Tumgik
#mais très belle photographie cela dit
sloubs · 2 months
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j'ai voulu regarder la passion de dodin bouffant (2023), j'ai regardé juliette binoche vider un poisson, couper des légumes, préparer une blanquette et farcir un vol-au-vent pendant 20 minutes avant de me rendre compte que vraiment les personnages parlent quasiment jamais et que le film raconte rien de spécial à part le fait de préparer à manger
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selidren · 2 months
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Hiver 1916-1917 - Champs-les-Sims
5/7
Je suis bien loin d'être une spécialiste aussi informée que Constantin, mais il me semble que les autres bustes que nous possédons sont également de la XXème dynastie. Personnellement j'ai un attrait plus particulier pour l'art de la XVIIIème et XIXème, mais je trouve cela fascinant de voir que nous avons dans notre collection des reliques datant d'une lignée de princes de sang, qui se sont autrefois passés le pouvoir de mains en mains. Bien que l'on puisse reprocher aux pharaons de la XXème l'affaiblissement progressif de l'Egypte, il y a quelque chose d'émouvant dans tous ces portraits qui reprennent le nom et la forme d'un ancêtre prestigieux. Cela me rappelle ma petite Eugénie. Le jour où Madame Eugénie nous quittera, elle sera là pour se souvenir d'elle.
Nous possédons aussi une très belle collection de vases canopes que nous exposons dans le bureau, de même que mes photographies. J'espère pouvoir un jour vous les montrer et je sais que Constantin en serait également extrêmement fier.
Transcription :
Eugénie « Tu es bien gentil d’accompagner ta vieille grand-maman à sa promenade mon garçon. Et quelle élégance, tu me rappelles ton grand-père au même âge ! »
Marc-Antoine « Votre mari, André ? »
Eugénie « Oh grand Dieu non ! Tu n’as rien pris de lui le ciel soit loué ! Non, je parlais de Maximilien. Et tu lui ressembles presque trait pour trait. Chez lui, l’élégance n’était pas qu’une question d’allure mais aussi de physionomie. Et tu as la même prestance. »
Marc-Antoine « Merci Grand-Mère, c’est gentil. Allons nous monter jusqu’à l’étang ? »
Eugénie « Non, le froid fait mal à mes vieilles articulations. Nous allons rester dans le domaine pour aujourd’hui si tu le veux bien. Cela te ferait plaisir que nous montions à l’étang un jour ? »
Marc-Antoine « Oui beaucoup ! Il y a une très belle vue sur le village de là-haut. »
Eugénie « Alors dès que le temps le permettra nous irons. Aujourd’hui, j’ai envie de venir ici. Tu sais ce qu’est cet endroit ? »
Marc-Antoine « Oui, enfin un peu. Les filles n’aiment pas venir jouer ici car elles trouvent que c’est un peu glauque. Et vous dites que des fois, les fantômes des morts sortent. C’est terrifiant je trouve. »
Eugénie « Oh ils ne peuvent pas nous faire de mal. Pas plus qu’il n’en ont fait de leur vivant pour certains, en tous cas. »
Eugénie « Je voulais venir ici avec toi, spécifiquement toi. Tu sais qui repose ici j’imagine ? »
Marc-Antoine « Oui, nos ancêtres. »
Eugénie « Exactement. Tous les Le Bris qui sont nés qui sont nés sur cette terre de la Butte aux Chênes, depuis plus de cent ans. A quelques exceptions bien sur. Il y a ton grand-père, Maximilien, dont tu tiens tellement. Il y a son frère, Matthieu, et deux de ses sœurs, Lazarine et Daphné. Mes enfants enterrés bien trop tôt. Il y a aussi feu mon mari, qui malgré ses actions détestables a eu à coeur le bien être de notre famille. Il y a aussi ses parents, Jean-Pierre et Marianne, tes arrière-arrière grand-parents, ceux qui ont rebâti sur les cendres du domaine familial. »
Marc-Antoine « Et un jour... »
Eugénie « Oui, un jour il y aura tes parents, ton oncle Adelphe, puis toi, tes enfants, et les enfants de tes enfants. Et bien sur, d’ici quelques temps, vous m’y enterrerez également. »
Marc-Antoine « Vous ne mourrez jamais Grand-Mère. Oncle Adelphe dit que vous êtes une force de la nature inébranlable et bien trop têtue pour céder aux caprices du destin. »
Eugénie « C’est adorable. Mais vois-tu, j’ai déjà enterré trop d’enfants et de petits-enfants. Je suis trop usée, mon petit. Comme beaucoup de gens de mon âge, j’aspire au repos après tant d’années de bons et loyaux services. Chaque personne enterrée ici a fait son devoir au service de cette famille. »
Marc-Antoine « Quel devoir ? J’ai des devoirs envers qui ? »
Eugénie « La famille, mon petit. Nous sommes chacun ici un individu, une pièce d’un immense ensemble que nous appelons la famille Le Bris, et durant notre vie, nous ajoutons notre pierre à l’édifice. De tous ceux qui reposent ici, je crois que c’est ton grand-père Maximilien qui le comprenait le mieux. »
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tournevole · 2 years
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Jacqueline Goddard , née Barsotti (1912-2003), était un modèle préféré de l'artiste et photographe surréaliste Man Ray à Paris dans les années 1930.
Comme Jacqueline Barsotti, elle était arrivée à Montparnasse à l'âge de 17 ans, une grande beauté aux cheveux blonds indisciplinés. Elle fréquente bientôt La Coupole et d'autres réparations des artistes à la mode de l'époque. De nombreuses années plus tard, alors qu'elle a vécu sur l'île de Wight, elle a écrit un mémoire personnel dans lequel elle a rappelé ses expériences et a offert quelques observations piquantes sur les personnalités qu'elle avait appris à connaître.
Elle rencontre Giacometti, Picasso ("le plus grand génie, sans aucun doute, avec une production colossale, mais de mauvaises manières"), Derain et Matisse. Elle devient le modèle préféré du peintre Foujita qui, lorsqu'ils se promènent ensemble dans les rues de Paris, "aime entendre son nom murmuré par les passants".
Elle a aussi rencontré des écrivains. Une fois, elle a dansé avec Somerset Maugham, qui lui a dit qu'elle était la plus belle femme qu'il n'avait jamais connue. Simenon, qu'elle n'aimait pas, « se vantait d'avoir, à 30 ans, écrit plus que Balzac ». "Plus tard dans sa vie", a ajouté Jacqueline Barsotti, "il a affirmé avoir eu des milliers de maîtresses, mais je ne l'ai jamais vu avec quelqu'un d'autre que sa femme." Il devait utiliser Jacqueline comme personnage dans l'un de ses romans.
Jacqueline Barsotti est devenue une amie proche de Man Ray, et de son ancienne maîtresse, Kiki de Montparnasse . De Man Ray, elle a rapporté : « Il n'était pas beau, son nez n'avait pas d'opinion et allait partout. Il semblait toujours méditer et avait rarement le cœur léger. C'était bien dommage qu'il ne souriait pas beaucoup. Son petit sourire l'a complètement changé. Kiki, sans maquillage, "ressemblait à une patate".
Une autre des maîtresses de Man Ray était le photographe américain Lee Miller . Le soir où Lee Miller a quitté Man Ray, Jacqueline Barsotti a marché avec lui sous la pluie à travers le cimetière du Montparnasse avant de retourner à son atelier, où il a disposé une table avec une bouteille de poison, un fusil et une corde. Puis, alors que Man Ray était assis à table, Jacqueline elle-même a pris la photo de l'artiste envisageant de se suicider.
Lorsque Man Ray lui présente un livre de ses photographies, il propose l'inscription « À la plus belle fille que j'aie jamais photographiée » ; elle a hésité. Alors il a recommandé : « Au seul avec qui je n'ai pas couché » ; Jacqueline Barsotti a déclaré que cela compromettrait ses autres modèles. De même, elle a rejeté "Au plus inspirant" comme "un compliment pour moi, mais grossier envers les autres". Au final, il a dû se contenter de "Avec tout mon amour, Man Ray".
Elle a insisté sur le fait qu'elle et Man Ray n'avaient jamais été amants : « Il avait 50 ans alors que j'en avais à peine 17. J'étais grande, il était petit. J'étais censé être très agréable à regarder, il ne l'était pas. Après sa mort, Juliette, l'épouse de Man Ray, a offert à Jacqueline une lithographie de son autoportrait, en y inscrivant «À Jacqueline qui n'a pas fait».
Jacqueline Marthe Barsotti est née le 13 novembre 1911 d'une mère française et d'un père italien, sculpteur prolifique. Sa petite enfance se passe à Paris, où son père avait un atelier ; un voisin voisin et ami de la famille était Henri « Le Douanier » Rousseau. De son propre aveu, elle était une enfant difficile : « Je n'étais pas populaire alors, je suis devenu impossible, et je le suis resté », écrit-elle dans sa vieillesse.
Après l'Armistice, elle part avec son père vivre près de Carrare en Italie. Les illustrations de son édition de La Divine Comédie lui donnaient des cauchemars. Sa mère a été persuadée de rejoindre la famille, mais elle détestait l'Italie et s'est mise à boire, et presque immédiatement après son arrivée, Jacqueline a été envoyée au Collège Giuseppine à Pise. Ici, elle a soulagé sa frustration en crachant sur ses camarades de jeu depuis le toit de l'école. Elle se sentait rejetée par ses parents et détestait son père, à qui elle volait de l'argent : « Complètement honnête avec les étrangers, j'étais totalement sans scrupule avec ma propre famille », se souvient-elle.
Ayant montré beaucoup de promesses initiales à l'école, elle a abandonné le travail et s'est mise à devenir « ingérable » ; désespérées, les religieuses lui demandent de partir. Jacqueline s'occupe maintenant d'apprendre à conduire une moto Harley Davidson sans les mains, tout en tournant sur la selle. Elle est sortie faire des tours avec des pilotes de course. Elle est allée danser. Détectant un nouveau climat d'anticonformisme, elle "sentait que les femmes audacieuses avaient beaucoup à dire et à faire", et devenait "assez indifférente aux opinions des autres".
Lorsque Jacqueline Barsotti avait 17 ans, la famille est revenue à Paris, où son père est décédé peu de temps après. Son entrée dans le monde artistique s'est faite lorsqu'un sculpteur argentin lui a demandé de poser pour une tête, et ce fut la libération qu'attendait Jacqueline : « J'ai remplacé ma famille plutôt désastreuse par les personnalités les plus brillantes du siècle. La plupart des artistes avec qui elle fréquentait étaient dans la cinquantaine, et pour la première fois de sa vie, dit-elle, personne ne s'est moqué d'elle : « Les bohémiens de l'époque étaient bien plus bourgeois que n' importe quelle classe de personnes que je connais. avait connu jusqu'à présent. Mais ils étaient amusants.Elle a cependant entretenu une relation longue et souvent volatile avec le peintre Mayo.
Pour subvenir à ses besoins, Jacqueline Barsotti se faisait poser pour un portrait lorsqu'un de ses amis riches voulait ajouter un artiste célèbre à sa collection ; elle achèterait alors celui le tableau et le revendrait à son amie avec profit - mais à un prix inférieur à qui aurait été demandé par une galerie.
Elle a également suivi un cours de soins esthétiques à l'école d' Helena Rubinstein du Faubourg St Honoré. (Ayant été présenté à Mlle Rubinstein, Jacqueline Barsotti a conclu qu'"elle était frappante, mais pas la grande beauté qu'elle s'imaginait être".)
Jacqueline Barsotti est discrètement sortie de l'histoire culturelle en 1938, lorsqu'elle a épousé un major de l'Artillerie royale, Creed Creed-Miles, qu'elle a rencontré à Grande Canarie ; il avait été l'un des principaux jockeys amateurs et, à Cambridge, il avait possédé six chevaux de course. Le mariage a été dissous en 1946, et elle a épousé en second lieu, en 1949, Ivor Goddard, un photographe sur l'île de Wight, où elle a vécu jusqu'à sa mort le 17 juillet, ne perdant jamais son accent français .
(via le Telegraph :  http://www.telegraph.co.uk/news/obituaries/1437032/Jacqueline-Goddard.html )
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alexisgeorge24 · 8 months
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7 septembre :
Visite de Trondheim, où St Olav est le saint patron de la ville, un peu comme St Denis pour Paris. Une grande, belle et moderne (suites aux nombreuses restaurations) cathédrale en son adoration domine la ville. Par ordre de priorité: on fait une lessive, on visite cathédrale et château, puis le quartier historique à moitié sur pilotis. En continuant vers le Nord on visite des gravures sur roches de rennes d'il y a 6000 ans. On bivouaquera dans un parc en abritant d'autres.
8 septembre :
Petite ballades dans le parc pour apercevoir ces gravures: renne, ours, homme sur ski, oie.
Puis route vers le NNNord, avec 3 N majuscule. On passe le parallèle 66°33 (a.k.a. cercle polaire arctique) à bord d'un ferry symbolisé par un globe qu'on aperçoit sur terre. Au désembarquement (débarquement ?) il pleut et nous dînons sur une aire de jeu avec table pique-nique à l'abris. Nous dormirons dans la voiture, allongés cette fois, après avoir baissé les sièges arrière. Mais avant cela, on regarde sur le portable le match d'ouverture de la coupe du monde de rugby: France - Nouvelle Zélande, avec des bières. On dormira bien après la victoire des bleus.
Journée un peu gâchée par la pluie qui nous cachera les beaux paysages qu'on était sensé voir en longeant la côte.
9 septembre :
La météo est toujours médiocre et les paysages toujours cachés. On s'approche néanmoins du glacier Svartisen pour apprécier des langues de glaces sur fond gris.
L'après-midi la météo change et laisse place au soleil. On monte sur un pont au sud de Bødo pour observer le Saltstraumen, un phénomène générant des tourbillons marins "géants" (les plus importants au monde dit-on) suite aux remplissages et vidages d'un fjord pendant les marées à un passage étroit. Je révise par la même occasion mes cours de mécanique des fluide.
Pour finir la journée, Micha a repéré une double plage rattachant une presqu'île sur le continent et nous nous y dirigeons. Apres 1h30 de marche pour 2km à vol d'oiseau, on accède finalement aux Bahamas et on n'y pique même une tête. Compte tenu de la latitude, l'eau est chaude: 11°. Bien plus chaude en tout cas que les lacs de glaciers. Évidemment on est seuls. On dormira au parking accédant à cette plage avec une belle vue sur la côte, les îles et plages environnantes.
10 septembre :
Belle météo prévue, mauvaise météo subit. C'est ainsi qu'on se retrouve après 750m d+ sur un sommet, le Steigtind, dans la purée de pois. Mais au moins nous apercevront des rennes et Micha ramassera 3kg de champignons. L'après-midi ne restera pas gravé dans les annales puisque nous faisons de la route touristique jusqu'à la presqu'île de Kjerringøy sous un ciel gris épais. J'y ferai une sieste pendant que Micha part photographier un phoque aperçu dans l'eau (oui, pas au sommet de ce matin). Nous dormirons à 200m du campement de la veille après avoir manger plein de cèpes tout frais.
Bilan rando: 10km, 750m d+
11 septembre:
Non pas que la motivation me manque pour décrire cette journée pluvieuse, mais elle peut se résumer très simplement en 2 lignes:
- Excellent musée de l'aéronautique à Bødo
- Traversée en ferry jusqu'aux îles Lofoten
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proavis · 1 year
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Comparaison des smartphones pour la photographie : Samsung Galaxy S23 Ultra vs Xiaomi 13 Pro vs iPhone 14 Pro Max
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Comparaison des smartphones pour la photographie 👉 Acheter le Samsung Galaxy S23 Ultra : https://amzn.to/3BYA7cw 👉 Acheter le Xiaomi 13 Pro : https://amzn.to/3Wz5sf2 👉 Acheter l’iPhone 14 Pro Max : https://amzn.to/3MXdzyO La photographie sur smartphone a atteint de nouveaux sommets avec les derniers modèles haut de gamme du marché. Dans cet article, nous comparons trois des meilleurs smartphones pour la photographie : le Samsung Galaxy S23 Ultra, le Xiaomi 13 Pro et l'iPhone 14 Pro Max. Nous examinons leurs performances en matière de photos de jour et de nuit, de mode portrait, de téléobjectif et d'ultra-grand-angle, ainsi que de selfies et de vidéos. Le Samsung Galaxy S23 Ultra est un excellent photophone que j'adore. Samsung a vraiment bien travaillé sur ce modèle cette année. Le Xiaomi 13 Pro, le premier smartphone grand public lancé en partenariat avec Leica en France, est également très cool. Et enfin, l'iPhone 14 Pro Max est une référence en matière de photographie sur smartphone. Pour commencer, nous avons pris des photos de nuit, de jour, en mode portrait, et nous avons examiné les performances des téléobjectifs et des ultra-grands-angles. Nous avons également testé les caméras de selfie et la qualité des vidéos. Dans un premier temps, nous avons comparé les photos prises en mode portrait. Le Samsung Galaxy S23 Ultra a produit des images magnifiques, avec une colorimétrie juste par rapport à ce que j'ai vu. Le Xiaomi 13 Pro, en revanche, a produit des images dont la couleur était très différente. L'iPhone 14 Pro Max a produit des images de qualité inférieure à celle du Samsung. Ensuite, nous avons pris des photos d'un coucher de soleil. La lumière commençait à baisser, et le ciel présentait de très belles couleurs. Le Samsung Galaxy S23 Ultra et le Xiaomi 13 Pro ont produit des images assez proches en termes de colorimétrie. L'iPhone 14 Pro Max, en revanche, a produit des images avec une colorimétrie très différente, plus rose que le orange feu du Samsung et du Xiaomi. En termes de sensibilité purement artistique, j'ai préféré les couleurs du Samsung Galaxy S23 Ultra, qui étaient plus proches de la réalité. Le Xiaomi 13 Pro, avec son mode Leica authentique, était moins saturé, mais toujours très agréable à regarder. L'iPhone 14 Pro Max, en revanche, avait une colorimétrie très différente, qui ne correspondait pas à ce que je voyais réellement. En conclusion, le Samsung Galaxy S23 Ultra, le Xiaomi 13 Pro et l'iPhone 14 Pro Max sont tous d'excellents smartphones pour la photographie. Cependant, en termes de fidélité des couleurs et de qualité globale des images, le Samsung Galaxy S23 Ultra semble avoir un léger avantage. Cela dit, le choix du meilleur smartphone pour la photographie dépendra en fin de compte de vos préférences personnelles etde ce que vous recherchez dans un appareil photo de smartphone. Il est également important de noter que la protection de votre sécurité en ligne est essentielle, surtout lorsque vous partagez des photos et des vidéos. L'utilisation d'un VPN, comme CyberGhost VPN, peut aider à protéger votre confidentialité et votre sécurité en ligne. CyberGhost VPN crypte votre trafic, masque votre adresse IP et redirige tout votre trafic Internet à travers un tunnel crypté, empêchant les pirates, les annonceurs et d'autres de suivre vos activités en ligne. En fin de compte, le Samsung Galaxy S23 Ultra, le Xiaomi 13 Pro et l'iPhone 14 Pro Max offrent tous des performances photographiques impressionnantes. Que vous soyez un photographe amateur ou un professionnel, ces smartphones ont beaucoup à offrir. Test du Poco X5 Pro 5G : Le smartphone qui dépasse toutes les attentes ? Read the full article
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news24fr · 1 year
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Afficher uniquement les événements clésVeuillez activer JavaScript pour utiliser cette fonctionnalitéFlux en directLes évènements clésil y a 20 mDémarreril y a 1hCompositions de départil y a 1hPréambuleAfficher uniquement les événements clésVeuillez activer JavaScript pour utiliser cette fonctionnalitéil y a 15 s15h20 HNE20 mn : Palace défend bien dans sa propre surface. Le ballon est envoyé dans les pieds de Kane mais Guehi le récupère avant que l'attaquant ne sache qu'il est parti.Andy "pas celui-là" dit Flintoff : "J'ai pensé à une solution qui plaît à tout le monde - Lampard à West Ham et Moyes à Everton dans un échange d'emploi direct."PS Leeds 1-0 West Ham Lil y a 2 m15h18 HNE18 mn : Kane essaie de descendre en profondeur pour récupérer le ballon mais Guehi le suit partout où il va pour essayer de nier son influence. il y a 4 mois15.16 HNE16 mn : Kane cherche à envoyer le ballon par-dessus pour que Perisic s'y accroche mais Andersen lit le danger et dégage. Les Spurs déplacent assez bien le ballon, ce qui est bon signe. Ils ont juste besoin de tirer le meilleur parti de leur domination précoce. il y a 6 mois15.14 HNE14 min : Doherty inscrit un centre dans la surface de réparation mais seul le petit Gil attend et le ballon passe au-dessus de sa tête. Le ballon retourne dans la surface et les Spurs remportent un corner mais cela ne sert à rien lorsque Son dribble hors du jeu. il y a 8 mois15.12 HNE12 mn : Romero bat Zaha pour une passe dans le coin mais en fait un hachage complet et le met derrière pour un corner. Olise l'envoie vers le point de penalty où Dier attend pour se dégager. il y a 9 mois15h10 HNE10 minutes: Perisic coupe de la gauche et cherche Doherty sur le flanc opposé mais sa passe est coupée à la dernière seconde pour arrêter le danger. Les Spurs ont commencé la meilleure équipe, mais ils l'ont également fait contre Villa, et nous savons tous comment cela a fonctionné.il y a 12 mois15.08 HNE8 min : Doherty envoie une balle en boucle à travers la boîte mais personne en blanc ne s'en approche. Le ballon est dégagé vers Skipp mais il envoie une passe directement au gardien de but. Gil produit quelques belles touches avant de viser, mais c'est un entraînement contagieux pour Guaita. il y a 14 mois15.06 HNE6 min : Olise coupe de la droite; il l'envoie dans Ayew mais l'attaquant ne peut pas contrôler le ballon à l'intérieur de la surface et il sort pour un coup de pied de but. il y a 16 mois15.04 HNE4 min : Skipp entraîne les Spurs sur le terrain, il passe le ballon à Son à l'entrée de la surface, il le fait tomber à Gil dont le tir manque de puissance et se retourne. il y a 17 mois15.02 HNE2 min : Zaha prend une touche puis Doherty le traverse sans aucune raison. Sinon calme.Joe Pearson souligne que Forest gagne à Southampton : « Johnson a intercepté une passe et a couru droit au but. A placé la balle au carré pour Awoniyi pour le simple tapotement. Magnifique !Taiwo Awoniyi remercie Brennan Johnson pour son rôle dans le premier match de Nottingham Forest. Photographie : Bryn Lennon/Getty ImagesMis à jour à 15h12 HNEil y a 20 m15.00 HNEDémarrerPiaulement! Piaulement! Piaulement! Nous y voilà!il y a 27 min14h53 HNEJeff Sachs suggère une semaine chargée de licenciements : "Lampard, Moyes, Conté"il y a 34 mois14h46 HNEPatrick Vieira : "J'espère que nous apprenons beaucoup de l'année dernière. Nous recherchons toujours la constance dans nos performances. Nous visons toujours à monter plus haut dans la ligue."Nous avons réalisé une très belle performance à l'extérieur de chez nous et il est important de continuer ce soir. "Les deux derniers matchs joués par les Spurs, ils ont concédé le premier but, mais dans certains cas, ils ont gagné le match. Ils ont la qualité pour le faire. »il y a 35 mois14h45 HNE"Certains fans des Spurs pourraient vouloir que Conte parte, mais vous devez vous demander ce qu'il pourrait faire de plus avec l'équipe et l'équipe à sa disposition?" réfléchit Julian Menz. «Ils ont
fait un bon début de saison, mais la gravité les a rattrapés et ils sont 5e, ce qui est probablement la norme pour les Spurs. "Il existe un mythe à propos de Conte selon lequel il exige des signatures" galactico ", mais ce n'était certainement pas le cas lorsqu'il a mené Chelsea au titre PL (Victor Moses était RWB pour l'amour de….). Et juste pour mémoire, Chelsea de Conte n'était guère austère. L'équipe marquait des buts. "Conte et Levy n'allaient jamais être un match au paradis, mais Conte a réussi à ce que Levy dépense un peu d'argent. "Cela n'allait jamais suffire, étant donné le marché des transferts hyper-gonflé. "Les Spurs sont plus ou moins là où vous vous attendiez à ce qu'ils soient à ce stade de la saison."Le football manque de divertissement. Je pense que c'est le problème des fans.il y a 39 min14h41 HNE"Êtes-vous réellement sarf ce soir, ou vérifiez-vous cela sur votre télé quelque part en toute sécurité au nord de la rivière?" demande Jeremy Boyce. Je ne peux pas répondre à cela pour des raisons juridiques.«J'ai réussi à trouver mon chemin vers Selhurst Park il y a de nombreuses années, pour regarder Allan Durban période Shrewsbury Town gratter un match nul 1 - 1 alors que nous étions en 2e division / championnat pendant quelques saisons. Nous avons augmenté lorsque Thatcher a été élue, nous avons diminué lorsqu'elle a démissionné. Fais-en ce que tu veux.«Je m'interroge davantage sur la relégation à 6 points à t'Elland Road ce soir et sur le sort des managers respectifs. En fonction des possibilités W/D/L du résultat du temps additionnel de +7 minutes ce soir, si c'est un L pour l'un d'eux, qui est susceptible d'obtenir les ordres de Marching de Moyest ? Ils pourraient probablement tous les deux faire avec beaucoup de WD et 40 points. Je vais chercher mon manteau..."Toi et Moyes allez chercher des manteaux.il y a 41 min14h39 HNE"Will, je suis d'accord, les discussions sur la soupe sont devenues incontrôlables", dit Mary Waltz. "Je me suis préparé à la possibilité qu'Everton puisse tomber dans la zone de relégation. Ça pourrait être pire, je pourrais être la mère de Kevin McCarthy. PS, le ragoût de bœuf traditionnel est-il sa propre catégorie ou est-il trop proche de la soupe ?Le ragoût n'est pas une soupe, assurément.il y a 44 mois14h36 HNE"J'ai allumé Southampton-Forest uniquement pour voir une fanfare jouer ce qui ressemblait à une version chant funèbre de" When the Saints Come Marching In "," dit Kari Tulinius. "Je me rends compte que Southampton traverse une période difficile ces derniers temps, mais c'était un peu trop. Remarquez, le public local est de bonne voix maintenant que le match a commencé.Cela ressemble à un vrai divertissement.Mis à jour à 14h37 HNEil y a 45 mois14h35 HNEAntonio Conté : « Notre attente est de faire une bonne réaction après le résultat contre Villa. Lorsque vous perdez un match, tout ce qui est positif dans la situation devient négatif. "Notre objectif est de bien commencer, d'entrer dans le jeu et de jouer au football, de créer des occasions et de ne pas encaisser de but."Le dernier match, nous n'avons pas eu un départ lent, nous avons très bien commencé. Nous devons jouer tout le match et rester dans le match pendant 90 minutes. Il y a plusieurs jeux dans un jeu. Nous devons être meilleurs que le dernier match.il y a 50 m14h30 HNE« Pas de contenu de soupe aujourd'hui ! Palace v Spurs est à la télé, mais j'ai Southampton v Forest sur l'ordinateur. e-mails à Joe Pearson. "Jamais trop tôt pour un six points de relégation !"Mes beaux-parents sont partis, la nourriture roumaine n'est donc pas au menu. Salade de poulet avec vinaigrette française du jour.il y a 55 m14h25 HNE"Une pénurie évidente d'options offensives sur le banc des Spurs", e-mails à Mike Nagle. « Qu'en est-il de Troy Parrott ou de Dane Scarlett ? Que diriez-vous de Conte leur donnant une chance et des encouragements ou ne fait-il pas confiance aux jeunes?Ils sont tous les deux en prêt. Conte, cependant, saigne rarement les jeunes.
il y a 1h14h19 HNEQuelques Conte d'avant-match...Antonio Conte se dit heureux mais laisse entendre qu'il pourrait quitter TottenhamLire la suiteil y a 1h14.13 HNEPalace est inchangé, ce qui signifie que Tomkins est sur le banc après son retour de suspension. Il n'y a pas non plus de Jack Butland dans l'équipe parce qu'il est censé être en route pour Manchester United.Mis à jour à 14h28 HNEil y a 1h14.07 HNEAh les Spurs.Antonio Conte a été embauché pour changer les Spurs. Ils sont aussi Spursy que jamaisLire la suiteil y a 1h14.03 HNEDier et Skipp entrent dans l'équipe pour les Spurs. Gil garde sa place après son tout premier départ en Premier League pour le club contre Villa. il y a 1h14.02 HNECompositions de départPalais de Cristal (4-2-3-1) : Guaïta ; Ward, Guehi, Andersen, Clyne ; Schlupp, Doucouré; Olise, Eze, Zaha; Oui.Sous-titres : Johnstone, Milivojevic, Tomkins, Mateta, Hughes, Edouard, Ebiowei, Richards, Riedewald.Tottenham (3-4-3) : Loris ; Dier, Romero, Lenglet ; Doherty, Skipp, Hojbjerg, Perisic ; Fils, Kane, GilSous-titres : Forster, Sanchez, Royal, Sessegnon, Spence, Tanganga, Sarr, Davies, White.il y a 1h14h00 HNEPréambuleIl est juste de dire que Tottenham a été horrible lors de sa défaite face à Aston Villa ce week-end. Ils manquaient de toute forme de créativité et étaient facilement décomposés par les hommes d'Unai Emery. Depuis lors, Antonio Conte a laissé entendre qu'il pourrait quitter le club, pas pour la première fois, et a déploré la plupart des choses à propos de l'équipe. Crystal Palace a rebondi après sa défaite du Boxing Day à domicile contre Fulham, qui les a vus terminer avec neuf joueurs, en battant Bournemouth le soir du Nouvel An. L'équipe de Patrick Vieira occupe la 11e place du tableau, mais le coach en veut plus et le moyen d'y parvenir est de faire quelques signatures en janvier. Ils pourraient devenir une perspective plus attrayante pour les signatures potentielles par les Spurs ce soir. Si Palace gagne, qui sait ce qui arrivera à Conte ? Les fans conviennent généralement que le football est assez horrible, sans aucune menace. Ils ont subi des problèmes de blessures ces derniers temps, mais ils devraient être vraiment meilleurs qu'une équipe qui a encaissé le premier but lors de ses six derniers matches. Cela devrait être amusant.Coup d'envoi : 20h00 GMTLes sujetspremière liguePalais de cristalTottenham HotspurRéutiliser ce contenu
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beatlesonline-blog · 1 year
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MERCREDI 13 JUILLET 2022 (Billet 5/5)
Et nous terminons cette série de Billets par une Expo de photographies dont beaucoup nous avait dit le plus grand bien et que nous avons visitée hier à l’heure du déjeuner. Petit rappel : toujours choisir cet horaire pour être sûrs d’avoir le moins de monde possible entre vous et ce que vous êtes venus voir.
C’est Corinne (R.) qui, avant de partir avec son mari et sa petite fille à l’autre bout du monde, dans le pays où la samba a été inventée (on vous laisse deviner de quel pays il s'agit), nous a fortement conseillé d’y aller, en nous avertissant que cette Expo qui avait déjà été prolongée allait s’arrêter le 31 juillet.
Corinne a été l’élément déclencheur et nous l’en remercions infiniment car cette Exposition est la plus belle de toutes les Expositions photo que nous ayons vues. Avec celle, dans un genre tout à fait différent, sur Marilyn Monroe, au même endroit d’ailleurs.
Marina a choisi 10 photos de Steve McCurry parmi les 66 que JM a photographiées. Ce sont celles qui sont reproduites ci-dessus. Cela n’a pas été facile car elles étaient toutes incroyablement « réussies ». JM fera peut-être plus tard un petit slide-show pour vous en montrer davantage…
Mais si vous êtes parisiens ou avez l’occasion de venir sur Paris, c’est une Expo qu’il vous faut impérativement ne pas manquer.
En dehors de la grande qualité des photos exposées, la scénographie est très bien étudiée, l’ordre choisi n’est SURTOUT pas ni chronologique, ni thématique. En effet, il n’y a rien de plus ch… qu’une Expo où l’on ne verrait par exemple dans une salle que des fleurs, dans une autre que des portraits, dans une autre que des paysages, etc. Non, nous dirons que cet accrochage était plutôt « impressionniste ».
De plus, au contraire de 99% des Expo Photo, les tirages sont en grand format.
Les commentaires sur l’audio-guide sont parfaits. C’est le photographe qui parle, post-synchronisé bien sûr en français. Un peu comme si vous l’aviez à côté de vous, vous donnant 2 ou 3 renseignements ou anecdotes hyper-intéressants sur la photo que vous êtes en train de regarder.
Et pour finir, tout le Musée est divinement bien climatisé. Avec les températures qui règnent en ce moment dans la capitale, c’est juste incroyablement agréable.
Nous attribuons à cette Expo ❤️❤️❤️❤️❤️.
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Extraits de la plaquette du Musée :
L’exposition « Le Monde de Steve McCurry » présente plus de 150 photos imprimées en grand format pour la première fois à Paris. Elle est la rétrospective la plus complète dédiée au photographe américain. On peut y admirer ses photos les plus célèbres, réalisées tout au long de ses 40 ans de carrière, mais également ses clichés les plus récents et maintes photos inédites.
Chacune des images de Steve McCurry, pour la plupart connues dans le monde entier, renferme un univers complexe d’expériences et d’émotions.
L’exposition, conçue par Biba Giacchetti, propose un long voyage dans le monde de Steve McCurry, de l’Afghanistan à l’Inde, de l’Asie du Sud-Est à l’Afrique, de Cuba aux États-Unis, du Brésil à l’Italie, à travers son vaste et fascinant répertoire d’images, où l’Humain est toujours le protagoniste principal, même s’il n’est qu’évoqué.
Musée Maillol 59-61 rue de Grenelle Paris 75007 Métro : Rue du Bac, Saint-Sulpice ou Sèvres-Babylone Ouvert tous les jours de 10h30 à 18h30 et le mercredi jusqu’à 22h. Tarifs (audioguide FR/EN/IT/NL inclus) : 15€ et 14€ pour les Séniors
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seaturnity · 2 years
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Bilan culturel - Février 2022
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LIVRES
Beauté Fatale : Les nouveaux visages d’une aliénation féminine - Mona Chollet. Beauté Fatale est un essai qui s’intéresse aux injonctions à la beauté et à l’instrumentalisation du corps des femmes, tout en apportant une critique au complexe « mode-beauté ». C’est un livre que j’ai trouvé difficilement accessible, j’ai eu du mal à me mettre dedans et le ton légèrement condescendant et méprisant de l’auteure m’a empêché de réellement apprécier la lecture. Cela dit ses propos sont intéressants pour la majeure partie du roman (même s’il y a aussi du mauvais), qui est d’ailleurs très bien documenté, mais de manière globale j’ai été plutôt déçue.
Burnt Sugar - Avni Doshi. Situé à Pune en Inde, Antara, la narratrice, se retrouve à devoir prendre soin de sa mère qui perd peu à peu la mémoire, alors que cette dernière n’a jamais vraiment semblé se soucier d’elle. C’est avant tout l’histoire d’une relation compliquée et conflictuelle entre une mère et sa fille, de traumatismes intergénérationnels et du chaos et de la douleur qui en résultent. Alors, c’est une lecture que j’ai trouvé assez compliqué notamment à cause des thèmes et de la manière dont ils sont abordés. L’auteure a une façon très particulière de décrire les événements et les éléments du paysage, c’est très cru et dégoutant -littéralement, elle parle à plusieurs reprises de façon précise des fluides corporelles en tout genre ou bien de nourriture en train de pourrir, ce genre de choses. Mais curieusement j’ai trouvé qu’il y avait quand même quelque chose de poétique, c’est une histoire profonde, qui porte à réfléchir (et qui mériterait une analyse bien plus poussée que celle-ci), qui m'a touché finalement. Il y a une citation que j’ai particulièrement aimé donc je la partage : « Sometimes I cry when no one else is around — I am grieving, but it’s too early to burn the body. »
Sinon ce moi-ci j’ai lu pas mal de comics, je vais pas en parler individuellement car ça va être long et que de toute façon j’ai pas de critique véritable à faire, je les tous bien aimé dans l’ensemble! J’ai donc lu Moon Knight de Jeff Lemire, Falcon & Winter Soldier, Hulkling & Wiccan de Josh Trujillo, Daredevil : The Man Without Fear de Frank Miller & John Romita et Marvel Knights 20th.
FILMS
Operation Finale - Chris Weitz. Not gonna lie je l’ai juste regardé pour Oscar Isaac and turns out il y avait aussi le mec de Taylor Swift. Concernant le plot, c’est un drame historique dans lequel on suit des agents de renseignement israéliens chargés de retrouver et arrêter un ancien membre du parti nazi vivant désormais sous une nouvelle identité en Argentine. Le film était bien mais sans plus, c’était long et il se passait pas grand chose. C’est pas ça qui me dérange en soit, parce-que j’ai aimé des films où il ne se passait franchement rien, mais là je l’ai trouvé vraiment ennuyant et assez répétitif. Sinon pour le coté positif, les costumes sont bons et j’ai trouvé la photographie plutôt belle dans l’ensemble, mais de manière globale rien de transcendant. (sorry oscar)
SÉRIES
The Punisher - Netflix. Une première saison que j’ai trouvé vraiment parfaite, j’ai absolument rien à dire de mauvais. Le scénario et son déroulement sont juste incroyables, le suspens, la tension et tous les conflits nous tiennent en haleine pendant les treize épisodes. Concernant les personnages, ils sont tous très interessants, complexes et réellement bien développés tout au long de la saison, ainsi que les antagonistes que j’ai trouvé très bien écrits. J’ai un peu moins aimé le début de la saison 2, j’ai trouvé le scénario un peu fragile, le rythme plutôt lent et le développement de certains personnages m’a laissé perplexe. Par contre, les cinq derniers épisodes sont absolument excellents, le rythme, l’intensité, la tension, tout y est et j’ai vraiment retrouvé tout ce que j’avais aimé dans le saison 1. Donc globalement, malgré ses petits défauts j’ai beaucoup aimé!
Normal People - France TV. Après avoir lu le roman, il était temps que je regarde la série, et comment dire, j’ai absolument adoré! J’avais vraiment bien aimé le roman donc je savais que ça allait être aussi le cas pour la série. Normal People, c’est l’histoire de Connell et Marianne, de leur relation faite d’incompréhensions et de déchirements. C’est une histoire qui aborde les thèmes de la classe, de la miscommunication, des désirs et préférences sexuels et qui met en lumière leur importance dans les relations amoureuses et la façon dont ils peuvent altérer la perception que l'on a de soi-même et, par conséquent, de la relation en elle-même. J’ai trouvé la série magnifique visuellement, la réalisation est incroyable et arrive parfaitement à capturer les émotions du roman. La photographie est aussi sublime. J’ai trouvé que le personnage de Marianne était beaucoup plus attachant dans la série que dans le roman, certainement grâce à la sublime Daisy Edgar-Jones, qui, je trouve, l’interprète à merveille!
MUSIQUE
Laurel Hell - Mitski. Un album juste excellent, sis ate and left no crumbs! L’atmosphère de cet album est incroyable, les sonorités sont hyper surprenantes et intéressantes je trouve et les lyrics juste impeccable (as always with Mitski j’ai envie de dire), c’est aussi très messy mais it makes sense. Un beau mismatch finalement et j’ai adoré!
PODCASTS
La vie des seins - Un podcast à soi. C’est une série que j’aime beaucoup et que je suis depuis un petit moment déjà. J’aime vraiment énormément la façon dont sont abordés les thèmes, on y retrouve des témoignages, des lectures de textes, des interventions de spécialistes (sociologues, anthropologues, journalistes…) qui rend l’écoute encore plus intéressante. J’ai tout particulièrement aimé cet épisode, qui parle de la représentation sociale, souvent (si ce n’est toujours) érotisée des seins, du rapport compliqué des femmes avec ceux-ci et bien d’autre thématiques relatives à ce sujet.
J’ai lu quelques articles que j’ai trouvé très intéressants donc j’ai décidé de les partager si jamais ça vous intéresse aussi :
- Standing on the shoulders of complex female characters : https://internetprincess.substack.com/p/standing-on-the-shoulders-of-complex
- The pain gap : On dating, maturity & the benign psychohorror of womanhood : https://internetprincess.substack.com/p/the-pain-gap
- The problem with the phrase « sex work is work » : https://medium.com/@proletarianfeminist/the-problem-with-the-phrase-sex-work-is-work-bdac613eb2f0
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writingplacegym · 3 years
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October 3rd - 1000 Words a Day - Marcel Proust - À LA RECHERCHE DU TEMPS PERDU - DU CÔTÉ DE CHEZ SWANN
From Page 20 to Page 23
chez nous ce nom de Swann, ils hébergeaient – avec la parfaite innocence d’honnêtes hôteliers qui ont chez eux, sans le savoir, un célèbre brigand – un des membres les plus élégants du Jockey-Club, ami préféré du comte de Paris et du prince de Galles, un des hommes les plus choyés de la haute société du faubourg Saint-Germain.
L’ignorance où nous étions de cette brillante vie mondaine que menait Swann tenait évidemment en partie à la réserve et à la discrétion de son caractère, mais aussi à ce que les bourgeois d’alors se faisaient de la société une idée un peu hindoue et la considéraient comme composée de castes fermées où chacun, dès sa naissance, se trouvait placé dans le rang qu’occupaient ses parents, et d’où rien, à moins des hasards d’une carrière exceptionnelle ou d’un mariage inespéré, ne pouvait vous tirer pour vous faire pénétrer dans une caste supérieure. M. Swann, le père, était agent de change ; le « fils Swann » se trouvait faire partie pour toute sa vie d’une caste où les fortunes, comme dans une catégorie de contribuables, variaient entre tel et tel revenu. On savait quelles avaient été les fréquentations de son père, on savait donc quelles étaient les siennes, avec quelles personnes il était « en situation » de frayer. S’il en connaissait d’autres, c’étaient relations de jeune homme sur lesquelles des amis anciens de sa famille, comme étaient mes parents, fermaient d’autant plus bienveillamment les yeux qu’il continuait, depuis qu’il était orphelin, à venir très fidèlement nous voir ; mais il y avait fort à parier que ces gens inconnus de nous qu’il voyait, étaient de ceux qu’il n’aurait pas osé saluer si, étant avec nous, il les avait rencontrés. Si l’on avait voulu à toute force appliquer à Swann un coefficient social qui lui fût personnel, entre les autres fils d’agents de situation égale à celle de ses parents, ce coefficient eût été pour lui un peu inférieur parce que, très simple de façons et ayant toujours eu une « toquade » d’objets anciens et de peinture, il demeurait maintenant dans un vieil hôtel où il entassait ses collections et que ma grand-mère rêvait de visiter, mais qui était situé quai d’Orléans, quartier que ma grand-tante trouvait infamant d’habiter. « Êtes-vous seulement connaisseur ? Je vous demande cela dans votre intérêt, parce que vous devez vous faire repasser des croûtes par les marchands », lui disait ma grand-tante ; elle ne lui supposait en effet aucune compétence et n’avait pas haute idée même au point de vue intellectuel d’un homme qui dans la conversation évitait les sujets sérieux et montrait une précision fort prosaïque non seulement quand il nous donnait, en entrant dans les moindres détails, des recettes de cuisine, mais même quand les soeurs de ma grand-mère parlaient de sujets artistiques. Provoqué par elles à donner son avis, à exprimer son admiration pour un tableau, il gardait un silence presque désobligeant et se rattrapait en revanche s’il pouvait fournir sur le musée où il se trouvait, sur la date où il avait été peint, un renseignement matériel. Mais d’habitude il se contentait de chercher à nous amuser en racontant chaque fois une histoire nouvelle qui venait de lui arriver avec des gens choisis parmi ceux que nous connaissions, avec le pharmacien de Combray, avec notre cuisinière, avec notre cocher. Certes ces récits faisaient rire ma grand-tante, mais sans qu’elle distinguât bien si c’était à cause du rôle ridicule que s’y donnait toujours Swann ou de l’esprit qu’il mettait à les conter : « On peut dire que vous êtes un vrai type, monsieur Swann ! » Comme elle était la seule personne un peu vulgaire de notre famille, elle avait soin de faire remarquer aux étrangers, quand on parlait de Swann, qu’il aurait pu, s’il avait voulu, habiter boulevard Haussmann ou avenue de l’Opéra, qu’il était le fils de M. Swann qui avait dû laisser quatre ou cinq millions, mais que c’était sa fantaisie. Fantaisie qu’elle jugeait du reste devoir être si divertissante pour les autres, qu’à Paris, quand M. Swann venait le 1er janvier lui apporter son sac de marrons glacés, elle ne manquait pas, s’il y avait du monde, de lui dire : « Eh bien ! Monsieur Swann, vous habitez toujours près de l’Entrepôt des vins, pour être sûr de ne pas manquer le train quand vous prenez le chemin de Lyon ? » Et elle regardait du coin de l’oeil, par-dessus son lorgnon, les autres visiteurs.
Mais si l’on avait dit à ma grand-tante que ce Swann qui, en tant que fils Swann était parfaitement « qualifié » pour être reçu par toute la « belle bourgeoisie », par les notaires ou les avoués les plus estimés de Paris (privilège qu’il semblait laisser tomber un peu en quenouille), avait, comme en cachette, une vie toute différente ; qu’en sortant de chez nous, à Paris, après nous avoir dit qu’il rentrait se coucher, il rebroussait chemin à peine la rue tournée et se rendait dans tel salon que jamais l’oeil d’aucun agent ou associé d’agent ne contempla, cela eût paru aussi extraordinaire à ma tante qu’aurait pu l’être pour une dame plus lettrée la pensée d’être personnellement liée avec Aristée dont elle aurait compris qu’il allait, après avoir causé avec elle, plonger au sein des royaumes de Thétis, dans un empire soustrait aux yeux des mortels et où Virgile nous le montre reçu à bras ouverts ; ou – pour s’en tenir à une image qui avait plus de chance de lui venir à l’esprit, car elle l’avait vu peinte sur nos assiettes à petits fours de Combray – d’avoir eu à dîner Ali-Baba, lequel quand il se saura seul, pénétrera dans la caverne, éblouissante de trésors insoupçonnés.
Un jour qu’il était venu nous voir à Paris après dîner en s’excusant d’être en habit, Françoise ayant, après son départ, dit tenir du cocher qu’il avait dîné « chez une princesse », – « Oui, chez une princesse du demi-monde ! » avait répondu ma tante en haussant les épaules sans lever les yeux de sur son tricot, avec une ironie sereine.
Aussi, ma grand-tante en usait-elle cavalièrement avec lui. Comme elle croyait qu’il devait être flatté par nos invitations, elle trouvait tout naturel qu’il ne vînt pas nous voir l’été sans avoir à la main un panier de pêches ou de framboises de son jardin et que de chacun de ses voyages d’Italie il m’eût rapporté des photographies de chefs-d’oeuvre.
The end of 1127 words.
La COPIE -
15.47pm
chez nous ce nom de Swann, ils hébergeaient - avec la parfaite innocence d’honnêtes hôteliers qui ont chez eux, sans le savoir, un célèbre brigand - un des membres les plus élégants du Jockey-Club, ami préféré du comte de Paris et du prince de Galles, un des hommes les plus choyés de la haute société du faubourg Saint-Germain.
L’ignorance où nous étions de cette brillante vie mondaine que menait Swann tenait évidemment en partie à la réserve et à la discrétion de son caractère, mais aussi à ce que les bourgeois d’alors se faisaient de la société une idée un peu hindoue et la considéraient comme composée de castes fermées où chacun, dès sa naissance, se trouvait placé dans le rang qu’occupaient ses parents, et d’où rien, à moins des hasards d’une carrière exceptionnelle ou d’un mariage inespéré, ne pouvait vous tirer pour vous faire pénétrer dans une caste supérieure. M.Swann, le père, était agent de change; le “fils Swann” se trouvait faire partie pour toute sa vie d’une caste où les fortunes, comme dans une catégorie de contribuables, variaient entre tel et tel revenu. On savait quelles avaient été les fréquentations de son père, on savait donc quelles étaient les siennes, avec quelles personnes il était “en situation” de frayer. S’il en connaissait d’autres, c’étaient relations de jeune homme sur lesquelles des amis anciens de sa famille, comme étaient mes parents, fermaient d’autant plus bienveillamment les yeux qu’il continuait, depuis qu’il était orphelin, à venir très fidèlement nous voir; mais il y avait fort à parier que ces gens inconnus de nous qu’il voyait, étaient de ceux qu’il n’aurait pas osé saluer si, étant avec nous, il les avait rencontrés. Si l’on avait voulu à toute force appliquer à Swann un coefficient social qui lui fût personnel, entre les autres fils d’agents de situation égale à celle de ses parents, ce coefficient eût été pour lui un peu inférieur parce que, très simple de façons et ayant toujours eu une “toquade” d’objets anciens et de peinture, il demeurait maintenant dans un vieil hôtel où il entassait ses collections et que ma grand-mère rêvait de visiter, mais qui était situé quai d’Orléans, quartier que ma grand-tante trouvait infamant d’habiter. “Êtes-vous seulement connaisseur? Je vous demande cela dans votre intérêt, parce que vous devez vous faire repasser des croûtes par les marchands”, lui disait ma grand-tante; elle ne lui supposait en effet aucune compétence et n’avait pas haute idée même au point de vue intellectuel d’un homme qui dans la conversation évitait les sujets sérieux et montrait une précision fort prosaïque non seulement quand il nous donnait, en entrant dans les moindres détails, des recettes de cuisine, mais même quand les soeurs de ma grand-mère parlaient de sujets artistiques. Provoqué par elles à donner son avis, à exprimer son admiration pour un tableau, il gardait un silence presque désobligeant et se rattrapait en revanche s’il pouvait fournir sur le musée où il se trouvait, sur la date où il avait été peint, un renseignement matériel. Mais d’habitude il se contentait de chercher à nous amuser en racontant chaque fois une histoire nouvelle qui venait de lui arriver avec des gens choisis parmi ceux que nous connaissions, avec le pharmacien de Combray, avec notre cuisinière, avec notre cocher. Certes ces récits faisaient rire ma grand-tante, mais sans qu’elle distinguât bien si c’était à cause du rôle ridicule que s’y donnait toujours Swann ou de l’esprit qu’il mettait à les conter: “On peut dire que vous êtes un vrai type, monsieur Swann!” Comme elle était la seule personne un peu vulgaire de notre famille, elle avait soin de faire remarquer aux étrangers, quand on parlait de Swann, qu’il aurait pu, s’il avait voulu, habiter boulevard Haussmann ou avenue de l’Opéra, qu’il était le fils de M.Swann qui avait dû laisser quatre ou cinq millions, mais que c’était sa fantaisie. Fantaisie qu’elle jugeait du reste devoir être si divertissante pour les autres, qu’à Paris, quand M.Swann venait le 1er janvier lui apporter son sac de marrons glacés, elle ne manquait pas, s’il y avait du monde, de lui dire: “Eh bien! Monsieur Swann, vous habitez toujours près de l’Entrepôt des vins, pour être sûr de ne pas manquer le train quand vous prenez le chemin de Lyon?” Et elle regardait du coin de l’oeil, par-dessus son lorgnon, les autres visiteurs.
Mais si l’on avait dit à ma grand-tante que ce Swann qui, en tant que fils Swann était parfaitement “qualifié” pour être reçu par toute la “belle bourgeoisie”, par les notaires ou les avoués les plus estimés de Paris (privilège qu’il semblait laisser tomber un peu en quenouille), avait, comme en cachette, une vie toute différente; qu’en sortant de chez nous, à Paris, après nous avoir dit qu’il rentrait se coucher, il rebroussait chemin à peine la rue tournée et se rendait dans tel salon que jamais l’oeil d’aucun agent ou associé d’agent ne contempla, cela eût paru aussi extraordinaire à ma tante qu’aurait pu l’être pour une dame plus lettrée la pensée d’être personnellement liée avec Aristée dont elle aurait compris qu’il allait, après avoir causé avec elle, plonger au sein des royaumes de Thétis, dans un empire soustrait aux yeux des mortels et où Virgile nous le montre reçu à bras ouverts; ou - pour s’en tenir à une image qui avait plus de chance de lui venir à l’esprit, car elle l’avait vu peinte sur nos assiettes à petits fours de Combray - d’avoir eu à dîner Ali-Baba, lequel quand il se saura seul, pénétrera dans la caverne, éblouissante de trésors insoupçonnés.
Un jour qu’il était venu nous voir à Paris après dîner en s’excusant d’être en habit, Françoise ayant, après son départ, dit tenir du cocher qu’il avait dîné “ chez une princesse”, - “Oui, chez une princesse du demi-monde!” avait répondu ma tante en haussant les épaules sans lever les yeux de sur son tricot, avec une ironie sereine.
Aussi, ma grand-tante en usait-elle cavalièrement avec lui. Comme elle croyait qu’il devait être flatté par nos invitations, elle trouvait tout naturel qu’il ne vînt pas nous voir l’été sans avoir à la main un panier de pêches ou de framboises de son jardin et que de chacun de ses voyages d’Italie il m’eût rapporté des photographies de chefs-d’oeuvre.
Audiobook, Starts at 37min19sec and  I stopped at exactly 44min41sec
The END. I copied exactly 1127 words. From 15.47pm to 18.03pm
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ravakajoan · 4 years
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Chapitre II - Porter la vie
« Ça va mieux chérie? » dis-tu en tenant mes cheveux tandis que je suis penchée sur la cuvette des toilettes après avoir vomi le bon plat que tu nous a préparé avec amour...
Aller mieux est sûrement le désir le plus profond de certaines femmes enceintes qui sont en train de traverser cette période qui semble interminable et qu’on appelle le premier trimestre. Et on ne m’a pas épargné, entre les nausées qui ne me lâchent pas jour et nuit et les multiples courses vers les toilettes, c’est dur de profiter de l’été. Si habituellement on profite du soleil pour découvrir de belles places, pour dîner sur les terrasses, pour passer le golden hour du samedi à faire un shooting, cette fois ci ce sera l’incapacité de rester près de la cuisine, la sensation permanente de vomir à nimporte quel moment et cela sans même avoir bu une seule goutte d’alcool
Mais heureusement que tu es là, à me tenir la main, les cheveux, pendant ces moments loin d’être glamour. Tu es toujours là. Et le médecin aussi, qui me prescrit le fameux Diclectin pour m’aider à raisonner mon estomac qui semble vouloir rejeter tout ce que je mange. Commence-t-il déjà à faire la grève sachant qu’il devra partager sa place avec un être qui est entrain de multiplier ses cellules petit à petit? Peut-être.
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Demain se termine le mois d’août et je tiens absolument à le souligner car c’est ton dernier anniversaire avant de devenir papa, les dernières bougies que tu souffleras seul sans qu’un/une enfant n’insiste à le faire à ta place. Alors avec mon petit ventre de 3 mois, j’organise la journée avec tes parents qui sont de passage et quelques amis. Au programme: traverser le fleuve St Laurent sur un petit bateau, manger dans la plus belle microbrasserie de Bécancour « O Quai des Brasseurs » et...rentrer à la maison où une fête surprise t’attends, mais ce dernier plan, tu ne le savais pas. Ben oui, c’est une surprise et je suis contente que tu aies apprécié ta journée, pour une fois que je ne suis pas au centre des attentions.
Cheers à tes 26 ans - avec mon cocktail sans alcool
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Il est minuit, on est en mi-septembre et je t’entends chuchoter à mon oreille « Joyeux anniversaire chérie! » Cette fois c’est mon tour de rajouter un an de plus à mon compteur. Mes 25 ans, je me suis toujours dit que j’allais fêter ça en grand, un quart de siècle ce n’est pas rien. Pourtant, je ne suis plus la seule boss de mon corps, mon petit locataire en a décidé autrement et m’ordonne de me reposer. Je ne pete pas la forme aujourd’hui et donc on se contente d’un petit brunch chez Cora pour souligner la journée. Mais voilà que tu ne t’avoues pas vaincu, tu as pu rassembler mes amis et on a pu fêter ça le samedi suivant, en petit comité, exactement ce qu’il me fallait pour ne pas me fatiguer. Merci!
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Nous sommes à mi-chemin et ma bedaine commence à m’obliger à ranger certains vêtements qui ne me rentrent plus. En même temps que les feuilles d’automne quittent une à une les branches pour se reposer au sol, le médecin me mets en arrêt travail pour me demander de me reposer également à la maison. Les vomissements répétitifs du premier trimestre m’ont pas mal affaiblie et j’arrête donc de travailler pour le moment.
Afin de passer le temps, je m’achète un journal de grossesse sur Etsy, concocté par une mère de famille de St Boniface pour aider les futurs mamans à immortaliser ces 9 mois de partage de corps avec bébé. Et hop, semaine après semaine, j’écris, je dessine, je colle des photos pour garnir ce petit cahier en guise de journal de bord à travers ces montagnes russes d’émotions que je vis chaque jour, tantôt surexcitée dès que je regarde le mirroir, tantôt d’une humeur triste à en verser des larmes car un écureuil est mort dans un film... merci aux hormones!
Mon journal de grossesse
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Vive le second trimestre. Ce petit moment de répit où je me sens un peu mieux, pas trop fatiguée,et le ventre pas encore trop lourd. Surtout que les arbres se sont maintenant vêtus de leur plus beaux manteaux jaune,orange et rouge; la mordue de la photographie en moi refait enfin surface.
« Chéri, allons prendre des photos dehors! » cela fait un bail que tu ne m’as pas entendu prononcer ces mots, une phrase qui t’était pourtant si familière avant. Cette demande n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd. On est parti prendre quelques clichés dehors pour mon plus grand plaisir.
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Le sablier a déversé plus que la moitié de son contenu et cela fait quelques semaines qu’on assiste aux merveilleux cours prénataux. Bébé, il est temps de préparer ta chambre. Un beau projet que nous commençons avec enthousiasme. Couleurs, thèmes, meubles... tant de choses à penser et à agencer ! Et pour ce genre de chose, Pinterest est là. On défile les images de l’application et on épingle ceci et cela. Voilà, c’est décidé, ta chambre ressemblera à peu près à cela. Une chose est sûre, pas de stéréotype! On oublie le bleu pour un garçon et le rose pour une fille, NON, elle sera unisexe, douce et pas trop quétaine.
Commençons donc par le commencement, on choisit la peinture à travers les cinquantes nuances de gris ( lisez bien on parle de couleur ici ! ) , papa peint la chambre avec l’aide d’une amie, on commande les meubles qui seront tous en blanc, papa les assemble et les monte. On achète quelques décorations, papa peaufine la chambre et termine par un ménage de ce petit nid. Mais que fait alors maman? Elle poste les photos de l’avancement sur Instagram. 😋
Bébé, as-tu des noix ou pas ? Mon téléphone m’envoie une alerte pour le rendez-vous de demain: «Echographie Morpho /Sexe du bébé ». C’est le moment tant attendu de découvrir ton petit secret, après plusieurs discussions à essayer de convaincre ton papa à attendre avant de connaître le sexe, c’est décidé, on ira à cette échographie mais on fermera les yeux lorsque l’infirmier sera rendu au moment où il regardera ton entre jambes. Nous attendrons au Gender Reveal pour connaître ton sexe avec la famille et les amis.
Donc:
On avise l’infirmier de ne pas nous dire le sexe et il l’écrit dans une enveloppe fermée.
On remets l’enveloppe au magasin de ballons pour qu’ils préparent les confettis à insérer: bleu ou rose.
On programme le Gender Reveal qui sera également notre Baby Shower : lieu, collations, liste de cadeaux pour le bébé et on demande aux invités de s’habiller en bleu ou en rose selon leurs prédictions.
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Petit bébé, tu ne le sais pas encore mais tu es déjà entouré de beaucoup d’amour, tu as reçu tant de cadeaux, on a hâte de te présenter à tous ces tontons et taties. Mais avant tout, dis nous , es-tu un garçon ou une fille ?
Et paf c’est bleu
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Mon petit garçon, on t’attends impatiemment.
Merci d’avoir lu le chapitre 2. Je vous reviens très vite avec la suite de l’aventure.
Ravaka Joan.
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herbanshaman-blog · 5 years
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Top 10 des conseils de sécurité de voyage pour les femmes
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1. Faites des recherches approfondies sur votre destination avant votre voyage
Pour de nombreux voyageurs, planifier et effectuer des recherches sont presque aussi amusants que de voyager! Entre explorer les plus belles plages et les villes les plus branchées, prenez le temps de rechercher des informations de sécurité concernant votre destination.
Quels sont les meilleurs quartiers et ceux que vous devriez éviter? Y a-t-il seulement certains types de taxis que vous devriez prendre? Y a-t-il un centre médical dans la ville, juste au cas où?
En ce qui concerne votre hébergement, quelle est sa cote de sécurité? Que disent les anciens invités de leurs expériences? Existe-t-il des tendances dans les examens qui devraient vous préoccuper?
Comment allez-vous vous déplacer? Comment sont les transports en commun dans votre destination? Avez-vous besoin de louer une voiture? Est-ce que la situation change la nuit?
Visitez au préalable une clinique de tourisme et parlez à un médecin ou à une infirmière. Avez-vous besoin de vaccins ou de prescriptions? Y at-il des problèmes de santé locaux pour lesquels vous devriez vous préparer?
En ce qui concerne les activités, en particulier les sports d’aventure, quels sont les risques? Si vous vous blessez, serez-vous couvert par votre assurance voyage?
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2. Gardez vos objets de valeur sur vous pendant le transit
Mais vous ne devriez pas apporter d'objets de valeur en premier lieu!
Vrai. N'emportez rien qui vous ferait perdre courage: souvenirs de famille, bijoux coûteux, votre acte de naissance, etc.
Aujourd'hui, les gens voyagent avec une technologie insondable il y a dix ans. La plupart des voyageurs apportent au minimum un smartphone; beaucoup apportent des ordinateurs portables, tablettes, Kindle ou autres liseuses, appareils photo reflex numériques avec objectifs coûteux, et plus. Lorsque vous prenez en compte les coûts de remplacement de l’un de ces éléments, ils sont considérés comme des objets de valeur.
Vous devriez avoir un sac de jour dans lequel vous pourrez ranger tous vos objets importants: votre passeport, votre appareil photo, vos médicaments, vos bijoux, vos cartes de crédit, votre smartphone et toute autre technologie, photographie ou autre équipement de valeur.
Ne mettez jamais ces articles dans votre sac à dos général. Ne mettez jamais ces objets dans la soute à bagages d'un bus. Ne mettez jamais aucun de ces objets dans vos bagages enregistrés dans un avion. Si vous les quittez des yeux, il y a de bonnes chances qu’ils vous soient enlevés pour toujours.
3. Ne prenez que ce dont vous avez besoin et laissez le reste enfermé
Nul besoin de sortir faire un tour en ville avec toutes vos cartes de crédit, votre passeport et l’équivalent de 500 $ en espèces. Prenez ce dont vous avez besoin pour la journée: peut-être environ 50 $, des tops et une carte de débit, et gardez le reste enfermé dans votre hébergement.
Presque toutes les auberges réputées ont des casiers à la disposition des invités. Utilisez-les s'ils en ont. Dans les maisons d’hôtes, les chambres d’hôtel ou tout autre lieu ne disposant ni de casier ni de coffre-fort, utilisez plutôt un coffre-fort portable: un sac anti-coupure que vous remplissez avec vos objets de valeur et que vous verrouillez à un tuyau ou à quelque chose de solide dans la pièce.
4. Ne faites pas trop confiance aux gens
Lorsque vous voyagez vers une nouvelle destination, et particulièrement lorsque vous voyagez seul, il peut être tentant de vous rejoindre et de trouver une tribu. Parfois, ces tribus se transforment en amitiés pour la vie.
Mais ils ne le font pas toujours. Certains escrocs ont maîtrisé l'art de se lier d'amitié avec les voyageurs, de les amener à laisser leurs objets de valeur sans surveillance et de les voler avant leur départ.
Quand il s’agit d’une relation amoureuse, vous pouvez augmenter la vitesse lorsque vous rencontrez une personne incroyablement sexy, mais ce n’est pas toujours la meilleure idée. Le sexe est répandu sur la route, mais veillez à vous protéger autant que possible.
Parfois, nous voulons tellement faire partie d'un groupe que nous commençons à faire confiance aux gens avant même de le faire. Au lieu de cela, pécher par excès de prudence. Si vous voulez juste connaître quelqu'un, ne lui faites pas confiance pour garder vos appareils électroniques coûteux pendant que vous êtes dans la salle de bain.
5. Surveillez votre consommation d'alcool
C’est un conseil qui ne se dit pas assez souvent. C’est applicable que vous soyez chez vous ou sur la route. Lorsque vous buvez de l'alcool, vous bourdonnez les sens et ralentissez votre temps de réaction, ce qui vous rend vulnérable aux autres.
Cela ne signifie pas que vous devriez éviter de boire tout à fait. Au lieu de cela, boire lentement. Votre rythme. Manger avant ou pendant. Prenez un verre d'eau entre chaque boisson (votre corps vous remerciera le matin). Soyez conscient de ce que vous buvez réellement et prenez toujours des boissons directement du barman. Demandez-vous constamment: «Est-ce que je veux être moins en contrôle que ce que je suis en ce moment?» Et arrêtez-vous si la réponse est non.
6. Mélangez autant que vous le pouvez
Vous voulez avoir l'attention de chaque pickpocket à Paris? Présentez-vous en short et en t-shirt. Pour des crédits supplémentaires, portez des Birkenstocks.
Aussi normal qu'un short et un t-shirt se trouvent en Amérique du Nord, on ne verrait jamais ce style dans la plupart des pays d'Europe. Les shorts sont rares et les Européens en général s'habillent beaucoup plus proprement que les Nord-Américains, notamment en France et en Italie.
Plus vous vous démarquez, plus vous vous présentez comme quelqu'un qui ne connaît pas bien le lieu, ce qui vous rend plus vulnérable aux criminels.
Au lieu de cela, recherchez votre destination à l'avance, observez comment les gens s'habillent et tentent de passer pour un local - ou, si cela est impossible (comme si vous êtes en Thaïlande ou au Mexique et que vous n'avez l'air ni thaï ni mexicain), essayez de passer pour un expatrié de longue date. .
7. Dépenser de l'argent supplémentaire pour rester en sécurité
Si vous voyagez à long terme avec un budget restreint, il peut être difficile de justifier de dépenser plus d’argent alors que cela pourrait servir à de nombreuses autres activités amusantes. Mais c’est une bonne idée d’investir financièrement dans votre propre sécurité.
Qu'est-ce que ça veut dire?
Cela signifie que si votre vol doit atterrir tard dans la nuit dans une ville agitée, vous devriez dépenser plus d'argent pour une chambre d'hôtes qui viendra vous chercher directement à l'aéroport au lieu de prendre un bus pour aller en ville et d'essayer de trouver une chambre d'hôtes à pied. .
Cela signifie que vous devez payer un supplément pour prendre un taxi le soir chez vous si vous ne vous sentez pas à l'aise de parcourir le quartier par vous-même.
Cela signifie payer plus pour rester dans un quartier central très animé, au lieu d'un quartier résidentiel moins cher et plus tranquille où vous vous sentez isolé.
Cela signifie que vous devriez choisir l’école de plongée avec la réputation de sécurité stellaire et des centaines de critiques positives de TripAdvisor au lieu de l’école de plongée approximative qui le fera pour beaucoup moins cher.
8. Préparez-vous au pire avec des documents et de l'argent secret
Si le pire se produisait - votre sac à main est volé, vos cartes de crédit sont soudainement dépassées, vous tombez malade et vous devez vous rendre à l’hôpital - il est bon de disposer d’un plan de secours.
Pour les documents, conservez des copies recto verso de vos cartes de crédit dans un stockage en nuage tel que Google Docs ou Dropbox, ainsi qu'une copie de votre passeport. C’est une bonne idée de conserver également les numéros de téléphone de votre banque et de votre carte de crédit dans un document.
En plus des documents, conservez une réserve de trésorerie. Conservez au moins 50 dollars américains cachés dans un endroit secret au fond de votre valise, comme dans un tampon ou cachés dans une chaussette. Dans un endroit séparé, conservez une carte de crédit secondaire. Si votre sac à main ou votre sac à main est volé et que tout vous est enlevé, cela vous procurera un coussin financier temporaire.
9. Souscrire une assurance voyage
Avez-vous vraiment besoin d'une assurance voyage? Absolument. Cela pourrait vous sauver la vie, et de nos jours, avec autant de fournisseurs en ligne, il n’ya aucune raison de ne pas l’avoir.
Que vos bagages soient perdus, que vous subissiez un coup politique ou une catastrophe naturelle, ou que vous deviez vous rendre à l'hôpital alors que vous étiez sur la route, une assurance voyage vous remboursera. En cas de vol, votre assurance voyage vous apportera la sécurité dont vous avez besoin.
Si le pire arrive et que vous perdez la vie, une bonne assurance voyage permettra à votre famille de ramener votre corps à la maison sans avoir à payer des dizaines de milliers de dollars et à s'enfermer dans une montagne de tracasseries administratives.
En bref, si vous ne pouvez pas vous payer une assurance voyage, vous ne devriez pas voyager en premier lieu.
Veillez à examiner en profondeur les polices d’assurance voyage envisagées, car elles pourraient ne pas couvrir votre situation personnelle. De nombreux régimes d’assurance ne couvrent pas certains sports d’aventure, certains pays ou certaines régions. La plupart des forfaits ne couvrent qu'une fraction de la valeur de vos appareils électroniques.
10. Enregistrement régulier
C’est une bonne idée qu’au moins un ami ou un membre de la famille désigné ait une copie de votre itinéraire à l’avance: vos numéros de vol, votre hébergement et un horaire général indiquant les dates de votre séjour, ainsi que des informations sur votre lieu de destination. assurance voyage, cartes de crédit et numéro de compte bancaire.
Planifiez à l’avance la manière dont vous allez vous enregistrer et la fréquence à laquelle vous le souhaitez, qu’il s’agisse de courriels quotidiens, de SMS, de mises à jour sur les réseaux sociaux ou de discussions régulières sur Skype. Quoi que vous choisissiez de faire, assurez-vous de respecter un calendrier cohérent.
Rester en contact est un moyen d'apaiser les craintes de vos proches, mais si vous avez des problèmes, ils pourront vous localiser beaucoup plus facilement que si vous aviez été vague sur votre sort.
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revedeleda · 5 years
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rendre compte
autour d'un volcan où nous vivons, où nous aimons, Manon était tombée enceinte à nouveau, je pleurais en apprenant la nouvelle, je n'arrêtais pas de pleurer, huit mois qu'elle était enceinte et n'en avait rien dit, la tristesse disait à la fois la déception de l'amie à qui l'on n'a pas confié le grand secret, et l'envie de ne pas être celle qui se vit enceinte, huit mois et son ventre était minuscule, un ventre de trois mois, c'était ainsi disait-on la seconde fois, épuisée de larmes, je m'asseyais sur un rocher rouge
il y avait,
il y avait le lever du jour sur l'océan et ses vagues régulières, un jeu de lumière incroyable avec le cache-cache du soleil dans les nuages, une oscillation en forme de suspense, spectaculaire, et je voulais saisir en photo cet instant où le soleil revient et fait briller les vagues d'un bleu intense, j'avais acheté un petit appareil argentique, je m'étais donnée la possibilité de vingt photos, j'attendais le bon moment, il tardait, j'avais tenté plusieurs angles : sur la passerelle en bois de côté, appareil tourné vers le cercle brumeux du soleil dans les nuages, quand on peut le regarder dans les yeux, mais non, ça ne fonctionnait pas, les parasols gâchaient la vue, et puis l'angle centré au milieu de la plage, entre les deux passerelles, trop cliché, plus loin, dans un musée aux murs baroques dorés, un tableau très haut représentait un clown portant son gros ventre dans une salopette rouge, et une brindille de fleurs à la bouche, des yeux mélancoliques, c'était cela que je prendrais en photo, mais pas comme ça, il manquait quelque chose, je me mis à plat ventre par terre pour photographier en contre plongée le clown majestueux visité par la foule noire en bas qui le montre du doigt, je fis mon cadre et appuyai sur le déclencheur, il me restait à rembobiner la pellicule, les autres photos défilaient, et je continuais à vivre, à me mouvoir en quête de belles choses à photographier, ce qui comptait n'est pas tant ce que je voyais mais ce dont je rendrais compte comme témoignage de ce que je suis, de ce par quoi je fus traversée, altérée, devenue
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santiagotrip · 5 years
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Étape 72 : Barbadelo
Mercredi 3 juin
J’ai passé une nuit superbe. Il y a pas à dire, la chambre individuelle, c’est quand même mieux. Mais est-ce vraiment l’esprit du Camino ? On va dire que oui.
Je me lève à 5h15, et j’allume la lumière. Ca, déjà, c’est un luxe. J’ai préparé mon sac hier, il ne me reste qu’à remplir la gourde, me laver les dents, et aller déjeuner. Là en revanche ... Comme ils ne servent qu’à partir de 6h30, je fais chauffer au micro-ondes une tasse de mon café au lait sucré « dosettes Nescafé », dont je confirme la parfaite nullité, que j’avale avec mes biscuits « Principe ».
On m’a, à ce propos, soufflé une histoire rigolote, que j’adapte. Dans une collectivité, une personne va voir le directeur de l’établissement et se plaint à lui que le café du matin est infect. Le Directeur le regarde d’un air étonné et lui dit : « Qu’est-ce qui vous fait dire que c’est du café ? »
Bon, je mets la mochila sur mon dos et je me sauve. En sortant, je tombe sur un monsieur, un Français, qui fait le Camino avec un âne. L’âne s’appelle Nestor. Le monsieur, je ne sais pas, nous n’avons quasiment pas parlé. Le le salue et j’avance. Quand on marche avec un âne, on va beaucoup moins vite, va vitesse de marche est très inférieure à la nôtre. En plus, il se fatigue vite. 15 kms, c’est un maximum. C’est Marco qui m’avait raconté ça, au sujet de Lulu. Je ne sais pas si vous vous souvenez.
Après la péripétie d’hier, j’ai réservé un lit dans une albergue à Barbadelo, un peu après Sarria (Sarria est une ville importante sur le Camino, mais je vous laisse regarder ça sur Gogole, c’est fait pour ça). Selon les endroits où je cherche l’information, la distance entre Triacastela et Barbadelo se situe entre 26,5 kms et 18,5 kms ! En fait, c’est principalement parce que j’ai trouvé un chemin alternatif (qui passe par San Xil et non par Samos, qui fait gagner 6 kms. Donc l’étape sera courte.
En définitive, j’ai parcouru 21,2 kms (ce n’est pas ce que dit le GPS, mais comme d’habitude, j’ai oublié de le mettre en route en partant !
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J’arrive à Barbadelo à 11h. J’ai un peu mauvaise conscience et je caresse l’idée de pousser jusqu’à Ferreiros, à 8 kms. Et puis je me dis que je suis en retard dans le journal, que le gîte est super et que les deux étapes suivantes sont un peu sportives. Alors je décide de rester.
De Barbadelo à Santiago, il. Y a 110 kms. C’est, à peu de choses près, la distance minimale nécessaire pour obtenir sa « Compostela ». Tout le monde dit que l’ambiance change du tout au tout. Pour l’instant, tout va bien, on verra demain ...
Allez, quelques photos du chemin :
Au lever du jour :
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C’est beau, non ?
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Je ne m’en lasse pas :
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Il y a même des sentiers en forêt
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Et des champs de fleurs. Un Italien s’est fait photographier en plein milieu, les bras tendus vers le ciel. C’était d’un ridicule achevé. Mais si ça lui plaît, alors, à moi aussi, ça me va.
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La grande ville que vous voyez au fond, c’est Sarria, dont je vous ai parlé tout à l’heure :
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Juste une angoisse : Sur le chemin, je croise, attablés à un bistrot, les deux fâcheux Italiens qu’un m’avaient pourri la nuit à Cacabelos. Pourvu qu’ils n’aient pas eu l’idée de s’arrêter à Barbadelo ... Quoi qu’il en soit, il est hors de question que je partage la chambre avec eux. Je lève le suspens tout de suite, il n’en sera rien.
Le gîte est bien. Très bien. Les accueillants ne sont pas très sympa, pas plus que les gens du cru avec qui j’ai eu affaire. A Sarria, j’ai fait les courses pour le pique-nique de midi, je me suis quasiment fait jeter. Je ne sais pas pourquoi. Comme si je sentais mauvais. J’ai pourtant une hygiène tout à fait normale ...
Mais bon, c’est pas des copains que je suis venu chercher !
A 11 heures, j’étais le premier. La chambre est spacieuse, les lits ne sont pas trop serrés, la salle de bains est parfaite, la porte du dortoir donne directement sur l’extérieur. A 13h, j’avais pris ma douche, lavé mon linge, et pris le pique-nique. Je me suis allongé et j’ai fait une sieste de 2 heures ! Lorsque je me suis réveillé, il y avait 5 personnes de plus dans la chambre, dont la jeune Allemande qui peignait, que j’avais laissée avec Muriel. Elle avait les pieds dans un tel état que je pensais qu’elle s’était arrêtée, mais non ... Cela dit, elle a fait Logrono - Astorga en train. Ca aide. Mais bon, c’est pour la bonne cause.
Le monsieur Danois est là (pas dans la chambre, mais dans l’albergue). Pier, l’Italien de l’Opéra de Milan aussi, ainsi que deux ou trois personnes dont je reconnais les visages, mai avec lesquelles je n’ai jamais échangé.
Donc, pour être tranquille, je m’installe avec mon téléphone et mon clavier dans la salle à manger pour rédiger les billets. Je ne vois pas le temps passer, et à 17 heures, je me souviens qu’il y a une piscine. Et une belle. Ce serait stupide de laisser passer l’occasion ! Je laisse tomber le blog et je vais barboter. On dira ce qu’on voudra, après le traumatisme aigu qu’est l’entrée dans l’eau froide, voire glacée, c’est quand même un vrai plaisir de patauger et de faire l’andouille dans la flotte fraîche !
Bon au bout d’une demi-heure, j’en ai marre. Je retourne m’habiller et je reviens au billet.
Ca me fait penser que je dois vous parler d’une chose étonnante : Les gens s’ennuient beaucoup sur le chemin. Pas quand ils marchent, évidemment, mais après. J’en ai parlé à plusieurs personnes qui me l’ont toutes dit. Les visites, déjà ça va un peu. D’autant qu’on s’arrête souvent dans des villages et que les points d’intérêt sont assez limités. Les églises sont souvent soit jolies, soit pittoresques, soit émouvantes. Mais on va pas passer son temps dans les églises, même sur les pas de Saint Jacques ! D’ailleurs, même lui n’y mettait pas les pieds. La preuve, elles n’existaient pas. C’est dire !
D’où je suis, je vois des gens attablés sur la terrasse devant une boisson (la première ou la douzième ?), je vois des gens qui jouent au Sudoku, mots fléchés ou autres, j’en vois d’autres qui pianotent sur leur téléphone ...
Parce qu’en fait, ils arrivent à l’étape avant 14h (après, il fait trop chaud pour marcher). Pique-nique, douche, lessive, sieste, ça les emmène vers 16h30 - 17h. Le dîner vers 19h30, ils ont deux bonnes heures à glander.
Pour moi, c’est différent. Le journal me prend tranquillement deux à trois heures par jour. Les journées sont trop courtes, il ne m’est encore jamais arrivé de m’ennuyer (vous me direz, c’est vrai sur le chemin, mais c’est vrai aussi dans toute ma vie d’adulte. Je n’ai pas souvenir, à part de façon très ponctuelle, de m’être ennuyé)
A 19h30, le repas, j’irai faire un tour dans le patelin (3 maisons dont 2 albergues), peut-être boire un coup avec l’un ou l’autre, puis dodo.
Demain, Ventas de Naron. 29 kms annoncés. 7 heures de marche environ. Ca va aller !
Bonne nuit à tout le monde.
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reseau-actu · 5 years
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Dans quatre milliards d’années, notre galaxie, la Voie lactée, entrera en collision avec notre grande spirale voisine, Andromède.
Les galaxies telles que nous les connaissons n’y survivront pas.
Notre système solaire vivra plus longtemps que notre galaxie. Quand la fusion se produira, le soleil ne sera pas encore une boule rouge géante, mais il aura grossi suffisamment pour griller la surface de la Terre. Les formes de vie qui y vivront encore auront le droit à un spectacle cosmique particulièrement remarquable.
De nos jours, Andromède se trouve à environ 2,5 millions d’années lumières de la Voie lactée. Attirées par la gravité, les deux galaxies se foncent dessus à une vitesse de 402 000 km/h. Même à une telle vitesse, il faudra 4 milliards d’années pour qu’elles se rencontrent. Elles entreront en collision frontale avant de se traverser mutuellement en laissant derrière elles des traînées de gaz et d’étoiles. Elles vont continuer à se rapprocher puis à s’éloigner à nouveau pendant des millions d’années, mélangeant les étoiles et redessinant les constellations au passage. Enfin, au bout d’environ un milliard d’années, les deux galaxies fusionneront.
À ce moment-là, le système solaire aura un nouveau domicile cosmique : une galaxie ovale géante, formée par la collision puis la fusion de la Voie lactée et d’Andromède.
Ce n’est pas de la science-fiction ; c’est une véritable prédiction scientifique. Halley a prédit le retour de la comète éponyme, et les astronomes de notre époque, la fin de la Voie lactée. Ce don de prévoyance n’est en fait qu’une compréhension mathématique des lois physiques qui régissent le mouvement des corps célestes.
« Avec la seule aide des lois de la gravitation de Newton, nous autres astronomes pouvons prédire avec certitude que dans quelques milliards d’années, notre galaxie, la Voie lactée, fusionnera avec notre galaxie voisine, Andromède », affirme le présentateur de COSMOS, Neil DeGrasse Tyson. « Les étoiles sont si éloignées les unes des autres, par rapport à leur taille, que très peu d’entre elles, pour ne pas dire aucune, rentreront en collision. Les formes de vie potentielles sur les astres de ce futur très lointain ne devraient pas être en danger, mais auront la chance d’assister à un incroyable spectacle de lumières long de plusieurs milliards d’années. »
Vue d'artiste de la future Terre, dont les océans se seront évaporés à cause de la chaleur croissante du Soleil, exilée à l'extrémité de la nouvelle galaxie fusionnée que les astronomes surnomment « Milkomeda ».PHOTOGRAPHIE DE DAVID A. AGUILAR, CFA
MAIS COMMENT POUVONS-NOUS SAVOIR QUE CELA VA ARRIVER ?
Tout remonte au début du 20e siècle avec l’astronome Vesto Slipher, lorsque celui-ci mesura la vitesse radiale d’Andromède, ou, en d’autres termes, la vitesse à laquelle la galaxie se rapproche ou s’éloigne de la Terre. Pour ce faire, Slipher a cherché des preuves d’expansion ou de compression de la lumière d’Andromède arrivant jusqu’à la Terre. La lumière émise par des objets qui s’éloignent est légèrement étirée, ce qui crée un décalage vers le rouge. À l’inverse, la lumière émise par des objets qui se rapprochent est compressée, créant un décalage vers le bleu.
Le résultat fut pour le moins surprenant.
« On peut conclure que la nébuleuse d’Andromède se rapproche du système solaire à une vitesse d’environ 300 kilomètres par seconde » écrit Slipher dans le Bulletin de l’observatoire de Lowell en 1913 (Andromède était encore appelée nébuleuse à l’époque, parce que les astronomes n’avaient pas réalisé qu’elle ne faisait pas partie de la Voie lactée ; les calculs de Slipher suggéraient fortement qu’il fallait revoir cette assomption).
Andromède se rapprochait de nous ; cela au moins était clair. En revanche, que son arrivée sonnerait la fin de la Voie lactée n’était pas défini. Pendant des dizaines d’années, les scientifiques n’eurent aucun moyen de savoir si Andromède et la Voie lactée allaient entrer en collision frontale, ou si elles glisseraient le long l’une de l’autre comme des vaisseaux remplis d’étoiles dans la nuit cosmique.
Il se trouve qu’il est relativement simple de mesurer la vitesse d’objets distants qui se rapprochent ou qui s’éloignent de nous ; mais il est bien plus difficile de mesurer leur mouvement latéral (ce que les scientifiques appellent le « mouvement propre »). Plus l’objet est distant, plus il est difficile de mesurer son mouvement latéral car celui-ci ne produit aucune longueur d’onde étirée ou compressée observable par les astronomes. Ces derniers vont plutôt partir d’observations détaillées de la position d’un objet par rapport aux étoiles en arrière-plan ; un minuscule décalage très subtil qui, sans l’aide de télescopes performants, peut prendre des siècles à être observé.
En 2007, l’astrophysicien Avi Loeb, de l’université de Harvard, a décidé de se pencher à nouveau sur la question de l’arrivée imminente d’Andromède. « La plupart des théoriciens veulent reproduire les systèmes de notre passé qui sont observables aujourd’hui ; ils sont réticents quant à l’idée de faire des prédictions qui ne seront testées que dans des milliards d’années », commente Loeb. « Je ne comprenais pas cette logique. Je suis tout autant curieux de connaître le futur que le passé. »
Aujourd'hui ; dans 2 milliards d'années ; dans 3,75 milliards d'années ; dans 3,85 milliards d'années ; dans 3,9 milliards d'années ; dans 4 milliards d'années ; dans 5,1 milliards d'années ; dans 7 milliards d'années, lorsque les galaxies auront créé une gigantesque galaxie elliptique.PHOTOGRAPHIE DE DAVID A. AGUILAR, CFA
Accompagné de T.J. Cox, alors étudiant post-doctorat, Loeb a simulé la collision et la fusion d’Andromède et de la Voie lactée en utilisant les estimations du mouvement propre d’Andromède. Les résultats montrèrent une honnête chance de collision frontale des deux galaxies, avec la bonne possibilité que le système solaire se fasse propulser vers l’extrémité de la nouvelle galaxie elliptique, baptisée « Milkomeda » par Loeb.
En 2012, une équipe d’astronomes basée au Space Telescope Science Institute a refait les calculs de la collision en utilisant cette fois-ci des mesures directes du mouvement propre d’Andromède. Après toutes ces années, l’équipe a pu récupérer ces mesures grâce au télescope spatial Hubble et a une mission d’observation rassemblant des années de données, dont les premières images capturées en 2002.
« Nous avons comparé les images prises à des moments différents par le télescope spatial Hubble, et nous avons mesuré le déplacement des étoiles d’Andromède par rapport aux galaxies floues dans le lointain arrière-plan », explique l’astronome Sangmo Tony Sohn. « Cela nous donne une idée de la vitesse des étoiles d’Andromède dans le ciel. »
L’équipe a conclu que le mouvement propre d’Andromède était petit, et qu’une collision frontale était à peu près inévitable. Cela peut sembler catastrophique, mais la fusion de deux galaxies n’est pas un phénomène inhabituel. Le télescope spatial Hubble a capturé de splendides images de fusions et de collisions lointaines, et l’astronome Halton Arp fit figurer un certain nombre d’interactions galactiques dans son « Atlas of Peculiar Galaxies » publié en 1966. Elles sont toutes très belles.
La bonne nouvelle, comme le dit Tyson, c’est que les étoiles sont si éloignées les unes des autres que même si les galaxies entrent en collision, la probabilité de collision entre plusieurs étoiles reste faible. Le Soleil et ses planètes pourront probablement survivre à la naissance de Milkomeda, même si la Terre aura perdu sa place dans la Voie lactée. Nous ne vivrons plus dans une galaxie en spirale. Milkomeda aura une forme elliptique, et arborera certainement une couleur rouge, comme on peut le voir vers la fin de l’animation réalisée en 2012 par l’équipe, ainsi que dans l’animation ci-dessus.
Ce qui ne fait aucun doute, c’est que cette fusion sera spectaculaire. Et il y a de fortes chances pour que la petite galaxie du Triangle, située dans les environs, se fasse aspirer par l’événement. Pour ma part, je regrette de ne pas pouvoir assister à ce grand spectacle de lumières cosmiques. Il ne me reste plus qu’à admirer la série d’illustrations ci-dessous.
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equipe · 6 years
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Qui dit janvier, dit première interview de l’année ! Et nous sommes heureux de vous présenter Claude Vergoz, photographe et auteur du Tumblr Humeur des jours, dans lequel il nous présente des images inspirées et poétiques. C’est à son tour de se prêter au jeu des questions-réponses avec notre équipe, et de nous dévoiler les dessous de son univers artistique.
Tumblr – Pouvez-vous vous présenter rapidement à nos lecteurs ?
Claude – Je m’appelle Claude, je vis dans une petite ville de Haute-Savoie, tout près du Géoparc mondial du Massif des Bauges. C’est un peu mon terrain de jeu photographique privilégié. Retraité, je garde une petite activité professionnelle. Je pratique le vélo, un bon moyen pour glaner de belles images, je travaille le bois, j’écoute de la musique, je lis, j’écris parfois. Une vie somme toute plutôt simple. J’oubliais, je regarde beaucoup !
T – D'où vient votre passion pour la photographie ?
C – J’ai commencé à photographier très jeune, je devais avoir six ans, avec un appareil en plastique et une pellicule par mois. Mon père était cinéaste amateur, passionné par la technique. Mon grand-père avait un folding et photographiait la famille... J’ai eu ensuite un Browie Starlett avec un flash, puis un Instamatic, puis enfin un 24x36 Foca Sport. J’ai ensuite découvert en même temps le poète St John Perse et le photographe Lucien Clergue. La photo n’était plus l’inscription de la réalité, mais devenait l’invention de celle-ci. Je crois que c’est vers seize ans que j’ai fait mes vraies premières photos, sur les poèmes d’un ami. Pour moi, la photographie (je préfère le mot image) est un moyen de rendre compte non de la réalité, mais de ce que je ressens de celle-ci. Si la photo, comme technique (surtout en digital) est dans l’immédiateté, l’image, elle, est une construction, presque une écriture, de longue haleine : il m’arrive de ressortir une vielle photo, parce qu’elle correspond à l’image que j’ai en tête. Pour le dire autrement, l’image naît de la rencontre entre une photo et un état intérieur. Techniquement, j’utilise le plus souvent un reflex APSC et un 35mm. Je travaille aussi avec un compact, idéal quand je marche en montagne, ou que je suis en vélo. Plus rarement, un smartphone, généralement quand je suis loin de la maison et sans accès internet. Sur mon téléphone, j’aime beaucoup bidouiller, en particulier avec Distressed FX (si je peux le citer).
T – Parlez-nous de votre blog. Qu'est-ce qui vous inspire ?
C – Mon Tumblr, L’humeur des jours, a d’abord été une sorte de carnet de croquis. Au fil du temps, les images que j’y présente sont plus achevées, mon travail est plus construit, et s’inscrit dans un projet plus vaste. Mon inspiration vient principalement de la nature ou de sa destruction, du rythme des saisons, de la forme des arbres, de l’eau des rivières... Les paysages urbains ou industriels peuvent aussi m’inspirer (je pense aux post-industriel landscapes que j’ai publiés sur Tumblr l’an dernier), et puis également la photo de rue, mais pour le moment, je ne montre pas trop mes images. Ce blog, cependant, reste comme le carnet de croquis de mes états intérieurs à un moment donné. Je n’y publie que mes propres images, mais il m’arrive parfois de signaler un blog pour sa qualité et l’honnêteté de sa démarche.
T – Quel a été le déclic pour créer ce blog et pourquoi avoir choisi Tumblr ?
C – J’ai créé ce blog il y a un peu plus de quatre ans. Le déclic a été une période difficile de ma vie, peu avant de cesser mon activité professionnelle. Je me suis mis à prendre des photos, compulsivement presque, et à en faire des images, très rapidement. Mais si elles restaient sur mon écran, cela n’avait pas de sens, et je sentais le besoin de les montrer. Tumblr, j’ai découvert par hasard, je ne sais plus comment. J’ai tout de suite été séduit à la fois par la qualité et la variété des contenus (en particulier photographiques et textuels), la simplicité de l’outil qui laissait totalement libre (ou presque) des choix techniques et permettait aussi de combiner facilement image et texte, et la très grande liberté de ton que j’y trouvais. Aujourd’hui encore, pour moi, Tumblr reste certainement le meilleur support possible pour un blog photographique. Et très vite, il y a eu des rencontres, souvent belles, qui persistent malgré le temps. Je pense au premier coup de cœur avec émotion, il est venu à point pour éviter le découragement. Pour le reste, ça s’est enchaîné.
T – Quels sont vos trois Tumblrs préférés et pourquoi ?
C – Voilà une question terrible ! J’aime beaucoup de blogs, essentiellement photographiques ou textuels. Je reste très attaché à certains, car outre une grande qualité photographique, ils sont aussi le reflet de belles personnes. Mais puisque je ne dois en citer que trois, je dirais @i-bl, que je suis depuis très longtemps. J’aime la variété des textes, et surtout ce mélange de violence et d’humour décalé. Je parlerais ensuite de @koimismenos, du noir et blanc le plus souvent, avec un reste de couleur, pour ce que ses images disent de l’impermanence des choses et du halo de rêve qui les entourent. Pour finir, une découverte récente, j’ai été attiré par l’intitulé, @zero-likes, des photos qui valent par l’équilibre des couleurs, et la solidité de la construction. Il y en aurait bien d’autres, mais bon !
T – Merci beaucoup, Claude, et bonne année 2018 !
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