Tumgik
#Egypte ancienne
vagabondageautourdesoi · 10 months
Text
Temple de la Reine-pharaon
Temple d’Hatchepsout À Louxor, sur la rive ouest du Nil face au temple de Karnac, le Temple de la Reine-Pharaon, Hatchepsout, a imprimé sa stature au fil des siècles. Du nom d’Hatchepsout, l’histoire retient qu’elle a été la femme pharaon connue au long cours qui régna à la XVIIIe dynastie en tant que cinquième pharaon, née en 1508 avant JC. Première grande femme dont le nom a marqué à jamais…
Tumblr media
View On WordPress
3 notes · View notes
le-journal-catalan · 2 years
Text
Cabestany : Saison théâtrale pour le mois d'octobre
Cabestany : Saison théâtrale pour le mois d’octobre
“NEFERTITI” Collectif Koa – SAMEDI 8 OCTOBRE 2022 A 15H30 – SALLE A. ABET – CENTRE CULTUREL J. FERRAT Nefertiti est un concert illustré et poétique autour du personnage mythique de l’Egypte ancienne. La vie mystérieuse de la reine d’Egypte, figure féminine majeur de l’Antiquité, est évoquée en laissant libre cours à l’imaginaire de chacun.es. C’est ensuite à travers le regard du sculpteur royal…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
twinklfrance · 2 years
Text
L'histoire du Jubilé
Commençons par un peu d’histoire…Un jubilé c’est quoi?
Dans l’Égypte antique, le jubilé était une célébration appelée « fête-Sed » qui se déroulait à l’occasion des trente ans de règne du pharaon. Au cours de ces festivités qui avaient lieu durant plusieurs jours, de nombreux rites étaient organisés. On y célébrait donc la longévité du souverain, tout en pratiquant des rituels aux vertus régénératrices pour, d’une part, renouveler la force physique et la puissance magique du pharaon, et, d’autre part, renforcer ses relations avec les dieux et le peuple égyptien.
Pour Ramsès II, âgé de 56 ans, ce rituel a été plutôt bénéfique puisqu’il vivra jusqu’à 91 ans et règnera pendant 66 ans sur l’empire Égyptien. Comme quoi, un petit jubilé pour se ressourcer peut parfois faire du bien.
L’appellation du terme « jubilé » a depuis surtout été utilisée pour désigner les 50 ans d’un événement. Mais pas seulement! Il désigne entre autres des célébrations dans le monde du sport, du travail et bien plus encore. 
On peut aussi parler de jubilé lorsque l’on fait référence au délicieux Cerise Jubilée : un dessert à base de cerises et de liqueur flambées, servie avec une boule de glace à la vanille . Un régal! Pour l’histoire, ce dessert a été créé par le chef Auguste Escoffier en 1897 pour le jubilé de diamant de la reine Victoria, l’arrière arrière grand-mère de la reine Élisabeth II.
Mais qu’est-ce qu’un jubilé pour nos voisins anglais ?
De manière générale, le jubilé désigne la célébration du règne du monarque. Au cours de ses 70 ans de règne, la reine Élisabeth II a pu célébrer 6 différents jubilés. Un record pour une monarque anglaise mais pas l’unique pour la reine. À 96 ans, la reine figure à plusieurs reprises dans le Livre Guinness des records. Quand je vous disais qu’un petit jubilé pouvait vous faire du bien!
Voici donc la liste des différents jubilés célébrés par la famille royale et le royaume britannique:
Le Jubilé d’Argent pour les 25 ans de règne
Le Jubilé de Rubis pour les 40 ans de règne
Le Jubilé d’Or pour les 50 ans de règne
Le Jubilé de Diamant pour les 60 ans de règne
Le Jubilé de Saphir pour les 65 ans de règne
Le Jubilé de Platine pour les 70 ans de règne
Avant la reine Élisabeth II, seule son arrière arrière grand-mère, la reine Victoria, avait célébré le Jubilé de Diamant en 1897. Élisabeth II est ainsi la première monarque à célébrer le Jubilé de Saphir en 2017 suivi du Jubilé de Platine en 2022. 
0 notes
bizarreauhavre · 2 months
Text
Tumblr media
Rare photography of the Sphinx in 1894.
106 notes · View notes
o-link · 2 months
Text
Tumblr media
Pendentif Croix de vie egyptienne Ankh Argent Bijoux Egypte
0 notes
dixvinsblog · 2 years
Text
Les portes du passé oublié - Les pyramides de Grèce sont plus anciennes que celles d'Egypte - Carmen Montet
Les portes du passé oublié – Les pyramides de Grèce sont plus anciennes que celles d’Egypte – Carmen Montet
Les pyramides de Grèce plus anciennes que celles d’Egypte  Mère de la philosophie, des mathématiques et des arts, la civilisation grecque serait en réalité encore plus avancée que ce que l’on pense. Des archéologues menant des fouilles sur l’île de Keros ont découvert deux éléments inattendus : une structure pyramidale et des traces de métal. Deux éléments qui remettent en cause le savoir de la…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
whencyclopedfr · 2 months
Photo
Tumblr media
Bière en Égypte Ancienne
Compte tenu de l'importance que les Égyptiens de l'Antiquité accordaient à la joie de vivre, il n'est pas surprenant qu'ils soient connus comme la première civilisation à avoir perfectionné l'art du brassage de la bière. En fait, les Égyptiens étaient tellement connus comme brasseurs que leur renommée a éclipsé les véritables inventeurs du processus, les Sumériens, même dans l'Antiquité.
Lire la suite...
3 notes · View notes
jpbjazz · 3 months
Text
LÉGENDES DU JAZZ
MARSHALL ALLEN, À LA DÉCOUVERTE DE NOUVEAUX MONDES
"Imagination is the magic carpet. It'll take your soul to distant lands. And outer space."
- Marshall Allen
Né le 25 mai 1924 à Louisville, au Kentucky,  Marshall Belford Allen s’était installé à Philadelphie avec sa famille au cours de son enfance. Allen avait suivi ses premiers cours de clarinette à l’âge de dix ans.
À l’âge de dix-huit ans, Allen s’est enrôlé dans l’armée, où sa carrière de musicien avait débuté. Dans l’armée, Allen avait joué de la clarinette et du saxophone alto dans le 17th Division Special Service Band qui faisait partie de la 92nd Infantry Division, mieux connue sous le nom de Buffalo Soldiers, un régiment de couleur créé durant la Guerre civile et dont il était éventuellement devenu un des seuls survivants.
Alors qu’il était stationné à Paris, Allen s’était produit avec le pianiste Art Simmons et les saxophonistes Don Byas et James Moody. Il avait aussi enregisté avec Moody à la fin des années 1940. Après sa démobilisation, Allen s’est inscrit au Conservatoire de Paris, où il a étudié la clarinette avec Ulysse Delécluse.
Après avoir passé près d’une décennie à l’extérieur des États-Unis, Allen était allé rejoindre sa mère à Chicago en 1951. Son père vivait toujours à Philadelphie à l’époque. Allen expliquait: “When I came back home, after staying two or three years at the conservatory, I passed [through] Philadelphia because they had my ticket written to Chicago instead of Philadelphia.” À Chicago, Allen avait dirigé ses propres groupes, se produisant dans les clubs et les salles de danse. Il avait aussi commencé à écrire ses propres compositions et arrangements.
UNE RENCONTRE PROVIDENTIELLE
Après avoir joué durant quelques années avec des groupes locaux de Chicago, Allen avait entendu dire que Sun Ra, qui pratiquait presqu’à chaque soir avec son groupe l’Arkestra dans une salle de danse des environs et était en train de devenir un pilier de la scène du jazz de la ville, était à la recherche de musiciens. Comme il l’avait expliqué lui-même, Allen était déjà très familier avec la musique de Sun Ra à l’époque. Il avait déclaré: "Every night I got off from work I went over to see Sun Ra — ask him, you know, I wanna play with the band. He talks about the Bible, and he'd talk about ancient Egypt and the space age."
Né sous le nom d’Herman Blount en 1914, Sun Ra était convaincu être né sur la planète Saturne, et ne se considérait pas comme un être humain comme les autres. Comme Sun Ra l’avait expliqué au cours d’une entrevue qu’il avait accordée à la fin des années 1980, "I'm really not a man, you see. I'm an angel. If you're an angel, you're a step above man." Combinaison hybride de boogie woogie, de stride, de blues, de bebop, de free jazz et de Nouvel Age, la musique de Sun Ra s’était mérité le qualificatif d’Afro-futuriste. La musique de l’Arkestra faisait également de nombreuses références à l’Égypte ancienne.
Fasciné par le personnage de Sun Ra, Allen avait ajouté: "It was something about him that I couldn't get away — It was like a magnet. He draws you right in. It changed my whole destiny. He said, 'We're gonna play this music for the 21st century' — which was about 50 or 60 years away. And I was thinking to myself, I gotta wait that long?"
Anxieux de rejoindre le groupe de Sun Ra, Allen avait rencontré le chef d’orchestre après son travail et avait passé toute la nuit avec lui. Allen précisait: “He was talking about the Bible, ancient history and all these different things. You know, and music and stuff. And I’m just standing there listening. Every night, I get off from work, I’d go over there and practice.” Éventuellement, Sun Ra avait demandé à Allen de venir le rencontrer à la résidence du saxophoniste John Gilmore. Lorsque Sun Ra avait demandé à Allen d’apporter sa flûte lors de la rencontre, Allen avait répondu: “All I got is a clarinet and an alto.” Allen s’était rendu dans un magasin du centre-ville pour s’acheter une flûte lorsqu’il avait soudainement réalisé qu’il n’avait même pas l’embouchure qui était nécessaire pour en jouer. Il expliquait: “I didn’t have the embouchure. I knew the keys and everything, but I didn’t have the chops.”
Après s’être procuré une embouchure, Allen s’était trouvé un professeur au Chicago Symphony Orchestra qui opérait une école de musique pour enfants. Allen n’ayant pas d’argent, le professeur lui avait proposé de lui donner des cours gratuitement. En échange, Allen s’était engagé à enseigner la musique aux enfants en guise de paiement. Allen poursuivait: “That’s what I did every day for a couple of weeks, and I got my chops up, a little bit.”
Par la suite, Allen était allé voir Sun Ra pour pratiquer. La première pièce qu’Allen avait interprété avec Sun Ra était “Spontaneous Simplicity.” Après qu’Allen ait interprété la pièce note pour note, Sun Ra lui avait demandé de la jouer de nouveau, mais cette fois de façon plus spontanée. “You did something right, now make wrong right”, avait expliqué Sun Ra. Allen, qui avait rejoint l’Arkestra  en 1958, n’avait jamais oublié cette leçon tout le long de sa collaboration avec Sun Ra.
Parmi toutes les leçons qu’Allen avait apprise lors de sa collaboration de trente-cinq ans avec Sun Ra, la discipline était certainement l’une des plus importantes. À l’instar de John Gilmore, l’autre grand leader du groupe, Allen avait joué presque exclusivement avec l’Arkestra au cours de sa carrière, remplissant à la fois un rôle d’éducateur, de chef d’orchestre et éventuellement, de successeur de Sun Ra lui-même après la mort de ce dernier en 1993. Comme leader de la section de saxophones du groupe, Allen avait un peu assumé le même rôle que Johnny Hodges dans l’orchestre de Duke Ellington des décennies plus tôt. C’est d’ailleurs beaucoup grâce à Allen que l’Arkestra avait remporté les sondages du magazine Down Beat comme meilleur big band de jazz en 1988 et 1989.
Évoquant les débuts de sa collaboration avec Sun Ra, Allen avait précisé: “He stayed on my case to keep my discipline up. [Sun Ra] rehearsed every day, seven days a week. That kind of put a dent on me ’cause I was kind of wild in [those] days. I would be mad, because I couldn’t run and he would keep me at it — music, music, rehearse, rehearse . . . every day. So I’d finally give up and say, ‘Oh, I may as well go on and do it, and try to do it right.’ ” 
Décrivant la méthode d’apprentissage de Sun Ra, Allen avait commenté: “He used to tell me, ‘Oh, you play nice’ or ‘You got a nice tone, but it’s not what I want.’ ” Allen avait ajouté: “He didn’t want you to play what you know in your head, but the real feeling, the soul, the heart. I would always get confused by that, but really, he just wanted me to play from my heart. When I began to quit fighting him over that ‘what I know’ stuff, I began to please him a little better.” Définissant la musique de l’Arkestra, Allen avait précisé: “We call it space music. Call it whatever you like, but it’s space. It’s dealing with, (not these earthly things) those things that we don’t know.” Situant l’oeuvre de Sun Ra dans le contexte plus large de l’amélioration des conditions de vie du peuple afro-américain, Allen avait commenté: “You want a better world. You create a better world.”
Même s’il avait surtout été associé à l’Arkestra, Allen avait enregistré avec le pianiste Paul Bley en 1964 ainsi qu’avec le groupe Drums of Passion du batteur nigérien Babatunde Olatunji au milieu des années 1960. Allen a également souvent collaboré avec le contrebassiste Henry Grimes. Évoquant sa collaboration avec Olatunji, Allen avait précisé: “I was playing this great big bell: bang, bang, bang, ba-bang, bang, bang, di-di-di-di. Standing right over there next to Olatunji, with that great big ol’ giant drum that he played: bam, bam . . . oh yeah! If I missed a beat, then ‘bam,’ he’d [take] a swing at me!” Olatunji est mort en 2003. Dans le cadre de sa collaboration avec Olatunji, Allen était devenu un des premiers musiciens de jazz à jouer de la musique traditionnelle africaine, annonçant ainsi l’avènement de ce qu’on appelle aujourd’hui la ‘’World Music’’ ou musiques du monde. Allen est également un des seuls musiciens de jazz à avoir fabriqué et joué de la kora, un populaire instrument à cordes d’Afrique de l’Ouest. Considéré comme un pionnier du free jazz, Allen avait également inventé un instrument à vent appelé ‘’morrow’’, qui était composé d’une embouchure de saxophone rattachée à une armature en bois. Malheureusement, Allen ayant négligé de faire enregistrer son brevet, l’instrument s’était fait connaître sous un autre nom.
Le fait d’appartenir à l’Arkestra avait toujours été entouré d’une certaine mystique. Le joueur de cor français Vincent Chancey, qui avait commencé à jouer avec le groupe en 1976, expliquait: “I first became aware of Sun Ra, just from his [album] covers. I was interested in a lot of Eastern philosophy and mystical readings. I was [also] interested in ancient Egypt and its relationship to the African diaspora and our history.” 
PASSEUR DE FLAMBEAU
À la fin de 1992, Sun Ra était retourné dans sa ville natale de Birmingham afin de vivre avec sa soeur aînée, Mary Jenkins. Devenue son infirmière, Mary avait pris soin de son frère avec ses cousins jusqu’à ce qu’il soit admis au Princeton Baptist Medical Center de Birmingham à la suite de problèmes cardiaques, respiratoires et de circulation sanguine. C’est là que Sun Ra avait rendu l’âme le 30 mai 1993. Il a été enterré au Elmwood Cemetery. On peut lire sur sa pierre tombale l’inscription "Herman Sonny Blount aka Le Sony'r Ra". Sun Ra n’avait jamais été marié et ne semble pas avoir laissé de descendance. Après la mort de Sun Ra, c’est d’abord John Gilmore avait pris la direction de l’Arkestra. Après le décès de Gilmore en 1995, Allen avait repris le flambeau. Quatre ans plus tard, Allen avait enregistré un album intitulé ‘’Song for the Sun’’, qui mettait notamment en vedette le batteur Jimmy Hopps et le joueur de trombone Dick Griffin. Expliquant pourquoi il avait accepté de prendre la direction du groupe, Allen avait précisé: ‘’I'm carrying on his work — because he worked very hard and he wrote a lot of good music."
Il avait fallu vingt et un ans pour qu’Allen enregistre un nouvel album avec le groupe en 2020. Intitulé ‘’Swirling’’, l’album publié en pleine pandémie de la Covid-19, avait contribué à démontrer qu’Allen avait encore beaucoup de musique à donner. L’album a été enregistré aux studios de Rittenhouse Soundworks à Philadelphie. Loin de se limiter à jouer sur l’album, Allen avait également contribué au mixage, à l’enregistrement, à la production et aux réarrangements de plusieurs classiques de l’Arkestra.
Se décrivant lui-même comme un passeur de flambeau, Allen expliquait: “Like the virus going on right now, it don’t bother me. I’m used to staying in the house, doing the work, because I have much work to do to keep Sun Ra’s music alive.”
En mai 2004, Allen avait célébré son 80e anniversaire avec le groupe dans le cadre d’une performance au Ninth Vision Festival de New York. Allen avait présenté d’autres performances lors de son anniversaire de naissance (en 2008 à Sullivan Hall et en 2018 à l’Iridium Jazz Club en 2018). Allen a également fait des apparitions avec l’Innerzone Orchestra" aux côtés de Francisco Mora Catlett et Carl Craig dans le cadre de différents hommages à la musique de Sun Ra.
À l’été 2004, sous la direction d’Allen, l’Arkestra était devenu le premier groupe de jazz américain à jouer à Tuva, dans le sud de la Sibérie, dans le cadre du Ustuu-Huree Festival. L’Arkestra avait continué de présenter des concerts et de faire des tournées jusqu’en juillet 2019.
Même si la majorité des membres de l’Arkestra, y compris Allen, disposaient d’une formation classique, ils s’écartaient souvent des partitions écrites pour partir à la recherche du ‘’feeling’’, comme pour rappeler que la musique était à la base de tradition orale. La joueuse de viole Melanie Dyer, qui s’était joint à l’Arkestra en 2019, plus de deux décennies après la mort de Sun Ra en 1993, précisait: “It was definitely like baptism by fire. As a string player, I wasn’t able to learn from a whole lot of charts. Even if [alto saxophonist] Knoel [Scott] gave me a chart, it didn’t necessarily mean that that chart was going to be played that night {rires}. So I’ve had to learn a lot on the bandstand and that’s been really an old-school kind of process.” Le fait d’avoir un musicien aussi expérimenté qu’Allen comme collègue et mentor était d’ailleurs considéré comme un privilège par les membres du groupe. La chanteuse et violoniste Tara Middleton, qui a adhéré à l’Arkestra en 2012, confirmait: “When you try to think about talking about Marshall, because it’s so personal, it really gives me a moment to kind of think about what could I say or how do I express that more than just, ‘Oh, he’s a great guy.’ ” Middleton avait ajouté:
“It’s so much deeper than that. To have the opportunity to be in that inner circle and learn from someone who is a legend, who’s an innovator of music, of this avant-garde saxophone, of something that no one else is doing. And also from someone who effects change, like Sun Ra effected change in music, he effected change in his mind, he effected change socially. Marshall has a way of being able to effect such change. If you think about creating an art form — and Sun Ra created an art form — something that no one else was doing. Marshall has created a sound and a style, something that no one else was doing at the time.”
Collectif de musiciens qui avait toujours été à la recherche d’une certaine ‘’vérité’’ à travers sa musique, l’Arkestra continuait en 2020 de chercher une nouvelle façon de se transformer. Allen expliquait: “I’m not a Sun Ra, but I know one thing, I want them to pay attention and I want them  [to] when I say play, play.”
Durant la pandémie de la Covid-19, Allen avait tenté de passer le temps en faisant de la course à pied et en prenant de l’air près de sa résidence. Mais loin d’être découragé par la quarantaine qui s’éternisait, Allen, à l’âge avancé de quatre-vingt-seize ans, avait profité de ce moment de répit pour jouer encore plus de musique. Mais si après quatre-vingt ans de carrière, Allen n’en avait toujours pas assez de la carrière de musicien de jazz, ce n’est certainement pas aujourd’hui qu’il allait commencer.
Caractérisé par sa sonorité explosive, dissonante et souvent chaotique au saxophone alto, Allen avait déclaré lors d’une entrevue accordée en 1971 qu’il désirait jouer ‘’on a broader sound basis rather than on chords". Souvent qualifié de ‘’pyrotechnique’’, le jeu d’Allen avait été comparé par le critique Scott Yanow à un ‘’Johnny Hodges issu d’une autre dimension.’’
Avec les années, Allen ne s’était pas contenté de jouer de la clarinette, de la flûte et du saxophone alto, mais il était devenu un véritable multi-intrumentiste. Il expliquait:
“I’ve got 15 to 20 instruments I gotta play. Oboe, flute, piccolo, trumpet, trombone, tenor sax, baritone, three or four altos, soprano. . . . I even got my kora to play during the day. I’ve got enough instruments to keep me busy 24 hours a day.” Allen joue également de l’EWI, un saxophone électronique qui a été popularisé notamment par Michael Brecker avec le groupe Steps Ahead.
Au cours de sa carrière, Allen a enregistré des centaines d’albums comme leader et accompagnateur. En plus d’avoir participé à plus de deux cents albums de l’Arkestra, Allen a fait des apparitions comme artiste invité dans des concerts et des enregistrements avec des groupes et des artistes aussi divers que NRBQ, Phish, Sonic Youth, Diggable Planets, Terry Adams et Medeski, Martin & Wood.
Depuis les années 1940, Allen s’est produit dans des milliers de concerts à travers le monde.
Allen vit toujours dans la maison de Philadelphie où l’Arkestra avait emmenagé en 1968 après son départ de New York. Décrivant la maison comme un véritable laboratoire, Allen avait commenté: "They went on for all day, all night — 'cause he wrote music like you would write a letter. Every day it's a new tune. Every day the same tune is being changed." Allen a d’ailleurs conservé d’anciennes compositions manuscrites de Sun Ra qu’il entend utiliser dans le cadre des futurs albums de l’Arkestra. Il expliquait: ‘’I had a treasure house of ideas and things that I could use, so I used them. And I changed them — the arrangements a little bit, like he does. I had all the music, so it was my turn to do my best." Reconnaissant comme seules limites celles de son imagination, Allen avait ajouté: "Imagination is the magic carpet. It'll take your soul to distant lands. And outer space."
En 2022, l’édifice qui avait abrité l’Arkestral Institute of Sun Ra au 5626, de la rue Morton à Philadelphie a été reconnu bâtiment historique par le Philadelphia Register of Historic Places.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
2 notes · View notes
silveragelovechild · 1 year
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
I came across these illustrations from a French story book about Egypt. Well nicely done.
Contes et Légendes de l'Égypte ancienne
Stories by Marguerite Divin
Illustrated by Manon Lessel
Published in Paris 1946
Part 3
Tumblr media
10 notes · View notes
bishoynagib · 11 months
Text
Egypt is a country with a vibrant past and present. It is the location of some of the most well-known ancient structures in the entire world, with our Egypt trips you can visit many places including the Valley of the Kings, the Sphinx, and the Pyramids of Giza. @cairotoptours-blog
3 notes · View notes
claudehenrion · 1 year
Text
Macrons et Caucones...
La mode exige de réciter que les anciennes études ''classiques'' et les langues dites mortes seraient… mortes, justement. Pourtant, force est de reconnaître qu'elles aidaient souvent à mieux comprendre les errements, les errances et les erreurs du temps présent. Les habitués de ce Blog connaissent mon intérêt (parfois excessif ?) pour ce que cache l'étymologie de chaque mot utilisé… en ce siècle où la pensée semble préférer s'appuyer sur des notions surtout conçues pour être... inconçues.
Mais ce n'est pas sur l'étymologie latine ou grecque que j’ai très envie de passer un moment avec vous, aujourd'hui : c'est sur l'Histoire ancienne et donc, forcément, sur la géographie. Ces jours derniers, j'ai profité de ces vacances de Pâques pour me replonger dans quelques vieux ouvrages qui avaient bercé et souvent illuminé mon enfance. Et j'ai retrouvé des descriptions du monde ''selon Strabon'', qui était, avec Esope, un de mes ''passe-temps'' préférés (NDLR – J’ai connu des joies énormes à fréquenter les livres de mes frères et sœurs, plus âgés : lisant ce qu'ils lisaient, je croyais devenir leur égal. Ils savaient vite me ramener à mon rang !).
Strabon (en grec ancien Στράϐων = celui qui louche. NB : il devait être sacrément ''bigleux''... pour avoir donné son nom au strabisme !) était un géographe et historien grec, né vers l'an 60 av. J.-C et mort autour de 20 ap. J.-C à près de 90 ans, ce qui était énorme, ''in illo tempore''. Il s'installa à Rome, d'où il ''co-voitura'' dans toute l'Italie actuelle, puis il fréquenta le Club Med en Ethiopie et en Egypte où il remonta le Nil (cherchant –qui sait ?-- à croiser Agatha Christie et Hercule Poirot).  Il tira de ses voyages et de ses lectures ''la Géographie'', ouvrage en 17 tomes (''seulement ?''), organisés par région. (NB : les voyages formaient déjà la jeunesse de nos ancêtres !). Avant cela, il avait écrit des ''Commentaires historiques'', en 43 livres (''excusez du peu'' !) dont il nous reste quelques fragments. Strabon, bien que grec, ne cachait pas son admiration pour Rome, et on dit c'est lui qui aurait mis l’érudition grecque au service de la conquête romaine. On peut regretter, voire déplorer, que bon nombre de nos contemporains n'en ''prenne pas de la graine''. Si seulement nos ''migrants'' pouvaient ouvrir les yeux sur la riche culture française...
Mais ce qui a tout particulièrement retenu mon attention amusée, c'est que mon cher Strabon, qu'il louche ou pas, a raconté l'existence d'une peuplade, celle des ''Macrons''... dont la doxa élyséenne et les fake-makers impudents de la presse ''main stream'' nous cachent soigneusement l'existence. En poursuivant ma quête, sur Wikipédia et dans l'annuaire de l'Ena, j'ai découvert que ce peuple antique et slave avait élu domicile entre les Alpes Pontiques et le Pont Euxin... et même qu'il s'appellerait, en jargon géorgien, les ''მაკრონები'' (ça, je l’ai recopié, bien sûr sans comprendre, mais ça fait joli !). Petit problème : n'ayant pas une vraie maîtrise des caractères diacritiques, svanes et mingréliens, je n'ai pas trouvé sur mon clavier la touche du ''mani'' majuscule (c'est la lettre ''მ '', bien sûr, première lettre du mot macron). ''Manu'' devra donc se contenter d'un mani minuscule... C’est très bien.
En cherchant plus avant, j'ai suivi la trace de ces lointains ancêtres du nôtre (en tout cas, aux -nymes éponymes homonymes) : les Macrons sont mentionnés vers 450 av. J.-C. par Hérodote, qui rapporte qu'ils ont combattu sous Xerxès 1er dit le perse (c'est donc ''il y a longtemps'' : sans doute pendant le premier quinquennat, je pense !). On les retrouve sous le calame de Xénophon (430-355 av. J.-C.), qui les déplace plus vers l'est, à Trébizonde, l'ancienne capitale de Mithridate (1672, entre Bajazet et Iphigénie), qui est la Racine –si j'ose !-- de ''mithridatiser'', synonyme de ''vacciner''... ce qui amène la question : ''Pfizer et Moderna pourraient-ils être des macrons, eux aussi ?''. Passons. Après 1672, la suite de l'histoire les fera migrer (Tiens donc ! Des migrants ? Ceci expliquerait l'actuelle ''indulgence plénière'' du nôtre, de macron, pour tout envahisseur de ''l'Hexagone''), d'abord vers Amiens et les Jésuites de ''la Providence'', et vers l'énanisme de la rue Saint Guillaume, puis vers Rothschild et les ''deals'' arrangés pour faire briller des ''Young Leaders'', ensuite vers Bercy, et de là...  Faubourg Saint Honoré, la Lanterne, Brégançon...  
Jusque là, à part le fait, devenu une routine, que ''on ne nous dit jamais rien''... il y a peu à gloser : c'était un petit peuple comme il en a eu tant dans l'Antiquité. On les imagine très bien, vêtus de gilets jaunes et parfois de bonnets rouges pas encore phrygiens, se déplaçant sans cesse de rond-point en rond-point, avalant bornes après Borne, en fonction des pluies, de l'inflation, du CO², du niveau des nappes phréatiques et de la vitesse du vent dans les feuilles des arbres (ces filles d'éole –d'où leur nom en ce temps-là : ''éoliennes'' !), du manque éventuel de PQ ou de Doliprane au Carrefour du coin, sans culture nationale et donc mûrs pour recevoir ''davantage de pédagogie'', bras nus pour des piquouzes bi-mensuelles à l'ARNm du temps, le visage couvert de masques inutiles, prêts à traverser la rue –ou la rive-- pour trouver du travail pendant entre 43 ans et 49-3 annuités, quoi qu'il en coûte...  On peut supposer qu'ils travaillaient en moyenne jusqu'à 64 ans, temps d'ailleurs supérieur à leur espérance de vie... et on dit que, fatigués d'être confinés et pris pour des cons, finement... ils auraient inventé un drôle de machin-truc : ''la casserole'', sur lequel ils tapaient en rythme ! Je n'ai pas vérifié ce dernier point).
Deux ‘’infos’’, tout-de-même, devraient chatouiller quelque peu notre occiput (ce qui, on ne le répétera jamais assez, n'a rien à voir avec une femme de mauvaise vie qui a été assassinée !) : le premier, assez troublant, est que les voisins directs des Macrons sur les côtes de l'Euxin étaient une autre peuplade cousine dont les membres s'appelaient les ''Caucones'', ce qui n'est pas une surprise pour nos contemporains, effarés par le comportement des ministres et des députés qui ont choisi Macron (enfin... un des macrons, devrais-je dire) pour con-crétiser leurs ambitions –que leur nullité encyclopédique était bien en peine de leur offrir avec un mentor moins menteur— et je ne parle pas, ici, que de Marlène Schiappa (en italien : la nullité absolue), de Dupont et Dupond Moretti, ou de Pap Ndiaye -qui n'est pas italien. Pourtant. Il y avait, parfois, des mariages de macrons avec des caucones, et cette proxi-miscuité, attestée par les plus grands auteurs de l'Antiquité gréco-romaine et de la lutte éponyme, devrait ''nous interpeller, quelque part''. 
Car un second point est encore plus menaçant, à terme. Xénophon est formel : il atteste que les Macrons avaient ''la tête comprimée dès la naissance par des armatures en bois et des bandelettes de cuir ou de tissu''. Cette pratique devrait, selon toute bonne logique aristotélicienne, constituer une sérieuse entrave à la compréhension de situations complexes... ce qui vient corroborer nos terreurs  --inexplicables jusque là, mais plus claires, désormais : avec une tête comprimée dès la naissance, les perspectives de progrès réel doivent très vite rencontrer les limites que le ministre-en-titre de l'éducation asexuée, genrée, perverse et inclusive (donc : tout, sauf ''nationale'') veut ou peut concevoir pour l'école... de même que tout désir d'adaptation au monde doit se heurter à ce que connaît Macron (le nôtre, notre Macron ben-Macron ben-Macron etc... ben jusqu'à ses ancêtres ''მაკრონები''). Le résultat de cette contrainte imposée à ‘’nos enfants’’ (comme répète sans cesse celui qui n'en a pas) explique le nombre de ''têtes d’œuf'' de son entourage et leurs crânes en forme de ''bonnet d'enâ'', les excès de rouflaquettes, le plein d'anneaux aux doigts et le besoin ostentatoire et chronique de se montrer en bras de chemise en toute circonstance, oublieux de sa fonction et de ce qu'il devrait être et faire....
On a beau m'expliquer que c'est un récit, d'us et d'ab-us pratiqués il y a longtemps par des hordes en désordre, pas encore libérées de leurs croyances, antiques --et en toc, donc ''de droite'' : encore des complotistes !-- par les bienfaits de l'école de la République (ce qu'on appelait ''l'école de Papa'', qui est devenue celle de Pap, hélas !)... je remarque trop de ressemblances avec des  coïncidences pour ne pas voir là un des nombreux effets secondaires de l'ARNm qui a été enté de force dans tant de bras qui n'en voulaient pas, mais qu’on menaçait de l'enfer social d'une suspension s'ils refusaient d'être ramenés à leur seul ''cu-air cod'' (en français : cu de morue à l'air)... Au fond, si plus de 3 français sur 4 trouvent, ''H-24'', que leur macron a des idées souvent caucones... c'est la faute aux მაკრონები, c’est clair.
H-Cl.
6 notes · View notes
vagabondageautourdesoi · 11 months
Text
Le Musée de la Nubie
Le Musée de la Nubie, ouvert en 1997, à Assouan, à la présentation soignée et moderne, rend hommage à une population oubliée, les Nubiens. Les cartels sont écrits en égyptien et anglais. Statue de Kephren assis sur son trône Assouan est la porte de l’Afrique, ville coincée entre le désert de Lybie et celui d’Arabie, capitale de cette Egypte du sud, dernière grande agglomération avant le Soudan. À…
Tumblr media
View On WordPress
2 notes · View notes
aisakalegacy · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media
Hiver 1899, Louxor, Egypte (1/3)
Cher cousin Adelphe, Je vous écrit de Louxor où je suis arrivé en mai dernier. Les mots me manquent pour vous décrire ma joie de retrouver la beauté du désert égyptien. Je ne connais rien de semblable. Si les pyramides et les tombeaux des anciens rois ne venaient trahir une présence humaine ancienne, il paraitrait épargné par la civilisation. J’apprécie son sable doux et lisse sous le pied, son air pur et chaud, son soleil impitoyable et ses ruines pleines de mystères et de promesses.
5 notes · View notes
philoursmars · 2 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Retour à mon projet de présenter la plupart de mes 52825 photos
2010. Ma mère avait toujours rêvé d’aller en Egypte. A 80 ans, elle concrétise ce rêve avec moi !
Assouan, balade en barque vers les îles de la Première Cataracte.
On se fraie un chemin étroit entre les roseaux et le chaos granitique (marqué par les traces des anciennes crues du Nil). Ici on se sent vraiment en Afrique et on imagine voir apparaître des hippopotames, hélas disparus depuis des millénaires...
8 notes · View notes
bizarreauhavre · 5 months
Text
Tumblr media
Gateway of the temple of Dendera, Egypt, ca. 1862.
61 notes · View notes
o-link · 2 months
Text
Tumblr media
Pendentif Oeil d' Horus - Croix Ankh - Egypte ancienne
0 notes