Tumgik
#inavouées
malibuzz · 9 months
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Les parrains de la guerre dite de libération : une Sainte Alliance criminelle contre le SAHEL selon le Chercheur malien DANSOKO Famory
Actuellement, il y a une situation de pré-guerre en Afrique, avec la formation de coalitions opposées dans la partie occidentale du continent. Au Niger, le président pro-français, Mohamed Bazoum, a été renversé par des officiers, ce qui n’a pas plu à Paris. Maintenant, plusieurs pays de la région qui font partie de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) prévoient…
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soitamespieds · 10 months
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La gardienne de la clé de votre cage possède votre plus grand secret
Au cœur des dynamiques les plus profondes de l'âme humaine se cachent des désirs et des secrets qui défient souvent les conventions établies. La cage de chasteté, loin d'être un simple accessoire, devient une extension de cette dynamique, un symbole puissant de soumission et de contrôle. Mais plus que la cage elle-même, c'est la gardienne de sa clé qui joue un rôle central. Elle détient le secret le plus insaisissable, celui qui est tu même dans les murmures les plus discrets.
La cage est bien plus qu'un objet. Elle est une déclaration, un engagement, un choix délibéré d'entraver une partie de soi. Pour celui ou celle qui la porte, elle devient un rappel constant, une épreuve continuelle de dévotion, de confiance et d'abandon. Elle représente une promesse faite non seulement à soi-même mais surtout à la gardienne.
La gardienne, avec cette clé entre ses mains, se voit confier un pouvoir immense. C'est une responsabilité qui va bien au-delà de la simple possession d'un objet. Elle détient un secret, un pacte silencieux scellé entre elle et le porteur de la cage. Chaque interaction, chaque regard échangé, est empreint d'une signification profonde, d'une tension palpable.
Cette relation, teintée d'une dynamique unique de pouvoir, est complexe et multifacette. Pour le porteur de la cage, confier la clé à la gardienne c'est se rendre vulnérable, c'est une soumission totale à une autre personne. Pour la gardienne, c'est assumer une position dominante avec toutes les responsabilités que cela comporte. Elle doit être à la fois stricte et bienveillante, toujours à l'écoute et consciente des limites.
Il faut aussi reconnaître le courage que cela implique pour les deux parties. Dans une société souvent prompte à juger, choisir de porter une cage de chasteté ou d'en être la gardienne est audacieux. C'est un acte de rébellion contre les normes, une déclaration d'indépendance face aux jugements.
En définitive, la gardienne de la clé et la cage de chasteté incarnent une relation profonde et complexe, une danse éternelle entre pouvoir et soumission. Derrière cette dynamique se cache un monde d'émotions, de désirs inavoués, et surtout, un secret insaisissable qui, bien que caché, donne une essence unique à leur relation.
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coovieilledentelle · 27 days
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J'ai envie de tes bras J'ai envie de ta voix J'ai envie de ton regard, J'ai envie de ta peau J'ai envie de toi De te sentir tout contre moi De te caresser, te goûter, Te murmurer des choses folles J'ai envie de m'enivrer au parfum de ta peau De me perdre dans la profondeur de tes yeux M'abandonner à la valse des sens Et me laisser emporter dans cette folle danse J'ai envie de ta peau contre la mienne, De tes mains dans les miennes, De tes doigts mêlés à mes cheveux Et de tes bras autour de ma taille Je veux tes jambes nouées aux miennes Dans une valse folle de désirs inavoués De ce feu consumant lentement mes reins Et attisant ce sentiment de faim Je veux goûter ta bouche comme un fruit défendu, L'effleurer, la déguster, la dévorer Explorer ses moindres secrets Et l'imprimer à jamais dans mon cœur J'aimerais tant de donner du bonheur Effacer ce voile de tristesse et de rancœur T'aider à être heureuse Et entrer à jamais dans ton coeur...
Antoine Chiapetta
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Plongé dans l'atmosphère envoûtante de "La Chronique de Bridgerton", je me retrouve captivé par les jeux de pouvoir et de séduction qui animent la haute société de l'époque. Les intrigues et les secrets semblent se mêler harmonieusement à travers les salons luxueux et les ruelles sombres de Londres. En observant les personnages évoluer, je ne peux m'empêcher de trouver des similitudes entre leurs manigances et mes propres stratagèmes. Peut-être que, dans ce monde de faux-semblants et de désirs inavoués, je pourrais découvrir de nouvelles inspirations pour mes propres aventures.
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ameretat · 9 months
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Antonin Artaud, Le Pèse-Nerfs
Il me manque une concordance des mots avec la minute de mes états. « Mais c'est normal, mais à tout le monde il manque des mots, mais vous êtes trop difficile avec vous-même, mais à vous entendre il n'y parait pas, vous vous exprimez parfaitement en français. vous attachez trop d'importance à des mots. » Vous êtes des cons, depuis l'intelligent jusqu'au mince, depuis le perçant jusqu'à l'induré, vous êtes des cons, je veux dire que vous êtes des chiens, je veux dire que vous aboyez au dehors, que vous vous acharnez à ne pas comprendre. Je me connais, et cela me suffit, et cela doit suffire, je me connais parce que je m'assiste, j'assiste à Antonin Artaud. — Tu te connais, mais nous te voyons, nous voyons bien ce que tu fais. — Oui, mais vous ne voyez pas ma pensée. A chacun des stades de ma mécanique pensante, il y a des trous, des arrêts, je ne veux pas dire, comprenez-moi bien, dans le temps, je veux dire dans une certaine sorte d'espace (je me comprends); je ne veux pas dire une pensée en longueur, une pensée en durée de pensées, je veux dire une pensée, une seule, et une pensée EN INTÉRIEUR; mais je ne veux pas dire une pensée de Pascal, une pensée de philosophe, je veux dire la fixation contournée, la sclérose d'un certain état. Et attrape ! Je me considère dans ma minutie. Je mets le doigt sur le point précis de la faille, du glissement inavoué. Car l'esprit est plus reptilien que vous-même, Messieurs, il se dérobe comme les serpents, il se dérobe jusqu'à attenter à nos langues, je veux dire à les laisser en suspens. Je suis celui qui a le mieux senti le désarroi stupéfiant de sa langue dans ses relations avec la pensée. Je suis celui qui a le mieux repéré la minute de ses plus intimes, de ses plus insoupçonnables glissements. Je me perds dans ma pensée en vérité comme on rêve, comme on rentre subitement dans sa pensée. Je suis celui qui connait les recoins de la perte.
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Qu’est ce que j’aime la nuit. Ce moment où la vie s’évanouit. Où les gens brisés peuvent souffler. Où ils peuvent se laisser avaler par l’obscurité. Dans le noir les larmes réfléchissent, les pensées s’épanouissent. La souffrance est à l’honneur, le silence enveloppe tes peurs. Un doux manteau de rien qui apaise ceux qui en ont trop. Trop à supporter, à canaliser, à encaisser. La nuit porte conseils, mieux que ça elle avale tes problèmes. Une douce nuit argentée, juste un peu de répit, de quoi te laisser rêver. Une parenthèse enchantée où rien ne te sera reproché. Sans aucune culpabilité, tu peux chuchoter ces secrets inavoués, ces espoirs inachevés, laisser ton cœur se balader. Demain personne ne le saura, mais toi t’as survécu à un énième combat.
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claudehenrion · 4 months
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Des perspectives qui n'en sont pas...
Avant d'aller plus loin, il convient de préciser que le mot''perspective'' a (au moins) deux sens, dont l'un découle de l'autre. Premièrement : la capacité de (se) représenter des possibilités d’événements plus ou moins éloignés dans le temps. Et deuxièmement, l'art de représenter en deux dimensions ce qui en a trois dans la réalité. Le monde, dans sa chute, semble avoir tiré un trait définitif sur le premier sens, et ramené le second à un trait unique, là où il en faudrait trois... ou dix...
Franchement, ce début d'année 2024 se présente avec tous les impedimenta (rappel : bagages et charges qui entravent et limitent l'activité) qu'il faut pour flanquer un début de panique à n'importe qui. Où que se pose le regard, il n'y a que mensonges, ''non-dits'', ''sacs d'embrouilles'' et sujets d'inquiétude... dont le plus grave est sans doute l'incapacité palpable du personnel politique en place de tenir un discours qui soit un tant soit peu en ligne et en harmonie avec la dimension des drames qui se jouent, des enchaînements de catastrophes qui se nouent, des tuiles qui s'annoncent (et qui s'entassent). Nous sommes sur un volcan, et pour nous conseiller, nous n'avons, dans le meilleur des cas, que des vulcanologues amateurs, sans expérience, dans bon sens, et sans jugeote, et qui nous cachent la vérité... !
On peut les comprendre : s'ils sont un tant soit peu moins ''cons'' que ce qu'ils nous laissent voir de leur impéritie (de taille ''XXL'', pour employer une expression que j'aime bien), ils ont fini par comprendre qu'ils ne maîtrisaient ni ne contrôlaient plus rien de ce qui est ou sont leurs seuls et uniques devoir, fonction et obligation : les éviter à ceux qui leur ont (on se demande bien pourquoi, et sur quels non-critères de non-sélection !) demandé de les protéger. Ils en sont réduits à la vieille technique de l'autrefois célèbre Sapeur Camembert : ''pour boucher un trou, il suffit d'en creuser un autre, plus grand, juste à côté !''.
Les suites de cette capitulation inavouée (et même niée, par orgueil mal placé) sont connues : soit ils laissent p...faire (dans la logique du ''Je suis leur chef, donc je les suis'' de Ledru-Rollin), soit ils parlent d'autre chose (mais en prenant la précaution d'interdire de prononcer ne serait-ce que le nom de l'objet de leur impuissance)... soit ils refilent le bébé à une instance qu'ils disent ''supérieure'' --et l'ogre (du latin orcus = divinité infernale) von der Leyen est trop heureuse d'étendre les surfaces où sa perversité, son impudence et son absence de compréhension des vrais problèmes peuvent nuire sans limites (NDLR : dans ces trois capitulations, nous reconnaissons : (a)- l'écologie et le réchauffement climatique, une des pires ''arnaques du siècle''... (b)- le covid et l'immigration, deux mensonges mortels... (c)- la mort de notre civilisation occidentale).
Je me suis livré à une sorte de survol de quelques ''Unes'' disponibles en ce début d'année. Et la lecture de ces titres ne peut qu'engendrer la trouille, étant entendu –comme d'habitude-- que l'exactitude des citations est garantie et que je conserve les originaux, à fins de preuves. (1)- ''La révolte des fermiers qui monte sur l'Europe (mais que les médias français nous cachent avec soin) : les mêmes causes produisent les mêmes effets''... (2)- ''Et si le seul remaniement potentiellement efficace était celui que Macron refuse d'envisager ?''... (3)- Dans ''Atlantico Business'' : ''Les milieux d'affaires attendent un nouveau gouvernement sur 3 dossiers : la baisse des prélèvements sociaux, l'énergie, et l'Union européenne... (NDLR le premier point est hors de question, le second ''pas dans la doxa bobo-gaucho'', et le troisième... à l'opposé des fantasmes mortifères du chef et de son Europe anthropophage ! Rien de bon à attendre !). (4)- ''Guerre maritime : Derrière la guérilla en mer Rouge, l'offensive des régimes autoritaires sur les circuits-clés du commerce mondial'' ... (5)- ''Accablant ! (c'est le titre !) : Ce que dit la Cour des Comptes sur l'immigration, et ce qu'elle n'a pas vu'' !
En gros, cette série là est connue ou supposée, et nous en parlons parfois, ici. (je pense à nos récents éditoriaux sur la destruction au VIII è siècle des routes commerciales par ''les cavaliers d'Allah'', une des causes de la chute finale de l'Empire romain, qui se rejoue en mer Rouge, avec un résultat inconnu à ce jour). Thucydide, il y a 2500 ans, affirmait que l'Histoire serait un éternel recommencement. En tout cas, ce qui se passe devant nous, sans que personne ne réagisse pour de vrai, semble démontrer que les descendants de ces intrépides migrants-envahisseurs nous rejouent la même scène pourrie, avec le même espoir de nous mettre de nouveau à genoux... Cette autre série de ''Unes'' me paraît plus inquiétante, car elle touche à la fonction irrationnelle, ''magique'' peut-on dire, de notre cerveau.
Une enquête vient de chiffrer le drame de la fuite du peuple français : 30% de nos concitoyens songeraient à s'exiler. Comme nous en menaçait depuis 2004 le sauvage Abou Bakr Naji dans son livre Gestion de la barbarie, la menace ''Si vous ne vous trouvez pas bien chez nous, (NB en parlant de l'Europe !), vous pouvez partir'', a été entendue, et ce cauchemar est en train de se mettre en place : selon un sondage Opinion Way de ce 21 décembre 2023, 54 % des 18-24 ans regardent vers le grand large... et mes petits enfants me questionnent de plus en plus souvent sur mes expatriations (Maroc, Angleterre, USA). C'est déjà terrible... mais il existe d' autres points inquiétants :
Les sommes incroyables de mensonges qui ont été balancés par les ''voix officielles'' sur tous les sujets qui furent, un temps, réputés susceptibles d'apporter des voix écologistes dans les urnes (le réchauffement dû à l'homme, le danger atomique, le Co² et les énergies fossiles et la voiture électrique, ces quatre cavaliers de l'Apocalypse) ont dépassé tous les seuils d'acceptabilité... et plus personne ne croit à quoi que ce soit qui vienne ''d'en haut'', comme le démontre l'indifférence générale devant les pitoyables danses du ventre auxquelles se livrent l'exécutif et les médias pour faire croire qu'un changement de gouvernement est important. En réalité, tout le monde s'en fout, et Attal intéresse plus de gens par ses choix de vie que par sa capacité éventuelle à rompre-pour-de-vrai avec les doctrines pernicieuses de son mentor (Europe mangeuse d'hommes, immigration mal comprise, ''sociétal'' à Gauche toute, dette au fil de l'eau, et mensonge, ni...ni..., et ''en même temps''... érigés en techniques de management, '' !)  !
Plus grave encore : l'hystérie collective qui a été inoculée à la majorité des citoyens, avec les excès ridicules des simagrées liés au covid, au CO², au climat, ou à l'impression (sic !) d'insécurité due à l'immigration (re-sic !), à entraîné une perte de confiance (en voie de généralisation) dans toute autorité, donc dans la science et dans la parole des hommes de science, déconsidérés pour longtemps (nous devrons revenir très bientôt sur ces deux sujets)... A cause de choix douteux et finalement catastrophiques --ce qu'ils sont--, l'année s'ouvre sur beaucoup plus de questions angoissées que de réponses tranquillisantes... et ce n'est vraiment pas une bonne nouvelle !
H-Cl.
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geoffrey-j · 5 months
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Pulsion (on Wattpad) https://www.wattpad.com/story/359085491-pulsion?utm_source=web&utm_medium=tumblr&utm_content=share_myworks&wp_uname=Geoffrey-J&wp_originator=aEbJRqVbML4C4dD9TBvUngKmXlVN%2F44i%2FIHfqpboPiG83NYX1dGu9dllKNja0XY9zz3vwWGiBHmu872Ob2Y%2B5uRFN1PQ%2FC09eSgl7Z3Zo%2BHNXj9El8DgfJJ4spg3xc%2B3 Dans l'univers captivant de la Dark Romance, plongez au cœur d'une histoire tumultueuse où les désirs interdits et les mystères insondables s'entrelacent. Harry, l'énigmatique loup solitaire du monde professionnel, voit sa vie bouleversée par l'arrivée d'Amanda, une jeune femme au passé sombre et à l'aura mystérieuse. Alors que leurs destins s'entrelacent, une tension électrique imprègne chaque interaction, révélant des désirs inavoués et des secrets profondément enfouis. Entre passion dévorante et mystère envoûtant, cette Dark Romance explore les recoins les plus sombres de l'âme humaine, où la frontière entre la raison et la passion s'efface dans un tourbillon de sensations interdites.
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loickbvr · 10 months
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Debout tous (txt 2011)
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On reproche souvent aux Français leur arrogance, leur prétention, leur chauvinisme, et Napoléon en serait la cause.
Sous la Révolution, il fut l’antidote de l’anarchie. Sous le Consulat et le Premier Empire, il devint le génie civil et militaire. Il avait cette noble ambition d’apporter l’espoir, la réussite, l’honneur et l’amour de la patrie. Sous son impulsion, le peuple retrouva vertus antiques, et franchit les limites du possible et de la gloire. De là, est né ce sentiment d’invincibilité...
Or, Napoléon ne fut que de passage, un soldat parvenu. Il savait qu’il ne pouvait garder sa constance indéfiniment et que l’Empire ne survivrait pas aux coalitions successives et déloyales. Depuis sa défaite de Waterloo et son abdication en 1815, la France est orpheline. Elle abdique à son tour, et son peuple se condamne à mourir en silence. La perfide Albion avait réussi sa revanche sur la guerre de cent ans au prix d’un endettement colossal. L’ère de la domination anglo-saxonne débutait. La société post-empire allait se soumettre à leur système commercial, se formater à sa langue et en devenir consommatrice.
L’héritage matériel
Il reste une architecture civile et militaire : Le code civil, le code pénal, le code du commerce, la cour des comptes, le lycée, le baccalauréat, l’université, l’école spéciale militaire de Saint-Cyr, la Légion d’honneur, la banque de France, les prud’hommes, les grands monuments tel l’Arc de triomphe de l'étoile, puis il y a l’art avec ses tableaux, manuscrits et armes que les collectionneurs s’arrachent.
L’héritage spirituel
La société du Premier Empire était héritière des Vercingétorix, Charles Martel, Roland, Du Guesclin, Jeanne d’Arc et soldats révolutionnaires, toujours à se lever face à l‘oppression et à défendre avec honneur les intérêts d’une nation libre et indépendante. Mais les guerres du XXe siècle aux folies destructrices ont fini par raréfier la descendance et ont apporté des conséquences désastreuses. Beaucoup de familles n’ont pu recevoir le savoir de leurs aïeux et subissent des traumatismes inavoués. Elles se résignent, perdant l’honneur et la volonté de résister. Certaines finissent par brader leur héritage pour un besoin financier.
Et il y a ces arrogants, prétentieux et chauvins... ces grognards, rescapés de ce déclin, qui gardent au fond de leur esprit la flamme d’espoir, cette empreinte de la glorieuse Histoire de leurs ancêtres. Ils la recherchent, la retrouvent puis la relatent, d’autres la jouent et se prennent pour les héros le temps d‘une reconstitution de bataille. Ce n’est pourtant qu’une illusion, un souvenir, un sentiment nostalgique, une réaction qui n’est, en réalité, que l’ultime souffle avant l’extinction.
Le changement
N’avez-vous point remarqué que vous ne savez que peu de choses sur vos ancêtres ? N’avez-vous point remarqué que des familles se désunissent ? N’avez-vous point remarqué les dérives de l’enseignement et de l’éducation ? N’avez-vous point remarqué le désintérêt pour l’Histoire et la suppression de certaines périodes d’histoire de France du programme scolaire ? N’avez-vous point remarqué la modification de la langue française ? N’avez-vous point remarqué que la France n’a plus son indépendance et sa liberté, qu’elle se met aux crochets d’un nouveau système ?
L’arrivée en masse de communautés étrangères est la volonté des colons modernes, une nouvelle forme d’esclavage à moindre coût pour répondre à l’hyperconsommation. Ces communautés pourraient s’intégrer à notre héritage matériel ou pas, mais il est certain qu’elles ne se lieront pas à notre héritage spirituel, puisqu’un arbre ne peut renier ses racines. Les tronçonneuses républicanistes couperont jusqu’à la guerre civile et la société uniforme sans frontière prendra place.
Que feront les héritiers ?
Résister et s’installer dans des réserves ou accepter de se fondre dans la masse. La démocratie est cruelle, puisque c’est le plus grand nombre qui assoit sa domination. Les paroles prophétiques de Napoléon se réaliseraient-elles ?
“Vivez avec les idées de votre siècle. Vivez pour elles, elles vous entraînent ; vivez contre elles, elles vous renversent”.
Le destin de la “société nation” serait donc d’accepter de disparaître au profit d’une société apatride, ou cosmopolite, ou de consommation, ou individualiste ou peut-être le tout à la fois. À moins qu’un miracle ne se produise, qu’un chef, resté jusqu’à présent observateur, apparaisse et intervienne pour la renaissance.
Que peut-on transmettre aux générations issues de l’ancienne France qui avancent dans ces méandres avec insouciance, rébellion et sans boussole ? Elles ne survivront que si elles retrouvent leurs racines… leur passé, leur origine, leurs vertus antiques, leur terre natale. Elles doivent être attachées aux institutions et coutumes de leurs ancêtres pour qu’elles soient dignes et garantes de leur avenir.
L’heure n’est plus à l’observation et au silence, mais à la parole et à l’action. Fidèles de la nation libre et indépendante, réveillez-vous de votre léthargie, renaissez de vos cendres et soyez debout ! Soyez comme ces arbres millénaires qui ont connu bien des tempêtes, ils restent debout grâce à leurs racines.
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malibuzz · 9 months
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Les parrains de la guerre dite de libération : une Sainte Alliance criminelle contre le SAHEL selon le Chercheur malien DANSOKO Famory
Actuellement, il y a une situation de pré-guerre en Afrique, avec la formation de coalitions opposées dans la partie occidentale du continent. Au Niger, le président pro-français, Mohamed Bazoum, a été renversé par des officiers, ce qui n’a pas plu à Paris. Maintenant, plusieurs pays de la région qui font partie de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) prévoient…
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frisquette27 · 1 year
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J'avais prévu de poster vendredi dernier, ne jamais mettre de deadline car c'était toujours comme ça que l'on a plein d'autre chose à faire pfff.
Bon voici enfin le chapitre 19 de ET SI .. (j'aurais mis le temps quand même)
Toujours les mêmes avertissements : rappel de tentative de suicide, SMUT etc ...
UN GRAND MERCI à ceux qui suivent ma p'tite histoire et UN GRAND MERCI pour tous vos commentaires (Ils me donnent le courage de continuer)
ET SI …
Chapitre 19 : Si je savais qui croire
Elle était tétanisée, complètement affolée la Reine ne savait que faire, elle rêvait de pouvoir prendre ses jambes à son cou et s’enfuir à l’opposé de la femme devant elle. Mais malheureusement son corps ne lui répondait plus, elle restait donc la devant elle, à sa merci comme une proie. Aucun son ne sortait de sa bouche, Dame Mevanwi comprit immédiatement le trouble de la Reine, elle en était enchantée, elle avait du pouvoir sur cette femme, elle allait donc en abuser.
Prenant un air doux et une voix mielleuse à la limite de la caricature.
« Ma Reine, quel plaisir de vous revoir » dit-elle en s’approchant, se permettant même de lui prendre la main « J’avais tellement peur de ne plus vous revoir après notre discussion, j’étais particulièrement mal de vous avoir fait de la peine »
Guenièvre ne pouvait pas lui répondre, elle en tremblait, des brides de leur dernière conversation tournait dans sa tête en boucle, elle ne pouvait en oublier aucun mot.
« Ne restons pas là » Mevanwi lui prit le bras et l’entraina doucement avec elle « Allons dans les jardins, nous serons plus au calme pour discuter »
Les deux femmes s’installèrent sur un banc en pierre auprès d’un magnifique parterre de jasmin d’hiver jaune, Mevanwi avait choisi cet endroit précis car elle savait que la reine avait voulu que l’on n’y plante des fleurs rouges mais Arthur avait préféré mettre des fleurs jaunes car cet endroit était fait pour les passions inavoués et elle savait parfaitement que c’était à elle qu’il pensait. Elle avait bien choisi le lieu car elle vit le regard de la Reine sur le parterre de fleurs et elle perçu le désarroi de cette dernière. Parfait, son plan fonctionnait, elle prenait plaisir peut être un plaisir malsain mais c’était amusant de détruire cette femme, un petit sourire s’étira sur ses lèvres.
« Comment allez-vous ? » commença-t-elle mais comme Guenièvre restait silencieuse, elle poursuivit « Vous n’êtes partie que quelques jours mais j’étais très inquiète, je pensais que vous aviez disons tourné la page et j’étais contente pour vous. Le Roi ne vous a pas laissé le choix a ce que j’ai pu comprendre »
Guenièvre réagit enfin, interloqué par les mots de son ancienne amie
« Comment ça je ne comprends pas ? Pourquoi le Roi ne m’aurait pas laissé le choix »
« Pour être très honnête avec vous, votre départ la certainement contrarié, vous comprenez les apparences, disons que l’alliance avec votre famille est importante pour le royaume et j’imagine que votre relation à évolué sur le plan physique »
« Comment …vous …qu’est ce qui vous fait supposer de telle .. »
Mevanwni posa la main sur la jambe de la Reine.
« Je le sais car le Roi veut un héritier et pour le citer il n’a pas le choix de se taper l’autre grosse gourdasse » mentit elle.
« Non Arthur n’a pas dit ça ! »
« Je suis vraiment désolé mais très honnêtement est ce vraiment la première fois, je comprends que vous deviez rester, votre statue de Reine et votre devoir envers le Roi mais vous méritez que l’on vous aime ou au moins que l’on vous respecte »  
Guenièvre ressentit une pression au niveau du cœur, elle avait du mal à respirer, non ce n’était pas possible pas après la nuit dernière pourtant la petite voix qui ne cesser de la tourmenter lui rappelait qu’il y a quelques jours à peine son mari ne pouvait pas la voir en peinture. Elle retenait ses larmes, elle ne pouvait pas pleurer devant cette femme. Elle se leva brusquement et partit dans les jardins laissant Mevanwi seule sur le banc sans un mot pour cette dernière.
« Voilà » murmura-t-elle « Trop facile, elle se dirige directement dans mon piège »
Et quel piège, le Chevalier Blanc attendait sagement au bout du chemin l’arrivée de sa belle. Tout d’abord soucieux de la voir en pleurs, il se rappela les consignes précise de sa complice. Il devait rester concentré sur sa mission et essayer de charmer sa bien-aimée.
« Ma Reine, que vous arrive-t-il ? Etes-vous blessée ? »
Elle s’arrêta net devant lui, honteuse d’avoir été vu en train de pleurer mais étrangement contente d’être tombé sur son ami. Car oui après tout c’était avant tout son confident en déplaise à son mari.
« Seigneur Lancelot, je suis désolé »
« Ne soyez pas désolé ma Reine, dites-moi ce qu’il a encore fait »
« Rien ..il n’y a rien je suis juste un peu à fleurs de peau parfois, ne vous tracassez pas pour des broutilles »
« Mais ce ne sont pas des broutilles, Guenièvre, je suis persuadé qu’il a encore était trop loin, je ne connais bien notre Roi et les sentiments qu’il vous porte »
Trop c’était trop pour elle, tout le monde savait que son mari la méprisait et elle était là à croire que peut être il y avait une chance entre eux. Elle fondit en larmes devant le chevalier ne retenant plus ses sanglots. Devant la fragilité de la jeune femme, Lancelot en profita pour la prendre dans ses bras et lui murmurer des mots d’encouragements. Elle mit plusieurs minutes à se calmer, en reprenant un tant soit peu de constance, elle se défit de son étreinte et lui proposa de se promener, oubliant les recommandations de son mari. A ce moment, rien ne comptait plus que de retrouver la légèreté de sa relation avec le chevalier, il avait toujours été là dans les moments difficiles et il était tellement agréable avec elle. Ils passèrent donc l’après-midi dans les jardins à discuter de chose et d’autre, Guenièvre en oublia son chagrin. Le chevalier lui raconta sa vie dans la forêt, la faisant rire parfois avec des anecdotes plus incongrues les unes que les autres. Elle sentait ses regards amoureux et elle avait du mal à savoir comment se comporter avec lui, maintenant elle connaissait ses sentiments pour elle et même s’il n’était pas réciproque, elle se demandait toutefois si elle n’avait pas été amoureuse d’Arthur est ce qu’elle aurait succomber au charme de Lancelot. Après tout, il était bel homme, intelligent, romantique, il correspondait plus à son idéal masculin que son mari. Mais voilà, elle était amoureuse d’un homme râleur souvent bougon et terriblement attirant. Ils avaient perdu la notion du temps au point qu’ils ne se décidèrent à rentrer que lorsque le jour commençait à laisser place au crépuscule.
La journée avait été longue, trop longue pour le Roi qui avait enchainé les réunions les unes derrière les autres, leurs lots de problème avaient définitivement fini d’agacer Arthur. Alors qu’il n’avait qu’une seule chose en tête, retrouver sa femme qu’il avait vu pour la dernière fois de la journée au petit déjeuner. Arthur était frustré, tout d’abord il avait été interrompu par ses beaux-parents le matin même alors qu’il passait un moment merveilleux avec sa femme, puis elle s’était carrément barrée de leurs petits déjeuner le laissant seul encore avec ses beaux-parents. Il avait passé la journée à apprendre que les hommes dans ce château tournaient autour de Guenièvre d’ailleurs plus il y pensait plus il trouvait qu’il avait été trop clément avec le seigneur Calogrenant, et pour couronner le tout il n’avait pas vu ou même aperçu sa femme de tout le reste de la journée. Alors oui, il était frustré et se dirigeait d’un pas déterminé vers la salle de repas car même s’il devait se coltiner encore le couple royal de Carmèlide, il allait enfin retrouver sa femme. C’est donc avec un sourire sur le visage qu’il ouvrit la porte de la salle à manger, sourire qu’il perdit immédiatement quand il ne vit dans la pièce que ses beaux-parents déjà attablés.
« Non mais bon sang c’est pas possible, elle est où encore !! »
« Franchement ça vous arrive de temps en temps d’être aimable, on voit que ça vous fait vachement plaisir de nous voir » dit sa belle-mère d’un ton acerbe
« Non mais laissez-le, il cherche encore la p’tite d’ailleurs moi aussi j’aimerais bien savoir où elle est fourrée celle-là »
« Ben c’est pas à moi qu’il faut demander ça, c’est une vrai anguille cette gamine, tout le monde la vue mais personne ne sais où elle est, j’ai autre chose à faire que jouer à cache-cache avec elle »
Arthur s’était attablé complétement dépiter, regardant dans le vague son assiette. La porte s’ouvrit et il releva la tête immédiatement la tête dans l’espoir de voir sa femme apparaitre et malheureusement ce n’était qu’une servante qui apportait les plats. Encore déçu il souffla et rebaissa son regard sur la table.
« Non mais vous allez pas faire la gueule en plus, déjà que d’habitude vous êtes pas très jouasse comme bonhomme mais alors là on atteint le summum »
« Non mais je viens de vous dire de lui foutre la paix, qu’est-ce que vous ne comprenez pas ! »
« Merci beau-père »
« Allez-y vous ! Prenez sa défense tant qu’on y est, ce qui faut pas entendre sérieux, il y a quelques jours encore il pouvait pas la blairer la p’tite et là monsieur fait la gueule quand il la voit pas »
« Faut savoir à la fin, moi je trouve que c’est mieux, je préfère qu’il fasse la tronche parce qu’il ne la voit pas que quand il se foutait ouvertement de sa tronche »
« Hé oh je suis là je vous rappelle, et puis d’abord je me foutais pas de sa tronche »
Le couple se tourna vers le roi et le regardèrent d’un air septique relevant tout les deux un sourcil de surprise, la situation en été presque comique de voir ses beaux-parents réagirent à l’unisson.
« Heu je veux bien prendre votre défense mais ne nous prenez pas pour des jambons, bientôt vous allez dire que vous avez été toujours prévenant avec elle »
« Oh oui bientôt il va nous sortir qu’ils ont toujours eu une belle histoire d’amour » rajouta Dame Séli d’un ton sarcastique.
« Non mais c’est plus compliqué que ça et puis d’abord mêlez-vous de vos fesses, ça me fera des vacances !! »
« Ah mais vous rêvez les yeux grand ouverts mon p’tit bonhomme je vous le dis tout de suite, si vous pensiez qu’on été sur votre dos ben vous allez voir le changement, c’était de la nioniotte jusqu’à présent »
« Super ça annonce une bonne ambiance en perspective pendant les repas, trop chouette je me languis !! »
« Ouais mais alors faite pas trop le malin quand même, je ne vous rappelle pas dans quel état vous avez mit ma fille, je veux bien essayer d’être tolérant et ce n’est franchement pas dans ma nature mais je vais vraiment avoir du mal à oublier que j’ai failli perdre ma fille par votre faute !» dit le seigneur Leodagan en fixant durement son gendre.
Tout penaud Arthur, s’enfonça dans son siège, baissa les yeux et ne pipa plus un mot. Le repas fut alors silencieux, extrêmement silencieux voir gênant.
Elle avait réussi à éviter le repas, elle n’avait pas mangé de la journée mais elle se sentait euphorique de pouvoir maitriser quelque chose dans sa vie. Pour éviter son mari, elle décida de prendre un bain pour ne pas se rendre directement dans sa chambre. Elle n’était pas prête à le voir, le chagrin que lui avait provoqué sa conversation avec Mevanwi était encore bien trop présent, elle ne savait pas comment elle allait réagir en le voyant. A sa grande surprise la porte de la salle de bain avait été condamné et ce fût un serviteur qui lui indiqua la direction de la nouvelle salle de bain. Il faisait déjà nuit noire quand elle rentra dans son bain, c’était donc à la lueur des bougies qu’elle examina ses poignets. L’eau était bien chaude et parfumé pourtant la vision de ses marques lui rappelait cruellement la nuit où son désarroi avait pris le dessus. Elle se rappelait la sensation de la lame froide sur sa peau cependant elle n’avait aucun souvenir de la douleur de son acte juste de la libération qu’elle avait ressenti. Est-ce qu’un jour elle oublierait ? Est-ce elle lui pardonnerait un jour ou même arriverait elle seulement à se pardonner elle-même ? Perdu dans ses pensées elle n’entendit pas la porte s’ouvrir, ni la servante se rapprocher.
« Madame, veux-t-elle qu’on lui change son eau, elle doit être froide maintenant »
En regardant la servante qui venait de s’adresser à elle, Guenièvre vit de la peur dans son regard. Pourquoi cette femme avait-elle l’air effrayé, elle tremblait légèrement.
« Non je vous remercie, je vais sortir de mon bain. Pourriez vous me passer la serviette derrière vous s’il vous plait »
La servante ne bougeait pas et fixait toujours la reine.
« Vous êtes nouvelle, vous ai-je déjà vu ? »
« Oui…oui madame » répondit elle avec un soubresaut dans la voix « c’est moi qui vous ai aidé à passer votre robe ….cette nuit-là ! »
« Ah !  Je comprends ! comment vous vous appelez ? »
« Nessa, madame »
« Nessa pourriez-vous me passer la serviette derrière vous que je puisse sortir »
« Oui madame »
Elle lui tendit la serviette.
 « Dites-vous n’allez pas recommencer ! »
Guenièvre secoua la tête, elle se sécha rapidement et demanda à la servante de l’aider à se vêtir, elle posa une main rassurante sur l’épaule de la jeune femme.
En rentrant dans sa chambre le Roi avait espéré la retrouver mais toujours pas de Guenièvre. Il commençait fortement à s’inquiéter, il voulut partir à sa recherche quand la porte s’ouvrit laissant place à sa femme. Sans lui laisser le temps de réagir, il la prit dans ses bras et fondit littéralement sur ses lèvres. Il aurait voulu juste effleurer ses lèvres pour l’embrasser doucement mais il était bien trop frustré pour cela, le baiser était passionné. Ses lèvres étaient douce chaude, il pourrait mourir s’il s’arrêtait. Prise dans le moment ses mains glissèrent sur ses épaules nues, sentant la peau fraiche sous ses doigts, puis il plaqua une de ses mains au creux de reins pour l’attirer contre lui. Il commença à caresser son dos, envoyant des frissons dans la colonne vertébrale de la jeune femme, qui instinctivement se colla encore plus à son mari. Il grogna dans sa bouche de plaisir.  Les mains de sa femme étaient partout, maudissant les vêtements qui séparait leurs peaux l’une de l’autre. Ils s’embrassèrent ainsi pendant plusieurs minutes, savourant leurs goûts, les sensations que produisaient leurs gémissements respectifs, les plongeant dans une douce torture. Respirant à peine Arthur les entraina vers leurs lits, Guenièvre s’affairait à lui enlever ses couches de vêtements qui lui interdisait l’accès à sa peau. Elle ne pensait à plus rien, oublié la conversation avec Mevanwi, oublié ses doutes sur la sincérité de son mari, oublié les marques sur ses poignets seul Arthur comptait à ce moment-là, sa peau, son parfum, ses mains sur elle.
Ils tombèrent sur le lit sans que leurs lèvres ne se séparèrent, Arthur se positionna sur sa femme et entreprit de lui enlever sa robe alors que sa bouche parsemait son cou de baiser. Il finit par lui déchirer sa robe et la jeta à travers la pièce en rageant.
« Trop compliqué vos tenues, vous allez rester toute nue tout le temps maintenant ! »
Elle rit et enfouie sa main dans la chevelure de son époux dans un geste tendre, avec un petit sourire mutin. 
« Ah bah je vais faire sensation à me promener toute nue dans le château »
« Même pas vous y penser »grogna -il
La main toujours dans ses cheveux elle attira sa bouche contre la sienne, ils s’embrassèrent à nouveau désespérément, gémissant de plaisirs alors que leurs langues se caressaient. Ils étaient collés l’un à l’autre, poitrine contre torse, leurs peaux se rencontraient enfin. Les mains de la jeune femme montaient et descendaient le long de son dos. Elle pouvait sentir le désir de son mari pressé contre son bassin, il lui faisait perdre la tête. Elle écarta les jambes laissant Arthur se placer entre ses cuisses. Le pouvoir qu’elle possédait sur lui la stupéfiait juste en bougeant son bassin contre lui, elle la sentait bien son impatience dans ses caresses, dans ses baisers, dans ses gémissements. Autant il lui faisait totalement perdre la tête autant elle aussi elle avait ce pouvoir sur lui.
« Décidément, vous êtes encore trop habillé mon ami » lui murmura t elle à l’oreille d’une voix suave.
Il comprit qu’elle faisait référence à son pantalon, et comme si ses mots étaient magiques, il s’en débarrassa rapidement faisant sourire sa femme devant son empressement.
Alors que leurs corps nus se rencontrèrent enfin Guenièvre ressenti que c’était une évidence entre eux et alors que son mari lui relevait légèrement les cuisses pour la faire sienne.
« Ah je dérange peut-être ? »
Stoppé dans son action, Arthur se retourna vivement vers l’intrus tout essayant de couvrir sa femme. Devant lui la Dame du Lac.
« Non mais vous êtes pas bien ! ça vas pas non ! mais BARREZ VOUS ! »
« Ben non je voulais juste voir comment elle allez quand même »
« Non mais vous êtes sérieuse là »
« Oui elle va comment du coup ! »
« Je vais bien merci mais disons que là c’est pas vraiment le moment de papoter »
Arthur s’était couvert lui aussi, elle lui avait coupé l’envie.
« Ah mais vous faites plus semblant de ne pas me voir, ah ben c’est bien vous lui avez dit, ça sera plus simple »
« J’ai un peu gaffé mais maintenant du coup ça sera plus facile pour parler »
« Ah c’est clair ! déjà que c’est le bazar quand je dois venir si en plus faut gérer quand lui apparaitre parce que cela vous met mal à l’aise »
« Ah parce que là ça met pas mal à l’aise » grogna t il
« Oh mais c’est bon, de toute façon vous n’aviez pas vraiment commencé »
« Non mais j’avoue que moi aussi j’aurais préféré que vous n’apparaissiez pas maintenant »
« Ah ben je suis désolé, je voulais vraiment savoir comment vous alliez car c’est un peu le bazar là-haut depuis que vous avez essayait de ..enfin vous voyiez quoi »
« Oh je suis vraiment désolé, je ne voulais vraiment pas vous ennuyer, je ne pensais pas que … »
« Non mais ça va dis donc, vous ne voulez pas que je vous fasse apporter des tisanes et des p’tit gâteaux pour que vous puissiez papoter tranquille non plus ! »
« Ah maintenant que vous dites, pourquoi pas »
« Non mais certainement pas ! Cassez-vous »
« Oh ben ça vas quand même si je dérange je m’en vais »
« C’est ça oui faite ça donc, BARREZ VOUS »
La Dame du Lac s’éclipsa sans demander son reste. Laissant le couple royal enfin seul, Arthur n’attendit pas son reste et fondit immédiatement sur les lèvres de sa femme.
« On en était où sinon »
A l’abri de tous dans un couloir, Lancelot avait rejoint sa complice et lui faisait un rapport détaillé de son après-midi avec la Reine.
« Il faut que vous soyez plus tactile avec elle, il faut être plus direct »
« C’est plus facile à dire qu’a faire comment voulez vous que je m’y prenne »
Pour joindre l’acte à la parole, Mevanwi prit la main du chevalier caressant langoureusement de son autre main la joue, puis la nuque de ce dernier. Elle se rapprocha et colla son corps à cet homme qu’elle trouvait néanmoins désirable, leurs lèvres s’arrêtèrent à quelques millimètres l‘une de l’autre.
« Et là vous l’embrassez » murmura-t-elle
« Montrez-moi » lui répondit le chevalier.
Le château s’était endormi paisiblement, pourtant les alliances se rapprochait dangereusement et le piège risquait de se refermer très vite mais sur qui ?
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raisongardee · 1 year
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“L’emprise réelle de l’idéologie dominante a beaucoup moins à voir, en effet, avec le nombre d’interventions médiatiques – mesuré par le CSA – de tel ou tel politicien, ou représentant du monde intellectuel, venant exposer ses propres opinions en tant que telles, qu’avec cette propagande quotidienne inavouée qui consiste à faire passer en sous-main les principaux "éléments de langage" de l’idéologie dominante sur le ton détaché et neutre de l’expertise impartiale […] C’est là un art dans lequel, de nos jours, France Info est passé maître.”
Jean-Claude Michéa, Notre ennemi, le capital, 2018. 
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abdou-lorenzo · 2 years
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L'infinie caresse abreuve nos désirs,
Entrouvrant la porte des horizons pervers,
Même si ce ne sont que des petits travers,
Bien qu'ils occultent la foi, laissons-les agir.
Nu dans l'acte, tout homme se sent fragile,
Même si les draps sont remplis de rêves d'or,
Doutes-tu, longue nuit que cette fois encor,
Nos gestes seront vains et nos mains stériles ?
La fougue nourrit la passion de ses estocs,
Ses orages ignorent les nuits tranquilles,
Sous le ciel bleu de mon lit, quel joli pistil,
S'ouvrira au pollen quand chantera le coq.
La caresse illumine de sourires invisibles,
Qui s'acharnent à durer dans le renouvellement,
Des innocents attraits aux reflux émouvants,
Liant et dénouant tant d'âmes sensibles.
Tout devient mystérieux au frôlement des âmes,
Insoluble repos dans un trouble secret,
Quand la faim se tait, souvent naissent des regrets,
Muets, inavoués, mais est-ce un drame ?
Si la paix de la nuit devient langoureuse,
Les vagues du cœur revivent sur-le-champs.
Le symbole éclairé d'une lune au couchant,
Matérialise l'intensité heureuse.
Éternel insatisfait, tout homme fait face,
Cherche dans l'amour absolu, bien des remords,
Il ne peut ignorer cependant son sort,
Souiller sa couche pour y laisser sa trace......🪶♥️🦋
Timilo
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ameretat · 11 months
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Journal, 30 septembre 2022
Le coeur en marche vers je ne sais quel avenir brûlant. Enragée d'un temps fini au contours de sang. J'ai compté mes fantômes et tu n'étais plus là. Où vie est-elle lorsque l'amour s'en va ? J'ai cherché dans la nuit sombre des réponses aux questions inavouées. Je suis inassouvie.
La part d'ombre que tu renfermes te préserve de ce monde sans joie. Je vogue sur des rêves absurdes. Tes mots me choquent d'une réalité impraticable. J'accepte cependant. Je rends les armes face à ta douleur car bénie soit-elle, c'est elle qui t'anime. Pas de désirs non.
Le ciel désastré de nos enfances brisées se rit de nous. Nous sommes la somme des débris du temps passé, bagage sans poids mais si lourd de sens.
Objet de fantasme - querelle interne - rivalité impuissante - orgie sans fond
Loin dans la plaine se dessine l'orée d'un temps révolu que la mémoire se plaît à parcourir. Et les corps se déchaînent, se déchirent dès que je ferme les yeux. Horreur indicible dans le théâtre de ma pensée. Rage ancestrale qui hante ma chair. Violence universelle de l'Homme livré aux pulsions de sa part animale toujours présente dans ses cellules.
C'est dans l'atrocité que je me sais humaine.
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Géopolitique, XXIème. Les Ambitions inavouées, ce que préparent les grandes puissances Thomas Gomart le décris dans le livre
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Que savons-nous des plans échafaudés par nos partenaires et adversaires ? La guerre en Ukraine nous a brutalement rappelé qu’une décision prise par un chef d’État a un impact sur le sort de millions de personnes. Pour rompre avec une vision du monde souvent nombriliste, et mieux comprendre les ambitions des autres grandes puissances. C’est l’objectif de cet essai inédit et stimulant. Quelle importance accorder à la foi religieuse dans les stratégies conduites par la Turquie d’Erdogan, l’Iran de Khamenei et l’Arabie saoudite de MBS ? De quelle manière les orientations prises par l’Allemagne de Scholz, la Russie de Poutine et la Chine de Xi Jinping reconfigurent-elles l’Eurasie ? Le Royaume-Uni et les États-Unis se définissent désormais comme des «démocraties maritimes ». Qu’en est-il de l’Inde? Combinant temps long et ruptures récentes, Thomas Gomart nous invite à regarder «d’en haut» neuf grandes stratégies. Pour concevoir sa propre vision, Paris doit intégrer celle des pays avec lesquels elle entretient des relations cruciales tout en considérant le contexte global : réchauffement climatique, crise énergétique, conflits, innovations technologiques ou encore flux économiques et numériques. Au regard des transformations à l’oeuvre, il y a urgence à repenser la stratégie pour les décennies à venir si elle veut encore compter dans le monde
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tesia-a-138 · 2 years
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Car j'ai de grands départs inavoués en moi.
Jean de La Ville de Mirmont
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