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#magasin de disques
vinylespassion · 3 months
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Françoise Hardy dans un magasin de disques en 1963.
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lasaraconor · 9 months
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belgique-detection · 1 year
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Achat garret APEX
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jamie-007 · 3 months
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«Beaucoup sont décédés, ceux et celles qui sont toujours là sont appelé(e)s «les personnes âgées».
Nous sommes né(e)s dans les années 40-50-60.
Nous avons grandi dans les années 50-60-70.
Nous avons étudié dans les années 60-70-80.
Nous étions ensemble dans les années 70-80-90.
Nous nous sommes mariés, ou pas, et avons découvert le monde dans les années 70-80-90.
On s'aventure dans les années 80-90.
On se stabilise dans les années 2000.
Nous sommes devenus plus sages dans les années 2010.
Et nous allons fermement jusqu'en 2020 et au-delà.
Il s'avère que nous avons traversé HUIT décennies différentes...
DEUX siècles différents...
DEUX millénaires différents...
Nous sommes passés du téléphone avec un opérateur pour les appels longue distance, des cabines téléphoniques, aux appels vidéo partout dans le monde.
Nous sommes passés des diapositives à YouTube, des disques vinyles à la musique en ligne, des lettres manuscrites aux e-mails et Whats App.
Des matchs en direct à la radio, à la télévision en noir et blanc, à la télévision couleur, puis à la télévision HD 3D.
Nous sommes allés au magasin de vidéos et maintenant nous regardons Netflix.
Nous avons connu les premiers ordinateurs, les cartes perforées, les disquettes et maintenant nous avons des gigaoctets et des mégaoctets sur nos smartphones.
Nous avons porté des shorts tout au long de notre enfance, puis des pantalons longs , des pats d'eph ou des mini-jupes, des Oxfords, des Clarks, des foulards palestiniens, des combinaisons, et des jeans bleus.
Nous avons évité la paralysie infantile, la méningite, la poliomyélite, la tuberculose, la grippe porcine et maintenant le COVID-19.
Nous avons fait du patin à roulettes, du roller, du skate, du tricycle, du vélo, du cyclomoteur, de l'essence ou du diesel et maintenant nous conduisons des hybrides ou des électriques.
Nous avons joué aux petits
chevaux et aux dames, aux osselets et aux billes, au 1000 bornes et au monopoly, maintenant il y a candy crush sur nos smartphones
Et nous lisions...beaucoup
Et la religion de nos camarades d'école n'était pas un sujet...
Nous buvions l'eau du robinet et la limonade dans des bouteilles en verre, et les légumes dans notre assiette étaient toujours frais, aujourd'hui on se fait livrer les repas
Oui, nous avons traversé beaucoup de choses, mais quelle belle vie nous avons eu !
Ils pourraient nous décrire comme des «exannuels» ; des gens qui sont nés dans ce monde des années 50, qui ont eu une enfance analogique et une vie adulte numérique.
Il faudrait y ajouter la révolution Biologique à laquelle nous avons assisté. En 1960, la Biologie était très descriptive. On a assisté à l'avènement de la Biologie Moléculaire : les molécules de la Vie ont été decouvertes: ADN, ARN etc. Quand on voit tout ce qui en a découlé : thérapie génique, empreintes genetiques, et autres les progrès sont considérables.
Nous avons en quelque sorte «tout vu» !
Notre génération a littéralement vécu et témoigné plus que toute autre dans toutes les dimensions de la vie.
C'est notre génération qui s'est littéralement adaptée au «CHANGEMENT».
Un grand bravo à tous les membres d'une génération très spéciale, qui sera UNIQUE..»
Photo Woodstock 1969
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fidjiefidjie · 2 years
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Bonjour, bonne journée ☕️ 💿
Magasin de disques à Manhattan🗽NY 1987
Photo de Franz Jachim
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davidfakrikian · 1 year
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DVDvision - La Collection Épisode 8
L'histoire de DVDvision vol.1 continue ! Et voici l'épisode 8 de la série, quand le rédac-chef se retrouve à travailler 24h/24 pour sauver le DVD de Crying Freeman, et est trop épuisé pour signer l'édito !
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Numéro 8 - Janvier 2001 - 
116 pages
Editeur : Seven Sept
Directrice de publication : Véronique Poirier 
Rédacteur en chef : David Fakrikian
Rédacteurs principaux : Yannick Dahan, Christophe Lemaire, Stéphane Lacombe, Benjamin Rozovas, Rafik Djoumi, David Martinez, Sandy Gillet, Nicolas Saada, Nicolas Rioult, Guillaume Delbos, Gael Golhen.
Sommaire : Gladiator making of DVD, Films ados, DVD en séries.
DVD : Le Pacte des Loups, Les Rivières Pourpres.
Notes : Ce numéro fut le plus vendu de DVDvision, montant à 34 000 exemplaires. Nous venons alors d'embaucher à temps plein Benjamin Rozovas, qui prend en charge le cahier multimédia, et grâce à ma rencontre avec Nicolas de La Mothe, qui dirige alors les projets à Gaumont Columbia Tri-Star, je signe le dossier de couverture sur Gladiator, qui est une véritable plongée dans les coulisses de l'adaptation d'un blockbuster américain en DVD Zone 2. C'est donc la deuxième fois en 8 numéros qu'un film de Ridley Scott fait notre couverture. Lié au DVD, Le Pacte des Loups, forcément très racoleur, et à la superbe couverture retravaillée par Joel Casano, ce numéro tombe à point. 
Il correspond aussi à une énorme période d'effervescence pendant laquelle je me retrouve à travailler littéralement jour et nuit, ce qui explique que Leonard Haddad signe le très drôle éditorial de ce numéro. Bien que présent quand il l'a rédigé, je n'avais ce soir là plus la force d'écrire, donc je l'ai laissé à mon ordinateur le faire à ma place. 
La raison ? Alors que la date de sortie du Pacte des Loups de Christophe Gans approche, l'odyssée du DVD Crying Freeman, commencée en 1999, sur lequel je donne un coup de main au concepteur Sébastien Prangère (également le monteur du Pacte des Loups) prend une tournure surréaliste.
Au cours de la conception, j'ai décidé de mon propre chef, au vu de l'abondance de matériel, que le collector serait un double DVD-9, alors qu'à l'origine, le produit était budgétisé pour un DVD-10 (double face). Ce qui, en plein milieu du bouclage du magazine, me vaut d'être convoqué en compagnie de Sébastien Prangère dans le bureau de Victor Hadida, qui m'incendie à juste titre, (après tout, c'est son argent que je suis en train de dépenser). Les ventes sont alors estimées à 5000 ex., et faire deux DVD-9 risque de réduire fortement les bénéfices possibles du projet. Je défend mon choix avec une énorme mauvaise foi, argumentant des raisons techniques, et Victor fini par valider à contre-coeur. 
Après avoir reporté la sortie une première fois pour refaire le master en HD, (sur lequel j'ai supervisé l'étalonnage qui ensuite a été approuvé par Christophe), nous ratons la nouvelle date de sortie, quand la compagnie chargée du transfert HD nous livre un DVD master dans lequel il manque environ 40 secondes de film ! Elles étaient pourtant présentes sur la copie interpositive que nous avons remasterisée. Il faut donc tout refaire ! Et pour couronner le tout, malgré nos efforts et nos nuit blanches passées à les aider, la compagnie chargée des menus est incapable de nous livrer un produit fini qui correspond à nos attentes sur le deuxième disque des suppléments.
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Le coffret Crying Freeman de 2001, originellement estimé à 5000 ventes, est monté à 100 000 exemplaires à sa sortie.
Pendant ce temps, une fois les bons de précommande envoyés aux magasins, et après que j'ai organisé une démo de présentation pour la presse avec un avant/après, pendant laquelle tous les journalistes sont devenus fous en voyant la qualité du transfert HD du film, la hype monte. Très, très haut. L'éditeur a commencé à faire imprimer le coffret emballage. Qui passe d'un pressage de 6000 ex, initialement prévu, à 12000. Puis, deux jours après, nous apprenons qu'il y a 18000 précommandes. Nous renvoyons donc au calage le coffret, pour 24000 exemplaires. Mais la semaine suivante, on nous informe qu'il y a 32000 précommandes ! Le coffret va être remis au calage au moins quatre fois, pour un total de 80000 exemplaires, du délire total. Seul problème, si l'emballage est prêt, le DVD ne l'est pas ! 
Alors qu'il a vent des chiffres de précommandes, je devient le meilleur ami de Victor Hadida, qui convoque un meeting au sommet avec son frère Samuel, Christophe Gans et Sébastien Prangère, où nous décidons tous que vu l'attente, il est hors de question de sortir le disque tel qu'il est finalisé par la compagnie d'authoring. Victor va alors empoigner son téléphone, et sauver le projet, en embauchant TOUT le staff d'une autre compagnie d'authoring pour refaire le disque... en une semaine, sous la supervision de Sébastien et moi. Il paie donc littéralement cette société, pour que tous leur travaux en cours s'arretent, et que 100% de leur équipe travaille sur le DVD Crying Freeman 24h/24 ! 
Je me retrouve donc à travailler la journée au journal, et la nuit chez la nouvelle compagnie d'authoring, dormant dans la chambre d'amis de Sébastien Prangère entre 4 heures et 8 heures du matin, avant de reprendre le chemin du journal. En 5 jours, nous reprenons tout à zéro, reconcevant le menu, le disque de suppléments, refaisant tous les graphismes, ajoutant des bonus de dernière minute, et refaisant même deux fois la compression du film, après que Christophe réalise sur son téléviseur qu'une étrange teinte verte a fait virer inexplicablement les couleurs du master. (En vérité, on le découvrira des années plus tard, les tubes cathodiques de cette époque, différents du moniteur HD sur lequel nous avions validé le film, viraient au vert. Ils nécessitaient donc une teinte rouge dominante afin de rééquilibrer l'image, ce qui explique que tous les masters des années 90 à 2005 ont un "red push" donnant sur les écrans d'aujourd'hui une apparence rosée).
Pour passer le temps en attendant que les graphistes nous envoient les nouveaux menus sur internet la nuit, nous jouons à la Dreamcast à SoulCalibur avec Sebastien (et oui, nous sommes encore en 1801) !
Une fois le travail terminé, Sébastien a dormi pendant 4 jours, sans qu'il ait été possible de le joindre au téléphone... Une fois le DVD sorti, il sera regardé comme l'un des meilleurs jamais édité sur le marché, un exemple à suivre, qui atteindra les 100 000 exemplaires de vente au total, en pleine post-effervescence Pacte des Loups, un happy-end inespéré.
Qui a dit que la vie d'un rédac-chef était de tout repos ? Il s'est assurément trompé. 
La citation de ce numéro : "David, mon ami !"  (Victor Hadida - janvier 2001)
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journaldenimportequi · 6 months
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Jeudi 16 novembre 2023
Escapade parisienne
Les jours passent et je trouve toujours une bonne raison de remettre au lendemain le moment d'écrire ces lignes mais ce soir je suis motivé alors me voilà.
Je suis plutôt influencé par mes lectures du moments, à savoir les mémoires de Paul Bowles et le journal de Paul Léautaud.
Voilà des gens qui savaient écrire !
Quand je lis les écrits de Paul Bowles, je ne peux que regretter amèrement de ne pas mener une vie d'aventurier, explorateur du monde, toujours parti quelque par autour du globe, avec une prédilection pour les endroits exotiques.
Ah c'est sûr qu'il en avait des choses à raconter !
Ne devrais je pas faire pareil ?
Me forcer à bouger pour avoir des choses à raconter ?
Mais je ne suis pas un aventurier, moi je suis trop attaché à mon confort pour courir dans le désert et dans la jungle.
Cependant, il est certain que si j'avais les moyens financiers, je voyagerais régulièrement.
J'ai gardé notamment cette envie persistante de revoir New York City.
Je n'abandonne pas l'idée.
En attendant, je vais à Paris puisque Paris est à 3 heures et demi de train de chez moi.
Ainsi, j'y suis retourné l'autre jour.
Le week-end d'avant, j'ai retrouvé mes amis Justine, Canel et Arthur et nous sommes allé manger au restaurant japonais, puis nous avons filés, Canel en moins, direction la bourse aux disques de Clermont-Ferrand pendant quelques heures et nous sommes ressortis enrichis de quelques galettes plus ou moins intéressantes (j'ai acheté des cds que je possédais déjà en vinyles).
Et puis donc, le lundi suivant, je suis parti à Paris.
Le prétexte de ce séjour court (juste un peu plus de 24 heures) fut la visite d'une exposition au musée d'Orsay consacrée à Van Gogh.
C'est une bonne raison de monter à la capitale, vous en conviendrez.
Je suis donc arrivé à la gare de Bercy après un voyage en train toujours agréable (j'aime les voyages en train) et je suis allé acheter des tickets de métro puis je me suis rendu à mon hôtel habituel, dans le 18ème.
La gérante m'a reconnue, il faut croire que j'ai une gueule qu'on oublie pas (à mon grand désarroi, je rêve de ressemble à monsieur tout le monde).
Il faut dire que ça doit faire la troisième ou la quatrième fois que je séjourne dans cet établissement.
J'ai déposé mes affaire et j'ai filé au boulevard Saint Michel pour me rendre dans le magasin Gibert consacré à la musique et j'ai passé du temps à éplucher les bacs de cds en cherchant la bonne affaire.
J'ai été très raisonnable puisque je suis ressorti avec deux cds d'occasion (un Bob Dylan, « Blonde On Blonde », et un Kanye West, « Late Registration »).
Encore une fois, je possédais déjà ces albums en vinyle.
Après ça j'ai remonté le boulevard et j'ai marché sans but précis.
Je suis passé devant La Closerie Des Lilas, j'ai pensé à Hemingway mais je ne suis pas rentré, trop impressionné par l'histoire de ce lieu, « je ne suis pas digne », j'ai pensé.
Et puis le coca devait coûter une blinde, en plus !
J'ai continué à marcher et le temps s'est gâté, il a finit par pleuvoir et j'ai dû me réfugier dans une brasserie où, unique client, j'ai profité des happy hours pour déguster une pinte de blonde à 5€.
A ce moment là, j'étais plutôt content de moi.
Seul, mais content, je n'aurais pas voulu être autre part.
J'ai fini par rentrer à l'hôtel, en Uber, parce qu'il pleuvait trop et je n'avais pas le courage de me taper tout le chemin inverse jusqu'au métro.
Le trajet m'a coûté près de 27 balles et il a duré presque une bonne heure.
Pendant tout le trajet, le chauffeur n'a pas dit un mot et c'était très bien comme ça.
J'ai observé Paris sous la pluie et c'était presque romantique, il ne manquait plus qu'une compagne à mes côtés.
Je suis rentré, j'ai avalé un sandwich triangle sans saveur en me félicitant de ne pas avoir dépensé de l'argent pour un repas et puis je suis parti, toujours en Uber, il faisait nuit, rejoindre Mathieu, Nina et leurs amis dans un bar à Belleville.
Cette fois ci, le chauffeur n'était pas muet, bien au contraire, il passait son temps à invectiver les autres automobilistes qui avaient le toupet de partager sa route.
Encore une fois je me suis plu à observer Paris et ce soir il y avait une ambiance apocalyptique, des gens criaient, il y avait une tension causée par l'actualité (conflit israélo-palestinien, une manifestation pro palestinienne avait eu lieu quelques heures avant).
J'ai fini par arriver devant le bar non sans un certain trac : j'ai toujours un peu peur de rencontrer des gens nouveaux, je connaissais déjà Mathieu et Nina mais il n'empêche que c'est dur de sortir de ma zone de confort.
Finalement, tout s'est bien passé.
Je n'ai absolument rien bu pendant toute la soirée, et mon côté pingre s'en est félicité.
La soirée était une soirée blind test et c'était très amusant.
Tout s'est terminé à une heure raisonnable et je suis rentré en Uber.
Je me suis endormi facilement, en essayant de ne pas trop songer aux punaises de lits dont les médias n'avaient de cesse de nous parler depuis un bon mois.
Je me suis levé tôt, puisque j'avais commandé un petit déjeuner servi dans ma chambre à 7 heures et demi.
Entre temps, j'ai contacté mon cousin Jimmy qui habite dans le coin pour lui proposer qu'on se voit pour manger à midi avant mon départ.
Il m'a dit que j'étais dingue de dépenser 110€ pour une nuit à l'hôtel, que la prochaine fois je ferais mieux de le prévenir pour qu'il m'héberge.
Nous avons convenus de nous voir à midi.
J'ai rassemblé mes affaires et j'ai quitté mon hôtel pour aller au musée d'Orsay où avait lieu l'exposition.
Et puis, je suis rentré, et j'en ai pris plein les yeux.
Il faut dire que ça fait plusieurs mois que je suis plongé dans une biographie consacrée à Van Gogh et qu'il m'accompagne donc au quotidien, j'ai l'impression qu'il est un de mes proches, presque un ami.
Ce fut vraiment très émouvant de pouvoir observer sa peinture en vrai et de près.
Car sa peinture, il faut la voir en vrai, en 3d, je vous jure, c'est autre chose que de regarder de simples photographies.
Quelle émotion c'était de voir sa palette et ses tubes de peintures, d'observer ses coups de pinceau, ses épaisses couches de peintures recouvrant ses toiles !
Il faut préciser que l'exposition était consacrée à ses deux derniers mois de vie.
J'ai été étonné par le format de ses peintures que je n'imaginais pas si imposant.
J'ai aussi remarqué qu'il ne signait là presque jamais ses toiles.
Et puis encore une fois, beaucoup d'émotion en observant « champ de blé aux corbeaux » qui est une toile qui m'a beaucoup marquée et très tôt puisqu'elle était dans mon bouquin d'école en primaire, au CE2.
Je suis ressorti de là avec une furieuse envie de peintre en me demandant si il était possible d'en être autrement.
Et puis j'ai quitté le musée, pour quelque temps, puisqu'il est évident que j'y reviendrais un jour prochain.
J'ai pris le métro et je me suis rendu au lieu de rendez vous pour attendre mon cousin qui était là pile à l'heure.
Ca me fait toujours quelque chose de le voir, mon cousin, car il est très lié à mon enfance et je suis toujours très nostalgique.
Je suis le seul cousin à le fréquenter encore, aussi.
Je suis très heureux d'avoir conservé un lien avec lui.
Nous avons mangés et j'ai réussi à lui payer le repas (les fois précédentes il avait toujours réussi à me payer la note).
Nous sommes allés nous promener, sommes entrés dans une Fnac et nous avons parlé musique (Cypress Hill), série télé (Miami Vice) et jeux vidéos (Dragon Ball Kakarot).
Et puis nous nous sommes quittés et j'ai filé à la gare de Bercy prendre mon train après une petite journée qui s'est déroulée très vite, finalement, mais je n'étais pas mécontent de cette escapade, il est toujours bon de changer d'air et malgré tout, Paris sera toujours magique à mes yeux.
Voici une poignée de réflexions posées en vrac ces dernières semaines dans le bloc note de mon téléphone :
Plus je me cultive, plus j'ai honte de savoir aussi peu de choses.
Je suis un esthète laid, quelle ironie, tout de même !
J'ai de préjugés à propos des belges et des homosexuels qui ont toujours ma sympathie immédiate, ce qui est plutôt stupide, je m'en rend bien compte.
Je termine ce récit en saluant celles qui me lisent toujours : fidèles lectrices (il semblerait qu'aucun homme ne me lis désormais), c'est un honneur d'être lu par vous : coucou Glady, coucou Kalina !
Bande son : Teenager Of The Year, Frank Black
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pixelsquotidiens · 8 months
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Quel MacBook choisir : M1, M2, 8 Go, 16 Go, 256 Go, 512 Go, 13’, 15’ et pourquoi pas le Pro ? $$$$
Mais au final, quel est mon usage ?
Je me suis retrouvé dans cette situation il y a quelques jours.
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Et j’ai tendance à aller au fond des choses, donc à me renseigner comme il se doit.
Ça veut dire quoi ? Et bien, ça veut dire que j’ai passé des dizaines d’heures sur Reddit et YouTube pour entendre tout et parfois son contraire.
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Si, comme moi, vous vous apprêtez à investir dans un MacBook - Air, le prix fait réfléchir et on ne veut pas se tromper.
D’autant que les composants ne peuvent pas être modifiés par la suite, en cas d’erreur c’est donc fatal (passés les 14 jours qui permettent un retour et même un remboursement).
Mes préférences se portaient sur le Air M2, en 13’ ou 15’. Et au final, est-ce que 8 Go de RAM, c’est suffisant ? Et si je passe à 16 et rajoute du disque dur … mais …. On est presque au prix du Pro, mais le Pro M1 est différent du Pro M2… Plus je me posais de questions, plus le choix devenait nébuleux.
Je suis donc allé dans un Apple Store pour voir de mes propres yeux les « bêtes » ….
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J’y ai passé 1h30, à tester, lancer des vidéos, afficher en plein écran des images de jeux pour m’imaginer une bataille dans Total War Warhammer 3 ou la quête de l’antidote dans Baldur’s Gate 3, la saisie au clavier, le son, l’écran en simulant une position assise (sans fauteuil) qui a fait se rapprocher la sécurité ^^
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Et tout ça, on en parle dans mon prochain billet : les tests en magasin. (et sans spoil : Plot Twist)
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ascle · 2 years
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@edith1962
Journal de bord : jour 1
La folle épopée sur les traces d’Aline.
C’est brochure en main que nous attendions au petit matin notre guide québécoise pour l’excursion que nous avions réservée. La pub était ambitieuse et nos attentes étaient grandes face à cette journée qui s’annonçait forte en émotion.
Le plan de match: on nous a promis une journée sur les traces d’Aline et si la brochure disait vrai…
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Première déception: notre guide arrive avec 1h de retard! Mais c’est le seul petit bémol et il a rapidement été oublié, car paroles de chanson et racinette en main, nous sommes parties à l’aventure!
(Même le Doliprane était fourni!)
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Premier arrêt: Montréal
Le magasin de disque où la jeune Aline avoue à une journaliste qu’en fait elle n’est pas tant bonne. L’entrée des artistes pour la promo du film. L’arrivée fracassante d’Aline en patin au bureau de Guy-Claude. Le parking un peu chelou où on constate que même 3 ans plus tard l’eau ne s’est pas drainée et pour finir le déjeuner au Schwartz en compagnie de 3 anglos beaucoup trop proche #covid. Nous avons été initiées au sport d’été préféré des Montréalais: slalom entre les cônes orange et on a même failli péter le bagnole sur un nid de poule! Toutes les promesses de la brochure semblent se concrétiser.
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Pas l’temps d’niaiser (notre québécois s’améliore d’heure en heure)! Direction Charlemagne pour un recueillement sur le peu de Céline qui reste.
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Nous reprenons la route pour une destination qui n’était pas sur le programme. Notre guide se voulant rassurante, nous a expliqué, sourire en coin, qu’à un certain âge on mélange parfois le nom des villes, mais l’important est d’avoir l’humilité de l’admette (Repentigny sa mère!).
Devant nous, le majestueux fleuve St-Laurent et le rappel de la petite Aline patinant, ignorant encore que dans quelques heures son destin va basculer!
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Nous traçons notre chemin entre les préparatifs de l’Oktoberfest (du 9 au 11 sept) en imaginant la surface gelée sur laquelle les crampons étaient interdits. Combien de techniciens sont tombés au combat? Nul ne le sait…
Dernier arrêt au programme: la mythique Ste-Scholastique! Après l’étrange maison bleue qui au final n’apparaît pas dans le film malgré l’enthousiasme dansant du départ, c’est au détour d’une rue que nous avons fait connaissance avec les villageois et leur achat à la SQDC!
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Nous pensions à tort que l’aventure était terminée, mais notre extraordinaire guide nous a fait remarquer que quelques points de la brochure n’avaient encore été abordés. La terreur devait se lire dans nos yeux, car en effet nous n’avions pas encore testé nos habiletés à la hache!
(On remarquera que notre guide a fait petit dans l’accent)
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C’est avec fierté que nous avons célébré notre exploit en recevant notre cadeau. Nous pouvons rentrer en France et nous la péter avec notre merchandising offici… enfin bref, du matos du film Aline. Il ne nous restait plus qu’à finir le tout avec une Céline sur le gâteau!
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Merci à @valerielemercier qui, avec son film, a rendu cette journée possible. Merci pour tout :)
Merci à @edith1962 qui s’est presque exclamée: JE VEUX VIVRE AU QUÉBEC!
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nnjzz · 1 year
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SECLUDED BRONTE + RYOJI IKEA + LA SPHYNGE
SECLUDED BRONTE uk RYOJI IKEA fr / jp / swe LA SPHYNGE / fr Le Petit Café 14 bd de Strasbourg 75010 M° Strasbourg St-Denis / Château d'Eau... EARLY SHOW !! 19:30 portes 20:00 aktion 22:12 fin P.A.F.  6€ SECLUDED BRONTE uk  "  ... trans-acoustic miniature lodge from London that propagates  Music Theatre from Hell. The trio - the infamous Bohman Brothers and radiologic composer Richard Thomas - revel in Psychedelic No Wave Go Go OuLiPo Disco Lipogrammatic Fantasy Rhythm and Poetry ( Felix Kubin ) Entre Ivor Cutler, Eugene Chadbourne, The Shadow Ring, mon cul sur la commode, ta mère devant la piscine,The Bonzo Dog Doo-Dah Band, The Temperance Seven, Fluxus, le GRM ( Parallèle - what else ), Lol Coxhill, ceci, voire cela & what have you .  Une fois n'est pas coutume * : il y aura de la CHANSON ( sic ) mais surtout PAS QUE. Formé il y a une bonne vingtaine d'années, il s'agit d'un super ( super ) groupe, " minimaliste et brutaliste " qui opère en secrétant des structures hybrides, sous forme des pop-songs parfois,lorgnant vers la tradition du music-hall bien british mais contaminées par une certaine forme d'entropie galopante (ou :  bien discrète), brassant ( et bruissant ) large à l'aide d'objets amplifiés, guitare, piano, limericks, monologues impromptus, gags, chorégraphies, et ... autres formes de procès ( ou processus). " ( toujours à ) creuser un sillon idiosyncrasique au cœur de ce que l’on pourrait appeler l’art-music.Selon leurs propres dires, ils ne sont pas tant un rayon dans un magasin de disques que le magasin de disques lui-même. Drôle de record shop où l’on retrouverait dans le même bac : du Rock ‘n’ Roll, du bric-à-brac, des sons de grenouille taureau, de la noise abstraite, du hardcore, de la musique concrète, des bandes originales de films, de la poésie, des chansons et mêmes des sketchs ! Ne pas s’y tromper : Secluded Bronte improvise rarement, mais leurs compositions se construisent sur les débordements incessants.Ils adoptent principalement une approche conceptuelle de la musique. " ( Instants Ch. )   Les frères Bohman opèrent dans les marges de l’underground londonien depuis des décennies.Ensemble ou séparément, dans Morphogenesis, The Bohman Brothers, The London Improvisers Orchestra... .. Il leur arrive de collaborer fréquemment avec le cinéaste Peter Strickland - il a publié un 7" d'eux sur son label Peripheral Conserve et ils incarnent le temps d'un caméo des bruiteurs de cinéma dans son BERBERIAN SOUND STUDIO. Richard Thomas est multi-instrumentiste, inclassable, écrivain, comédien... The Bohman Brothers are known for their unique live performances mixing theatre, speech and sounds made from a Heath-Robinson-style array of found objects connected to microphones and laptops.” “It’s hard to describe the raw, explosive audio art they perpetrate. Everyday objects and sounds are worked on until they become saturated with lurid suggestion, resulting in a bizarre, hysterical immediacy … in the traditions of the Bonzo Dog Doo-Dah Band, the Bohman Brothers kitchen-sink realism laughs at the grand claims of lofty art. They will show you fear in a sponge from a drainer.” (Ben Watson in The Wire).
https://www.youtube.com/watch?v=7c6vahmDcy8
https://www.youtube.com/watch?v=IRaf9rhmybw
https://www.youtube.com/watch?v=_zpg5E-72Gc
https://soundcloud.com/secluded-bronte
https://thebohmanbrothers.bandcamp.com/
https://fforddallan.bandcamp.com/music
https://fortevilfruit.bandcamp.com/album/in-their-70s
https://www.richardthomascreative.com/
RYOJI IKEA fr / jp / swe " Armé d'un ordinateur portable, d'une poignée de patches bricolés avec MAX/MSP et d'une collection de samples piochés chez Olivier Messiaen, Eric Dolphy ou Les Nuls, Ryoji Ikea s'évertue depuis 2019 à réaliser une synhtèse de l'esthétique Mego ( " de la grande époque " ) et du plunderphonic éhonté par des collages publiés sporadiquement au plus grand étonnement de Web surfers ayant fait une faute de frappe dans la barre de recherche de leur navigateur. " https://ryojiikea.bandcamp.com/ LA SPHYNGE / fr / jp New band in town. Juliette Bineau ( Minitel... ) & Saada Abe ( They Lived, entre autres... ). AVANT-PREMIERE MONDIALE. Pas de lien, pas de problème. Expect the unexpected. Fly - Jo L'Indien
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vinylespassion · 9 months
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Coup d'œil indiscret derrière la vitre d'une boutique disparue. D'après les poignées des meubles, on peut imaginer un magasin de musique / disques.
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ppwbm-blog · 2 months
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U.K. : Les disquaires indépendants se multiplient – ​​mais les supermarchés désertent la musique
Les données récentes de la Digital Entertainment and Retail Association (ERA) révèlent une augmentation significative du nombre de magasins de disques indépendants au Royaume-Uni, avec 122 magasins de plus qu’en 2014, totalisant maintenant 461 magasins. Cette croissance s’explique en partie par un regain d’intérêt pour le vinyle, qui a contribué à des revenus annuels dépassant les 170 millions de…
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azaleassgc · 2 months
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RETROSPECTIVE V BIG APPLE Dubstep allstart !
Salut la team ça va ? Nous aussi très bien, bonne année au fait. On voulait vous proposer un gros truc mais finalement ça suit pas du coup il fallait improviser. Le dubstep meurt à petit feu et comble de l’ironie ça fait dix ans que le Fabriclive 37 est sorti. Certains vont vous dire que c’est ce disque a enterré le genre, d’autres vont s’éclater les veines et venir vous dire à quel point les puristes sont un cancer pour la musique. Du coup : improvisation. Quoi de mieux pour remonter le moral des troupes en ce début d’année 2018 qu’une bonne remise à niveau qui met tout le monde d’accord : les origines de notre chiasse commune, le Dubstep. Et oui vous l’avez bien compris on va parler de Big Apple aujourd’hui !
Je pense que revenir sur Big Apple en tant que label exclusivement est une hérésie tant cela occulterait beaucoup de passages sur l’histoire du genre. À l’origine Big Apple était un magasin de disques situé à Croydon, dans le sud de Londres et qui appartenait à John Kennedy. Le magasin fut ouvert de 1992 à 2004. Kennedy était surtout actif en tant que dj de Techno et de House à l’époque de l’ouverture du magasin. Un des points les plus importants à savoir sur ce Kennedy dans notre petite histoire c’est qu’il était un bon ami d’un certain Neil Joliffe, sur qui nous reviendrons plus tard : tout ce que vous avez à savoir c’est que ce gars est derrière Tempa et surtout Ammunition qui est la grande société gérant tout ce merdier.
Dans les employés de Kennedy au shop vous pouviez retrouver un certain Hatcha (le mec qui touche les boobs sur la photo là) qui était derrière le comptoir, ainsi qu’Artwork qui était un ami des deux et passaient ses journées avec eux. Le magasin vendait principalement des disques de Techno à ses débuts, néanmoins il a vite élargi son champ avec un étage entier dédié à la Jungle et au Drum & Bass : c’était à cet étage que travaillait Hijak (le frère de Skream) et DJ Bailey (qui est maintenant Dj résident sur BBC Radio 1). Autre point intéressant de ce shop : il y’ avait un studio d’enregistrement. Studio qu’Artwork a très vite rejoint pour y travailler, étant lui même producteur sous de nombreux alias (Menta, Grain). Dans les têtes connues qui trainaient beaucoup à Big Apple, vous pouviez également retrouver Benga et Skream, qui à cette époque était des gamins de 14, 15 ans. Le dernier élément à avoir vraiment impacter l’histoire Big Apple est bien entendu Benny Ill, qui avait rencontré Artwork autour de masterings de morceaux pour un producteur suisse de l’époque. Ce qu’il faut bien comprendre concernant toutes ces personnalités diverses c’est qu’ils étaient tous fans de UK Garage.
Big Apple Uké quoi ? Garage ? Oui, Garage. Autrement dit, l’un des courants musicaux les plus importants dans l’histoire électronique Britannique. Si vous ne savez pas ce que c’est, je vous rassure vous en avez surement écouté sans le savoir. En gros le UK Garage c’est l’une des réponses des anglais aux disques de House Américains importés dans certaines raves de l’époque. Des vieux djs comme Tuff Jam ont commencé au milieu des années 90 à créer des versions « dubs » de certains vocaux de disques de house américain (et pas que) en accélérant le tempo et en demandant à des gars de la jungle de rapper par dessus. Au bout d’un moment ce fut compliqué pour les producteurs de se procurer autant de vinyles américains en raison du prix excessif de l’importation de ceux-ci en Angleterre. C’est là que le Garage fut vraiment lancé puisque beaucoup d’anglais se mirent alors à créer leur propre « House » sur cette même base « Américaine ». Le rythme s’accélère dans le son et c’est là que les lignes de basses commencent à se gonfler. Très vite le genre commence à réellement être lancé et certaines dérives extrême du son commencent à apparaitre : comme par exemple le « Speed Garage » qui accélèrent excessivement le rythme. Le genre se saborda lui-même par ailleurs.
La suite du son se trouve dans la rythmique-même. Aux alentours de 1999 le son de divise en deux catégories distinctes : le « 2-step » et le « 4×4 ». Le 4×4 ça désigne le tempo de base du son, directement puisé des vieux vinyles de house américain. En gros c’est comme la techno : le « kick » (grosse caisse) va faire « boom, boom, boom, boom » régulièrement (tous les temps sur une mesure 4/4 pour être précis). Le 2-step change cette rythmique en s’inspirant d’autres mouvements musicaux populaires et qu’on peut qualifier de « syncopé ». Autrement dit ça fera pas forcément « boom » à chaque temps précis. Ces styles là sont la Jungle, la Drum & Bass, le Breakbeat pour ne citer qu’eux. Revenons à notre 2-Step il fait quoi concrètement : et bien le Kick (le boom) ne vas pas frapper de manière aussi binaire le temps. Ouais c’est bizarre dit comme ça, mais en fait non :
Le mouvement des rythmes « 2-Step » fut une sorte de grand frère au « 4×4 ». Le premier beat 2-step fut américain par ailleurs et on peut remonter son origine à l’année 1995. Pour la petite anecdote : Craig David a fait un morceau avec Artful Dodger et c’était du UK Garage, même du 2step au niveau de la rythmique. Vous vous souvenez de ce rappeur anglais The Streets ? Spoiler : tous ces beats de l’époque c’était du Garage aussi. Je vais m’arrêter là, la liste est longue. En gros le 4×4 à la fin des années 90 se fit un peu « écraser » par le 2step, bien que certains irrésistibles nordistes persisteront avec les rythmiques 4×4, ce qui donnera bien plus tard naissance à la scène « Niche‘ qui plus tard sera rebaptisé en « Bassline‘. Le Grime est apparu à cette même époque, dans un premier temps pour transformer le son puis pour laisser réellement le champ libre aux Mcs, mais pas de manière aussi « smooth » que dans les racines du ukg « classique ». En terme de production-même, les anglais ont su se ré-approprier correctement le genre puisque ils l’ont bourré d’effet Dub, eux même étant beaucoup influencés par cette scène déjà très présente sur le territoire. Beaucoup d’aficionados du Ukg de l’époque ont très mal vu l’émergence de toutes ces mutations du genre qui furent jugés plus sombres et violentes que leurs racines.
Pour faire court, l’histoire de Big Apple peut se résumer à ça : une bande de potes voulant continuer de transformer le garage qu’ils entendent tous les jours en quelque chose de plus sale et dégueu. Le terme « Dubstep » est apparu plus tard pour désigner de manière précise le son de toute cette frange : « Dubber les rythmes 2-step, Dub … 2-step … Dubstep ! ». Notre bande de Croydon ne furent pas les seuls à produire de cette manière, d’autres avaient déjà commencé le travail comme El-B, Oris Jay ou encore Zed Bias. Au début des années 2000, notre bande était déjà dans cette optique de faire du Garage plus sombre. Je vous invite à écouter le son « Sounds Of The Future » de Menta (l’un des alias de Artwork) qui en gros intégrait des éléments un peu « techno » à la rythmique UKG ainsi qu’une ligne de basse plus costaud. Artwork parle beaucoup de l’influence qu’a eu Benny Ill sur la manière de faire le genre. Un jour Benny a débarqué au studio Big Apple pour leur faire écouter du son » Hey les gars j’ai fait du Garage, vous voulez écouter ? » Sauf que le Garage de Benny Ill de l’époque… c’était quelque chose : et ce quelque chose n’est autre que le squelette même du mouvement Dubstep qui déferlera par la suite. La rythmique garage 2-step comporte le kick sur le mauvais temps, pleins de samples de films de série B mélangés et une ligne de basse monstrueuse inspirée de celles du mouvement reggae / dub. Hatcha fut le premier à jouer des morceaux de Horsepower Productions (le groupe de Benny Ill) dans une soirée UKG de l’époque : la FWD (autrement dit l’ancêtre des premières soirées « Dubstep » et appartenant au groupe Ammunition). Suite à ce choc dans l’univers du UKG toute notre bande s’est trouvé un entrain pour faire leurs propres morceaux de garage – « mutants ». Pour la petite anecdote, le fameux Skream alors agé de 15 ans à cette époque passaient ses journées au magasin pour voir son grand frère Hijak mais aussi surtout pour regarder Benny Ill produire ces morceaux. Benny Ill fut clairement une sorte de prédécesseurs de toute la scène, dans sa manière de produire. C’est ici que commence la discographie Big Apple…
Il fallait un premier espace pour diffuser ces expérimentations : Big Apple Records est ainsi né. Le premier ep est signé Artwork avec 4 morceaux qui sont désormais cultes. « Red » vous restera dans la tête à chaque écoute que vous lui accorderez, et chose incroyable c’est le groove de tous les éléments du son qui vous restera et pas que certains éléments comme le synthé, la basse ou la rythmique. La deuxième sortie voit l’arrivée officielle de Benga avec « Skank » et « Dose », deux morceaux dont la rythmique frôle entre grime et garage mais dont la froideur est sans pareille. Quand on sait qu’il n’avait que 16 ans au moment de la sortie du vinyle, on comprend mieux la carrière qui l’a suivi juste après. La troisième viendra greffer Skream aux productions de Benga et c’est peut-être ici l’un des disques les plus importants du genre. « The Judgement » fut une claque monumentale pour beaucoup de monde. En effet tout est maitrisé de bout en bout : le sample d’O’Brother avec ses fameux chants de la scène du Ku Klux Klan, le roulement du beat précis qui rebondit à merveille avec les différents effets associés à la basse qui sonne entre dub et grime de l’époque. Ce mélange judicieux a posé les bases du genre, rejoignant celles établies par Benny Ill. D’ailleurs Skream passaient beaucoup de temps avec Benny durant son adolescence, temps durant lequel il a pu apprendre énormément en production : souvenez-vous Benny est ingénieur du son, de base. Suite à leur rencontre avec Benga, les rumeurs disent qu’ils passaient des heures à se faire écouter leur morceaux au téléphone tous les soirs en se donnant des conseils.
En 2004 le label sort un ep entier dédié à Digital Mystikz. Il est intéressant de noter ici que Mala et Coki produisaient déjà avant de rencontrer la team de Big Apple. Il me semble que Mala avait rencontré Hatcha suite à une rave et lui avait fait écouter leurs démos. Les 4 morceaux de l’ep sont ceux que Mala avait fait écouter à Hatcha dans sa bagnole suite à leur rencontre. Cet ep de 2004 est à ce jour un des plus violents de DMZ pour ma part, je trouve certains subs vraiment tranchants dans celui-ci que je ne retrouve plus ailleurs dans les sonorités DMZ. Les bases du son DMZ sont déjà là et on retrouve ce qui m’a toujours fasciné chez eux : l’usage de samples ou de textures vraiment travaillée et exploitées. Même si c’est deux notes, un bruit bizarre ou une trompette cassé ils arrivent toujours à le mettre en avant dans le son et en combinant parfaitement le reste de la rythmique pour le rendre hypnotique. Toujours en 2004 c’est un autre ep de notre duo phare « Skream/Benga » qui sort et continue de nous proposer leurs expérimentations garage-grimey-duby mutants. Je fais court sur cet ep car la même année est sorti le monstrueux « Jungle Infiltrator » d’un certain Loefah, qui faisait déjà parti de DMZ. On retrouve ici la formule magique qui fera de DMZ et de Loefah des légendes du genre. Cette formule à mon sens c’est le minimalisme, surtout pour Loefah qui fut le meilleur la dedans. « Jungle Infiltrator » est incroyable dans sa tension, mais j’ai toujours préféré « Life Dub » qui n’a quasiment aucune mélodie et ne joue que sur un rapport entre subs foudroyants et samples mystérieux. En 2006 c’est sans son collègue de toujours que Skream balance « Acid People ». Le morceau titre de l’ep est une boucle Dark Garage comme on en fait plus de nos jours. Et spoiler : « Who R Those Guys » est peut-être l’un des meilleurs morceaux de l’histoire. L’aventure Big Apple se terminera sur un ep de Coki dont les mots me manquent tant il est fabuleux. Pour la faire court, le brostep vient de là, ta chiasse de riddim aussi, et ton edm de merde également. Sans Coki vous ne seriez rien, et vous n’êtes rien.
Le catalogue s’arrêtera là en 2006 pour des raisons inconnues même si nous pouvons supposer sans trop se mouiller qu’il y’ a un lien avec l’arrêt du magasin, et le fait que toutes les structures propices au développement du genre étaient toutes déjà en place : comme Tempa ou DMZ Records par exemple. De nos jours beaucoup de ces légendes ont tournées le dos au genre : Skream ou Artwork qui sont dans la house maintenant. Hatcha qui n’en finit plus avec ses sonorités brostep et son label avec une direction artistique plus qu’étrange. Les rumeurs disent que Loefah demande un cachet supplémentaire si tu veux le voir jouer Dubstep maintenant. Ah ouais y’a eu Magnetic Man aussi … mais ça on va pas en parler. Mieux ne vaut jamais en parler. Mala persiste et signe, continuant dans sa vision « Soundsystem » de l’aventure avec Deep Medi, même si la qualité du catalogue commence à faiblir malgré la récente signature d’Egoless. Mais tout n’est pas perdu. À l’occasion de sa résidence au XOYO un club Londonien, Artwork vient d’annoncer récemment en Mars une soirée spéciale « Big Apple Réunion » avec des invités mystères et placée sous le signe du Dubstep. Y’a t’il des chances de revoir Skream balancer un énorme « Lemon » ? On croise les doigts les gars…
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laplacoteuse · 6 months
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Séance #8 — Jadis analogique, maintenant digital
On le sait bien qu’aujourd’hui tout se passe sur Internet. Je pense notamment au domaine de la culture et du divertissement qui domine la toile web de plus en plus. Par conséquent, les créateurs ont dû s’adapter énormément en raison de l’émergence du numérique prédominante. Je pense entre autres aux personnes du monde de la musique et des artistes qui ont dû transformer la production et la diffusion de leurs produits afin de s’accorder avec la nouvelle ère. Effectivement, dès les années 1950, nous pouvions retrouver la musique sous la forme physique grâce à l’apparition des disques microsillons sur le marché (https://fr.wikipedia.org/wiki/Disque_microsillon). Nous avions vu par la suite vu l’apparition des cassettes, puis des disques compacts qui se sont tous remplacés les uns aux autres. Toutefois, celui qui les a tous dominé finalement est le numérique. En effet, la manière de créer, de diffuser et de consommer de la musique a complètement changé dès l’arrivée de l’informatique.
Avant, afin d’écouter et d’encourager nos artistes préférés, nous devions nous déplacer et acheter leurs albums physiquement en magasin. Maintenant, lorsque les artistes veulent partager leur création musicale avec leurs admirateurs, ils leur suffisent de publier les chansons/albums sur une plateforme de diffusion en ligne. Par conséquent, les adeptes de musique peuvent écouter leurs chansons favorites dans le confort de leur lit sur YouTube ou bien des plateformes tels que SoundClound, Spotify, Deezer ou Apple Music. Cela démontre bien comment la culture est devenue numérisée et la place grandissante que prend le numérique. Ce qui était auparavant consommé de façon tangible est maintenant disponible instantanément, et ce, de façon numérique.
Cependant, l’usage de telle plateforme de streaming peut amener son certain lot de conséquences sur le revenu des artistes. Effectivement, comme soulevé dans cet article (https://www.ledevoir.com/culture/musique/437341/les-ventes-de-musique-numerique-rattrapent-les-ventes-physiques) du Devoir, les plateformes de diffusion prennent une énorme part de revenus sur celui des artistes. C’est donc à se demander si les artistes ne devraient pas créer leurs propres plateformes afin de diffuser leur musique et ainsi, avoir tout le cachet auquel ils ont droit? Est-ce que les admirateurs des artistes vont suivre le mouvement?
À suivre…
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suis-nous · 7 months
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