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#éclairer
dandanjean · 2 months
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Enfin le royaume
Le sort de la bougie est de brûler. Quand monte l’ultime volute de fumée, Elle lance une invite en guise d’adieu : « Entre deux feux sois celui qui éclaire ! » * Au bout de la nuit, un seuil éclairé Nous attire encore vers son doux mystère. Les grillons chantant l’éternel été, Quelque part, la vie vécue reste entière. * Ce moment partagé, nous nous en souviendrons Un jour, comme d’un…
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undinesea · 4 months
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éclairer
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homomenhommes · 3 months
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là, pourtant, le jour s'est levé pour éclairer le monde
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coolvieilledentelle · 5 months
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Je vous ai amener la lune pour éclairer vos nuit ... faites de beaux rêves.
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lisaalmeida · 3 months
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"Parfois, nos cœurs murmurent ce que nos lèvres n'osent pas dire. Prendre le courage de partager nos sentiments peut éclairer le chemin de la vérité et de la compréhension."
Inconnu.
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ekman · 3 months
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À peine a-t-on célébré la figure héroïque d’un Badinter raidi, champion incontesté du progressisme, pourfendeur de la peine de mort au nom du vaste humanisme républicain, que l’on s’empresse d’inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution. Entre esprits éclairés, frangins militants, satrapes opportunistes, féministes auto-décrétées, le congrès réuni à Versailles a rapidement pris des airs de kermesse à l’instant des résultats de la consultation. Vu l’accélération des revers présidentiels depuis deux gros mois, rendre “immuable” le droit à avorter devenait une affaire urgente. Créer en permanence des faux problèmes et relayer des causes Potemkine est devenu l’occupation principale du staff des conseillers sensés éclairer les pas d’un petit président perdu dans ses nuages blancs et sa dévorante ambition européenne. Échec face aux agriculteurs – échec de communication, s’entend, car pour le reste, ils pourront toujours monter sur leurs tracteurs pour se pendre : rien n’a changé ni ne changera. Visiblement, les Français élevés en batterie et stockés hors sol, bourrés de boosters et d’anti-tout, semblent maintenant résolus à mâchouiller des haricots verts kenyans pour accompagner leur cochon hormonal guatémaltèque. Échec aussi à la réunion des boute-feus européistes où il fut question d’imaginer la possibilité de déployer dix-sept poilus du côté de Kramatorsk au nom de la défense de l’UE et de ses valeurs formidables. Vents et contre-vents s’ensuivirent afin de signifier au pyromane élyséen que cette déclaration était à tout le moins inopportune. Même en cas de canicule carbonée, l’hiver nucléaire n’est pas souhaité. Avec l’Otan et ses affidés comme amis, plus besoin d’avoir Vladimir comme ennemi. 
L’urgence abortive s’explique mieux ainsi.
Le narratif peu inspiré des spin doctors de McKinsey a planté le décor : une droite ultra-réac comptant dans ses rangs des calotins acharnés, des phallocrates maladifs et des misogynes sadiques étant dès à présent aux portes d’un pouvoir trop bienveillant, il était absolument vital de mettre sous cloche un “droit” établi il y a cinquante ans pour faire cesser une autre boucherie, celle des “faiseuses d’anges” en l’espèce. Dès 1974, les préambules et autres prolégomènes de la loi appelaient à la prise de conscience des femmes et des hommes concernés, suggérant mille prudences autour d’un acte terrible autant qu’irréversible. Pour autant, l’histoire récente montre qu’il était déjà trop tard pour barrer la route au “jouissez sans entraves” des gorets de 1968 : au prétexte de libérer les femmes du fardeau de l’enfantement, on les assignait au rôle d’objets sexuels défécondables, conçus pour le seul plaisir de gauchistes pornocentrés et de bourgeois honteux. Belle avancée sur la voie de “l’émancipation”, lisait-on alors dans la presse progressiste. Cependant, comme ça enfantait toujours plus dans les chaumières, les canules se mirent à aspirer à un rythme soutenu les excès de plaisirs fugaces – c’est que la pilule n’était pas encore complètement entrée dans les mœurs, comprenez-vous. En outre, les capotes manquaient de romantisme, le coïtus interruptus ressemblait trop souvent à une loterie et la méthode Ogino n’intéressait que les paroissiens. Décennie après décennie, le nombre d’avortements n’allait que croître, malgré la contraception libre et quasi gratuite, le sida et les MST. La France, avec ses assoces frénétiquement pro-IVG, est devenue un phare dans le domaine. Toutes ces bonnes âmes sont parvenues à tourner un drame féminin en épopée féministe. Et pourtant. L’avortement, c’est d’abord un cœur humain qui cesse de battre. Au-delà des parfaites abruties qui se contre-foutent de la valeur d’une vie (mais adorent le bouddhisme qui est cool et hyper-respectueux), l’avortement c’est d’abord un échec, souvent un drame, toujours une défaite. C’est une borne sombre dressée sur le chemin de celle qui ne sera pas mère. Pour son compagnon, son jules ou son mari ça ne le sera pas moins, si tant est qu’il assume sa responsabilité et soit doué d’un minimum de conscience vitale. En France, la constitution autorise l’interruption de grossesse jusqu’à 14 semaines de gestation, ce qui veut dire que le foetus a déjà son visage, un cerveau et une moelle épinière fonctionnels. Cela, on ne va pas trop vous le dire et surtout on ne va pas vous le montrer, parce que l’on sait jusqu’à quel point les images de chiots dénutris sur Instagram vous émeuvent. Surtout, ne pas prendre conscience de la réalité des choses ni de l’existence des êtres. Votre sexualité, c’est votre liberté. Votre corps vous appartient. Jouissez sans entraves. Ni Dieu ni maître. Et d’ailleurs, comme vous le rappelait un bénévole du Planning Familial, on peut aussi bien assurer le renouvellement des générations avec Momo de Marrakech et Babacar de Dakar. C’est même souhaitable.
J.-M. M.
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les-portes-du-sud · 2 months
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Comme le soleil, la vie décrit une courbe. Un jour elle commence à décliner, lentement. Il faut se préparer à ce temps. L'accepter. Savoir que cette deuxième moitié de la vie est aussi la vie. Qu'elle peut être aussi pleine que la première. Il est des crépuscules qui sont plus beaux que des aurores. Il faut simplement le vouloir. Et éclairer les autres et soi de sa paix intérieure.
Martin Gray
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chicinsilk · 7 months
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US Vogue November 1, 1959
Model Isabella Albonico. Carson Pirie Scott Makeup. Suitable for evening shine and red satin, this makeup involves the following specificities: A foundation with hiding power as well as Hi-Fi glow ivory fluid makeup base in the tone of the candle. Above, no translucent color powder, with a fine texture, ideal for illuminating shadows. Eyes: a black line drawn in the roots of the upper eyelashes (these partly real, partly false); then reinforced by Brownish Black liquid liner and mascara, Hi-Fi Green Iridescent Shadow Stick. Lip Gloss Polishes Shimmering Rose Lipstick. All Max Factor cosmetics.
Red satin evening coat, black satin hat and deep green cut crystal beads are all by Yves Saint Laurent for Christian Dior.
Modèle Isabella Albonico. Maquillage Carson Pirie Scott. Adapté à la brillance du soir et au satin rouge, ce le maquillage implique les spécificités suivantes : Une fondation avec un pouvoir de dissimulation ainsi que Base de maquillage fluide Hi-Fi glow ivoire dans le ton de la bougie. Par-dessus, aucune couleur translucide poudre, à texture fine, idéale pour éclairer les ombres. Yeux : une ligne noire tracée dans les racines du cils supérieurs (ceux-ci en partie réels, en partie faux) ; puis renforcé par Brownish Black liner liquide et mascara, Bâton d'ombre Hi-Fi Vert Irisé. Le brillant à lèvres polit le rouge à lèvres Shimmering Rose. Tous les cosmétiques de Max Factor.
Manteau de soirée de satin rouge, chapeau en satin noir et perles de cristal taillées d'un vert profond sont tous de Yves Saint Laurent pour Christian Dior.
Photo Irving Penn vogue archive
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mailamoon · 5 months
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Pour bien finir l'année, voici une petite fantaisie inspirée par l'AU Lyon de @sibmakesart. One Piece dans la capitale de la gastronomie française, Sanji alsacien, Zoro breton ❤️
Pour les francophones qui passent par ici, je vous invite à aller visiter son Tumblr, elle est super douée et son délire sur Lyon est absolument délectable (moi je plonge dedans les yeux fermés !).
C'est parti pour une petite soirée lyonnaise avec nos pirates préférés !
Un soir à Lyon...
Au cœur de la nuit, dans la ruelle, une porte s’ouvrit, laissant de la lumière éclairer la rue sombre. Un jeune homme en franchit le seuil en s’allumant une cigarette, un sac en plastique à la main.
- Hé, l’aubergine, tu sors cette nuit ? Lança une voix autoritaire depuis l’intérieur.
Le jeune homme se retourna en soufflant sa fumée.
- En quoi ça t’intéresse vieux shnock ? Fit-il d’un ton ennuyé.
- Encore ce breton ?
- C’est pas tes oignons.
- Ah, claqua la voix, fais gaffe à toi !
- C’est ça, bonne soirée, àbgenutzdi.
-HÉ !
Le jeune homme referma la porte sans attendre de savoir ce que l’autre voulait répondre. Il regarda autour de lui, visiblement à la recherche de quelque chose, mais la ruelle était déserte. Un soupir bruyant quitta ses lèvres et il grommela quelque chose qui ressemblait à « encore en retard dawer säckel de breton ». Il donna un coup de pied à une cannette qui traînait tristement sur l’asphalte. Une sonnerie retentit de sa poche et il en sortit son téléphone.
- Allo ?
- Allo, Sanji ? Fit une voie féminine.
- Nami ! T’as pas vu Zoro ?
- Beeeeh si, justement, c’est pour ça que je t’appelle.
- Il est avec vous ? Demanda-t-il en entendant Usopp et Luffy se disputer derrière elle.
- Non il est pas… TAISEZ-VOUS ! Putain, j’essaie de parler au téléphone ! Je te disais, non il n’est pas avec nous. Il m'a dit qu’il devait passer te prendre à la fin du service mais il a fait tomber son portable dans le Rhône cet après-midi. Je sais que t’avais enregistré les coordonnées du bouchon dedans…
Sanji leva les yeux au ciel.
- Donc il est perdu ?
- Tu le connais, il n’est pas capable de distinguer sa gauche de sa droite. Bref, je voulais juste te prévenir, pas que tu l’attende et… VOUS ALLEZ VOUS CALMER ! LES VOISINS VONT ENCORE APPELER LES FLICS SI VOUS CONTINUEZ ! Pardon Sanji, je te laisse.
La communication se coupa.
-GOPFERDAMMI ! Cria Sanji en donnant un coup de poing dans le vide. Il tira rageusement sur sa cigarette. C’était GRAND Lyon, qui sait où ce connard de primate avait bien pu aller ?!
Sanji se mit en route, la nuit promettait d’être longue.
C’est au petit matin que l’alsacien retrouva enfin le breton. Après avoir parcouru la ville de long en large et en travers. Après avoir espéré que non, non, non ce bon à rien ne s’était quand même pas aventuré dans les sous-sols de Lyon… Il avançait enfin vers lui.
Zoro était accoudé à la rambarde de Fourvière en train de contempler les rayons du soleil qui commençaient timidement à pointer le bout de leurs nez sur la ville.
Après de longues heures de recherches, Sanji sentait une certaine fatigue gagner ses jambes. Il s’avança sans bruit derrière son petit ami.
- Hé, nixnutz !
L’homme aux cheveux vert ne sursauta même pas. Il tourna la tête vers Sanji. Malgré ses yeux cernés, un sourire éclaira son visage.
- Te voilà enfin cuistot !
Sanji roula des yeux. L’autre lui sortait ça comme si cette fichue basilique avait été leur point de rendez-vous depuis le début. Il appuya son dos contre la rambarde en frôlant le coude de Zoro.
- Tu m’as encore fais courir, fit-il en s’allumant une cigarette et en soufflant sa fumée dans l’air cristallin du petit matin.
- Genaoueg ! Je savais que t’arriverais à me retrouver.
Sanji lui tendit le sac qu’il avait transporté avec lui la moitié de la nuit. Zoro l’ouvrit pour y trouver une bouteille de chouchen et des bretzels enveloppés dans un papier kraft. Il prit la bouteille et sortit de sa poche un couteau suisse pour la déboucher.
- Pas de verre. Constata-t-il.
- Non, pas de verre. J’ai pas envie qu’on en casse d’autres. Le vieux va encore criser si les stocks continuent de diminuer.
Zoro porta la bouteille à sa bouche pour boire au goulot. La saveur lui rappelait sa région. Il passa ensuite le chouchen à Sanji qui bu à son tour.
- La prochaine fois j’amène du schnaps.
- C’est quoi ça ?
- C’est plus fort, ça devrait te plaire. Même si je préfère un bon pinot gris vieille vignes…
- Qu’est-ce que tu marmonne ?
Le blond lui sourit et, sans un mot, s’avança vers lui pour l’enlacer en collant son corps au sien. Ils s’embrassèrent puis s’appuyèrent de nouveau à la rambarde, coude à coude en se passant le chouchen et les bretzels. Ils restèrent là à regarder le lever de soleil sur Lyon en savourant ce petit déjeuner alcoolisé improvisé.
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prosedumonde · 7 months
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Une seule personne suffit parfois à peupler le monde de douceur et à rebattre les cartes. À éclairer l’ombre pour en faire jaillir la lumière, même au creux des nuits trop sombres, lorsque le désespoir recouvre la terre de son voile noir.
Marie Charrel, Les Mangeurs de Nuit
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jeanchrisosme · 2 months
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On dit que la beauté vient d’un esprit qui a résisté à bien des difficultés de la vie et, d’une manière ou d’une autre, continue avec résilience.La grâce se trouve dans l’âme qui vieillit doucement, même au milieu de la tempête. Je pense que le plus beau est de loin celui dont le cœur tendre porte cent cicatrices de la bienveillance, mais trouve toujours un moyen de ramasser la lampe, une fois de plus, pour éclairer le chemin par amour.
Susan Frybort
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homomenhommes · 5 months
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Et les apôtres, prenant leur messie pour une lanterne, partirent éclairer le monde.
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coolvieilledentelle · 6 months
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Dans le ciel brillent des milliards d’étoiles, la plus belle je viens de la cueillir pour éclairer vos rêves… Bonne nuit
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lisaalmeida · 5 months
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Moitié femme, moitié fille.
Avec elle, tu pouvais manger des bonbons pendant des heures, ou faire l'amour toute la nuit.
C'était l'une de celles qui, quand elle te regardait, te regardait avec son âme, une de celles qui, si elle te souriait, le faisait avec toutes ses parties du corps.
C'était une de celles à qui tu pouvais parler pendant des heures, la caresser, elle ne se serait jamais lasse de recevoir un peu d'attention.
Mais il se cachait toujours, il se cachait dans ses fragilité, dans ses silences.
Dans ses pupilles, il y avait l'amour, un tsunami d'amour qu'il aurait voulu donner, mais personne ne voulait.
Vous savez, ces étoiles qui brillent de leur propre lumière ?
Celles qui pourraient éclairer toute une galaxie, celles qui, si tu les touches, te brûle, mais tu ne peux pas t'empêcher de les regarder et tu veux les toucher, et tu veux les toucher.
Vous ne les rencontrez qu'une fois dans votre vie.
Et tu dois être vraiment stupide pour qu'elle s'en aille.
Ou tu peux les admirer de loin, tu peux aimer ses traits, ses lèvres, ses yeux.
Tu peux admirer la façon dont elle illumine tout ce qui est autour de lui, tu peux admirer tout ce qu'elle est.
Parce que quelqu'un comme elle, soit tu la tiens toute ta vie, soit tu la regrettes pour toujours.
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«S’il vous plaît,
Lorsque tout semble désespéré, restez.
Lorsque vous vous sentez si fatigué, restez.
Lorsque le désespoir semble prendre toute la place, restez.
Lorsque vous ne voyez aucune lumière au bout du tunnel, restez.
Lorsque des tourments semblent aussi forts qu’un ouragan, restez.
En restant simplement là, en vous, avec Nous, à observer, à ne pas vous juger, à poser un regard bienveillant sur les espaces en difficulté, contractés.
En ne cherchant pas un soulagement immédiat, vous pourrez constater que malgré la profondeur en laquelle vous vous sentez immergé, malgré la noirceur qui semble ne pas pouvoir s’éclairer, la Lumière et l’Amour finissent toujours par se révéler.
Tout, absolument tout, finit par passer.
Tout, absolument tout, finit par s’arranger.
Tout, absolument tout, finit par se pacifier.
Osez parler.
Osez exprimer tout ce qui peut vous ronger.
Osez demander.
Osez aller chercher le soutien qu’on peut vous apporter.
Sachez que vous êtes aimé.
Profondément aimé.
Même si les choses semblent sans espoir
Même si vous ne pouvez le voir
Même si vous ne pouvez y croire
L’Amour infini vous tend les bras,
vous êtes invité à vous y assoir.
Car même lorsque tout vous semble noir,
Une chandelle brille pour vous dans l’obscurité.
Laissez-vous bercer.
Laissez-vous cajoler.
Laissez-vous déposer afin de vous sentir allégé.
Laissez aller les idées qui vous donnent la sensation d’étouffer.
Osez respirer.
Osez exister.
Le monde a besoin de votre beauté.
Vous êtes une note unique qui ne peut être remplacée dans la symphonie de la vie.
Le Soleil finit toujours par se lever pour venir réchauffer et éclairer le chemin que nous avons emprunté.
Comme un phare qui nous rappelle que la lumière tant recherchée n’a jamais bougé, bien nichée au coeur de l’Être d’éternité.»
Julie Ann
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L'intelligence n’est pas affaire de diplômes. L'intelligence est la force, solitaire, d'extraire du chaos de sa propre vie la poignée de lumière suffisante pour éclairer un peu plus loin que soi.
Christian Bobin
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