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#-Une maîtresse d'école!
lolochaponnay · 3 months
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La maîtresse demande à sa classe : -Comment appelle-t-on quelqu'un qui n'arrête pas de parler alors que personne ne l'écoute? Toto lève la main et répond : -Une maîtresse d'école!
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perduedansmatete · 1 year
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bon, du coup hier après midi, sans grande surprise mon ami platonique me dit qu'il veut aller dans mon bar préféré parce que c'est un squatteur et que c'était la meilleure soirée ce jour là, sous entendu "viens avec moi" ce à quoi je lui réponds à mon regret que j'y vais déjà avec ma cousine, sous entendu "on va devoir se regarder de loin" (elle le déteste, en fait tout le monde le déteste, et officiellement, on ne se voit plus mdr) on passe donc l'après-midi à parler, il me dit qu'il a envie de moi, on prépare des plans pour se voir et on en rigole bien que ça ne me fasse pas vraiment rire en soi. le soir je retrouve ma cousine et sa nouvelle voisine/copine, en chemin on entend de la musique et des applaudissement venant d'un parc on trouve ça étrange, on pense que c'est chez des gens mais non, il y avait un concert de vieux qui faisaient des reprises. on reste jusqu'à la fin car il faisait bon dehors et qu'on avait l'impression d'être à une fête de village en vacances c'était sympa, sauf le premier relou de la soirée que je soupçonne d'avoir faire exprès de déverser sa bière sur nous pour pouvoir nous parler et ne pas nous lâcher. pendant ce temps je guettais mes messages entre l'ami platonique qui était déjà arrivé et mon super pote qui voulait essayer de passer pour qu'on se voit un peu (au final il est pas venu snif mais j'étais tellement en bad que c'est pas plus mal) puis on bouge au bar et s'en suit des moments terribles, tout le chemin mes deux partenaires espéraient que l'ami platonique ne soit pas là en lui adossant de petits surnoms très peu élogieux tout en déversant leur haine. (je me pose quand même beaucoup de questions, j'ai trop tendance à être amie avec des gens que tout le monde fini par haïr) évidemment la première personne que j'ai vu en entrant, c'était lui, et elles n'ont pas tardé non plus à le repérer. j'ai su directement que nos plans tombaient à l'eau et que je ne pourrais même pas lui faire un petit bisou en passant. on monte au vestiaire, je croise le pote du dernier mec que j'ai pécho et qui avait fini par (entre autres) m'étrangler parce que je ne voulais pas coucher avec lui. toute la soirée est étouffante, je lui parle par messages, il me fait dire les choses que j'ai entendu dans la bouche de mes copines à son sujet, il est à bout de nerfs, je le suis aussi, on veut chialer tous les deux. un mec vient à notre table, veut faire son intéressant, nous dit qu'on a toutes les trois l'air littéraires (?) est méprisant quand ma cousine lui dit qu'elle est maîtresse d'école, quand je connais pas son sociologue sorti d'un fond de tiroir qu'il ne savait même pas épeler, et quand la copine de ma cousine lui dit qu'elle ne connaît pas dostoïevski. plus le temps passe, plus je suffoque, je m'amuse pas, j'en ai marre. je veux rentrer chez moi mais je peux pas. l'ami platonique m'envoie des messages me dit regarde moi, mes partenaires se plaignent de sa présence, je le regarde pas. ma cousine est trop mal, on décide de rentrer, le chemin n'est pas long mais on a le temps de se faire siffler deux fois par deux mecs en bagnole, un autre trop bizarre nous raconte je sais pas trop quoi à un feu vert pour lui, on passe devant un commissariat et un connard nous balance de l'eau d'une fenêtre du commissariat comme il l'avait fait sur les passants juste avant, mais privilège féminin oblige, on a en plus le droit à un doux sifflement. on gueule mais on continue de marcher, un groupe de mecs passe et l'un d'eux se pousse pas alors que je ne pouvais pas le faire, il me regarde profondément et me bouscule à moitié, et enfin juste avant d'arriver un gars nous regarde trop chelou avec un sourire dégueulasse et n'arrête pas de se retourner vers nous en nous disant encore une fois je sais pas quoi pendant qu'on l'insulte. je finis par m'endormir avec l'autre folle (le chaton de ma cousine) qui joue avec mon bras tordu comme si j'étais son griffoir et je me réveille avec cette même folle qui essaie encore de me téter alors qu'on pensait l'avoir sevré. bref pas ouf/20, mais je m'attendais étrangement à pire en vrai.
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exutoiredepenser · 7 months
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De 5 à 10 ans.
Au CP je m'épanouis, lisant avec Ratus, joyeux avec mes amis de maternelle. Notre cour d'école, minuscule, n'entrave pas notre plaisir. Mais à la maison, des secrets sombres émergent, perturbant mon monde. Les premières rencontres avec les psychologues, une quête pour trouver celui qui me comprendra. Maman perd son emploi, submergée par l'alcool. Papa en colère, détruisant notre foyer. Chez papi et mamie, mes inquiétudes se tournent vers ma génitrice. Le lendemain, nous retournons à la maison comme si rien n'avait eu lieu. Je fouille partout, découvrant les bouteilles dissimulées dans le sac à main de ma mère. Je pressens déjà le destin qui l'attend. Pourquoi, à cet âge précoce, comprenais-je ces tourments ?
Nouvelle école pour le CE1 et le CE2, en face de chez mes parents. La maîtresse est bienveillante, même autorisant mon chat à l'école. Les troubles de comportement surgissent, ma lutte contre l'hyperactivité atteint son apogée. L'ennui m'accapare, ma vie se résume à cette monotonie. Aucun sport, loisir ou passion ne me captive, tout s'efface en quelques minutes. Je détruis tout à l'école sans raison apparente, insultant une maîtresse partie trop tôt. Je deviens incontrôlable, et avec mes premières migraines, ma vie s'obscurcit. L'école appelle mes parents quotidiennement, mais ils sont au travail, cela m'importe peu. Jusqu'au jour où le téléphone sonne. Ma mère, de l'autre côté de la rue, me demande d'attendre derrière la porte. Une brève discussion et des claques s'ensuivent. Tous entendent le bruit derrière la porte, et ce n'est pas amusant. Je me souviens du plâtre qu'elle a dû porter. Mon père, absent en semaine, attend le vendredi soir pour rétablir l'ordre, d'une manière sévère. À cet âge, je trouve cela normal, que la punition corresponde à la faute.
CM1 et CM2, les problèmes de concentration persistent. Je peux fixer un mur pendant 30 minutes sans m'en rendre compte. Une mouche en vol suffit à m'égarer. L'école m'ennuie, je sais déjà que la cuisine est ma voie future. Les migraines s'intensifient, les lunettes deviennent nécessaires. Bientôt, le collège s'ouvre devant moi, un nouveau monde à explorer.
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lalignedujour · 1 year
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-Non, mais avec tout c'qui s'passe, les gamins, i'savent plus quoi faire quand i'seront grands !
-Ah ouais ouais ouais.
-J'ai une petite fille, moi à son âge, j'voulais être maîtresse d'école ou bien pâtissière.
-Ah ouais ouais ouais.
-Et tu sais c'qu'elle m'a dit qu'elle voulait faire ?
-Ah ouais ouais non non non.
-Trapéziste dentaire.
-Ah ouais ouais ouais.
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beatlesonline-blog · 1 year
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auda-isarn · 2 years
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" Parce que l'idéal de la femme séduisante mais pas pute, bien mariée mais pas effacée, travaillant mais sans trop réussir, pour ne pas écraser son homme, mince mais pas trop nevrosée par la nourriture, restant indéfiniment jeune sans ce faire défigurer par les chirurgiens de l'esthétique, maman épanouie mais pas accaparée par les couches et les devoirs d'école, bonne maîtresse de maison mais pas bonniche traditionnelle, cultivée mais moins qu'un homme, cette femme heureuse que l'on nous brandit tout le temps sous le nez, celle à laquelle on devrait faire l'effort de ressembler, à part qu'elle avait l'air de beaucoup s'emmerder pour pas grand-chose, de toutes façons je ne l'ai jamais croisée, nulle part. Je crois bien qu'elle n'existe pas. "
Avoir une cousine féministe ça aide pour ce procurer des œuvres 😉
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bimicujoc · 2 years
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endemix · 2 years
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A  Trinidad, tout là-bas aux Antilles A Trinidad, vivait une famille Y avait la Mama et le Papa et le grand fils aîné Qui, à quarante ans n'était toujours pas marié Un jour il trouva, la fille qu'il voulait Et dit à son père : "Je voudrais l'épouser." Hélas mon garçon, hélas tu n'peux pas Car cette fille est ta sœur et ta mère ne l'sait pas Oh Papa, quel malheur Quel grand malheur pour moi Oh Papa, quel scandale Si Maman savait ça Deux ans passèrent et le garçon, un soir, vint trouver son père et lui dit, plein d'espoir: "La maîtresse d'école veut bien m'épouser" Mais le pauvre père prit un air accablé: Mon fils tu n'peux pas tu n'peux pas faire ça Car cette fille est ta sœur et ta mère ne l'sait pas ! Oh Papa, quel malheur Quel grand malheur pour moi Oh Papa, quel scandale Si Maman savait ça Dix ans après, il revint tout ému Et dit à son père, "Devine ce que j'ai vu !" Dans la plantation, on vient d'embaucher Plus de cinquante filles du village d'à côté Hélas mon pauvre enfant les Dieux sont contre toi Toutes ces filles sont tes sœurs et ta mère ne l'sait pas Oh Papa, quel malheur Quel grand malheur pour moi Oh Papa, quel scandale Si Maman savait ça A bout de patience, il s'en fut écœuré Raconter à sa mère toute la vérité Sa mère se mit à rire et lui dit : "Ne t'en fais pas Ton père n'est pas ton père et ton père ne le sait pas" Oh Mama, quel bonheur Quel grand bonheur pour moi Oh Mama, quel scandale Si Papa savait ça #scandale #scandaledanslafamille #scandal #instaphoto #instapornstars #cannes #cannes2022 #cotedazur #ete2022 #frenchriviera #frenchkiss #frenchkisses #apoil #nudelook (presso Hotel Splendid Cannes) https://www.instagram.com/p/Chp20_KM3eq/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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joseandrestabarnia · 2 years
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Título: Una dama enseñando a una niña a leer y un niño jugando con un perro ('La Maîtresse d'école')
Artista: Gaspar Netscher
Fechas de artistas: 1635/6 - 1684
Fecha de realización: probablemente 1670
Medio y soporte: Óleo sobre roble
Dimensiones: 45,1 × 37 cm
Crédito de adquisición: Comprado, 1871
A primera vista, Caspar Netscher muestra a dos niños encantadores, ambos ocupados. La niña está aprendiendo a leer mientras el niño juega con el perro, sus juguetes, incluido un trompo, tirados en el suelo.
Puede haber moraleja en la pintura, aunque es más probable que haya sido comprada para divertirse. En un libro de emblemas popular de la época hay una imagen de un trompo con una mano sobre él, empuñando un látigo. El lema en el libro dice: 'Cuanto más lejos está la vara de la parte trasera, más perezosos se vuelven en el servicio de Dios'.
No parece que se hayan usado látigos en ningún lugar cerca de la parte trasera del niño y su expresión feliz sugiere que es poco probable que sea así. La imagen de arriba muestra una escena encantadora, bellamente pintada por la mano experta de Netscher.
Información e imagen de la web de la National Gallery de Londres.
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ismisevy · 2 years
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Bon du coup :
Mon idée du Kaamelott version modern AU
Je le fais avec les personnages que je connais le mieux parce que j'ai pas envie d'inventer n'importe quoi pour les autres juste pour combler le vide, je préfère laisser ceux plus inspirés par ces personnages leur trouver des trucs qui leur correspondent vraiment 💖
Merlin c'est toujours le même Merlin mais qui a 2800 ans, il a vu ses amis se réincarner encore, et encore, et encore et ils se retrouvent tous à chaque fois. Il tient une petite boutique d'apothicaire où il pratique la médecine douce et vend de vieux remèdes de druide, tous les persos sont venus le voir au moins une fois pour régler un problème de santé et sont tous persuadés qu'ils l'ont déjà vu quelque part mais ils sont incapable de se rappeler où.
Elias on s'accorde plus ou moins tous à dire qu'il est dans le médical, à la base il était chirurgien cardiaque pour le prestige et le pognon mais il en a eu marre et s'est reconverti en cardiologue tout court et fait juste les consultations au lieu d'opérer. Avec lui y'a intérêt à venir à l'heure sinon vous êtes blacklistés de son cabinet, il est ronchon mais hyper efficace il trouve toujours ce que vous avez et les rendez vous sont hyper rapides, il a clairement pas ton temps.
Un jour une patiente lui a dit qu'elle avait soigné une grippe avec une potion de Merlin, Elias il est hyper anti médecines alternatives alors il est allé gueuler chez Merlin en lui demandant s'il avait pas honte d'arnaquer les gens, Merlin l'a reconnu et est donc resté calme, il lui a offert une tisane pour calmer les nerfs. Elias la bu et elle a étonnamment bien marché, depuis il l'emmerde plus et fait le passant qui passe devant sa vitrine de temps en temps pour voir comment va le druide.
Léodagan il a repris l'affaire florissante de son père assez jeune et mène une tentative de carrière politique à côté.
Séli elle est avocate me demandez pas pourquoi moi je dis ça lui irai trop bien, pas spécialement par besoin de justice mais pour le prestige et le pognon, malgré ça elle fait très bien son job, évidemment elle prend que les clients pétés de thune.
Léodagan et Séli sont nés en Ecosse mais se sont rencontrés et mariés en France. Ils ont faillit divorcer au moins 20 fois mais finissent toujours pas se retrouver. Ils vivent richement dans un quartier chic dans un appart hyper moderne et ont élevé leurs enfants de même, ils ont une maison de vacances dans leur pays natal.
Léodagan fraude 100% les impôts et il a des comptes en Suisse et aux îles caïman, Séli c'est son avocate et elle le défend dès qu'il est soupçonné de quelque chose
Séli elle a d'abord lâché son job pour faire mère au foyer mais elle était nulle et elle se faisait chier comme la mort du coup elle a repris sa carrière quand les gosses ont quittés la maison. Pour arrêter de subir la bouffe de Séli Léo lui a offert un Thermomix qui cuisine tout seul et ils commandent à emporter quasi tout le temps.
Yvain il étudie pour être ingénieur pour faire plaisir à son père mais il est nul ça le gave et il est au bord du burn out, il veut se réorienter en Arts mais ose pas en parler à ses parents et évite toujours la conversation. Séli garde toutes ses oeuvres d'art sur le frigo mais il en sait rien vu qu'il vient plus les voir.
Guenièvre elle est devenue maîtresse d'école contre l'avis de sa mère qui voulait qu'elle fasse de grandes études, elle est hyper douée avec les enfants même si malheureusement elle ne peut pas en avoir elle même.
Arthur il s'est reconverti dans l'humanitaire après avoir divorcer sa sugar mommy Aconia qui avait elle même divorcé de son premier mari pour l'épouser lui. Il aide surtout les enfants, il rencontre Guenièvre en faisant une intervention dans sa classe pour présenter son boulot et son association. Il a un style un peu hippie qui plaie à Guenièvre parce que ça change du monde très chic dans lequel elle a grandi et ils finissent par sortir ensemble, il finiront aussi par adopter plusieurs enfants. Léo et Séli cautionnent pas du tout leur relation, d'ailleurs Arthur il manque de peu de ruiner la carrière politique de Léodagan qui lui doit protéger son image à tout prix.
Séli elle rencontre plein des persos en les défendant au tribunal, elle a fait du pro bono pour Perceval qui se retrouve en permanence dans des magouilles sans le faire exprès parce qu'il se laisse embarquer par des vieux qui l'arnaque.
Loth c'est le concurrent direct de Léodagan en politique, néanmoins quand ils ont découvert sa relation avec sa femme au lieu de l'utiliser contre lui Séli à décider de l'aider à divorcer.
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merrilyenspensieve · 3 years
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Je voulais quand même dire que pendant que je jouais à la maîtresse d'école mon formidable chéri nous préparait un repas de Roi 🤤💞 https://www.instagram.com/p/CNZtK7BFgYuOpPI5YhmYMaMykIbSyWjky8Xet80/?igshid=q7k64qcfrnf7
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Tout est compliqué et sombre là-bas je veux juste sortir et trouver autre chose. J'essaie de ne pas laisser cette situation influencer trop mon morale mais c'est impossible tant on me prend continuellement la tête pour des broutilles à longueur de journée.
J'ai énormément de problème avec le management dictatorial et horizontal de ma responsable. Elle ne fait qu'aboyer des ordres et des directives et des fameuses "deadlines" impossibles à tenir. Tout est urgent et impératif, tout presse, on n'a pas le temps on n'a pas le temps. Des affiches pour le mois d'avril à terminer en février. Je ne comprends pas ce besoin permanent qu'elle a de tout surveiller et de tout dicter. Je me sens totalement sans intérêt, j'ai l'impression d'être son automate. Elle me demande d'imprimer des choses à sa place, d'aller chercher des choses pour elle. Avec son grand manteau elle sort de son bureau et nous jette à tous un regard noir, avant de partit d'un pas pressé à travers les couloirs, et revient en grommelant des insultes à l'égard de Pierre, Paul et de Jacques.
Quand elle m'appelle dans son bureau j'ai tellement envie de l'envoyer chier. Si vous savez comment je me retiens. Je ne supporte plus sa voix, sa façon de me parler, et son comportement de maîtresse d'école.
Je veux juste quitter ce job.
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questionningzebra · 3 years
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@a-room-of-my-own J’ai regardé Petite Fille et j’avais raison de me méfier : c’était une horreur. J’ai pris des notes tout le film, et honnêtement me concentrer là-dessus c’est la seule chose qui m’a permis de ne pas hurler.
Du coup comme tu voulais savoir ce que j’en pensais :
(attention, ça couvre tout le film et quand je suis lancée on ne m’arrête plus, alors c’est super long X’D)
- RDV avec un médecin, qui est clairement dubitatif mais avoue aussi ne pas être compétent sur le sujet, et conseille à la mère de Sasha d’aller voir un spécialiste.
- RDV avec la pédopsychiatre : Elle demande à S comment ça se passe à l’école, l’enfant répond qu’avec sa maîtresse “ça se passe pas très bien”, et précise que “maman elle l’aime pas beaucoup”. La psy n’a pourtant pas l’air de juger qu’il faudrait voir l’enfant seul.
La mère répond à la place de S à plusieurs reprises, ce que la psy ne relève jamais. Elle dit (devant l’enfant) qu’elle aurait voulu avoir une fille, qu’elle se demande si “ça n’aurait pas...” La psy balaie immédiatement l’idée et pose dans la foulée un diagnostic de dysphorie de genre, en disant qu’on ne sait pas pourquoi ça arrive mais que ce n’est pas la faute des parents, que “c’est comme ça, c’est tout” et qu’“on peut se sentir fille”. Elle n’explique pas en quoi on pourrait se sentir fille, et ne demande pas non plus à S d’expliquer pourquoi il pense être une fille. Aucune question ne sera jamais posée à l’enfant à ce sujet.
A un moment, l’enfant répond “je ne sais pas”, ce à quoi la psy répond “On dirait que tu veux rassurer maman, c’est bien ça ?” -> influence son patient, et ne se rend même pas compte qu”il y a un problème si l’enfant agit en fonction des désirs de sa mère. Sa mère se met à pleurer, l’enfant l’imite peu après, la psy ne réagit toujours pas, sauf pour les rassurer.
La mère n'arrête pas de regarder S (ce qui pourrait l'encourager à avoir la réaction qu'il pense que sa mère attend), et reconnaît même que S « a toujours peur de me faire de la peine, elle veut me rassurer ». La psy ne s'inquiète toujours pas, ne demande toujours pas à voir S seul pour qu'il puisse parler sans avoir peur de blesser sa mère.
L'enfant se met à pleurer plus fort, la psy lui demande si « c'est bien à cause de l'école » (risque d'influencer sa réponse). Elle lui demande si ses copines lui disent « elle » quand elles lui parlent (même si la logique voudrait qu'elles utilisent « tu »), et S secoue la tête. « Tu voudrais qu'elles le fassent ? » L'enfant hoche la tête, mais il a l'air plutôt hésitant selon moi, plus « je suppose ? » que « oui ». La psy signe un papier pour obliger l'école à considérer S comme une fille (c'est légal?).
- Après le rdv, la mère parle avec le père de bloquer la puberté de S (après 1 seul rdv??) : « Y a rien d'irréversible […] Si finalement Sasha décide que non, et ben hop, fwip, c'est pas irréversible » . Le père demande des précisions, la mère ne « sait pas, mais c'est des médecins ils doivent savoir ce qu'ils font ».
→ perso ça me hérisse de voir comme les médecins/psy/etc. trahissent leurs patients comme ça. Et par ailleurs, quelqu'un a des sources en français sur les effets à long terme des bloqueurs de puberté ?
- Scène à lumières tamisées sur l'enant qui s'habille en sortant de la douche, ce qui est… assez perturbant, je trouve ? Il est de dos et c'est filmé en silence, mais quand même, on filme un gosse de 7-8 ans à la sortie de la douche…
- Discussion mère-fils à propos d'une copine d'école : « Lola elle sait et elle dit « elle » ? Elle t'aime vraiment alors, c'est une vraie copine »
→je trouve les implications douteuses : « ceux qui questionnent ou n'acceptent pas ne t'aiment pas vraiment, ils ne sont pas tes amis ». Je sais que c'est un petit enfant, et que c'est pas forcément le message que la mère voulait passer (encore que) mais c'est pas sain d'éduquer un enfant en lui apprenant que ceux qui l'aiment ne le questionneront jamais (sans parler du message passé à l'audience).
J'ai aussi l'impression que la mère créé des situations de manipulation, volontairement ou non : « je ne sais pas si tu vas pouvoir rester dans cette école, ça dépend de si le directeur te laisses être qui tu es. » Elle lui dit ça juste après qu'il ait dit qu'il avait enfin réussi à se faire quelques amis proches, alors bien sûr le gosse se met à pleurer, et aussitôt elle le serre contre elle en le rassurant comme quoi elle est avec lui. On a un beau moment d'émotion (regardez l'école comme ils sont méchants avec cette pauvre petite fille !) mais ça me met mal à l'aise, comme si on avait fait pleurer l'enfant juste pour avoir une séquence touchante.
- 2e scène de sortie de douche. Mon impression de malaise s'accentue.
- La mère essaie de jouer la culpabilité avec l'école : « les enfants acceptent, pourquoi pas les adultes ? » Comme si c'était un argument viable ? « Les enfants acceptent le père noël, la petite souris et le genre, pourquoi pas les adultes ? »
- Réunion organisée par la mère et la psy pour « ouvrir les esprits » et « former » les amis de la famille et des parents d'élèves, parce que la mère sait « que vous aimez vraiment Sasha ». Re-carte culpabilité. L'école a été conviée mais n'a pas répondu. L'école finit par proposer une réunion 10 jours après la rentrée de l'année suivante pour que S fasse sa rentrée « en fille ». Ce qui est débile, on en conviendra. Vu que les professeurs ou le directeur ne sont consultés à aucun moment du film, je n'arrive pas à savoir s'ils sont intolérants (refusent qu'un petit garçon se pointe en jupe) ou s'ils en ont juste marre des demandes incompréhensibles des parents.
- Un peu plus tard, la mère : « je sais pas si l'école ils vont t'accepter, mais tu le savais que ça serait difficile, on en parle souvent ».
Résumons : « S'ils t'aiment vraiment, tes amis ne te poserons jamais aucune question, tous les autres gens ne t'accepteront jamais, mais ne t'inquiète pas, moi je suis là et moi je t'aime. » Tous les enfants de 7 ans (8 ans?) ont besoin d'apprendre cette leçon de vie un jour. L'école avait raison de vouloir l'avis d'un psy scolaire, et la pédopsy est criminelle d'avoir conforté la mère dans son refus.
- La mère demande à un autre de ses fils si elle a bien fait selon lui, s'il lui en veut. Aussitôt, le garçon (10-11 ans?) la rassure, lui dit qu'il ne pourrait jamais lui en vouloir, etc. Outre le fait que ses réponses ont un peu l'air scriptées, le rôle d'un enfant (surtout si jeune) n'est PAS de rassurer ses parents sur la façon dont ils font leur job de parent ? Lui demander ce qu'il pense de telle ou telle décision que tu as prises envers lui, ok, mais lui demander s'il est d'accord avec tes choix de vie et la façon dont tu traites son frère ? Je suis la seule à trouver ça bizarre ?
- Tri des vêtements : « Ouste le short de garçon […] Voilà, plus que des vêtements de fille. » Parce qu'à 7 ans, les vêtements sont super sexués, tout le monde sait ça. Petit rappel de la mère histoire de dire : « tu sais que les filles peuvent mettre du bleu ? Parce que tu enlèves tout le bleu à chaque fois ? » S : « je sais mais je peux pas m'en empêcher » (c'est drôle, c'est comme s'il s'évertuait à se conformer à un stéréotype pour rentrer dans l'idée limitée qu'il se fait de « fille »)
- Petite scène émouvante de repas en famille (sauf le père, qui est absent) – en comptant Sasha, la famille a 4 enfants ?? Comment ils ont le temps de s'occuper des 4 ET de gérer tout le drama ? La scène se finit sur la mère, seule à table et l'air accablé. Inutile  au niveau narratif, mais ça ajoute à l'émotion et incite l'audience à compatir.
- Sasha joue avec sa copine Lola. D'abord un jeu de ballon, puis la caméra filme le ballon (bleu) délaissé, avant de passer aux deux gamins en train de jouer avec des barbies (roses), de les coiffer et de comparer qui est « la plus belle ».
- Retour chez la psy, en famille cette fois (les 2 parents, S et un de ses frères). De ce que j'ai compris, c'est le 3e rdv, et toujours 0 rdv avec l'enfant seul. Tout le monde regarde S (risque d'influencer ses réponses), au sujet de l'école qui est maintenant obligée de l'accepter comme une fille, sa mère dit « elle s'épanouit, pas vrai Sasha ? » (risque d'influence +++).
Le gosse répond « je sais pas » (ce n'est pas la 1e fois qu'il répond comme ça à une question du type « qu'est-ce que tu penses / comment tu te sens »).
La psy mentionne l'endocrinologue à S : « on avait pensé avec maman que ce serait bien de la voir pour décider à quel moment on va bloquer la puberté. » Elle explique ensuite que la puberté c'est « le moment où on va voir apparaître des signes masculins qu'elle va mal vivre», ou un truc similaire. Ce qui me choque c'est que « maman et moi on a discuté de comment on va stopper TA puberté », et que la suite des explications est adressée aux parents. Elle parle à S pour lui faire part de la décision de ses parents, et c'est tout.
Elle enchaîne en expliquant aux parents les différents moyens de préserver la fertilité de l'enfant de 7 ans dont ils sont en train de préparer la stérilisation. Elle parle entre autres de congeler ses spermatozoïdes et tout, même si Sasha « ne peut pas forcément se projeter si loin » (Sasha peut cela dit se projeter suffisamment loin pour consentir à sa stérilisation, et un traitement médical lourd et à long terme).
Je répète au cas où je serais la seule que ça horrifie si profondément : la pédopsychiatre explique aux parents comment congeler les spermatozoïdes de leur fils de sept ans, qu'ils prévoient de stériliser parce qu'il est efféminé. Et cela en reconnaissant ouvertement qu'il est trop jeune pour pouvoir se projeter si loin dans son avenir. Devant l'enfant en question et son frère.
La mère mentionne que c'est « comme quand on a un enfant handicapé ». La psy ne réagit TOUJOURS PAS et ne demande toujours pas comment l'enfant vit ce genre de remarque de la part de sa mère.
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claudehenrion · 3 years
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Camelia Jordana
  Comme une suite naturelle au ''billet'' d'hier, j'ai eu une étrange envie soudaine de vous parler de Melle Camelia Jordana. Ne me demandez surtout pas d'où me vient cette idée saugrenue, que rien, dans mon ''parcours'' intellectuel, social et autre, ne permet d'expliquer, si ce n’est : ''pourquoi serais-je le seul à ne pas parler d'elle ?''. Le fait que je n'aie rien à dire de pertinent et de sensé sur cette personne, reflet de ce que l’époque a de pire, me met à égalité d’incompétence avec tous les pseudo-intelligents auto-proclamés qui se gargarisent de ce nom qui est porteur de... rien.
  Comme toute personne qui s'oblige à parler d'un truc pour lequel il n'éprouve pas la moindre sympathie ni n'a la plus petite appétence, j'ai été visiter quelques sites du ''web'' pour éclairer ma lanterne, et j'ai trouvé ce qui ferait de moi un ''expert-du-20-heures'', si j'étais un plumitif de gauche. Camélia Jordana Aliouane est née le 15 septembre 1992 à Toulon. dans une famille aisée. Son grand-père, un ex-référent local du Front de Libération nationale (FLN), donc indépendantiste et ennemi juré de la France, était venu vivre dans ce pays (je n'ai pas trouvé la logique de cette migration... ou plutôt, je crains de trop bien la comprendre !). Fillette multi-douée, elle n'a rien trouvé d'autre, pour atteindre une célébrité désirée, que de cracher dans la soupe. ''Cuique suum'', disaient les romains : chacun fait comme il peut !
  Bien qu'ayant une voix plutôt plus agréable que la majorité des hurleurs/-euses grinçants que nous imposent les chaînes du ''Sévice public'', elle se lance, en novembre 2018, à 16 ans à peine, dans une suite d'anti-faits d'armes qui montrent un racisme anti-blancs illimité : ''Ma génération ne se reconnaît pas dans la société française, dirigée par des vieux blancs riches'' (Macron, sans doute, ou Benalla ?). Elle n'en meurt pas de ridicule, elle persiste même, et en mai 2020, elle prétend parler au nom ''des hommes et des femmes qui vont travailler tous les matins en banlieue et qui se font massacrer pour nulle autre raison que leur couleur de peau, c’est un fait''. Oubliant que ce sont des bandes de soi-disant ''jeunes'' comme elle qui font ces ''massacres'' , elle précise même sa non-pensée : ''Il y a des milliers de personnes qui ne se sentent pas en sécurité face à un flic, et j’en fais partie. Quand j’ai les cheveux frisés, je ne me sens pas en sécurité face à un flic en France''.
  Même si entendre de telles énormités en ''défrise'' plus d'un, la gauche bobo-progressouillarde  (Manon Aubry, Manuel Bompard, Rokhaya Diallo, Aurélien Taché) ne se sent plus de joie, et SOS Racisme lui apporte son soutien, tout comme la très sulfureuse Assa Traoré, ce qui équivaut à une condamnation devant toutes les règles morales ! Mais le 15 janvier 2021, re-belote : elle déclare à l'Obs, toujours ouvert à ce qui est fermé :  ''si j’étais un homme, je demanderais pardon, (...) Car les hommes blancs sont, dans l’inconscient collectif, responsables de tous les maux de la terre''. Il est difficile d'être plus mesuré, plus rigoureux, plus objectif, plus crédible, plus militant pour la paix et la concorde sur Terre ! Je vais donc arrêter là : je pourrais lui nuire, en continuant à recopier ses énormes âneries.
  On est souvent surpris par le déroulement des choses : de là où je pensais n'avoir rien à dire, je me trouve soudain devant des océans de détails qui envahissent mon clavier, car, en tant qu'homme et que blanc (et, pire encore, ''homme-blanc'', avec un trait d'union, l'abomination de la désolation), je me sens dans le collimateur de la déferlante de haine qui est en train de ravager mon pays --cette France que j'aimais tellement, avant qu'elle ne se ratatine et se dénature en ''macronie''-- et avec elle toute l'Europe et sa civilisation judéo-chrétienne à laquelle rien, dans toute l'histoire du monde, n'a jamais pu se comparer : jamais aucune des civilisations qui ont précédé la nôtre (qui risque fort d'être la dernière, à en juger par le mouvement des planètes actuel et par la généralisation en cours de folies irrattrapables) n'a offert à l'humanité autant de succès, de confort, de santé (malgré ce que nos politicards ont fait de la pandémie du covid), de richesse, de loisirs, et même de paix (relative, mais plus grande tout de même qu'à n'importe quel autre moment de  l'Histoire).
  Les idées courtes et les amis troubles de madame Jordana, pour un instant réunis autour du bobard gigantesque d'une invraisemblable théorie dite ''décoloniale'' (en fait, un discours de haine), semblent séduire certaines personnes mal dans leur peau. Dans leur aveuglement haineux, tout ce petit monde ne tend qu'à remplacer la liberté résiduelle dont nous profitons encore --et eux avec nous-- par une soumission à l'islam (c'est un lieu commun, à la suite de Michel Houellebecq, de rappeler que ''Soumission'' est le seul sens du mot ''islam''), que des prêcheurs en eaux troubles leur ont mensongèrement présenté comme un futur doré où ils pourraient exercer sans ‘’brutalités policières-sic’’ tous les odieux trafics qui constituent la majeure partie de leurs revenus (auxquels s'ajoutent tous les dons, subventions, allocations, prestations et aides en tout genre dont nos gouvernants, ''plus cons que nature'' comme dit ma concierge, les abreuvent jusqu'à plus soif)...
  Si nous vivions en des temps où l'intelligence avait encore droit de cité, nous aurions été tentés d'opposer à ce mouvement sans fond la célèbre apostrophe de Talleyrand : ''Tout ce qui est excessif est insignifiant''. Mais hélas, trente ou quarante années pendant lesquelles nous avons lâchement et stupidement laissé la Gauche régner en maîtresse (d'école) sur ce qui fut autrefois notre Education dite nationale --elle n'est plus ni l'une, ni l'autre-- ont fait que d'un côté, le ridicule ne tue plus, et que, de l'autre, plus personne ne sait qui est ou fut Talleyrand. Si ''le racisme n'est pas une opinion, mais un délit'', cette affirmation n'est valable, pour ceux qui l'utilisent, que si elle va du plus clair vers le plus foncé. Jamais dans l'autre sens.
  Devant l'étalage de nullité ravageuse qui est en passe de devenir le seul destin envisageable pour les générations à venir, une idée s'impose, avec une urgence croissante : par quel vocable ou quel néologisme allons-nous remplacer feu l'ancienne ''intelligentzia'', cette caste qui furent ''honnêtes hommes'' au XVII ème siècle, ''philosophes'' au XVIII ème, ''bourgeois éclairés'' au XIX ème, ''hommes de progrès'' au XXème, et qui est ''bobo lèche-cul du discours officiel'' au XXI ème (on me dit que le mot ''lèche-bottes'' serait plus souhaitable. Dont acte !) ? Comme je n'ai pas trouvé d'antonyme à ''intelligentzia'', il faut en fabriquer un, et le plus vite sera le mieux.  ''Crétinisme'' étant déjà pris ailleurs, on peut se rabattre sur ''abrutistzia'' ou ''ineptitzia'', mais le plus simple semble être ''inintelligentzia'' et le plus proche de la vérité, ''conneristzia'' ! Affaire à suivre ! Comme quoi, même une Camélia Jordana peut entraîner, par ses débordements incontrôlés, une réaction pas aussi stupide que les idées qu'elle voudrait promouvoir... Dans ma jeunesse, on appelait ça ''la justice immanente''. Certains (dont je suis) y croient encore.
H-Cl.
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pitite-xena · 4 years
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Monologue de Noiraude et maux d'école
"E. il a beaucoup du mal à rester assis sur le banc alors souvent la maîtresse elle le met tout seul sur une chaise loin. Mais ça le calme pas, je trouve que surtout ça le rend triste. Alors j'ai décidé que s'en est assez de ça ! Du coup la maîtresse je lui parle presque plus parce que moi je suis toute outrée ! De toute façon la maîtresse elle se fâche sur tous les enfants à part moi et moi dans ma tête je me dis "tiens, la maîtresse se fâche encore. Mais pourquoi donc ?"
Je comprends un peu mieux sa baisse de motivation pour aller à l'école...
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violettedarval · 5 years
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Dans les choux...
Première lettre de Violette à Louise, suite à son arrivée dans sa nouvelle famille
La Chapelle-près-Sées, le 17 juin 1927
Louise, mon abricot
C’est pour te donner des nouvelles de mon arrivée et te conter les premiers jours de ma vie au domaine des Tertres que j’ai pris la plume ce soir. Sois assurée que tout ici se passe à merveille, mais je t’en dirai plus long une autre fois, car c’est en fait autre chose que je dois t'écrire, que je tiens en trop haute importance pour le garder plus longtemps pour moi seule.
Nous nous sommes dit, souvent, combien nous allions nous manquer, mais ce que j'ai sur le cœur va au-delà des seuls sentiments. Je parle d'une chose que tu m'as donnée, d'un cadeau sans lequel, je le vois maintenant, ta Violette ne serait pas la même.
Je veux d’abord rendre grâce à la gentillesse avec laquelle tu m’as poursuivie de tes ardeurs. Tu sais que depuis mon arrivée à l’orphelinat j’avais fui toute amourette. Pourtant je mourais d’envie de tenir la main d'une jolie garce, d’échanger un premier baiser, de sentir mon cœur s’emballer en murmurant pour la toute première fois un « sois ma douce » à son oreille. Mais j'étais terrorisée à l'idée de me révéler telle que j'étais. Dissimuler ma nature sous mes vêtements et éviter toute situation qui pourrait me trahir, voilà qui faisait l'essentiel de mon quotidien. Puis j’ai rejoint le pavillon des grandes et partagé ta chambre. Tu m’as bien plu dès notre rencontre, aussi ne t’ai-je jamais repoussée franchement, me refusant sans jamais te donner le motif de mes atermoiements. Malgré cela tu ne te braquas pas et devins mon amie. Une amie qui attendait son heure, mais une amie sincère. Tu me taquinais parfois, mais sans m’importuner, en amoureuse patiente. De cette délicatesse je te remercie. Lorsque ma muraille céda un peu et que je t’accordai ce premier baiser, tu ne compris pas pourquoi je ne souhaitais pas t’en donner plus. Je finis par tant souffrir de te blesser ainsi qu'à la fin, cette douleur fut plus forte que la crainte de me révéler à toi. Je devais te faire confiance malgré ma peur panique d’être découverte pour le monstre que j’étais.
Il y eut donc cette nuit-là. Nuit dont je garde au cœur chaque instant comme on garde de précieux billets doux dans un tiroir secret. Je veux te conter tels que je les ai vécus ces moments uniques et pour lesquels je te dois tant.
 ~
Épuisée par mon désir contrarié, incapable de continuer à te fuir alors que je te voulais tout autant que tu me voulais, ce soir-là je te cédai. Tournée face au mur blanc j’ôtai ma chemise. C’est toute tremblante, étouffant mes sanglots et gardant les yeux clos de peur de lire le dégoût sur ton visage que je me retournai et attendis. Il y eut ce silence, que je trouvai interminable, et puis ce froissement... Le bruissement d’une aile, d'un oiseau qui se pose – ta chemise de nuit tombant sur le parquet. Puis tes pas lents, vers moi. J'attendais l’insulte, ou bien la raillerie. Un frisson incrédule – du velours ! Ce velours qui par petites touches, épongeait mes larmes, remontant sur mes joues, pour se poser un instant, tout tendre, sur mes paupières. Et un second frisson. Velours contre velours. Tes lèvres qui se saisirent avec délicatesse des miennes, happant puis relâchant leur liseré, et finirent par les entrouvrir. Et moi qui cédai, m’ouvris. Et la soie ! La tienne, humide, qui fouillait ma bouche et poursuivait la mienne, l’acculant bientôt. Elle qui se rendit, timide, acceptant caresse après caresse. Soie filant sur la soie. Et la rosée. Rosée dans la rosée. Puis flot mêlé au flot, torrent contre torrent, petite tempête enfin, qui ne laissa une fois passée, qu’une seule et même eau, une seule et même écume dans nos bouches. Notre écume ! Aussi, ta main tenant ma nuque. L’autre cueillant mon sein, son pouce agaçant mon téton qui lui répond, qui éclot. Et tes doigts sur mon ventre, glissant bas. Mon nombril, ma toison…
C’est sous ta main seulement que je sentis la roideur, la dureté de ma lancette, qui pendant tout ce temps où je n’étais que frissons, s’était gonflée de désir. J’étais en panique, ne sachant comment réagir et là, ma douce, ma folle, avec un sourire malicieux, haussant les sourcils avec une mine de fillette étonnée d'une leçon de choses, riant à moitié, tu me dis : « Mais que fait ce furet au gîte de la marmotte ? ». Oh ma margot, ma bonne petite maîtresse, que tu sus à cet instant me faire rire de ce fardeau qui me tourmentait depuis toujours, voilà qui tenait de la magie !
Tu t’agenouillas et te mis à me l’examiner sous toutes les coutures, suivant de ton doigt sa cambrure de petit arc, t'étonnant du contraste entre sa petite taille et l'épaisseur de sa tête mafflue, guettant ma réaction lorsque tu l’effleurais, le saisissais avec délicatesse, le levais, l’abaissais – et ceci plusieurs fois, jouant avec sa raideur comme un petit ressort et riant de ses oscillations –, t’émerveillais de la texture et de la finesse de sa peau, du dessin de ses nervures « comme autant de fleuves sur une carte de géographie ». Tu commenças de faire glisser sa gaine, et elle coulissa jusqu’à libèrer entièrement l’amande violacée de sa tête, arrondie sous ta traction et la retenue que lui opposait le filet de mon frein. Perla alors une goutte de miel, que tu baptisas, souviens-toi, petit-foutre car, disais-tu : « il est à ta laitance ce que le petit-lait est à la crème ». Cette goutte, après m’avoir jeté un rapide coup d’œil fripon, tu la lapas vivement de la pointe de ta langue, me faisant ainsi une décharge jusqu’au creux des reins. Et sous mon regard incrédule, tu prodiguas à mon vit plus de caresses que je ne l’avais jamais fait, moi qui le détestais à ce point que je ne tirais jamais dessus que pour vider le trop-plein de mes cosses, sans plaisir, juste pour en éteindre le feu. Mais toi en quelques gestes, tu appris à l'effleurer de chatouillis légers, à le polir des lèvres, comme si tu voulais l’user de ta bouche. Tu te mis tout bonnement, à l’aimer !
Je dus m’asseoir, tremblant d’une sorte de fièvre qui me coupait les jambes, si fort bouillait mon sang et s’échauffaient mes glandes sous tes mamours exquis. Tu le pris alors, douce, au creux de tes deux mains et sans fermeté aucune, juste aurait-on dit pour ne pas qu’il s’échappe ! Là, sans plus le branler tu ne te consacras, tel un petit écureuil, qu’au gland nu, lisse, enflé qui saillait. Le boulottant, le suçotant, lui faisant mille tours et gentillesses sur le dessus, de la langue et des lèvres, juste sur son faîte, là, tout au bout du bout de moi… Ah Louise ma gourmande, sais-tu comme je crus mourir ? Un brandon incandescent était comme posé sur ce méplat que faisait le dessus de mon faine, propageant tout le long de mon rameau cet incendie qui consumait mes reins. Ta façon de ne sucer que la pointe de mon mât et de taquiner l'ourlet de sa couronne sans en branler la corde, n’éteignait pas le feu, bien au contraire. Et ces flammes, l'une frisant l'extase, l'autre proche de la douleur, à chaque tour de langue gagnaient en intensité et luttaient sans qu’aucune ne parvienne à prendre le pas sur l'autre ! Je mordais ma main au sang et voulais tour à tour te repousser et te retenir ! Il fallut que tu accélères ta pompe pour qu’enfin, m’arrachant un véritable brame qui remontait du bas de mon ventre, là, tout derrière mes bourses, se produise l’éruption. Un peu surprise, tu te figeas un court instant, goûtant pour la première fois au jus de mes fruits, puis levant les yeux sur moi, tu repris ton petit goûter, ta petite pompe gourmande. Et, plongée avec ravissement dans ton regard gris, je sentis la lave épaisse de mon foutre abonder lourdement, sans jaillir, dans un épanchement sourd dont je ne vis aucune trace car ton petit hochement se poursuivait, régulier, têtu et méthodique, dans de doux petits bruits humides – chuintements de ta succion, clapotis de nos jus se mêlant dans ta bouche, enfin, lentes et gourmandes déglutitions.
Je retombai pantelante, dissoute, ne sentant plus ma chair, et comme libérée d’un tombereau d’angoisses qui en partant firent une grande secousse, un spasme dans tout mon corps, et bécasse que j’étais, je pleurai à nouveau.
Il y eut ensuite un moment de douceur et d’embrassades tendres. Mais ton ventre appelait lui aussi les caresses. Alors, avec la patience d’une maîtresse d'école, tu me laissas découvrir ta si jolie pissette, ton conin délicat, ton bijou de pucelle. Je le vis tout d’abord comme un étroit vallon, abrité et fertile, avec son petit fleuve et ses berges imprégnées, avant de découvrir qu’il s’agissait d’un fruit. Ton con était le coing, l'abricot, mieux : la figue que le soleil, en la gorgeant de sucre, avait fait éclater. Un fruit deux fois magique, car plus je le suçais et plus il dégorgeait de son jus liquoreux, mais plus je m'en désaltérais et plus ma soif était grande. Quand je plongeais ainsi dans la dégustation de ta chair la plus tendre, au point que tes coulées me faisaient comme un masque du nez au menton, je ne comptais plus les trajets que tu faisais à Cythère et il te fallait m’arracher à ton entrecuisses pour me faire cesser. Ton con m'a donné la passion de goûter à tous les autres, et ce plaisir est depuis le plus beau des péchés que j’aime à faire, mieux encore que de fourrer une autre garce, qui est une chose bien douce mais ne vous fait pas ressentir aussi pleinement le plaisir que l’on donne à l'autre.
 ~
Bien sûr je garde aussi au cœur avec tendresse notre petit mariage. Ce moment fut plus délicat, et ses délices moins enivrants tant nous étions prudentes. Mais il ravit nos cœurs car nous avions échangé nos pucelages. La bague que tu me passas ce soir-là vaut toutes les alliances.
Et puis ces mille friandises que je n’évoquerai pas car il me faudrait plus grand de papier que nous ne souillâmes de draps, et presque autant d’encre à coucher dessus que nous ne jutâmes de foutres !
Mais par-dessus tout, j’ai le souvenir clair de tous ces moments d’après, tous ces demi-sommeils où nous étions là, abattues, enivrées, comme flottant parmi les vapeurs de plaisir qui montaient de nos peaux, et reposions, toujours accolées, tantôt enlacées, entremêlées parfois, nous éveillant à demi pour nous bécoter un peu ou pour nous caresser dans de petits sourires avant de replonger, tels deux chatons, chacun rassuré de sentir l’autre à ses côtés dans leur petit couffin.
Si je mets tant de détails dans l’évocation de ces souvenirs, c’est que j’ai espoir que ma lettre te fera bien mouiller quand tu la liras. Voilà pour la taquinerie. Mais si je suis un peu sérieuse et dis, enfin, ce que j’ai vraiment sur le cœur, eh bien voici.
Il y a dans ma nouvelle chambre une glace, un grand miroir où pour la première fois je me suis vue entièrement. Et ce fut comme si ces caresses que tu me fis avaient laissé un onguent sur tout mon corps, une huile qui me le fait voir beau, aimable, plus du tout monstrueux. Sans tes attentions, j’aurais évité ce miroir, et c'eût été le signe que j’entamais ici une existence semblable à celle que je vivais à l’orphelinat, cachée, honteuse et morne. Celle que j’entrevois aujourd’hui n’est qu’appétit de découvertes, et soif de beaux moments. Maman m’a mise au monde, et toi tu m’as donné l’envie d’y vivre. Entière et moi-même.
J’ai trouvé ici un exemplaire de cet ouvrage de monsieur Louÿs, ce livre entré à l'orphelinat sous le manteau et bien vite abîmé tant nous nous l’arrachions toutes. La jolie formule qu'il t'inspira à mon propos, et que tu me dis un jour comme une plaisanterie résonne aujourd’hui en moi d’une toute autre façon. Je vais peut-être finalement l’écrire ce Manuel de civilité pour les petites filles qui sont nées dans les choux. Car personne ne le fera pour moi – pour nous, puisque je suppose ne pas être la seule dans mon cas. Que ma différence, longtemps source de peine, de honte, devienne source de joie et de fierté, et que ces sentiments soient partagés. C’est à toi que je dois d’avoir transformé mon plomb en or ma Louison, mon écureuil. J’ai commencé de rédiger quelques conseils que tu trouveras dans les derniers feuillets. Dis-moi s’ils te plaisent.
Prends bien soin de toi, trouve-toi une nouvelle petite femme à qui donner toute cette tendresse dont tu regorges, et pense un peu à moi, à condition que ce soit toujours avec un sourire – et deux doigts sur ta petite moniche. Embrasse bien sœur Camille qui s’est si souvent attiré les foudres de l’institution pour me protéger. Je t’écrirai souvent et je ne désespère pas de te revoir bientôt.
 Ta petite fleur enfin ouverte,
Violette
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