Tumgik
#le au quelle belle
misskyeyes · 6 months
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La riconoscerà da un tulipano in mezzo alle pagine di un libro. È tutto quello che le ha lasciato come indizio. Lui, scherzando, le ha detto che ha un diavolo per capello - letteralmente. Ed ora ha il terrore che entri il capellone della libreria in fondo alla strada e gli soffi la compagnia da sotto il naso. I tavolini, per un posto così piccolo, sono inevitabilmente occupati. Una coppia di studentelli che chiacchiera davanti a due gelati semidisciolti, un’anziana signora con tanto di barboncino che pare uscita da una sala da tè inglese. Niente libro davanti a loro, a meno che quel tulipano non sia abilmente nascosto tra le pagine del grosso vocabolario che spunta dalla borsa di uno dei due studenti. Per fortuna delle sue paranoie, però, si alzano e se ne vanno. È rimasta solo la vecchia. E la fioraia del corso, poco più in là. La sua dirimpettaia di negozio. Che se ne sta col naso tuffato in un libro, ignorando la tazza di cioccolata calda e fumante davanti a lei.
From A World Of Picket Fences And Quiet Streets by innominecarbohydrates on AO3.
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lisaalmeida · 12 days
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ils ont demandé au maître quelle était la différence entre la chimie et l'alchimie dans les relations de couple et je réponds à ces belles et sages paroles :
- les gens qui cherchent "chimie" sont des scientifiques de l'amour, c'est-à-dire qu'ils sont habitués à l'action et à la réaction.
Les gens qui trouvent l'"Alchimie" sont des artistes de l'amour, ils créent constamment de nouvelles façons d'aimer.
Les produits chimiques aiment par nécessité.
Les alchimistes par choix.
La chimie meurt avec le temps,
L'Alchimie naît à travers le temps...
La chimie aime l'emballage.
L'alchimie profite du contenu.
La chimie se produit.
L'Alchimie se construit.
Tout le monde cherche la chimie,
Seuls certains trouvent l'alchimie.
La chimie attire et distrait les machos et les féministes.
L'Alchimie intègre le principe masculin et féminin,
C'est pourquoi il se transforme en une relation d'individus libres, et avec des ailes propres, et pas sur une attraction qui est soumise aux caprices de l'ego.
En conclusion, dit le maître en regardant ses élèves :
L'Alchimie rassemble ce que la chimie sépare.
L'alchimie est le mariage réel, la chimie le divorce
Que nous voyons tous les jours dans la plupart des couples.
" Commençons à construire des relations conscientes,
Car la chimie nous fera toujours vieillir le corps,
Pendant que l'alchimie nous aimera toujours de l'intérieur "
[....]
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jacquesdor-poesie · 3 months
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Quelle joie profonde, en longeant les vitrines du monde, de m'apercevoir que rien ne me fait plus envie. Plus aucune tentation, plus aucun besoin de désirer des choses : je n'ai besoin de rien de matériel, j'ai déjà l'essentiel. Qu'est-ce qui me ferait plaisir, qu'aurais-je envie d'avoir, d'acquérir, de rapporter chez moi ? Rien, sincèrement, profondément, absolument rien, désolé je ne suis plus client. Besoin d'autres choses, besoin de paysages, besoin de voir la mer ou un beau visage, oui, ça oui. Besoin de profiter du silence ou d'une belle voix, oui, ça oui. Besoin du mouvement de la rivière et de l'odeur des sous-bois, oui, ça oui. Besoin de voir l'ocre d'une belle façade sous le soleil, la profondeur d'une ruelle déserte baignée de nuit, oui ça, oui. Besoin de laisser naître en moi une belle idée et peut-être d'en faire trois lignes qui se perdront elles aussi : oui, ça oui, cent fois oui. Pire encore ou mieux encore —c'est au choix : depuis peu je n'attends plus rien, ni personne. Et pourtant... si "plus rien, ni personne"  frappaient à ma porte, j'irais ouvrir et je serais heureux de ce qui suivrait. Je les accueillerais avec plaisir "rien, ni personne", même si à nouveau ils venaient à disparaître. J'en suis arrivé là, je suis capable de ça. Capable de laisser arriver ce qui arrive. Et si cet état devait disparaître avec les acteurs responsables de cet état, ce ne serait pas un drame. Je ne regarde plus dans les vitrines, j'oublie, c'est comme si je gardais les yeux fermés en marchant. Je ne fabrique plus aucune attente, ni aucun de ses produits dérivés : le manque, les frustrations, les désirs incomblés et tout cet inassouvi ravageur qui en découle. Je prends ce qui veut bien venir à moi et me reconnaître. Et sans jamais l'attendre je sais qu'elle existe la minuscule tribu de ceux qui finissent un jour par arriver, s'ils arrivent. L'âge offre ça, ce cadeau, quel cadeau, quelle paix, quel pied (de randonneur) ;  ça doit s'appeler finalement le détachement, ça doit s'appeler finalement la Liberté.
jacques dor
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jamie-007 · 3 months
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«Beaucoup sont décédés, ceux et celles qui sont toujours là sont appelé(e)s «les personnes âgées».
Nous sommes né(e)s dans les années 40-50-60.
Nous avons grandi dans les années 50-60-70.
Nous avons étudié dans les années 60-70-80.
Nous étions ensemble dans les années 70-80-90.
Nous nous sommes mariés, ou pas, et avons découvert le monde dans les années 70-80-90.
On s'aventure dans les années 80-90.
On se stabilise dans les années 2000.
Nous sommes devenus plus sages dans les années 2010.
Et nous allons fermement jusqu'en 2020 et au-delà.
Il s'avère que nous avons traversé HUIT décennies différentes...
DEUX siècles différents...
DEUX millénaires différents...
Nous sommes passés du téléphone avec un opérateur pour les appels longue distance, des cabines téléphoniques, aux appels vidéo partout dans le monde.
Nous sommes passés des diapositives à YouTube, des disques vinyles à la musique en ligne, des lettres manuscrites aux e-mails et Whats App.
Des matchs en direct à la radio, à la télévision en noir et blanc, à la télévision couleur, puis à la télévision HD 3D.
Nous sommes allés au magasin de vidéos et maintenant nous regardons Netflix.
Nous avons connu les premiers ordinateurs, les cartes perforées, les disquettes et maintenant nous avons des gigaoctets et des mégaoctets sur nos smartphones.
Nous avons porté des shorts tout au long de notre enfance, puis des pantalons longs , des pats d'eph ou des mini-jupes, des Oxfords, des Clarks, des foulards palestiniens, des combinaisons, et des jeans bleus.
Nous avons évité la paralysie infantile, la méningite, la poliomyélite, la tuberculose, la grippe porcine et maintenant le COVID-19.
Nous avons fait du patin à roulettes, du roller, du skate, du tricycle, du vélo, du cyclomoteur, de l'essence ou du diesel et maintenant nous conduisons des hybrides ou des électriques.
Nous avons joué aux petits
chevaux et aux dames, aux osselets et aux billes, au 1000 bornes et au monopoly, maintenant il y a candy crush sur nos smartphones
Et nous lisions...beaucoup
Et la religion de nos camarades d'école n'était pas un sujet...
Nous buvions l'eau du robinet et la limonade dans des bouteilles en verre, et les légumes dans notre assiette étaient toujours frais, aujourd'hui on se fait livrer les repas
Oui, nous avons traversé beaucoup de choses, mais quelle belle vie nous avons eu !
Ils pourraient nous décrire comme des «exannuels» ; des gens qui sont nés dans ce monde des années 50, qui ont eu une enfance analogique et une vie adulte numérique.
Il faudrait y ajouter la révolution Biologique à laquelle nous avons assisté. En 1960, la Biologie était très descriptive. On a assisté à l'avènement de la Biologie Moléculaire : les molécules de la Vie ont été decouvertes: ADN, ARN etc. Quand on voit tout ce qui en a découlé : thérapie génique, empreintes genetiques, et autres les progrès sont considérables.
Nous avons en quelque sorte «tout vu» !
Notre génération a littéralement vécu et témoigné plus que toute autre dans toutes les dimensions de la vie.
C'est notre génération qui s'est littéralement adaptée au «CHANGEMENT».
Un grand bravo à tous les membres d'une génération très spéciale, qui sera UNIQUE..»
Photo Woodstock 1969
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coolvieilledentelle · 2 months
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Tous ces moments partagés tous ces sourires multipliés au fil du temps quelle douce et belle complicité... Bonne soirée chers amis avec la personne que vous chérissez le plus
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pompadourpink · 1 year
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Les déterminants
Les articles
#1. Indefinite articles (unknown noun)
Un (masculine sg) > j'ai une chienne - I have a dog
Une (feminine sg) > j'ai un chat - I have a cat
Des (plural) > il y a des oiseaux dehors - there are birds outside*
#2. Definite articles (known noun)
Le + consonant, L' + vowel (masc sg) > le dîner est servi - dinner is served
La + consonant, L' + vowel (fem sg) > la table est prête - the table is reay
Les (plural) > les invitées sont là - the (female) guests are here
#3. Partitive articles (portion of the noun, not all of it)
Du > je vais prendre du café - I'm going to get coffee
De la > je voudrais de la salade - I would like some salad
Des > le matin je mange des céréales - In the morning I eat cereals
*Des becomes De 1/ when there is an adjective before the noun > tu as de beaux yeux - you have got nice eyes or 2/ in negative sentences > je n’ai pas de chaussettes - I don’t have socks.
N.B. When attached to prepositions à or de, le and les become contracted articles: au (à + le), aux (à + les), du (de + le), des (de + les): au clair de la lune - in the moonlight, j’ai des allergies - I have allergies.
*
Les déterminants possessifs
#1. For a single owner
Mon, ton, son (masculine singular) - my, your, his > mon chat est blanc
Ma, ta, sa (feminine singular) - my, your, her* > sa chienne est noire
Mes, tes, ses (plural) - my, your, their > son lapin est gris
*When a feminine noun following a possessive determiner starts with a vowel, we use the masculine version > c'est mon amie - she's my friend.
#2. For several owners
Notre, votre, leur (singular) - our, your, their > notre chien est vieux
Nos, vos, leurs (plural) - our, your, their > leurs chats sont jeunes
N.B. French focuses on the gender of the property > c’est son chien - it's his/her male dog (there is no information given about the owner).
*
Les déterminants démonstratifs
Demonstrative determiners (from verb montrer - to show, point at) are used to point out the thing or person that is being talked about. They all start with the letter C (mnemonic: here's what I want you to "see").
Ce + consonant, c' + vowel (masc singular) - this > cet arbre est grand
Cette (fem singular) - this > cette maison est immense
Ces (plural) - these > ces fenêtres sont en bois
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Les déterminants exclamatifs et interrogatifs
Quel (masculine singular) > quel est ce bruit ? - what is that noise?
Quelle (feminine singular) > quelle belle maison ! - what a beautiful house!
Quels (masculine plural) > quels drôles d'oiseaux ! - what peculiar people!
Quelles (feminine plural) > tu vas acheter quelles chaussures ? - which shoes are you getting?
NB. In front of a stative verb (être, rester, sembler...), those determiners become modifiers and therefore agree with the noun they are referring to > quelle était sa surprise quand je suis arrivée ! - what great was her surprise when I arrived!
Les déterminants indéfinis
Indefinite determiners are used when the object is vague or unknown, can come with another determiner (les quelques - the few) or be locutions formed by a quantity adverb and the preposition de. Some are invariable. They can express:
A non existent quantity: aucun-e - no(ne), pas de - no > Tu n'as fait aucun effort !
A quantity of one: chaque* - each, n'importe quel-le - any
A quantity slightly over two: un peu de - a little of, quelques - a few, plusieurs - several, certain-es - some, d'autres - some others (works with certains)
A large quantity: beaucoup de - a lot of, trop de - too much of, la plupart de - most of suffisamment de - enough of, tant de - so much, différent-es - many, divers-es - various, énormément de - a great amount of
Everything: tout, toute, tous, toutes > Tu as mangé tous les chocolats !
*Chaque is not very common except in à chaque fois (every time), one would typically use tous with a plural (tous les jours, not chaque jour).
N.B. It's always beaucoup de. Beaucoup des is sinful and punishable by death.
*
Les déterminants cardinaux numéraux
Cardinal determiners express a quantity and take the place of an article. They are invariable (can't agree in gender or number) except for one (un, une) + twenty and hundred that get an -s when there's no other number after (vingt, cent: cent-trois but deux cents) + thousand, million, billion that can be pluralised (millier, million, milliard)
*
L'article zéro (physically absent but theoretically present)
#1. Proper nouns
Je vis à Paris (works for cities and islands),
C’est Noël (holidays),
Je l'ai vu sur Facebook (brands),
Tu as rencontré Isabelle (first and last names)
#2. Regular nouns
Des livres pour enfants, des croquettes pour chats (categories),
Pierre qui roule n’amasse pas mousse (proverbs),
Hommes, femmes, enfants (enumeration),
Avoir faim, sans crainte, homme de loi (locutions),
Elle part vendredi (about something happening a particular day),
Appartement à vendre, sel de mer (signs, labels),
Céline Dion, reine du metgala (apposition)
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Movie: La Jetée - Chris Marker, 1962 (inspo for Terry Gilliam's Twelve monkeys)
Other posts: is it les or des?
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alexar60 · 9 months
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Tomber, encore
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Il était peu rassuré, fébrile.
Il trouvait cela même débile.
Rencontrer quelqu’un sans la connaitre,
Sans avoir réellement vu sa tête.
Il a suffi d’un clic sur internet
Pour qu’une belle femme réponde direct.
Est-ce ça l’amour ? L’amour ?
Il a souvenir d’une ex-copine
Qui, au début se montrait câline.
Mais cela ne dura qu’un temps
Remplacé par la jalousie dès l’instant
Qu’il croisait le regard d’une autre.
Un simple sourire devenait une faute.
L’amour, est-ce ça l’amour ?
Je te veux mon chéri,
Et pourquoi pas pour toute la vie !
Sur quelle folle, vais-je, cette fois, tomber, encore?
Je te veux mon chéri,
Et pourquoi pas pour toute la vie !
Sur quelle folle vais-je, cette fois, tomber, encore?
Sans prévenir, ses amies l’ont inscrite
Sur un site, car il était de principe
De ne pas la laisser finir seule
A élever des chats et boire du tilleul.
A son annonce, elles ont de suite répondu
Parce qu’il semblait beau, pourtant méconnu.
Est-ce ça l’amour ? L’amour ?
Elle n’a jamais eu de chance,
Tombant sur des cons sans intelligence.
Comme le dernier qui n’a pas eu la décence
D’appeler au moins une ambulance
Après avoir laissé des bleus sur son visage.
Il disait qu’elle n’était pas sage.
L’amour, Est-ce ça l’amour ?
Je te veux ma chérie,
Et pourquoi pas pour toute la vie !
Sur quel malade, vais-je, cette fois, tomber, encore?
Je te veux ma chérie,
Et pourquoi pas pour toute la vie !
Sur quel malade vais-je, cette fois,  tomber, encore?
Madame, excusez ma maladresse…
Monsieur, ne croyez que je paraisse…
Je ne cherche qu’une amitié sentimentale
Et moi,  une relation sans scandale.
Et si au début du repas, ils étaient tendus,
Leurs rires ont supprimé les malentendus
L’amour, est-ce ça l’amour ?
Alex@r60 – août 2023
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hellmouthheritage · 11 months
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HELLMOUTH RPG est à la recherche du personnage légendaire de FAITH LEHANE.
Sunnydale 2023 :
La nuit du 2 octobre 2001, Faith était en prison lorsqu'elle a senti son corps commencer à geler. La tueuse a crié de toutes ses forces, mais ayant la réputation qu'elle avait à l'époque, aucun policier n'a voulu s'approcher de sa cellule et lui venir en aide. Lorsque l'équipe tactique du matin arriva devant une cellule remplie de cristaux de sang au sol, ils déclenchèrent l'état d'alerte. En analysant le sang qui était dans les morceaux de glace, le médecin légiste déclara que la fugitive avait belle et bien été tuée par un froid glacial qui avait gelé son corps en entier. Les policiers de Los Angeles ont voulu étouffer l'affaire et n'ont rien déclaré aux médias au sujet de sa mort.
Le 1 juin 2023, le corps de Faith se reconstitua dans la cellule là où elle était morte il y a 22 années. La tueuse regarda autour d'elle complètement désemparée et traumatisée. Elle grelottait et n'avait pas encore conscience de ce qu'il lui arrivait. Elle frappa de toutes ses forces la prisonnière qui résidait maintenant dans son ancienne cage. La tueuse prit possession des vêtements de la femme qu'elle venait d'assommer sans aucune pitié, avec rage. Faith posa ses deux mains sur les barreaux et les écarta avec facilité comme si ce n'était que des cures-dents. Dans le couloir, son regard croisa celui d'un policier qu'elle avait connu autrefois. Le jeune homme commençait sa carrière à l'époque, l'officier ouvrit grand les yeux et reconnu la fugitive qui avait été tué il y a 22 années. Il fonça sur elle, mais malheureusement la tueuse avait toujours ses réflexes de tigresse. La brune haussa le bras dans les airs et fonça sur lui le faisant traverser une fenêtre pour entendre son corps tomber du troisième étage de l'établissement.
Faith en profita pour sauter par la fenêtre et courir rapidement pour escalader le grillage de la prison. Le bruit des voitures de police criait dans tous les sens, mais elle croyait fortement qu'elle allait réussir. La tueuse passa par dessus la grille et sauta dans une voiture en agressant le conducteur, le jetant dehors de son véhicule en pleine conduite. Elle savait très bien quelle direction prendre. La route vers Sunnydale était la seule destination envisageable. Elle regarda rapidement son reflet dans le rétroviseur et elle remarqua qu'elle avait une vingtaine d'années en plus. Elle n'en croyait pas ses yeux, elle continua de se regarder quelques secondes sans remarquer que son véhicule était entrain de dévié de la route. Elle donna un coup de volant pour ramener sa voiture sur la bonne voie juste à temps pour ne pas heurter un autre véhicule qui venait de la klaxonner.
Quelques heures plus tard, elle débarqua à Sunnydale. Une ville hantée par les monstres et par les erreurs de son passé. Elle ressentait la présence de Buffy, mais aussi d'une nouvelle élue. Après 22 années passées dans la noirceur de la mort, elle savait très bien qu'il allait falloir qu'elle se trouve un refuge où habiter sans avoir à payer trop cher, mais la tueuse avait toujours su se débrouiller seule. Faith décida de se rendre dans un lieu qu'elle connaissait bien, elle y avait passé son adolescence. Le Bronze. N'ayant pas reprise complètement ses esprits, la brune défonça d'un coup pied la porte du propriétaire et le poignarda dans le ventre sans pitié utilisant le couteau ensuite pour ouvrir la serrure du coffre-fort de l'établissement où elle trouva quelques milliers de dollars en liquide. La tueuse décida de se débarrasser du corps et de prendre en charge la grande responsabilité de propriétaire du Bronze sachant qu'elle retrouverait rapidement ses anciennes connaissances.
Faith Lehane découvrira qu'à sa mort en 2001, elle était enceinte. Son fils créé par la magie des puissances supérieures Lukas Lehane. Apprenant que la tueuse est en route vers Sunnydale, il essaiera de la retrouver pour se présenter à elle et en connaitre un peu plus sur la véritable nature de sa mère.
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homomenhommes · 30 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 149
Jean est passé l'autre soir. Cela faisait un bon moment que nous ne l'avions vu. Du coup il est resté diner car il avait plein de chose à nous raconter.
Tout d'abord le deal avec son " vieux " roule tout seul. Exigences correctes aussi bien coté temps passé que prouesses sexuelles. Financièrement le marché est aussi respecté, donc tout le monde est content (voir l'Audi A3 neuve dans la cour). Le seul défaut du système est le manque de diversité ! Baiser avec le même mec toute la semaine et toutes les semaines ça lui pèse un peu car il n'a pas beaucoup de temps pour aller voir ailleurs.
Nous en étions encore qu'à l'apéro. Marc, à l'entendre, s'est levé et placé devant lui. Il a ouvert sa braguette et a fait " suce ". Jean s'est jeté dessus et j'ai assisté à une fellation en règle. Jean, la gorge habituée à laisser passer du gros calibre, a avalé Marc entier dès le premier coup de rein avec une facilité que je ne lui connaissait pas. Marc les mains sur sa tête maitrisait le rythme et décidait de la profondeur voulue.
Comme Jean s'était assis sur le bord du canapé, je me suis glissé derrière lui et j'ai commencé à le dévêtir. Déboutonnage de chemise, retrait dévoilant un torse toujours aussi lisse. Ouverture du pantalon et avec sa coopération descente de ce dernier avec le shorty jusqu'aux genoux. Je me recule contre le dossier et libère ma queue qui bande depuis le premier coup de langue de Jean sur la bite de Marc. Je la kpote rapidement et soulevant Jean de mes mains sous ses fesses, je le fais s'asseoir de nouveau mais tout contre moi. Mon gland trouve tout seul l'entrée arrière et le poids de Jean fait le reste. Le gel lubrifiant de la kpote plus son excitation font merveille et je m'enfonce bien serré par ses muqueuses.
Pas un moment il n'a cessé de sucer Marc. Nous avons juste entendu des gémissements de plaisir couler le long de la verge qui encombre sa bouche. J'avais oublié quelle belle salope il faisait. J'ai pu l'enculer comme cela quelques instants avant que nous le mettions à 4 pattes. Un peu plus tard j'ai cédé ma place à Marc qui lui a limé le trou jusqu'à ce qu'il jute sur le cuir du canapé. Moi, j'ai juste eu le temps de me retirer de sa bouche vorace avant de lui tapisser les amygdales de mon jus et de le lui envoyer sur les cheveux. Marc s'est terminé en quelques coups de reins dans son trou resserré par la jouissance.
Samir nous a apporté des serviettes et a nettoyé le canapé pendant que nous finissions l'apéritif. Et Jean de nous dire que c'est ce genre de plan qui lui manque terriblement. Il me demande si je ne pourrais pas lui organiser un gang bang pour se faire un max de mecs. Il en a parlé avec son client et ce dernier est d'accord. Nous ne lui demandons pas comment il lui a arraché l'autorisation ! Mais il est sûr que cela l'aiderait à tenir avec son vieux.
Je me dis que puisque j'étais en train d'en organiser un pour Ric, je pourrais envisager un coup double. Doubler les participants et les faire jouir sur mes deux amis ensemble.
J'explique en deux mots, Marc et Jean trouvent ça jouable.
Nous dinons ensemble avec un Jean tout ragaillardi par le projet.
Le lendemain j'appelle André (le père de Ric). Après les échanges de nouvelles, je lui demande si le fait de mettre Ric en double avec Jean pour un gang bang le dérangerait. Il réfléchit quelques secondes avant de me répondre que non, ça pourrait même être très excitant vu la différence de gabarit entre les deux. Je lui dis que je le rappellerai plus tard.
Marc devant repartir une semaine, Emma nous a invités à diner chez elle. J'emmène Marc qui ne connaît pas la maison. Quand nous arrivons, je fais un bisou rapide sur les lèvres de notre hôtesse. Marc fait une drôle de tête. Il est vrai que la fois où ils se sont rencontrés, comme nous étions au restaurant j'avais été plus discret. Je m'empresse de lui faire pareil. En entrant dans le salon, nous avons la surprise d'y voir Kev assis dans un des canapés, seul. Il nous explique que son " boss " avait un diner d'anciens HEC où les conjoints n'étaient pas invités.
L'apéritif détend tout le monde et nous passons un bon moment. Le repas est délicieux et nous félicitons tous la vieille cuisinière qui en rougi de confusion. Au moment du café, Kev part aux toilettes non sans poser un regard appuyé à Marc. Pas besoin de faire un dessin, son cul est en manque ! J'en informe discrètement Marc qui n'avait surpris que la fin du mouvement. Il s'éclipse alors qu'Emma se rend à la cuisine. Quand elle revient, je suis seul. Elle m'interroge du regard et je l'informe sans fard que Marc est parti combler un besoin de Kev inassouvi par son boss. Elle comprend vite. Je la prends dans mes bras et lui dis que je suis tout prêt à faire de même avec elle. Elle reste un peu interloquée que je lui propose cela alors que Marc est dans la maison, puis se ravise, se rendant compte que ce dernier n'hésite pas à s'envoyer en l'air avec Kev.
Comme je suis sur un des canapés, elle m'enjambe et s'assoit face à moi sur mes cuisses. Roulage de pelle, je bande ! Mes mains glisses sous sa jupe retroussée et je m'écarte de sa bouche le temps de la traiter affectueusement de salope, elle ne porte pas de culotte ! Ses mains à elle s'acharnent sur ma ceinture et la fermeture de mon jean pour libérer ma queue. Quand elle y est arrivée, elle se redresse, se rapproche de moi et se rassoit. Ma bite est happée par son vagin. C ;"est à ce moment que la cuisinière entre au salon avec le plateau du café. Avec naturel, Emma, immobile, lui demande de le poser sur la table qu'elle fera le service elle même.
La seule chose visible était notre baiser et sa position sur mes genoux, la jupe cachant notre emboitement. Dès la porte refermée, Emma à repris sa cavalcade. Certain emballement me faisait sortir de son vagin pour y retourner aussitôt. J'ai profité d'un de ces instants pour glisser sur le canapé. Quand elle s'est rassise sur moi, mon gland s'est trouvé à l'aplomb de son cul et j'ai investi son anus, royal !! Emma sait que je préfère l'enculer. Elle même y a pris goût et arrive a jouir quand je la prends ainsi. J'ai décidé que je ne toucherais pas à ses seins. Par contre ma main droite passe sous la jupe et j'arrive à enfoncer mon pouce dans son vagin. Ce n'est pas tant l'occupation de ce dernier (vu la taille de mon pouce, rien avoir avec ma queue !) mais l'écrasement de son clito qui ajoute à son excitation.
Je la sens accélérer le rythme. J'essaye de la calmer mais elle a peur que Marc et Kev nous trouvent ainsi. Je la laisse faire et elle me fait juter alors qu'elle même atteint l'orgasme. Je la retiens de mes bras mais des bruits de pas dans le couloir l'alarment. Elle se relève et je finis juste de fermer ma ceinture qu'ils ouvrent la porte et entrent. Le maquillage d'Emma estompe sa rougeur et j'essaye d'être le plus naturel possible pour elle. Pour les deux autres, on devine aisément la complicité post éjaculatoire. Kev, alors qu'il passe près de moi, se penche me fait un bisou sur les lèvres et me remercie de lui avoir prêté Marc. Nous discutons de choses et d'autres, notamment de la procédure d'adoption de Kev par l'ami d'Emma. Il nous confie qu'elle est en bonne voie. Ce sera bientôt amusant de nous retrouver dans certains conseils d'administrations. A terme, je saurais m'appuyer sur lui.
Nous nous quittons tous content de notre soirée. Durant le trajet de retour, je demande à Marc comment c'était avec Kev. Réponse, très bon, bien serré et rappelant de bons souvenirs.
Le lendemain je mets tout en oeuvre pour l'organisation du Gang Bang double.
Je passe ma journée au téléphone afin de faire coïncider les contraintes de tous. Je fini par trouver une date correcte sous 15aine. Le plus facile étant la réservation du gite.
Ric au téléphone est très content de faire le centre d'attraction avec Jean. Il me dit que cela faisait déjà plusieurs mois qu'il tannait son père pour que j'organise cela. Il me dit qu'il passe à la maison, tout fier d'étrenner son permis tout neuf. Je le vois arriver dans une Alfa Roméo 8C cabriolet. Je descends dans la cour pour en faire le tour. Elle est superbe, même capotée. Il en sort tout content et me fait admirer le cadeau de son père. Je lui dis qu'il (André) est inconscient de confier une bête de 450 CV à un jeune fou comme lui. Ric me jure qu'il est très sage sur la route. Il me propose de l'essayer, je n'hésite pas longtemps ! Nous filons vers l'autoroute toute proche et je peux apprécier l'engin. Totalement différent de ma SLS, ce petit véhicule procure de sympathiques impressions. Sur le retour je pousse le moteur et nous trouvons les particularités des mécaniques italiennes, rageuse, bruyante d'une musique incomparable, un fun de petit engin.
Retour à la maison. Devant un café, Ric me confie n'avoir pas encore été aussi vite que moi avec sa voiture. Nous attaquons le sujet de son déplacement : le gang bang. Je lui dis que comme ils seront deux j'ai trouvé 20 mecs pour la soirée dont son paternel, Xavier, mes deux " flics " plus une bonne partie des clients des anciens Gang Bang. Il me dit que sans problème il assurera, ce dont je n'avais jamais douté. Pour me le prouver, il se déshabille. Strip-tease très excitant. Il est toujours aussi lisse, blanc, musclé et ses 20cm x 4,5 sont bien en forme.
Il tourne sur lui-même pour que je détaille la marchandise. Son dos est parfait, deltoïdes, dorsaux, lombaires, un fessier de rêve et les jambes qui vont avec. Je lui demande si, à sa salle de gym, ils ne veulent pas l'inscrire dans des concours. Il me répond que si mais qu'il a toujours refusé ne faisant cela que pour lui et son père et un peu moi. Je me lève et lui roule un patin pour le remercier. Il me prend dans se bras et je ne sais comment je suis nu quelques secondes plus tard (bon, il est vrai que je n'avais sur moi qu'un jeans et un t-shirt). Il est devenu sacrément fort ! je pèse quand même un bon 85Kg !
Il me pose sur mes pieds et glisse vers le sol jusqu'à me prendre dans sa bouche. Mes 20cm se retrouvent dans une chaleur moite, mon gland perforant sa gorge avec facilité. Je le relève et je passe un bon moment à lui rouler un patin. Nos langues se battent, nos bouches s'aspirent, nos bras nous serrent l'un contre l'autre. Cela fait longtemps ;que nous ne nous étions retrouvés seuls tous les deux. Je descends ma bouche sur ses pecs et attrape un de ses tétons pour le manger. Il crispe ses pecs, ma main droite s'occupe de l'autre et pince l'autre téton. Il vibre, je sais que c'est une de ses caresses préférées.
Il prend ma tête entre ses mains et me la relève devant son visage. Doucement il pose ses lèvres sur les miennes et nous sommes repartis pour nous manger nos langues.
Il me quitte pour se mettre à 4 pattes sur la table basse. Il est superbe ! Jeune mâle musclé, en position de salope intégrale, je ne peux plus me retenir. J'enfile une kpote et positionne mon gland sur son anus. Deux secondes plus tard je suis au fond, couché sur son dos, mes dents plantées dans son trapèze. Même habitué au gros calibre de son père, son cul moule ma bite impeccablement. Je reste quelques instants bloqué au fond de son trou. Je me redresse et mes mains crochetées à ses hanches j'entame un bourrage de cul en règle. De son coté Ric n'est pas inactif. Il bouge son boule comme il faut et je sens sur ma queue, les pressions internes qu'il arrive à produire.
Son discours m'excite encore plus. N'étant pas une " mauviette " non plus, je le soulève et l'envoie, dos sur le canapé. Je lui tire les fesses sur le bord, ses jambes sur mes épaules, je réinvesti la place. Je m'écrase sur lui et nous reprenons une pelle sans que nos hanches ne cessent leurs mouvements. Quand je sens que nous ne sommes plus très loin d'aboutir, je délaisse sa bouche et lui mords un téton. C'était juste ce qu'il lui fallait. Il a explosé, jutant une quantité impressionnante de sperme sur son ventre, le mien, jusqu'à mon cou. Ma bite bloquée à chaque éjaculation a laissé sortir mon jus dans son cul (bloqué par la kpote). Je reste quelques instant couché sur lui. Ammed arrive avec des serviettes et attend patiemment que nous nous décollions. Je sors de Ric alors que je suis encore raide (histoire de ne pas perdre ma kpote dans son cul) et laisse Ammed m'essuyer. Il s'attaque après à Ric, retirant les trainées de sperme de ses abdos.
Direction les douches du sous sol où nous pouvons nous laver à deux. Il profite de ce moment où nous sommes seuls pour se confier. Il sait que je comprendrais sans le juger (et pour cause, ne suis je pas celui qui lui a permis de vivre libéré de sa folle de mère). Il me raconte l ;"évolution de sa relation avec son père. Comme quoi il est toujours addict à sa grosse queue et à son autorité, qu'il sait maintenant parfaitement doser sa progression dans le plaisir et que certains soir il le canalise plusieurs heures avant de le laisser jouir. Je le félicite. Il me dit par contre craindre le futur. Si son père se lassait de lui, comment il ferait tout seul ... Je le prend dans mes bras et le rassure. Il se laisse aller et pose sa tête sur mon épaule. Je lui jure que quoi qu'il arrive je serais toujours là pour lui et qu'il peut compter sur moi. Il me remercie d'un gros palot et nous nous séchons. Quand nous remontons, Jimmy est là. il saute au cou de Ri pour lui claquer un bisou sur les lèvres. Son exubérance chasse les pensées noires qui pouvaient subsister dans la tête de Ric et nous rions tous les trois.
JARDINIER
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iranondeaira · 5 months
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Et encore on va vers l’été …
Blague à part, bon vent et belle mer à tous, « longue vie et prospérité 🖖 » comme dirait l’autre et que que la force soit avec vous …
🎶 nous vivons une époque épique mais nous n’avons plus rien d’épique 🎶 disait l’autre , « tout ce que nous avons à décider, c’est ce que nous devons faire du temps qui nous est imparti » lancerai un vieil errant gris … l’horizon s’assombrit lance un vieux marin sur le môle, une tempête arrive … il va falloir la chevaucher lâche laconique un vieux guerrier aux yeux bleus ou apprendre à surfer balancerai un sale môme … « à nouvel an, nouvel élan » lui répondrait une optimiste … « Et comme ton bonheur dépend tout de tes voeux, songes-y bien avant que de les faire. » raconte un conteur … si au moins on pouvait "Apprendre d’hier, vivre pour aujourd’hui, espérer pour demain." pose au tableau un vieil homme qui tire la langue … "Je vous apporte mes vœux. - Merci, je tâcherai d'en faire quelque chose." glousse un renard …
"Un optimiste reste jusqu'à minuit pour voir le Nouvel An. Un pessimiste reste pour s'assurer que l'ancienne année disparaît."
"Que cette année vous soit heureuse ; que la paix, le repos et la santé vous tiennent lieu de fortune " dit Madame
"Je vous souhaite tout ce que vous souhaitiez qu'on vous souhaite ... mais en mieux ! "
Miaule un chat
"Venir ensemble est un commencement; rester ensemble est un progrès; travailler ensemble est un succès." Jette un constructeur de voiture ( 😅 si vous saviez Sir le bordel aujourd’hui )
"Les problèmes du monde ne peuvent être résolus par des sceptiques ou des cyniques dont les horizons se limitent aux réalités évidentes. Nous avons besoin d’hommes capables d’imaginer ce qui n’a jamais existé."
- un président mort dans sa voiture
"Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques uns."
- grand Jacques
"Pour comprendre l’esprit et le cœur de quelqu’un, ne vous demandez pas ce qu’il a accompli, mais ce à quoi il aspire."
- un vieux sage enturbanné ( quelle ironie 😅)
"Lorsqu’un seul homme rêve, ce n’est qu’un rêve. Mais si beaucoup d’hommes rêvent ensemble, c’est le début d’une nouvelle réalité." ( c’est sans doute un peu de ce qui explique du cela d’aujourd’hui )
Le monde progresse grâce aux choses impossibles qui ont été réalisées." ( y a de ces progrès 🙃 aujourd’hui 😅 )
"A l'an que ven ! Se sian pas mai, que siguen pas men. A l'an qui vient ! Si nous ne sommes pas plus, que nous ne soyons pas moins."
- de Provence
"Il vaut mieux suivre le bon chemin en boitant que le mauvais d’un pas ferme." Disait un Saint
“Tous les hommes font la même erreur, de s'imaginer que bonheur veut dire que tous les voeux se réalisent.” - un homme de Russie
“Un jour, on aura besoin d'un visa pour passer du 31 décembre au 1er janvier.” … ils ont essayé … ils ont déjà inventé le désespoir à vendre …
“Si les Dieux voulaient exaucer les voeux des mortels, il y a longtemps que la terre serait déserte, car les hommes demandent beaucoup de choses nuisibles au genre humain.”
“Le meilleur moyen de rester en bonne santé, c’est de manger ce que vous ne voulez pas manger, de boire ce que vous ne voulez pas boire, et de faire des choses que vous n’aimez pas faire.” - Marc T
En cette nouvelle année, on ne demande pas grand-chose : du travail et de la santé.
- Albert
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misskyeyes · 1 year
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"L’hai sepolta sotto le tue rose" insistette Ermal, "le vostre rose. Dove gliene hai regalata una, con la promessa di portarla via da lì. Da questa casa che per lei era diventata una prigione. E poi l’hai seppellita proprio lì sotto."
From Rose Rosse Per Te by innominecarbohydrates on AO3
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Lettre V
@ninadove here's another one for ya :)
This one was hard to split up! M de Bergerac is not a fan of full stops lol
I had trouble in 3F specifically with the use of "ne". I believe it has something to do with the role of "ſoupçonnerois" but I wasn't confident enough to rule on if it was affirmative or negative either way 😅
4F also has a historical reference that may be lost on me, hopefully u can shed some light on it! My thanks again for yr invaluable help 💌
1F MADAME,
Suis je condamné de pleurer encore bien long-temps? Hé je vous prie, ma belle Maiſtreſſe, au nom de vôtre bon Ange, faites-moy cette amitié, de découvrir là-deſſus vôtre intention, afin que j'aille de bonne heure retenir place aux Quinze Vingts parce que je prévoy que de vôtre courtoiſie, je ſuis predeſtiné à mourir aveugle, Oüy aveugle (car vôtre ambition ne ſe contenteroit pas que je fuſſe ſimplement borgne.)
1A MADAM,
Am I condemned to cry much longer still? Oh, I beg you, my beautiful Mistress, in the name of your good Angel, be kind enough to reveal your intention up there, that I may go in time to reserve a place in the Quinze-Vingts Ophthalmology Hospital because I predict that from your courtesy, I am predestined to die blind — yes, blind (because your ambition would not be content for me to be simply one-eyed).
2F N'avez-vous pas fait deux alambics de mes deux yeux, par où vous avez trouvé l'invention de diſtiler ma vie, & de la convertir en eau toute claire?
2A Have you not made two stills out of my two eyes, by which you have found the invention of distilling my life and converting it into clearest water?
3F En verité, je ſoupçonnerois (ſi ma mort vous eſtoit utile, & ſi ce n'eſtoit la ſeule choſe que je ne puis obtenir de voſtre pitié) que vous n'épuiſiez ces ſources d'eau, qui ſont chez moy, que pour me bruſler plus facilement; & je commence d'en croire quelque choſe, depuis que j'ay pris garde, que plus mes yeux tirent d'humide de mon coeur, plus il bruſle:
3A In truth, I would suspect (if my death were useful to you, and if it [[[wasn't]]] the only thing that I [[[can]]] obtain from your mercy) that you drain these sources of water within me in order to burn me more easily. And I'm starting to believe something of it, since I'm wary, that the more my eyes draw moisture from my heart, the more it burns.
4F Il faut bien dire que mon Pere ne forma pas mon corps du meſme argile, dont celuy du premier homme fut compoſé, mais qu'il le tailla ſans doute d'une pierre de chaux, puis que l'humidité des larmes que je répands m'a tantoſt conſommé: Mais conſommé, croiriez-vous bien, Madame, de quelle façon? je n'oſerois plus marcher dans les ruës embraſé comme je ſuis, que les enfans ne m'environnent de fuſées, parce que je leur ſemble une figure échappée d'un feu d'artifice, ny à la Campagne, qu'on ne me prenne pour un de ces Ardens, qui traiſnent les Gens à la riviere.
4A It must be said that my Father did not form my body from the same clay that comprised the first man but that he doubtless sculpted it from limestone, since the humidity of the tears that I shed has [[[soon]]] consumed me. But, would you believe, Madam, consumed me how? I would no longer dare walk through the streets inflamed as I am, lest the children surround me with rockets, since to them I seem a figure escaped from a firework — nor to the country, lest they take me for one of these [[[Ardens]]] that drag people to the river.
5F Enfin vous pouvez connoiſtre tout ce que cela veut dire; c'eſt, ſi vous ne revenez bien-toſt, vous entendrez dire à voſtre retour, quand vous demanderez où je demeure, que je demeure aux Tuilleries, & que mon nom c'eſt la beſte à feu qu'on fait voir aux Badauts pour de l'argeut. Alors vous ſerez bien honteuſe, d'avoir un Amant Salemandre, & le regret de voir bruſler dés ce Monde,
MADAME,
Voftre Serviteur.
5A At last, you can know what all this means — if you return soon, you will hear it said, when you ask where I reside, that I reside in the Tuileries, and that my name is the fire beast that they show to onlookers for money. Then you will be quite ashamed to have a salamander lover, and the regret of seeing burning [[[from]]] this world,
MADAM,
your servant.
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tealviscaria · 5 months
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Les chants des oiseaux viennent me sortir au pied du liᶦᶦᵗ
UUuh-HUH
Même si c’est pas des vrais chuis content d’avoir choisi cette sonneriᶦᵉ
UUuh-HUH
Quelle belle aventuuure
Nous cache la jouuurnée d’aujourd’hui
J’vais em💥BRASSER LA TERRE 🌍
💥BAISER DES PLANTES 🌻🌻🌻
TOUT-
EST-
TELLE-
MENT
ᵂᴼᵁUUUH
Wouuᵁᵁᵁᵁᴴ
J’aI DU mAL à M’EXprimER mEs pULsiONs d’AMour me reNdENt fOuUuu
BOUUuUUuᵤᵤᵤᵤₕ……
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sabinerondissime · 10 months
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Cette image que me renvoie le miroir depuis des mois, je la déteste ! En plus de vieillir, de voir mon visage s'affaisser, mes cernes se gonfler sans disparaitre au bout de quelques heures, c'est mon ventre qui désormais est gonflé, ma peau qui perd de son élasticité. Je sens le processus de vieillissement s'accélérer depuis que je suis en ménopause. Je me regarde dans le miroir et je trouve logique que personne ne veuille de moi. Moi même, je ne veux pas de moi !Sur les réseaux , c'est si simple d'avoir des compliments. Les hommes en font bien plus que dans la vie. Quand ils me disent que je suis belle, je sais qu'il espère quelque chose qui n'a rien à voir avec cette beauté qu'ils mettent en avant. Pour eux, une belle femme, c'est une femme qui dit oui à leurs avances. N'importe quelle femme peut faire l'affaire. Je ne suis jamais flattée par le compliment d'un homme qui ne me connaît pas réellement.
Je suis bien plus que ce corps que je n'aime pas. Bien plus que ce visage qui ne laisse plus de doute sur mon âge. Je suis une âme, je suis un esprit, je suis un passé et un futur. J'ai appris tant de choses, je cultive l'humour, je sais aimer plus que de raison. Mais qui fait encore attention à tout ceci dans un monde où l'apparence et le sexe facile sont légion ?
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orageusealizarine · 6 months
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COMMENT être pleinement vivante ?
Vous m'avez dit laisse tomber les concours et les livres, sors des bibliothèques (s'il te plaît) et de l'amour du dix-neuvième siècle : ne te prostitue pas pour de l'argent (et je sais combien tu en aurais envie, d'épouser n'importe quel.le riche pour son argent seulement), abandonne l'idée du confort et ose, viens, rencontre-moi, allons où tu voudras
Vous m'avez dit d'écrire, de me mettre à nu, de sécher mes larmes et de continuer de rire et de danser, vous m'avez dit des silences qui furent comme des coups de poignard anonymes et des tremblements ; tu m'as dit VIS, JE T'EN PRIE, tu m'as dit à quel point la réalité était un courage et que mon écriture avait toute l'exigence de la violence,
Et vous m'avez dit et répété que mes mots déchiraient, déchiraient ce réel auquel j'en veux tant, étaient plus forts, plus forts - mes mots à moi ; vous m'avez nimbée de je ne sais quelle oracle ; je me suis désertée de ma propre enveloppe : je me suis faite à l'image de n'importe quel miracle.
Vous m'avez dit combien au mot "bonheur" je répondais "réalité", comme si, comme si cette réalité était la condition du bonheur (puisqu'il n'y a pas de bonheur imaginé - il n'y en a qu'un seul, grandiose, qui se vit à l'instant même), oui, tu m'as dit à quel point j'étais intransigeante et je tapais des pieds, à quel point mon propre ego me faisant mal : tu m'as dit sors de ta prison - est-ce que j'étais folle, enfermée ou si j'étais libre de mes mouvements, qu'est-ce qui m'empêchait de courir, partir ?
Vous m'avez dit ose, vis, sois
Pleinement -
Et je suis
Plus grande que mes malheurs - une esthète, une œuvre d'art, délicate et généreuse - mieux : rayonnante
Et je serai - chaleureuse, altruiste, pleine de santé, tonique, je plongerai mes mains dans la terre - amicale - mes yeux ont la beauté des étoiles - magnifique la vie que je voudrais répandre sur tous ceux qui m'entourent
Tremblante, ma voix amoureuse, dans les parcs et les magasins, tant et trop de délicatesse - la feuille à peine détachée de l'arbre, légère, légère, tourbillonnante
Je voudrais m'offrir, je voudrais m'offrir - à toutes les belles âmes qui meurent de froid, donner toute ma beauté et la richesse de mon être - ça serait vivre !
Être encore autre chose qu'un soleil, et plus réelle qu'un astre - ma chaleur et mes enthousiasmes à donner - tout ce qui brille dans mon cœur, tout ce qui déborde, ce que mes bras ne peuvent contenir et encore toute mon âme
Je voudrais tout offrir, tout, tout donner, répandre des morceaux de moi, le meilleur de ma chair, le plus clair de mes mots, le plus pur de mes baisers et ma tendresse et ma sensibilité - j'ai tout et tant à embrasser et la largesse de mon cœur à contenter, à déverser, à ravir,
Mes yeux à ras bords de toutes les merveilles de la terre - que j'aime et que j'aime et que j'aime
Et vous - que je voudrais tant aimer
Pour oser, pour vivre, pour être - dans la clarté du jour, la majesté des soirs, toute la beauté qui m'étreint - pour vous dire mon ivresse d'être en vie, le bonheur qui est encore autre chose et qui n'a rien d'un mystère
Buvez-moi comme un alcool - si seulement, si seulement mon extase pulsante, vibrante, vivante vous prenait à vous aussi - vous parvenait de n'importe où et d'ailleurs...
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coolvieilledentelle · 6 months
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Les petits moments d'aujourd'hui deviennent de précieux souvenirs de demain... Tous ces moments partagés, tous ces sourires multipliés au fil du temps quelle douce et belle complicité... Il n'en faut pas beaucoup pour être heureux.... Bonne soirée chers amis
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