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#Galerie Trois Points
lepartidelamort · 9 days
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Avant le pèlerinage (Première partie)
Réconcilier foi et identité
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Sommaire :
• Publicité contre réalité • Foi, identité, Église • Séparation • Réformer notre mode de vie • Les padres de la palabre • Vive le prolétariat chrétien
La croissance du nombre d’inscrits au pèlerinage de Chartres s’explique par les concessions libérales que l’association Notre-Dame de Chrétienté fait au modernisme, et se paiera par une dégradation liturgique puis par une baisse du nombre des naissances. Les standards de la culture traditionnelle baissent, transformant l’ascèse d’un peuple en lutte pour sa vie en kermesse de la CGT pour Versaillais qui écoutent du rap. « Sept mille inscrits de plus au pèlerinage cette année ! C’est le grand retour de la chrétienté ! » exultent ensemble les lecteurs de statistiques sur écran et les déplaceurs de pions sur carte d’état-major. Non pas. C’est la prise de pouvoir du modernisme sur une micro-chrétienté déjà mal en point, très attaquée de l’extérieur par le monde, très affadie de l’intérieur par les clercs. Croissance donc expansion ? Dilution donc affadissement. Un pèlerinage traditionnel ? Les JMJ.
Il suffit d’examiner assez longtemps ce que l’on voit dans le présent pour en tirer des enseignements sur l’avenir. Le monde peut se lire. L’apparence, la forme, la surface, sont les expressions de vérités profondes. Par exemple, la crétinisation de l’école se mesure plus sûrement à l’effondrement de l’apparence vestimentaire et physique des professeurs que dans les statistiques de résultats scolaires à la fin de l’année. Si l’on croit que le terme professeur est adéquat pour qualifier une dame extravertie en surpoids habillée en jean et en n’importe quoi, c’est que tout est fichu et que les mots n’ont plus de rapport avec les actes.
En matière de pèlerinage de Chartres, la forme, avec le temps, depuis le temps (41 ans !) devrait se diriger chaque année vers davantage de tenue, de tradition, vers davantage de savoir-faire, vers davantage d’affermissement sur ses bases… mais elle va vers moins de tradition, moins d’énergie, moins de noblesse. Inutile de farfouiller les points de doctrine. Il suffit de rapporter exactement ce que l’on voit. Que voit-on ?
Nous attendons cela. Mais nous recevons ça.
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Le pèlerinage de Chartres est une procession solennelle de la chrétienté héritée du haut Moyen Âge. Il est devenu depuis quelques années, à force de conduite pépère le « pèlé de Pentecôte », c’est-à-dire un concerto de souffleurs de cornemuse pour vacancières chez mémé en combishort Coachella qui marchent devant des veaux de 18 ans grandis sous cloche et sous mère intrusive, qui eux marchent derrière. Trois journées mondaines « sympas » pour lycéens qui s’ennuient, pour les Versaillais qui disent « wesh », pour les instagrameuses en quête d’une « expérience ».
La tradition va régresser dans sa forme vestimentaire, langagière, en somme dans sa culture, au niveau d’un club de caté charismatique des années 1990. Il lui restera la liturgie mais elle n’ira plus à l’église.
Assez d’analyse dépassionnée « avec du recul », et de cette intelligence de resquilleur « plus intelligent que cela » au vocabulaire de statisticien de l’OCDE. En matière de religion, les standards de la vie religieuse pratique sont le seul sens du sacré, la seule véritable Culture, mesurable, vérifiable : le parler, le vêtement, la posture, le manger, la syntaxe, le débit, la non-mixité, la beauté de la musique, l’usage, la hiérarchie, sont tous les affleurements d’une forme aux soubassements plus profonds, invisibles et sacrés, comme la cathédrale de Chartres bâtie sur des kilomètres de galeries souterraines en partie inconnues. Abaissez vos standards culturels, vous profanez votre religion. La Culture est la preuve de la conscience de soi, et celui qui renonce à sa culture fuit dans l’abstrait comme un déserteur et perd sans le savoir mémoire, tradition, bientôt religion, ses défenses spirituelles qui sont les seules frontières qui le protègent de l’égalité avec les barbares dans un monde sans frontières.
« Chacun fait ce qu’il veut » signifie chacun pour soi, signifie tous contre tous. Que chacun fasse ce qu’il veut est un slogan de gauche produit par l’oligarchie de l’extrême droite financière anti-Blancs, une paraphrase habile des deux vraies devises jamais proclamées, elles : « Diviser pour régner » et « L’ordre par le chaos ».
Qu’est ce qui a perdu les Arabes ? Le sucre (lire l’explorateur Thesiger). Qu’est-ce qui a perdu les Blancs ? Le fun. C’est à dire l’anti-sobriété, le pas-sérieux, la mondanité, le cabotinage, l’alcool, la satiété, la médiocrité des standards de vie, la radinerie, la mesquinerie, la gynolâtrie, l’impiété, la déloyauté et la délation, le friendzoning.
Ce pèlerinage, qui devait être le cœur inviolable d’une micro-chrétienté fertile en naissances s’étendant par cliquet sur le monde athée sans enfant est devenu le réceptacle très ouvert et détendu de tous les dégazages de fonds de cuve du monde. Nous voici en plein dans la mécanique mise à jour par Abel Bonnard dans Les Modérés.
Foi, identité, Église
Foi et identité sont le père et la mère des enfants français enlevés à leur famille par la Gueuse et remis aux Thénardier. Le couple Thénardier, au sens littéral menteur et arracheur de dents, fut inventé par Victor Hugo dans Les Misérables, peut-être comme le symbole d’autre chose, d’autres gens, comme souvent dans les romans à clé.
La foi sans l’identité donne le catho de gauche et tout ce que Chesterton nommait idées chrétiennes devenues folles. L’identité sans la foi donne l’extrême droite bourgeoise et sa compétence si connue qu’elle n’est plus à démontrer. La foi, c’est la fidélité religieuse, et l’identité, c’est la loyauté nationale, c’est père et mère, c’est ciel et terre. Tous les ennuis de la France dès le XVIIIe siècle ont augmenté à mesure de l’avancée de l’irréligion et tous les ennuis de la religion chrétienne dès les années 1960 sont advenus à la faveur de l’avènement d’une bourgeoisie libérale-libertaire antinationale.
L’Église est une Hiératique, c’est-à-dire un ordre vertical légiféré de manière transcendante pour ordonner une société respirable, avec des places pour chacun, des rôles, des grades, des habitudes forgées par l’expérience, c’est-à-dire des usages qui remplissent nos vies dans ses aspects cardinaux. Naissance, mariage, mort, et jusqu’aux plus reculés recoins, jusque dans le manger, le vêtir, le parler. Pour quoi faire ? Pour que chacun connaisse exactement sa place et celle de l’autre sans recourir à des petits chefs pour la lui rappeler. L’ordre garantit la paix sociale et « la paix, c’est la tranquillité de l’ordre », dit Aristote. Qui méprise cette antique maxime condamne lui-même son entourage au bordel, au dérisoire, au fun, à la graisse, et à toutes les ponctions cocufiantes illustrées en « Nicolas, 30 ans ».
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L’Église est une armée spirituelle qui ose dire aux soldats des deux sexes ce qu’ils doivent manger, comment ils doivent s’habiller, comment ils doivent prier, comment ils doivent vivre. C’est écrit dans l’Évangile et les textes du Magistère. On connait à l’opposé les fruits pourris de l’arbre de la liberté lorsque celle-ci est comprise au sens du libéralisme politique. On comprend par ricochet la sagesse d’une discipline qui forme l’homme au combat de la vie. Cette armée n’enrôle personne de force, elle accueille seulement les volontaires civils qui se présentent à sa porte décumane. Puisque l’Église ne nous poursuit pas de ses oukases, puisque nous sommes entrés de plein gré et qu’elle est patiente et compréhensive pour nous, puisque nous mesurons par comparaison avec nos voisins embringués sous d’autres bannières à quelles rétorsions la religion chrétienne nous a donné d’échapper, alors rendons le bien pour le bien.
Séparation
La maladie dont nous crevons, c’est la stérilité et le métissage, connues sous les termes faibles de dénatalité et d’immigration. Le point nodal de tous les remèdes, c’est la génération endogame séparée du monde, c’est-à-dire la sainteté, étymologiquement la « séparation », considérée comme moyen de survie dans ce monde et de vie dans l’autre. Cela signifie des sociétés fermées au plan organique, compétentes au plan professionnel, ascétiques au plan du mode de vie. C’est ainsi que vivaient les terroirs français. C’est ainsi que vivaient encore les Ligueurs, les Quakers, les Mormons, les Amish, les Pères pèlerins, les Boers, les Irlandais envahis, les Italo-Américains, et tant d’autres formes éprouvées de furtivité sociale en territoire hostile. Ces gens avaient compris que l’on protège son peuple non par des sermons mais par une ingénierie sociale, c’est-à-dire par une technique de la vie pratique, un parti pris d’existence grégaire, par une forme de vie quotidienne gardée par des standards pointilleux et par un esprit de cette forme qui sécurise la conservation de la substance raciale dans le temps pour assurer sa continuité cohésive transgénérationnelle (Laurent Ozon). Ainsi vivent aujourd’hui un millier de Blancs à Orania en Afrique du Sud, rescapés des tortures et des massacres organisés par les pires barbares néolithiques imaginables, auprès desquels nos racailles font figure de plaisantins.
Dans l’enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, c’est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d’invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. « Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père. » Il y a assez de place dans l’Église pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m’arrête à son seuil mais qui l’aime et veille sur elle). Ces principes sont décrits par des auteurs comme Julien Langella, comme tous ceux qui entendent concilier foi et identité, et qui s’appuient sur l’exégèse biblique et l’apologétique, disciplines que peu de chrétiens étudient.
La religion est le seul moyen de peuplement bio qu’ont les Blancs hors du néofascisme, mais la stérilité et le métissage ne sont même pas des punitions, ils sont de stricts résultats, comme dans une équation, de l’irréligion. En cas de doute, on pourra relire avec profit les prédictions curieuses du chapitre 28 du Deutéronome, le testament de Louis XVI, ou encore employer pour une fois la statistique à bon escient comme l’a fait Patrick Buisson durant les 10 dernières années de sa vie, constatant que partout et toujours la baisse des naissances chez les Français était précédée d’apostasies générales, alors que sa prodigalité ne s’est observée que dans les temps et les régions d’enthousiasme et d’assiduité populaire pour la pratique religieuse familiale.
Dans un monde binaire qui propose « soit la pute, soit la voilée », la troisième voie se mérite par une ascèse, c’est-à-dire par un combat spirituel exercé sur les aspects pratiques de notre vie. Veste longue et chaussures cirées miroir pour les hommes, voile et jupe sous le genou pour les dames, voilà un début de test minimal du « respect de la messe », le sens pratique du sacré, le prélude à la vraie dévotion intérieure. Un moine tout à sa Nepsis, tout à sa paix d’hèsychaste, l’imagine-t-on en pantalon ? Ou maillot à capuche ? Ou oisif ? Ou obèse ? La religion est un hiératisme complet qui ordonne les aspects matériels de notre être social pour nous revitaliser. Le vêtement. Le travail. Le jeûne. Le rangement. L’entraide matérielle. Les bases de la chrétienté se trouvent dans cette humilité-là, et pas du tout dans les cathédrales, qui en sont les fleurs.
Il n’y a pas de « catholicisme traditionnel » possible en sweat à capuche ni combishort, nulle part, jamais. La médiocrité qui nous agace dans le monde devient carrément révoltante dans le territoire moral séparé du monde qu’est l’Église. Car si les tratras abaissent leurs standards, qu’en sera-t-il des modernos ? Et des protestants ? Et des athées ? Et des LGBT ? Voilà comment advient le règne du singe-robot de science-fiction, par la « transition », par la démission en douce, par la décontraction graduelle à chaque génération des hommes qui laissent entrer en eux la honte que le monde veut leur inspirer de leur propre éducation. Loi de Volkoff : « Le vêtement négligé d’une génération devient le vêtement chic de la génération suivante, avant d’être déchu à son tour comme prétentieux et ringard. » L’abaissement des standards culturels (vêtement, nourriture, langage, fréquentations, esthétique), ce recul par escarmouches, est le prélude aux capitulations sans condition en rase campagne. À la fin, on signe la charte parité, la charte climat, la charte LGBT, et pour garder la face on obéit même jusqu’au bout à sa scélératesse personnelle en se retournant contre ses derniers frères qui ont tenu bon. « Eux sont trop extrêmes, mais moi j’ai su rester raisonnable, voyez mon sens de la mesure. »
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Réformer notre mode de vie
Le pèlerinage sert à convertir notre mode de vie, à nous délivrer, à nous décharger des fardeaux de culpabilité indue que le monde fait porter notamment aux jeunes Blancs, à embrasser un nouveau mode de vie, à jeter loin de soi sans un regard tous les surplus, surpoids, faux systèmes tenus pour vrais où la société entend nous embringuer tantôt par la récompense, tantôt par l’intimidation. On ne discute pas avec cette putain.
Le pèlerinage, c’est la vraie pratique religieuse, plus que la retraite, plus que la messe, c’est le vrai test religieux auquel on ne peut mentir, d’ailleurs notre vie sur cette terre est un pèlerinage. D’abord, les gloutons, les poltrons, ne tiennent pas 10 kilomètres sur les 100 du parcours ; le pèlerinage fait d’entrée le tri des vicieux selon leurs vices. Un chrétien, une chrétienne, doivent aimer jeûner et savoir tirer leur force physique de ces privations mêmes, la prière aidant. Avant notre ère, le poète romain Horace comparait sa nation comme à un chêne vert durement émondé à la hache « qui, mutilé, haché, tire force et courage des coups mêmes du fer » (Odes, IV, 4, 57-60). Exit les bouches inutiles, les dondons, les « dames très gentilles ». Les vieux minces, eux, marchent très bien et sans une plainte. Dans le pèlerinage, les âges et les classes sont mêlés, on y côtoie avec un certain soulagement des hommes de 50 ans non alcooliques qui ressemblent encore à quelque chose, qui donnent aux jeunes la preuve qu’une vie est possible après 30 ans, et que la vraie virilité se mesure sur le long terme.
À ces jeunes, je parlerais ainsi. Méfiez-vous des chefs catholiques, des « lanceurs », des officiers, des dames patronnesses et des sermons abstraits. Vous ne trouverez pas plus féministe, pas plus africain que ces bourgeois libéraux attiédis déguisés en gardiens de la tradition. Entraînés par la propagande maçonnique, ces discoureurs ont trouvé « exagérée » la pudeur islamique féminine alors que c’est le seul domaine où la Mosquée est plus conséquente que l’Église, justement exactement le seul. La doctrine non sue de tous ces anti-libéraux est le chacun-fait-skiveu.
La gentille égalité homme-femme européenne évoluée, la galanterie gauloise, l’amour courtois, toutes ces joues tendues à des chiens qui nous ont fait tant de mal... n’ont plus cours en période d’invasion migratoire aiguillée par la thune blanche « redistribuée » et de la fesse blanche pornographique, deux fameuses pompes aspirantes. En période d’invasion la « charia blanche » est le plus petit acte de légitime défense qu’un peuple colonisé ait le droit d’opposer au pouvoir prédateur, et le premier article de ce code de loi est la modestie du vêtement, voire l’uniforme obligatoire. S’entendre dire comment s’habiller irrite énormément notre mentalité profondément libérale, surtout en France pays du quant-à-soi, pays de légèreté, d’inconséquence. La sobriété et même l’austérité sont des jougs faciles. Les refuser nous a accablés des fardeaux écrasants de la radinerie et de la mesquinerie, ces deux grands vices nationaux que nous porterons aussi longtemps que nous ne voudrons être ni sobre ni austère.
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Mais puisque les enfants de l’électorat Villiers, les jeunes redeudeux, aiment le rap tant que cela, peut-être voudront-ils méditer cet extrait du refrain de Pour ceux (2003), qui s’inquiète « pour nos sœurs qui seront les mères de demain ». Cent fois plus de pertinence, de compréhension des enjeux, de sens de l’être collectif gisent dans les hurlements de ces aborigènes que dans n’importe quelle conférence de théologien de pastorale catéchétique (notion de « sagesse des primitifs » qui « rase de plus près la lisière de l’idéal » dit Baudelaire). « Pour nos sœurs qui seront les mères de demain » est le véritable fourteen words, complet en neuf mots cette fois. Il exprime la juste jalousie qui devrait animer le Français envahi envers ses alter-égales, il traduit le vrai sens de l’être collectif, le sens de la génération, le sens de l’honneur, le sens de la famille, le sens de la clôture et de la séparation d’avec d’éventuels actes de prédation, il recèle peut-être un avertissement aux « consentantes » qui entendent se vendre aux prédateurs, et enfin une menace adressée aux violeurs.
Il faut transposer Pour ceux pour nous. La modestie chrétienne du vêtement est la marque distinctive de la vraie foi dans un monde idolâtre du cul, elle est le signe vérifiable d’une « mise hors monde » de la chrétienne, sa configuration à Marie vérifiée par les actes, son avertissement aux démarcheurs, le cassage par avance de dents aux vils prédateurs, pour se prémunir elle-même et pour propager l’influence du vêtement modeste sur les autres jeunes filles dans un monde binaire qui les somme de montrer ou leur voile ou leurs fesses.
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Nouveaux pèlerins, vous cherchez vraiment la vie chrétienne ? Vous ne pouvez plus vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez plus parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement par confort, pas d’un seul millimètre, sans quoi c’est la descente entièrement au primitif ontologique pour n’en plus jamais remonter. En temps d’effondrement vous ne pouvez pas « faire la fête ». On ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les Hilotes devant les Spartiates, ni consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques ; encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d’avoir bouffé, toute l’année, toute la vie. Le salaire des gaudrioles, c’est la honte, le déclassement, la mort, l’oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l’école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de football urbain qui a fini par décourager tant de carrières prometteuses et défigurer l’équipe de « France » (le contre-exemple Griezmann formé en Espagne dit tout par ricochet), tant d’autres déshonneurs ordinaires, sont des plaies qui cicatrisent très vite à condition d’une hausse drastique des standards culturels.
Intégrisme absolu en matière de culture, c’est savoir qui nous sommes et ce que nous faisons. Vive le courage d’engueuler un plus lâche que soi, d’engueuler tous ces permissifs chefs de palabre, ces montreuses de cul, ces tratras-hurleuses-n’importe-quoi-en-jean qui font baisser le niveau, prélats grotesques, infectieuses Karen « dame pachyderme ». Aucune pitié pour se mettre tous contre eux s’ils refusent de se réformer : plus ils seront évincés vite des églises et plus la jeunesse chrétienne sera saine, sainte, nombreuse, heureuse, immaculée, immaculable.
Les padres de la palabre
Les brebis perdues, ce sont en France les jeunes Blancs actuels qui n’ont guère comme horizon que la déglingue, le rap, la drogue et l’alcool, le porno, le jeu vidéo, le paiement de rançon au colonisateur (impôts, taxe carbone, pécho du shit), le chômage, la philosophie de l’absurde, la Magalax, le « French Dream »… Évidemment qu’ils commencent à se demander pourquoi ils sont venus au monde, ces braves gamins ! Messieurs les clercs, arrêtez de leur casser les couilles. Expédiez votre messe en trois-quarts d’heure tôt le matin puis consacrez votre temps à l’avenir des jeunes Français. Ou fermez vos gueules. Votre mission est de ramener ces brebis perdues qui peuvent encore porter du fruit, elles ont priorité sur les autres et préséance absolue sur vos chronophages bigotes et autres quémandeurs tartuffes plaintifs. Ce sont les mariages futurs de vos jeunes et eux seuls qui devraient accaparer toute votre énergie dans une crise où cent mille heures d’explication ramènent toujours au point de départ : dénatalité, dénatalité, dénatalité.
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Vous vous perdez en « dîme de la menthe » dans de menus détails logistiques qui ne rapportent rien au renouvellement de l’être collectif. La seule chose profitable qui régénère, la seule chose que vous avez à faire, le seul lieu qui doit concentrer vos tirs de barrage, le seul point où doit s’exercer votre zèle, c’est de marier le Français jeune et pauvre avec la Française jeune et pauvre, là, c’est tout, vous comprenez ? C’est cela une révolution christique vécue, vérifiable, la vraie négation de l’esprit du monde par les actes. Les actes, messieurs les apôtres jacasseurs. Le reste est absolument accessoire. Par surgeons de micro-chrétienté, faire grandir une survivance du déluge des années 60 qui s’étende en rameaux de familles nombreuses, très nombreuses, en réseaux d’entraide, en progression par cliquets sur le monde stérilisé de l’athéisme stupide. Et combien d’entre vous se font encore plus stupides que certains athées fielleux ! Perdant leurs journées comme Maurras jadis avec ses grosses douairières (Les Décombres), ces clercs se repassent des histoires d’anciennes prélatures entre mandarins érudits démusclés, ils se roulent dans la basse énergie, dans les médias « par le truchement de », leurs organigrammes vérolés d’impotentes en surpoids « fées du logis » qui commandent à des adolescents castrés, voilà leurs œuvres prises sur le fait et ils croient faire des hommes de ces enfants qui leur sont confiés ? Mais s’ils ne comprennent pas la juste hiérarchie de la tradition qu’ils prêchent et l’énormité très « libérale » de leurs gaffes, alors pourquoi veulent-ils commander un peuple qui se meurt d’anarchie libérale ?
Un désastreux sens de l’esthétique donne d’avance toutes les réponses. Foyers hideux, carrelages lugubres, locaux noirâtres, vêtements mal coupés, nourriture constipante, méconnaissance des plus élémentaire notions d’ergonomie... sont des crimes quand on est responsable public et ces fautes crient vers le Ciel contre leurs auteurs, elles repoussent les possibles conversions soudain refroidies de ce que ces apôtres représentent à leur insu : des épouvantails. Pour tous ces rabâcheurs d’abstraction les choses concrètes sont vulgaires, l’esthétique est secondaire, mais le baratin casuistique passe en premier lieu. Tout faux ! C’est le concret seul, l’incarrrrrnation qui préside à nos vies. L’habit fait le moine, d’ailleurs les porteurs de bure le savent bien. On finit toujours par penser comme on vit.
Enfin un idéal féminin désastreux ne l’oublions pas. D’où ces gâchis, ces potentiels sous cloche à fromage, ces jeunes filles tournées vieilles filles, et leurs sempiternelles attitudes apeurées de poules contrariées. D’où cette méconnaissance entretenue d’une féminité réconciliée, une féminité troisième voie ni vulgaire ni coincée, école de sous-expression modeste et intelligente, de fraîche et fonctionnelle toilette, savoir-faire qui culmine chez la catholique américaine, les États-Unis formant d’ailleurs au pèlerinage de Chartres le seul chapitre à peu près regardable avec ceux des scouts et des Français de plus de 50 ans. Les catholiques américains sont exemplaires en matière d’organisation, de vêtement, de chant, de mode de vie. Est-ce parce qu’ils sont chez eux en première ligne dans le combat contre la Bête ?
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Le sens esthétique, le sens de l’ingénierie sociale, le sens de l’honneur, le sens de la virilité, le tact, la conscience de soi… c’est tout un comme l’unicité de Dieu en ses multiples déploiements, or nos hauts dignitaires n’ont aucun d’entre ces prémices. Désastreux déshonorants gaspilleurs butés qui chauffez une maison les fenêtres ouvertes, au milieu d’une crise qui comme prévu jette enfin dans vos bras la jeunesse athée du pays qui veut vivre, que faites-vous ? Vous desserrez exactement maintenant la ceinture, au plus crucial moment, vous lâchez toutes les brides de la contention, vous dévissez les sangles précisément lorsque les ouvriers de la première heure remontent le filet à bout de bras. Vous lâchez tout, vous rompez en une seconde l’équilibre, et la prise repart liquide dans le monde. Le pèlerinage de Chartres devenu presque un char de techno-parade... Ce que vous êtes cons, ce que vous foutez la rage ! Quel gâchis, quel putain de sabordage de sales cons, quand on pense au potentiel de conversions massives à partir d’un seul converti, de repeuplement à partir d’un seul couple bien marié, tôt marié. Cela devrait obséder vos jours et vos nuits : « Comment avec mon réseau contribuer à peupler mon pays puisque j’ai toutes les cartes en main pour aiguiller dix, vingt, peut-être cinquante jeunes personnes et que j’ai tout mon temps pour cela ? »
Chers voisins de chapitre, vous vivez sous persécution comme il est permis de vivre après une victoire : satiété, fêtes, loisirs, distraction, bas standards, servir la femme au lieu d’être servi par elle… grand bien vous fasse puisque vous aimez cela. Ces relâchements donnent prise aux assauts toxiques, ces apathies enhardissent les prédateurs qui aiguisent leurs canines à proportion de vos instincts détrempés qui s’émoussent. Sous une tempête les marins resserrent la voilure au plus strict nécessaire nous l’avons vu. Quand on est envahi, occupé, menacé, on se recentre : sobriété, gravité, discrétion, redoublement de charité interne, redoublement de l’euphémistique vertu de prudence à l’extérieur. Vilains clercs font le contraire, méchants avec les bonhommes, bonasses avec les profiteurs et les mondaines graisseuses. Et on ne leur réplique rien par crainte de leur habit ? Mais qui, seul, devons-nous craindre au juste ?
Vive le prolétariat chrétien
Quand le gras domine sur le muscle, quand l’efféminé domine sur le bonhomme, alors c’est la dictature des bourgeois-bordel sur une Église-armée-mexicaine. C’est le modèle exactement contraire qui est chrétien, et qui commence au prolétariat choyé, révéré, spécifiquement favorisé. Ouvriers, techniciens, artisans, un prolétariat français chrétien qui maîtrise les métiers indépendants productifs, formé sur le modèle de l’école de la Martinerie : non-mixité, sobriété, technique.
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Le prolétaire, étymologiquement, c’est l’homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu’est-ce qui a perdu le Liban ? La Syrie chrétienne ? C’est la vie bourgeoise, le mesquin principe du « pas trop d’enfants », la radinerie du « pas de premier enfant avant 30 ans ». En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l’ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d’un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. « Quoi ? Tu n’as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu ne te marieras jamais », authentique. Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par calcul bourgeois. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, pour ensuite s’enrichir. Leurs maisons sont rangées, vivantes, ils prient, ils travaillent, ils chantent, ils lisent, ils s’entraînent, ils s’entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable : la baise, le restaurant, le voyage ; en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s’amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d’en prendre un pour deux et de se serrer dessous ensemble.
Ce sujet-clé de l’avenir des familles françaises, du visage que prendra le monde de demain, de la guerre pour la génération, sera le thème de la seconde partie de notre étude qui paraîtra après le pèlerinage de Pentecôte. Weininger, Schopenhauer, Soral, Félix Niesche, ont critiqué la féminisation du monde et ses conséquences. Attali a au contraire célébré l’avancée d’un progrès destructeur qui masquerait la prise de pouvoir de la femme comme catégorie ontologique au service de la Syna (mais ce faisant, Jacadi valide Weininger). Vous saurez bientôt tout sur la figure générique de la GDE, la Grosse Dame Tartuffe. L’homme du ressentiment de Nietzsche serait-il en fait la bonne du curé ? Quel archétype Balzac avait-il percé à jour dans Le Curé de Tours ? Une paresseuse qui ne veut être ni Marthe ni Marie est-elle vraiment votre sœur en Christ ? À suivre...
Lounès Darbois
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skip-chiantos · 2 years
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Jour 21 : Le désir immobile 
Comme un fil tendu
Sur le point de rompre
Les paroles du texte étudiait dans la journée en cours ne cessait de tourner dans sa tête. Elles illustraient avec un peu trop de justesse la situation présente, se dit-elle, alors qu'Alice s'alanguissait sur ses genoux. Ça n'avait rien de surprenant, Alice venait toujours s'asseoir sur ces genoux en soirée, mais ce soir, dès son arrivée, elle avait été plus câline. Ça faisait trois ans qu'Emma était tombée amoureuse d'elle, mais Alice semblait être hétéro. Pour le plus grand malheur d'Emma, qui se maudissait de n'aimer que des hétéro. Tout paraissait s'être arrêté alors qu'elle sentait son parfum avec une intensité nouvelle, ce mélange de Bepantene, de Spéculoos, et cette petite odeur de riz. Emma passa délicatement sa main sur la cuisse d'Alice, avant de la retirer. Alice, en grande conversation avec un ami, attrapa sa main et la remplaça dans le creux de sa hanche. Emma respira profondément. Riz soufflé non assaisonner. Fleur. Ce soir, tout basculerait. 
Comme avant un orage 
L'air dense et lourd 
Sur le point de craquer 
Ils étaient 4 assis autour de la table. La discussion allait bon train. Personne ne pouvait soupçonner que deux d'entre eux luttai contre les apparences. Depuis qu'ils s'était retrouvé cet après-midi, ils n'avaient cessé de détourner le regard. Chaque fois qu'elle le regardait, elle sentait une envie profonde la submergée. Chaque fois qu'il la regarder, la même envie le prenait, et il avait rapidement dû trouver des parades pour se camoufler. Ils s'évitaient de peur de craquer. Ils détournait tout sujet qui pourrait démasquer les émotions inavouables qu'ils avaient l'un pour l'autre, terrorisé qu'on les découvre. Il maudissait et bénissait la chaleur qui l'avait amené à porter une tenue si courte, si désirable. Elle maudissait et adorait les musiques aléatoires qui se succédaient. La conversation s'interrompit soudain : untel alla aux toilettes, et l'autre chercher des boissons. Seuls. Ce qu'ils avaient craint toute l'après-midi arrivait finalement. Ils se regardèrent. Semblant parler de futilités, ils abordait ce désir par des mots cachés. Une attitude. Un mouvement de lèvres. Chacun remerciait la table de se trouver entre eux, piégeant leur désirs dans un instant immobile. 
Désir immobile. 
Martin regarda l'œuvre, une sorte de fondu de couleurs opposé qui jamais ne se mélangeait totalement, puis le titre de l'œuvre. Non, décidément, il ne comprenais rien à l'art abstrait. Et les audio guide le perdait plus qu'autre chose. Il commença à avancer vers l'œuvre suivante, quand son regard fut attiré par un des peintres de la galerie : courbé sur son chevalet, car trop grand, son nez en trompette touché presque la toile. Il portait une casquette à l'envers, recouverte de peinture. Un t-shirt trop larges, qui cachait à peine son caleçon, dépassant d'un pantalon portait trop bas. Il jurait dans le décor, comme une tache de peinture. Il jurait par rapport à son œuvre, comme une tache de bleu dans du rouge. Il leva les yeux vers lui. Il avait en effet de la peinture sur le nez. 
Xavier observa le visiteur. Depuis le temps qu'il peignait dans les musées, il était habitué à ce que les gens le regarde. Mais c'était toujours des amateurs d'arts avec leur petit fascicule, ou des touristes avec des audio guide. L'homme qui le regardait avait sa veste sous le bras, comme s'il ne savait pas qu'il y avait des casiers à l'entrée. Il portait une chemise rouge et un pull marron. Les couleurs juraient ensemble, mais jurait encore plus avec sa peau blanche et ses joues rouges. Ses cheveux bouclés en bataille sur son crâne, brun terreux, ne s'accordait même pas au pull. Et le pantalon jaune. Il ne réalisait pas qu'il était comme les tâches de peintures de l'œuvre derrière lui. 
Ils avaient envie de se parler. De se connaître. Martin s'approcha de Xavier, quand un imposant groupe de touristes les sépara, les éloignant hors de cet instant. 
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photos-car · 1 year
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Peugeot 604 - La première grande routière de la marque depuis la 601
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La Peugeot 604 conçue par Pininfarina dévoilée au Salon de l' automobile de Genève en mars 1975.
La Peugeot 604 est présentée au public en 1975 au salon de Genève. Peugeot a présenté la voiture, rugissant d'une véritable fierté, comme le "nouveau modèle haut de gamme français, leader et élégant" et a bourdonné dans une poésie marketing sur "Un mélange réussi de classicisme et de raffinement". La Peugeot 604 devait donc devenir un symbole à la manière de "Rendons la France grande à nouveau !"
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Peugeot 604 Chapron Landaulet Avec un moteur six cylindres Avec l'introduction de la Peugeot 604, Peugeot revient sur le marché des voitures haut de gamme : le gros moteur six cylindres. La 604 est la première Peugeot 6 cylindres depuis la 601 de 1934-1935. Ce moteur V6 PRV était_un moteur à essence V6 utilisé par Citroën, Renault et Volvo entre 1974 et 1998. :arrow: Lire aussi : Peugeot 504 - La voiture avait un style moderne et un attrait élégant. Galerie Photos
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Une alliance Peugeot et Renault L'histoire du PRV commence en 1966 lorsque Peugeot et Renault s'associent pour partager certains composants. À l'origine, Renault avait besoin d'un moteur V6 pour la luxueuse Renault 30. En 1969, La Française de Mécanique (également connue sous le nom de Compagnie Française de Mécanique ou simplement FM) aété annoncée comme la première collaboration. L'usine FM aété construite à Douvrin dans le nord de la France. Une tentative faite pour sauvegarder l'emploi dans une zone économiquement défavorisée. Ce moteur PRV parfois appelé moteur Douvrin, mais c'est en fait le nom des moteurs 4 cylindres en ligne qui y ontété produits en même temps. En 1971, Volvo est devenu le troisième partenaire du projet. Les trois marques recevraient une part égale dans le projet. À l'origine, il était prévu de développer un V8, mais ce projet a été annulé pour faire place à un moteur V6 plus petit et plus efficace. Il s'agissait donc en fait d'un V8 coupé et peu économique. :arrow: Lire aussi : Peugeot 204 - Caractéristiques techniques peu courantes à l'époque. Concentré sur le dessus La voiture destinée à ce segment du marché dans lequel les grands modèles de Mercedes et BMW s'étaient largement partagé le gâteau. À l'introduction, la 604 était équipée d'un moteur à essence V6 en alliage léger de 136 chevaux de 2,664 cm3 avec carburateur simple ou double. La voiture avait naturellement une propulsion arrière et était équipée de tout le luxe imaginable de l'époque. Avec tous ces atouts, la Peugeot 604 devait conquérir sa place dans le segment pratique haut de gamme du marché. La 604 où l'on attendait tant n'a pas été un succès commercial. La presse se plaint alors du style discret (en partie repris de la 504 du point de vue des coûts)! du manque d'innovation technique, des mauvaises performances et (plus tard) de la sensibilité à la rouille. https://www.photoscar.fr/peugeot/ La Peugeot 604 : Soif après la crise pétrolière De plus, le moment de l'introduction - après la récession après la crise pétrolière de 1973 - a également été très malheureux. Le marché des voitures à grosse cylindrée en France s'était effondré à cette époque. Et les grosses voitures assoiffées - et une telle 604 pourrait vraiment fonctionner 1 sur 6 - sont complètement tombées du bateau Néanmoins, la 604 de 1979 mérite sa place dans l'histoire en étant l'une des premières voitures de série à être disponible avec un moteur turbo diesel. Mercedes est arrivée en 1977 avec le premier moteur turbo diesel de la Mercedes 300SD. Mais vendue exclusivement aux États-Unis. Après l'introduction de la 505 en 1980! les chiffres des ventes ont continué de baisser et la dernière 1985 est sortie de la chaîne en 604. Le nombre total de production est d'environ 150.000. A l'heure actuelle, une si grosse Peugeot est rare, désirable mais limitée. Des exigences peuvent_être fixées pour des montants compris entre 4 000 et 5 000 euros ! (Site officiel Peugeot) https://www.photoscar.fr/peugeot-304/ Read the full article
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latribune · 2 days
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blog2anais · 4 months
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Le point d’ironie, une ponctuation poétique et émancipée dans le monde du livre d’artistes
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                                                    Point d’ironie est un objet éditorial indescriptible, entre le livre d’artiste, le fanzine et le journal. Il est issu d’une discussion en 1997 entre Hans-Ulrich Obrist (historien de l'art, critique d'art contemporain et commissaire d'exposition suisse et autrichien qui est le rédacteur en chef de Point d’ironie), Christian Boltanski (artiste plasticien français) et Agnès B (Agnès Troublé, modéliste, collectionneuse, productrice et réalisatrice de cinéma française).
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Le nom du journal à d’ailleurs une grande corrélation avec agnès b. (qui en est d’ailleurs la productrice), elle utilise régulièrement le signe de ponctuation poétique “⸮”, appelé point d’ironie (le nom du journal) et qui marque le second degré.
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Phrase d’agnès b. (source: https://www.agnesb.eu/chez-nous-/le-point-d-ironie/)
Vous vous demandez sûrement pourquoi avoir tant étudié ces signes dans le cadre de cette étude? Ils sont, selon moi, cruciaux pour comprendre le projet du journal Point d’ironie. Ce journal a pour principe d’être investi en carte blanche par un artiste différent à chaque numéro qui en fait un objet d’art singulier. Sa production s’élève à 6 à 8 numéros par an (environ 70 numéros ont été produits à ce jour), imprimés entre 100 000 et 300 000 exemplaires en 8 pages sur papier journal amélioré, une quantité très impressionnante pour un journal artistique et gratuit (et produit par des artistes!). Les artistes qui y prennent part sont reconnus et ont une portée internationale. On peut citer par exemple Christian Boltanski qui à lui même créé trois numéro (n°7,26,50), Claude Levêque (n°10), Louise Bourgeois (n°14), Thomas Hirschhorn (n°25), Claude Closky (n°30) ou encore Yoko Ono (n°31). Il en ressort des objets éditoriaux très différents les uns des autres mais qui, tous réunis, forment un joyeux mélange hétérogène et foisonnant.
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n°07 Christian Boltanski n°31 Yoko Ono n°46 Carlos Cruz-Diez n°59 Raymond Pettibon & Marcel Dzama
Affichage de plusieurs numéros de Point d’Ironie au Musac, à la galerie du Jour et à la Monnaie de Paris en 2015 pendant l’exposition “Take Me, I’m Yours”.
Cependant, et bien que ce projet soit dors et déjà intéressant dans sa nature, son réel intérêt en tant qu’objet d’étude et son originalité se trouve pour moi dans son principe de diffusion (appelé “dispersion par C. Boltanski). En effet, point d’ironie est diffusé gratuitement et distribué dans de nombreux espaces culturels (cinémas, médiathèques, librairies, galeries, associations, écoles…) et ce partout dans le monde (France, Allemagne, Australie, Brésil, Macédoine, Liban, Suède…). Ce mode de diffusion va encore plus loin que ça en laissant sur son site internet une adresse email permettant à chacun de candidater et de prendre part à la longue liste des diffuseurs du journal disponible sur le site internet de point d’ironie. Cela rend le lectorat acteur de sa diffusion à grande échelle et le place en tant que collaborateur de ses valeurs et de ses ambitions d'accessibilité à tous. C’est bien dans l’objectif de rendre la culture et le livre d’artiste accessibles à tous alors que cet objet est différent des autres livres d’artistes qui ont plutôt pour habitude d’être réservés à un petit groupe d’intéressés avec des fonds assez élevés pour acheter ce genre d’objets éditoriaux.
Le fait que le point d’ironie soit composé avec le moins de textes possibles peut aussi être vu comme un moyen d’être plus accessible. En effet, le peu de texte présent dans les numéros a plutôt un rôle illustratif et prend part à une composition générale qui ne nécessite pas forcément sa lecture pour en comprendre le sens. On peut constater cette idée ci-dessous avec le n°41 : Hommage à Raymond Hains
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Le journal dépasse ainsi la barrière de la langue se rendant diffusable à l’international. Christian Boltanski racontera dans une discussion qu’il a eu avec Hans Ulrich Obrist en 2004: “je suis arrivé à l'aéroport de Bogota, au lieu de m’accueillir avec mon nom, ils m'ont accueilli avec mon point d'ironie” le journal a aussi été retrouvé dans un restaurant à Tokyo, sur le mur du cabinet d’un psychiatre ou même utilisé en tant que papier cadeaux.
De plus, cette ambition de désinstitutionnaliser le livre d’artistes et l’objet imprimé en général dans sa forme et son fond change la vision que l’on a de ces objets et de leurs utilisations. Ainsi, Boltanski dit dans la même interview avoir vu le point d’ironie affiché en papier par quelqu’un qui s’était permis d’en prendre une grande quantité (comme le préconise agnès b. dans la communication autour du journal). Il évoque même l’utilisation récurrente et surprenante du n°14 de Louise Bourgeois comme papier cadeau pour Nöel. (voir ci-dessous)
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Pour conclure, la découverte de Point d’ironie m’a permis de réaliser qu’il existe bien des manières de recevoir et d’utiliser un objet imprimé. Ce journal est un parfait exemple de l'intérêt de sortir des communautés fermées des “instruits” et de diffuser des œuvres de design à destination d’un large public. Cela donne au journal une dimension de partage exaltante et on voit bien ici sa ressemblance avec le point d’ironie, il est différent, drôle et définitivement enthousiaste.
Anaïs Bouchard-Touboul nombre de caractères : 6500
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memoire2cite · 6 months
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69009 LYON La Duchere ds le rétro avec la barre 200, 1980s. La Duchère : nord-ouest de Lyon. 120 hectares. En 1952 premier projet de la Duchère, prend véritablement corps en 1958. Les travaux démarrent en juin 1960. Anciennement occupé par : château de la Duchère, édifié par Guillaume de Varey à la fin du XIIIe siècle ainsi que le fort de la Duchère réalisé par le Général Rohault de Fleury entre 1844 et 1851. Besoin de grand ensemble. Une équipe d’urbanistes accompagnée de sociologues s'associe pour la rédaction d’un premier projet en 1952, avec les architectes Franck Grimal et François-Régis Cottin qui établissent le premier plan de masse. Sont prévus 5500 nouveaux logements pour 20 000 habitants ainsi que la création de la SERL (Société d’Equipement de la Région Lyonnaise) le 18 février 1957 pour l’acquisition des terrains, la viabilisation des espaces et la réalisation des équipements du quartier. (Auparavant : SCET, Société Centrale pour l’Equipement du Territoire, filiale de la caisse des dépôts.) Elle se substitue à la mairie au moins pendant le démarrage des travaux, car au vu du nombre de logements créés et des travaux colossaux nécessaire à la création de ce nouveau quartier, il fallait une structure capable d’assurer la création de l’infrastructure urbaine nécessaire. Une organisation autour de quatre sous quartiers est réalisée, adaptée à la morphologie du quartier : Balmont, le Château, le Plateau et la Sauvegarde. Au départ trois véritable sous quartier le château au sud en contrebas, Balmont au nord –ouest, coupé du reste par le fort. Puis la sauvegarde. Trois ensembles reliés par cet isthme étroit au centre, le Plateau. Plan masse et coordination Coulon, les architectes Cottin et Grimal projet 1953, construction 1958-1977. La division en sous quartier en plus d’être plus ou moins imposée par la configuration du terrain, est également un parti pris urbanistique avec la volonté de réaliser des unités de quartier ayant chacune son identité propre, au travers des différents équipements et de l’architecture. Idée de singularité. Le plateau est le point central de cet ensemble avec la tour panoramique comme signal, les équipement administratifs, sportifs et la Barre des 1000 comme épine dorsal. La barre des mille est composée de trois immeubles de 330 logements chacun. En 1972-73, c'est l' achèvement de la tour panoramique de l'architecte François-Régis Cottin. Elle est constituée de 37 étages, de 101 m de haut pour de 28 m de diamètre comprenant des logements (une centaine), des surfaces de bureaux et des boutiques en rez-de-chaussée. Le quartier du Plateau est considéré comme le centre et pôle pour les autres quartiers. Originellement Régis Cottin avait prévu un bâtiment à la place de la tour, qui aurait accueilli le Mairie. Et un centre commercial plus étoffé, plus de densité dans le centre, des boutiques et des espaces de circulations (galeries) pour pouvoir se promener à couvert. La Sauvergarde est composée de bâtiments plus bas (R+5) pour faire lien avec les communes de l’Ouest lyonnais, tandis que le Château et Balmont sont plus résidentiels et voués davantage aux logements en copropriété. A la Sauvegarde, les immeubles sont construits par les HLM municipaux. Ils sont Achèvés en même temps que la guerre d’Algérie et seront occupés à 56.3 % en 1968 par des rapatriés d’Afrique du Nord. Ces bâtiments bénéficieront aux rapatriés d’Algérie. En 1963, 2000 logements sont déjà occupés. En décembre 1964, 4000 ménages installés. Au total, 5479 logements construits dont 1412 en parc privés, et 4067 en logements HLM. Entre 1963 et 1964, 30% des attributions de l’Office départemental et 40% de l’office Municipal sont destinés dans l'urgence aux rapatriés d'Algérie. 30 ans de vie a la duchere les mémoires d un grand ensemble par ANNIE SCHWARTZ http://cosoter-ressources.info/index.php?lvl=categ_see&id=1000&page=1&nbr_lignes=170&l_typdoc=&nb_per_page_custom=170
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lanuitlennuie · 7 months
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pour tenir nous nous écrivons.
«oh mes amies...
oui la nuit a été dure, le seule chose que j’ai pu faire en désespoir de cause a été de signer un texte émanant du milieu artistique et culturel qui assume un point de vue situé ici, chez nous au Canada, pour dénoncer son soutien à Israël. Je me suis aussi désabonnée du compte de herman dunne (un chanteur juif, coquet et peu regardant politiquement) qui postait une photo d’une pancarte prise dans une rue new-yorkaise : «New York stands with Israel». C'est ultra dérisoire mais cette image dans le flot du chaos des comptes palestiniens que je suis - et qui ce matin sont désormais voilés d’un avertissement de possible contenu violent ou explicite, sinistre ironie d’une protection mal dirigée-  ce *standing with israel* c’était juste impossible.
hier soir j’ai bu avec Phil et quelques amis pour sa fête, grelottant dans sa ruelle gentrifiée, et c’était aussi très dur de tourner en rond dans nos têtes, captif.ve.s dans un espace qui devient impossible (Etienne qui travaille sur des chantiers disait *on ne pourra bientôt plus vivre ni en ville ni hors de la ville*) et répétant comme des derviches débraillés : comment peut-on laisser faire ça, gaza qui fume au travers de nos téléphones. J’ai proposé, avec mon refus toujours un peu défensif et aveugle de la flagellation, d'highjacker une heure par semaine un écran du Bruno sport bar pour diffuser je ne sais pas des réflexions qui nous semblent importantes ou nous aident à penser : David Harvey (Suzanne m’a remise sur la piste de ce type, géographe spécialiste de Marx, ses cours sont en ligne sur son site et sont très bien); ou en effet Tareq Baconi. Il faudra trouver aussi des choses en français.
Et puis cette nuit, la fièvre du mauvais alcool et du désespoir a tout fait virer dérisoire alors vous lire ce matin c’est important. 
Hier je ne suis pas allée chercher le livre à la librairie DandQ, j’ai été voir le travail vraiment excellent présenté à la galerie de l'UQAM. Ça aussi c’est important. 
Deux installations vidéo s'y répondent parfaitement et cette correspondance est un premier soulagement, on peut encore se comprendre et se rejoindre. Dans la petite salle, celle de Marion Lessard sur le poison judéo-chrétien fouetté à la sauce médiévale et fabulatoire, inspirée du roman de renard, et interprétée dans une perspective psychanalytique et fofolle : petit théâtre de papier mâché, le jupon qui dépasse, des costumes pelucheux, des masques qui ni ne cachent ni ne montrent, les yeux pas en face des trous, filmé au milieu d'une forêt cordée comme une armée au pas. Le réel c’est ce qui résiste à la symbolisation dit la médiatrice dans le cadre. Elle finira inerte dans une rivière, la jupe relevée sur des cuisses filtrées glabres par de bien vains bas nylon. On rentre pour regarder la vidéo dans une matrice sombre, intérieur d'une bouche grande ouverte. Ça n'est pas la gueule du loup, mais celle de l’humain qui s'auto-cannibalise.
Et puis, dans une des deux grandes salles, le travail fabuleux de Naomi Rincón Gallardo : trois vidéos musicales aux textes féministes vengeurs ouvrant une brèche pour habiter ce monde d’ordure et de sang. Des costumes colorés, inventifs mêlant ascendance aztèque et futurisme de pacotille, des trucages vidéos, des paroles très harrawayiennes, des corps de toutes formes jusqu’à la présence d'enfants bariolés sirotant l’eau polluée d’une rivière. La musique est punk, j’en suis sortie détournée un peu de mon chouinage. Il faut être sensible, oh oui, et penser doucement mais d’arrache-pied comme nous tentons de le faire, on peut aussi sentir notre force surtout quand elle s’arrime directement au refus désespéré d’opérations de destruction. Et se voir : ça pourrait être ce soir la soupe chaude si vous voulez. Ou mardi après le panier que nous transformerons ensemble. 
Je vous embrasse chacune fort
Anne»
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comme-du-monde · 8 months
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Val-Terreur 2 Guide de l'explorateur adofarien
BROCHURE OFFICIELLE DE RECRUTEMENT POUR LA MISE EN MARCHE DE LA CAMPAGNE POUR UNE QUATRIÈME EXPANSION IMPÉRIALE
SOUMISE AU SÉNAT POUR RÉVISION, ADOPTION, IMPRESSION ET DISTRIBUTION EN L’AN 923 AB URBE CONDITA PAR ACHILLE LE JUSTE, PRÉTORIEN DE L’EMPEREUR ADOFAR I
PRÉFACE : Comme vous le constatez sans doute, les générations actuelles sont affligées d’une pénurie d’ambition. Cette valeur qui était jadis la brique et le mortier de notre société s’effrite maintenant pour laisser place à l’individualisme plat; la poursuite vaine d’une vie comblée par le mariage, l’accumulation de biens et l’entretien d’une propriété. L’Empereur souhaite rappeler l’importance des Pionniers dans les avancements scientifiques, spirituels, arcaniques et philosophiques des derniers siècles. Sa Majesté espère aussi manifester en vous le souvenir de l’illumination du Soleil Invaincu lorsqu’il s’est joint à Mars, des avancées subséquentes sur le plan militaire et tactique sans lesquelles la Troisième Expansion aurait été impossible. En émettant le souhait d’éviter la stagnation à tout prix, Il implore le sénat de considérer ce document et d’anticiper l’effet de sa distribution à travers l’empire. Finalement, Son Imminence impose son véto quant à l’exclusion historique des Aedificiers dans les efforts d’exploration occidentaux– ils sont tout aussi Adofariens que vous, moi, l’Empereur ou le Soleil Invaincu.
TITRE : GUIDE DE L’EXPLORATEUR ADOFARIEN
SOUS-TITRE : ALLEZ-Y, OSEZ L’OUEST!    
ILLUSTRATION : Trois bustes en marbre d’explorateurs
Une citoyenne de la Capitale, centrée. Elle tient une lance.
À sa droite, un Aedificier porte fièrement un étendard de l’Empire.
À la gauche de la citoyenne, un barbare aux chaînes brisées. Il supporte un sac débordant de richesse.
TEXTE : Joignez-vous aux milliers d’Adofariens ayant participé aux Grandes Explorations qui ont allumé les braises de trois expansions consécutives.
Plèbe! Découvrez des secrets enfouis : faune, flore, civilisation, artéfacts, Idoles!
Aedificiers! Laissez votre marque sur un monde encore inconnu! Récupérer votre droit sacré des griffes de Pluton!
Barbares! Regagnez votre liberté à l’Ouest de Val-Terreur! Obtenez la clémence de l’Empereur!
POSTFACE : Une caravane traversant les grandes villes de l’Empire, de la pointe méridionale de la péninsule en passant par les jungles, le Colisée et les galeries du Nord devra être prévue au tournant de chaque saison en direction de Val-Terreur. Je compte sur vous pour l’adoption de cette brochure dès la prochaine séance du Sénat. L’Empereur compte sur vous.
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le-van-de-noces · 8 months
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PASSEGIATA AL LAGO - 15.09.23
Après cette nuit agitée, on profite enfin de la belle vue sur le lac ! Lecture et petit-déjeuner à l'arrière de la camionetta.
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On redescend ensuite à Verbiana pour aller visiter la Villa Taranto, réputée pour ses riches jardins. Acquise en 1930 par un capitaine écossais passionné de botanique, il aurait découvert l'annonce de vente au court d'un voyage à bord de l'Orient Express, en lisant le Times, de retour d'un séjour à Venise... rien que ça ! Déambulation entre arbres centenaires, labyrinthe de dahlias (une pensée pour mon sublime bouquet de mariée ! ♥️) et nénuphars géants ; j'étais plus dans mon élément que Léo - en plus j'y ai bu un deliziosa cioccolata calda !
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Déjeuner rapide cuisiné par mon chef personnel, avant d'embarquer sur le bateau qui nous conduit aux Iles Borromées. Archipel acheté par la famille homonyme au XVème siècle, il est composé de :
l'Isola dei Pescatori, ancien village de pêcheur, charmante mais transformé en village de restaurants et échoppes à touristes
l'Isola Madre, la plus grande, sur laquelle se trouve un "petit" palais, et surtout un parc exotique enrichi au travers des siècles et ouvert au public depuis les années 70
l'Isola Bella, la plus célèbre, constituée d'un Palazzo et de jardins à l'anglaise très étonnants.
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Visite du Palazzo Borromeo donc, de ses nombreuses galeries et chambres encore meublées, les fenêtres laissant entrevoir de superbes vues sur le lac. On traverse de nombreux salons, dont un, particulièrement vaste (haut de trois étages) au plafond duquel on peut lire la devise familiale : humilitas.
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On y apprend également que Napoléon a fait escale sur l'Isola Bella sans prévenir durant sa campagne d'Italie, que lui et sa garnison de 60 soldats se sont comportés comme des goujats, et que l'intendant du palais a été bien heureux que cette visite ait été de courte durée car ils ont laissé après eux "des chambre sales et malodorantes"...
Au rez-de-chaussée, on découvre les Grottes, appartements restant frais par les chaudes journées d'été, tapissés de galets du lac, du sol au plafond.
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Sans oublier que partout sont repris les symboles des Borromeo : un chameau assis, un cèdre, trois anneaux entrelacés et une licorne. Mais ce sont les aménagements extérieurs qui rendent cette île unique : en sortant, après avoir traversé la cour de Diane, on découvre la Serra Elisa, luxuriante et très jolie. Léo y propose un intermezzo musicale.
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Au coeur du jardin se trouve le Teatro Massimo, décor invraisemblable et débauche de statues, terassant les jardins sur plusieurs niveaux. Le tout surplombé par une immense licorne. En haut, une vaste esplanade encadrée de quatre obélisques reprenant les quatre éléments et offrant un panorama sur le lac magnifique.
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Sur le trajet de retour en bateau, je m'improvise photographe de cartes postales - il doit bien y avoir un type dont c'est le job, non ?!
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Une baignade-douche aux abords du lac, de l'essence pour la camionetta, et nous voilà comme neufs pour rouler jusqu'à Stresa, ville d'en face et point de départ principal pour les îles Borromées.
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Sur place, on visualise bien le passif de lieu de villégiature de la région. Sur tout le front de lac, sont alignés de grands hôtels, aux vitres en verres soufflés gigantesques, serveurs en livrée, restaurants de luxe et enseignes lumineuses.
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Après une bonne pizza à emporter sur le port, on reprend un petit peu de hauteur pour observer une dernière fois le Lago Maggiore avant de partir à la découvert des autres lacs !
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pdj-france · 9 months
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Le sombre travail de décompte des morts après un incendie de forêt féroce sur l'île hawaïenne de Maui a été mis en évidence samedi (heure locale) bien que les équipages traversaient la dévastation, marquant les maisons d'un X orange vif pour signaler qu'ils avaient recherché des corps et HR quand ils ont trouvé des restes humains.L'enfer a balayé la ville séculaire de Lahaina sur la côte ouest de Maui, réduisant en cendres des centaines de maisons.Le directeur général de l'État a affirmé qu'il s'attendait à ce que davantage de corps soient retrouvés.Il reste peu de chose de l'incendie qui a tué 80 personnes. (PA)"Il y a déjà 80 morts. Ça va augmenter", a fait remarquer le gouverneur Josh Green samedi alors qu'il visitait la dévastation de l'historique Front Street."Ce sera certainement la pire catastrophe naturelle à laquelle Hawaï ait jamais été confrontée."Nous ne pouvons qu'attendre et soutenir ceux qui vivent. Notre objectif est désormais de réunir les gens quand nous le pouvons et de leur fournir un logement et des soins de santé, puis de nous tourner vers la reconstruction." Ceux qui se sont échappés comptaient leurs bénédictions, reconnaissants d'être en vie alors qu'ils pleuraient ceux qui n'avaient pas survécu.Le capitaine des pompiers à la retraite Geoff Bogar et son ami de 35 ans, Franklin Trejos, sont d'abord restés pour aider les autres à Lahaina et sauver la maison de Bogar.Des membres d'une équipe de recherche et de sauvetage marchent dans une rue de Lahaina. (PA)Mais bien que les flammes se rapprochaient de plus en plus mardi après-midi, ils savaient qu'ils devaient sortir.Chacun s'est échappé dans sa propre voiture.Quand Bogar ne voulait pas démarrer, il a franchi une fenêtre pour sortir, puis a rampé sur le sol jusqu'à ce qu'une patrouille de police le trouve et l'emmène à l'hôpital.Trejos n'a pas eu autant de chance. Quand Bogar est revenu le lendemain, il a trouvé les os de son ami de 68 ans sur le siège arrière de sa voiture, allongés sur les restes du bien-aimé golden retriever de trois ans des Bogar, Sam, qu'il avait essayé de protéger.Trejos, originaire du Costa Rica, avait vécu pendant des années avec Bogar et sa femme, Shannon Weber-Bogar, l'aidant avec ses crises quand son mari ne le pouvait pas. Il a rempli leur vie d'amour et de rires. "Dieu a pris un homme vraiment bon", a affirmé Weber-Bogar.De nombreux bâtiments et maisons ont été ravagés. (PA)Bill Wyland, qui vit sur l'île d'Oahu mais détient une galerie d'art dans l'historique Front Street de Lahaina, s'est enfui sur sa Harley Davidson, fouettant la moto sur des trottoirs vides mardi pour éviter les routes embouteillées bien que les braises brûlaient les cheveux à l'arrière de son cou.Roulant dans des vents qu'il estimait à au moins 112 kilomètres à l'heure, il croisa un homme à vélo qui pédalait follement pour sauver sa vie."C'est quelque chose que vous verriez dans une zone crépusculaire, un film d'horreur ou quelque chose comme ça", a affirmé Wyland.Wyland a réalisé à quel point il avait eu de la chance lorsqu'il est retourné au centre-ville de Lahaina jeudi."C'était dévastateur de voir toutes les voitures incendiées. Il n'y avait rien qui restait debout", a-t-il déclaré.Sa galerie a été détruite, de même que les œuvres de 30 artistes.Les dégâts du feu de forêt à Lahaina, Hawaii peuvent être vus ici. (PA)Les responsables des urgences à Maui cherchaient des endroits pour héberger les personnes déplacées de chez elles.Pas moins de 4 500 personnes ont besoin d'un abri, ont annoncé des responsables du comté sur Facebook tôt samedi, citant des chiffres de l'Agence fédérale de gestion des urgences et du Pacific Disaster Center.Les survols de la Civil Air Patrol ont révélé la destruction de 1692 structures, quasiment toutes résidentielles. Neuf bateaux ont coulé dans le port de Lahaina, ont déterminé les responsables à l'aide d'un sonar.Les incendies de forêt sont la catastrophe naturelle la plus meurtrière de l'État depuis de nombreuses années, dépassant le tsunami de 1960 qui a tué 61 personnes.
Quartiers anéantis par les incendies dans une ville hawaïenne historiqueUn tsunami davantage meurtrier en 1946, qui a tué plus de 150 personnes sur la Grande Île, a incité le développement d'un système d'urgence à l'échelle du territoire avec des sirènes testées mensuellement.Les dossiers de gestion des urgences d'Hawaï n'indiquent pas que des sirènes d'avertissement ont retenti avant que les gens ne soient obligés de courir pour sauver leur vie.Les autorités ont envoyé des alertes aux téléphones portables, aux télévisions et aux stations de radio, par contre les pannes généralisées d'électricité et de téléphonie mobile ont peut-être limité leur portée.Un homme marche à travers l'épave d'un incendie de forêt à Lahaina, Hawaii. (PA)Alimentés par un été sec et les vents violents d'un ouragan qui passait, les incendies de forêt à Maui se sont propagés à travers les broussailles desséchées couvrant l'île.L'incendie le plus grave a balayé Lahaina mardi et a détruit quasiment tous les bâtiments de la ville de 13 000 habitants, laissant une grille de gravats gris coincée entre l'océan bleu et les pentes verdoyantes.Front Street, le cœur du centre-ville historique et le centre économique de Maui, était quasiment vide de vie samedi matin.Un journaliste de l'Associated Press a rencontré un résident pieds nus portant un ordinateur portable et un passeport qui a demandé où se trouvait le refuge le plus proche. Un autre, à bicyclette, a fait le point sur les dégâts au port, où il a dit que son bateau avait pris feu et coulé.Un camion de pompiers et quelques camions de construction ont été vus pénétrant le quartier, mais il est resté étrangement dépourvu d'activité humaine et officielle du gouvernement.Certains habitants ont exprimé leur frustration face à la difficulté d'accéder à leur domicile en raison des fermetures de routes et des postes de contrôle de la police.Un membre de l'équipe de recherche et de sauvetage se promène avec son chien mort. (PA)Les responsables de l'eau de Maui ont prévenu les habitants de Lahaina et de Kula de ne pas boire d'eau courante, qui a la capacité de être contaminée même après ébullition, et de ne prendre que des douches courtes et tièdes dans des pièces bien ventilées pour éviter une éventuelle exposition aux vapeurs chimiques.L'incendie de forêt devrait déjà être la deuxième catastrophe la plus coûteuse de l'histoire d'Hawaï, derrière l'ouragan Iniki en 1992, d'après la société de modélisation des catastrophes et des risques Karen Clark & ​​Company.L'incendie est le plus meurtrier aux États-Unis depuis le Camp Fire de 2018 en Californie, qui a tué au moins 85 personnes et détruit la ville de Paradise.Le danger sur Maui était bien connu.Le plan d'atténuation des risques du comté de Maui mis à jour en 2020 a identifié Lahaina et d'autres communautés de West Maui comme ayant des incendies de forêt fréquents et plusieurs bâtiments à risque.Le rapport a aussi noté que West Maui avait le deuxième taux le plus élevé de ménages sans véhicule de l'île et le taux le plus élevé de non-anglophones. "Cela peut limiter la capacité de la population à recevoir, comprendre et prendre des mesures rapides lors d'événements dangereux", indique le plan.Les débardeurs d'Hawaï et d'autres bénévoles préparent des dons pour les victimes. (Reuters)Les efforts de lutte contre les incendies de Maui ont peut-être été entravés par un personnel et un équipement limités.Bobby Lee, président de l'Association des pompiers d'Hawaï, a affirmé qu'il y avait un maximum de 65 pompiers de comté travaillant à tout instant avec la responsabilité de trois îles : Maui, Molokai et Lanai.Riley Curran a affirmé qu'il avait fui sa maison de Front Street après avoir escaladé un immeuble voisin pour mieux voir. Il doute que les responsables du comté auraient pu faire plus compte tenu de la vitesse des flammes. "Ce n'est pas que les gens n'ont pas essayé de faire quoi que ce soit", a affirmé Curran. "Le feu est passé de zéro à 100." Curran a affirmé qu'il avait vu d'horribles incendies de forêt grandir en Californie.
Mais, a-t-il ajouté, "je n'en ai jamais vu manger une ville entière en quatre heures".Inscrivez-vous ici pour recevoir nos newsletters quotidiennes et nos alertes d'actualités, envoyées directement dans votre boîte de réception.
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decostatue · 11 months
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Sculpture contemporaine design en céramique
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Une superbe sculpture contemporaine design ! Transformez votre espace en une galerie d'art contemporain avec notre sculpture contemporaine design, fusion parfaite entre élégance moderne et créativité intemporelle. Trois avantages clés d'avoir cette sculpture chez soi - Œuvre d'art contemporaine : Cette sculpture en céramique incarne l'esthétique moderne et contemporaine. Son design élégant et épuré apportera une touche de sophistication artistique à n'importe quel intérieur. Que vous souhaitiez ajouter une pièce maîtresse à votre salon, votre bureau ou votre chambre, cette sculpture moderne captivera les regards et attirera l'attention de vos invités. - Matériaux de qualité supérieure : Fabriquée en céramique de première qualité, cette sculpture est le fruit d'un travail minutieux et artisanal. La céramique offre une finition lisse qui met en valeur les détails précis de l'œuvre. - Polyvalence et adaptabilité : Que vous ayez un intérieur moderne, industriel ou contemporain, cette sculpture s'adaptera harmonieusement à tous les styles de décoration. Élégance artistique Cette sculpture contemporaine est une véritable œuvre d'art qui ajoutera une touche d'élégance et de raffinement à votre intérieur. Son design moderne et minimaliste se marie parfaitement avec différents styles de décoration, créant ainsi une ambiance harmonieuse et esthétiquement agréable. Focalisation de l'attention Grâce à ses lignes fluides et à sa forme captivante, cette sculpture moderniste attire immédiatement le regard. En plaçant cette pièce maîtresse dans votre espace, vous pouvez créer un point focal visuel qui capte l'attention de vos invités. Cela en fait un excellent choix pour les conversations et les moments de partage. Création d'une atmosphère apaisante Les formes douces et les courbes délicates de cette sculpture contemporaine évoquent un sentiment de calme et de tranquillité. En la plaçant dans votre environnement, vous pouvez créer une atmosphère relaxante qui favorise la détente et le bien-être. C'est l'accessoire parfait pour ajouter une touche de sérénité à votre quotidien. Idée cadeau originale Cette sculpture design en céramique constitue également un cadeau unique et mémorable pour vos proches. Que ce soit pour un anniversaire, un mariage ou une pendaison de crémaillère, offrir cette pièce artistique témoigne d'un goût raffiné et d'une attention particulière envers les détails. Elle sera appréciée à la fois pour son aspect esthétique et sa signification symbolique. N'hésitez plus, commander votre sculpture contemporaine design en céramique et apportez une touche d'art et de sophistication à votre intérieur. Read the full article
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JEUDI 18 MAI 2023 (Billet 1 / 3)
« JEANNE DU BARRY » (1h 56min)
Un film de Maïwenn, avec Maïwenn, Johnny Depp, Benjamin Lavernhe, Pierre Richard…
Comme annoncé dans notre dernière Newsletter, nous y sommes allés hier à 14h, jour de sa sortie en salle, influencés par l’article d’Eric Neuhof dans le Figaro.
Mais après avoir vu le film et lu toutes le critiques « Pro » (qui sont loin d’être unanimes, dans un sens ou dans un autre) et celles des spectateurs (idem), c’est finalement celle de l’Obs qui se rapprochait le plus de ce qu’on en a pensé et nous n’avons presque rien à rajouter.
Peut-être, pour les amoureux de Versailles, dire qu’il y a des plans sublimes du château, les cadrages, les décors et les costumes sont exceptionnels, Maïwen incarnant la Comtesse est très bien, Johnny Depp, litote : « on l’a connu mieux dans d’autres rôles »… mais Benjamin Lavernhe est exceptionnel et nous avons bien apprécié certaines caricatures, très drôles, les filles du Roi, entre autres. Dommage que les colombes blanches de la bande-annonce lorsque Jeanne fait son entrée à la Cour aient disparu dans le film.
Marina a donné au film ❤️❤️❤️ et JM, ❤️❤️❤️,5 sur 5 (un demi-point de plus parce qu’il fait partie de ceux qui sont amoureux de Versailles et qu’il trouve que c’est le plus beau château du monde !).
Maintenant, c’est à vous de voir… ou pas.
Une chose est sûre, les positions de Maïwen sur certains sujets de société sont clivantes, le féminisme par exemple… ou plutôt son anti-féminisme (principalement ses excès), le fait qu’elle ait tiré les cheveux d’un journaliste de Gauche de renom (que personnellement nous détestons) dans un grand restaurant parce qu’il avait écrit des horreurs sur le premier amour de sa vie (Luc Besson) et père de son premier enfant (nous, on trouve ça très gonflé, très romantique)… bref, après l’avoir eue, « elle n’a plus la carte » comme on dit. Cela vous amusera, en lisant les critiques « Pro », à part l’Obs, de constater que tous ceux qui l’ont descendue sont des journalistes de Gauche.
CE QUI EST NUL ! Comme si le talent pouvait avoir une couleur politique !
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Même le château de Versailles, ce vieux beau, retrouve, à la voir, une nouvelle jeunesse. Elle le charme, l’encanaille, l’oblige à l’audace et à bouleverser le protocole. Il cède. Elle, c’est Maïwenn, l’actrice-réalisatrice de « Polisse », qui passe ainsi des bureaux de la brigade de protection des mineurs, où officiait Joey Starr, à la Galerie des Glaces et au parc à la française, où officiait André Le Nôtre. Elle, c’est la courtisane qu’elle incarne, Jeanne Vaubernier, de son vrai nom Jeanne Bécu, une « fille des rues » que le comte du Barry (Melvil Poupaud) épouse pour mieux l’offrir, par l’entremise du duc de Richelieu (Pierre Richard), au roi Louis XV, ce lovelace blasé. Et voici qu’il se ressaisit, s’éprend de la belle et en fait sa favorite, au grand dam de la cour, scandalisée, de ses trois furies de filles, et de la dauphine de France, Marie-Antoinette d’Autriche, toutes choquées de voir une « moins que rien », une opportuniste, succéder à Madame de Pompadour. On connaît l’Histoire. Maïwenn, dont on sent bien qu’elle s’identifie à cette transfuge de classe de l’Ancien Régime, la restitue en grâce et… majesté. Elle filme Versailles, ses ors, ses lustres, ses perspectives au cordeau, avec des yeux de midinette émerveillée, mais sans jamais chercher à moderniser ce conte de fées, qui se terminera mal.
Si elle a découvert Jeanne du Barry sous les traits d’Asia Argento dans le « Marie-Antoinette » de Sofia Coppola, Maïwenn ne glisse dans ses plans ni Converse ni macarons Ladurée. Il lui suffit, sans renier ses origines, d’être téméraire et amoureuse, de croire les sentiments plus forts que l’étiquette, de se moquer du qu’en-dira-t-on, pour montrer combien ce destin d’autrefois a des accents d’aujourd’hui. Farouche devant la caméra, respectueuse derrière, Maïwenn signe un portrait royal de la maîtresse royale. On guettait évidemment Johnny Depp, ce pirate des Caraïbes, dans les habits dorés de Louis XV : marmoréen et silencieux, il fait le job. Mais c’est son premier valet de chambre et rabatteur délicat qui emporte ici le morceau : dans le rôle de La Borde, Benjamin Lavernhe est exceptionnel. A la fois intraitable, impénétrable et attendrissant, il initie Jeanne du Barry au protocole de la cour et la protège des avanies dont elle est la victime. On dirait parfois que, dans les coulisses, il conduit le film jusqu’à son épilogue dramatique. Un film en forme de plaidoyer et aux allures de tragi-comédie, tourné en 35 mm, qu’on croirait éclairé aux chandelles.
Loin de sa zone de confort, Maïwenn montre qu’elle a, comme Jeanne, de l’aplomb. Elle ose même le classicisme !
(Source : « Jérôme Garcin, critique cinéma à l’Obs »)
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photos-car · 3 months
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oenodyssee · 1 year
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D’autres rives
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 Passée par l’estuaire au niveau de son verrou,
(Point d’intersection de deux,
Et désormais trois, de mes livres)
La journée était déjà bien engagée en arrivant à
Bourg-sur-Gironde.
 Directement accueilli par Annie Birot-Meneuvrier
Dans sa galerie, ancienne boucherie tenue de génération
En génération jusqu’à son père. Lequel
Sans la guerre, aurait échappé au destin familial, pour devenir
Artiste.
Côté maternel on était vignerons depuis trois
Siècles. Annie l’a été, son fils Louis l’est devenu après
Un cursus Arts-Déco. Avec une condition d’
Orfèvre : passer de 26 ha subis à trois
Ha choisis.
 On joue Rhapsode à 23.
Romuald Vien et ses deux filles se sont répartis dans
Les deux demi-chœurs. Je suis heureux qu’ils soient là,
Venu de Saint-Girons-d’Aiguevives où je passerai demain,
Romuald est le maraîcher de mon Amap et je le prends souvent en
Exemple quand il s’agit de reprendre
Espoir quant à l’
Atterrissage.
 Puis on célèbre, en chœur unifié, la cuvée Clovis Premier 2022
Servie par Louis, co-auteur avec un de ses amis.
Pour sa part, les raisins viennent de l’une
des croupières merlotées qu’il
chérit :
En surplomb d’estuaire.
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joellebitar · 1 year
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DÉCOUVREZ LES VUES LES PLUS SPECTACULAIRE DE MONTRÉAL
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Montréal est véritablement considérée comme l’une des plus belles villes du monde. La richesse de son histoire, la diversité de sa culture et ses nombreux parcs naturels ne sont que quelques-uns des éléments qui rendent cette ville remarquable !
Il y a plusieurs points d’observation panoramiques à Montréal qui offrent des vues incroyables de la ville à n’importe quel moment de l’année, de la montagne au fleuve ! L’équipe de Joelle Bitar a dressé une liste divertissante de quelques endroits magiques que vous pouvez visiter sur l’île pour vraiment vivre l’expérience de la ville.
1. L’oratoire Saint-Joseph
Le point culminant de Montréal – plus haut que le Mont-Royal – est célèbre pour les nombreuses guérisons mystérieuses et miraculeuses attribuées au saint qui lui a donné son nom. Sur son terrain, plus d’une demande en mariage a été faite.
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Le belvédère de l’Oratoire Saint-Joseph offre l’une des meilleures vues de Montréal au coucher du soleil.
Si vous voulez visiter le sanctuaire catholique et en même temps que votre admiration pour les couleurs du crépuscule, arrêtez-vous à l’Oratoire en fin d’après-midi ou en début de soirée. Ajoutez à votre aventure l’un des meilleurs sandwichs à la viande fumée de Montréal, que vous trouverez au Snowdon Deli, à quelques minutes en taxi ou à 15 minutes à pied.
2. Tour de Montréal (Stade olympique)
La Tour de Montréal est une tour de 165 mètres située dans Hochelaga-Maisonneuve, près du Parc olympique de Montréal. C’est la plus haute tour inclinée du monde, avec une inclinaison de 45 degrés.
Du haut de la tour, on peut voir toute la région du Grand Montréal, ainsi que la vallée du Saint-Laurent sur une distance de 80 kilomètres. Un trajet de deux minutes dans un funiculaire aux parois vitrées peut emmener jusqu’à 50 personnes au sommet.
3. Le Vieux-Port de Montréal
Le Vieux-Montréal est votre destination touristique historique et l’endroit plus appréciée de la ville. Le quartier pavé dont les racines coloniales françaises de la ville ont été établies pour la première fois est maintenant bordé de boutiques, de galeries et de restaurants qui sont tous situés dans des structures historiquement significatives datant d’aussi loin que le 17e siècle.
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Les vues sur le port et les bâtiments du quartier sont absolument magnifiques.
La grande roue d’observation du Vieux-Port, un ajout récent qui a ouvert ses portes en septembre 2017, offre toute l’année une vue à 360 degrés de Montréal tout en s’élevant à une hauteur de 60 mètres au-dessus de l’eau. Elle mesure 197 pieds, ce qui correspond à peu près à la hauteur d’une structure de 20 étages.
Les cabines de la roue d’observation, qui offrent une vue sur le Vieux-Montréal, le centre-ville, le parc Jean-Drapeau et des sites importants comme la Biosphère et le Stade olympique, sont chauffées en hiver et climatisées en été.
4. Westmount
Westmount, municipalité opulente de l’île de Montréal située à l’ouest du centre-ville, abrite certaines des personnes les plus riches du Canada. La majorité de ses plus belles demeures sont situées sur le Mont Royal, autour du parc du Sommet, où se trouve l’un des trois sommets du Mont Royal, à une altitude de 201 mètres (659 pieds).
Malgré que le transport en commun atteint la région, il faut marcher une bonne partie du trajet pour atteindre le sommet du Bois Summit, où se trouve le belvédère de Westmount, ce qui en fait peut-être l’endroit le moins pratique de notre.
Il existe d’autres points d’observation secrets dans tout Westmount. Vous découvrirez d’autres perspectives en explorant davantage. L’endroit le plus connu est le belvédère Westmount du parc Summit.
5. Les Enfants Terribles
Au 44e niveau du plus haut gratte-ciel de Montréal se trouve un restaurant appelé Les Enfants Terribles. Profitez de l’une des plus belles vues panoramiques de la ville tout en prenant un dernier verre ou un petit-déjeuner le week-end.
Il s’agit d’un endroit populaire du centre-ville, et il est normalement occupé à toute heure de la journée, alors assurez-vous de réserver à l’avance. Pendant les mois les plus chauds, l’établissement dispose également d’un salon extérieur.
6. Le quai de la Tour de l’Horloge
La Tour de l’Horloge de Montréal, située au bord du fleuve Saint-Laurent, a été construite comme monument aux marins canadiens qui ont perdu la vie pendant la Première Guerre mondiale.
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La tour s’agit d’une attraction saisonnière dont les visiteurs peuvent gravir les 192 marches qui mènent au sommet de la tour de 45 mètres de haut (148 pieds) lorsqu’elle est ouverte et admirer la vue sur le fleuve et la ville.
7. Observatoire de la Place Ville Marie
Dans le passé, il y a eu un bar nommé Club 737 sur la Place Ville Marie, au cœur du centre-ville, qui était très apprécié par la population en fin de journée. Les Montréalais fréquentaient souvent cet endroit.
Aujourd’hui, il a été transformé en observatoire qui offre une vue à 360 degrés sur Montréal. La vue est à couper le souffle !
Conclusion,
Les lieux merveilleux mentionnés ci-dessus ne sont que le début d’une expérience extraordinaire lors d’une visite à Montréal.
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Chaque municipalité de Montréal a son propre charme, contactez-nous si vous souhaitez faire de cette magnifique ville votre chez-vous !
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itrnews · 1 year
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Qu’est ce qui empêche les professionnels de la cybersécurité de dormir ? from ITRtv on Vimeo.
Les actionnaires salariés de la Redoute, désormais pure player de l’e-commerce, se partagent près de 100 M€ suite au rachat de l’entreprise par le groupe Galeries Lafayette, via sa holding Motier.
TomTom, spécialiste des technologies de géolocalisation, publie la 12e édition de son Traffic Index annuel, qui dresse un bilan des tendances en matière de circulation dans 389 villes de 56 pays pour l’année 2022. Le coût de la conduite a atteint de nouveaux sommets à travers le monde Le coût des déplacements a explosé en 2022. Londres (centre) est la ville où la vitesse moyenne a été la plus lente en 2022 : 25 km/h (14 km/h aux heures de pointe). En 2022, le coût moyen de déplacement en France a augmenté de 14% pour un véhicule essence et 25% pour une voiture diesel par rapport à 2021
Qu’est ce qui empêche les professionnels de la cybersécurité de dormir ? Dans sa dernière étude, Palo Alto Networks révèle que 57% des professionnels de la cybersécurité déclarent avoir subi trois attaques voire plus au cours des 12 derniers mois ; en France, ils sont 79% à le confirmer. Les 3 principaux challenges de cybersécurité A l’échelle mondiale, les personnes interrogées : la complexité de la gestion du périmètre des données, le manque de professionnels qualifiés et l’inadéquation entre l’évolution des technologies et celle de la sécurité.
Claire Vallaeys, Ingénieur Pédagogique chez AssessFirst ; fait un point sur les emplois en CDI qui concernait 72 % de la population active en 1975 et seulement 59 % et en 2022. Cependant, Claire Vallaeys constate une démocratisation d'autres formes de travail, permettant d'imaginer et d'inventer de nouveaux possibles comme le Freelancing qui permet par exemple de ne plus cumuler des postes, mais des missions.
Le livre « Démarrez avec Arduino », écrit par Massimo Banzi et Michael Shiloh, présente le composant et les bases en électronique et en programmation nécessaires à sa mise en œuvre immédiate d’Arduino. Différents exemples de difficulté croissante permettent d’appréhender progressivement tout le potentiel pour ensuite donner libre cours à son imagination. Cette 4e édition, intégralement revue, contient des nouveaux chapitres sur le cloud, la gamme ARM et un exemple pas-à-pas complet de "check" connecté.
N’hésitez pas à regarder la vidéo pour connaître l’intégralité des propos ou à vous connecter sur le site itrtv.com
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