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#photographie de plateau
drowster · 1 year
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Set photography for the second season of “Les bracelets rouges” aired on TVA. 
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sitting-on-me-bum · 5 months
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Lavender (Lavandula sp.) field under a stormy sky at sunset, Plateau de Valensole, Provence, France. July.
Photographer: Guy Edwardes
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nothingexistsnever · 8 months
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wandering-jana · 9 months
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Canyon de Chelly National Monument, Arizona
Check out my explorations of Northern Arizona:
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edithmtl-artmavie · 1 year
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Couleurs complémentaires pour ce balcon d’étage sous le soleil de fin d’après-midi, 1er avril 2023
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reflet-de-la-lune · 1 year
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Les trois pyramides du plateau de Gizeh en enfilade
Photographie de Karim Amr
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alexisgeorge24 · 4 months
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15 janvier:
Arrivé à 03h00 à Los Antiguos, je finis ma nuit en posant mon matelas dans la gare routière. À 07h00 je repars à pied vers le poste frontière argentin à 3 km. 3km plus loin je traverse le poste chilien et 9km plus tard, toujours à pied, j'arrive au village de Chile Chico. 15km sur de la route avec aucune voiture voulant me dépanner, super. Si je suis ici c'est pour aller à El Chalten de manière un peu original, à savoir en traversant le Parque Nacional Patagonia (100km, 3 jours) pour rejoindre Cochrane, puis bus jusqu'à Villa O'Higgins (la toute fin de la Caretera Austral, prolongation de la Panamerica qui commence en Alaska), puis bateau, puis 60km à pied jusqu'à destination. La partie la plus incertaine étant d'aller au parc depuis là où je me trouve. Pas de navette et personne pour partager un taxi 4x4 avec moi, je décide de camper au village et de tenter ma chance en stop le lendemain. Étant à la capitale de la cerise du pays, j'y challenge mon appareil digestif avec 1/2 kg. Explosion de saveur dans la bouche, ça faisait depuis le Pérou que je n'avais pas manger d'excellent fruit.
Bilan: 15km
16 janvier:
Je me positionne après la bifurcation vers le parc et lève le pouce aux quelques 30 voitures (surtout des pick-up) qui passeront en 3 heures. Tous me font signe qu'ils ne vont pas très loin; ce dont je ne doute pas du tout... Tant pis, ça me laisse l'occasion de méditer sur la lenteur du temps qui s'écoule, notre place dans le cosmos, la polarisation de nos sociétés, observer les fourmis, piafs, nuages, feuilles... bref, je me fais très profondement chier. Je ne sais plus quel philosophe a dit que tous les malheurs du monde viennent du fait qu'on est pas foutut de rester assis dans une piece sans rien faire. Dans ce cas je vais probablement provoquer une 3e guerre mondiale. J'abandonne le stop et achète, vaincu, un billet de bus vers Cochrane pour le lendemain, le village que je devais rejoindre en 3 jours de marche. L'après midi je me balade sur les bords du Lac General Carrera (2 fois la taille du lac Leman) et monte quelques collines de roche. Le soir je me reprends 1/2 kg de cerises, plus un ananas. Mon bide ne sera pas content le lendemain.
17 janvier:
Le trajet en bus durera 6 heures pour faire 180km, mais la Caretera Austral qui slalome dans les Andes patagoniennes me fait apprécier chaque virage. Je me dis que je peux envisager revenir ici lors de ma remontée vers Lima pour repartir vers le Nord en empruntant cette voie. Arrivé à Cochrane je prends mon billets de bus pour Villa O'Higgins, le prochain étant dans 3 jours. Très bien, je pars direct pour faire une boucle qui s'étalera sur 3 jours précisément dans le Parc Nacional Patagonia. Je ferai la partie sud de ce que je comptais initialement faire. J'entre dans le parc en contournant l'entrée et au sautant une barrière pour ne pas payer (oui j'en suis fière) et je monte vers mon 1er bivouac au bord de la Laguna El Cangrejo. Je suis absolument tout seul, il fait gris mais les rayons du soleil transpersent au loin les nuages, il pleut un peu, les oiseaux se parlent (sans se comprendre j'imagine) et je me sens bien.
Bilan: 12km, 900m d+
18 janvier:
Nuit glaciale, tout est gelé dehors et la tente est en carton. Le lac entier fume et avec le soleil qui vient tout juste de se montrer en contre jour derrière les sommets, le réveil est magique. Je monte à un col à travers une forêt, longe un plateau et me retrouve en haut de la vallée Chacabuco. Avec la hauteur je peux apercevoir plusieurs lacs verts, bleus, turquoises, noirs en terrasse sur le flanc de la montagne, je croise un groupe de guanacos (les 1ers de mon séjour), les sommets au loin sont enneigés, les nuages permettent un jeu de lumière, et je passe pas mal de temps à filmer et photographier les paysages. La marche est longue et j'arrive en fin d'après-midi à mon bivouac au bord du lac Cochrane. Il fait très beau, l'eau est cristalline turquoise, des plages bordent le lac, et je m'y baigne avec plaisir. L'eau n'est pas glaciale, peut-être 12°. En m'appretant à faire à manger je constate que la hance de ma popote est cassée et que ma bonbonne de gaz ne se vis pas au réchaud... par chance il y a un foyer pour faire du feu à 20m de mon bivouac. Je fais donc mon tout 1er feu de bois, et c'est un succès ! Par contre je dois jongler avec 2 branches pour manipuler ma popote qui n'a pas de hance.
Bilan: 31km, 600m d+
19 janvier:
La dernière partie de la boucle consiste à longer le lac Cochrane puis la rivière du même nom. Le sentier enchaîne montés et descentes avec autant de points de vue sur ces eaux parfois bleu claire, parfois turquoise, le tout dans une foret de pin dense. S'il n'y avait pas les sommets blancs au loin on pourrait oublier qu'on est en Patagonie. Arrivé au bout du sentier je fais les derniers 4km à bord d'une voiture qui s'arrête en me doublant sans que j'aie besoin de bouger un doigt, ni même le pouce. L'argentine me manque puisque je ne peux toujours pas me faire un restaurant arrivé au camping du village.
Bilan: 10km, 600m d+
20 janvier:
Le réveil est assez terrible puisque mes batteries de drone qui chargeaint dans les WC ont disparues. Sûrement volées étant donné que le chargeur lui est toujours là. Affolé je demande à qui je croise des informations, notamment au propriétaire, et je réalise que je dois y faire le deuil. Plus de souvenir aérien jusqu'à la fin du séjour. C'est dur émotionnellement mais je m'étais préparé à cette éventualité... Pour me consoler je me dis que je vais penetrer une zone avec beaucoup de vent où dans tous les cas je n'aurai pas sortie le drone. En plus je n'ai pas le temps de jouer à l'inspecteur Colombo; déjà je n'ai pas encore de "femme" pour alimenter ma réflexion mais surtout j'ai mon bus qui part pour Villa O'Higgins. La route sur la Caretera Austral est toujours sinueuse dans les vallées des Andes, on prend même un bateau pour traverser un lac et diversifier les panoramas. Arrivé à destination, soleil éclatant qui m'empêche de me reposer. Je grimpe alors au Mirador de la Bandera qui domine ce village marquant la fin de la Caretera Austral, mais aussi des lacs, sommets, glaciers, condors, etc etc, je commence à fatiguer à devoir décrire ces paysages qui sont tous uniques comme ils sont incroyables. Le soir, coucher de soleil au ciel sanglant et apero avec le couple de français que j'ai connu à Cochrane.
Bilan: 8km, 500m d+
21 janvier
La prochaine étape pour rejoindre El Chalten étant un bateau à travers le Lac O'Higgins pour le lendemain, j'ai donc le bonheur de me ballader dans cette région une journée de plus. Je vais donc jusqu'au Mirador Laguna El Toro et, OH MON DIEU, quelle surprise, un panoramas impressionnant... Sans m'en lasser, j'ai une vue sur le Lago Ciervo d'un côté et des glaciers de l'autre. De retour au village, c'est encore apero dans cet environnement au milieu des glaciers, des montagnes et de la forêt. S'ils devaient avoir un drapeau tricolore, il serait blanc, noir, vert.
Bilan: 19km, 500m d+
22 janvier:
La traversé du lac O'Higgins s'effectue dans un petit bateau pour 16 personnes. Le lac a plusieurs longues branches définissant les vallées entre les montagnes, ce qui fait penser à des fjords. Il fait beau mais si on reste à l'extérieur on se prend pas mal de flotte des vagues qui font danser le bateau comme dans un festival de techno. Arrivé à l'embarcadère du lieu-dit Candelario Mancilla, on sort administrativement du Chili en passant les frontières via la gendarmerie. 5km plus loin je laisse le groupe du bateau qui se dirige directement vers le poste frontière argentin, à 15km de marche. Moi je décide de faire une grosse boucle en passant par un autre bras du Lac O'Higgins d'où se jettent des glaciers. Arrivé au col donnant sur le point de vue attendu, j'ai une des plus belles de vue de mon séjour sur Terre. Lac bleu laiteux, mer de glace s'y jettant, chaîne de sommets couverts de gros glaciers en "rivière", ciel bleu, des condors. Je ne sais pas pourquoi les mots que je prononce en voyant tout ça ce sont des insultes. En longeant le lac, je me perds plusieurs fois à cause des sentiers faits par les vaches et des cartes sur les applications qui sont erronées. Mais la végétation n'est pas dense et lorsque je constate que j'ai totalement perdu le sentier, je fonce en ligne droite vers le bivouac que j'ai repéré sur la carte sans trop de difficultés. J'arrive à 21h15, le temps de poser la tente et de manger, il fait nuit.
Bilan: 31km, 1100m d+
23 janvier:
Dernière étape avant d'atteindre la destination tant attendue d'El Chalten. Je passe un col et me voilà en territoire géographique argentin. Points de vue incroyables sur la mer de glace mentionnée précédemment. Je longe une longue vallée à travers forêts, gués, cascades, lacs et me voilà au poste frontière argentin au bord du lac Disierto. Je longe ce lac qui borde le glacier du Cerro Vespignani et qui offre des vues inédites pour moi du fameux Fitz Roy. J'avais oublié à quel point il était impressionnant. Arrivé au bout du lac je prends une navette qui m'amène vers ce qui était dans ma mémoire le paradis, El Chalten. Vite je pose ma tente au camping et je fonce pour une bière avant de dîner au restaurant Ahonikenk, notre adresse préférée avec Jessica lorsque nous avions séjourné ici en 2020. Eh bien j'en suis très déçus... C'est cher, petite quantité (pour une référence argentine), et pas très savoureux... Je ne sais pas si c'est moi qui avait trop idéalisé le lieux, si ça s'est dégradé ou si je me suis habitué à bien mieux à travers l'Argentine. Il y a aussi énormément de monde, dont je m'étais complètement déshabitué.
Bilan: 28km, 800m d+
24 janvier:
Après une nuit partiellement réparatrice pour mes pieds, je me dis que ça serait pas mal de ne pas trop forcer les 2 prochains jours. Grasse matinée et chill au camping avant d'aller au Mirador del Condor qui offre une très belle vue sur le village, le Fitz Roy, le Cerro Torre et bien entendu, les condors qui font de la voltige au dessus de nos têtes. Le soir apero à la brasserie locale du coin (excellentes bières) et 2e tentative de restaurant, cette fois en suivant les conseils du Routard. Prix et quantité très correct mais la qualité n'est toujours pas là. Je pense qu'El Chalten est victime de son succès malheureusement. L'après midi le vent se lève et me fait craindre pour ma tente qui se tord dans tous les sens. Je la fixe et la tend comme je ne l'ai jamais fait, et elle tiendra la nuit.
25 janvier:
Repos forcé à cause de la météo. Je glande. Le camping est plein à craquer avec cette pluie et j'ai hâte de retrouver les sentiers. Pendant ma sieste, et après avoir (trop) regonflé mon matelas, celui-ci craque et 2 des 6 tubes fusionnent pour former un gros cylindre. Super, plus que 2 mois à dormir de travers sur cette bosse.
Bilan: 9km, 200m d+
26 janvier:
Je m'apprête à faire une chose pour la 1ere fois de ma vie: faire une rando pour la 2e fois de ma vie! Fitz Roy et Laguna del Torro sur 2 jours, presque le même itinéraire que celui fait avec Jessica en 2020. Je monte jusqu'au camping au pied du Fitz Roy pour y monter la tente et je continue jusqu'à la laguna de los tres. Je vois enfin de près cette aiguille gigantesque sans aucun nuage (pour la 1ere fois). En 2020 je pense que je ne réalisais pas assez à quel point ce sommet était impressionnant par sa forme et son manteau de glace. Pour rendre original cette balade j'essaie de monter au Cerro Madsen, à 600m d+ depuis le lac. Évidement je suis tout seul, pas de sentier visible hormis quelques cairns, c'est casse gueule, je dois monter par la crête, les rafales de vent avoisinent les 100km/h me forcant à me coucher tous les 100m, certaines portions doivent être escaladées, je me marie dans 6 mois, je n'ai toujours pas trouvé de photographe, je fais demi tour à 3/4 du sommet.
Sieste de retour à la tente et je fais une ballade au Mirador de Piedras Blancas, un glacier de pure glace (sans la moindre poussière) au milieu de la roche noir.
Bilan: 23km, 1400m d+
27 janvier:
Je rejoins la Laguna Torre par la Laguna Capri, toujours pour changer par rapport à 2020 où c'était via Laguna Madre et Hija. A part ce bonus c'est la même ballade. Même apothéose lorsqu'on appercoit ce glacier éclaté en icebergs à la rencontre avec le lac. Le vent me fait marcher de façon pas normal (au sens géométrique de terme, à savoir pas perpendiculaire au sol) et je me croirais dans un clip de Michael Jackson. De retour à El Chalten je passe une soirée confort.
Bilan: 25km, 400m d+
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selidren · 1 year
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Eté 1903 - Champs-les-Sims
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Cher cousin, 
Je rentre juste de mon long voyage de presque deux ans en Egypte où j’ai secondé Monsieur Hautbourg en tant que secrétaire personnel. On peut difficilement rêver périple plus enrichissant en cela que j’ai sans doute étoffé au-delà de toute mes espérances mon expertise en fouilles antiques. 
Nous avons commencé notre séjour par six mois sédentaires dans un hôtel de la ville du Caire. Mon mentor y a mené des recherches bibliographiques dans la prestigieuse bibliothèque de l’Institut Français d’Archéologie Orientale tandis que je prenais des notes pour lui ou que je me cultivais grâce à d’excellentes références. Cette bibliothèque dispose en outre d’ouvrages non-francophones offerts gracieusement par l’université de Strasbourg. Je me félicite que mon pensionnat m’ait enseigné les rudiments de l’allemand (saviez -vous d’ailleurs qu’Adelphe le parle et l’écrit admirablement ?), j’ai ainsi pu consulter les ouvrages du Docteur Spiegelberg relatifs à la XVIIIème dynastie, qui sont en réalité des retranscriptions de Monsieur Petrie lors des fouilles du Ramesseum. Cela m’a fait réalisé que je me focalise par trop sur les textes de l’Ancien Empire, alors qu’aujourd’hui, je juge ceux du Nouvel Empire bien plus passionnants. Notons par ailleurs que Monsieur Petrie, fort d’une très longue carrière d’explorateur qui ne s’arrêtera pas de sitôt, a eu le privilège de fouiller à Amarna (terre du pharaon solaire et de sa cité impie) mais aussi à Dendérah. Plus jeune, j’ai remarqué une illustration de ce temple dans les planches réalisées par les chercheurs de l’expédition Bonaparte, et depuis je rêve de visiter ce chef d’oeuvre de l’époque Ptolémaïque. Ces dernières années, il a même pu fouiller à Abydos, où l’on trouve les tombes des pharaons prédynastiques. 
Pour en revenir à notre sujet, mon séjour au Caire s’est bien évidemment agrémenté par la visite du majestueux plateau de Gizeh, avec ses pyramides emblématiques et son sphinx. Qui est, soit dit en passant, un de moins bien conservé que j’ai jamais vu, de visu ou en photographie.
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quentinyhk · 8 months
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Sur l'image ci-dessus, une photographie de plateau de tournage avec, de gauche à droite, Laurent Boutonnat (compositeur de musiques et réalisateur de vidéos), la jeune artiste-interprète Alizée, alors au début de sa carrière de célébrité, et la chanteuse Mylène Farmer.
Sur l'image ci-dessous, la jeune chanteuse Julia, épaulée par une équipe de choc : Mylène Farmer, Laurent Boutonnat, le chorégraphe Grégoire Lyonnet et son épouse Alizée.
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coffeenuts · 2 years
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Plateau de Valensole, Alpes de Haute, Provence, France by Landscape Photography Magazine https://flic.kr/p/2nwDwr2
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drowster · 10 months
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Anthony Therrien while filming the second season of 'Les bracelets rouges'.
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atotaltaitaitale · 1 year
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Photography is all about patience.
Sometimes you wait for a person to walk in a frame… sometimes for a person to walk out of your frame.
In this case it was the latter. I didn’t have the patience to wait longer but at the end I love it even more with her in it.
Not my first time not having the patience to wait (for both picture) and liking it better ;-)
Happy Easter weekend.
Crucifix by Germaine Richier (temporary exhibit at the Center Pompidou)
The first female artist to be exhibited (during her lifetime!) at the National Museum of Modern Art, Germaine Richier (1902-1959) has become a key figure in modern sculpture.
In 1950, Germaine Richier made the crucifix for a new church on the Assy plateau. Chosen to “revive Christian art”, the sculptor then proposed to mix the body of Christ with the cross, in a salient bronze in its raw state which transcribes both suffering and benevolence. A year later, a group of Catholics protested Richier's work: they opposed the intervention of "atheist artists" in Christian art and demanded that the crucifix be removed. The Catholics won their case a few months later and Germaine Richier's Christ was stored in the Chapel of the Dead. It was not until 1969 that the sculpture regained its place in the Notre-Dame-de-Toute-Grâce church, behind the high altar.
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already-14 · 2 years
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Stephan CRASNEANSCKI  / Jean-Luc Godard’s archives
What We Leave Behind, (Ce qu’on laisse derrière soi)
Un plateau de cinéma. Des sons qui n’ont jamais vu le jour et ne sont jamais sortis de ces moments, derrière la caméra, devant des acteurs dans l’invention d’un plan, d’une image. Stephan Crasneanscki a eu accès à des fragments de sons issus des tournages des films de Jean-Luc Godard, mais également à toute une documentation, un témoignage de ce qui a nourri le cinéaste. Ce qu’on laisse derrière soi, ce qu’il a redécouvert, presque par accident, révèle une partie des archives du cinéaste, celles qui ont été oubliées, voire délaissées... C’est aussi un portrait du cinéma contemporain une réflexion sur l’archive, une libre réinvention par le montage, le collage, de moments de cinéma nés d’une collision entre littérature, arts visuels et musique que Godard fut le premier à rassembler. Oeuvre composite, What we leave behind conduit Stephan Crasneanscki à poser son regard sur ces objets oubliés détenteurs d’une matière à penser en attente d’être dévoilée.
L’artiste observe donc, recompose et invite à son tour à percevoir. Être, c’est être perçu nous dit Berkeley et l’être des objets est d’être perçu, comme celui des sujets, de percevoir. Des bobines de films, des livres, des feuillets d’écriture, des cassettes vidéos, un amoncellement d’informations, des indices qui s’offrent à son regard et évoquent aussi une mémoire du cinéma au regard de ses différents supports. Par le film, le son et la photographie Stephan Crasneanski convoque un imaginaire lié à la pensée de Godard et restitue une expérience. Il livre des indices et questionne : Un arbre qui tombe dans la forêt, fait-il du bruit s’il n’y a personne pour l’entendre? Est-ce l’esprit qui crée ce qu’il observe, alors privé de l’observation, que se passe-t-il ? Des archives plongées dans un interminable silence?
Que laisse entrevoir une bobine laissant apparaître l’inscription « Nouvelle vague » ? Un nouveau cinéma, une révolution ? un livre ouvert sur une époque, un témoignage à la fois poétique et sociologique ?
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(via Expo Installation Contemporaine: Stephan CRASNEANSCKI "What we leave behind / Jean-Luc Godard’s archives" - ACTUART by Eric SIMON)
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yanncavell · 16 days
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Dans un célèbre récit de la Bible, à la demande de sa mère, (la princesse juive Hérodiade), la très jeune Salomé séduit son beau-père en dansant afin que, charmé, envoûté par sa sensualité, il ne puisse refuser de lui faire apporter, sur un plateau d'argent, la tête tranchée de Jean le Baptiste. Le résultat de cette exécution cruelle, commandée par une enfant perverse, a été maintes fois représenté, comme avec la sculpture italienne datant de la deuxième moitié du XVIème siècle, en photographie ci-dessus, ou à travers le tableau reproduit ci-dessous, une toile du peintre Andrea Vaccaro, intitulée "Tête de Saint Jean-Baptiste" (1640).
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au-dedans · 17 days
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Antoine Picard possède une conscience aigu de ce qui est, de l'indicible matérialité des choses du monde. S'il photographie avec aisance de formidables paysages - au sens propre, il a acquis une fine connaissance du paysage et du close-up. Cela lui permet de montrer que ce qui semble petit ou grand par sa dimension est perceptible. Cela lui a permis de rendre la dimension de grand des paysages enchanteurs. Ce photographe allie avec une sensibilité certaine les choses de la vie. Cela lui permet de montrer, en un sens, que ce qui est grand est finalement moins imposant que l'on ne le pense. A lire ses séries "Le Plateau", ou "Le Lac", on ne peut que s'émerveiller devant le regard du photographe qui parvient à saisir les éléments formant ce qui est. Merci de bien vouloir apporter votre support à l'édition de son déjà troisième ouvrage, "Le Lac". Bien que la vie ne soit pas une histoire de mérite, lui, mérite votre soutien.
Photographie : Antoine Picard - Série et Livre "Le Lac"
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venky45 · 25 days
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Discovering the Wonders of Salt Flats: A Tour of Bolivia's Salar de Uyuni Basin
Travel to the fascinating Salar de Uyuni, the largest salt flat in the world, which is situated in the center of Bolivia's high-altitude plateau. This enormous region, which covers more than 10,000 square kilometers, presents a bizarre environment that enthralls visitors with its limitless horizon and ethereal beauty.
Why Travel to Bolivia's Salt Flats?
The salt flats, which were created from ancient lakes that have long since evaporated, are more than just a natural beauty; they are a reminder of Earth's historical and geological history. The crystalline salt tiles, shaped like hexagons and encircled by far-off mountains, create an astonishingly stunning panorama that seems unreal.
Ideal Time to Go
The dry season, which lasts from late fall to early spring, is the ideal time to visit the salt flats. The skies are clear and the visibility is the best during this time. As an alternative, going during the rainy season provides a singular show when the flats turn into a massive mirror that flawlessly reflects the sky above.
What to anticipate on your journey
A combination of amazement and adventure awaits travelers. There are many different types of sceneries along the way to Salar de Uyuni, such as rocky deserts and high-altitude lagoons. This adventure, which combines driving and hiking, is ideal for people who enjoy adventure and sightseeing together. 
Local Interactions and Cultural Perspectives
You will come across vibrant local towns and rich cultural heritage sites as you travel across Bolivia to get to the salt flats. Every market and town has a strong sense of indigenous traditions that provide a window into the daily lives of people who live in this area.
Snapshots and Grass Views
The salt flats are a photographer's paradise. The large open areas and natural lighting make for ideal shooting settings for gorgeous pictures. Every moment is worth taking a picture, whether it's of the geometric salt patterns or the mirror-like reflections during the rainy season. 
Making Travel Plans
It is essential to make sufficient plans before visiting the salt flats. Make sure you have the appropriate equipment because the weather can be unpredictable and the altitude might be difficult. Choose guided excursions that provide knowledgeable commentary and guarantee your safety the entire time.
In summary
More than just a travel experience, a trip to Bolivia's salt flats offers an immersion into the unmatched beauty of nature. For those who enjoy culture, adventure, or photography, the salt flats offer a once-in-a-lifetime experience. Are you prepared to take on the world's largest salt flats? Begin organizing your trip right now to fully experience Bolivia's natural and cultural treasures.
For more detailed insights and to embark on this adventure, visit Nomadic Road's Bolivia Expedition.
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