Tumgik
#goberge
meditationxi · 1 year
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Cucumber Salad (Sunomono)
https://www.justonecookbook.com/sunomono-with-cucumber-and-wakame/
Ben du liquide, je suis un peu confuse. Probablement parce qu'un concombre japonais est 2x plus gros qu'un petit libanais. Doubler la quantité la prochaine fois.
(voir sur la photo des Onigiri)
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marko-dwight · 2 years
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Pollock choisit entre Chahal et Chahar pour l'équipe indienne T20 WC | Criquet
Pollock choisit entre Chahal et Chahar pour l’équipe indienne T20 WC | Criquet
En 10 matchs cette saison, Chahal a choisi 19 guichets, le plus grand nombre de quilleurs, tandis que Chahar a choisi 12 guichets en 10 matchs. Une première moitié impressionnante de la Premier League indienne (IPL) 2021 a vu Rahul Chahar battre Yuzvendra Chahal en difficulté pour une place dans l’équipe indienne de la Coupe du monde T20. La forme de Chahal avait énormément baissé et avant même…
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korrektheiten · 15 days
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Zur Veranstaltung mit Albrecht Müller im Goberg in Anger wäre eine Anmeldung gut, aber nicht zwingend
NachDenkSeiten: »Die Veranstalterin von Vortrag und Diskussion am Abend des 26. April macht darauf aufmerksam, dass es für die Planung des Raums sinnvoll wäre, abschätzen zu können, wie viele Gäste kommen werden. Ich jedenfalls freue mich auf die Diskussion zum Thema: „Von Nie wieder Krieg zur Kriegstüchtigkeit. Wie bleiben wir selbstständig denkende Menschen?“. Alle wichtigen InformationenWeiterlesen http://dlvr.it/T5Q63f «
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bigoudibouclebrunes · 7 months
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Bigoudi Bouclebrune et la Communauté de l’Auto (chapitre 4 - La dissolution de la Communauté de l’Auto)
« Ah, mes chers amis! Que cela est triste! Nous voyons de plus en plus de jeunes humains, semi-hommes et elfes porter des horreurs, des chandails-bédaine ainsi qu’un certain « je-m’en-foutisme » face au décorum sociétal… Or à quoi assistons-nous, sinon au déclin de l'élégance masculine? Je vous le dit, mes amis, les woks en ont après les codes vestimentaires les plus traditionnels! Qu’en est-il des gaines? Des tire-bas? Des foulards et des chemises empesées? Oui, je m’insurge contre cette g��nération qui passe sa vie à jeunesser et à se foutre éperdument de cette élégance perdue! J’aimerais, chers lecteurs, remettre au goût du jour les pantalons plissés qui remontaient jusqu’à la taille, que dis-je, sous les aisselles, les bérets en tweed, les chaussettes remontant sous les genoux, les chaussures à cirer… j’aimerais devenir un influenceur pour cette jeunesse perdu! »
Bigoudi replia le journal de Mordor… plus le temps avançait et plus le chroniqueur Mahieu Cock-Bôté parlait comme un jeune enfant du pensionnat qui ne voulait qu’une seule chose : devenir le premier enfant de chœur pour faire plaisir au curé de la paroisse. Cela dégoûtait un peu Bigoudi. Ses compagnons et lui avaient pris la route du Sud dès qu’ils sortirent des Mines de Khazad-Dumb. C’était avec le chœur gros que Legrolasse les avaient menés vers le village elfique de l’Ancienne-Laurier-Dorion. Ils avaient été reçus avec honneur et respect par les elfes. On avait apporté à Bigoudi des plats magnifiques de salades de crevettes aux herbes fines, aux concombre et aux carottes rapées, des rouleaux de printemps aux vermicelles, légume et crabes, goberge et homard avec une petite sauce épicée aux arachides, des plateaux de bols poké au tofu, aux edamames, avocat, tobiko, mangue et riz croustillants, des galettes de riz au thon-mayonnaise et sauce soja noire, la plus sucrée et enrobées d’algues séchées, des bols de soupes réconfortantes aux nouilles et porc braisé avec champignons enoki, un bol de chou fermenté à la sauce chili, quelques pavés de saumon laqués à la cassonnade sur des asperges, des bols de ratatouilles sur lit de nouilles et fromage feta, une focaccia aux olives vertes et noires ainsi que de fins fromages, dont un cheddar rustique d’Avonlea et pour finir, de petits gâteaux au chocolat avec crémage chocolat-fromage à la crème et garniture aux pistaches, quelques biscuits aux brisures de chocolat et morceaux de bacon, un plat de fruits frais comprenant des pommes, fraises, cerises noires, framboises, raisins et camerises et de la glace concassée à saveur de fruits. Et des lambas… il ne fallait pas oublier les lambas.
« Ça goûte même pas comme la glaise de la Moria, c’t’affaire-là… d’la si bonne glaise… » dit Kimchi, un peu déçu.
Des chants s’élevaient des bois alors que nos comparses, épuisés du voyage mangeaient les bons vivres elfiques. Legrolasse avait en effet trouver le moyen de parler à dame Manonborn et son acolyte, Galabrielle Nabot-des-Bois, deux elfes aux habits particulièrement oranges et ayant créé une communauté de partage dans les bois. La compagnie de l’Auto y avait trouver sages conseils, lits et victuailles, mais aussi un endroit pour faire le deuil de leur ami, le sagicien Grandoulf, ayant été emporté dans le gouffre sans fond de Khazad-Dumb.
« Ce sont des chants funéraires, décrivant les mémoires de Grandoulf le Gris. » dit alors Laurentgorn Duvernay-Tardiff.
Bigoudi tendit l’oreille et ne pu comprendre que quelques mots… « Aujourd’hui je vois la vie… avec Grégory Charles, Grégory Charles… ». Il en versa une petite larme.
Galabrielle et Manonborn se présentèrent devant nos comparses. « J’ai entendu dire que vous transportiez l’Anneau de pouvoir? » dit Manonborn.
- Seigneur, les nouvelles vont vite, dit Bigoudi… Moé, j’tanné de porter ça. Ça vous tentes-tu de l’prendre pis de l’sacrer dans un sous-marin avec des riches pour explorer l’Titanic, là? M’semble…
Manonborn regarda l’anneau que lui tendait Bigoudi.
« Vous… vous pouvez pas être sérieux… vous m’offrez ce pouvoir? »
- Bin… oui, là… ça nous a juste causer du troub’. On a été pogné par Anal Information, la créature tentaculaire du Lac de Métaux Lourd de Khazad-Dumb, on a croisé ConspiraGollum… ENCORE, on a vaincu Nantelroumane le dégueulasse, on a vaincu des goblins de forum conspi pis là, mon meilleur ami Grandoulf a vaincu un Duranceaurog… pis y’é mort… yinque pour ça, là. L’Anneau de désinformation.
Manonborn le regarda, tentée… Puis leva les bras et s’écria :
“Et maintenant, cela vient… vous m’offrez l’Anneau de manière désinvolte! À la place d’un Seigneur des Ténèbres, vous aurez une REINE! Et je ne serai pas ténébreuse, mais aussi belle et terrible que le crépuscule! Imprévisible comme les mers! Plus forte que les fondations de la Terre! Plus terrible que le Cocothon de Laval, mais aussi magnanime et compréhensive! SOLIDAIRE! » Cria-t-elle, les bras dans les airs, lui donnant un air un peu étrange.
« Voyon’… calme-toé, Manonborn… dit Galabriele. »
Manonborn se resaisi… « Mes jours sont comptés, Galabriele… je dois me rendre à l’évidence, la chefferie des elfes n’est pas pour moi.
- Câlisse, Manonborn… va encore falloir trouver un co-listier ou une co-listière!
- Je sais, mais je peux pas continuer ici. Il faut consolider les positions dans le Sud. Et l’œil du Seigneur GrosCon saura nous retrouver si nous ne prêtons pas attention à ce que nous faisons.
Bigoudi regarda la scène, abasourdi… Il reprit l’Anneau qu’il mit dans son veston.
Manonborn reprit : « Je suis venue vous dire que vous avez déjà ébranlé les fondations des forces du Sud… le chancelier Trump-langue-de-serpent a été pris en flagrant délit d’être un gros cave et est maintenant détenu par les forces de la justice. Il pourrait encore nuire, mais le pouvoir du Seigneur GrosCon est amoindri… mais il ne faut pas crier victoire. Il nous manque environ 5000 soldats des forces de la connaissance dans nos écoles. Il es primordial de se lever ensemble pour arrêter ce fléau. Aussi, je vous donne des présents : Pour Samsauge, le sarcloir de la vérité.
Elle donna alors un sarcloir flambant neuf au jardinier et ami de Bigoudi.
À Laurentgorn, l’étui à épée des biais cognitifs… pour mieux les reconnaître et les ranger.
À Broromir, Méridien et Pépin, de l’huile des sources fiables pour vous aider dans vos chest-bras.
À Legrandslack, un arc de destruction d’arguments fallacieux.
À Bigoudi, vous avez déjà votre épée, Raisonnement Scientifique, mais je vous donne cette fiole d’espoir. Vous pourrez voir dans les ténèbres… je vous donne aussi ce coutelas d’argument tranchant, pour terminer toute discussion sur la conspiration.
Et à vous, mon cher Kimchi… je ne puis vous donner plus…
- J’aimerais trois de vos cheveux, ma dame.
- Oh… alors je vous les donne, mon cher Kimchi. Voici bienveillance, compassion et empathie. Avec ceux-ci, vous n’aurez plus peur d’affronter les forums de goblins.
- Merci, ma dame. »
Puis, Manonborn et Galabriele se retirèrent.
Le lendemain, Bigoudi et la Communauté de l’Auto se retrouvèrent sur un chemin inconnu. Broromir le prit à part…
« Yo, Bigoudi… moé, j’peux le porter, l’anneau de pouvoir…
- Euh… j’préfère pas.
- Awoueille…
- Non. J’veux pas.
- AWOUEILLE!
- J’AI DIT NAON! QUOSSE TU COMPRENDS PAS?!
Bigoudi enfila l’anneau de pouvoir à son doigt, puis donna un coup de pied sur le tibia de Broromir qui s’effondra en pleurant. Broromir avait encore skippé son « leg day ».
Puis, retentirent alors des cors, de la musique tonitruante.
« MERSI KÉMIONS!!! » furent des cris qui fusèrent au loin… et un sinistre « TADROS! TADROS!!! »
C’était Conspiragollum.
Broromir prit sur lui puis cria à Bigoudi d’aller se cacher. Il retrouva Laurentgorn, mais ils furent vite submergés par la vague de goblins criant « LIBARTÉÉÉÉ! À MORT TROUDEAU!!! VLADIMIR POUTINE EST UNE VICTIIIIIME! ».
Puis, Broromir reçu une flèche. Puis, une autre. Puis une autre, tentant de défendre Laurentgorn, Kimchi, Legrandslack, Méridient et Pépin… mais succomba à ses blessures. Il avait vaillamment gardé sa position et pu faire changer d’avis la première salve de goblins… mais trois autres salves s’annonçait à l’horizon.
Bigoudi, épouvanté, retira l’anneau de son doigt, s’enfuit vers la berge toute proche et prit un bateau… Samsauge reconnu ses traces de pied dans l’herbe et le retrouva sur la berge. Puis, lui dit : « Vous allez pas partir comme ça, M’sieur Bigoudi. J’vous accompagne. Ensemble, nous sommes plus fort que vous seul. »
Sur l’autre rive, Méridien et Pépin furent capturés par les adeptes du forum de goblins. Laurentgorn, Kimchi et Legrandslack battirent en retraite… et un crit retenti « MES BITCOINS!!! TADROSS! TADROSS! »
Bigoudi fondit en larmes. La situation était de mal en pis… et la Communauté de l’Auto s’était fracturée.
À suivre.
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bachassclub · 1 year
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NOIRES LES AILES, une nouvelle de Jean-Marc Félix.
Le premier couple de pélicans noirs fut observé en mars 2026 aux mares de Bachassier au sud  de Chabeuil. Ces mares sont des étangs aménagés un quart de siècle plus tôt pour compenser l’impact écologique des travaux du TGV. Classées en  Espaces Naturels Sensibles ces plans d’eau prisés des pêcheurs accueillent faune et flore de toutes espèces, du castor au jonc des vasières. La délégation drômoise de la Ligue de Protection des Oiseaux installée depuis deux lustres dans l’immeuble de l’ancienne trésorerie où des générations de Chabeuillois avaient raclé leurs fonds de poche pour s’acquitter de leurs impôts, se félicita de l’apparition de ce couple de volatiles. L’un des boulangers Chabeuil, photographe ornithologue réputé, se posta dans la cabane de guet et n’attendit pas longtemps pour tirer le portrait de ces pélicans noirs. En raison du réchauffement climatique de nombreuses espèces d’oiseaux s’aventuraient plus au nord. Ces pélicans noirs étaient maintenant communs en Camargue et sur les rives de l’étang de Thau. La société de pêche, Les Fines Gaules de la Véore, s���inquiéta tout de même. L’espèce ichtyophage était réputée pour sa gloutonnerie. « On suivra l’affaire » déclara l’adjoint municipal à l’environnement.  On était à quelques semaines du renouvellement du conseil. La semaine suivante deux couples de ces pélicans noirs furent observés dans la Véore sur la commune de Châteaudouble. On les vit se goberger de truites et de barbeaux.  Ces oiseaux pèsent couramment plus de quinze livres et déploient une envergure de près de trois mètres. Leur vol lourd, au battu sonore, est facilité par les poches aériennes qui allègent leur squelette et leur jabot, et sans doute cet héritage du pléistocène et leur instinct grégaire leur avaient assuré une survie confortable dans les étangs des rivages de la méditerranée.
Il faut noter que le bruit courut  rapidement aux terrasses des bistrots que ces oiseaux annonçaient le retour prochain des Journées Tintinophiles Chabeuilloises dont le thème serait à l’évidence cette année la commémoration de l’album « Le Sceptre d’Ottokar ». On se souvient que le sceptre du Royaume de Syldavie dans cet album d’Hergé  est une tête de pélican et que la possession ostensible de ce sceptre légitime la dynastie. C’était du teasing disait-on. L’association des « Labradors », dont les cadres avaient tout de même blanchi sous le harnais, avait sans doute emprunté ces pélicans au Jardin des Oiseaux d’Upie pour lancer sa com’. Mais non, renseignement pris, le Jardin des Oiseaux ne présentait pas de pélicans cette année-là. Trois jours plus tard une escadrille  d’une douzaine de ces pélicans s’abattit sur le plan d’eau d’une passe à poisson en amont de Chabeuil et fit ripaille non seulement du fretin mais aussi des grenouilles familières du lieu. La préfecture qui avait pris la mesure du risque finit par interdire les vols de planeurs et d’ULM sur l’aérodrome de Chabeuil. La LPO ne savait que dire. Ces oiseaux n’étaient pas munis d’un GPS ou d’une balise Argos et restaient intraçables dès qu’ils quittaient le faisceau des radars de l’aérodrome. Ils disparaissaient en silence au crépuscule, généralement au-dessus du village de Fauconnières. On les vit s’attaquer à des ragondins, des castors, et même renverser des ruches pour en extraire le miel. Ils découpaient les rayons de leur bec puissant, protégés des piqûres d’abeille par leur plumage anthracite. L’hypothèse d’une mutation génétique aviaire se murmurait à la LPO. Le Dauphiné Libéré avait ouvert une chronique quotidienne et publiait témoignages et fantasmes. Madame le Maire avait le Préfet au téléphone plusieurs fois par jour et suppliait qu’on fît l’impossible à quelques semaines des élections municipales pour faire cesser ce trouble à l’ordre public.
Chacun attendait la conférence Lorenz.  Abbi Lorenz de l’Université AlQuods, arrière petit neveu du célèbre éthologue Konrad Lorenz dont les travaux sur les oies font autorité, avait été invité par la LPO. La conférence eut lieu au Centre Culturel Max Canzian. Le public avait envahi les gradins rétractables installés trois ans plus tôt. L’hypothèse majeure en conclusion de la conférence en langue anglaise avec traduction simultanée de Jennifer Meunier, était que ces oiseaux avaient pu être éduqués, conditionnés, cornaqués en quelque sorte. Leur prédation pouvait être induite par un choix humain, une manipulation expérimentale non déclarée au CNRS. Les questions fusèrent. Monsieur Gilou fit remarquer  que sur le territoire de la commune de Chabeuil, à l’extrémité sud de la piste de l’aérodrome on avait créé un « pélicandrome » une quinzaine d’années plus tôt et que c’était peut-être là un pôle d’attraction pour cette espèce aviaire. Le commandant  Lamy, représentant le SDIS26 bondit hors de son siège et rappela ce qu’était un pélicandrome, un site de stockage en produits retardant  pour les avions Canadair et Dash8 de la protection civile luttant contre les incendies forestiers. Madame Gourdille fit part d’une autre hypothèse. Depuis trois ans dans la plaine de Valence de nombreux agriculteurs avaient abandonné la culture du maïs pour celle du cannabis CBD, plus rémunératrice et moins consommatrice de ressources hydriques. Sa consommation n’induisait certes aucun effet psychotrope  sur le cerveau humain, mais sur un cerveau d’oiseau ? Avait-on étudié cette éventualité ? Lorenz assura que les pélicans n’étaient pas végétariens, à sa connaissance du moins. La sous-préfète déclara que le préfet avait entrepris de réquisitionner un hélicoptère de l’Aviation Légère de l’Armée de Terre. Un appareil équipé pour la vision nocturne  serait prépositionné en bout de hangar, mais cela exigeait la disponibilité  permanente d’un équipage et qu’on cherchait encore les crédits pour couvrir la facture.
On n’y eut pas recours. Un étudiant de l’ESISAR, école majeure d’ingénieurs en électronique de Valence rattachée à l’Institut National Polytechnique de Grenoble se présenta à l’accueil de la Mairie de Chabeuil. C’était un jeune Afghan qui avait été accueilli deux ans plus tôt dans une famille chabeuilloise et qui depuis n’avait jamais fait parler de lui. Il fut reçu par madame le Maire entourée de quelques collaborateurs. Il expliqua qu’il avait  bricolé un drone capable de suivre en vol une nuée de pélicans noirs et ainsi d’identifier leur repaire. On lui demanda une démonstration. Tout le monde descendit sur le parvis de la Mairie et s’approcha du parapet  au-dessus de la Véore. Le jeune homme sortit de son sac à dos un engin dont il déplia les élytres. Son drone ressemblait ainsi à un pélican récemment éclos. Depuis son IPhone il le fit décoller lentement et le promena au-dessus de la rivière.  Oui, bien, et alors ? « J’ai modélisé le vol des pélicans noirs, mon drone l’a en mémoire. S’il les détecte, il les suivra. Ainsi vous pourrez savoir où ils se cachent la nuit. Ce drone a une autonomie de 18 heures. C’est suffisant je pense. » Le Directeur Général des Services téléchargea sur sa tablette l’appli nécessaire pour le suivi du vol.
Le surlendemain un vol d’une douzaine de pélicans noirs s’acharna sur l’étang dit « La Truite du Père Eugène » et nettoya le vivier en trois quarts d’heure. Les truites étaient jeunettes et bien nourries. Les clients de l’auberge de plein air s’enfuirent effrayés. Le drone patienta en vol stationnaire et suivit l’escadrille qui décolla Nord/Nord-Est sans trop se soucier des coups de carabine du patron. Il n’avait pas les cartouches nécessaires pour ce genre de prédateurs. Elles étaient chargées de gros sel pour les garnements qui venaient parfois lui voler des truitelles. Les oiseaux volaient avec une discipline très stricte. L’oiseau de tête décrochait régulièrement. Un congénère le remplaçait comme leader et ainsi de suite. On aurait dit un vol de la Patrouille de France habituée des cieux chabeuillois. A la terrasse de Las Chicas à Montélier, Batista et Félix, les ancêtres, sirotaient leur troisième bière, vissés dans leurs fauteuils inconfortables ; Ouahida, la serveuse, les surveillait gentiment après avoir noté leurs consommations. « Faudrait pas qu’ils me fassent un malaise, ces deux-là! ». L’escadrille des pélicans sembla hésiter puis on la vit se rabattre vers l’étang du château voisin où elle se ravitailla. Elle reprit son vol, revint sur le village comme un cerf-volant chinois, tournoya  et spirala au dessus de la terrasse des Chicas, dessinant dans le ciel des arabesques indéchiffrables, puis elle reprit un cap décidé. Au-dessus de Combovin le vol  se divisa en deux sous-escadrilles. Le programme du drone ignorait cette éventualité. Laquelle suivre ? L’engin hésita un instant et prit de l’altitude. On put voir les deux vols s’écarter et disparaître à l’horizon. Plusieurs jours passèrent sans que les oiseaux se manifestent.
La LPO tiendrait-elle une piste ? Des événements très semblables avaient été observés l’année précédente dans le delta du Po. Les anguilles de la lagune de Comacchio avaient particulièrement souffert de ces prédateurs. Les pêcheurs d’anguilles utilisent de grands filets montés sur des palans. Un pélican s’y était pris. Malgré la force de son bec il ne put couper que deux mailles. L’oiseau était bagué. On sut qu’il avait vécu en captivité dans un zoo de Slovaquie jusqu’en avril 2024. Un commando du Mouvement Animaliste Morave s’était introduit dans le zoo une nuit au clair de lune et avait ouvert toutes les cages. Même cages ouvertes, beaucoup d’oiseaux n’avaient pas mis le bec dehors. L’aventure ne les tentait pas. D’autres furent repris les jours suivants dans les parages, ayant perdu l’habitude des longs vols. Seuls les oiseaux les plus puissants avaient profité de l’occasion. Les pélicans, les grues, un couple de balbuzards pêcheurs, des vautours chauves, s’envolèrent vers le Danube ou les Carpathes où on les avait capturés. Les balbuzards étaient bagués, on les retrouva sur les rives du Lac de Constance. Certains pélicans furent observés dans les rizières de la banlieue de Mantoue, peut-être à la verticale de la maison natale de Virgile. En deux ans plusieurs couvées avaient sans doute accru sensiblement cette population aviaire. La stagiaire de la LPO qui avait recoupé cette histoire fut embauchée en CDI.
On sut très vite que la sous escadrille qui avait pris la route du nord avait remonté le cours de l’Isère et s’était installée dans les roselières du lac de Paladru. Là, c’était une autre préfecture qui irait au charbon. Mais l’autre ? Celle qui avait obliqué sur la gauche de la trajectoire ? On simula des tracés sous la houlette d’un aérologue  de l’ALAT. Tous engageaient à  voir sur la commune de Châteauneuf.  De nombreuses carrières avaient creusé au fil du temps des étangs artificiels dans une boucle de l’Isère. Une bonne dizaine, de toutes tailles, de profondeurs variables. Plusieurs avaient été empoissonnés par la société locale de pêche. Le drone quadrilla la zone. Le troisième jour on put suivre le vol d’un adulte. On put zoomer. Dépassait de son bec une grosse carpe encore frétillante sans doute destinée à sa progéniture. L’oiseau plongea vers un hangar, quartier des Robins. La localisation GPS indiqua qu’il s’agissait d’une ancienne exploitation avicole de poules pondeuses en cages, administrativement fermée depuis longtemps. Le propriétaire était mort. La succession s’éternisait. Le hangar croupissait  au bout d’un chemin dans l’indifférence générale. L’ingénieur ESISAR avait repris le contrôle de sa créature et  comme les portes du hangar étaient démantibulées, il proposa de l’y risquer. La LPO n’y vit pas malice et le drone entra dans le hangar. On eut le temps d’y voir plusieurs familles de pélicans occupées à nourrir leurs oisillons duveteux, juchées sur des nids  qu’elles avaient construits au-dessus des cages rouillées. On eut à peine le temps en fait, car un oiseau d’un coup de son bec crochu détruisit en vol le drone inquisiteur.
Le lendemain le SDIS, sa brigade des Nouveaux Animaux de Compagnie , disposant de gaz incapacitant, la LPO avec filets et cages, la gendarmerie dûment harnachée avec casques à visière, encerclèrent le hangar. Ce n’était pas Ouvéa mais tout comme…
Depuis ce moment le Jardin des Oiseaux d’Upie présente plusieurs couples de pélicans, dûment bagués. La Truite du Père Eugène fournit quotidiennement la pitance, subventionnée par la LPO. L’affaire semble close.
L’affaire semblait close…Cependant à Montélier, à l’extinction des lampadaires, certains citoyens qui fumaient sur leur balcon (que fumaient-ils, d’ailleurs ?) virent des oiseaux puissants aux cris rauques raser le clocher de l’église. A la gendarmerie de Chabeuil, l’adjudant Cascabel recueillit des mains courantes contradictoires. Deux événements vinrent toutefois aiguiser l’angoisse des contribuables. Un matin, Ludivine, la patronne du bar « Las Chicas » retrouva en miettes devant l’entrée l’enseigne lumineuse carrée représentant un hibou qui avait été conservée après le changement de nom du troquet. Seuls les vieux clients de la génération des Batista, Bret et Félix, se souvenaient du temps où l’estaminet s’appelait « Le Hibou ». Il n’en restait que la cheminée, laquée de suie, qui crépitait encore de temps en temps. Qui avait pu s’en prendre à cette enseigne où figurait un hibou débonnaire et un croissant de lune ? Au milieu des débris de verre Ludivine ramassa une longue plume noire qu’elle planta dans le vase de sable où l’on était censé éteindre ses mégots. Le jour même, Yohan, un client qui élevait des mygales et des scorpions dans sa chambre, déclara sans ambages : « voilà une rémige d’un grand oiseau ! » Ce mot « rémige » fit l’effet d’un scud tiré sur le zinc car peu de gens parmi les buveurs l’avaient déjà entendu. Yohan expliqua que la taille de la plume laissait penser à un empennage d’un mètre et demi au moins. Mais Yohan, avec ses piercings, il se confond un peu avec le personnage de Yohan et Pirlouit et il a tout l’air de sortir d’une bande dessinée du journal Spirou dont il conserve secrètement une collection entière. Sa remarque n’affecta pas la jovialité des buveurs au comptoir. On spécula tout de même, l’alcool aidant. Était-ce le hibou ou le croissant de lune qui avait été la cible ? Il n’y a pas si longtemps il était d’usage dans les campagnes de clouer sur la porte des granges un de ces rapaces nocturnes pour éloigner le mauvais sort. Mais peut-être était-ce le croissant de lune qui avait été la cible, ce fameux croissant qui avait été l’emblème des armées turques assiégeant Vienne en 1683, et qui avait inspiré la viennoiserie croustillante devenue populaire.
 Le second événement fut plus troublant encore. José B. avait conservé son fourgon de maçon malgré son obsolescence absolue (celle du fourgon, car José est inoxydable). Ce fourgon aurait dû depuis longtemps être à la casse. Les sièges étaient défoncés et les vitres ne fermaient plus. Mais il démarrait vaillamment (le fourgon, car José, tout inoxydable qu’il soit, ne démarre plus au quart de tour avant sa sieste de l’après-midi) et servait à transporter jusqu’à la Banque Alimentaire les surplus ou les rebuts des supermarchés voisins. Parfois les cartons  et les cagettes passaient la nuit dans le camion. Le fourgon était garé dans le parking sécurisé en face du domicile de José. Ce matin-là c’était comme si corbeaux et renards s’étaient entendu pour piller la cargaison ! Les emballages avaient volé en charpie. Les jus avaient coulé. Et sur le siège conducteur une longue plume noire frissonnait.
Les pélicans étaient de retour ! La rumeur circula vite. La marchandise dont ils s’étaient gobergé n’appartenant à personne, l’adjudant Cascabel ne pouvait enregistrer une plainte en bonne et due forme. Il gribouilla quelque chose dans son carnet et promit d’en référer à ses supérieurs. Il semble que la Préfecture « vola dans les plumes » (c’est l’expression qui convient…) de la LPO allant jusqu’à menacer d’une suspension de la subvention ministérielle. Une cellule de crise fut bricolée, réunissant pompiers, municipalité, gens de la LPO et riverains. On décida d’acheter le fourgon de José (trop heureux d’en tirer un bon prix) et de s’en servir pour attirer les pélicans. On le laissa dans son jus mais on l’équipa de deux caméras infrarouge alimentées d’une nouvelle batterie et on le positionna devant la grille du château pentagonal de Montélier, lieu présumé régulier ou occasionnel de résidence des oiseaux, à une portée de lance-pierre à l’ouest de la terrasse des Chicas. Les  ravages des pélicans étant nocturnes, on déchiffrait les vidéos chaque matin en cellule de crise et ça faisait fumer la machine Malongo du bar. Mais rien pendant huit jours malgré les « appétissantes » barquettes qu’on laissait dans le camion. Le jeudi de l’Ascension (la veille on avait disposé  des caissettes de sardines) on vit enfin la sarabande gourmande de quatre pélicans qui s’envolèrent des communs du château à travers une fenêtre des anciennes écuries. Le quatuor traça quelques figures et s’abattit sur le fourgon où il eut vite fait d’engloutir les sardines. Il ne regagna pas son nichoir mais s’envola vers le nord. La LPO avait enfin quelque chose à décrypter. On décida d’appeler le professeur Lorenz qui connaissait la problématique territoriale. Il était en Suisse, on le retrouva, et on put dans l’après-midi lui soumettre les images sur Skype. « Oh, I see, those are mavericks ! » Richie qui siégeait comme « riverain » et qui était celui qui parlait le mieux anglais (c’est tout dire…) osa demander « what do you mean, sir ? » avec un accent celte prononcé, et obtint cette réponse : « Open your translator please ! » Ce qui fut fait. C’est l’avantage de Skype, la traduction simultanée. Une voix synthétique sans inflexion traduisit les propos de l’expert. Pour lui c’étaient des mavericks, c’est-à-dire des marginaux sans foi ni loi qui vivent à l’écart du groupe et sont imprévisibles…Il souligna que son grand-oncle Konrad avait décrit le phénomène dans un article « Maverick geese (Les oies marginales) » publié aux presses universitaires de Lausanne en 1952… « Ah oui ! J’ai lu ça dans les sélections du Reader’s Digest quand j’étais en taule au Nebraska ! souffla Richie… » Mais personne n’accorda d’attention à ce propos, Richie ayant vécu de nombreuses vies parallèles, tantôt courtier en beurre de yak, tantôt semencier en graines de chanvre, et même loueur de canoës sur la Drôme. Lorenz reprit : » ces oiseaux sont transgenres, suite à une mutation génétique, impropres à la reproduction et sont rejetés par leurs communautés d’origine structurées en familles durables…  » La liaison Skype s’interrompit. « Low connexion ». On ne put la rétablir. La box SFR des Chicas était assez facétieuse. Ces révélations de Lorenz furent suivies d’un profond silence.
“Je me demande si je vais pas rebaptiser mon bar Le Pélicanthrope  ajouta la patronne ! “
                                              Jean Marc Félix, pour le Bachass’club.
[Prochaines parutions, dans le désordre : Souvenirs de la Toussaint sanglante, un an déjà...le putsch des branquignols chabeuillois et ce qu’il en advint...Par Claude Meunier//Mémoire de Jean-Marc Chevallier, artiste plasticien, peintre, disparu il y dix ans//Salut à Francis Delay (deuil d’un malheureux), qui s’est pendu à l’entrée de l’été dernier//Une nouvelle nouvelle de Jean-Marc Félix : Frissons dans la nuit//Alban Pano est de droite, certes oui mais laquelle (et le sait il seulement ?..) ? Le tout paraitra sur le rythme incertain d’un irrégulomestriel.]
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helshades · 3 years
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Pensée de trois heures du matin eue à presque midi parce que je suis vraiment très fatiguée : à force de revivre le meilleur du début du siècle dernier, nous donc voici au temps de la Prohibition. Les riches se paient des gueuletons rabelaisiens dans des restaurants clandestins où l'on ne rentre que sur invitation d'un averti, cependant que la piétaille piétine dans les couloirs de métro journellement pour s'entendre interdire ensuite des promenades en plein air.
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triundertale · 5 years
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Pages 13 and 14
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Pendant que les seides du Discours Capitaliste blablatent sur "l’extrême-droite", "l’extrême-gauche", le "complotisme" en confondant "la science" avec le marketing et les simulations informatiques avec la rigueur mathématique, une femme a quelque chose à nous dire.
Certains se souviennent peut-être de Christine Deviers-Joncour, qui fut la maîtresse de Roland Dumas, de longues années ministre des affaires étrangères de François Mitterrand. En son temps, elle sortit un livre de révélations intitulé «La putain de la République»…
Son nom a beaucoup circulé dans des histoires de corruption impliquant les plus hauts personnages de l'État.
Autant dire qu'elle a vu de ses yeux l'envers du décor, la face obscure du monde politique. Elle parle d’expérience.
Devant les horreurs du fascisme à prétexte sanitaire dont la clef de voûte est la vaccination imposée à tous, elle s’est décidée à reprendre la parole :
J’entendais leurs délires, loin d’imaginer qu’ils iraient jusqu’au bout de leur folie.
La fête a assez duré !
Je les ai vus, à l’époque, se goberger, s’empiffrer sur le dos de la bête. Je les ai vus, les yeux plus gros que le ventre, piller et se goinfrer.
Se donner des lettres de noblesse factices que leur position et leur pouvoir leur conféraient.
Je les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mépriser le peuple en donnant au château de Versailles des fêtes royales pour célébrer dignement l’arrivée au pouvoir du nouveau «monarque».
Les cortèges de voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de ces nouveaux parvenus bientôt emperruqués.
J’ai vu les épouses et leur marmaille jouant à Marie-Antoinette sans vergogne sous les lambris, dont le passe-temps se limitait à organiser des dîners fins entre amis et visiter le Mobilier national comme on va chez Ikea. Gratuit ici.
Surtout quand on omettait de restituer pièces d’art et meubles d’époque.
Je les ai vus et j'ai payé très cher pour avoir été témoin, n’étant pas du sérail …
J’ai vu les caisses noires des ministères exonérées d’impôts, les frais d’intendance éhontés enfler toute honte bue, chauffeurs et gardes du corps à vie et retraites cumulées replètes, retro-commissions sur des marchés d’état, des avions équipés comme des palaces volants, des jets sur le tarmac prêts à décoller au moindre caprice ou quand tsunamis, tremblements de terre et autres catastrophes permettaient d’appeler les hordes de photographes, après être passé en vitesse chez le coiffeur et le couturier branché, pour se faire immortaliser au pied d’un jet avec un sac de riz sur le dos.
J’ai vu des soutes en provenance d’Afrique garnies de billets de banque et des coffres de voitures transformés en caverne d’Ali Baba pour distribution d’argent à grande échelle, des contrats d’État passés aux mains des filous, des comptes bien cachés dans des pays aux lagons bleus, des guerres fomentées pour piller les richesses de ceux qui n’en verront jamais la couleur et verseront leur sang sans même savoir pourquoi.
Des enfants éventrés, des femmes violées, lapidées, torturées. J’ai vu un avion avec une croix rouge sur son flanc porter secours à des populations africaines affamées en leur tirant dessus, et j’ai même vu certains crocodiles bouffer de malheureux témoins encombrants et d’autres tomber des fenêtres, arrêts cardiaques et cancers fulgurants.
Toute cette honte, tous ces crimes pour encore plus de Pouvoir et Richesses.
Un monde aux mains de la Finance Internationale vorace, Bilderberg, Nouvel Ordre Mondial criminel, FMI, GAFAM etc, pour maintenir, verrouiller le système, protéger une élite et asservir les peuples en les abrutissant devant les écrans et en les dépravant en inversant les vraies valeurs !
Nous leur donnons une once de pouvoir et ils perdent tout sens commun.
Et plus on monte dans la hiérarchie, plus ils s’en donnent à cœur joie, perdent le sens des réalités et franchissent allègrement et sans états d’âme l’inacceptable.
Et au plus haut niveau de la pyramide ils n’ont plus rien d’humain. Ce sont des monstres.
C’est à croire que les deux grandes guerres, ne furent pour eux qu’un coup d’essai, Les millions de morts n’étaient qu’un premier test préparant l’extermination de toute l’humanité.!
Le pouvoir, aphrodisiaque suprême, les déshumaniserait-il à ce point ? Et le fric, moteur essentiel à toutes ces dérives...
Comment osent-ils se poser en donneurs de leçons, parler de probité, d’intégrité, de franchise, quand se multiplient leurs égarements et que les affaires de corruption et autres méfaits les éclaboussent ?
Comment peuvent-ils contraindre le peuple à se serrer la ceinture en période de crise quand eux-mêmes s’allouent des gratifications et salaires insolents sous les lambris confortables de la République ?
Alors que des milliards d’êtres humains souffrent de la faim, des épidémies, et qu’un enfant meurt toutes les minutes sur notre planète, il suffit que la Bourse s’enrhume pour qu’il soit possible de trouver en quelques heures les milliards de dollars et d’euros, jusqu’ici impossibles à débloquer pour soulager la souffrance de ceux qui meurent de faim !
Quand l’homme cesse d’être déterminé par son propre esprit qui est l’esprit de la vie, il se transforme en robot. Cet insupportable mépris pousse à la violence ceux qui n’ont pas ou plus d’espoir.
Dans notre pays des «Droits de l’Homme» il est devenu ordinaire de bafouer le principe d’égalité. La richesse, le luxe et l’apparence étalés sans vergogne sont devenus signes de réussite tandis que les plus faibles vivent leurs souffrances sans trop faire de bruit.
Pour payer cette dette, ce monstre de papier, illégitime et abracadabrantesque, numérique et ubuesque, il nous faudra tout vendre. Jusqu’à nos dents on or et notre peau pour faire des abat-jours dans le bureau d’un maître du monde avec vue sur le Rockefeller Center.
C’est pour quand la découpe façon abattoir ? Le couteau du boucher, c’est la dette, un bout pour Bibi, un bout pour la Finance, un bout pour la mafia, un bout pour les bling-bling accros aux putes de luxe et pour les pédophiles. Un bout pour les ventrus de l’industrie militaire, les labos pharmaceutiques et les Gafam, Pillage à grande échelle !
Et pourtant il suffirait d’un trait de plume, d’un clic sur le clavier pour l’effacer cette dette, sans que personne ne souffre.
Mais cette société serait-elle encore humaine ?
Depuis très et trop longtemps on a laissé les loups entrer dans la bergerie. Ils accroissent le chômage, vendent le pays en pièces détachées et initient des dettes impossibles à rembourser. Ils nous mentent, nous volent, nous musellent et maintenant tentent de nous supprimer à travers une fausse pandémie et des vaccins meurtriers !
Nous sommes devenus un immense peuple de moutons à tondre, tandis qu’un fameux agent d’influence suggère que les peuples doivent se contenter de regarder passer les milliards sans broncher, comme on voit passer les cigognes sans s’interroger sur leurs nids bâtis avec nos plumes.
Nos dirigeants et les médias complices seraient-ils réduits qu’à n’être que d’infâmes valets du capitalisme mondialisé et le laboratoire de l’asservissement du monde par la dictature financière conçue par des milliardaires fous, des illuminés ?
La démocratie n’existe plus depuis longtemps, et tout dépend maintenant du pouvoir de résistance et de révolte des peuples.
La mise en esclavage des populations est passée à la vitesse supérieure avec cette «plandémie covid» en créant la PEUR !
Et les grands argentiers de la planète et leurs marionnettes nous font clairement comprendre que seuls comptent leurs profits, que le bien-être des citoyens n’a aucune espèce d’importance.
Leurs "plandémies" et leurs vaccins mortifères finiront le sale boulot pour une dépopulation mondiale annoncée : Le projet ne date pas d’hier, croyez-moi !
Nous sommes tous sacrifiés sur l’autel des profits. Depuis ces dernières décennies tout fut mis en œuvre fissa pour nous anéantir.
Et la télévision et les médias aux ordres ont participé à cet abrutissement de masse qui nous a conduits à l’impuissance en nous lavant le cerveau.
Je veux pourtant rester optimiste. Nous sommes à un tournant majeur, un changement de civilisation.
Il est urgent que tous les citoyens se réveillent et reprennent en main leurs pays, leur souveraineté et éliminent cette vermine financière afin de réinjecter dans les caisses des états pour le bien collectif, les incroyables fortunes détournées par une poignée de mafiosi sans foi ni loi et dangereux.
Il faut bien prendre conscience que, quels que soient votre bord politique ou votre conception de la vie, si vous ne faites pas partie de leur élite, vous serez broyés.
Aussi, il faut s’unir en laissant de côté nos différences que les dirigeants actuels n’ont cessé d’amplifier afin de nous diviser pour mieux régner.
Il y a urgence car nous marchons vers l’abime !
Et si le monde devient chaotique, cela signifie aussi que ce qui a manqué, c'est la spiritualité individuelle.
Il n'y a pas de compromis avec les éléments extérieurs du monde en action et la conscience se révèle encore inactive face à ce monde chaotique.
Au contraire, la conscience peut se reconnecter en tout temps et en toute situation avec la spiritualité comme une ascension.
Restons positifs car le chant général des poitrines opprimées commence à se faire entendre.
Il est mondial ce chant ! Il est encore cacophonie, il va devenir symphonie. De tous ces pays qu’Ils enchaînent il y a ces voix partout qui se lèvent...
Là, il me revient en mémoire cette phrase de Brecht : «Lorsqu’un homme assiste sans broncher à une injustice, les étoiles déraillent»…
Alors, vite, protégeons les étoiles et tournons la page sur ces temps décomposés.
Levons-nous !
(Christine Deviers-Joncour
Via La Convergence universelle)
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marie-chatelaine · 3 years
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Erin Cone
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" Elles ont compris, depuis que Noé les fit monter sur l’arche, que le mâle n’était qu’un accessoire, acceptable un seul jour, pour un accouplement. Il ne sert qu’à « ça », et pour « ça », se goberge, rugit ou se pavane, fier de ce mince atout.(...) La mante religieuse dévore son époux. Sensible et raisonnable, elle ne peut supporter de l’avoir dans les pattes après l’accouplement. Si la femme acceptait de faire comme l’insecte, il n’y aurait sur terre plus de coiffeurs, de ministres, de militaires et de maîtres des forges, encore moins de banquiers. La terre serait ronde, il n’y aurait plus de guerres...
- José Luis de Villalonga, Femmes -
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claude-vergoz · 4 years
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“Quarantine diary, 2020 04 02: penser aux opposants et aux invisibles, quand d’autres se gobergent et vivent à leur aise...”
© Claude Vergoz, 2020- Please leave captions and credits, no re-blogs to NSFW/18+   
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plumedepoete · 3 years
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Pendant qu’ils se gobergent - Patrice Fougeray
Pendant qu’ils se gobergent – Patrice Fougeray
Pendant qu’ils se gobergent   Ombre Nuits de la douleur Cris   Déchirures Plaies sanguinolentes Cris   Éclats Enfoncés dans la chair, Cris   Peurs À chaque instant incontrôlées Cris   Élans Venir à la lumière Cris   Nuit Nuit Nuit   Et dans les ténèbres     Cris, Cris, Cris   De partout jaillis   Cris Douleur Cris   Cris Peurs Cris   Et sur la honte, Pendant qu’ils se gobergent À l’abri des…
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meditationxi · 4 years
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Crab and Scallion Strata
http://www.seriouseats.com/recipes/2013/11/crab-and-scallion-strata.html
Pas été trop fancy et fait à la goberge ‘à saveur de’ au lieu du crabe. 
Laissé prendre toute la nuit avant de cuire au matin.
C’est bon, mais avec un peu de fromage comme une strata décadente habituelle, ç’aurait été encore meilleur.
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korrektheiten · 25 days
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Von „Nie wieder Krieg“ zur „Kriegstüchtigkeit“
NachDenkSeiten: »Wie bleiben wir selbständig denkende Menschen? Einladung zu Vortrag und Diskussion mit Albrecht Müller. Am 26. April 2024 um 19:30 Uhr – Einlass ab 18:00 Uhr Im Restaurant Goberg, Dorfplatz 36 in 83454 Anger, (Küche bis 21:00 Uhr) Hier ist das Flugblatt zur Veranstaltung. Bitte ausdrucken und weitergeben. Leserinnen undWeiterlesen http://dlvr.it/T4xk8j «
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qunelcom · 5 years
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hh-hammy17: ze-frensh-goberge: sandypark1988: Warm Winter... http://www.qunel.com/
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#7 - La populace, ce fin gourmet
Le miel, ses abeilles, n’ont besoin du bourdon
Leurs lampées de Bourbon au palais de bourbon
On dit que l’élite en pince pour le homard
Rougit sa langue au Châteauneuf ou au Pomard
Se gave et goberge, puis se baigne au champagne
Bamboche, agape de courtisan et compagne
 Œufs pochés de truite, huile vierge de truffe
Caviar d’apparatchik, tartare de tartuffe
 La populace a faim et reste un fin gourmet
Vomit son pain noir, belle orgie d’entremet,
Indignée d’un dîner discret de gougnafier
D’un piètre Chalençon, d’un auguste Escoffier
Après la bombance fait bonne promenade
Soulage sa conscience au bon pauvre en panade
Les pauvres font vivre artistes, bateleurs,
Décideurs, à vivre sur leurs malheurs
A rafraîchir haleine ou bomber bas de laines
Les ventres creux servent aux poches pleines
 Vous erriez, lambiniez, dans votre appartement
 « - Le peuple souffre, Sir’
- Ah ?
- Oui apparemment
 - Qu’il mange ses doigts et qu’il ronge son sang,
Un homme reste digne et songe à son rang.
On ne peut plus régner paisiblement sans gueux
Qui crient forts, ces affreux, sales et belliqueux
Est-ce rue qui clame ou bien gibier qui brame ?
Cette faune entame chant du salut, du blâme
Mais enfin que diable font ces grands galériens ? »
 On ne peut tous mourir sur le mont Valérien
Qui sont ces femmes, ces hommes qui suent des yeux ?
Ce sont des séditieux qui sont déçus des cieux,
Ont l’illusion perdue comme une idée trahie.
Votre armée sans treillis, votre paix trop haïe
Sont-ce des criminels ? Non ils sont justiciers
Ils ont le cœur battant au sang des suppliciés
Au innocents les mains pleines ? Leur ventre vide
Le temps les presse, c’est un joueur avide
Le char de l’Histoire tambourine à vos portes
La métamorphose d’Ovide ou des cloportes
 Sous les lambris dorés, la guerre c’est la paix
Tout change, rien ne change au seuil de vos palais
La cours, ses miracles, ses parias, ses rebus
Fin du monde et des mois recommence aux débuts
Qu’espériez-vous Seigneur ? Que les humains dociles
Se laissent dépérir dedans leurs domiciles
 Regardez-les passer, ce sont les « sauvages…
De civilisation ». Moins bandits que tous vos sages
La griffe du lionceau, la bave de louveteau
Le monde appartient à qui se soulève tôt…
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helshades · 2 years
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Breaking news : le préfet de police de Paris bloque Paris pour empêcher des manifestants de bloquer Paris ! Gé-nie.
Non mais sans déconner
Même pendant Mai-68 de Gaulle n'avait pas eu idée de coller des blindés au pied de la tour Eiffel
Vous ne mesurez pas l'indignité
... Il faut un peu resituer le contexte : on interdit une manifestation contre le passe vaccinal et l'inflation complètement dérégulée qui étrangle la moitié de la population française pendant que les riches se gobergent sans la moindre pudeur ; et le même jour, est autorisée une manifestation Traoré qui va ressembler des islamistes dégueulasses comme d'habitude autour d'une sale petite arnaqueuse. Évidemment que c'est une pure manœuvre politique pour faire monter la colère sur la droite des manifestants. Personne n'ignore que la police fout une paix royale aux émeutiers des quartiers chauds et laisse les dealeurs tranquilles avec leurs kalaches ; quant à l'état des Champs-Élysées pendant les tournois de foot, c'est autre chose qu'après manif... Bref, ça craint aussi de ce côté-là.
Petit rappel au passage que si la préfecture oblige les flics à sortir en masse dans les rues c'est également pour qu'ils se fassent huer par le public amassé le long du convoi de volaille. On sait qu'à l'époque des grands samedis, pas mal de brigade briefaient les gars en leur racontant qu'ils allaient au casse-pipe contre de dangereux terroristes qui rêvaient de casser du keuf. Tout est fait pour creuser le fossé entre la population ordinaire et sa police — par ailleurs le dernier rempart du pouvoir, en réalité.
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