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#jacques salomon
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Lovecraft: Unknown Kadath #7
Ablaze
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boardgametoday · 2 years
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Preview: Magic #16
Magic #16 preview. Can Niko, Chandra, and Garruk find Davirel Cane, Tezzeret's elusive but potentially useful minion, and turn the tide on the side of freedom? #comics #magicthegathering #mtg
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adamwatchesmovies · 7 months
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A Cat in Paris (2010)
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Sometimes, the Academy Awards make it too obvious they'll just nominate any decently budgeted animated film. Treasure Planet? Brother Bear? The Croods? A Cat in Paris is the exception. It didn’t win and doesn’t quite have the emotional depth necessary for it to have been worthy of that shiny trophy but this is a lovingly-made, tense and extremely stylish action/comedy.
In Paris, Zoé (voiced by Oriane Zani) watches her pet cat Dino leave every night through the window. No one could suspect the feline spends its nights with Nico (Bruno Salomone), a cat burglar. One night, his path crosses that of crime boss Victor Costa (Jean Benguigui).
Right away, you’ll notice the film's outstanding character designs, shading, color palette, and art style. While not all 3D animated movies look exactly the same, there are few you could point to and say “I can clearly see who worked as the art director on this one”. Every frame of Une Vie de Chat/A Cat in Paris comes from Jean-Loup Felicioli. Don't know who that is? That's fine. It just means you're seeing something new. Even before we get into the action or anything else, it’s a joy to just sit back and look at the film. The way faces look when they turn sideways, the proportions of the characters, the angles of the floor patterns, which details are preserved and which are omitted, etc. It all stands out to make a unique vision.
Clocking in at a mere 65 minutes, this is a fast-paced story. The bulk of it takes place in one night when Zoé’s police superintendent mom, Jeanne (Dominique Blanc), organizes the city’s police force to secure the Colossus of Nairobi statue. She knows Victor Costa will try to steal it and that he’s responsible for the death of her husband so it’s extra important that she get him. As Costa and his bumbling henchmen try to organize, all of the separate plot threads converge. There’s a lot of running and dodging as people try to get away from the police, try to warn the authorities about what’s going to happen or try to prevent people from getting to the police. The score by Serge Besset helps amplify the intensity.
Despite several characters' murderous intentions, this is not a heavy story. You get a lot of laughs from Costa’s goons and from Dino as well - he’s got a knack for jumping on people’s faces at the right time. My favorite gag concerns a yappy dog who annoys its owner whenever Dino passes by. Movie fans will also have fun with a couple of references to gangster/crime movies, like Reservoir Dogs and Goodfellas but what I enjoyed most was the way the animated medium is used. There’s a scene set in complete darkness where Nico has to sneak by some people and it’s brilliantly done. There aren’t any colours so it doesn’t quite encompass all of the film’s best qualities, but it’s close.
Fans of animation should make the effort to check out A Cat in Paris. It’s short so you won’t be investing too much time, you’ll be entertained all the way through and the art design/animation is inspirational. It’s light but that’s perfectly fine. This just makes this the kind of movie you pop in when all you want is something entertaining. (Original French version, On DVD, April 23, 2021)
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thebutcher-5 · 2 years
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Un gatto a Parigi
Un gatto a Parigi
Benvenuti o bentornati sul nostro blog. Nello scorso articolo abbiamo fatto un passo indietro nel tempo e abbiamo parlato di un grande classico e un vero capolavoro della settima arte, Spartacus di Stanley Kubrick. Un film prodotto da Kirk Douglas, che fu anche il protagonista, che ebbe un’interessante produzione, con il cambio di regista dopo una settimana e la presenza di Dalton Trumbo, famoso…
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Misère de la psychanalyse
Si les psychanalystes se sont à ce point dévoyés de la subversive découverte freudienne de l‘inconscient, de son noyau révolutionnaire réel, cela tient beaucoup à la prolifération médiatisée de «psychanalystes» (se faisant passer pour tels) qui sont en vérité les premiers promoteurs du Discours Universitaire, qui est du point de vue de la structure, ce qu’il y a de plus antagoniste au Discours de l’Analyste.
Les deux plus grands fournisseurs de ces soi-disant «psychanalytistes» sont logiquement les deux plus grands groupes psychanalytiques (par le nombre), institutions se réclamant de l’enseignement de Lacan: l’École de la Cause Freudienne fondée par Jacques-Alain Miller en 1981 (coiffée désormais par une usine à gaz dénommée Champ Freudien...) et l’École de Psychanalyse des Forums du Champ Lacanien (fondée en 1998, par un collectif d’anciens membres de L’ECF, ayant fait scission, et dirigée d’une main de maîtresse (d’école) par le double féminin de Jacques-Alain Miller, Colette Soler, un autre éminent «professeur d’université», elle aussi formatée à l’ENS...
Lorsqu’en janvier 1980, Lacan dissout son École Freudienne de Paris, il motive son acte de ce qu’il appelle l’«échec de la passe», passe de l’analysant à l’analyste, qui était la raison même de la fondation de son École.
Lacan, parce qu’il se demandait «que peut-il se passer dans la tête de quelqu’un ayant fait une analyse pour vouloir devenir analyste ?» était parti de l’hypothèse qu’une «passe» de l’analysant à l’analyste était un fait de structure, témoin que le sujet n’était plus du tout le même à sa sortie qu’à son entrée, ayant constaté dans sa pratique «qu’il y vient comme une boule dans un jeu de tric-trac».
Lacan invente donc une procédure pour tirer ça au clair, parce qu’il souhaite que les psychanalystes se reconnaissent entre eux comme tels, à partir de l’analyse et non pas sur la base de critères préétablis de type universitaire et autres, confrérie, initiation, cooptation, copinage...
Il construit donc la procédure de la passe sur le modèle du mot d’esprit.
Un «passant» raconte son «hystoriole analytique», à un quidam comme lui qui en sera le «passeur», pour un jury de la même veine qui devra apprécier si ça tient debout.
Exemple: le «passant» raconte qu’il a rencontré Salomon Rothschild aux Bains de Lucques et que ce dernier l’a traité d’une façon tout à fait «familonnaire», le passeur prend note et va transmettre ça, texto, au jury, et tout le monde est plié de rire, car ils sont de la même chapelle (la chapelle évoquant bien entendu l’église, comme c’est souvent le cas dans les groupes analytiques...)
Où en est-on aujourd’hui avec cette «passe», 40 ans après la dissolution par Lacan de l’École Freudienne de Paris?
La passe s’est bien sûr transformée en impasse pour la transmission de la psychanalyse...
Jacques-Alain Miller (JAM pour les médias, depuis qu’il est devenu inséparable de l’indécrottable BHL) fait donc. après la mort de Lacan, main basse sur ce qui reste de la machinerie lacanienne et impose son «idée» que la passe (où il n’avait strictement jamais mis les pieds du temps de Lacan) c’était ...la «traversée du fantasme»!, un hapax lacanien que Lacan lui-même n’a jamais exploité (et pour cause... la traversée du fantasme, cela veut dire exactement le contraire de ce qu’on croit en comprendre a priori, c'est à dire qu'on pourrait vivre en dehors de toute illusion — ce qui est le fantasme ultime — traverser le fantasme signifie précisément renoncer au fantasme d’y échapper, le sujet a traversé le fantasme lorsqu'il accepte en soi et pour soi la nécessité constitutive de l'illusion. Son illusion. Chacun ne voit le monde qu'à travers la fenêtre de son fantasme fondamental...)
Bref, depuis plus de vingt ans, Colette Soler a aligné elle aussi son École des Forums du Champ Lacanien sur le diktat millerien, qui s’il n’a strictement aucun rapport avec la passe telle que Lacan l’avait imaginée et tenté de la mettre en œuvre avant d’en constater l’échec, s’avère très utile et particulièrement efficace pour asseoir son pouvoir personnel, et développer une expansion sans limite en montant des comptoirs un peu partout dans le monde, au nom de la «politique de la psychanalyse», comptoirs que viennent visiter de temps en temps des psychanalystes de «renommée mondiale» (!) pour renforcer le gouverneur, mis en place, adoubé par les «locaux», et à l’occasion lui remonter un peu les «bretelles» de la théorie...
Bien entendu, Miller est celui qui a poussé le bouchon le plus loin en se substituant au «cartel de la passe» pour nommer Analyste de l’École (AE) un de ses propres analysants, que le cartel n’avait pas nommé...
Ah, elle aura été tripotée cette pauvre «passe» qui aurait dû signaler la sortie du transfert, et qui en réalité fait la preuve que l’impétrant est au contraire toujours «sous-transfert», passant un examen comme pour entrer à l’École, selon une pure procédure de type universitaire, une formalité plus ou moins colorée de cooptation, à l’opposé radical de l’éthique psychanalytique...
Comment ces dérives (de la jouissance) pervertissent-elles la transmission de la psychanalyse?
Au grand dam du Discours de l’Analyste, que les psychanalystes authentiques s’efforcent de vouloir servir, c’est bien le Discours Universitaire (dont le Signifiant maître sous la barre permet d’éradiquer discrètement le grain de sable de l’énonciation) qui régit massivement l’économie relationnelle de ces groupes, les pratiques perverses de domination et de soumission sont devenues l’ordinaire des institutions psychanalytiques qui n’ont de psychanalyse que le nom, la logique qui les domine étant précisément celle du discours dominant, psychologisant, sociologisant, moralisant ...et démoralisant.
Les deux multinationales Millerienne et Solerienne poursuivent leur développement conformément aux vœux de l’étude de marché, la première commandée par le Capitaine «Win-Win» (surnommé ouin-ouin par les moqueurs) ; l’autre pilotée par «La Solaire», comme elle se surnomme elie-même, qui après avoir rejeté la prétention de Miller à incarner le «Plus-Un» du groupe en a fondé un autre, et qui à force de vouloir y briller jour et nuit en est devenue «La Peluce-Une», ou «La-femme-qui-existe»...
L’obstination des deux professeurs d’université à faire coller l’enseignement lacanien avec leurs rêves de suprématie (leur fantasme d’immortalité symbolique) a donc fini par naufrager la transmission de l’enseignement lacanien sur le roc de «la passe» qui affleure dans des eaux peu profondes, raison pour laquelle ils ne coulent pas, mais demeurent couchés sur le flanc, les forçant à réinventer ce qui n’était pas du tout à retoquer chez Lacan...
Chacun à sa façon a donc été amené à faire l’hypothèse de l’existence, au-delà de l’inconscient freudien, d’un «inconscient réel»...
Ainsi, pour Colette Soler: il y a "l’inconscient langage" et "l’inconscient lalangue" soit l’inconscient "réel"...
(« Lacan y donne, selon moi, un modèle réduit de ce que l’on appelle la chute du sujet supposé savoir, soit une passe à l’inconscient réel que j’écrirai désormais ICSR pour élider les signifiés du terme «inconscient». C. Soler in Lacan, l’inconscient réinventé p.46 )
Et pour Jacques-Alain Miller, il y a «l’inconscient transférentiel et l’inconscient réel, non tranférentiel»...
(« En revanche, l’inconscient réel, c’est l’inconscient qui ne se laisse pas interpréter, et c’est pourquoi, dans ce texte ultime – ou pré-ultime puisqu’il y a encore celui de «Tout le monde est fou» –, l’inconscient est défini comme le lieu où l’interprétation n’a plus aucune portée»…
JA Miller, Choses de finesse en psychanalyse XIII. Cours du 25 mars 2009)
Le passage de l’inconscient supposé à l’inconscient réel est désigné comme «passe au réel» (C. Soler) ou «vers le réel» (J.A Miller).
Alors que Lacan a toujours été très clair là dessus: «Qu’est-ce que la neutralité de l’analyste si ce n’est justement ça, cette subversion du sens, à savoir cette espèce d’aspiration non pas vers le réel mais par le réel.»
Rappelons aussi que Lacan avait déjà posé la question : «L’inconscient est-il imaginaire ou réel, difficile de le savoir?» avant de trancher: l’inconscient est réel (ce qui ne veut pas dire qu’il y ait deux inconscients, comme le soutiennent Jacques-Alain Miller et Colette Soler).
Lacan affirme lui-même qu’«il n’a qu’un inconscient, et c’est la raison pour laquelle il y pense jour et nuit...» (L’insu que sait de l’une bévue c’est l’amour - 1977)
Sans omettre de préciser que l’inconscient, s’il s’origine bien de «lalangue», n’en est pas moins «structuré comme un langage».
Et s’il est vrai que Lacan incite à explorer un peu plus le réel au-delà du peu de réalité du fantasme, en ce qui concerne la transmission de la psychanalyse dans ce qu’elle a d’absolument singulier et subversif, tout se joue à la dernière conception de la passe énoncée par Lacan, passée inaperçue et qui est très précise : «La passe dont il s’agit, je ne l’ai envisagée que d’une façon tâtonnante, comme quelque chosequi ne veut rien dire que de «se reconnaître entre soir», si je puis m’exprimer ainsi, à condition que nous y insérions un «av» après la première lettre :«se reconnaître entre s(av)oir». (JL, 15 février 1977)
Pour Miller et Soler la fin de l’analyse amène au manque du manque: «Le sujet est comblé, il est satisfait» (Soler), «il n’est plus divisé» (Miller), pour les deux professeurs, arrivé en ce point, le patient peut laisser tomber son analyste et vivre sa vie.
Alors que pour Lacan, le manque est réel...
«Il suffit de lire ce qu’on peut vraiment considérer comme son testament, à savoir «Analyse terminable et interminable», pour voir que s’il y avait quelque chose dont Freud a eu conscience, c’est qu’il n’y était pas entré, dans cette «terre promise». Cet article,
je dirais, n’est pas une lecture à proposer à n’importe qui, qui sache lire - heureusement il n’y a pas tellement de gens qui savent lire - mais pour ceux qui savent lire, c’est un article difficile à assimiler, pour peu qu’on soit analyste. Si on n’est pas analyste, on s’en fiche.» (JL)"
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roma-sera-giornale · 1 month
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L'Ordine dei Cavalieri del Tempio di Salomone Celebra Jacques de Molay
De Ficchy Giovanni E’ consolidata tradizione del nostro Ordine valorizzare il merito nelle professioni e mestieri, l’impegno sociale, l’eccellenza nelle arti e riconoscere il profilo morale dei membri della società civile. Una tradizione in ossequio al vero spirito cavalleresco, sull’esempio di Goffredo di Buglione, che elevò a Cavalieri e Dame Templari i cittadini coraggiosi e prodi che…
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christophe76460 · 1 month
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N’envie pas les violents et n’adopte aucun de leurs procédés (Proverbes 3:31).
Deux variantes de cette admonition sont répétées plus loin :
Que ton cœur ne porte point envie aux pécheurs ; mais adonne-toi à la crainte de l’Éternel continuellement (Proverbes 23:17).
Ne porte pas envie à ceux qui font le mal et ne recherche pas leur compagnie car leur cœur médite la ruine et leurs lèvres parlent de nuire (Proverbes 24:1-2).
On envie les hommes violents à cause des richesses qu’ils possèdent et la vie facile qu’ils semblent mener. Pour de l’argent, ils ne reculent devant rien ; tous les moyens sont bons. Le hors-la-loi est celui qui n’a aucune crainte respectueuse pour Dieu. Malheur à lui et à ceux qui s’associent à ses projets iniques.
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Car l’Éternel a en abomination les gens mauvais, mais il réserve son intimité aux hommes droits (Proverbes 3:32).
En hébreu, le mot abomination a un sens très fort ; il exprime un profond dégoût, l’envie de vomir. Il apparaît souvent dans les proverbes (Proverbes 6:16; 8:7; 11:1, 20, etc.). L’Éternel s’est exprimé ainsi dans les écrits de Moïse pour condamner l’idolâtrie et les pratiques qui lui sont liées (Deutéronome 7:25-26; 18:9-12).
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La malédiction de l’Éternel pèse sur la maison du méchant, mais il bénit la demeure des justes (Proverbes 3:33).
Après Salomon, Israël s’est scindé en deux royaumes. Celui du nord n’a eu que des mauvais rois et celui du sud quelques bons. Tous avaient pour but de créer une dynastie qui transcende les siècles. Tous ou leurs descendants furent maudits par l’Éternel et éventuellement balayés comme des ordures. Les livres historiques montrent bien que le jugement de Dieu tombe sur les méchants, qu’ils soient rois ou des individus.
La même chose est arrivée aux despotes qui ont bâti des empires sur des idéologies : Staline, Mao, Pol Pot, ou Hitler, pour ne citer que les plus connus. ❗Le président roumain Ceausescu était un clown, mais cruel. Réélu secrétaire général du parti en novembre 1989, un mois plus tard, il fut renversé et exécuté avec sa femme devant les caméras de télé ❗. Avis aux amateurs. Certains tyrans de grande envergure sont encore sur leur trône, mais c’est parce qu’ils contribuent, bien malgré eux, au plan de Dieu. De toute façon, leur tour viendra d’être balayé comme des détritus.
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L’Éternel s’oppose aux orgueilleux, mais il accorde sa faveur aux humbles (Proverbes 3:34).
Dans l’économie divine, ce principe est tellement important qu’il est cité par les deux apôtres Pierre et Jacques (Jacques 4:6; 1Pierre 5:5). L’orgueil est une faute plus grave que les autres parce qu’elle s’attaque à la gloire de Dieu, un crime de lèse-majesté. C’est par orgueil que Lucifer suivi de myriades d’anges s’est révolté contre le Créateur.
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L’honneur sera la part des sages, mais les insensés porteront la honte (Proverbes 3:35).
Dans les Proverbes, droit, humble, juste, sage sont pratiquement synonymes. Il est intéressant de remarquer que la fin des trois premiers chapitres des Proverbes copie le psaume premier en contrastant les bons et les méchants.
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tribalarts · 2 months
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Pouvoir et prestige. Art des massues du Pacifique
Léopold Verguet (1817-1914, missionnaire mariste), aquarelle (vers 1845-1847). Portrait de Sourimahè, un jeune homme de Makira (San Cristóbal), îles Salomon, en tenue de fête, tenant une massue-bouclier. © Archives départementales de l’Aude. Inv. AD 11 3 J 1938. En association avec la Fondazione Giancarlo Ligabue, à Venise, le musée du quai Branly-Jacques Chirac consacre une exposition…
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saax2 · 3 months
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Lascivo e devoto
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All'uscita dalla chiesa (at the exit from the church), 1870 | Mosè Bianchi (1840-1904, Italia)
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Il viatico (Collezione BPER Banca, Modena) | Giuseppe Mentessi (1857-1931, Italia)
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La processione, 1893-95 (Museo della Scienza, Milano) | Giuseppe Pellizza da Volpedo (1868-1907, Italia)
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La processione, Prestinone di Val Vigezzo, 1898 ca. | Carlo Fornara (1871-1968, Italia)
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 L’Angelus, 1858-59 (Musée D’Orsay, Paris) | Jean-Francois Millet (1814-1875, Italia)
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Cloister, Augustinian monastery of Monte Carasso, 1882 | Peter Kornbeck (1837-1894, Denmark)
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Apse of the church of St. Jacques, Dieppe; on the way to evening mass | Frits Thaulow (1847-1906, Norway)
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Ramingo, 1909 | Giuseppe Mentessi (1857-1931, Italia)
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Monks of Mount Athos, before 1905 | David Salomon Corrodi (1844–1905, Switzerland)
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yes-bernie-stuff · 4 months
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« Enseigne-nous à bien compter nos jours, pour que nous appliquions notre cœur à la sagesse. » (Psaume 90:12).
Dans les versets qui précèdent, Moïse rappelle la brièveté de nos vies au regard du Dieu Éternel, pour qui, un jour est comme mille ans. C’est pourquoi, conscient de cette brièveté, il demande à Dieu la capacité de bien utiliser, avec sagesse, ce temps si court. Dans les premiers chapitres du livre des Proverbes, l’auteur nous invite à acquérir la sagesse, à la désirer, et à la poursuivre comme un trésor.
Prétendre que l’on a entièrement acquis la sagesse avec l’âge serait prétentieux. Mais attention, restons toujours enseignables ; car devient-on sage ou sénile avec l’âge ?
L’histoire de l’homme le plus sage de la terre, Salomon, avec l’âge, a perdu une partie de sa sagesse !
Que Dieu nous donne la sagesse, pour bien orienter nos choix, pour savoir mettre les priorités là où elles doivent être ! La sagesse de considérer chaque jour comme un cadeau de Dieu. La sagesse de commencer chacune de nos journées en le mettant à la première place, en prenant le temps de l’écouter et de prier, surtout lorsque nous avons des tonnes de choses à faire. Martin Luther a dit : «J'ai tant de choses à faire qu'il me faut passer les trois premières heures de chaque jour en prière ». Voilà une marque de sagesse !
L’apôtre Jacques nous invite à demander à Dieu cette sagesse : « Si quelqu’un d’entre vous manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu, qui donne à tous simplement et sans reproche, et elle lui sera donnée » (Jacques 1:5).
Combien de fois, alors que le temps est si court, par précipitation, j’ai parlé trop vite, j’ai fait de mauvais choix ; en un mot j’ai manqué de sagesse, et, finalement j’ai perdu du temps, de l’énergie et même parfois de l’argent !
Aujourd’hui, plus que jamais, combien je ressens le besoin de prier, afin que Dieu m’accorde cette sagesse de le mettre toujours, et encore à la première place.
« Seigneur, nos jours défilent tellement vite, qu’il est plus que jamais urgent de les vivre en te mettant à la première place. En ce jour, où j’ai des décisions importantes à prendre, où j’ai besoin de trouver une solution face à la situation que je traverse, je viens auprès de toi réclamer que le Saint-Esprit m’inspire, que ta Parole me parle, et que ta sagesse me remplisse. Avec Moïse, je prie pour que je sache appliquer mon cœur à la sagesse, afin que je ne perde pas de temps à tourner en rond ! Au nom de Jésus, amen ! »Avec amour,
Paul
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Lovecraft: Unknown Kadath #7
Ablaze
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boardgametoday · 10 months
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Preview: Magic: Soul and Stone
Magic: Soul and Stone preview. In this deluxe hardcover collection, experience two standalone tales each spotlighting a beloved #MagicTheGathering character. #mtg #comics
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graphicpolicy · 10 months
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Preview: Magic: Soul and Stone
Magic: Soul and Stone preview. In this deluxe hardcover collection, experience two standalone tales each spotlighting a beloved Magic: The Gathering character #magicthegathering #comics #mtg #comicbooks
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culturevsnews-blog · 5 months
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H. P. Lovecraft - Kadath, l'inconnu de Florentino Florez (Adapté par), Guillermo Sanna (Dessins), Jacques Salomon (Dessins)
Achat : https://amzn.to/46GFkCJ Une adaptation sans précédent de La Quête onirique de Kadath l’inconnue de H.P. Lovecraft. Chronique : Cette adaptation magistrale de l’œuvre culte de H.P. Lovecraft, La Quête onirique de Kadath l’inconnue, transcende les frontières du fantastique pour offrir une plongée épique dans l’univers vertigineux et terrifiant de Randolph Carter. Sous la plume experte de…
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dispatchdcu · 8 months
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Lovecraft Unknown Kadath TP Review
Lovecraft Unknown Kadath TP Review #lovecraftunknownkadath #lovecraft #ablaze #comics #comicbooks #news #art #info #NCBD #comicbooknews #previews #reviews #Amazon
Writer: Florentino Flórez Artists: Guillermo Sanna & Jacques Salomon Letterer: Saida Temofonte Cover Artist: Gabriel Gomez Publisher: Ablaze Price: $19.99 Release Date: September 6, 2023 Roused from slumber, Randolph Carter spies gleaming towers rising above his native Boston. Yet each time the boy tries to enter this fabulous realm, he awakens in his bedroom. Is this incredible city a mirage or…
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Misère de la psychanalyse
Si les psychanalystes se sont à ce point dévoyés de la subversive découverte freudienne de l‘inconscient, de son noyau révolutionnaire réel, cela tient beaucoup à la prolifération médiatisée de «psychanalystes» (se faisant passer pour tels) qui sont en vérité les premiers promoteurs du Discours Universitaire, qui est du point de vue de la structure, ce qu’il y a de plus antagoniste au Discours de l’Analyste.
Les deux plus grands fournisseurs de ces soi-disant «psychanalystes» sont logiquement les deux plus grands groupes psychanalytiques (par le nombre), institutions se réclamant de l’enseignement de Lacan: l’École de la Cause Freudienne fondée par Jacques-Alain Miller en 1981 (coiffée désormais par une usine à gaz dénommée Champ Freudien...) et l’École de Psychanalyse des Forums du Champ Lacanien (fondée en 1998, par un collectif d’anciens membres de L’ECF, ayant fait scission, et dirigée d’une main de maîtresse (d’école) par le double féminin de Jacques-Alain Miller, Colette Soler, un autre éminent «professeur d’université», elle aussi formatée à l’ENS...
Lorsqu’en janvier 1980, Lacan dissout son École Freudienne de Paris, il motive son acte de ce qu’il appelle l’«échec de la passe», passe de l’analysant à l’analyste, qui était la raison même de la fondation de son École.
Lacan, parce qu’il se demandait «que peut-il se passer dans la tête de quelqu’un ayant fait une analyse pour vouloir devenir analyste ?» était parti de l’hypothèse qu’une «passe» de l’analysant à l’analyste était un fait de structure, témoin que le sujet n’était plus du tout le même à sa sortie qu’à son entrée, ayant constaté dans sa pratique «qu’il y vient comme une boule dans un jeu de tric-trac».
Lacan invente donc une procédure pour tirer ça au clair, parce qu’il souhaite que les psychanalystes se reconnaissent entre eux comme tels, à partir de l’analyse et non pas sur la base de critères préétablis de type universitaire et autres, confrérie, initiation, cooptation, copinage...
Il construit donc la procédure de la passe sur le modèle du mot d’esprit.
Un «passant» raconte son «hystoriole analytique», à un quidam comme lui qui en sera le «passeur», pour un jury de la même veine qui devra apprécier si ça tient debout.
Exemple: le «passant» raconte qu’il a rencontré Salomon Rothschild aux Bains de Lucques et que ce dernier l’a traité d’une façon tout à fait «familonnaire», le passeur prend note et va transmettre ça, texto, au jury, et tout le monde est plié de rire, car ils sont de la même chapelle (la chapelle évoquant bien entendu l’église, comme c’est souvent le cas dans les groupes analytiques...)
Où en est-on aujourd’hui avec cette «passe», 40 ans après la dissolution par Lacan de l’École Freudienne de Paris?
La passe s’est bien sûr transformée en impasse pour la transmission de la psychanalyse...
Jacques-Alain Miller (JAM pour les médias, depuis qu’il est devenu inséparable de l’indécrottable BHL) fait donc. après la mort de Lacan, main basse sur ce qui reste de la machinerie lacanienne et impose son «idée» que la passe (où il n’avait strictement jamais mis les pieds du temps de Lacan) c’était ...la «traversée du fantasme»!, un hapax lacanien que Lacan lui-même n’a jamais exploité (et pour cause... la traversée du fantasme, cela veut dire exactement le contraire de ce qu’on croit en comprendre a priori, c'est à dire qu'on pourrait vivre en dehors de toute illusion — ce qui est le fantasme ultime — traverser le fantasme signifie précisément renoncer au fantasme d’y échapper, le sujet a traversé le fantasme lorsqu'il accepte en soi et pour soi la nécessité constitutive de l'illusion. Son illusion. Chacun ne voit le monde qu'à travers la fenêtre de son fantasme fondamental...)
Bref, depuis plus de vingt ans, Colette Soler a aligné elle aussi son École des Forums du Champ Lacanien sur le diktat millerien, qui s’il n’a strictement aucun rapport avec la passe telle que Lacan l’avait imaginée et tenté de la mettre en œuvre avant d’en constater l’échec, s’avère très utile et particulièrement efficace pour asseoir son pouvoir personnel, et développer une expansion sans limite en montant des comptoirs un peu partout dans le monde, au nom de la «politique de la psychanalyse», comptoirs que viennent visiter de temps en temps des psychanalystes de «renommée mondiale» (!) pour renforcer le gouverneur, mis en place, adoubé par les «locaux», et à l’occasion lui remonter un peu les «bretelles» de la théorie...
Bien entendu, Miller est celui qui a poussé le bouchon le plus loin en se substituant au «cartel de la passe» pour nommer Analyste de l’École (AE) un de ses propres analysants, que le cartel n’avait pas nommé...
Ah, elle aura été tripotée cette pauvre «passe» qui aurait dû signaler la sortie du transfert, et qui en réalité fait la preuve que l’impétrant est au contraire toujours «sous-transfert», passant un examen comme pour entrer à l’École, selon une pure procédure de type universitaire, une formalité plus ou moins colorée de cooptation, à l’opposé radical de l’éthique psychanalytique...
Comment ces dérives (de la jouissance) pervertissent-elles la transmission de la psychanalyse?
Au grand dam du Discours de l’Analyste, que les psychanalystes authentiques s’efforcent de vouloir servir, c’est bien le Discours Universitaire (dont le Signifiant maître sous la barre permet d’éradiquer discrètement le grain de sable de l’énonciation) qui régit massivement l’économie relationnelle de ces groupes, les pratiques perverses de domination et de soumission sont devenues l’ordinaire des institutions psychanalytiques qui n’ont de psychanalyse que le nom, la logique qui les domine étant précisément celle du discours dominant, psychologisant, sociologisant, moralisant ...et démoralisant.
Les deux multinationales Millerienne et Solerienne poursuivent leur développement conformément aux vœux de l’étude de marché, la première commandée par le Capitaine «Win-Win» (surnommé ouin-ouin par les moqueurs) ; l’autre pilotée par «La Solaire», comme elle se surnomme elie-même, qui après avoir rejeté la prétention de Miller à incarner le «Plus-Un» du groupe en a fondé un autre, et qui à force de vouloir y briller jour et nuit en est devenue «La Peluce-Une», ou «La-femme-qui-existe»...
L’obstination des deux professeurs d’université à faire coller l’enseignement lacanien avec leurs rêves de suprématie (leur fantasme d’immortalité symbolique) a donc fini par naufrager la transmission de l’enseignement lacanien sur le roc de «la passe» qui affleure dans des eaux peu profondes, raison pour laquelle ils ne coulent pas, mais demeurent couchés sur le flanc, les forçant à réinventer ce qui n’était pas du tout à retoquer chez Lacan...
Chacun à sa façon a donc été amené à faire l’hypothèse de l’existence, au-delà de l’inconscient freudien, d’un «inconscient réel»...
Ainsi, pour Colette Soler: il y a "l’inconscient langage" et "l’inconscient lalangue" soit l’inconscient "réel"...
(« Lacan y donne, selon moi, un modèle réduit de ce que l’on appelle la chute du sujet supposé savoir, soit une passe à l’inconscient réel que j’écrirai désormais ICSR pour élider les signifiés du terme «inconscient». C. Soler in Lacan, l’inconscient réinventé p.46 )
Et pour Jacques-Alain Miller, il y a «l’inconscient transférentiel et l’inconscient réel, non tranférentiel»...
(« En revanche, l’inconscient réel, c’est l’inconscient qui ne se laisse pas interpréter, et c’est pourquoi, dans ce texte ultime – ou pré-ultime puisqu’il y a encore celui de «Tout le monde est fou» –, l’inconscient est défini comme le lieu où l’interprétation n’a plus aucune portée»…
JA Miller, Choses de finesse en psychanalyse XIII. Cours du 25 mars 2009)
Le passage de l’inconscient supposé à l’inconscient réel est désigné comme «passe au réel» (C. Soler) ou «vers le réel» (J.A Miller).
Alors que Lacan a toujours été très clair là dessus: «Qu’est-ce que la neutralité de l’analyste si ce n’est justement ça, cette subversion du sens, à savoir cette espèce d’aspiration non pas vers le réel mais par le réel.»
Rappelons aussi que Lacan avait déjà posé la question : «L’inconscient est-il imaginaire ou réel, difficile de le savoir?» avant de trancher: l’inconscient est réel (ce qui ne veut pas dire qu’il y ait deux inconscients, comme le soutiennent Jacques-Alain Miller et Colette Soler).
Lacan affirme lui-même qu’«il n’a qu’un inconscient, et c’est la raison pour laquelle il y pense jour et nuit...» (L’insu que sait de l’une bévue c’est l’amour - 1977)
Sans omettre de préciser que l’inconscient, s’il s’origine bien de «lalangue», n’en est pas moins «structuré comme un langage».
Et s’il est vrai que Lacan incite à explorer un peu plus le réel au-delà du peu de réalité du fantasme, en ce qui concerne la transmission de la psychanalyse dans ce qu’elle a d’absolument singulier et subversif, tout se joue à la dernière conception de la passe énoncée par Lacan, passée inaperçue et qui est très précise : «La passe dont il s’agit, je ne l’ai envisagée que d’une façon tâtonnante, comme quelque chosequi ne veut rien dire que de «se reconnaître entre soir», si je puis m’exprimer ainsi, à condition que nous y insérions un «av» après la première lettre :«se reconnaître entre s(av)oir». (JL, 15 février 1977)
Pour Miller et Soler la fin de l’analyse amène au manque du manque: «Le sujet est comblé, il est satisfait» (Soler), «il n’est plus divisé» (Miller), pour les deux professeurs, arrivé en ce point, le patient peut laisser tomber son analyste et vivre sa vie.
Alors que pour Lacan, le manque est réel...
«Il suffit de lire ce qu’on peut vraiment considérer comme son testament, à savoir «Analyse terminable et interminable», pour voir que s’il y avait quelque chose dont Freud a eu conscience, c’est qu’il n’y était pas entré, dans cette «terre promise». Cet article, je dirais, n’est pas une lecture à proposer à n’importe qui, qui sache lire - heureusement il n’y a pas tellement de gens qui savent lire - mais pour ceux qui savent lire, c’est un article difficile à assimiler, pour peu qu’on soit analyste. Si on n’est pas analyste, on s’en fiche.» (Lacan)
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