Tumgik
#ça va quand même rentrer
une-prof · 2 years
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Quand tu arrives au boulot juste avant que la pluie ne se mette à tomber, et que tu te souviens que tu as laissé la fenêtre du salon ouverte…
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petite-madame · 20 days
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Hey ! I have a little question : how do you start to draw ? I want to start but idk how-
And, for the digital art, what app to used for it ?
(I'm sorry for my bad english, it's not my first language, in fr :
Hey ! J'ai une petite question : comment on commence a dessiner ? J'aimerai commencer mais jsp comment-
Et, pour l'art digital/digital art, quel application utiliser ?)
Bonjour Anon ^^
Bonnes questions! 💗
On va y aller en français parce que, comme disait le Roi de France, "Car tel est notre plaisir" et puis parce que je l’ai déjà expliqué en anglais quelque part dans mon tag #arttechnique donc, pour une fois, la communication se fera en Langage de Grenouille. 🇫🇷
Pour commencer sache que tu as ouvert la boite de Pandore, la réponse va donc être longue. Alors, « comment on commence à dessiner ? ».
1 - Papier/Crayon. C’est loin d’être une plaisanterie, on commence avec un papier et un crayon. Pas besoin d'avoir du matériel sophistiqué et onéreux, j'ai commencé avec le crayon et le carnet à la con de chez Carrefour. De plus, quand tu vois ce que fait Alan Lee avec juste le dit crayon, tu n'as pas besoin de plus. C'est vraiment très bien pour s'exercer/démarrer. Après, si tu veux commencer directement en digital, tu peux le faire bien évidemment soit avec un iPad soit avec un ordinateur et une palette graphique mais très honnêtement, le papier/crayon offre une bonne base
2 - S'y mettre. Ça peut paraitre con comme conseil mais c'est comme à la piscine il va bien falloir rentrer dans l'eau, ne serait-ce que dans le petit bain. C'est bien beau d'avoir du matériel et de se répéter qu'on "va s'y mettre un jour" mais si on repousse l'échéance, ça ne va pas marcher. Il faut se convaincre que Rome ne s'est pas fait en un jour et qu'au début, ça va être tordu et que tu vas dessiner n’importe quoi. La procrastination au nom du perfectionnisme est un mal réel mais arriver à l'occulter est un belle victoire.
Pour ce faire, on commence doucement par gribouiller des choses qu'on aime. Conseil qui sonne sans doute comme une lapalissade absolue mais au début, je dis bien au début, on peut rester dans sa petite zone de confort pour booster la motivation. Tu aimes les chats ? Dessine un chat. Tu aimes les fleurs ? Dessine une pivoine. Tu aimes le ballet ET Emmanuel Macron ? Bref, tu sais ce qu'il te reste à faire (on ne kink shame pas, je suis sure qu’il y a des amateurs quelques part). Cependant, petit à petit, il va falloir prendre plus de risques et se forcer un peu à dessiner des choses qu'on n'aime moins pour progresser mais au commencement, il n'y a pas de mal à gribouiller Les Chevaliers du Zodiac, n'importe comment.
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Le Chevalier du Poisson après s’être pris un mur. J'avais 8 ans ok ?
Bon, je mets un « cut » parce que ça ne va pas être gérable.
3 - Suivre des tutos et ne pas avoir peur de l'aspect technique surtout quand on commence à aborder l'anatomie et la perspective. Et c'est là, qu'il va falloir sortir un peu de sa zone de confort pour faire des exercices pour pratiquer les ombres et lumières, la perspective, comprendre les points de fuites, les poses dynamiques. Il y a plein de tutoriels sur YouTube, tu as aussi des bouquins mais je pense qu'une vidéo est plus parlante. C'est vraiment TRÈS utile. Tu as des vidéos comme "apprendre à dessiner" ou "perspective pour débutant", "la théorie des couleurs pour les nuls", etc...C'est là que tu vas voir que pour dessiner un chat, un visage, un bateau il y a des règles pour simplifier une forme, un visage, un corps. Alors oui, c'est chiant de dessiner 12 fois la même main ou la même sphère éclairée différemment mais ça sert. Bref, commencer à dessiner, ça va être commencer à comprendre comment transposer la réalité en « 3D » vers un support « 2D », la feuille ou le canevas Photoshop, peindre ce que l’on voit et non pas ce que l’on croit voir, décomposer les formes, comprendre les couleurs. Une fois encore, ça va prendre du temps, mais ça viendra.
Pareil pour les applis de dessin que tu vas utiliser si tu commences en digital. Si tu ne sais pas faire quelque chose, va suivre des tutos sur Youtube. Il y a aussi des reels sur Instagram qui ne sont pas mal du tout car ils montrent des "trucs" comme des raccourcis clavier ou des façons de modifier les pinceaux (brushes) de Photoshop ou Clip Studio Paint.
4 - S'exercer par gribouiller tout et n'importe quoi, faire des croquis de...cafetière, bouquin, chaussures, prise électrique, la petite cousine, le gros voisin, la dame du pressing. 1) c'est marrant et 2) les défis techniques ne sont pas toujours là où on le croit 3) ces exercices permettent de comprendre ce dont je te parlais plus haut s’agissant de la décomposition des formes ainsi que de la façon dont la lumière frappe les objets.
5 - Utiliser des références. Je ne le dirais jamais assez, utiliser des références n’est pas tricher ! Des illustrateurs confirmés comme Alex Ross ont un studio où ils prennent des photos de leurs assistants, leurs amis, eux-mêmes, pour avoir une base de travail. Si tu veux dessiner un bateaux pirate, va chercher une photo de bateau pirate sur Internet. On n’est pas « un vrai artiste » parce qu’on dessine de tête ou sans gommer. 🙃
6 - Travailler régulièrement pour progresser. Je sais c'est dur de trouver du temps avec le lycée, la fac, le boulot, les transports, la vie de famille, etc...mais le mieux est d'arriver à dessiner un peu régulièrement, ça sera plus efficace que deux heures toutes les deux semaines. Les cours de géo sur les bassins sédimentaires sont faits pour ça. J'AI RIEN DIT.
7 - Ne pas se décourager. Je me répète mais les artistes étant leurs pires critiques, le chemin vers la satisfaction va être long. Tu vas commencer par copier tes artistes préférés et ta tête va exploser car un jour tes dessins vont ressembler à Mucha et le lendemain ça sera à One Piece et le jour suivant Moebius ou un web-comic coréen. C'est encore plus dur pour les artistes débutants aujourd'hui car ils sont confrontés, Tiktok après Tiktok, tableau Pinterest après tableau Pinterest, à un déluge constant d'influences, à une stimulation artistique telle qu'elle en devient inaudible pour un cerveau toujours plus sollicité. Savoir ce qu'on veut, se concentrer, construire son style sans se perdre est, je pense, un des grands défis des artistes débutants en 2024.
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C'était joliment dit. Merci d'avoir suivi Ce soir ou jamais, on se retrouve demain soir.
Il va surtout falloir que tu prennes en compte en tant que débutant que quand tu vas commencer, tes progrès vont être proche de ça :
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Ils ne seront pas linéaires mais, tu progresseras. Un petit "art block" de temps en temps, du découragement, mais surtout beaucoup de joie et de satisfaction quand tu auras dessiné quelque chose qui te tiens à cœur pour la première fois, même si tu détesteras ce même dessin deux mois plus tard, c'est ça être un artiste, félicitations!
8 - Ne pas se comparer à des illustrateurs de folie. Paix à son âme mais si tu vois une vidéo du regretté Kim Jung Gi qui dessinait des fresques entières sans traits de construction, à main levée, tu vas te dire "Mais punaise, pourquoi j'essaie ?". N'y penses pas, fais ta vie, à ton rythme. Pareil avec les gens de ton âge. Ne te compare pas à un mec de 13 ans à Singapour qui dessine déjà comme un artiste confirmé. On s'en fout. C'est une exception, grand bien lui fasse, on l'embrasse, cœur sur lui, mais ce n’est pas toi. Bref, l'inspiration OUI, la comparaison NON.
9 - Prendre des cours de dessins. Être autodidacte et s’entrainer tout seul, c’est bien, mais prendre des cours si on est perdu n’est absolument pas honteux. Il y a des cours municipaux, des ateliers parfois à la mairie, à la médiathèque de ta ville, etc...Alors oui, tu vas dessiner un pot de fleurs et une pomme avec Mamie Geneviève, retraité de la Mairie de Brie-Comte-Robert mais tu vas avoir un prof qui va t'expliquer les bases si tu sens que tu ne vas pas y arriver seul.
Et, pour l'art digital/digital art, quel application utiliser ?
Moi, j'utilise Photoshop mais c'est payant (et assez cher)
Pour commencer, je te recommande d'autres applications bien moins chères comme Krita (gratuite) ou, si tu as un iPad, Procreate. C'est environ 8€ (ça a peut-être augmenté depuis le temps où je l'ai acheté) mais pour tout ce que cette appli peut faire, c'est donné. Moins connue mais également gratuite, Fire Alpaca, très honorable aussi!
Clip Studio Paint est également très bien. Tu peux l'avoir soit avec un système d'achat unique, soit un system de souscription comme tu peux le voir ici.
Voilà ! Bref, il faut s’y mettre, se lancer, dessiner n’importe quoi pour se faire la main, suivre des tutos, parce que la technique c’est important, utiliser des références et ne pas se décourager.
J’espère avoir répondu à ta question et comme disait Marie-Pierre Casey :
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"Je ne ferai pas ça tous les jours!" (même si personne ne m’a demandé de faire aussi long).
Si vous n’avez pas la réf, demandez à vos parents.
Passe un bon dimanche et courage ! On reste motivé !! 💗
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ekman · 2 months
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Moi, la guerre, je l’ai faite, figurez-vous. Oui, on ne dirait pas en me voyant. Cet air de s’en foutre que j’affiche toujours du coin de mon œil bleu, les gens se disent en le découvrant que je dois être un fieffé malin, peut-être même un salaud, un abuseur, allez savoir.
Moi, je les emmerde tous. J’ai pas survécu à la mitraille, à la boue, aux Boches et aux rats pour subir leur sale gueule et baisser les yeux. Je les emmerde, je vous dis. Et dans des proportions que vous ne soupçonnez pas. Pas l’un d’eux ne trouvera grâce à mes yeux. Ni le bourgeois replet parti prier son Juif repenti à l’église le dimanche, ni le tchékiste resté à encenser son grand Staline dans une réunion de quartier. Les deux me font chier – et savez-vous pourquoi j’entretiens à leur endroit une haine parfaitement égalitaire ? Mais parce qu’ils sont jumeaux, sortis du même ventre flasque de la Révolution, de la même fente puante, matrice qui dégueule son trop plein d’humanité féroce, foetus aux dents acérées, dévoreurs de mamelle ! Boivent autant de sang que de lait, ces monstres absurdes. Des vraies dégueulasseries biologiques conçues pour anéantir le monde beau et sauvage qui ne les a pas vu venir.
Ces affreux-là, j’en ai croisé sur le front. Jamais en première ligne, trop couards pour ça. Toujours en retrait, juste ce qu’il faut. Se chiant dessus à la première déflagration, même lointaine, même ténue. Terrorisés à l’idée d’une baïonnette boche s’enfonçant dans leur sale bide tout gonflé de haricots mal cuits et de gaz diaboliques. Le rouge et le calotin unis dans la même pétoche minable, incapables de transcender leur peur de mammifère absurde, condamnés à baisser la tête, à lever les bras, à écarter leurs miches poisseuses de merde honteuse. Ah ils puaient ces deux-là, faut me croire. Dans les abris, on les laissait pas rentrer ces ordures. “Allez les gars, soyez pas salauds, allez. Faites une place... Je boirais bien la moitié d’un quart de soupe... Allez…” Des cafards, des magouilleurs, arrangeurs, tricoteurs. Des enculés de frais. “Va chier avec ton quart, sale rat !”, que je leur gueulais. “Quand il fallait monter l’échelle tout à l’heure, t’étais où, hein, mon salaud ?” Généralement, ils baissaient la tête ou mieux, ils se barraient. Partaient pleurnicher dans l’abri d’à-côté. Mendigoter un quignon ou une tige à de bonnes âmes qui ne les avaient pas vu s’affaler au signal de l’assaut. Les mêmes tous les deux ! Le rouge et le calotin. Tout pareillement conjoints dans la terreur, taillés pour survivre à tout, coûte que coûte, dussent-ils se faire cracher à la gueule pour l’éternité des temps, se faire maudir par les agonisants, ceux dont la tripe s’étalait tout autour et qui mettaient pourtant tant de temps à crever ! J’aurais jamais assez de toute ma vie pour les maudire, ces fils de salaud, ces petits rongeurs sans honneur, sans grandeur, sans rien !
Et allez ! Que croyez-vous ? Qu’on n’avait pas peur nous autres ? Qu’on ne pleurait pas en claquant des dents au milieu des éclairs qui hurlaient la mort ? Que l’on se prenait pour des Croisés ou pour des Jean-sans-Peur ? Tu parles ! Dans toute cette apocalypse, nous n’étions plus rien ! Et c’est bien à cause de cela qu’on se redressait et qu’on y allait. Parce que je vais vous dire, moi, l’idée de crever recroquevillé comme un cafard, ça m’a toujours été insupportable. Si je dois y passer, ce sera debout, nom de Dieu. À ma gauche, j’avais Lepault Gaston, un garçon gentil comme tout qui voulait entrer dans la banque. À ma droite, j’avais Lefeuvre Martial, fils de paysan, au travail depuis ses treize ans, père de quatre marmots à pas vingt-cinq. Un peu plus loin, il y avait notre lieutenant, un marquis avec un nom à rallonge incroyable, qu’on appelait Duguesclin pour faire court. Eh bien vous le croirez ou pas, mais on est sortis de la tranchée tous les quatre comme un seul homme et moins de deux minutes plus tard, j’étais le seul en vie, coincé dans un trou peu profond, avec un éclat boche calé dans la cuisse. Les autres étaient partis en poussière, pulvérisés par un obus fabriqué avec soin par de rondelettes bouffeuses de saucisse, quelque part du côté de Cologne.
Alors ne venez pas me faire chier avec mon regard inquisiteur. Il fera toujours moins mal que le shrapnel, tas de cons. Si je vous attrape du coin de l’œil... si je vous ajuste, pour tout dire, soyez heureux que ce ne soit pas entre deux rangées de barbelés avec, calé dans la molletière, le beau couteau de chasse que mon oncle Albert gardait depuis Sedan.
J.-M. M.
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 139
Le samedi matin, je descends de mon R1 flambant neuf devant la concession SUZUKI.
Je suis en avance et la porte est encore verrouillée. Je lis sur la porte qu'en fait ils ne vont ouvrir que dans trois quarts d'heure. Je quitte mon casque et mate la vitrine. bientôt un jeune (mon âge environ) vient vers moi et me fait signe de retourner à la porte. il m'ouvre, on se salut et il me demande (en me tutoyant) ce que je cherche chez eux vu le matos que j'avais entre les cuisses en arrivant et de me mater l'entrejambe.
Je ne sais pas pourquoi mais les vendeurs en concession moto sont toujours jeunes ! Moi ça ne me dérange pas, qu'ils soient jeunes ! Mais niveau allusions, faudrait qu'ils soient plus discrets ! Je l'observe de plus près : jeans moulant un cul étroit et un paquet conséquent, polo siglé de la marque couvrant des épaules larges et chaussure sport/ville Adidas et au dessus de tout ça une tête sympathique couronnée de cheveux blonds en bataille. Mon inspection était nettement visible et quand mes yeux ont rencontrés les siens, il m'a demandé s'il me convenait ou s'il faudrait qu'il se fasse remplacer par un collègue. Je le rassure en lui disant qu'à ce que j'ai pu voir jusque là, il me convenait (je pense que cela lui aurait couté de me lâcher, après tout ils sont payé en grande partie à la commission) mais que ma machine n'était que la partie émergée de l'iceberg. Un grand sourire accompagné du passage de sa langue sur ses lèvres m'ont indiqué que nous n'en resterions probablement pas là.
Les choses étant calées, nous avons abordés le sujet de ma présence, en l'occurrence l'achat d'un GSXR 1000. Devant la moto, il commence le panégyrique. Je le laisse faire 5mn puis je le coupe en lui disant que quoiqu'il me dise je lui en achèterais un. Il me regarde sans comprendre. Je lui dis alors que c'est un cadeau pour un ami qui ne roule qu'en GSXR 1000 depuis qu'il a eu son permis. il me regarde droit dans les yeux pour me dire que j'ai des amis qui ont beaucoup de chance. Je soutiens son regard, beaux yeux bleus, je souris et lui glisse que j'attends quand même qu'il donne de sa personne. Je suis compris, et très naturellement il m'indique les toilettes et pousse la courtoisie à m'y accompagner.
Dès la porte refermée, il me plaque dessus et me roule une pelle d'enfer. Chaud le jeune vendeur alors qu'il sait déjà qu'il a vendu la machine ! collé contre moi, je sens sa queue gonfler sous le jeans et la mienne en faire autant sous le cuir. Le premier il se baisse et ouvre ma combi pour sortir ma bite. Sans la laisser à l'air plus que nécessaire, il la recouvre de sa bouche. L'impression de rentrer dans une étuve. Chaud, humide avec une langue qui voltige autour de mon gland, du grand art ! Je le relève avant qu'il ne me fasse jouir. Je lui dis qu'il n'est pas obligé d'en faire autant, il l'a déjà vendu son GSXR. Il me répond qu'il avait flashé dès qu'il m'avait vu de l'autre coté de la vitre et redescend me sucer. Avec un effort supplémentaire, il me prend en entier. Dieu que c'est bon d'avoir le gland serré dans une gorge ! Mais il va me faire jouir ce con ! je le relève une deuxième fois. Il me roule un patin où je retrouve le goût de ma bite.
Mes mains sont sur ses jeans. La bosse s'est transformée en une barre horizontale conséquente. J'ai du mal à déboutonner la braguette en tension. Quand j'y arrive enfin, une belle matraque tombe entre mes mains. J'y jette un oeil, bien rose, gland découvert, j'ai l'impression qu'elle est plus longue et plus grosse que la mienne. Comme nous sommes face à face, je superpose nos deux sexes. Finalement je dois faire quelques mm de plus en longueur mais il les rattrape en largeur. C'est son étroitesse de bassin qui m'avait trompé. Je lui glisse un interrogatif, actif ou passif ? Il me souffle que c'est comme je veux qu'on a encore 1/2 heure avant que ça s'agite dans la concession.
Je me baisse à mon tour et lui avale sa bite, direct du premier coup derrière mes amygdales. Histoire de montrer que je suis pas novice non plus. Il apprécie l'attention en me prenant la tête et en me pilonnant la gorge, le tout agrémenté d'un " putain, c'est rare ! ". Mes mains libres sont parvenues à faire glisser le jeans de ses fesses et mes doigts ont pris le chemin de son trou, petit mais bien chaud. Je tends mes doigts vers le haut et il me les suce, les enduits de salive. Je peux alors lui préparer la rondelle. Un puis deux doigts entrent assez facilement. Il ne bande que plus dur. Après avoir pu lui mettre un troisième, je me redresse, le tourne vers les lavabos. Il s'y accroche et le temps de me kpoter, je me présente à sa porte arrière. J'ouvre quand même un sachet de gel au dessus de mon gland et pousse fermement. Mon gland entre accompagné d'un gémissement de plaisir. Je pousse jusqu'à disparaître complètement en lui. D'une main je vérifie qu'il bande toujours. Je l'encule une bonne dizaine de minute puis me retire, j'ai envie de sa bite en moi. La combi une pièce ne facilite pas la chose ! je fini par la virer complètement avec son aide. Et je prend sa place après lui avoir donné gel et Kpote.
Il commence par s'accroupir derrière moi et me préparer l'oignon avec sa langue. Déjà dans ma bouche je l'avais trouvé très longue (sa langue), il allait me le prouver une nouvelle fois, réussissant à pénétrer mon trou de bien deux à trois cm. Aussi bien préparé et surtout excité par la situation, je me suis ouvert rapidement et tout aussi vite il me l'a mise. Pas de délicatesse, rapport viril et fort, je me suis fait sauter en beauté. Jeune mais déjà bien expérimenté, il à joué de sa bite comme un virtuose de son archet sur son violon. J'ai éclaboussé la faïence, utilisant mes muscles annaux pour lui bloquer la queue. Il a été très surpris de ne plus pouvoir bouger. En deux à trois contractions de la sorte je lui ai fait remplir sa kpote. Quand il a déculé, il m'a dit que c'était la première fois qu'on lui faisait ce coup. Et qu'il avait super aimé. Je me suis rhabillé avec son aide et une fois vérifiés mutuellement nous sommes retournés au magasin. Seul son boss nous a vu sortir des toilettes. Nous sommes retournés devant le GSXR et il a fait semblant de me convaincre. 1/4 d'heure plus tard (pour être crédible), il m'emmenait à son boss pour conclure l'affaire.
J'achetais donc un GSXR 1000 de base, couleurs blanc et bleu classiques à livrer à la maison et au nom de Eric X. Je dis au boss que son vendeur étant tellement bon, je ne discutais en rien le prix catalogue afin de lui assurer la meilleur commission possible. Il me répondit que parfois il avait cet effet là. je lui conseillais alors vivement de le garder. Il me dit qu'il n'avait aucunement l'envie de le laisser partir que c'était son meilleur élément. Je lui dis que je lui faisais confiance sur ce point n'ayant pas " testé " les autres. Comme le vendeur en question était encore à nos cotés, j'ai eu le plaisir de le voir rougir jusqu'aux cheveux. J'ajoutais à l'achat qu'Eric X (le futur propriétaire) avait crédit ouvert pour modifier sa machine (freins, pot d'échappement, durites, bracelets...). Et pour le garantir, je laissais un chèque de caution de 4 000 € à charge pour eux de me fournir les factures signées d'Eric.
En dernier point je demandais à ce que la livraison soit effectué par son vendeur qui avait su si bien me convaincre. Point accepté de suite, et de fixer le jour de livraison. Et dernier détail j'exigeais un paquet cadeau rose vif avec un gros noeud rouge.
Quelques jours plus tard j'attendais impatiemment ma livraison. 18h la camionnette arrive. J'avais décidé de mettre la moto dans le garage à la place de la berline de Marc. Je le fais reculer jusqu'aux portes et le vendeur sort me saluer. Je suis en jeans polo. Il s'approche et comme je vais pour lui serrer la main, il me prend le poignet et la colle à son sexe. De son autre main, il tâte le mien et collés me roule un patin que j'accepte volontiers. Je me décolle et lui dis " d'abord les choses sérieuses ". Il est d'accord et j'ouvre le garage pour qu'il descende la moto. Il la place au milieu de l'espace vacant et retourne chercher la boite cadeau qu'ils ont réalisés. Il m'a dit qu'avec un de ses collègue, ils s'étaient bien amusés à la faire. Résultat : un grand paralépipède rectangle rose fuscia avec son noeud rouge dessus qui couvre parfaitement la moto. Choses faites, il regarde un peu autour et voit notre alignement de motos, VFR, X11, Ducat 1100 S et le R1 et devant ma SLS toute neuve. Il se retourne vers moi et me dit que je ne m'ennui pas ! J'acquiesce et lui donne un billet de 100€ plié pour la livraison et le colisage. Il me remercie sans regarder la valeur. Il n'a pas débandé depuis son arrivée et m'avait mis dans le même état que lui.
Camion garé et portes du garage fermées, nous avons repris notre salutation. Il a vraiment une langue plus longue que la normale ! Mais c'est très bon. Nos jeans respectifs déjà trop étroits, le sont devenus encore plus et ça a été une véritable libération que de les ouvrir. A même le sol (béton propre) nous avons entamé un 69 torride. A qui avalera le plus loin la bite de l'autre. Sur ce point je l'ai battu de vitesse. Son gland obstruait mes voies digestives et respiratoires avant que le mien n'en fasse autant.
Pendant tout un moment ça n'a été que Slurp, Slurp. Puis ses doigts comme les miens sont entrés en jeu et nous avons alternés pipe / doigtage et anilingus. Cette fois c'est lui qui a enculé en premier. J'ai retrouvé toute la fougue qu'il avait mis à notre première rencontre. A 4 pattes, je me faisait monter comme une chienne. Deux fois je l'ai calmé car sinon il aurait juté. Puis ça été mon tour, je l'ai enculé debout, plaqué contre mon SLS. Alors que par les cheveux je lui tournais la tête pour profiter de sa langue, j'ai entendu les portes s'ouvrir automatiquement et perçu les phares de la berline de Marc éclairer le paquet cadeaux. Mon vendeur s'est aperçu alors que nous n'étions plus tout seuls. Il se serait je crois bien retiré mais je le coinçais contre la carrosserie et il n'avait pas la carrure pour me repousser. Marc est venu à notre hauteur et m'a rouler un patin sans que je ne me désaccouple. ;
Le vendeur hallucinait de la situation. J'ai fait les présentation le temps que Marc baisse son pantalon et se Kpote puis, je me suis retiré et il a pris ma place. Ses 2cm de long et son cm de diamètre de plus ont propulsé notre jeune ami vers les cimes du plaisir. Comme il n'avait pas débandé, je me suis intercalé et je me suis planté sur sa bite. Sous le rythme imposé par Marc, nous sommes doucement monté en pression. Je sentais la queue de Daniel prendre encore du volume, il était en train de remplir sa kpote. Sa main qui me branlait depuis un moment a reçu mon sperme. Avant qu'il ne jette ma production au sol ou qu'il ne s'essuie sur son pantalon, je lui ai pris la main et l'ai nettoyée avec ma langue (miam). Un " quelle salope " est venu commenter le fait. Nous avons terminé Marc tous les deux avec une pipe à deux bouches jusqu'à ce qu'il couvre nos visages de sperme.
Vu l'heure, Marc a proposé au jeune vendeur de rester diner. Après un coup de fil à son boss pour lui dire qu'il ne ramènerait le camion que le lendemain matin, il a accepté l'invitation.
JARDINIER
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les putes sont déjà au bois
+
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perduedansmatete · 2 months
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j'ai allumé toutes les bougies dans ma chambre après m'être étalée de la crème à la fleur de cerisier c'est très feng shui et ça me ferait presque oublier que je n'ai pas eu la force d'aller en cours aujourd'hui, cette nuit j'en parlais à Y qui m'a dit "n'y va pas" alors que je pensais qu'il allait me forcer à y aller, j'ai éteint tous mes réveils dès qu'il m'a dit ça, je suis quand même sortie chercher des cadeaux pour l'anniversaire de ma sœur mais je n'ai rien trouvé, j'hésitais encore à aller en cours cette après-midi mais je me sentais trop mal en partie à cause du fait qu'on doit parler avec tia, j'ai ouvert son message qu'en rentrant de mon périple ce soir et j'ai pas envie d'entendre ce qu'elle me dira tout autant que je n'ai pas envie de lui dire je ne sais pas encore quoi, j'aime pas faire rentrer de nouvelles personnes dans ma vie car il y a toujours un moment où il faut que j'explique que je suis folle et chiante même si je crois qu'elle l'avait déjà compris et que ça ne la dérange(ait?) pas, du coup je me suis dit que je n'allais pas manger aujourd'hui parce que j'étais nulle et méchante mais dieu merci je n'ai aucune détermination donc j'ai bien mangé ce soir après avoir trié et rangé des trucs pour la millième fois depuis une semaine puis je crois que je me suis tordu le petit doigt car j’ai super mal donc je suis déjà punie
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alexar60 · 9 months
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Repartir à zéro
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Jeanne regardait la jambe artificielle posée sur la table. Assise dans un fauteuil roulant, elle attendait que l’infirmière explique comment la porter. Pendant ce temps, Antony préparait les barres parallèles.
Cela t’aidera à avancer, dit-il tout en serrant une vis.
Le bord de la prothèse recouvrit le moignon. Aussitôt, l’infirmière se redressa avant de pousser le fauteuil. Et, une fois devant les barres, elle aida Jeanne à se relever. La jeune amputée avait une appréhension de sentir cette chose cogner contre sa cicatrice. Elle n’osait jamais toucher le bout de ce qui lui restait. La peur de réaliser qu’elle ne pourra plus jamais marcher ni courir comme avant. Toutefois, cette crispation ne dura pas longtemps.
Elle attrapa une des barres et s’installa au milieu du chemin préparé. Puis, encouragée par Antony et l’infirmière, elle s’élança. L’effort parut surhumain. Elle trainait cette jambe en carbone. Elle n’arrivait pas à la lever. Son visage devint rouge de colère mais aussi de honte.
Ne t’énerve pas. Prends ton temps et ça viendra par la suite, réagit calmement Antony.
Jeanne regarda cet homme qu’elle côtoyait depuis presqu’un an. Il était présent pour la rééducation de ses bras et son autre jambe. Il était aussi présent, même si ce n’était pas son rôle, quand elle réapprenait à parler convenablement. C’était devenu un peu son mentor, le seul homme qui montrait ouvertement de la confiance pour elle.
Dès lors, elle inspira un grand coup pour calmer son empressement. L’infirmière était partie s’occuper d’un autre patient. Plus loin, un second kiné aidait un amputé à s’assoir dans son fauteuil. Jeanne s’agrippa fortement aux barres. Puis, elle réussit à faire un pas. Toutefois, la prothèse rappa le tapis. Antony sourit et approuva cet effort d’un signe de tête.
Je sais que tu dois tout reprendre depuis le début, mais dis-toi que Rome ne s’est pas construite en un jour. Dit-il.
La séance dura une heure avant que Jeanne ne retourne dans sa chambre. Elle se sentait exténuée et resta dans le fauteuil plutôt que de retourner sur son lit. La fatigue commençait à envahir son esprit. Seulement, elle avait peur de dormir. Elle avait peur des cauchemars qui lui faisaient revivre son accident.
Elle lui avait dit de ralentir, mais il n’entendait rien. Son compagnon avait trop bu et voulait rentrer vite. L’Opel fracassa un muret de sécurité avant de s’écraser dans un fossé. Il est mort de ses blessures. Quant à Jeanne, la tôle écrasa sa jambe. Sa tête entra dans le parebrise obligeant une chirurgie reconstructive d’urgence. Elle ne voulait pas dormir. Elle ne voulait pas revivre ça.
Durant toutes les semaines suivantes, Jeanne fit des progrès et put enfin marcher en utilisant la jambe artificielle. Antony était fier d’elle. Jamais, il n’avait rencontré quelqu’un avec autant de volonté. Dès qu’elle levait cette jambe, elle riait comme un enfant qui réussissait un test. Néanmoins, cette volonté nécessitait d’énormes efforts. Aussi, elle ne marchait correctement que pendant quelques minutes. Ensuite, elle s’asseyait ou tenait fermement une des barres parallèles afin de reposer sa vraie jambe.
Je trouve aussi que tu t’exprimes bien mieux. Tu parles toujours lentement mais ta voix, les mots que tu prononces sont nettement plus clairs.
Ça va m’aider pour trouver du travail, dit-elle.
Elle était professeure de sport. Dans son état, il était compliqué de continuer. Elle envisageait de reprendre des études. Une assistante sociale l’avait orientée sur un centre pour réadaptation professionnelle. Par contre, elle n’avait pas encore trouvé son prochain métier ou sa future spécialité. Antony encouragea sa patiente à refaire au moins un aller-retour entre les barres, puis d’essayer de traverser la salle. Elle mit une vingtaine de minutes pour faire les exercices demandés. Vingt minutes pénibles mais encourageantes.
Le lendemain, Jeanne ne se présenta pas à sa rééducation. Dès lors, Antony monta dans sa chambre pour la gronder. Il détestait qu’on ne respecte pas le programme. Il frappa à la porte. Personne ne répondit. En reconnaissant le kiné, une infirmière intervint immédiatement pour ouvrir. Jeanne ne s’intéressa pas à eux. Elle était dans la salle de bain. Le jeune homme fut gêné de la découvrir entièrement nue. Elle était debout, à côté de son fauteuil. Elle se regardait à travers une glace. Elle était horrifiée par cette jambe de bois. Elle regarda Antony et l’infirmière. Ses yeux étaient rouges et humides.
Même pour ça, je dois m’habituer, affirma-t-elle.
Les deux agents hospitaliers demeurèrent silencieux. Jeanne s’appuya contre la barre de la douche et se retourna sans quitter des yeux le grand miroir. Elle caressa les cicatrices de sa mâchoire. Bien qu’ils ne fussent pratiquement pas visibles, elle les voyait toujours en premier. Ensuite, ses doigts frôlèrent le carbone froid de la prothèse.
Je ne sais pas si je me sentirais capable d’être aimée, ajouta-t-elle. Je suis devenue…
Une belle femme !
Elle dévisagea Antony pendant que l’infirmière posait un peignoir sur ses épaules. Elle proposa à Jeanne de s’assoir sur son fauteuil. Cette dernière refusa préférant le faire seule.
Tu es toujours une belle femme, confirma Antony. Seulement, tu dois apprendre à l’accepter. Tu dois tout reprendre depuis le début. Il existe de nombreuses personnes qui vivent avec des bras ou des jambes en moins, et qui sont mariés. Tu as besoin d’aide pour tout réapprendre, on est là pour ça.
Jeanne l’écoutait. En même temps, elle regardait par la fenêtre les gens se promener dans le parc de l’hôpital. Il lui était difficile d’accepter que sa vie ne sera plus jamais comme avant. Et qu’elle devait repartir à zéro. Mais ce jour-là, elle comprit aussi qu’Antoine fera tout pour qu’elle y arrive.
Alex@r60 –août 2023
Photo de Riana Lisbeth
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recapqsmp · 8 months
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Mardi 12/09 - Le royaume des capybaras
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Pac a pris les médicaments. Il est très souriant, très heureux. Il a cependant oublié ce qui est arrivé à Mike et à WalterBob. Il pense que Richarlyson est toujours en train de dormir. Néanmoins, quand il entends parler de WalterBob, il revient à lui, il se rappelle, se sent malheureux et préfère reprendre les médicaments.
Fit et Tubbo sont allés voir Pac pour voir comment il allait. Ils ont pu se rendre compte de l'état mental de Pac sous médicaments. Pendant la conversation, Pac a dit hésiter a prendre à nouveau une pilule, les voix dans sa tête lui disant de ne pas le faire. Fit en a profité pour lui rappeler qu'il souhaitait trouver un antidote à la base. Pac a dit ne pas pouvoir faire ça, car il n'a pas trouvé la recette du médicament pour l'instant. Il réalise maintenant que les médicaments sont la solution à ses problèmes. Tubbo lui a conseillé d'écrire ses pensées dans un journal pour documenter tout ça.
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https://clips.twitch.tv/InquisitiveEnchantingHamsterArsonNoSexy-Gaf9vSUuBdGtnE-Q
Tubbo souhaitait que Fit lui montre l'entrée de la base de la fédération. Fit lui a dit qu'il la connaissait, mais qu'il ne pouvait pas lui montrer, car il risquait son boulot. Tubbo lui a demandé pourquoi il s'en souciait, la santé de ses amis et peut-être même la vie de Ramon est en jeu. Fit lui a expliqué qu'il y avait des choses bien au dessus de tout ça qui entrait en jeu, et qu'il ne pouvait pas lui en dire plus.
Pac est tombé sur un livre qu'il s'était écrit avant de prendre les médicaments. Il a hésité sur l'action a entreprendre, entre continuer a prendre les médocs ou pas. Il a décidé de prendre son courage à deux mains, et d'en livrer à Cellbit. Il en a quand même gardé sur lui, et n'a pas la force de s'en passer totalement.
QuackityStudios a posté un tweet sortant de l'ordinaire : il n'est lié à aucun évènement se déroulement au moment du post, le nombre de jour est en décimal, et il y a un message caché à droite de l'image.
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Pac a rencontré Foolish, et lui a proposé de prendre un cachet pour tester les effets sur lui. Il est très intrigué de savoir ce qui va lui arriver s'il en prend, et a décidé d'en discuter avec sa version chaotique dans le château de cellbit pour savoir ce qu'il doit faire. Son alter-égo lui a dit qu'il n'est pas une chochotte et qu'il doit les prendre. Il est aussi tombé enceinte d'un monstre.
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Foolish Fit et Tubbo ont suivi une nouvelle piste d'oranges, qui a mené vers une plateforme aérienne. Là haut, ils ont retrouvé Abuelito, qui lui a demandé d'emmener toutes les recherches sur Mr Mustard avec lui. Il lui a ensuite montré une warp plate, et les 3 compagnons sont allés au royaume des capybaras ! Là bas, ils ont rencontré quasiment tous les capybaras existant, ainsi que quelques nouveaux. Abuelito lui a expliqué qu'ils ne laissaient jamais rentrer personne ici, mais qu'ils faisaient une exception pour quelqu'un comme lui qui a toujours cherché a protéger les capybaras. Il lui a montré la maison de Mr Mustard, et lui a expliqué ce qui lui est arrivé : il a essayé de préparer une potion et elle a explosé, rendant le capybara invisible. Néanmoins, ils pensent qu'en versant de l'eau de piscine sur un feu bleu, il pourra peut-être réapparaître. Une fois fait, Mr Mustard est effectivement réapparu, et tous les capybaras ont construit un trône pour Foolish et lui ont donné une couronne, le déclarant officiellement roi des capybaras ! Lui et ses nouveaux sujets sont allés faire la fête au spawn, provoquant beaucoup d'explosions sous couvert de nombreuses musiques. Foolish a aussi pu nommer les nouveaux capybaras : SNIPYBARA, Tango et Reyna !
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Foolish en a profité pour leur demander s'ils avaient entendu parler de l'absence des oeufs, mais les capybaras ne savaient même pas de quoi il parlait. Ils ont tout de même accepté, si besoin était, de participer à une opération spéciale pour aller les récupérer.
Il y a deux nouveaux travailleurs de la fédération ! L'un porte un casque bleu, l'autre un casque jaune. Tubbo a nommé le casque bleu "Fred", et le casque jaune "Jed". Ils ne connaissent pas WalterBob et n'ont aucune idée du principe d'émotion non plus.
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https://clips.twitch.tv/BoredAbstemiousPeppermintCclamChamp-_bODMFMYzf19Qmf1
BadBoy a perdu toutes ses couleurs. Il est désormais dans des nuances de gris et de noir. Par moment, son personnage ne voyait plus les couleurs non plus.
BadBoy s'est confié à Aypierre : il lui a dit tout ce qui s'était passé la veille avec Forever (sa crise de somnambulisme, son saut dans le vide…) et les deux ont décidé de contacter Roier pour tenter de traduire le livre portugais. Roier a donné une version similaire à la traduction de Pol : Forever demande de l'aide, car il n'en peut plus. Les 3 compères se sont accordés sur le fait qu'il faut tuer Forever le plus vite possible pour le débarasser de la drogue.
BadBoy a entrainé Foolish a dire non à la drogue si Forever ou Pac lui en propose. Foolish a ensuite expliqué ce qui s'était passé avec les capybaras à BadBoy. Celui-ci pense que Foolish est drogué. Aypierre pense que ce sont les capybaras qui sont drogués.
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https://clips.twitch.tv/RespectfulSmallChickpeaDancingBanana-FcagLZ72aH0KM3f9
Forever est parti du serveur en jouant une nouvelle vidéo : le parallèle entre lui, et ce qu'il souhaiterait faire dans sa tête. La vidéo alterne donc entre des scènes normales où Forever se balade puis les même scènes où Forever fait tout brûler et exploser. BadBoy est parti aussi, après avoir lu la lettre que Pomme a laissé à Baghera.
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swedesinstockholm · 22 days
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5 avril
j'aimerais pouvoir instaurer un quota de temps de pensée quotidien consacré à un sujet. j'accorderais quinze minutes par jour au sujet r. par exemple, quinze minutes quotidiennes que j'aurais épuisées dès 8h15 du matin et hop je serais tranquille pour le reste de la journée. je lui ai parlé de pessoa et il m'a dit qu'en grand romantique il avait adoré le berger amoureux ou un truc comme ça, j'étais assise sur la marche devant la véranda au soleil et je me suis pris la tête dans les mains en gémissant. autre sujet: ce soir dans le train pour revenir de sète je parlais du sud avec maman, je disais que vivre ici était plus sain que vivre au luxembourg, et puis j'ai vu mon reflet dans la vitre avec ma casquette mes nouvelles lunettes de soleil et mon double denim et j'ai imaginé que c'était le reflet de mon moi d'ici. mon moi qui est là où elle est censée être.
6 avril
cet après-midi dans la voiture pour aller à pézenas je me disais que je devais rediriger mon énergie et remplacer r. par le sud de la france. ne plus tomber amoureuse que de territoires. me concentrer sur les arbres et les champs et les vignes qui défilent par la fenêtre ouverte de la voiture et le vent qui s'engouffre dedans et qui fait du bruit par dessus nostalgie et la colline de sète et celles d'agde et les bateaux qui rentrent dans l'hérault et ceux amarrés aux quais et sur le vocabulaire marin et le bruit des vagues sur la plage et l'odeur de marée et le pin du port de la pointe courte et les falaises du cap d'agde et les marais du bagnas et les flamants roses qui marchent avec la tête dans l'eau et les mouettes qui crient dans le ciel quand le soleil commence à se coucher. ne plus tomber amoureuse que de territoires et de littérature. j'ai trouvé la nouvelle édition décensurée de ravages dans une librairie à pézenas, le gros livre mauve qui trônait en exposition sur la table en ellipse de la librairie exc quand j'y avais lu géotropismes. maman me l'a acheté et je l'ai serré contre moi jusqu'à la voiture. autres cadeaux de la journée: une glace caramel beurre salé-chocolat à la mirondela, une vieille chemise de nuit à bords rouges que j'ai trouvée en triant des cartons chez mamie dans la pièce du fond, une bouteille de thé glacé rooibos-pastèque-menthe que h. avait déposée sur la table en bas parce que j'avais dit que j'adorais la bouteille rouge et rose quand on était chez elle.
ce matin j'étais encore en train de feuilleter le catalogue immobilier de sète et je me disais que quand je sortirais de ma non-vie, ce serait comme si je revenais de la mort. et quand on revient de la mort, tout est du bonus. quand on revient de la mort les choses sont moins graves et elles pèsent moins lourd, la gravité perd de son pouvoir, le centre de la terre n'a plus le même attrait. j'imagine. quand je reviendrai de la non-vie je veux faire les choses sans réfléchir. je sais pas quelle forme ça prendra de revenir de la non-vie, peut être que j'arriverai jamais à en sortir, mais dans ma tête ça va quand même finir par arriver.
8 avril
petit journal d'amour qui était caché dans ma banane toute la soirée d'hier dans les loges de la maison poème puis sur mes genoux pendant ma discussion intime interminable avec r. assis sur l'accoudoir du canapé puis sur la banquette du bar avec l., d. et c. et les autres et enfin sous la pluie de bruxelles pour rentrer chez m. en chantonnant don't go wasting your emotions lay all your love on me toute seule dans les rues de st. gilles. au bar l. m'a dit qu'elle adorait ma banane et je l'ai ouverte pour lui montrer sa meilleure qualité: mon journal rentre dedans! et elle a dit c'est de là que viennent tes poèmes! elle a fait une remarque sur le pendentif en perles et j'avais envie de lui raconter l'histoire de r. qu'y a derrière mais c'était pas trop le moment. ils se sont rencontrés hier soir. j'étais en train de discuter avec l. et d. quand je l'ai vu accoudé au bar en train de discuter avec la serveuse mais j'ai fait semblant de pas le voir, jusqu'à ce qu'il se retourne et me voie. je lui ai pas sauté dans les bras comme dans mes fantasmes, je l'ai pas serré fort contre moi, j'étais trop timide, et lui aussi était timide, c'était un peu bancal, et puis l. a dit mais tu connais des gens ici! et je me suis rapprochée de lui en disant c'est mon seul ami. elle a demandé comment on s'était rencontrés et j'ai dit ici à la maison poème et on aurait dit que je racontais une histoire de rencontre amoureuse très romantique.
j'ai passé la soirée à discuter avec lui au lieu de me joindre aux autres. il parlait beaucoup et parfois je m'ennuyais et je me disais est-ce que je suis vraiment amoureuse de lui au point de me priver de discussions avec mes pairs poètes? visiblement oui. il m'a confié plein de trucs intimes sur ses névroses et j'ai remis les deux pieds en plein dans la delulu. j'ai de nouveau réussi à me persuader qu'il était juste terrorisé de m'avouer et surtout de s'avouer à lui-même qu'il avait des sentiments amoureux pour moi. je veux pas en démordre. il m'a confié qu'il aimerait avoir une expérience homosexuelle et je me demandais s'il me disait ça parce qu'il me prend pour une lesbienne et que donc il a moins peur d'être jugé. il m'a dit que ça coinçait encore un peu parce qu'il craignait le regard des autres mais ok OK non mais j'y crois pas, est-ce que je suis vraiment en train de parler de la sexualité de r. alors que hier soir j'étais de retour sur les planches, derrière un micro, j'avais de nouveau les genoux qui tremblaient mais à part ça j'étais archi à l'aise, même avec les gens, quand j'étais pas prise en otage par les états d'âme de r. j'étais avec l. et d. et c. et j'étais normale et l. était un coeur avec moi, je me sentais même presque jolie, je portais mon double denim de sète et j'étais bronzée de la mer mon amour merci ma peau coopératrice. r. m'a écrit que j'avais l'air dans un méga mood en rentrant et je sais pas trop ce que ça veut dire mais j'ai dit ça c'est parce que je reviens de la mer lol. j'allais pas lui dire que c'était à cause de lui. ça c'est parce que t'étais là r. la vérité c'est que j'étais pompée à bloc parce que j'avais des interactions sociales avec des gens qui n'étaient ni des retraités ni des gens de ma famille, j'ai rencontré des nouveaux gens cool j'étais dans mon monde et les gens m'aimaient bien ET j'étais contente d'être avec r. c'était tout ça à la fois.
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nos-nouveaux-espoirs · 5 months
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"You were my easiest hello, and my hardest goodbye"
J'ai lu cette phrase un jour et je n'ai pu l'enlever de mon esprit, car elle reflète parfaitement ce que je ressens pour toi depuis tout ce temps. Il a été si simple pour moi de te laisser rentrer dans ma vie. En quelques semaines seulement, tu avais attisée ma curiosité et me donnait envie de te découvrir alors même que j'avais le coeur brisé. Je t'ai ouvert la porte de mon appartement, comme s'il était le tien avec une telle facilité qu'aujourd'hui encore, je me demande ce que tu m'as fait ce jour-là. Ce jour où j'ai décidé de me laisser porter par toute la chaleur et la joie qui émanaient de toi. Et ce jour-là, ma vie a considérablement changé. Tu l'as changé, pour être honnête. Pour la première fois de ma vie, je me sentais pleinement heureuse et surtout, je me sentais vivante. J'avais un sentiment de légèreté, comparable à aucun autre. Plus que n'importe qui, je découvrais enfin le bonheur et la joie de vivre en se sentant aimée et aimant si fort en retour. Tu le sais, notre relation a eu des hauts et des bas, et dans chacun d'eux, j'y mettais toute mon âme. Il était dur de nous voir souffrir, mais il était tellement bon de nous voir heureuse. Aujourd'hui encore, il m'arrive de rire lorsque je me souviens de toutes les conneries qu'on faisait, lorsqu'on courrait autour de la table, lorsqu'on suçait nos pouces ensemble, quand on jouait aux échecs ou a la bonne paye… Tous les souvenirs, quels qu'ils soient, me rappellent à quel point nous ne formions qu'un. A quel point tu étais vitale et à quel point tu donnais du sens à mon existence.
Je ne minimiserai jamais ce qui s'est passé entre nous. Les bas, les disputes, la tristesse et la peine. Nous en avons souffert toutes les deux, et je te l'accorde, ça n'a pas été simple. Parfois, je me demande si nous avons bien fait de rompre. Si c'était la seule solution. Car je me souviens de nos aurevoirs déchirants et de l'incompréhension de nos parents. Après tout, deux êtres qui s'aiment doivent-ils réellement se quitter ? Pourtant nous l'avons fait, et je peux t'assurer que souvent, je me demande si nous n'avions pas abandonné trop vite. Malheureusement, les choses sont ainsi. Si cette rupture n'a pas permis de me libérer de notre histoire, peut-être que c'est le cas pour toi, et dans ce cas-là, tout va bien.
Je ne sais pas comment tu réagiras à ce message. Peut-être que tu me bloqueras dans l'instant car tu as refait ta vie dans laquelle tu ne souhaites pas que j'existe, peut-être que tu auras de la peine de me savoir toujours accrochée à nous, peut-être que tu seras en colère parce que je te réécris à nouveau. Sache qu'en aucun cas, je ne souhaite que ce message ait des répercussions négatives sur toi ou ta copine. Car tu auras peut être du mal à le croire, mais si ton bonheur est loin de moi, auprès d'une autre, je le comprendrai. Il n'est pas facile d'aimer une âme comme la mienne, mais tu l'as fait avec beaucoup de passion et d'amour et pour ça, je t'en remercie.
Aujourd'hui, l'air me manque, tu sais ? Parce que je te vois de partout, et pourtant tu n'es pas là. A chaque endroit que je découvre ou que je revisite, je te vois. A l'autre bout du monde, vivant mon plus grand rêve, mon coeur était serré de ne pas t'avoir près de moi pour vivre ce que j'étais entrain d'accomplir. Les sons passent en boucle dans ma playlist et ils ne me rappellent que toi. Chaque page de livre que je tourne ne me mène qu'à toi.
J'ai essayé, comme tu me l'as demandé, comme on se l'était promis, d'avancer et d'être heureuse. De reconstruire, de ne plus attendre après nous. Mais la réalité, Chloé, c'est qu'il n'y a que toi que j'attends. Je n'y arrive pas. Après plus d'un an et demi, je ne parviens toujours pas à passer à autre chose. A me dire que cette histoire est terminée et qu'elle doit appartenir au passé. Pourtant, et je te jure que c'est vrai, je l'ai espéré et prié si fort. Réussir à tourner la page. Réussir à accepter ton départ. Accepter de retomber follement amoureuse. Accepter de tout recommencer à zéro. Mais je n'y arrive pas. Quelque chose s'accroche à toi comme on s'accroche à la vie. Une partie de mon être est restée auprès de toi, et je crois que tu l'as pris et gardé pour toujours. Malgré tout mon travail de thérapie, malgré l'hypnose à laquelle j'ai succombé pour te sortir de ma tête, malgré la relation que j'ai tenté de construire, mes proches qui m'encouragaient à être patiente car la peine passerait, je n'y suis pas parvenue. Il m'est impossible de t'oublier, de te laisser t'en aller pour toujours et à jamais. Je n'y arrive pas. Parce que personne au monde, autre que toi, ne m'avais permis de me sentir aussi vivante…
Ce message est très malvenu et je suis vraiment désolée de devoir encore te contacter. Mais je pense qu'il est nécessaire que je lise ce que mon coeur refuse d'admettre. Tu es même venue jusque dans mes rêves pour me dire de ne plus rien attendre de toi, pour me dire à quel point tu l'aimais, à quel point elle te comblait et à quel point je ne représentais plus rien. C'est terriblement triste, tu ne trouves pas ? Même mon inconscient a tenté de me dissuader de continuer de t'aimer… Et pourtant…
Chloé, je sais que la vie doit faire les choses, mais la vie n'a jamais été très belle avec moi. Plus j'évolue, plus j'apprends des choses terribles qui me font perdre confiance en ce qu'on nomme le "destin". Je t'avoue que je n'y crois pas, que je n'y crois plus… Aujourd'hui, c'est KAIROS. L'instant présent, l'instant que je choisi pour changer le cours des choses. Car il y a eu un long avant, et il y aura un après… Ma vie doit changer, elle ne peut pas rester sur pause en attendant l'âme que mon coeur a choisi d'aimer…
Avant de te poser cette question, je veux que tu saches que je ne peux plus me rattacher à l'idée qu'on "pourrait" se retrouver dans plusieurs années. Parce que ce sont ces paroles qu'on s'est prononcé tant de fois, qui me font tant souffrir aujourd'hui. Parce que mon coeur a gardé l'espoir qu'un jour, tu reviendrais. Et tu as eu beau me dire de ne plus rien "espérer", mon coeur a gardé l'espoir que tu continuais de l'aimer et que c'était pour cette raison que tu me disais de cesser d'espérer. Peut-être pour me préserver, parce que tu vis une relation qui te comble et dans laquelle tu te sens bien actuellement, peut être parce que tu sens que ce n'est pas le moment pour toi… Mais mon coeur se rattache à mille et une excuse pour justifier le fait que tu voudras peut être retenter une nouvelle histoire. Tu as été mon plus simple bonjour, tu es mon plus douloureux au revoir.
Tu m'as souvent répondu que tu ne pouvais rien prédire, mais je pense qu'il y a une chose à laquelle tu n'as jamais donné de réponse, et je crois que cela me permettra d'avancer, quand bien même je souffrirai surement de la réponse. C'est la dernière chose que je te demande de faire pour moi, même si je sais que tu ne me dois plus rien. Mais pour la relation qu'on a vécu, et pour l'amour qui réside toujours en moi…
Chloé, ton coeur aime-t-il toujours le mien ? Ou doit-il accepter de te laisser partir pour toujours ?
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marie-swriting · 6 months
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Tout Ira Bien - Emily Prentiss [1/2]
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Masterlist
Speak Now TV Masterlist
Partie deux
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : Quand Emily apprend que Ian Doyle s'est échappé, elle sait qu'elle doit tout faire pour te protéger, même si ça veut dire briser ton coeur.
Warnings : commence pendant le 6x13 et se finit pendant le 6x18, mort de personnage (pas la reader), angst, rupture, fin triste, funérailles, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.9k
Chanson qui m'a inspiré : Last Kiss (Taylor's Version) par Taylor Swift
-Ian Doyle s’est évadé de prison. Interpol n’arrive pas à le retrouver.
La phrase de Sean retentit dans les oreilles d’Emily. Elle n’arrive pas y croire. Ian Doyle devait faire partie de son passé. Son nom ne devait plus qu’être un souvenir. 
-Quoi ? Qu’est-ce que tu veux dire ?
-On ne sait pas où il est, Emily.
-Est-ce que tu crois qu’il va venir ici ? demande Emily avant de marquer une pause. Je suis en danger ?
-On l’est tous.
L’inquiétude prend place sur le visage d’Emily, comprenant la gravité de la situation. Ce n’est qu’une question de temps avant que tout tourne mal, elle en a conscience. Elle doit réfléchir à la façon dont elle doit agir pour se protéger. 
Ses pensées sont interrompues par la sonnerie de son téléphone. Elle détache les yeux de Sean et sort son portable. En voyant ton prénom et ta photo sur son écran, elle est d’abord attendrie avant d’avoir une prise de conscience. Elle doit aussi te protéger. Ian Doyle pourrait s’en prendre à toi pour se venger. Elle s'éclaircit la gorge puis répond en prenant un ton naturel.
-Allô, Y/N, tout va bien ?
-Hey, Em’, je t’appelle pour savoir si je t’attends ou si tu vas rentrer tard, expliques-tu et Emily peut entendre que tu es en train de rentrer dans ta voiture.
-J’ai encore de la paperasse à faire. Je ne pense même pas que je dormirai à la maison. Je dois régler quelques détails avec l’équipe.
-Oh, d’accord, dis-tu en essayant de cacher ta déception. Tiens moi au courant. Tu me manques.
-Toi aussi. 
Sur ces mots, tu raccroches. Emily regarde pendant quelques secondes son écran avant de discuter avec Sean des informations qu’Interpol possède sur l’évasion de Doyle. En l’écoutant, son cerveau fuse à mille à l’heure, cherchant tous les plans pour arrêter Doyle et protéger ceux qu’elle aime. 
En quittant son ancien collègue, Emily passe la nuit dans un hôtel. Elle a besoin d’être seule pour réfléchir. Elle doit réfléchir à une solution pour que tu sois saine et sauve. Le problème, c’est qu’elle ne peut pas te parler de Doyle. Elle doit t’éloigner sans que tu saches la réelle raison. Emily en vient à la triste conclusion qu’elle doit te briser le cœur - et le sien par la même occasion. Elle préfère vivre une peine de cœur et te voir respirer plutôt que te garder près d’elle et te voir mourir sous la main de Doyle. Elle ne peut pas prendre ce risque. Elle doit rompre avec toi.
Le lendemain, Emily se réveille avec difficulté. Son sommeil n’a pas été reposant. Elle n’a pas cessé de réfléchir à ce qu’elle pourrait te dire. 
Elle va dans votre appartement quand elle sait que tu es partie au travail, voulant t’éviter jusqu’à ce que tu rentres le soir. En t’attendant, Emily prépare quelques affaires.
Quand tu passes le pas de la porte de votre appartement, le visage d’Emily prend une expression neutre. Elle ne doit montrer aucune émotion. Elle ne doit surtout pas laisser ces mêmes émotions parler. Elle sait ce qu’elle doit faire. Avec un grand sourire aux lèvres, tu te diriges vers Emily, prête à la prendre dans tes bras. Toutefois, quand tu vois son visage impassible, tu fronces les sourcils.
-Em’, tout va bien ? questionnes-tu en posant ton sac.
-On doit parler, Y/N.
-De quoi ?
-Je pense qu’on devrait s’arrêter là, annonce Emily de but en blanc et il te faut quelques secondes pour répondre.
-Qu’est-ce que tu veux dire ?
-Ça ne sert à rien de continuer. Ces derniers temps, j’ai été pas mal occupée avec mon travail. Et puis, je ne serai jamais capable de te donner la vie que tu mérites. C’est mieux pour tout le monde.
-Qu-quoi ? Tu n’es pas sérieuse ? Emily, ça sort d’où ça ? 
-Je cite juste un fait. Je suis presque tout le temps en déplacement, ça ne sert à rien de perdre notre temps.
-D’accord, tu es souvent ailleurs, mais on ne perd pas notre temps. Notre relation fonctionne. On a un équilibre. Pourquoi tu veux tout abandonner maintenant ? demandes-tu, perdue et avec les larmes aux yeux. 
-J’y pense depuis un moment. 
-Mais, tout allait bien entre nous. Enfin, c’est ce que je croyais. J’ai fait quelque chose ? 
-Ce n’est la faute de personne, c’est juste ce qu’il y a faire de mieux, affirme-t-elle en te regardant droit dans les yeux.
-Selon qui ? 
-Y/N, on savait toutes les deux que cette relation était vouée à l’échec. Elle n’était pas faite pour être durable. Pas quand on fait mon métier.
-JJ y arrive très bien pourtant. 
-Ce n’est pas pareil. De toute façon, ma décision est prise. 
-Donc, tu veux même pas essayer d’en parler ? De régler le problème ? Tu baisses les bras aussi vite ?
Emily sait que tu n’abandonneras pas. Tu as un air déterminé sur ton visage, malgré tes yeux larmoyants. Emily prend une grande inspiration avant de dire la phrase la plus compliquée qu’elle ait eu à dire : 
-Je ne t’aime plus, Y/N. Tu es quelqu’un de bien, mais je n’ai plus de sentiments pour toi.
-Ce n’était pas l’impression que tu donnais il y a encore quelques semaines, contredis-tu, incrédule. 
-J’ai essayé de retrouver mes sentiments pour toi, mais c’est impossible.
Tes yeux analysent Emily, cherchant une preuve que les mots qui sortent de sa bouche ne sont pas la réalité. Toutefois, Emily a sorti son plus beau jeu d’acteur ; tu dois croire à ces mots tranchants. Comprenant que tu as bien entendu ce que t’a dit Emily, tes larmes commencent à couler sur tes joues. Tu n’y prêtes pas attention, essayant encore de trouver une solution pour rester auprès d’Emily. En voyant ton cœur se briser sous ses yeux, à cause d’elle, Emily se retient de t’avouer la vérité. Cependant, elle se répète que c’est la chose à faire. 
-Je… J’irai dans un hôtel pour les prochains jours. Je vais sûrement devoir repartir dans ce laps de temps, ça te donnera largement le temps de reprendre tes affaires, informe doucement Emily en prenant deux sacs. 
Tu ouvres un peu plus grand les yeux à sa dernière phrase. Bien évidemment, tu ne pouvais pas t’attendre à vivre encore avec elle si vous êtes séparées, mais tu pensais que vous alliez en parler, savoir si vous vendiez l’appartement ou qui le garderait. 
Emily se sent mal en te virant de votre chez vous, mais elle sait qu’elle ne peut pas te le laisser. Doyle le trouverait en une recherche sur Emily et elle ne peut pas risquer qu’il vienne chez vous alors que tu y habites encore. Elle doit te garder loin d’elle et loin de votre appartement. 
-Em’, je t’en prie.
Emily lutte pour te prendre dans ses bras en t’entendant la supplier. Elle ne te répond pas avant de te dépasser pour passer la porte de votre appartement. Elle retient un sanglot jusqu’à ce qu’elle arrive dans sa voiture. 
De ton côté, tu restes debout, toujours sous le choc, les yeux fixés sur la porte d’entrée. Tu n’arrives pas à croire que ta relation avec Emily est réellement finie après cinq ans. Tu n’aurais jamais cru entendre ces mots. Tu n’avais pas prévu qu’Emily change d’avis sur vous. Pour toi, elle est - elle était celle avec qui tu allais finir ta vie. Il faut croire que ça ne sera pas le cas.
Un mois s’est écoulé depuis votre rupture. Dans une tentative désespérée, tu as essayé de la contacter pendant les premières semaines de votre séparation, sans aucune réponse de sa part. Tu n’as pas l’air de lui manquer autant que toi, elle te manque. Tu ne sais pas quoi faire pour que tu lui manques. Alors, à contrecœur, tu as fini par abandonner. Tu n’arrives toujours pas à t’en remettre. Tu n’arrêtes pas de repenser à votre relation, cherchant ce que tu aurais pu faire de différent pour éviter cette fin. 
Tu n’aurais jamais pensé que vous finiriez de cette façon. Tu n’aurais jamais imaginé que tu ne saurais plus sa routine, où elle est, quelle enquête elle fait. Tu n’aurais jamais cru que tu ne la serrerais plus contre toi. Tu n’aurais jamais cru que vous auriez un dernier baiser. 
Tu essayes de faire bonne figure, même si au fond de toi, tu restes dans cet état d’engourdissement. Mais ça doit changer, tu dois apprendre à avancer. Pour cela, rien de mieux que de sortir avec des amis. 
Tu retrouves Penelope dans un café non loin de ton lieu de travail. Penelope est celle dont tu es le plus proche de son équipe avec Rossi. Tu la considères comme une sœur et c’est réciproque de son côté. Penelope était choquée en apprenant votre séparation et elle a essayé de faire changer d’avis Emily, sans succès. 
En arrivant dans le café, tu prends Penelope dans tes bras. Tu arrives à lâcher un soupir de soulagement en la serrant contre toi. Ces câlins ont un pouvoir, tu en es sûre. Vous vous installez après avoir passé commande. Au début, votre discussion évoque des sujets banals - vous ne vous étiez pas vues depuis un petit moment alors vous rattrapez le temps perdu. Puis vient un moment où Penelope raconte une anecdote drôle sur l’équipe où elle mentionne Emily. À la mention du prénom de ton ex, tu baisses le regard, ignorant le pincement dans ton cœur. Penelope s’arrête de rire quand elle voit ta réaction. 
-Oh, mon Dieu ! Désolée ! Je… Je n’ai pas réfléchi. Je n’aurai pas… Je suis désolée, s’exclame Penelope, embarrassée.
-Ce n’est pas grave. Ça fait un mois, après tout, la rassures-tu avec un faux sourire.
-Mais quand même. Vous êtes restées longtemps ensemble. C’est normal si ça te fait encore mal. 
-Je sais. Comment elle va, Emily ? 
C’est plus fort que toi, tu avais besoin de poser cette question, elle te brûlait les lèvres depuis un mois. Tu as besoin de savoir si ton impression est une réalité. Penelope prend une grande inspiration avant de te répondre. 
-Elle ne montre rien, mais je suis sûre qu’elle souffre tout autant. Parfois, elle est un peu plus discrète. Elle semble être plus souvent perdue dans ses pensées, ce qui est compréhensible au vu de la situation.
-C’est elle qui a dit qu’elle ne m’aimait plus, rétorques-tu séchement. Désolée, je n’ai pas dit ça pour que tu prennes mon parti ou autre, te reprends-tu avec un air coupable. Je suis juste encore surprise par comment tout a basculé du jour au lendemain. 
-Vous vous retrouvez. C’est une certitude, affirme-t-elle en serrant ta main.
-Je n’y crois pas trop. Elle avait l’air déterminée à rester loin de moi. 
-Y/N, l’amour que vous aviez ne peut pas se perdre. Quand ça sera le bon moment, vous serez de nouveau ensemble et tout ira bien. 
Tu vois au visage de Penelope qu’elle croit dur comme fer à ses mots. Elle ne les dit pas juste pour te faire te sentir mieux, elle est persuadée d’avoir raison. Penelope a tendance à tout voir en rose, c’est vrai, mais tu as besoin de ce petit espoir.
En rentrant chez toi, tu poses ton sac à côté de ton entrée puis, tu t’installes sur ton canapé. Tu balayes ton appartement du regard, indifférente. Malgré tous tes efforts, tu n’arrives pas à te sentir chez toi. Chez toi, c’était ton appartement avec Emily. Chez toi, c’était Emily. Mais tu n’as plus Emily et tu ne l’auras plus.
Tu te lèves de ton canapé avant de te diriger dans le placard de ta chambre. Tu l’ouvres et prends un carton qui est placé en haut. Tu le saisis et t’assois par terre puis, tu cherches au fond du carton, à la recherche de quelque chose de précis. En tombant sur le cadre, tu le retournes afin de pouvoir regarder la photo à l’intérieur. 
Cette image date d’il y a deux ans, c’était au début du mois de juillet, vous êtes en train de vous embrasser devant la Tour Eiffel. 
Vous étiez partis à Paris pour vos vacances - par miracle, Emily avait réussi à avoir deux semaines de repos. Vous aviez passé un séjour inoubliable. Le fait le plus marquant de ce voyage, selon toi, est Emily parlant en français. Tu sais qu’elle parle un nombre incalculable de langues et tu fonds à chaque fois qu’elle parle l’une d’entre elles. Cependant, ce n’est pas souvent alors quand tu as pu l’entendre parler français pendant deux semaines complètes, tu étais aux anges. 
Un soir, vers la fin de vos vacances, vous étiez restées dans votre chambre d’hôtel. En temps normal, vous profitiez aussi de la soirée pour visiter un peu plus Paris, mais ce soir-là, vous étiez trop fatiguées pour marcher dix pas de plus. 
Vous vous étiez assises sur votre balcon, admirant la vue, la Tour Eiffel illuminée au loin, et vous étiez en train de parler de l’avenir. Vous faisiez des projets en tout genre, imaginant à quoi ressemblerait votre vie dans un an, cinq ans, dix ans, même dans trente ans. 
-J’ai si hâte de vieillir avec toi, avait déclaré Emily avec un sourire.
-Moi aussi. Tu serais magnifique avec les cheveux grisonnants, avais-tu dit en caressant ses cheveux. 
-Je ne sais pas.
-Crois-moi, tu le seras. 
-Et toi, tu serais magnifique dans une robe blanche, avait-elle affirmé en plongeant ses yeux dans les tiens.
-Quoi ?
-On en a jamais vraiment parlé, mais j’adorerais qu’on se marie. Pas maintenant, sois rassurée ! avait précisé Emily en voyant tes yeux grand ouverts. Je n’ai pas de bague et ça, ça n’est sûrement pas ma demande en mariage, mais je peux nous y voir, en train d’échanger nos vœux et de nous embrasser devant nos proches.
-Je peux nous y voir aussi. J’adorerais t’épouser un jour, avais-tu avoué, prenant sa main dans la tienne. 
-Tant mieux, comme ça, je serai sûre que tu ne pourras pas te débarrasser de moi.
-C’est toi qui en auras marre de moi avant, avais-tu rigolé et Emily avait secoué la tête.
-Jamais. Je t’aime trop pour me lasser de toi. 
Et sur ces mots, vous aviez partagé un baisé langoureux rempli d’amour. Tu n’avais jamais été aussi sûre de votre relation que ce soir-là. Tu savais que c’était fait pour durer et tu n’avais qu’un hâte, créer de nouveaux moments aussi romantiques que celui-ci. Malheureusement, tout comme vous avez eu un dernier baiser, vous avez eu un dernier moment romantique. Ces instants ne sont plus que des souvenirs placés dans un cadre.
Quelques semaines plus tard, alors que tu es plongée dans ton travail, tu reçois un appel. Tu prends ton téléphone en te demandant qui peut bien t’appeler aussi tard. En découvrant le nom de JJ, ton estomac se tord. Elle ne t’a presque jamais appelé. Si elle le fait, c’est qu’il y a quelque chose de grave. Avec appréhension, tu réponds. 
-JJ, qu’est-ce qui se passe ? Emily va bien ?
-Tu dois venir à l’hôpital tout de suite. Emily est en train de se faire opérer, informe JJ d’une voix tremblante.
-Qu’est-ce qui s’est passé ? demandes-tu en te levant de ta chaise.
-Je t’expliquerai à l’hôpital, c’est trop long par téléphone. Je te rappellerai si les médecins donnent des informations avant que tu n’arrives. 
-Je serai là dans vingt minutes grand maximum. 
Tu raccroches et te dépêches de te préparer avant de courir jusqu’à ta voiture. Pendant le trajet, tu es contrôlée par ton anxiété. Tu n’as jamais roulé aussi vite de ta vie. Dans ta tête, tous les scénarios défilent, te faisant monter les larmes aux yeux. Le manque d’informations de la part de JJ n’aide pas à te calmer. 
Tu cours à travers de l’hôpital, à la recherche de l’équipe d’Emily. Tu les trouves assis, une expression inquiète sur leur visage. Hotch te voit arriver en premier et vient à ta rencontre, JJ sur ses talons. Hotch garde la tête froide même s’il peut ressentir ton stress au plus profond de son être. Il t’invite à le suivre dans un endroit plus discret de l’hôpital alors que JJ va te chercher un verre d’eau. Quand elle te le donne, Hotch est en train de te raconter l’évasion de Ian Doyle. Au fil de son récit, tout prend du sens dans ta tête. 
Tu comprends enfin pourquoi Emily s’est éloignée si soudainement, pourquoi elle a été si dure dans ses mots. Elle pensait te protéger de Doyle en restant loin de toi, mais en le faisant, elle n’a pas pensé à se protéger, elle. Emily est dans un état critique et tu ignores si tu auras jamais l’occasion de lui reparler, de la sentir contre toi à nouveau. 
Quand tu es au courant de toute l’histoire, tu retrouves le reste de l’équipe. Rossi t’informe qu’aucune nouvelle n’est encore arrivée. Tu t’assois à ses côtés et commences à te ronger les ongles. Tu attends avec agonie un médecin qui va très probablement t’annoncer une mauvaise nouvelle. 
Tu aimerais être nulle part qu’ici. Tu aimerais que tout soit un mauvais rêve. Tu aimerais être dans votre appartement, à toi et Emily, enlacées dans votre lit alors que le soleil se lève comme vous aviez l’habitude de le faire.
Un matin, environ un an après votre voyage à Paris, Emily avait eu un jour de repos, vous permettant ainsi de rester au lit jusqu’à tard. Tu t’étais réveillée en premier - chose assez rare - et tu t’étais mise à la regarder. Son visage était complètement relaxé alors que sa main droite était posée sur ta hanche. Tu ne sais pas combien de temps tu étais restée ainsi, tu voulais juste profiter de la présence d’Emily. À un moment, Emily avait commencé à se réveiller et avait souri en remarquant que tu avais passé ton temps à la regarder.
-Tu me regardes depuis longtemps ?
-J’en sais rien.
-Pas du tout flippant, avait-elle blagué en te rapprochant de son corps. 
-C’est pas un crime d’admirer ma petite amie quand même ! 
-On a arrêté des stalkers pour moins que ça.
-Tu vas finir par dormir sur le canapé, avais-tu rétorqué avec un faux air énervé.
-Tu n’oserais pas.
-Ne me tente pas. 
-Tu m’as manqué, avait soudainement déclaré Emily.
-Toi aussi. 
-J’espère qu’on aura encore l’occasion de se réveiller ainsi pendant longtemps.
-Je veillerai personnellement à ce que ça soit le cas, avais-tu affirmé avant de te blottir contre Emily. 
Tu avais relevé la tête vers Emily avant de l’embrasser tendrement. Elle t’avait répondu avec passion et vous aviez fini par passer la majorité de votre journée au lit. 
Maintenant, tu passes la majorité de ta soirée sur une chaise inconfortable d’hôpital. Tu as le regard perdu sur le sol alors que tu continues à penser à des moments heureux avec Emily tout en te disant que tu n’en auras sûrement plus jamais. 
JJ apparaît dans la pièce, une expression grave sur son visage, les yeux rougis. Vous n’avez pas besoin qu’elle prononce un mot pour comprendre ce qu’elle va vous annoncer. Toutefois, tu ne veux pas y croire. Certes, tu n’étais pas optimiste sur l’état d’Emily, mais une partie de toi espérait, priait, pour que tout aille bien et que vous laissiez cette histoire derrière vous. Penelope murmure un “non” désespérée pendant que tu continues à fixer JJ. Elle n’ose pas te regarder quand elle prononce la phrase que tu redoutes : 
-Elle est morte pendant l’opération.
Immédiatement, les larmes coulent sur ta joue. Tu sanglotes fortement, sous le choc alors que Rossi se penche vers toi pour te serrer contre lui. Tu acceptes son étreinte, versant toute ta douleur. Tu entends Spencer se lever, mais tu n’y prêtes pas attention, essayant de comprendre ce qu’il vient de se passer. 
Tu pensais que ton cœur s’était brisé quand Emily avait rompu, mais tu avais tort. Cette fois, la douleur est pire dans ta poitrine. Tu n’as même pas l’impression que ton cœur se brise. Ton cœur ne bat plus et il ne battra plus jamais. Comment pourrait-il ? Tu ne pourras plus jamais voir le sourire d’Emily, entendre son rire, toucher sa main. Elle est morte et ton cœur est parti avec elle. 
L’enterrement d’Emily est quelques jours plus tard. Pour la première fois depuis l’annonce de sa mort, tu te prépares. Contrairement au moment de la rupture où tu semblais insensible à tout ce que tu faisais, tu ressens chacun de tes gestes. Ta douleur n’est pas qu’émotionnelle, tous tes membres sont lourds et te font souffrir. 
Rossi est celui qui vient te chercher. Depuis la mort d’Emily, il fait attention à toi. Rossi a toujours considéré Emily comme sa fille et il t’a tout de suite adopté quand vous vous êtes mises ensemble. Il déteste te voir aussi misérable, il aimerait pouvoir prendre ta douleur et l’ajouter à la sienne. 
En voyant l’équipe porter le cercueil d’Emily, ta douleur se décuple un peu plus. Tu ne peux pas croire que la femme que tu aimes soit enfermée dans cette boite. Tu n’arrives pas à comprendre comment votre histoire ait pu se finir ainsi. 
Tu n’écoutes pas le sermon du prêtre, tu gardes tes yeux fixés sur les fleurs blanches posées sur le cercueil. Si Emily avait pu voir ce moment, elle aurait dit que tout est trop solennel à son goût, tu souris doucement à cette pensée. Penelope te tient la main jusqu’à ce que tu ailles poser une rose rouge en premier sur son cercueil, les joues baignées de larmes. Tu restes à côté d’Emily alors que l’équipe imite ton geste. Rossi place une main sur ton dos pour te réconforter et tu fais tout pour ne pas fondre en larmes dans ses bras. Par tu ne sais quel miracle, tu arrives à rester debout alors qu’Emily s’enfonce dans la terre. 
En rentrant chez toi, tu n’as pas le courage de t’allonger dans ton lit. Tu t’assois sur le sol de ta chambre après avoir mis un tee-shirt d’Emily. Tu l’avais mis dans tes cartons sans faire exprès et comme Emily ne l’a jamais réclamé, tu l’as gardé. Tu apportes le tissu à ton nez, espérant sentir l’odeur familière d’Emily, mais elle a déjà disparu. De nouvelles larmes coulent sur tes joues réalisant que bientôt, toute trace d’Emily aura à jamais disparu. Elle ne sera plus qu’une partie de ton passé.
Tout le reste de la journée, ton esprit est tourmenté par les souvenirs avec Emily. Tu repenses surtout à la fin de votre relation. Tu repenses à tous ces derniers moments que tu as vécus avec elle sans savoir qu’il n’y en aura pas d’autres. Si tu avais su ce qui allait se passer, tu les aurais appréciés un maximum et si tu le pouvais, tu aimerais pouvoir en changer certains comme votre dernier baiser.
C’était un matin, très tôt - trop tôt pour toi -, tu t’étais réveillée après Emily. Tes yeux se fermaient tout seul alors que tu te rendais dans votre cuisine. Tu préparais ton café quand Emily avait fait son apparition. Tu lui avais fait un rapide sourire alors qu’elle t’annonçait qu’elle devait vite partir au boulot. Elle t’avait embrassé chastement et tu avais à peine pris le temps de lui répondre, encore trop endormie. Elle t’avait lancé un “je t’aime” avant de prendre son sac et de quitter son appartement. Tu lui avais seulement marmonné une réponse, ayant besoin de ton café pour parler. 
Tu aurais aimé que votre dernier baiser soit différent. Tu aurais aimé pouvoir l’embrasser avec passion, apprécier le mouvement de ses lèvres contre les tiennes et lui dire clairement “je t’aime”. Malheureusement, tu ne peux pas changer le passé et tu n’auras plus jamais de nouvelles chances. Ce baiser est condamné à être votre dernier tout comme tu es condamnée à vivre sans Emily pour le restant de tes jours. Et tu es condamnée à avoir son nom à jamais sur tes lèvres tout comme votre dernier baiser. Finalement, Penelope avait tort, rien n’ira bien.
Partie deux
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zombiemink · 6 months
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Je ne suis vraiment pas le genre de personne qui s’attache à des artistes au-delà d'une admiration générale. Mais je peux dire qu’aujourd’hui, en apprenant le décès de Karl Tremblay des Cowboys Fringants… il a rejoint la liste ultra sélecte de ceux pour qui j’ai versé de vraies grosses larmes de peine.
Je suis fan de ce groupe depuis que j’ai quatorze ans. J'en ai trente-cinq maintenant. “Motel Capri” était le premier album que j’ai acheté avec mon argent quand j’étais ado; les Cowboys, le premier groupe que j’ai vu en spectacle de ma vie (au Spectrum de Montréal en 2002, ce qui ne me rajeunit pas pantoute). Après ça, j'ai dû les voir en show au moins 15-20 fois à travers les années? Karl Tremblay lui-même mais tout le groupe aussi, c'était juste imbattable sur scène… j’ai trop de bons souvenirs. Mais quand même, mention honorable à la fois aux alentours de 2010 où mon ami et moi, on avait acheté des billets de dernière minute pour leur show du 31 décembre pis qu’on avait réussi à rentrer des bouteilles d’alcool au Centre Bell en les cachant dans nos bobettes. Ce spectacle-là va toujours garder une place spéciale dans mon cœur, même si j'ai oublié l'année exacte.
Et vraiment, c‘est impossible pour moi de ne pas mentionner à quel point le groupe a contribué à mon éveil social et politique, par rapport au Québec évidemment mais en général également. “Break Syndical" a été mon initiation à la Musique Contestataire™ (avec Renaud aussi), mais “La Grand-Messe” en 2004 est vraiment l’album qui a tout fait cliquer dans ma tête. La chanson que je poste ici en particulier. Quelques mois après la sortie de l'album, d'ailleurs, c’était la première vague de manifestations étudiantes qui allait mener huit ans plus tard au Printemps Érable... j'avais juste seize ans, mais j’étais déjà là! Peut-être que je ne l’aurais pas été ou, du moins, pas avec autant de conviction si ce n’était pas des Cowboys. Et je n'étais probablement pas la seule comme ça, si on se fit à la façon dont leur chanson “La Manifestation” résonnait durant les manifs à l’époque (oui oui, c’est très ironique considérant les paroles).
Juste au début de 2023, je suis allée les voir (les retrouver!) pour la première fois depuis la pandémie. Cette fois avec ma mère et des membres de ma famille proche, qui sont des fans de toujours eux aussi. Je me retiens de dire quelque chose ici parce que c'est trop cliché comme phrase (mais je peux dire que ça contient les mots "comme" et "famille").
Bref, ce que j’essaye de dire avec trop de mots, c’est que les Cowboys Fringants sont l’ultime définition de "musique qui m’a accompagnée toute ma vie". Je suis attachée à ce groupe de tout mon cœur. Donc évidemment, je suis super triste à cause de la nouvelle aujourd’hui mais aussi... merci ❤️
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a-room-of-my-own · 7 months
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Tu as expliqué le problème de manière très précise. Je suis revenue sur le sujet et il se trouvent que le groupe a interprété ce tweet et son auteure comme étant une suprémaciste nationaliste blanche qui serait prête à laisser crever les femmes du tiers-monde parce qu'elle voulait renvoyer les immigrés chez eux. A ceci viennent se rajouter des insultes à caractère religieux comme "ghoule" ou "démon" comme si elle faisait partie du Mal. Puis d'autres commentaires disant que le féminisme (Pt1)
radical est foutu à cause de femmes comme elle, etc... Une attitude sectaire me rappellant le transactivisme et ses servantes, mais autour de la race + pays d'origine. Une Sud-Africaine a même traité une meuf noire anti-immigration de traitre à la race en appuyant que les mecs (et femmes au vu des événements) blancs ne la verront jamais comme humaine ou une personne à part entière. Je pense que la propagande autour de Gaza joue une part importante.
- - -
Je pense que la situation internationale sert de catalyseur, mais après c’est une idéologie qu’on entend depuis des années. J’ai toujours dit, quand on a commencé à parler d’intersectionalité, que c’était un concept qui ne pouvait pas fonctionner de la manière dont il était interprété, parce que n’importe quel mouvement a besoin de définir des priorités et qu’à partir du moment où tu dis que toutes les causes se valent en fait les priorités vont se définir toutes seules, et pas en fonction de critères logiques.
En réalité, quand tu refuse de définir des priorités, tu fais rentrer le loup dans la bergerie. Tu te rends compte qu’à partir du moment où tu fais rentrer des hommes, peu importe ce qui leur arrive, les priorités des hommes vont devenir celles du mouvement, c’est comme ça que tu te retrouves avec des mouvements féministes qui défendent la prostitution, les migrations de masse d’hommes, issus de pays extrêmement misogynes, le trans-activisme, la GPA, etc…
Et il faut pas oublier que les femmes sont de toutes façons éduquées à prendre soin des autres et à être les gardiennes de la famille et de la communauté. Si tu les mets en position de devoir se défendre elles-mêmes ou de défendre des hommes, malheureusement tu vas trouver la majorité qui défendra les hommes ou qui trouvera que les problèmes des hommes sont plus graves que les leurs ou sont prioritaires. Dans une certaine mesure on a aussi besoin de se protéger de nous-mêmes.
Après, concernant la situation actuelle, je pense qu’on paye aussi très cher la naïveté qui a consisté à penser pendant des années que ces population n’avaient pas d’opinion politique. C’est quelque chose que j’ai entendu même il y a maintenant une quinzaine d’années quand j’étais en fac. C’était très ancré aussi bien à gauche qu’à droite que ce sont des populations non politisées qu’il fallait éduquer. En fait c’est totalement faux.
C’est juste qu’on a perdu la capacité à penser l’adhésion totale à une religion comme une opinion politique, puisque la marche du progrès en Occident est allée vers la séparation du politique et du religieux. En fait ce qu’on observe dans le monde Arabo musulman c’est que c’est exactement l’inverse qui s’est produit, il y a eu un refus de la modernité à partir des années 70 qui a des causes évidemment complexes.
Mais le fait est que les mouvements qui ont pris l’ascendant sur ces pays et qui sont arrivés chez nous par les migrations, ce sont des mouvements fondamentalement anti modernes et extrêmement politisés puisque c’est ce sont des mouvements qui ont un agenda politique qui est international. Mais on a pas eu en France et ailleurs en Occident la clairvoyance de comprendre justement ce qui était à l’œuvre politiquement.
Il est évident qu’on a pêché par racisme, en voyant ces personnes comme incapables d’adhérer à une idéologie conquérante de masse, et là ce qu’on est en train de voir, notamment avec les manifestations qui ont lieu partout dans le monde, avec les prises de position guerrières de gens comme le président turc, c’est qu’il y a vraiment une conception politique de la communauté au sens international et que cette communauté peut potentiellement se retourner complètement contre ses pays d’accueil.
La question de l’allégeance va très vite se poser quand les attentats vont reprendre - car je crains qu’on en soit qu’au début. Parce qu’il y a une minorité agissante mais il y a aussi une majorité qui depuis une dizaine d’année maintenant soit reste silencieuse soit excuse des comportements qui vont d’anti-sociaux à meurtriers en accusant les états d’accueil de ne pas en faire assez.
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kilfeur · 5 months
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Les erreurs de Rayla (Rayla's mistakes)
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Oui vous avez bien lu, je vais parler de ses erreurs et pas de le sens que je vais la basher mais plutôt essayer d'apporter mon point de vue là dessus. Déjà j'aimerai parler du départ de Rayla, on pourrait croire ça comme un acte d'amour. Car elle souhaite protéger Callum et je peux comprendre mais de l'autre c'est un peu l'abandonner. Et comme je l'ai dit, je peux le comprendre Rayla s'est souvent montré protectrice envers ses proches. Mais le fait de partir comme ça en ne laissant qu'une lettre, c'est un peu vache.
Même quand elle revient, elle dit qu'elle sait que son absence l'a blessé. Mais se rend pas compte comment il est blessé par son départ. Après j'ai bien aimé son attitude envers Callum. Oui elle veut lui parler mais elle voit que ce dernier ne souhaite pas lui parler et n'insiste pas pour éviter qu'il y ait des tensions. Je la trouvais assez patiente bien qu'on sent que ses deux années sans le groupe l'a un peu changé. Quand elle a dit "On peut pas sauver tout le monde" à Soren. Je me demandais ce qui c'était passé pour qu'elle pense à ça. Mais apparemment elle aurait dit quelque chose qu'elle pensait pas vraiment d'après une interview. Dans les histoires courtes relatant ce qu'elle a fait pendant ces deux ans. On voit que la traque de Viren l'a fait souffrir. Elle est loin de ses amis, loin de Callum. Et ça lui fait mal surtout que pendant sa traque, elle n'a pas pu le retrouver. Et elle décide de rentrer chez elle, pas à Silvergroove mais à Katolis. Montrant que sa maison n'est plus à son village mais auprès de ses amis.
Lorsqu'elle vole la clé de Callum, ça m'avait choqué car j'aurai pensé qu'elle essaierait de lui parler mais bon après ça veut dire parler de sa famille. Et elle était pas prête pour ça ! Mais c'est un peu salaud de sa part, surtout quand Callum voit l'arc de Runaan, il va pas bien du tout. Quand Amaya lui parle, elle se défend en disant qu'elle a fait ça pour le protéger. Mais malgré des raisons compréhensibles, ça reste un abandon et cette décision les a tout les deux fait souffrir. Elle pensait qu'elle devenait forte toute seule. Mais c'est pas comme ça qu'on devient fort et Amaya l'a apprit à ses dépends mais aussi par le biais de l'amour alias Janai. Rayla alors comprend ce que veut dire Amaya par devenir plus forte. Ce qui la pousse à se confier à Callum. Et ça c'est bien, c'est un bon premier pas !
Rayla fait des erreurs mais elle apprend de ces derniers et essaie de faire de son mieux.
Yes, you read that right, I'm going to talk about her mistakes and not in the sense that I'm going to bash her but rather try to bring my point of view on it. First of all, I'd like to talk about Rayla's departure, which could be seen as an act of love. Because she wants to protect Callum and I can understand that, but on the other hand it's a bit like abandoning him. And as I said, I can understand that Rayla has often been protective of her loved ones. But to leave just like that, leaving only a letter, is a bit rude.
Even when she returns, she says she knows her absence has hurt him. But she doesn't realize how hurt he is by her leaving. Then I liked her attitude towards Callum. Yes, she wants to talk to him, but she sees that he doesn't want to talk to her and doesn't insist to avoid tension. I thought she was quite patient, although you can tell that two years without the band has changed her a bit. When she said "We can't save everyone" to Soren. I wondered what had happened to make her think that. But apparently she said something she didn't really mean it, according to an interview. In the short stories about what she did during those two years. We can see that tracking Viren has made her suffer. She's far from her friends, far from Callum. And that hurts her, especially since she hasn't been able to find Viren during her tracking. So she decides to return home, not to Silvergroove but to Katolis. Showing that her home is no longer in her village, but with her friends.
When she stole Callum's key, I was shocked because I thought she'd try to talk to him, but then that meant talking about her family. And she wasn't ready for that! But it's a bit dirty on her part, especially when Callum sees Runaan's bow, he's not doing well at all. When Amaya talks to him, she defends herself by saying she did it to protect him. But despite understandable reasons, it's still an abandonment, and this decision has made them both suffer. She thought she had to become strong on her own. But that's not how you become strong, and Amaya learned this the hard way, but also through love, aka Janai. Rayla then understands what Amaya means by becoming stronger. Which leads her to confide in Callum. And that's a good first step!
Rayla makes mistakes, but she learns from them and tries to do her best.
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 116
Je range le pendentif et Jimmy qui arrive, s'étonne de mon piercing et me félicite que ça me va bien.
Après le repas, je le prépare. Lavement, épilation, lavement, puis je le plug. Le trajet en moto devrait faire son effet au travers de ce petit engin. Sous-vêtements sexy, jogging de marque et ma petite racaille est prête. Presque une heure de route (et pas à 90Km/h !) et je sonne chez mon client. Entre 30 et 40 ans, grand brun, carré. Il me tend mon enveloppe et menotte Jimmy les mains dans le dos, il voulait un trip " commissariat / arrestation ". Je mate et m'aperçois que Jimmy était sûrement déjà être passé par là car il était super naturel dans le rôle. Le client aussi, je vais me renseigner mais ce serait un vrai flic que cela ne m'étonnerais pas. Du coup discrètement avec mon portable je fixe quelques photos où son visage et l'action sont bien visibles. Je me crois dans un film porno. Jimmy s'est pris au jeu et il fait parfaitement la petite frappe embarqué pour trafic de shit. Il négocie sa liberté contre l'utilisation de son corps. On peut voir le paquet du mec, appuyé des fesses sur le bord de son bureau, gonfler et tendre le jeans de façon totalement indécente. Il finit par attraper la tête de Jimmy et à lui écraser le visage contre. Quand il sort son matériel, c'est impressionnant. Une grosse tige foncée avec les poils taillés très courts ce qui la rend encore plus imposante. Il prend la tête de Jimmy entre ses mains et lui enfonce son braquemart dans la gorge. Comme Jimmy tousse, il le claque (pas trop fort, ça va). Il continu et Jimmy s'adapte. Je le vois même aller au devant pour s'étouffer avec le gland. Il le fais se lever de sa chaise tout en maintenant la pipe. Plié en deux et ne pouvant se retenir avec ses mains, Jimmy est en bascule vers l'avant sur le sexe du mec. Il se trouve bientôt les fesses à l'air, le jogging repoussé juste en dessous d'elles. Le mec, une mains sur la tête de Jimmy pour la pipe, a utilisé l'autre pour tester son anus. Surpris par le plug, il me regarde. Je lui dis que je l'avais préparé. Il me remercie et tire dessus. Jimmy pousse un cri sourd (le gland du mec occupe toujours sa gorge) quand son anneau s'est dilaté brusquement. Après trois à quatre passages, le client a décidé de passer aux choses sérieuses et de l'enculer. Le torse plaqué sur le bureau, les mains toujours entravées dans le dos, Le faux/vrai flic lui a écarté les pieds. Puis les mains bien à plat sur chaque fesse, il les a écartées. J'osai lui rappeler la kpote avant qu'il ne l'oublie emporté par le trip. Il se couvre. Puis après avoir craché sur l'anus de Jimmy, force sa porte arrière. Jimmy mime un refus de la chose, gueulant qu'il était pas un PD, essayant d'y échapper en se tortillant. Le grand type le bloque d'une main sur son cou, l'appuyant sur le bureau et commence la pénétration. Je suppose que Jimmy serre son petit cul car malgré sa taille, il aurait pu rentrer plus vite si ce dernier l'avait voulu. Ce n'est qu'une fois la bite bien calée au fond de son cul que Jimmy abdique et laisse faire le mec tout en lui répétant " j'suis pas comme ça ", " pas PD ", assortis de " arrêtez Msieur ", " s'il vous plait "... Un vrai porno ! En attendant ça lui fait de l'effet au mec. Ses mains posées sur les hanches de Jimmy, il l'encule. Profitant bien de sa capacité à tout prendre, il écarte ses fesses pour aller plus profondément. D'après ce que je peux voir, il a l'air de prendre son pied grave ! Il le détache soudain mais c'est pour refermer les menottes par devant. Je comprends mieux quand il tourne Jimmy sur le dos, lui relève les jambes et reprend la sodo. Le mec est très résistant car il se passe une bonne heure avant qu'il ne jute.
Alors que Jimmy est sous la douche, le mec resté à poil discute un peu avec moi. Il est super bien foutu et me fait bander ! Je ne sais pas si j'aurais l'envie d'attendre d'être rentré à la maison pour me soulager dans Jimmy ! Il a bien apprécié le trip et me demande si je pourrais lui organiser le même trip avec plusieurs jeunes mecs. Dans ma tête je vois Ed et pourquoi ne pas récupérer temporairement Jean. Celui là, je suis sûr que ce genre de plan l'amuserait (en plus de la grosse teub du mec).
Je lui dis qu'il faut que je vois cela mais que si ça se fait, ce serait plutôt un mercredi ou un samedi après midi. Financièrement ce ne sera pas non plus la même chose avec deux mecs. Il me propose le double de la passe actuelle. Je fais mine de réfléchir et de lui même il triple. Là j'accepte. Il me demande si je pourrais pas lui en trouver plus. Je lui demande combien. Il me dit au moins un troisième et me propose direct un " contrat " multiplié par 4. En moi même je me dis que je vais y aller progressivement. Ça fera durer son trip plus longtemps et ça me rapportera plus ! Il m'emmène alors au sous sol de sa maison et me montre un commissariat en réduit. Un bureau avec machine à écrire, devant une chaise en bois avec des menottes accrochées au dossier, un radiateur en fonte accroché au mur pas très loin et, au fond, derrière des panneaux escamotables, une cellule à barreaux ;avec couchette en bois. J'admire l'installation. Il se coupe en me disant que c'est une reproduction fidèle de ce qui existe. Il s'enflamme en m'expliquant que comme cela il peut isoler un gars le laissant juste entendre ce qui se passe à côté sans voir. Ce qui peut être angoissant pour lui et donc le préparer psychologiquement à la suite. Il m'a l'air bien calé sur le sujet ! au jour dit, je veillerais à ce que ce soit Jean qui soit dans cette position, il est le plus costaud mentalement.
Quand nous remontons, Jimmy est prêt. Nous le quittons non sans que j'ai promis de le rappeler rapidement. Jimmy serré contre moi, malaxe mes couilles et ma bite qui n'avait pas besoin de cela pour bander. Du coup, arrêt dès la première aire de repos. Je le pousse dans les WC pour handicapés et juste la braguette relevée (because combi cuir), je baisse son jogging avec son slip pour l'enculer direct. C'est divin ! Depuis deux bonnes heures que je bande, je commençais à avoir mal aux couilles. Je le prends brutalement tellement je suis excité. Il apprécie, accroché au lavabo. La pression monte vite et je me lâche au fond de son cul. Je le branle et il jute dans le lavabo. ;Nous sortons casque sur nos têtes, heureusement car deux mecs étaient à la porte en train de nous écouter probablement, nous n'avions pas été des plus discrets !!
Le reste du retour s'est fait plus serein, malgré l'accrochage de Jimmy à mon paquet.
Quand nous sommes arrivés Marc était là. Juste le temps de poser la moto et le casque et j'étais dans ses bras. Il est trop mon mec ! Le patin a tellement duré que quand nous nous sommes décollés, Jimmy était parti à l'appart. Dans l'entrée, pendant que j'ôtais ma combi, il m'a pris l'oreille pour l'examiner. Un soupir a ponctué l'inspection. Une fois en shorty et T-shirt, je suis allé chercher l'écrin pour lui montrer le " caillou " puis je l'ai placé sur l'anneau en inox. J'étais à ce moment là un peu stressé en attendant le verdict. Il l'a bien senti et m'a fait attendre encore un peu. Finalement il a du avouer que ça ne m'allait pas trop mal. Je l'ai vite retiré pour ne pas l'énerver plus longtemps. Je n'ai pas attendu le soir pour me jeter sur lui. 4 jours sans lui, je suis en manque. Chemise arrachée, pantalon descendu sur les chevilles avec le slip, j'ai pu emboucher mon mâle. Trop bonne sa bite, directe au fond de ma gorge. Je me suis acharné à le pomper jusqu'à ce qu'il me gave. Calmés quelques instants, il m'a pris dans ses bras pour m'embrasser de nouveau. Je lui ai dit que je l'aimais, même si j'acceptais les cadeaux d'Emma. Il m'a traité de crétin. Comme je le sentais reprendre forme, je l'ai poussé dans un fauteuil et me suis assis sur lui. Une jambe sur chaque accoudoir, mes mains accrochées à ses épaules, je me suis laissé descendre doucement. Contact avec le gland, positionnement correct au centre de la cible, je sens qu'il mouille, puis pallier 3/4cm plus bas, histoire de me prendre le gland. La position statique ne peut pas durer, mes cuisses sont tendues. Quand je relâche mes muscles, je m'enfonce inexorablement sa queue au fond de mon trou. Assis sur ses cuisses, nous nous embrassons avidement, voracement, passionnément. Rapidement j'ai besoin que sa bite me ramone. Il m'aide un peu et c'est moi qui lime mon cul sur sa teub. De temps en temps il monte le bassin pour limiter le retrait mais dans l'ensemble je fais tout le travaille. Face à face, à chaque fois que je suis sur ses genoux, on se roule une pelle. Mais mes cuisses me tirent de plus en plus et nous changeons de position. J'écarte les objets posés sur la table basse et à genoux, y plaque mon torse. Marc écarte mes cuisses, avant de reprendre mon cul. Couché sur moi, il tire ma tête sur le coté et nous continuons à nous embrasser. Trop excité par nos retrouvailles, nous jouissons assez rapidement. Marc s'écroule sur moi ;le temps que nous récupérions quelques forces.
Plus tard, en slip dans la cuisine devant un café, nous nous sommes racontés les 4 jours d'absence de l'autre.
JARDINIER
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perduedansmatete · 2 months
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chaque journée de merde au taff est plus merdique que la précédente mais alors là on atteint des sommets en vrai j’ai même eu peur de me faire tabasser seule à la grille de quinze heures c’est-à-dire la pire à essayer de fermer les trois portes toute seule pour empêcher les dix gars qui se battaient de m’en foutre une dont un qui a réussi à rentrer alors qu’il a été exclu et qu’il ne devrait pas approcher le collège puisque sa mère a menacé de cramer le collège d’amener tous les gosses de sa cité nous démonter pendant que le père a balancé des pavés sur le collège en visant des membres de la direction mdr mais ça va on est pas du tout en sous effectif et on fait trop mal notre travail (il y en a deux qui font nimp c’est vrai mais trop tard pour les virer car malgré nos avertissements ils n’ont rien fait quand il était encore temps) et on doit payer des clefs car c’est notre faute alors ils n’ont aucune preuve qu’un des surveillants les a perdues malgré leur flicage tous les jours et quand bien même je veux bien croire qu’il n’y a pas de thunes dans l’éducation nationale mais 50 balles un jeu de clefs je ne crois pas que ce soit la mère à boire ^^
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rayondelun3 · 5 months
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Je me retrouve souvent dans les toilettes pour pleurer. Personne vient me trouver à ce coin là. Je vais rentrer, me démaquiller, essayer de dormir. J'ai mal à la tête. Je suis fatiguée. Je dis ça «je suis fatiguée». J'essaie de m'en sortir... Mais cette année c'était vraiment la merde. C'est pas encore mais c'était vraiment merdique comme année.
Je passe mon temps à faire l'imbécile mais je chiale dans mon coin. J'assume de me sentir comme ça, c'est-à-dire comme une merde, mais je veux pas casser cette image de «Lisa, elle est toujours là, elle est fiable, elle assume, elle gère. Lisa elle va bien. Lisa elle fait des efforts pour être une bonne personne c'est cool. » mais Lisa est morte. Lisa est morte parfois. C'est plus une sorte de gamine qui traine son petit cœur tout cabossé, qui ramasse les morceaux mais elle s'étouffe. Elle s'étouffe toute seule.
J'ai pas confiance en les gens. J'arrive pas à m'aimer alors j'vois pas trop comment on m'aimerait. Je contrôle pas ça c'est sûr mais c'est faux, je suis fausse.
Je fais la dure même quand je suis liquide.
J'ai envie de vomir. J'en ai marre d'être aussi instable. Je suis en colère contre moi-même. Pour qui je me prends ? Je ne suis pas un héros moi. Je suis juste une gosse qui fait de son mieux.
J'essaie. Je me bats.
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