaissé, le citoyen fidèle, Lorsqu'un traître enrichi se rirait de sa foi, Entendait au sénat calomnier son zèle Par celui qui jugea son roi ; Si, pour comble d'affronts, un magistrat injuste, Déguisant sous un nom auguste L'abus d'un insolent pouvoir, Venait, de vils soupçons chargeant sa noble tête, Lui demander ce fer, sa première conquête, — Peut-être son dernier espoir ; « Qu'il se résigne alors. — Par ses crimes prospères L'impie heureux insulte au fidèle souffrant ; Mais que le juste pense aux forfaits de nos pères, Et qu'il songe à son Dieu mourant. Le Seigneur veut parfois le triomphe du vice, Il veut aussi, dans sa justice, Que l'innocent verse des pleurs ; Souvent, dans ses desseins, Dieu suit d'étranges voies, Lui qui livre Satan aux infernales joies, Et Marie aux saintes douleurs. » IV. Le vieillard s'arrêta. Sans croire à son langage, Ils quittèrent ces bords, pour n'y plus revenir ; Et tous croyaient couvert des ténèbres de l'âge L'esprit qui voyait l'avenir. Ainsi, faible en soldats, mais fort en renommée, Ce débris d'une illustre armée Suivait sa bannière en lambeaux ; Et ces derniers français, que rien ne put défendre, Loin de leur temple en deuil et de leur chaume en cendre, Allaient conquérir des tombeaux ! 1819.

Victor Hugo

.

[mayokasolivagant]

A mesure que la connaissance scientifique progressait, le monde s'est déshumanisé. L'homme se sent isolé dans le cosmos, car il n'est plus engagé dans la nature et a perdu sa participation affective inconsciente, avec ses phénomènes. Et les phénomènes naturels ont lentement perdu leurs implications symboliques. Le tonnerre n'est plus la voix irritée d'un dieu, ni l'éclair de son projectile vengeur. La rivière n'abrite plus d'esprits, l'arbre n'est plus le principe de vie d'un homme, et les cavernes ne sont pas habitées par des démons. Les pierres, les plantes, les animaux ne parlent plus à l'homme et l'homme ne s'adresse plus à eux en croyant qu'ils peuvent l'entendre. Son contact avec la nature a été rompu, et avec lui a disparu l'énergie affective profonde qu'engendraient ses relations symboliques.

Carl Gustav Jung

#carl gustav jung

[bondebarras]

One book a day...

“ C’est ma peur, la grande excavatrice. Ma grande peur faite de toutes mes peurs enfantines et adolescentes, la peur d’Anne, la peur de Florence, la peur de Muriel, la peur de Delphine, la peur du gros Lambert, la peur de Monsieur Trossard, la peur de Monsieur Benneteau, la peur de Monsieur Andrillon, toutes ces peurs tournent furieusement, férocement, comme des mèches de tarières, comme des foreuses, elles sapent le sol sous mes pieds, le monde disparaît avec moi dans le puits qui m’avale, mon vertige n’est que la forme de son évanouissement.”

#Eric Chevillard #Craintif des falaises #L'arbre vengeur #livres #lecture #books #lire

[professeur-stump]

Sans charre, L'ultrafictif autoconfidentiel enfin divulgué

1654.  L'autofictif ultraconfidentiel, Éric Chevillard (Éric Chevillard, L'autofictif ultraconfidentiel, 2007-2017) (l'Arbre vengeur, 2018)

⌘

[1502] [☞]

#Éric Chevillard #Le Compost #Légende

[literensics]

La Mort du fer de Serge Simon Held rééditée par L'Arbre Vengeur https://t.co/dEBBHwIph6 https://t.co/DOirc3QdRQ

La Mort du fer de Serge Simon Held rééditée par L'Arbre Vengeur https://t.co/dEBBHwIph6 pic.twitter.com/DOirc3QdRQ

— Literensics (@literensics) October 18, 2019

via Twitter https://twitter.com/literensics October 18, 2019 at 12:21PM

#IFTTT #Twitter

[socialhole]

[lefestin-editions]

Des livres, des éditeurs, des libraires, des bibliothécaires, des journalistes et un délicieux apéritif dînatoire sont les ingrédients indispensables pour une belle rentrée littéraire ! C'était hier soir au Festin avec Agullo Editions, Editions de l'Arbre vengeur, Le Castor Astral, Éditions do Gaïa Éditions et Editions Finitude. 

[rompivetro]

Juan Rodolfo Wilcock, le livre des monstres, l'arbre vengeur