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#matériels militaires
le-journal-catalan · 1 year
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Commémoration 2023 du 8 mai 1945 à Canet, un millésime exceptionnel
Comme les années précédentes, l’association MVCG Languedoc Roussillon (Fédé­ra­tion Fran­çaise des groupes de conser­va­tion de véhi­cules militaires) nous a permis de découvrir de magnifiques pièces militaires parfaitement entretenues dans le cadre somptueux du théâtre de la mer à Canet en Roussillon. Guy Toureilles, Président MVCG Languedoc Roussillon, et l’ensemble des bénévoles et passionnés…
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carbone14 · 2 years
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Norton WD Big 4 avec un fusil-mitrailleur Bren et un pistolet-mitrailleur Thompson.
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aurevoirmonty · 2 months
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« L’Ukraine a perdu… nous avons une armée de majorettes à côté des Russes » indique un rapport secret de l’armée française.
L’armée française a fait fuiter un rapport sur l’état du front ukrainien.
La guerre est perdue pour l’Ukraine.
Marianne :
Quelle mouche a piqué le président au moment d’envisager l’envoi de troupes en Ukraine ? Plusieurs rapports confidentiels défense expliquent « l’affolement » de l’Élysée, où les chefs de partis sont invités ce jeudi 7 mars à évoquer la question. Sur le front, les Russes sont en position de force. Fallait-il pour autant, face à Poutine, brandir une menace intenable ? En n’excluant pas d’envoyer des troupes en Ukraine, Emmanuel Macron a provoqué un tollé en Europe et écopé d’un désaveu américain. Plusieurs militaires français, interrogés par Marianne, disent, eux, être « tombés de l’armoire ». « Il ne faut pas se leurrer, face aux Russes, on est une armée de majorettes ! », raille un haut gradé, persuadé que « l’envoi de troupes » françaises sur le front ukrainien ne serait tout simplement « pas raisonnable ». À l’Élysée, on assume la position : « Le président voulait lancer un signal fort », glisse un conseiller, reprenant la formule « de propos millimétrés et calibrés ».
Au ministère des Armées, dans l’entourage de Sébastien Lecornu, on défend la parole présidentielle : « L’état des forces en Ukraine est très préoccupant. Les propos du président appellent à un sursaut et montrent qu’on est à un tournant. » Comment en est-on arrivés là ? Plusieurs rapports confidentiels défense, que Marianne a pu consulter, évoquent une « situation critique ». Explication en trois constats, bien loin des discours officiels. Premier constat : une victoire militaire ukrainienne semble désormais impossible. Pendant des mois, les chancelleries européennes ont voulu croire que la contre-offensive de Kiev du printemps 2023, appuyée par du matériel occidental, allait renvoyer l’armée russe à Moscou. Rédigés cet automne, les « retex » (retours d’expérience) de l’opération sont accablants. « Elle s’est progressivement enlisée dans la boue et le sang et ne s’est soldée par aucun gain stratégique », écrit un rapport confidentiel défense sur « l’échec de l’offensive ukrainienne » auquel Marianne a eu accès. En amont, la planification, imaginée à Kiev et dans les états-majors occidentaux, s’est révélée « désastreuse ». « Les planificateurs pensaient que dès que les premières lignes de défense russes seraient franchies, l’ensemble du front s’effondrerait […] Ces phases préliminaires fondamentales ont été faites sans tenir compte des forces morales de l’ennemi en défensif : c’est-à-dire la volonté du soldat russe de s’accrocher au terrain », constate ce rapport évoquant « la faillite de la planification » du camp occidental. Autre leçon, l’insuffisance de la formation des soldats et des cadres ukrainiens : « Les brigades nouvellement constituées l’ont essentiellement été sur le plan administratif » et les formations n’ont pas duré plus de trois semaines. Faute de cadres et d’un volume de vétérans significatif, ces « soldats de l’an II » ukrainiens ont été lancés à l’assaut « d’une ligne de fortification russe qui s’est avérée inexpugnable ». Sans aucun appui aérien, avec du matériel occidental disparate et moins performant que l’ancien matériel soviétique (« vétuste, facile d’entretien, et apte à être utilisé en mode dégradé », mentionne le rapport), les troupes ukrainiennes n’avaient aucun espoir de percer.
Les Russes font des armes pour faire la guerre, l’OTAN pour faire des bénéfices.
Cela a forcément un impact sur le champ de bataille.
Ajoutons « l’archidomination russe dans le domaine du brouillage électronique pénalisant, côté ukrainien, l’utilisation de drones et les systèmes de commandement ». « L’armée russe est aujourd’hui la référence “tactique et technique” pour penser et mettre en œuvre le mode défensif », écrit le rapport. Non seulement Moscou dispose d’engins lourds du génie lui ayant permis de construire des ouvrages défensifs (« absence presque totale de ce matériel côté ukrainien, et impossibilité des Occidentaux d’en fournir rapidement ») mais les 1 200 km de front, dits ligne Sourokovine (du nom d’un général russe), ont été minés dans des proportions énormes (7 000 km de mines).
Les généraux occidentaux, tout particulièrement américains, sont des idiots. N’importe qui pouvait anticiper un tel désastre, mais leur arrogance a été plus forte.
Les paysans de Zelensky n’ont jamais pu atteindre la seconde ligne de défense russe malgré plus de 5 mois d’offensive.
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Un nombre effrayant d’hommes ont été envoyés à la mort par Zelensky pour rien, mais la mafia de Kiev est déterminée à en faire tuer beaucoup plus pour le même résultat.
Autre constatation, « les Russes ont aussi su gérer leur troupe de réserve, pour garantir l’endurance opérationnelle ». Selon ce document, Moscou renforce ses unités avant leur usure complète, mélange les recrues à des troupes aguerries, ménage des périodes de repos à l’arrière régulières… et « a toujours eu un réservoir de force cohérent pour gérer les imprévus ». On est bien loin de l’idée répandue à l’ouest d’une armée russe envoyant ses troupes à la boucherie sans compter… « À ce jour, l’état-major ukrainien ne dispose pas d’une masse critique de forces terrestres aptes à la manœuvre interarmées à l’échelon du corps d’armée capables de défier leurs homologues russes en vue de percer sa ligne défensive », conclut ce rapport confidentiel défense, selon lequel « la plus grave erreur d’analyse et de jugement serait de continuer à rechercher des solutions exclusivement militaires pour arrêter les hostilités ».
Un gradé français résume : « Il est clair, au vu des forces en présence, que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre militairement. »
C’est justement ce moment qu’a choisi Macron pour rechercher une solution militaire.
Deuxième constat : le conflit est entré dans une phase critique en décembre. Selon nos sources militaires à Paris, l’armée ukrainienne est passée, contrainte et forcée, en mode défensif. « La combativité des soldats ukrainiens est profondément affectée », mentionne un rapport prospectif sur l’année 2024. « Zelensky aurait besoin de 35 000 hommes par mois, il n’en recrute pas la moitié, alors que Poutine pioche dans un vivier de 30 000 volontaires mensuels », constate un militaire rentré de Kiev.
C’est la partie la plus importante de ces informations. Les Russes détruisent environ 400,000 soldats ukrainiens par an, un rythme qui va s’accélérer compte tenu de l’affaiblissement qualitative et quantitative de l’armée ukrainienne.
Aujourd’hui, Zelensky dispose de 700 à 800,000 hommes. Dans 6 mois, ce sera 500 ou 600,000 hommes et d’ici à l’hiver 2024, ce sera 400,000. À l’inverse, les Russes ajouteront près de 500,000 hommes sur le front en 2024. Ces deux courbes, en se croisant, vont amener la rupture du front quelque part d’ici au printemps, voire à l’été.
La rupture du front à Avdivka est symptomatique. Cette place forte était censée être imprenable.
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Maintenant qu’elle est tombée, les Ukrainiens n’ont pas de seconde ligne défensive et ils doivent en créer une à la hâte, ce qui les pousse à jeter dans la brèche leurs maigres réserves. Ces unités, engagées à terrain découvert pour ralentir les Russes, sont rapidement détruites, mais cela permet de gagner du temps pour reconstituer une ligne en arrière du front qui recule. Les Ukrainiens sacrifient leurs meilleures unités dans cette opération et cela se ressentira lors de l’inévitable offensive russe du printemps ou de l’été.
En matière de matériel, la balance est tout aussi déséquilibrée : l’offensive ratée de 2023 aurait « tactiquement détruit » la moitié des 12 brigades de combat de Kiev. Depuis, l’aide occidentale n’a jamais été aussi basse. Il est donc clair qu’aucune offensive ukrainienne ne pourra être mise sur pied cette année. « L’Occident peut fournir des imprimantes 3D pour fabriquer des drones ou des munitions rôdeuses, mais ne pourra jamais imprimer des hommes », constate ce rapport. « Compte tenu de la situation, il a pu être envisagé de renforcer l’armée ukrainienne, non pas en combattants, mais avec des forces d’appui, à l’arrière, permettant de libérer les soldats ukrainiens pour le front », admet un haut gradé, confirmant une « montée en puissance » de militaires occidentaux en civil. Même si deux wagons américains, vraisemblablement utilisés par la CIA, sont accrochés au train qui fait la liaison quotidienne entre la Pologne et Kiev, le camp occidental n’admet qu’à moitié la présence de forces spéciales en Ukraine. « Outre les Américains, qui ont autorisé le New York Times à visiter un camp de la CIA, il y a pas mal de Britanniques », glisse un militaire, qui ne dément pas la présence de forces spéciales françaises, notamment des nageurs de combat pour des missions de formation… Troisième constat : le risque de rupture russe est réel. C’est la dernière leçon en date du front ukrainien, qui donne des sueurs froides aux observateurs de l’armée française. Le 17 février, Kiev a dû abandonner la ville d’Avdiïvka, dans la banlieue nord de Donetsk, qui faisait figure jusque-là de bastion fortifié. « C’était à la fois le cœur et le symbole de la résistance ukrainienne dans le Donbass russophone », souligne un rapport sur la « bataille d’­Avdiïvka », tirant une série de leçons accablantes. « Les Russes ont changé leur mode opératoire en compartimentant la ville, et surtout en utilisant pour la première fois à grande échelle des bombes planantes », constate ce document. Quand un obus d’artillerie de 155 mm transporte 7 kg d’explosif, la bombe planante en projette entre 200 et 700 kg et peut donc percer des ouvrages bétonnés de plus de 2 m. Un enfer pour les défenses ukrainiennes, qui auraient perdu plus de 1 000 hommes par jour.
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De plus, les Russes utilisent des réducteurs de son sur les armes légères d’infanterie afin de déjouer les systèmes de détection acoustique sur le terrain. « La décision de repli des forces armées ukrainiennes a été une surprise », constate ce dernier rapport, soulignant « sa soudaineté et son impréparation », faisant craindre que ce choix ait été « plus subi que décidé par le commandement ukrainien », évoquant un possible début de « débandade ». « Les forces armées ukrainiennes viennent tactiquement de montrer qu’elles ne possèdent pas les capacités humaines et matérielles […] pour tenir un secteur du front qui est soumis à l’effort de l’assaillant », poursuit le document. « L’échec ukrainien à Avdiïvka montre que, malgré l’envoi en urgence d’une brigade “d’élite” – la 3e brigade d’assaut par air Azov –, Kiev n’est pas capable de rétablir localement un secteur du front qui s’effondre », s’alarme ce dernier rapport. Reste à savoir ce que les Russes feront de ce succès tactique. Continueront-ils sur le mode actuel « d’un grignotage et d’un ébranlement lent » de l’ensemble de la ligne de front ou chercheront-ils à « percer dans la profondeur » ? « Le terrain derrière Avdiïvka le permet », signale ce document récent, avertissant aussi que les sources occidentales ont tendance à « sous-estimer » les Russes, eux-mêmes adeptes de la pratique de la « Maskovkira », « consistant à paraître faible quand on est fort ». Selon cette analyse, après deux ans de guerre, les forces russes ont donc montré leur capacité à « développer une endurance opérationnelle » qui leur permet de mener « une guerre de lente et longue intensité basée sur l’attrition continue de l’armée ukrainienne ». Un constat pessimiste pour la suite. Est-ce cette situation stratégique nouvelle, où l’armée russe semble en position de force face à une armée ukrainienne à bout de souffle, qui a conduit Emmanuel Macron, « en dynamique », comme il l’a glissé, à envisager des renforts de troupes ? Une perspective réaliste face à la situation opérationnelle du moment, qualifiée de « critique » par des observateurs de terrain. « Mais ce qui peut paraître réaliste d’un strict point de vue tactique peut se révéler irréaliste d’un point de vue stratégique et diplomatique », soupire un gradé français.
Macron va nous entraîner dans ce désastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN déploiera ses unités à l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un désastre irréparable stratégiquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accès à la mer. C’est sûrement sur cet axe que Macron déploierait des troupes françaises.
En attendant, le gouvernement de Macron poursuit sa campagne d’intoxication, à la fois pour en faire le thème de sa campagne, et pour justifier l’intervention.
Hier, sa clique a organisé une grossière opération d’intoxication.
📌 CYBER – Des nouvelles cyberattaque pro-russes contre la France Avec @emiliebrouss, @ericbrunet et @cyberguerre C’est en ce moment sur #LCI #La26 ⤵️ pic.twitter.com/anUTXNa6wZ — LCI (@LCI) March 11, 2024
Les Ukrainiens n’auraient jamais dû suivre la juiverie occidentale, à présent ils en paient le prix fort. Les juifs les feront tuer jusqu’au dernier avant d’envoyer d’autres goyim mourir à leur place.
L’état-major français doit contempler avec frayeur l’engrenage que Macron veut déclencher. Faire la guerre le cul assis sur le plateau de LCI c’est une chose, la faire en vrai est en une autre.
Démocratie Participative
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raisongardee · 5 months
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"Les codes prennent tant de précautions contre la violence et l’éducation est dirigée en vue d’atténuer tellement nos tendances à la violence que nous sommes conduits instinctivement à penser que tout acte de violence est une manifestation d’une régression vers la barbarie. Si l’on a si souvent opposé les sociétés industrielles aux sociétés militaires, c’est que l’on a considéré la paix comme étant le premier des biens et la condition essentielle de tout progrès matériel : ce dernier point de vue nous explique pourquoi, depuis le XVIIIe siècle et presque sans interruption, les économistes ont été partisans de pouvoirs forts et assez soucieux des libertés politiques […] On peut se demander s’il n’y a pas quelque peu de niaiserie dans l’admiration que nos contemporains ont pour la douceur ; je vois, en effet, que quelques auteurs, remarquables par leur perspicacité et leurs hautes préoccupations morales, ne semblent pas autant redouter la violence que nos professeurs officiels. P. Bureau a été extrêmement frappé de rencontrer en Norvège une population rurale qui est demeurée très profondément chrétienne : les paysans n’en portent pas moins un poignard à la ceinture ; quand une querelle se termine à coups de couteau, l’enquête de la police n’aboutit pas, en général, faute de témoins disposés à déposer. L’auteur conclut ainsi : "Le caractère amolli et efféminé des hommes est plus redoutable que leur sentiment, même exagéré et brutal, de l’indépendance, et un coup de couteau donné par un homme honnête en ses mœurs, mais violent, est un mal social moins grave et plus facilement guérissable que les débordements de la luxure de jeunes gens réputés plus civilisés.""
Georges Sorel, Réflexions sur la violence, 1908.
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calydriarpg · 24 days
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Fonctionnement de l'armée
Structure de l'armée :
L'armée d'Erydor est organisée en différentes branches, chacune spécialisée dans un aspect particulier de la guerre.
Les principales branches comprennent l'infanterie, la cavalerie, les unités de soutien magique, les unités de soutien logistique, et les forces spéciales.
Chaque branche de l'armée est composée de soldats formés dans les académies correspondantes, avec des chevaucheurs dans la cavalerie aérienne, des élémentaires dans les unités de soutien magique, et des alchimistes dans les unités de soutien logistique. Il y a aussi l'infanterie qui est composée d'hommes et femmes n'ayant pas fait des études dans les académies et qui sont des soldats de base.
Collaboration entre les académies :
Les académies des Chevaucheurs, des Élémentaires et des Alchimistes collaborent étroitement sur le champ de bataille pour maximiser l'efficacité des opérations militaires.
Les chevaucheurs fournissent un soutien aérien et une couverture pour les troupes au sol, protégeant les élémentaires et les alchimistes contre les attaques ennemies.
Les élémentaires utilisent leurs pouvoirs magiques pour soutenir les troupes, en lançant des sorts de protection, en invoquant des éléments naturels pour créer des obstacles ou des opportunités tactiques, et en attaquant les ennemis avec des attaques magiques dévastatrices.
Les alchimistes fournissent des ressources essentielles telles que des potions de guérison, des explosifs alchimiques, et des équipements spéciaux pour renforcer les capacités de combat des soldats sur le terrain.
Stratégies et tactiques militaires :
L'armée d'Erydor utilise une combinaison de stratégies offensives et défensives pour contrer les attaques de l'armée de Solastria.
Les troupes sont entraînées à coordonner leurs mouvements sur le champ de bataille, à s'adapter rapidement aux changements de situation, et à exploiter les faiblesses de l'ennemi.
Les chefs militaires planifient des opérations complexes, telles que des assauts coordonnés sur les positions ennemies, des raids de sabotage derrière les lignes ennemies, et des manœuvres tactiques pour encercler et anéantir les forces adverses.
Hiérarchie
Soldat de base :
Ce grade est attribué aux nouvelles recrues après leur formation initiale.
Caporal :
Les caporaux sont des soldats expérimentés qui ont démontré leur compétence et leur leadership sur le terrain.
Ils sont responsables de superviser de petites unités de soldats et d'assister les officiers dans la coordination des opérations tactiques.
Sergent :
Les sergents sont des chefs d'unité qui dirigent et encadrent les soldats au combat.
Ils sont responsables de maintenir la discipline, de motiver les troupes et de garantir l'efficacité opérationnelle de leur unité.
Sergent-major :
Les sergents-majors sont des sous-officiers supérieurs qui occupent des postes de commandement au sein des unités de combat.
Ils assistent les officiers supérieurs dans la planification des opérations et dans la gestion des ressources humaines et matérielles de leur unité.
Officier :
Les officiers sont des leaders tactiques et stratégiques qui commandent des unités de différentes tailles, allant de la compagnie au bataillon.
Ils sont responsables de la planification des opérations, de la prise de décision sur le champ de bataille et de l'entraînement et du développement professionnel de leurs subordonnés.
Officier supérieur :
Les officiers supérieurs occupent des postes de commandement à des échelons plus élevés, tels que les régiments, les brigades ou les divisions.
Ils sont responsables de la coordination des opérations sur un théâtre d'opérations plus vaste, de la gestion des ressources et des effectifs, et de la mise en œuvre de la stratégie militaire globale.
Général :
Les généraux sont les plus hauts responsables de l'armée, chargés de la planification stratégique, de la prise de décision politique et de la direction de l'ensemble des forces armées d'Erydor.
Ils sont responsables de la conduite de la guerre, de la défense du territoire et de la protection des intérêts nationaux de leur pays.
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lepartidelamort · 2 months
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« L’Ukraine a perdu… nous avons une armée de majorettes à côté des Russes » indique un rapport secret de l’armée française
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Mourir sous les ordres d’une fiotte, ça donne le vertige
L’armée française a fait fuiter un rapport sur l’état du front ukrainien.
La guerre est perdue pour l’Ukraine.
Marianne :
Quelle mouche a piqué le président au moment d’envisager l’envoi de troupes en Ukraine ? Plusieurs rapports confidentiels défense expliquent « l’affolement » de l’Élysée, où les chefs de partis sont invités ce jeudi 7 mars à évoquer la question. Sur le front, les Russes sont en position de force. Fallait-il pour autant, face à Poutine, brandir une menace intenable ? En n’excluant pas d’envoyer des troupes en Ukraine, Emmanuel Macron a provoqué un tollé en Europe et écopé d’un désaveu américain. Plusieurs militaires français, interrogés par Marianne, disent, eux, être « tombés de l’armoire ». « Il ne faut pas se leurrer, face aux Russes, on est une armée de majorettes ! », raille un haut gradé, persuadé que « l’envoi de troupes » françaises sur le front ukrainien ne serait tout simplement « pas raisonnable ». À l’Élysée, on assume la position : « Le président voulait lancer un signal fort », glisse un conseiller, reprenant la formule « de propos millimétrés et calibrés ».
Au ministère des Armées, dans l’entourage de Sébastien Lecornu, on défend la parole présidentielle : « L’état des forces en Ukraine est très préoccupant. Les propos du président appellent à un sursaut et montrent qu’on est à un tournant. » Comment en est-on arrivés là ? Plusieurs rapports confidentiels défense, que Marianne a pu consulter, évoquent une « situation critique ». Explication en trois constats, bien loin des discours officiels. Premier constat : une victoire militaire ukrainienne semble désormais impossible. Pendant des mois, les chancelleries européennes ont voulu croire que la contre-offensive de Kiev du printemps 2023, appuyée par du matériel occidental, allait renvoyer l’armée russe à Moscou. Rédigés cet automne, les « retex » (retours d’expérience) de l’opération sont accablants. « Elle s’est progressivement enlisée dans la boue et le sang et ne s’est soldée par aucun gain stratégique », écrit un rapport confidentiel défense sur « l’échec de l’offensive ukrainienne » auquel Marianne a eu accès. En amont, la planification, imaginée à Kiev et dans les états-majors occidentaux, s’est révélée « désastreuse ». « Les planificateurs pensaient que dès que les premières lignes de défense russes seraient franchies, l’ensemble du front s’effondrerait […] Ces phases préliminaires fondamentales ont été faites sans tenir compte des forces morales de l’ennemi en défensif : c’est-à-dire la volonté du soldat russe de s’accrocher au terrain », constate ce rapport évoquant « la faillite de la planification » du camp occidental. Autre leçon, l’insuffisance de la formation des soldats et des cadres ukrainiens : « Les brigades nouvellement constituées l’ont essentiellement été sur le plan administratif » et les formations n’ont pas duré plus de trois semaines. Faute de cadres et d’un volume de vétérans significatif, ces « soldats de l’an II » ukrainiens ont été lancés à l’assaut « d’une ligne de fortification russe qui s’est avérée inexpugnable ». Sans aucun appui aérien, avec du matériel occidental disparate et moins performant que l’ancien matériel soviétique (« vétuste, facile d’entretien, et apte à être utilisé en mode dégradé », mentionne le rapport), les troupes ukrainiennes n’avaient aucun espoir de percer.
Les Russes font des armes pour faire la guerre, l’OTAN pour faire des bénéfices.
Cela a forcément un impact sur le champ de bataille.
Ajoutons « l’archidomination russe dans le domaine du brouillage électronique pénalisant, côté ukrainien, l’utilisation de drones et les systèmes de commandement ». « L’armée russe est aujourd’hui la référence “tactique et technique” pour penser et mettre en œuvre le mode défensif », écrit le rapport. Non seulement Moscou dispose d’engins lourds du génie lui ayant permis de construire des ouvrages défensifs (« absence presque totale de ce matériel côté ukrainien, et impossibilité des Occidentaux d’en fournir rapidement ») mais les 1 200 km de front, dits ligne Sourokovine (du nom d’un général russe), ont été minés dans des proportions énormes (7 000 km de mines).
Les généraux occidentaux, tout particulièrement américains, sont des idiots. N’importe qui pouvait anticiper un tel désastre, mais leur arrogance a été plus forte.
Les paysans de Zelensky n’ont jamais pu atteindre la seconde ligne de défense russe malgré plus de 5 mois d’offensive.
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Un nombre effrayant d’hommes ont été envoyés à la mort par Zelensky pour rien, mais la mafia de Kiev est déterminée à en faire tuer beaucoup plus pour le même résultat.
Autre constatation, « les Russes ont aussi su gérer leur troupe de réserve, pour garantir l’endurance opérationnelle ». Selon ce document, Moscou renforce ses unités avant leur usure complète, mélange les recrues à des troupes aguerries, ménage des périodes de repos à l’arrière régulières… et « a toujours eu un réservoir de force cohérent pour gérer les imprévus ». On est bien loin de l’idée répandue à l’ouest d’une armée russe envoyant ses troupes à la boucherie sans compter… « À ce jour, l’état-major ukrainien ne dispose pas d’une masse critique de forces terrestres aptes à la manœuvre interarmées à l’échelon du corps d’armée capables de défier leurs homologues russes en vue de percer sa ligne défensive », conclut ce rapport confidentiel défense, selon lequel « la plus grave erreur d’analyse et de jugement serait de continuer à rechercher des solutions exclusivement militaires pour arrêter les hostilités ».
Un gradé français résume : « Il est clair, au vu des forces en présence, que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre militairement. »
C’est justement ce moment qu’a choisi Macron pour rechercher une solution militaire.
Deuxième constat : le conflit est entré dans une phase critique en décembre. Selon nos sources militaires à Paris, l’armée ukrainienne est passée, contrainte et forcée, en mode défensif. « La combativité des soldats ukrainiens est profondément affectée », mentionne un rapport prospectif sur l’année 2024. « Zelensky aurait besoin de 35 000 hommes par mois, il n’en recrute pas la moitié, alors que Poutine pioche dans un vivier de 30 000 volontaires mensuels », constate un militaire rentré de Kiev.
C’est la partie la plus importante de ces informations. Les Russes détruisent environ 400,000 soldats ukrainiens par an, un rythme qui va s’accélérer compte tenu de l’affaiblissement qualitative et quantitative de l’armée ukrainienne.
Aujourd’hui, Zelensky dispose de 700 à 800,000 hommes. Dans 6 mois, ce sera 500 ou 600,000 hommes et d’ici à l’hiver 2024, ce sera 400,000. À l’inverse, les Russes ajouteront près de 500,000 hommes sur le front en 2024. Ces deux courbes, en se croisant, vont amener la rupture du front quelque part d’ici au printemps, voire à l’été.
La rupture du front à Avdivka est symptomatique. Cette place forte était censée être imprenable.
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Maintenant qu’elle est tombée, les Ukrainiens n’ont pas de seconde ligne défensive et ils doivent en créer une à la hâte, ce qui les pousse à jeter dans la brèche leurs maigres réserves. Ces unités, engagées à terrain découvert pour ralentir les Russes, sont rapidement détruites, mais cela permet de gagner du temps pour reconstituer une ligne en arrière du front qui recule. Les Ukrainiens sacrifient leurs meilleures unités dans cette opération et cela se ressentira lors de l’inévitable offensive russe du printemps ou de l’été.
En matière de matériel, la balance est tout aussi déséquilibrée : l’offensive ratée de 2023 aurait « tactiquement détruit » la moitié des 12 brigades de combat de Kiev. Depuis, l’aide occidentale n’a jamais été aussi basse. Il est donc clair qu’aucune offensive ukrainienne ne pourra être mise sur pied cette année. « L’Occident peut fournir des imprimantes 3D pour fabriquer des drones ou des munitions rôdeuses, mais ne pourra jamais imprimer des hommes », constate ce rapport. « Compte tenu de la situation, il a pu être envisagé de renforcer l’armée ukrainienne, non pas en combattants, mais avec des forces d’appui, à l’arrière, permettant de libérer les soldats ukrainiens pour le front », admet un haut gradé, confirmant une « montée en puissance » de militaires occidentaux en civil. Même si deux wagons américains, vraisemblablement utilisés par la CIA, sont accrochés au train qui fait la liaison quotidienne entre la Pologne et Kiev, le camp occidental n’admet qu’à moitié la présence de forces spéciales en Ukraine. « Outre les Américains, qui ont autorisé le New York Times à visiter un camp de la CIA, il y a pas mal de Britanniques », glisse un militaire, qui ne dément pas la présence de forces spéciales françaises, notamment des nageurs de combat pour des missions de formation… Troisième constat : le risque de rupture russe est réel. C’est la dernière leçon en date du front ukrainien, qui donne des sueurs froides aux observateurs de l’armée française. Le 17 février, Kiev a dû abandonner la ville d’Avdiïvka, dans la banlieue nord de Donetsk, qui faisait figure jusque-là de bastion fortifié. « C’était à la fois le cœur et le symbole de la résistance ukrainienne dans le Donbass russophone », souligne un rapport sur la « bataille d’­Avdiïvka », tirant une série de leçons accablantes. « Les Russes ont changé leur mode opératoire en compartimentant la ville, et surtout en utilisant pour la première fois à grande échelle des bombes planantes », constate ce document. Quand un obus d’artillerie de 155 mm transporte 7 kg d’explosif, la bombe planante en projette entre 200 et 700 kg et peut donc percer des ouvrages bétonnés de plus de 2 m. Un enfer pour les défenses ukrainiennes, qui auraient perdu plus de 1 000 hommes par jour.
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Stupides goyim !
De plus, les Russes utilisent des réducteurs de son sur les armes légères d’infanterie afin de déjouer les systèmes de détection acoustique sur le terrain. « La décision de repli des forces armées ukrainiennes a été une surprise », constate ce dernier rapport, soulignant « sa soudaineté et son impréparation », faisant craindre que ce choix ait été « plus subi que décidé par le commandement ukrainien », évoquant un possible début de « débandade ». « Les forces armées ukrainiennes viennent tactiquement de montrer qu’elles ne possèdent pas les capacités humaines et matérielles […] pour tenir un secteur du front qui est soumis à l’effort de l’assaillant », poursuit le document. « L’échec ukrainien à Avdiïvka montre que, malgré l’envoi en urgence d’une brigade “d’élite” – la 3e brigade d’assaut par air Azov –, Kiev n’est pas capable de rétablir localement un secteur du front qui s’effondre », s’alarme ce dernier rapport. Reste à savoir ce que les Russes feront de ce succès tactique. Continueront-ils sur le mode actuel « d’un grignotage et d’un ébranlement lent » de l’ensemble de la ligne de front ou chercheront-ils à « percer dans la profondeur » ? « Le terrain derrière Avdiïvka le permet », signale ce document récent, avertissant aussi que les sources occidentales ont tendance à « sous-estimer » les Russes, eux-mêmes adeptes de la pratique de la « Maskovkira », « consistant à paraître faible quand on est fort ». Selon cette analyse, après deux ans de guerre, les forces russes ont donc montré leur capacité à « développer une endurance opérationnelle » qui leur permet de mener « une guerre de lente et longue intensité basée sur l’attrition continue de l’armée ukrainienne ». Un constat pessimiste pour la suite. Est-ce cette situation stratégique nouvelle, où l’armée russe semble en position de force face à une armée ukrainienne à bout de souffle, qui a conduit Emmanuel Macron, « en dynamique », comme il l’a glissé, à envisager des renforts de troupes ? Une perspective réaliste face à la situation opérationnelle du moment, qualifiée de « critique » par des observateurs de terrain. « Mais ce qui peut paraître réaliste d’un strict point de vue tactique peut se révéler irréaliste d’un point de vue stratégique et diplomatique », soupire un gradé français.
Macron va nous entraîner dans ce désastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN déploiera ses unités à l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un désastre irréparable stratégiquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accès à la mer. C’est sûrement sur cet axe que Macron déploierait des troupes françaises.
En attendant, le gouvernement de Macron poursuit sa campagne d’intoxication, à la fois pour en faire le thème de sa campagne, et pour justifier l’intervention.
Hier, sa clique a organisé une grossière opération d’intoxication.
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Les Ukrainiens n’auraient jamais dû suivre la juiverie occidentale, à présent ils en paient le prix fort. Les juifs les feront tuer jusqu’au dernier avant d’envoyer d’autres goyim mourir à leur place.
L’état-major français doit contempler avec frayeur l’engrenage que Macron veut déclencher. Faire la guerre le cul assis sur le plateau de LCI c’est une chose, la faire en vrai est en une autre.
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Si l'on s'intéresse aux causes lointaines, la guerre d'Indochine n'a pas commencé en 1945, mais trois siècles plus tôt, en 1625, quand débarque au Vietnam un jésuite français, le R.P. Alexandre de Rhodes. À sa façon, cet homme remarquable est un conquérant, comme ses confrères qui entreprennent à la même époque une tâche analogue au Japon et en Chine. S'emparer des esprits n'est pas la moindre des conquêtes. Ces missionnaires s'inscrivent dans le grand mouvement d'expansion occidentale qui a commencé au siècle précédent. La propagation d'une religion radicalement étrangère à la tradition d'un pays de très ancienne civilisation, provoquera au fil du temps des réactions de défense immunitaire. Elles seront d'autant plus vives que, dans le sillage des missionnaires, accostent des commerçants aux dents longues, des marins et des soldats. En dehors d'exceptions, les colonisateurs sont aussi universalistes dans leurs desseins que les Américains d'aujourd'hui, convaincus qu'ils sont d'apporter “la civilisation et le progrès” pour le bien de tous. Ainsi débute l'histoire équivoque de la colonisation qui, pour l'Indochine, ne devient effective qu'à partir de 1858.
Après coup, quand viendra l'énorme lame de fond du reflux européen, il sera facile de juger le passé avec sévérité et de se livrer aux délices de l'auto-culpabilisation. L'anticolonialisme dressera le tableau le plus noir du passé, provoquant des ripostes qui flatteront les réussites en masquant les ombres. Polémiques stériles. En Indochine et ailleurs, l'aventure coloniale de la France n'avait été qu'un moment particulier du grand mouvement d'expansion qui jeta les Européens sur toutes les routes du monde, véritable mouvement tellurique, au même titre que les grandes invasions, les changements climatiques ou les effets des révolutions techniques. La faiblesse attire la force comme le vide attire le plein, et personne n'y peut rien.
Au XIXe siècle, face à l'envahissante supériorité technique et matérielle de l'Europe et des États-Unis, si elles voulaient survivre sans être dominées, les autres nations, notamment en Asie, étaient contraintes de s'occidentaliser, donc de se renier. Défi gigantesque et souvent mortel auquel le Japon a été le seul à répondre par ses propres moyens. Ce fut une formidable révolution que celle de l'ère Meiji, conduite par la caste militaire des samouraïs, mais révolution réussie puisqu'elle est parvenue à préserver une part réelle de la tradition japonaise au sein de la modernité. L'Inde constitue un cas à part dans la mesure où la colonisation britannique, n'ayant pas eu un effet de “table rase”, a laissé subsister une part notable de la tradition hindoue enracinée dans le système des castes. Pour la Chine et le Vietnam, il n'en fut pas de même. La modernité leur fut imposée de l'extérieur, par l'adoption de systèmes spirituels étrangers, destructeurs de leur tradition spécifique. En Chine, ce fut le rôle du communisme, système mental et social issu des pathologies européennes. Quant au Vietnam, il subit d'abord l'acculturation de la colonisation française, et fut laminé ensuite, comme la Chine, par le communisme qui sut exploiter à son profit un puissant éveil nationaliste.
Après 1945, le reflux fut plus ou moins intelligemment conduit. Les Britanniques, dont l'empire était beaucoup plus vaste que celui de la France, ont su réaliser leur retrait le moins mal possible pour eux-mêmes. On ne peut en dire autant des Français. Au Vietnam, l'aveuglement de tous les gouvernements, depuis 1945, a conduit à une guerre cruelle que le pouvoir politique refusait d'assumer tout en s'y soumettant. Ne furent grands que les combattants. Alors que la société politique de l'époque n'inspire que mépris et dégoût, les soldats furent souvent admirables. C'est en eux que se maintenait l'âme d'un pays veule et assoupi.
Dans les derniers jours de la bataille de Dien Bien Phu, alors que tout était perdu, 1.520 volontaires dont 680 non parachutistes se présentèrent pour sauter dans la fournaise. Parmi eux, des plantons et des secrétaires. Pourquoi ont-ils fait cela ? Pour les copains, par enthousiasme sacrificiel, par une sorte d'espérance tragique. Dans les heures noires comme dans les autres, souvenez-vous de ceux-là. Ils incitent à se tenir debout.
Dominique Venner
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jloisse · 1 year
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🔴 USA 🇺🇸 Afganistan 🇦🇫
Les talibans ont publié une vidéo avec du matériel militaire abandonné par les américains.
Au total, le Pentagone n'a pas été en mesure de retirer des armes et des équipements d'une valeur de 60 milliards de dollars.
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loickbvr · 9 months
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Debout tous (txt 2011)
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On reproche souvent aux Français leur arrogance, leur prétention, leur chauvinisme, et Napoléon en serait la cause.
Sous la Révolution, il fut l’antidote de l’anarchie. Sous le Consulat et le Premier Empire, il devint le génie civil et militaire. Il avait cette noble ambition d’apporter l’espoir, la réussite, l’honneur et l’amour de la patrie. Sous son impulsion, le peuple retrouva vertus antiques, et franchit les limites du possible et de la gloire. De là, est né ce sentiment d’invincibilité...
Or, Napoléon ne fut que de passage, un soldat parvenu. Il savait qu’il ne pouvait garder sa constance indéfiniment et que l’Empire ne survivrait pas aux coalitions successives et déloyales. Depuis sa défaite de Waterloo et son abdication en 1815, la France est orpheline. Elle abdique à son tour, et son peuple se condamne à mourir en silence. La perfide Albion avait réussi sa revanche sur la guerre de cent ans au prix d’un endettement colossal. L’ère de la domination anglo-saxonne débutait. La société post-empire allait se soumettre à leur système commercial, se formater à sa langue et en devenir consommatrice.
L’héritage matériel
Il reste une architecture civile et militaire : Le code civil, le code pénal, le code du commerce, la cour des comptes, le lycée, le baccalauréat, l’université, l’école spéciale militaire de Saint-Cyr, la Légion d’honneur, la banque de France, les prud’hommes, les grands monuments tel l’Arc de triomphe de l'étoile, puis il y a l’art avec ses tableaux, manuscrits et armes que les collectionneurs s’arrachent.
L’héritage spirituel
La société du Premier Empire était héritière des Vercingétorix, Charles Martel, Roland, Du Guesclin, Jeanne d’Arc et soldats révolutionnaires, toujours à se lever face à l‘oppression et à défendre avec honneur les intérêts d’une nation libre et indépendante. Mais les guerres du XXe siècle aux folies destructrices ont fini par raréfier la descendance et ont apporté des conséquences désastreuses. Beaucoup de familles n’ont pu recevoir le savoir de leurs aïeux et subissent des traumatismes inavoués. Elles se résignent, perdant l’honneur et la volonté de résister. Certaines finissent par brader leur héritage pour un besoin financier.
Et il y a ces arrogants, prétentieux et chauvins... ces grognards, rescapés de ce déclin, qui gardent au fond de leur esprit la flamme d’espoir, cette empreinte de la glorieuse Histoire de leurs ancêtres. Ils la recherchent, la retrouvent puis la relatent, d’autres la jouent et se prennent pour les héros le temps d‘une reconstitution de bataille. Ce n’est pourtant qu’une illusion, un souvenir, un sentiment nostalgique, une réaction qui n’est, en réalité, que l’ultime souffle avant l’extinction.
Le changement
N’avez-vous point remarqué que vous ne savez que peu de choses sur vos ancêtres ? N’avez-vous point remarqué que des familles se désunissent ? N’avez-vous point remarqué les dérives de l’enseignement et de l’éducation ? N’avez-vous point remarqué le désintérêt pour l’Histoire et la suppression de certaines périodes d’histoire de France du programme scolaire ? N’avez-vous point remarqué la modification de la langue française ? N’avez-vous point remarqué que la France n’a plus son indépendance et sa liberté, qu’elle se met aux crochets d’un nouveau système ?
L’arrivée en masse de communautés étrangères est la volonté des colons modernes, une nouvelle forme d’esclavage à moindre coût pour répondre à l’hyperconsommation. Ces communautés pourraient s’intégrer à notre héritage matériel ou pas, mais il est certain qu’elles ne se lieront pas à notre héritage spirituel, puisqu’un arbre ne peut renier ses racines. Les tronçonneuses républicanistes couperont jusqu’à la guerre civile et la société uniforme sans frontière prendra place.
Que feront les héritiers ?
Résister et s’installer dans des réserves ou accepter de se fondre dans la masse. La démocratie est cruelle, puisque c’est le plus grand nombre qui assoit sa domination. Les paroles prophétiques de Napoléon se réaliseraient-elles ?
“Vivez avec les idées de votre siècle. Vivez pour elles, elles vous entraînent ; vivez contre elles, elles vous renversent”.
Le destin de la “société nation” serait donc d’accepter de disparaître au profit d’une société apatride, ou cosmopolite, ou de consommation, ou individualiste ou peut-être le tout à la fois. À moins qu’un miracle ne se produise, qu’un chef, resté jusqu’à présent observateur, apparaisse et intervienne pour la renaissance.
Que peut-on transmettre aux générations issues de l’ancienne France qui avancent dans ces méandres avec insouciance, rébellion et sans boussole ? Elles ne survivront que si elles retrouvent leurs racines… leur passé, leur origine, leurs vertus antiques, leur terre natale. Elles doivent être attachées aux institutions et coutumes de leurs ancêtres pour qu’elles soient dignes et garantes de leur avenir.
L’heure n’est plus à l’observation et au silence, mais à la parole et à l’action. Fidèles de la nation libre et indépendante, réveillez-vous de votre léthargie, renaissez de vos cendres et soyez debout ! Soyez comme ces arbres millénaires qui ont connu bien des tempêtes, ils restent debout grâce à leurs racines.
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neverfadeaway-rpg · 1 year
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▬ les corporations de Night City ▬
Considérant le grand nombre de gangs et de corporations, nous en avons défini des majeur·e·s et des mineur·e·s. C'est dans un souci de clarté que nous avons fait ces choix, notamment pour celleux qui ne connaissent pas l'univers, mais nous vous invitons à tout considérer si vous vous sentez à l'aise. Les choix se sont basés sur l'importance dans le jeu et dans le lore de chaque groupuscule.
Pour le contenu teasé ici, nous avons évidemment essayé de condenser un peu, mais si vous avez une question, sentez vous libres de nous la poser !
Pour finir, pour ce qui est des gangs, nous aimerions pouvoir mettre en place un procédé de création par les membres pour avoir des gangs uniques au forum, une fois ce dernier ouvert... Stay tuned pour ça !
CORPORATIONS MAJEURES ▬
ARASAKA ; corporation japonaise longtemps exclue de Night City malgré un rayonnement mondial important ; versée dans la sécurité, la finance et la manufacture en cybernétique et l'armement. MILITECH ; corporation très attachée au gouvernement des NUSA, elle se démarque dans la fabrication d'armes avec un rayonnement mondial, mais aussi dans l'offre de forces militaires privées. KANG-TAO ; compagnie chinoise plutôt récente par rapport à d'autres, elle s'est fait connaître pour ses nombreux vols industriels et la création d'une technologie d'armes intelligentes. ORBITAL AIR ; entreprise portée sur l'espace, ayant un monopole dans le transport et la maintenance des stations orbitales, en plus d'avoir des centres de recherche de pointe sur Terre. BIOTECHNICA ; corporation spécialisée dans tout ce qui touche la biologie ; elle est présente autant sur le domaine alimentaire que la conception d'organes cybernétiques, en passant par la cosmétique ou le tabac. TRAUMA TEAM ; service de choix quand il est question de médical, cette corporation est reconnue autant pour ses services que ses hôpitaux, s'illustrant comme la fournisseuse majoritaire de soins aux NUSA. N54 NEWS ; corporation possédant un quasi-monopole de la télévision sur le sol américain et du divertissement en général, avec des services diversifiés dans les labels de musique et dans la braindance.
CORPORATIONS MINEURES ▬
NIGHT CORP ; Corporation unique à Night City, très dirigée vers l'infrastructure de la ville, elle est également engagée dans l'écologie et les bourses d'étude. KIROSHI OPTICALS ; corporation spécialisée dans la technologie de pointe, notamment dans la fabrication et conception d'implants optiques. KENDACHI ; versée dans l'armement, cette corporation se penche sur la manufacture de gammes d'armes high-tech. ZETATECH ; entreprise spécialisée dans la production avionique avec les aérodynes et autres cargos, son marché s'articule aussi autour de la production de matériel informatique. PETROCHEM ; industrie basée sur l'industrie pétrochimique, avec des recherches sur les huiles et énergies fossiles.
Voici pour la première annexe dévoilée, tournée autour de quelques corporations que l'on peut trouver au sein de Night City. N'hésitez surtout pas si vous avez des questions, notre ASK est ouvert, et vous pouvez également nous retrouver sur notre discord !
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carreimperial · 9 months
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Les chevaux en Russie (1812) Partie 1
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Sans trop aller dans la sociologie, il y a des similitudes entre le comportement des suiveurs de matchs sportifs et les suiveurs de documentaires napoléoniens agréés par la papauté tulardienne.
En effet, il est commun d’aimer le "spectacle", et on retiendra facilement la finale, les actions offensives, les "buts" et les marqueurs. Il n’y a qu’à voir, par exemple, à quel poste "jouent" les derniers vainqueurs du "ballon d’or".
Dans les campagnes militaires, on retient aussi tout ce qui est spectaculaire, on se focalise sur les batailles, les charges de cavalerie, car ce sont elles qui captivent, culbutent les défenses adverses et annoncent la victoire finale. Voici donc les visiteurs venus contempler les héros placés au centre des immenses tableaux, mais aucun ne s’interrogera sur les moyens techniques utilisés par l’artiste.
Loin d’être sous les feux des "projecteurs", des milliers de cavaliers eurent des missions vitales comme, par exemple, transmettre les courriers sur la ligne opérationnelle… Également, la logistique et son grand nombre de chevaux de trait indispensables pour tracter les centaines de canons, les milliers de caissons contenant trésors, imprimeries, armes, munitions, matériels divers, vivres, habits, et bagages.
Chevaux en juin 1812
L’organisation de l'Armée sous le commandement de Napoléon est bien faite. Il y a des rapports, matin et soir, des effectifs présents et absents. Le nombre précis de cavaliers dans chaque corps de cavalerie avant chaque "départ" est donc consultable au Service Historique de la Défense (SHD), à moins que… ["Les rapports ont étrangement disparu, Monsieur" (Vous êtes trop curieux, Monsieur)].
En revanche, il est difficile d’évaluer le nombre de chevaux de selle à un instant t, car les officiers pouvaient avoir entre 1 à 18 chevaux chacun, suivant leur grade ou leur fonction. Le SHD indique environ 107 000 chevaux de selle en juin 1812. La proportion approximée cheval/homme est d’un cheval pour quatre hommes.
Le nombre de chevaux de trait est également difficile à évaluer, cela varie entre 1, 2, 4 et 6 chevaux pour chaque caisson, canon, et voiture, suivant leur poids. Le SHD indique 49 816 chevaux de trait en juin 1812.
On remarque que, durant les campagnes, rien n’est laissé au hasard sur le nombre des effectifs. Il y a un équilibre des forces et une règle des pourcentages ou proportionnalité. Par exemple, les chevaux de trait représentent un peu moins de la moitié des chevaux de selle (45%), et il faut un peu plus de la moitié (55%) de ces chevaux de trait pour l’artillerie, 27 300 chevaux.
Chevaux à Moscou
Le 29e bulletin de la Grande Armée du 3 décembre 1812 indique une perte de plus de 30 000 chevaux en peu de jours, avec un pic entre le 14 et le 16 novembre. Cependant, cela n’a pas empêché d’avancer, de faire un combat et une bataille quelques jours après, puis de semer les armées russes à la Bérézina, ce qui veut dire qu’il restait un nombre suffisant de chevaux – sans, toute l’armée française aurait été prisonnière.
Essayons de trouver un nombre approximatif de chevaux durant le début du repli Moscou-Smolensk. À Moscou, au 18 octobre 1812, l’addition des effectifs des cavaliers des corps de cavalerie et de la Garde impériale correspond à 10 300 hommes. L’effectif de l’armée combattante correspond à 105 000 hommes, mais si on ajoute la gendarmerie, le quartier général, les grands parcs d’artillerie et du génie, les équipages, les ambulances, on atteint au total 116 000 hommes.
Si on respecte la règle du pourcentage 1/4, on peut estimer au minimum 29 000 chevaux, ce qui correspondrait à 20 000 chevaux de selle + 9 000 chevaux de trait, dont 5 000 pour l’artillerie.
Cependant, l’addition des bouches à feu (569) et des caissons d’artillerie (2070), début octobre, est de 2639, un nombre qui semble trop important pour l’équilibre du mouvement des forces. Admettons que l’on puisse les tracter par la moyenne de 3 chevaux, cela ferait 7 917. Ces 7 917 d’artillerie par 100/55 donneraient un total de 14 394 chevaux de trait. Additionnés aux 20 000 chevaux de selle, cela donne au maximum 35 000, un nombre plausible, compte tenu de la perte annoncée.
À Moscou, il y avait aussi 4 000 cavaliers démontés, non pas du manque de chevaux, nous l’avons constaté précédemment, mais du fait que leurs chevaux pouvaient être plus utiles ailleurs, par exemple, pour tracter les caissons civils supplémentaires ou comme réserve en cas de pertes imprévues.
Cause des pertes
La cavalerie des corps d’armée revenant de Moscou était encore très belle au 6 novembre 1812. Le temps passa du soleil aux nuages gris avec vent du nord, les premiers flocons commencèrent à recouvrir les chemins, puis la température chuta un peu jusqu’à -10 degrés la nuit. Rien de dramatique, mais pour atteindre la garnison de Smolensk, il restait encore deux à trois jours de marche pour l’avant-garde (Ve et VIIIe corps d’armée), quatre à cinq jours pour l’arrière-garde (Ier et IIIe corps d’armée), 7 jours pour le IVe corps d’armée du vice-roi Eugène…
Le verglas ralentissait l’allure, fatiguait, blessait et plusieurs centaines de chevaux mourraient chaque nuit au bivouac. Il semble que des cavaliers inexpérimentés avaient persisté dans leur indiscipline et avaient négligé de ferrer à glace les sabots de leurs chevaux, ce qui est la base dans cette situation.
Aussi, la logistique manquait de traîneaux pour tirer les canons et les caissons de munitions, de vivres et d’effets personnels. La perte générale des chevaux n’était pas due au froid, contrairement à ce que colportent les bavards des salons parisiens, mais aux marches successives et au peu de fourrage et d’avoine à certains endroits. Le cheval résiste très bien au bivouac et au froid glacial à condition qu’il soit bien nourri.
Constatons, aussi, que durant un repli, les pertes à un endroit de la marche ne sont pas des pertes définitives. À l’arrivée dans une garnison, il y a un dépôt de cavalerie qui recompléte les unités. Il y a également quelques combats et escarmouches qui permettent de récupérer des chevaux et des caissons…
Smolensk
Le séjour à Smolensk du 8 au 16 novembre était salutaire pour tous, l’essentiel était de reposer les chevaux, de recompléter la cavalerie grâce aux dépôts, et d’approvisionner en fourrage.
Aussi, Napoléon en profita pour réorganiser les troupes, en particulier la cavalerie : ordre de créer un corps actif de 6000 cavaliers en réunissant la cavalerie des cinq corps d’armée présents à Smolensk, et qui serait chargé de la protection des cantonnements d’hiver - Et oui, à ce moment-là, il était encore possible d’installer les quartiers d’hiver en Biélorussie, entre Vitebsk et Mohilof.
En plus, 5000 chevaux de Pologne étaient en partance pour Smolensk, et 30000 chevaux avaient été commandés au ministre des Relations extérieures Hugues-Bernard Maret, duc de Bassano.
Étranges imprévus
Malheureusement, des imprévus « étranges » arrivèrent au même moment :
Le ministre Maret, à Vilna, avait tardé à faire les commandes de chevaux – 1 mois – irréparable.
Échecs des VIe, IIe et IXe corps d’armée (maréchaux Gouvion Saint-Cyr, Oudinot et Victor), chargés de protéger le nord de la ligne opérationnelle, perte des villes de Polotsk et de Vitebsk avec dépôts et combat perdu à Czasniki… La victoire française était pourtant indubitable, au moins de rejeter l’armée russe de Wittgenstein au delà du fleuve Dvina.
La ville de Minsk – avec dépôts et 2 millions de rations – était menacée. Les VIIe et XIIe corps d’armée (généraux Reynier et Schwarzenberg) chargés de protéger le sud de la ligne opérationnelle, étaient comme par hasard absents à plusieurs jours de marche.
Perte du dépôt de cavalerie de Gorki.
à suivre...
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kalyria1674-blog · 1 year
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L'Oppression de l'Empire Eldien face à la propagande Mahr
En général, quand je parle de l'oppression eldienne de jadis que les Mahr utilisent comme justification pour leurs actes actuels, je prends toujours garde à utiliser des termes comme ''prétendument'', ''probablement'', ''potentiellement'' ou ''possiblement''. Non pas parce que je suis assez naïve pour penser une seule seconde que les eldiens de l'époque étaient de pauvres victimes innocentes mais bien car tout les récits que nous avons de l'époque viennent de la propagande Mahr, ce qui me pousse à prendre cette déclaration avec beaucoup de pincettes.
Je l'ai déjà expliqué dans un post précédent mais, pour moi, cette idée d'Eldia comme force oppressive est à prendre de façon réaliste mais très circonstancielle. Ce n'était pas la même chose à toutes les époques et devaient répondre à des évolutions économique, politique et idéologique. De même, je doute que ça ait été le monde entier en même temps mais plus probablement certaines régions de temps à autres, au gré des rebellions, luttes de pouvoir, extensions territoriales ou tensions diverses et variées surtout aux lieux (comme les frontières) intéressant personnellement les Fritz.
Certaines nations ont sans aucun doute été annexées de force, que ce soit par la guerre, le sabotage ou l'exploitation du manque d'éducation. Peut-être était-ce même là la politique d'action majoritaire. Mais peut-être que ce n'était pas le cas, peut-être que certaines ont rejoints de leur plein grés pour obtenir une stabilité économique, un soutien politique, un enrichissement culturel, une amélioration technologique... etc.
Au final, le manga ne nous le dit pas. Personnellement, je crois que c'était les deux à la fois selon la nation visée et les circonstances derrière l'annexion. Je pense aussi que, quand c'était possible, les eldiens d'autrefois ont procédés à des annexions pacifiques. Ou plutôt, j'ai beaucoup de mal à imaginer une sorte d'empire maléfique qui userait de destruction comme premier recours et s'en délecterait.
Parce que, quand on y réfléchit, c'est complètement stupide.
Non pas par égard pour leurs voisins qui étaient certainement vu comme des ''sous-citoyens'' comparés aux eldiens dit ''Purs'' (à ne pas confondre avec le Peuple d'Ymir bien que j'en parle plus bas), ce qui fait que le sort de leur peuple doit désormais paraître délicieusement ironique pour les autres nations, mais pace qu'une guerre coûte cher en argent, en hommes et en ressources matérielles en plus de détruire le territoire adverse et compliquant son exploitation ultérieure. Surtout avec la nécessité de déployer des forces militaires sur une longue période de temps pour favoriser l'assimilation culturelle, la pacification de la population (ou, avec de moins jolis mots : empêcher toute organisation rebelle de voir le jour) et la redéfinition des nouvelles frontières. Pas quelque chose que l'on voudrait faire à la légère, donc... encore moins de façons répétées et systématiques.
Cela n'excuse rien. Et cela ne le fera jamais. Car, toujours en prenant ce point de vu plus réaliste, il est indéniable que l'empire Eldien n'a pas survécu aussi longtemps en hésitant à recourir à la force et puisqu'ils prennent leurs racines tant chéries (avec Ymir) dans l'esclavagisme, à la fois pour des raisons culturelle et économique, je ne serais pas surprise d'apprendre que celui-ci était toujours pratiqué dans leur société. Bien que ce ne soit qu'une possibilité. Mais, pour citer Kruger, si des purges ethniques implacables avait été menés par les anciens eldiens pendant près de 1 800 ans, il ne resterait plus la moindre trace d'un autre peuple qu'eux.
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Et c'est sans parler de la façon dont les nobles eldiens ne peuvent être contrôler par l'Originel, sous-entendant l'existence possible d'une caste eldienne supérieure (il est mentionné qu'ils étaient déjà nobles à l'époque où Karl Reiss, ne pouvant effacer leur mémoire, leur a octroyer des avantages supplémentaires contre leur silence) qui était eldienne sans faire partie du peuple d'Ymir (qui était donc une minorité - sociale ou chiffrée - d'une minorité... wow !) et qu'ils nommaient si charitablement ''sang d'esclave'', complexifiant davantage encore une situation déjà très incertaine.
EDIT : En fait, il semble que le manga confirme ce que je pensais n'être qu'une hypothèse hasardeuse de ma part. Comme quoi la relecture est toujours utile :
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C'est au chapitre 89 page 26 pour les curieux.
Un autre point que j'aimerais faire remarquer, c'est l'usage du mot ''frange'' dans cette traduction. Je ne sais pas si c'est pour le style ou non-intentionnel mais, dans la langue française, je tiens à rappeler que ce mot désigne ''une minorité d'une population plus ou moins marginalisée''.
Donc oui, à coup sûr, la situation est beaucoup plus compliqué que ''les eldiens ont jadis asservit le monde et maintenant, le monde se venge''. D'autant qu'avec tout au plus 9 Primordiaux et la nécessité de la présence de l'Originel pour user des Purs au combat, j'aimerais bien voir comment le Peuple d'Ymir a pu remporter la victoire guerrière (s'ils l'ont fait) sur des peuples usant de montures de guerres comme des éléphants. A méditer...
Voilà pourquoi je pense que cette oppression existait certainement (parce que c'est dans la nature humaine de vouloir marcher sur autrui pour se sentir supérieur) mais pas au niveau génocidaire que les Mahr le prétendent... et ont plus tard adopté eux-mêmes tout en refusant de reconnaître leur hypocrisie à ce sujet.
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lemondeabicyclette · 2 years
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L’affrontement Occident/reste du monde, est-il une guerre mondiale hybride ?
Les Soviétiques sont les concepteurs de ce que l’on appelle « l’art opératif » qui est un corps de doctrine stratégique qu’il serait trop long (et difficile pour l’auteur, lui-même profane) d’exposer ici. On se contentera d’une définition lapidaire : l’objectif d’une guerre nous a expliqué Clausewitz est d’atteindre des buts politiques, et par conséquent l’objectif final des opérations militaro-économiques doit être non pas la neutralisation d’une armée, mais celle d’un système dont cette armée est l’outil.
Alors, la vraie question à laquelle il faut répondre est celle-ci : quel est, pour Moscou, le conflit dans lequel s’inscrit la guerre en Ukraine, et quels sont les objectifs politiques de la Russie ? Nous avons dit dans ces colonnes à plusieurs reprises, notre opinion sur ce qui s’était déclenché le 24 février 2022, c’est-à-dire un affrontement entre l’Occident et le reste du monde.
Tous les événements qui se sont déroulés depuis cette date trouvent à s’articuler avec cette dimension stratégique. L’invasion russe, la riposte des occidentaux avec leur train de sanctions économiques absurdes et suicidaires pour l’UE, la transformation de l’Ukraine en tonneau des Danaïdes qui engloutit matériel militaire et milliards de dollars, les recompositions internationales, les transformations financières, l’utilisation par la Russie de la crise énergétique, toutes choses qui renvoient à une guerre mondiale hybride.
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Le 24 juin 2022 s’est tenu un sommet des BRICS où Vladimir Poutine fut là aussi, et ostensiblement, chaleureusement traité par les autres membres. Y compris le Brésil de Bolsonaro, qui sera d’ailleurs peut-être bientôt remplacé par Lula, explicitement antiaméricain, à l’occasion de la présidentielle brésilienne du mois d’octobre.
Cette organisation qui rassemble des pays représentant actuellement 42% de la population mondiale a fermement réitéré son refus du monde unipolaire voulu par les États-Unis soutenus par l’UE.
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Depuis cette date, le Mexique, l’Argentine, l’Iran, l’Algérie, la Turquie, l’Égypte, et l’Arabie saoudite, et la Corée du Sud ont manifesté leur volonté d’adhésion au BRICS.
Napoléon disait : « N’interrompez jamais un ennemi qui est en train de faire une erreur ». Les Russes connaissent assez bien Napoléon, et en ce moment l’Occident les multiplie, ces erreurs.
Les belles funérailles solennelles d’Élisabeth II, majestueuses et surannées se sont télescopées avec l’actualité du grand tremblement d’histoire que nous vivons.
On pouvait se demander si symboliquement, ce n’était pas aussi la domination séculaire de l’Occident que l’on portait en terre.
Le Nouveau Monde commencerait-il à Samarcande ?
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aurevoirmonty · 3 months
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«Nous espérons que le grand public français recevra enfin des informations véridiques sur l'ampleur réelle de l'implication de la France dans le conflit»—Zakharova
«Et prendra conscience de sa responsabilité dans la mort et les souffrances d'un nombre croissant de personnes», a insisté la porte-parole de la diplomatie russe.
La "guerre par procuration" menée par l'Occident, y compris la France, l'augmentation constante des livraisons d'armes et de matériel militaire au régime de Zelensky contredisent les déclarations sur l'importance d'établir la paix
«Elles intensifient les hostilités, entraînent de nombreuses victimes civiles et font de ce régime un complice des crimes de guerre du gouvernement de Kiev.»
Après une frappe sur un bâtiment de Kharkov (https://t.me/kompromatmedia/4790) dans lequel étaient stationnés des mercenaires étrangers - principalement des ressortissants français selon Moscou - l'ambassadeur de France, Pierre Levy, avait été convoqué par la diplomatie russe (vidéo).
Discret sur cette question, le Quai d'Orsay a simplement nié en bloc (https://www.rtl.fr/actu/international/guerre-en-ukraine-des-mercenaires-francais-sont-ils-vraiment-morts-dans-une-frappe-russe-a-kharkiv-7900343273); une position qui vise davantage à convaincre les Français qu'une Russie très au fait du jeu de Paris:
«La France ferme depuis longtemps les yeux sur le travail des agences de recrutement dans le pays, qui embauchent des mercenaires pour combattre du côté ukrainien dans le conflit.»
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raisongardee · 1 year
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L’absence de conflits armés donne à penser que nous vivons en temps de paix, et que l’expérience de la guerre nous est actuellement épargnée. Le fait d’une domination de plus en plus brutale commence cependant à écorner cette demi-vérité.
Notre manque de formation militaire est certainement en cause dans l’extrême légèreté avec laquelle nous considérons le pouvoir et les rapports de force, dont nous ne sommes capables de considérer que les manifestations les plus matérielles et tangibles. Alexis de Tocqueville avait pourtant déjà bien décrit une tyrannie qui "laisse le corps et va droit à l’âme", mais la bienveillante naïveté avec laquelle nous considérons les puissants ne nous a pas permis de prendre cette mise en garde au sérieux. Il est plus naturel d’en rester à la distinction du civil et du militaire, de la guerre et de la paix, et d’imaginer que le danger n’arrive qu’avec les chars et les barbelés. Une telle immaturité de jugement est certainement ce que nous payons aujourd’hui le plus cher.  
La complète militarisation de la vie civile est un fait qui ne résiste pourtant pas à l’examen, et l’influence que diverses formes de pouvoir cherchent délibérément à exercer sur les mœurs et mentalités est un secret de moins en moins bien gardé. Les technologies de l’information et de la communication sont de puissants moyens d’agir sur les convictions communes, à des fins de contrôle et de domination qui, tout à fait comme dans une guerre classique, servent des intérêts spécifiques. Pouvoir décider de ce qui est vu, de la façon de le voir, et des croyances ainsi partagées par le plus grand nombre, est une puissance dont il n’est pas difficile de mesurer le potentiel militaire. Entre de bonnes mains, ce type de dispositif pourrait s’appeler gouvernement, et même tradition, mais étant donné que l’argent permet seul d’acheter de tels moyens, il est inévitable qu’ils ne soient tout d’abord et principalement employés au service de leurs propriétaires.
Les faits de guerre et de domination par lesquels ces minorités peuvent prendre et conserver le pouvoir dépassent l’idée étroite que l’on se fait des actions militaires. Ainsi que le savent les plus fins stratèges, il n’existe pas de véritable frontière entre techniques militaires et techniques civiles, et "l’espace de combat se superposera de plus en plus à l’espace de non-combat, contribuant à brouiller toujours plus la ligne de démarcation entre les deux espaces. Les domaines jadis séparés communiquent désormais entre eux ; l’humanité confère à tout espace le sens d’un champ de bataille. Il suffit que sur tel espace on dispose de la capacité de lancer telle attaque avec tels moyens d’atteindre tel objectif pour que le champ de bataille soit partout." (Qiao Liang, Wang Xiangsui, La guerre hors limites, trad. Hervé Denès, 2006).
Cette guerre hors limites dans laquelle nous sommes engagés depuis déjà plusieurs décennies produit ses effets par une main de fer dans un gant de velours, c’est-à-dire avec une impitoyabilité drapée de belles promesses. La plus redoutable ruse du Diable, stratège en chef d’une invasion proprement séminale, est bien de faire croire qu’il n’existe pas. C’est également à ce titre que l’accusation de "complotisme" agit à la façon d’un système immunitaire - ou d’un véritable antivirus – se fixant systématiquement sur tout ce qui menace des convictions et façons de voir patiemment construites.
Le raffinement de plus en plus perfectionné des techniques d’influence, ainsi que l’importance cruciale des croyances de ceux que l’on cherche à dominer, obligent à abandonner les vieilles catégories du civil et du militaire. Tout ce qui permet d’atteindre un objectif de domination peut effectivement être employé dans la guerre qu’un groupe mène contre un autre, et se trouver par là-même militarisé.
Mais si l’information est un important moyen d’influence, la suggestion entraine plus irrésistiblement encore les opinions et les croyances. Décider de ce qui pourra être vu et su est un puissant instrument de contrôle, mais agir sous la surface, en décidant des façons de vivre et de sentir, porte presque le dispositif au niveau d’une possession démoniaque. Suggérer, c’est modeler les mœurs et les mentalités conformément à tous les intérêts que cette suggestion pourra servir, c’est donc aussi un instrument de guerre dont la violence n’égale que la surprenante efficacité. C’est également pour cela qu’il ne doit jamais laisser transparaitre sa dimension militaire, et inciter sans déplaire ni heurter.
Un tel conditionnement se mesure d’abord par contraste, sans lequel notre imprégnation est plus difficilement visible et ressentie. L’histoire et la connaissance de systèmes de références passés, ou lointains, permet de voir l’évidence d’une agression méthodique et constante depuis le Plan Marshall et ses outils de matraquage. Cet empire médiatique n’a évidemment aucune coloration martiale, et ne s’empare des cœurs qu’avec le gant de velours de l’émancipation et de la jouissance. Dire que la musique, le cinéma, la mode, les équipements en tout genre… sont militarisés, signifie qu’ils sont les moyens d’atteindre un objectif précis, à des fins déterminées d’avance et au profit de bénéficiaires actifs.
Le détail de ce lien organique entre le libertarisme des mœurs et le libéralisme économique, entre le mode de vie à l’américaine et les intérêts de son industrie, impliquerait des développements que les meilleurs sociologues ont déjà brillamment proposés. L’émancipation de tous les archaïsmes a été une vague libératrice dont nous ressentons à présent le creux et l’extraordinaire dangerosité. Les fondements et les normes des époques précédentes étaient des cadres structurants, des murs porteurs qu’il a pu paraître nécessaire d’abattre mais dont il est devenu cruel de manquer.
Dans un enthousiasme juvénile qu’il était certes facile de susciter au sortir de deux guerres apocalyptiques, l’attrait de plaisirs décomplexés et à portée de main ont converti toute une société à un mode de vie qui l’a aussi considérablement fragilisée, gâtée devrait-on dire, pour la priver aujourd’hui de ce qui avait pu l’aguerrir et la guider. Il est même devenu nécessaire de faire entendre que la plus petite marque de politesse, et par exemple un simple "bonjour", n’est pas une exigence abusive héritée des sociétés totalitaires… Ce déracinement, sans autre norme que celles, rutilantes et instables, de l’industrie médiatique, nous laisse démunis et sans armes dans un monde véritablement sans pitié. Privé des bases anthropologiques qui permettaient à la fois de délibérer en soi-même et de cimenter les communautés, et par un curieux renversement, l’être émancipé se retrouve lié à ses médias et sans société dans le monde. Jetés dans une modernité à laquelle nous avons été convertis par séduction, mais aussi par lassitude de pesants archaïsmes, nous avons placé notre destin entre des mains expertes dont nous ignorions la véritable intention. Maintenant, seuls et sans immunité contre des besoins et désirs suggérés par milliers, il nous faut travailler pour acheter ce dont nous avons fait dépendre notre bonheur.
Si, par le perfectionnement continu des outils de communication, la suggestion devient conditionnement et hypnose, alors les hommes se gouvernent comme des organismes aveugles et solitaires, dont les jouissances mécaniques dépendent d’impulsions qu’une immense mécanique échange contre obéissance. Lorsque ces petits plaisirs, auxquels les êtres s’attachent avec la force de l’habitude, sont devenus le but principal de l’existence, et que tout n’est par ailleurs que laideur et brutalité, il est prévisible que l’esclave se félicite de sa condition et la chérisse comme un droit et une liberté. Le gant de velours s’avère ainsi de moins en moins nécessaire pour soumettre un corps social vidé de toute capacité de résistance, et que la main de fer contraint par un curieux mélange de domination violente et de distraction permanente.
Dans un contexte aussi hostile, il est difficile de ne pas être consterné par cette persévération juvénilement pacifiste et antimilitariste, tellement rétive à toute idée de violence qu’elle se refuse de considérer celle qu’on lui fait subir. La non-violence est une chose, le refoulement des dures réalités en est une autre. Le discrédit du style militaire est d’ailleurs un fait nouveau dans l’histoire, suggérés par des maîtres assez cyniques pour se dire pacifistes.
La non-violence authentique est une capacité virile de maîtrise de soi, une attitude tellement compatible avec un esprit militaire qu’elle est habituelle chez les combattants réels. Il suffit d’observer la réaction d’un homme habitué aux situations de violence, et de la comparer à l’agressivité mal contenue d’un pacifiste convaincu…
La conscience militaire n’implique donc pas une apologie de la violence, mais ne perd pas de vue la nécessité de se garder et de se défendre. Or la guerre hors limite ne menace ni plus ni moins que notre intégrité physique et psychique, par des dispositifs civils dont le plus grand nombre ignore la dimension militaire. La militarisation des esprits, dont aucune génération n’avait connu un tel déclin, consiste finalement à renouer avec certains archaïsmes virils. La force du corps et du caractère, forgés par la discipline et l’habitude de la confrontation, permet simplement de rester en pleine possession de ses moyens. Une partie de la jeunesse ressent encore confusément cette nécessité, et garde un attrait instinctif pour les contraintes volontaires qui la protègent du confort et de toutes les facilités qui menacent de l’affaiblir. Il ne s’agit pas seulement de vigueur physique, mais aussi de stratégies de défense contre toutes les formes de violence et de suggestion. De telle stratégies impliquent un esprit exercé, ainsi que la hauteur de vue à laquelle nous portent les leçons du passé. Ce sont elles qui apprennent à placer sa joie dans l’effort, et à voir l’avenir dans la parole des anciens.  
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albad · 2 years
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🔴🔴Israël annonce avoir reçu carte blanche des États-Unis pour des frappes contre l'Iran
Selon le Premier ministre israélien Yair Lapid, la partie israélienne a reçu des États-Unis le droit à une totale liberté d'action contre l'Iran. En fait, nous parlons de l'annonce d'hostilités directes contre l'Iran. De plus, ce qui est très remarquable, Israël sera presque certainement prêt à déclencher des hostilités contre la République islamique si Téhéran s'agace contre l'Azerbaïdjan, qui est l'un des rares alliés d'Israël, puisqu'on a déjà vu le Corps des gardiens de la révolution islamique transférer du matériel militaire vers la frontière avec l'Azerbaïdjan.
On sait qu'Israël négociait activement avec les États-Unis pour obtenir un soutien en cas d'éclatement des hostilités contre l'Iran et, probablement, les négociations correspondantes pour Israël se sont terminées de manière positive.
Pour le moment, la situation à la frontière de l'Arménie, de l'Azerbaïdjan et de l'Iran reste extrêmement tendue - l'Azerbaïdjan, après une courte trêve, a repris ses frappes sur le territoire de l'Arménie, tandis que des drones iraniens ont été aperçus à 20 kilomètres de la frontière avec l'Azerbaïdjan. Selon le ministère de la Défense de la République d'Arménie, la situation à la frontière avec l'Azerbaïdjan est extrêmement grave.
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