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#dessin pour méditer
caroline-tsnt · 6 months
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Utilisez le dessin pour ralentir le rythme dans votre vie
Dans un monde où tout va de plus en plus vite, il est parfois difficile de trouver des moments de calme… Si vous trouvez que votre vie se déroule en accéléré, avez-vous déjà pensé à utiliser le dessin pour ralentir ? En effet, le dessin,  souvent perçu comme un simple loisir, peut être un véritable allié pour mettre en pause l’agitation du quotidien ! Nous allons explorer dans cet article comment…
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christophe76460 · 3 months
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O2Vie 064-2024/08 : Vigilance : l'ennemi ne dort pas (1)
2 Corinthiens 2:11: «...Ne pas laisser à Satan l'avantage sur nous, car nous n'ignorons pas ses desseins».
Le serviteur de Dieu l'apôtre Paul traitait un sujet du pardon et il va terminer son message avec cette puissante déclaration de 2 Corinthiens 2:11:
“ne pas laisser à Satan l'avantage sur nous, car nous n'ignorons pas ses desseins”, déclaration qui fera l'objet de notre méditation dans ce partage. Le mot dessein veut dire plan, projet, vision, objectif, un but à atteindre, ce que quelqu'un se donne des moyens de faire... Les plans de l'ennemi Satan sur nos vies sont suicidaires. N'ignorons jamais cela car l'ignorer nous sera juste d'un coup fatal. Le diable n'a de pitié pour personne. Il faut noter que notre Dieu a fait un plan de bonheur pour nos vies comme c'est écrit dans Jérémie 29:11, mais c'est notre attachement à la parole écrite et notre vigilance par rapport au dessein de l'ennemi qui nous donneront de vivre le plan de Dieu. Le diable veut nous détruire au moment où Dieu veut nous construire. Il veut nous troubler au moment où Dieu veut nous bâtir. L'ennemi est présent dans tous les domaines de notre vie pour semer des scandales et troubles. Surtout il essaie d'attaquer la foi de plusieurs et il agit subtilement. Rappelez-vous de sa manière d'opérer avec Ève dans le jardin d'Eden : “Dieu a-t-il réellement dit?”. Il ne change pas de stratégie. Il est malin et méchant. Si le diable veut détruire une vie, il détruit d'abord la foi de la personne ciblée. Il communique un autre évangile à la personne ciblée juste pour semer la confusion. Ce n'est pas qu'il y est un autre évangile mais il sème juste du trouble dans les pensées. Attention ! Attention ! Attention ! L'ennemi est à l'œuvre.
Pour ma part, je veux rester attacher à ce qui est écrit et bien le méditer afin de ne pas tomber dans les pièges de l'ennemi par la grâce de Dieu.
Galates 1:6-7: “Je m'étonne que vous vous détourniez si promptement de celui qui vous a appelés par la grâce de Christ, pour passer à un autre Évangile.
Non pas qu'il y ait un autre Évangile, mais il y a des gens qui vous troublent, et qui veulent renverser l'Évangile de Christ”.
Que le Seigneur nous protège contre tout dessin de l'ennemi Satan au nom de Jésus. Amen. Dieu vous bénisse abondamment.
Pasteur Lazare AFANDJEGO & L'Equipe Eau de Vie
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yes-bernie-stuff · 5 months
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Aimer la parole de Dieu
Quand nous avons à cœur d'apprendre de nouvelles compétences dans un domaine, nous prenons soin d'apprendre tout ce que nous pouvons concernant celui-ci.
Les artistes essayent de nouveaux outils et de nouvelles techniques pour améliorer leur art. Les musiciens pratiquent leur musique mesure après mesure, note après note, pour mémoriser et perfectionner la chanson qu'ils sont en train d'apprendre. Les architectes et les ingénieurs mémorisent et appliquent des mathématiques avancées pour concevoir et construire des édifices sûrs.
Nous consacrons notre temps et nos pensées à certaines choses afin de pouvoir les utiliser correctement.
Le roi David voulait connaître Dieu. Il savait que pour connaître Dieu, il allait avoir besoin de connaître la parole de Dieu, parce qu'il savait que les Écritures le garderaient de pécher contre lui. Il a même écrit:
Je veux méditer sur tes directives, et fixer mes regards sur les voies que tu traces.
Psaumes 119:15 BDS
Ceci est une leçon précieuse que nous devrions apprendre nous aussi: si nous voulons connaître Dieu, connaître Jésus, alors nous avons besoin de connaître la parole de Dieu.
De la même manière que nous consacrons nos pensées à l'étude de l'histoire ou des maths, ou que nous pratiquons un instrument pour le jouer correctement, nous devons aussi consacrer nos pensées et notre temps à connaître la parole de Dieu. Il faut que nous méditions les Ecritures et que nous fixions nos regards sur ce que Jésus nous a appris. Quand nous faisons cela, nous stockons sa merveilleuse parole dans nos cœurs et cela nous garde de pécher contre lui.
Nous pouvons connaître exactement ce que Dieu veut et désire pour nous en lisant les Écritures.
Sa parole nous donne un cadre, une ligne de conduite, et une direction. Sa parole nous montre son dessin et son caractère. Elle nous révèle qui il est, et en réaction à cela nous nous réjouissons dans l'obéissance. Alors, aujourd'hui, à quoi vas-tu consacrer ton temps? De quelle manière vas-tu stocker la parole de Dieu dans ton cœur?
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albert-prous · 10 months
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ACT 62
pièce où l'on se retire pour méditer pièce située à l'écart cabinet à l'ombres des tomates toilettes communes à l'étage au bout du palier toilettes turques trop brèves réflexions qui frappe mots à la craie à la porte vous êtes instamment priés de laisser accroupi cagibi de relaxation idéal pour réfléchir ne pas oublier les pages coupées en quatre du vieux journal pot de chambre à vider le seau d'eau réduit d'aisance le matin à voir ombres nouvelles dessiner les tuiles sous le ciel ouvert ouvert à la pluie corbeau trempé vous êtes instamment priés de laisser ce lieu propre à la création prous
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timie-opium · 2 years
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DRAWING Une illustration / Une citation / Un échange Merci à toi qui me dit de lâcher - prise. J'entends que c'est un gentil conseil qui vient du coeur et je sais que tu y crois en me disant cela. Mais concrètement, que dois-je faire ? Effectivement je pense qu'on a tous cernés le sens du mot, et qu'on comprend l'idée. Mais malheureusement il y a plusieurs paramètres qui entrent en jeux. Comme notre ami invisible qui est l'INCONSCIENT et qui nous empêche parfois d'avancer😅, mais également nos croyances limitantes reçus par nos parents, notre famille, notre culture, notre religion, notre société, nos amis. C'est mission impossible d'y échapper. Et puis un jour, on se sent freiner dans notre vie, qui a d'ailleurs un poids assez conséquent sur nous. Il y a beaucoup d'outils pour arriver à lâcher - prise. Je peux vous en donner quelques un, non exhaustifs bien-sûr : - lire des ouvrages à ce sujet. Ça aide pas mal pour prendre du recul sur notre situation, se dire qu'on est pas fou et surtout pas seul.e. - écrire dans un cahier personnel: Cela peut-être sous la forme de pensées positives, de dessins. - S'accorder un moment à soi plus régulièrement. - Méditer, se relaxer, visualiser, apprendre à faire une pause et à respirer quand on se sent submergé.e. - Créez-vous un ou plusieurs mantras. - Suivre des coachs, thérapeutes, professionnels sur les réseaux qui vous donneront régulièrement des tuyaux, des challenges à suivre. Mais ça doit vous parler car attention vous n'êtes pas obligé.e.s d'être attiré.e.s et en alignement avec la même personne que votre voisin/pote/cousin aime et approuve. Et vous quels sont vos outils pour lâcher-prise ? #S&C #sexualiteetconfidences #sexotherapeute #sexualhealth #viedecouple #relationtoxique #developpementpersonnel #lacherprise #vivre encouple #paixinterieur #croyanceslimitantes #encouple #sexualite https://www.instagram.com/p/CjGe5tVjAef/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Ce matin-là, au Clos Toreau, on ne badine pas avec l’amour ! Encore moins avec les mots d’inspiration positive annotés et consignés sur les feuilles de papier. Des mots pour sourire à la vie et laisser bientôt une empreinte - à la craie - dans la tête des habitants du quartier. Le tout ayant comme finalité de leur redonner espoir, de les encourager ou tout simplement les complimenter. En voilà, une idée !
Avant de constater l’effet escompté au grand air, la tête dans les livres piochés dans la bibliothèque du secteur jeunes, les ados Farah, Mona, Yasmine, Achana, Adora, Sami et Salem, dressent l’inventaire des phrases "à déchiffrer", des mots du réconfort qui peuvent aider à penser autrement par les temps qui courent.
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Le cœur à l’ouvrage, les ados s'adonnent avec joie à la recherche de l'inspiration entre deux réflexions sur ce que signifie être heureux.se. au quotidien. De Titeuf à Musset, du livre de développement personnel "S’aimer soi-même" au dictionnaire d’anglais… le spectre est large et les idées fusent : "je ne vais pas te laisser tomber comme un vieux slip", "merci Titeuf !", "tu n’es pas seul !" car " la vie est belle, bella !".
Le livre pour avoir confiance en soi a son importance confirme Yasmine et Mona, "sinon tu ne peux pratiquement rien faire !". Il convient donc de ne pas oublier les fondamentaux dans la vie, en premier lieu : "ne vous blâmez pas si vous échouez, vous pouvez accomplir de grands exploits".
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Sensible aux vertus du street art et convaincue qu’une petite phrase formulée avec le cœur et parfois bien choisie peut vous changer une journée, Caroline Serve, animatrice auprès des 11-15 ans, orchestre ce joyeux méli-mélo durant la session au pied levé.
"Tu eres fuerte" sonne le glas non loin du "triez vos déchets pour la planète". Les recommandations se dessinent au sol et parfois dans une envolée de craie, sur les murs en passant. Entre deux conversations animées sur l’importance de l’école par deux ados en passe de rentrer en quatrième, l’exercice tient toutefois lieu de correction orthographique et l'engouement collectif est au beau fixe. Les passants n'y trouveront là rien à redire sinon à méditer.
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plexussolaire · 3 years
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Dans le Tartare
Aujourd’hui, je vais y arriver. Je vais prendre mon courage à deux mains. Je ne vais pas avoir peur du vide. Je vais prouver aux autres et à moi-même que je suis capable de me débrouiller seule. Il faut que j’en sois capable. Il faut que je m’entraîne. Il faut que je nettoie. Il faut que je range. Il faut que je travaille. Il faut que je me trouve des projets. Il faut que je me trouve des amis. Il faut que je bloque l’accès à ce sentiment, cette pierre imposante, aux bords presque coupants, pour qu’elle n’aille pas se faire de la place entre mon foie et mon estomac. Il faut que j’y arrive sans acheter de l’alcool, ou des clopes, il faut que j’y arrive dans un habit de sainteté, que je n’en parle à personne, comme si tout était naturel, comme si moi aussi j’y arrivais sans peine, sans état d’âme, comme tout le monde quoi. Parce que je suis adulte, parce que je contrôle ma vie, je fais mes propres choix, et je dois faire les bons. Il faut que je fasse ma vie à mon image, que j’arrive enfin à décrypter mes besoin et mes envies, encore floues, sans savoir où les chercher. Et la pierre roule, et la pierre creuse.
Je suis levée tôt. J’ai des tas de choses à prévoir et à accomplir, mais c’est les vacances. Je n’ai rien de prévu. Je suis censée en profiter. Je suis censée me reposer. Me détendre. J’ai le temps. Je peux absolument tout faire. Je peux lire. Je peux écrire. Je peux danser, dessiner, cuisiner, sortir, voir des gens, faire du sport. J’ai le temps, le grand temps long, vingt quatre heures dans mon appartement flambant neuf et vide. Je peux rester dans mon lit. Je n’ai aucune habitude, pas vraiment de repère, je n’ai jamais vécu une journée entière ici, et je ne connais personne dans la ville autour. Tout me semble soudain fait de contours infinis. Alors je reste là. Je reste là en me disant que j’ai le temps. Et la pierre roule, et la pierre creuse.
Je voudrais me changer les idées, lancer quelque chose, une activité. Je pourrais faire ci ou ça, m’avancer dans le travail, me détendre, regarder la télévision. Enchaîner des actions sans but précis, m’arrêter au milieu, et puis me recoucher. Je ne peux pas m’empêcher de penser à tout ce qu’il faut faire, ou pourrait être fait. Il faut que je me détende. Il fait beau, ce serait dommage de ne pas en profiter. Mettre la radio, ranger la cuisine qui est sale alors que je n’y ai pas mis les pieds. Repousser la table dans l’autre pièce pour voir comment ça fait, est-ce que je m’y sens mieux, est-ce que ce serait pas mieux de m’installer à la verticale, qu’à l’horizontale, pour voir si ça change quelque chose, si ça me donnerait l’impulsion pour faire, mais faire quoi, dans quel ordre, quelle heure est-il ? Et la pierre roule, et la pierre creuse.
Et là je sens que je n’ai pas arrêté de penser depuis ce matin, comme si j’étais dans une concentration épaisse et compacte depuis le réveil. Je n’ai rien fait, je ne sais pas où je suis, ni qui je suis, ni où je pourrais être. Je ne sais pas qui appeler car tout le monde est occupé ailleurs, et que je suis isolée. Envoyer des messages, l’air de rien, pour prendre des nouvelles, des rendez-vous, des engagements. Y a-t-il quelqu’un dehors ? Je suis perdue, est-ce qu’il y a quelqu’un ? Proposer, ou se taire, ne pas oser raconter, comme à chaque fois, les détours d’une âme encombrée d’un mal mystérieux, et savoir de même que voir l’autre ne suffira pas à combler, l’attente est trop haute, l’angoisse trop forte pour former des relations, tu connais cela trop bien, et tout sera comme avant. Des demi-mesures, de la peur d’être soi, et d’être celle à qui l’on dit : “Putain t’as l’air vraiment triste”, ou bien “De toute façon ça va jamais”, “tu fais tout le temps la gueule”. Pourtant, c’est mon combat du jour, du jour précédent, du jour suivant. Être heureuse. Ne pas être cette personne. Trouver une solution en moi-même pour être acceptée et aimée.
Tout est fermé à l’extérieur, pas de café, pas de bar, pas de ciné, pas de musée. L’écho sonore des parois de mon crâne. Et la pierre qui grossit. Lire sur ce que j’ai ? Essayer de comprendre ce qui traverse et que je ne veux pas sentir. Ce que j’ai. Et sentir le poids, le poids des peurs, des crises passées, des angoisses, la lassitude de la litanie qui ne me quitte pas un jour et qui me dit chaque fois, “ce sera comme ça jusqu’à la fin de ta vie”. L’impression pourtant d’avoir pris des mesures, d’avoir essayé de prendre soin de moi, de faire ce qu’ils disent tous, profiter de l’instant présent, s’aimer, faire des activités sportives, et manuelles. Et chaque fois ça dérape. Et la pierre grossit, grossit, les heures passent dans le même vide. J’ai six ans, j’ai huit ans, j’ai dix ans, j’ai seize ans, j’ai vingt ans à nouveau. Et la même, la même culpabilité de se noyer et de décevoir ceux qui nous connaissent trop bien, ceux qui savent ne pas penser trop, sentir trop, qui ont toujours su au fond être en sécurité, devant lesquels on s’excuse d’échouer à nouveau, de devoir être aidé. Qui ont toujours su trouver une place, ne serait-ce que chez eux, où s’asseoir et se reposer.
Méditer alors. Parce qu’il fait beau et que le soleil inonde cette chambre à soi dont on a longtemps rêvé. Méditer pour écouter le flux, la pierre. Se demander en passant quelle substance on a en stock pour dégonfler la pierre. Méditer et sentir son dos, ses muscles, tendus par le stress, les pensées, les mains qui veulent attraper quelque chose, passer à autre chose, que faire, que faire, que faire, pour sortir du torrent furieux, pour ralentir la chute, pour retrouver la paix, la concentration, la joie ? Que faire, que dire, alors qu’on a essayé de se parler, de se calmer soi-même avec les mots qu’on attend, mais que la gorge s’est nouée et fermée dans un sanglot. Les pleurs enfin. Des pleurs boursouflés. Jugement d’échec, vague. Sentiment que si les autres nous voyait, ce serait encore un fracas. “Elle a tout, elle est insatisfaite.” Une nouvelle marque de dépendance à une communauté qui n’existe pas. Pas de noyau, pas de cocon, pas même dans sa propre maison. Personne à venir, promesse d’une solitude éternelle. Pourtant je sais qu’il faut affronter ces pensées-là, car ce sont des pensées qui mentent. Essayer encore, timidement, de se convaincre du contraire. Relever la pierre, et la remonter, encore, encore, en haut de la colline.  
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oviri7 · 3 years
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« Enième réécoute du O Fortuna. Il m’est impossible de me lasser de la plus eschatologique des œuvres musicales. C’est l’esprit du Moyen-Âge, un instant ressuscité par le XXè siècle, mais toujours drapé de ses ombres et de ses angoisses, qui dans un premier temps murmure comme dans ses cloîtres et ses cryptes à nos oreilles distraites l’éternelle vérité qu’il a adorée: jouets éternels de la Fortune, fragiles créatures sans cesse ballotées par ses vents contraires, nous serions fous d’accorder à notre séjour terrestre trop de crédit et de tout miser sur lui. Eschyle, après tout, dans son Prométhée enchainé et bien avant les moines chrétiens, n’en disait pas moins d’une idée que les vanités de l’âge baroque résumeront dans leurs crânes et dans leurs sabliers. Ainsi, du manuscrit médiéval retrouvé dans une petite abbaye bavaroise en 1803, monte, sublimé par la puissance classique, comme un ultime avertissement à destination d’une modernité jeune de rêves nouveaux, impétueuse, ivre de sa force, prête à faire ployer le ciel pour y cueillir l’éternité sans Dieu. Nous sommes en 1937, entre deux gigantomachies, et le compositeur allemand Carl Orff offre au monde sa lecture titanesque du chant médiéval. Grâce à lui, le Moyen Âge nous offre une dernière fois la leçon d’humilité qu’il mûrit des siècles durant, pour ensuite s’évanouir, accompagné d’un chœur à fendre terre et ciel, dans un final grandiloquent suggérant avec une force inégalée l’Apocalypse que ses hommes redoutaient tant. C’est une pluie d’astres morts et d’anges vengeurs qui s’abat sur nos regards hallucinés et se mêle au déluge de nos larmes: bientôt notre monde s’effondrera dans les éclairs d’aciers et les torrents de feu d’un siècle d’où la foi sera longtemps chassée. La dernière voix éteinte, ne nous reste plus alors que le silence des ruines, espace rêvé pour méditer, alors nous méditons, un peu hagards, scrutant le sens ultime sur les décombres d’un idéal. Curieux paradoxe, le conseil d’humilité face à l’incertitude nous a été transmis avec la plus grande des emphases, et nous nous sommes vu rappeler combien nous étions fragiles à l’aide d’une force prodigieuse. Quant à la volonté de puissance - si parfaitement mise en musique ici - elle est ici confrontée au sphinx que toute civilisation trouve au bout de son chemin. A quoi bon, homme d’Europe?, semble ainsi dire la bête. La réponse elle aussi est une énigme. Peu importe. Tout le tragique de l’âme faustienne chère à Spengler est condensé dans cette œuvre qui sonne comme un testament où l’on se confesse autant qu’on lègue; « l’horizon était ma raison », dit l’Occident. Quoi qu’il en coûte, où que se dessine sa ligne, il lui fallait le dépasser, car il lui fallait se dépasser. L’énergie tendue vers les lointains, l’homme blanc voulait voir et savoir, conquérir des mondes dont lui seul semblait deviner les rivages, et ne pouvait faire autrement que fixer ce qui échappait encore à son emprise de l’œil prédateur de l’ange déchu de Cabanel. Race maudite, non, mais race tragique, assurément. Les soupirs de l’Ecclésiaste eurent beau s’être épanouis en chants grégoriens et longtemps tempérer les ardeurs païennes, il y avait trop d’Achille et de Beowulf dans le cœur de ses hommes pour que l’Occident n’accomplisse sa monumentale destinée et ne s’épuise à gravir ces infinis qu’un élan vital prodigieux s’était choisi comme adversaires. »
Ariya S.
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frenchwitchdiary · 5 years
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Les traditions de Yule
Décembre est déjà là, et forcément, le sabbat de fin d’année (ou le premier si l’on considère Samhain comme le “nouvel an” des sorcières) approche. Je ne suis pas la tradition wiccane, et pourtant j’aime l’idée de rythmer l’année en fêtant les 8 sabbats de la Roue annuelle, pas nécessairement en faisant de grosses célébrations d’ailleurs - pour être honnête je m’y prends souvent à l’arrache, et je finis par simplement méditer sur ce que ce moment de l’année a à nous offrir devant une tisane. Pour Yule 2019, j’y pense un peu plus en avance qu’à l’accoutumée (c’est dire), et j’ai décidé de faire plus de recherches à son sujet, afin de tout consigner dans mon grimoire/encyclopédie ésotérique.
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La symbolique de ce sabbat
Yule est le petit nom donné à la fête pré-chrétienne du solstice d’hiver (autour du 21 décembre), moment de l’année où le jour est le plus court, et la nuit la plus longue. Ce jour marquera l’entrée dans la saison hivernale pour notre société occidentale moderne, mais jadis, chez les celtes chers à mon coeur, les solstices et équinoxes représentaient l’apogée d’une saison, pas leur lancement. Ici, on est à l’apogée de la période sombre.
Parenthèse sur l’étymologie du nom
Se questionner sur le nom des choses est pour moi très important, car je suis mal à l’aise à l’idée d’utiliser des termes dont je ne comprends pas l’origine ou l’étymologie, et même si ses sonorités m’étaient un peu familières, “Yule” nécessitait une recherche plus approfondie de ma part. J’ai donc appris qu’il est la forme anglaise du nom des festivités du solstice d’hiver issues des traditions germaniques et scandinaves - on le retrouve alors sous diverses formes : Jól, Jul, Joulu ou encore Jõul, tous signifiant “solstice”.
Pour les wiccan-e-s, la Terre-Mère est en sommeil profond, la nature est en repli, les arbres se retrouvent nus sans leurs feuillages, les journées se terminent plus tôt et tout paraît bien morne, mais c’est seulement une étape nécessaire du vivant : dégénérer et mourir pour mieux renaître au printemps. La Déesse est dans son aspect nommé “The Crone”, c’est l’AÏeule, l’Ancêtre, la vieille femme pleine de sagesse, la lune descendante. Cette période de l’année est donc propice à l’introspection, à imiter la nature en suspend : prendre du recul sur soi, passer en revue l’année, méditer sur ce que l’on souhaite garder et ce dont on ne veut plus dans sa vie, prendre du temps pour s’occuper de son foyer et de son cercle de proches...
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Mais célébrer Yule, c’est aussi la promesse du retour de la lumière : le Roi-Houx (personnification de l’Hiver et de la période sombre chez les celtes) affronte le Roi-Chêne (personnification de la période lumineuse) le jour du Solstice, et chaque année, le Roi-Chêne sort vainqueur du combat. Par cette fable, on symbolise ici le retour de la lumière, (ou la renaissance du Dieu-Soleil chez les wiccan-e-s) puisqu’à partir de cette date les jours rallongent progressivement.
(Inversement, après le solstice d’été, les jours raccourcissent, c’est le début de la période sombre, et c’est donc le Roi-Houx qui remporte le combat - cf. vous pouvez voir une “reconstitution” de cette joute théâtrale dans le film The Love Witch d’Anna Biller, en suivant ce lien).
Comment célébrer Yule ?
Note : les informations qui suivent viennent du bouquin “WICCA, Manuel de magie blanche : rituels, recettes, herbes et invocations” de Scott Cunningham.
La décoration de l’autel
Des rameaux de feuillages persistants : pin, laurier, romarin, génévrier, gui...
Des pommes de pins ou feuilles mortes
Des chandelles, traditionnellement rouge, blanche et verte
Un chaudron, qui selon son format, peut être placé sur l’autel ou devant, et dans lequel on met une substance inflammable (alcool) ou de quoi faire un feu ou, à défaut, et c’est plus safe je pense (surtout si vous êtes en intérieur, n’allez pas mettre le feu chez vous !) : une ou plusieurs bougie-s rouge-s.
L'arbre de Yule
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Le bon vieux sapin de Noël qu’on connaît tous en occident est en fait une tradition d’origine païenne ! (Bon, là je parle de sapin, mais en fait, ça peut être n’importe quel arbre hivernal, voir même un faux ya zéro soucis). Parmi les décorations traditionnelles wiccanes pour l’arbre, on retrouve :
Des guirlandes de boutons de roses séchés et de bâtons de cannelle (ou de maïs soufflé et de canneberges)
Des pommes, oranges ou citrons
Des sachets d’épices odorantes suspendus aux branches
On peut aussi, pour celleux qui ont le matériel nécessaire, entourer de fil métallique des cristaux de quartz pour imiter la glace figée sur les branches.
petite astuce perso : vous pouvez décorer vos agrumes en y plantant des clous de girofle. 1) ça sent super bon, 2) les clous de girofle apportent la protection, 3) vous pouvez même dessiner avec vos clous des sigils ou motifs précis pour l’occasion.
La bûche de Yule
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La bûche, qu’on mange de nos jours à Noël en dessert, est aussi un héritage païen, et était autrefois une vraie bûche, traditionnellement en chêne ou en pin, qu’on allumait dans la cheminée au crépuscule. Pour les wiccan-e-s, “c’est une représentation visuelle de la renaissance du Dieu au sein du feu sacré de la divine Mère” (c’est pas moi qui dit, c’est Scott).
Si vous choisissez de brûler une bûche, vous pouvez y graver ou dessiner à la craie les symboles du Soleil/du Dieu.
Sinon, pour les gourmand-e-s et les sans-cheminées, il est tout à fait envisageable de rester sur la bûche comestible, qu’elle soit sous forme de glace ou de gâteau roulé. ^^
Des idées pour le repas du Sabbat
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En fruits : des noix, des pommes, des poires
Des gâteaux de carvi trempés dans du cidre
Pour les non-végétariens : le porc.
En boissons : cidre, bière épicée, vin chaud, tisane d’hibiscus ou de gingembre
(En vrai ya aucun mal à faire différemment que ce que Cunningham prescrit, du moment que vous privilégiez les aliments de saison, la planète vous remerciera et vous passerez une bonne soirée)
En somme,
à défaut de savoir encore exactement ce que je vais faire cette année pour le solstice d’hiver (quel rituel, tout ça...), je vais au moins consigner le fruit de mes recherches dans mon Codex. Passer simplement la journée emmitoufflé-e sous 5 plaids en sirotant un chocolat chaud et en méditant sur ma vie est aussi une possibilité que je me laisse au cas où je ne me sentirai pas d’organiser une cérémonie trop grande haha.
Et vous, qu’avez-vous prévu pour Yule 2019 ?
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Confinés
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La nouvelle est tombée jeudi soir : crèches, écoles et universités fermées jusqu’à nouvel ordre, minimum jusqu’à début avril, sans doute au moins début mai ; et télétravail recommandé. Dans notre cas ça signifie Lou et Rémy à la maison. Pour moi, comme je travaille déjà depuis chez moi, ça ne change pas.
Puisque nous pouvons rester ensemble chez nous au moins pour les 3 semaines à venir, nous avons décidé de nous confiner au maximum afin d’éviter de contribuer à la propagation du virus, pour nous protéger et pour protéger les autres. En effet les prévisions statistiques semblent montrer que si nous ne prenons pas ça très au sérieux dès maintenant la propagation du virus sera catastrophique. Si vous le pouvez, restez chez vous !
Nous annulons donc ce que nous avions prévu dans les semaines à venir : visites à la famille, sorties avec des amis, examens et RDV médicaux non urgents qui peuvent être reportés, mais aussi très certainement les week-ends que nous avions prévu à la fin du mois, et peut-être même nos vacances du mois de mai, on verra comment ça évolue d’ici là. Nous avons fait nos courses et un passage à la pharmacie en prévision, pour pouvoir rester chez nous au maximum les jours qui viennent.
Je pense à ceux qui n’ont pas ce choix de pouvoir rester chez eux : les soignants tout d’abord qui vont être sur-sollicités dans les semaines qui viennent, les personnes qui ont des métiers qui ne peuvent se faire à distance et tous ceux dont les patrons ne prennent malheureusement pas les recommandations au sérieux.
Pour les autres, sur nos instants de libres chez nous c’est le moment de faire tout ce qu’on repousse, tout ce qu’on ne prend pas le temps de faire en temps normal, tester les recettes mises en favori, bricoler, écrire, lire, rattraper son retard en séries, Skyper nos proches, appeler nos aînés pour rompre un peu leur isolement, faire un pique-nique dans le salon, jardiner, trier, faire un grand ménage de printemps, méditer même pourquoi pas !
Pour occuper Lou on a aussi prévu plein de choses : gommettes, pâte à modeler, pâte à sel, patouille, transvasement de semoule, peinture, dessin, coloriage, pâtisserie, jeux d’eau, sable magique, aquadoodle, puzzle, etc. Le défi va être de rester tous sains d’esprit en restant enfermés ensemble pendant plusieurs semaines, et de réussir à travailler en parallèle, j’avoue que j’appréhende !
Il y a quelques semaines j’ai voulu m’inscrire à un cours bien-être à la MJC de ma ville, j’hésitais entre sophrologie et relaxation donc j’ai testé les deux. Et j’ai retenu une phrase de ce cours d’essai de relaxation : « en toute situation, je peux choisir de me tendre ou de me détendre ». J’essaye de me la répéter souvent en cette période si anxiogène, ça ne marche pas toujours mais je tente de me détendre, de relâcher mes muscles, de prendre une grande inspiration.
Après avoir écrit ces lignes j’apprends que les bars, cinémas et restaurants sont désormais fermés, ça me rassure, petit à petit des mesures sont prises, même si c’est trop lentement, même si c’est pénible et angoissant de devoir mettre sa vie sociale entre parenthèses. Mais je trouve absurde que les élections soient maintenues demain…
Bref, prenez soin de vous !
Ah, et ne prenez pas d'anti-inflammatoires (Ibuprofène, Nurofen, Advil et compagnie), ça aggraverait l'infection !
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christophe76460 · 4 months
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Aujourd'hui tout le Monde sait que Dieu est quelqu'un à visiter le Dimanche, aller écouter quelques une ou deux Paroles et après c'est finit. Aucune intimité avec lui, très peu sont les Parents qui inculquent à leurs Enfants l'éducation divine, c'est à dire, prendre du temps pour méditer la Parole de Dieu avec eux, à prier , adorer ensemble et créer ainsi une atmosphère divine à la Maison, très peu le font. Et plus le temps passe, plus sa devient pire. C'est pour cela qu'aujourd'hui puisqu'il faut bien que quelqu'un enseigne, la Télévision le fait à leur place. Et nous savons tous ce que la Télévision propose, même dans les dessins animés que les bébés regardent.
Par contre, si c'est pour un Match de football par exemple, tu verras comment toute une famille sera concentrée devant la Télévision. Et là, tu n'auras besoin de dire à personne de garder silence, où même de ne pas faire de bruits ; tout le Monde sait déjà l'attitude à adopter, parceque c'est devant ce genre de chose qu'ils font l'unanimité, et ils se disent Chrétiens, Vraiment.
Mais c'est pas grave, Dieu lui-même a dit, si vous vous rapprocher de moi, oubien me chercher de tout votre Coeur, je me laisserai trouver par, donc il ne force personne à le faire.
Shalom Shalom Shalom 🙌🙌🙌🙌🙌🙌🙌🤗🤗🤗
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jo3tattoo · 5 years
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Comme promis je vous explique l'histoire du Daruma : Le Daruma vient de Dharma mot sanskrit représentant les enseignements de Bouddha dans la culture bouddhiste. Ce sont des figurines, le plus souvent rouges mais pouvant être de plein d’autres couleurs, de forme arrondie représentant le moine Bodhidharma fondateur du bouddhisme zen. La légende raconte qu'il serait resté en méditation en position zazen pendant neuf ans perdant ainsi ses membres devenus inutiles (d'où la figurine en forme de culbuto qui vacille mais ne tombe jamais). Il fixait les parois de la grotte sans ciller mais au bout de sept ans il s’endormit. Fou de rage et de colère contre son manque de discipline, il se coupa les paupières pour ne plus jamais fermer les yeux. En tombant au sol ses paupières laissèrent place à deux plants de thé vert c'est pourquoi les moines bouddhiste consomment traditionnellement du thé vert afin de rester éveillés. Certaines histoires racontent que c’était un prince hindou, d’autres disent que c’était un prêtre religieux venu en Chine pour méditer et diffuser la religion bouddhiste et ses préceptes. Les couleurs des daruma ont une signification : rouge pour la chance et la bonne fortune, violet pour la santé et la longévité, blanc pour l’harmonie, jaune pour la sécurité et la protection, rose pour l’amour et or pour obtenir richesse et prospérité. Elles ont aussi des motifs traditionnels en forme de grue et de tortue représentant la longévité. Ces petites poupées servent à faire des voeux car quand on achète ou qu'on se fait offrir un daruma, celui-ci n’a pas de pupilles. C’est à nous de dessiner la première lorsqu'on formule silencieusement notre souhait et la deuxième lorsque le souhait s’est réalisé. La tradition veut qu'on place la fgrine bien en évidence pour penserau souhait car c'est à nous de rende possible sa réalisation e si le souhait ne se réalise pas au bout d’un an, le daruma doit être brûlé. De la même façon le daruma est brûlé une fois le voeux exaucé et après qu'on ait dessiné la deuxième pupille. Alors ? Vous avez un voeu ? (à Joe Tattoo) https://www.instagram.com/p/B4ODf_IqpbZ/?igshid=1tiqere586ybn
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albert-prous · 10 months
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ACT 61
pièce où l'on se retire pour méditer pièce située à l'écart cabinet à l'ombres des tomates toilettes communes à l'étage au bout du palier toilettes turques trop brèves réflexions qui frappe mots à la craie à la porte vous êtes instamment priés de laisser accroupi cagibi de relaxation idéal pour réfléchir ne pas oublier les pages coupées en quatre du vieux journal pot de chambre à vider le seau d'eau réduit d'aisance le matin à voir ombres nouvelles dessiner les tuiles sous le ciel ouvert ouvert à la pluie corbeau trempé vous êtes instamment priés de laisser ce lieu propre à la création prous
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timie-opium · 2 years
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Une illustration / Une citation / Un échange Merci à toi qui me dit de lâcher - prise. J'entends que c'est un gentil conseil qui vient du coeur et je sais que tu y crois en me disant cela. Mais concrètement, que dois-je faire ? Effectivement je pense qu'on a tous cernés le sens du mot, et qu'on comprend l'idée. Mais malheureusement il y a plusieurs paramètres qui entrent en jeux. Comme notre ami invisible qui est l'INCONSCIENT et qui nous empêche parfois d'avancer😅, mais également nos croyances limitantes reçus par nos parents, notre famille, notre culture, notre religion, notre société, nos amis. C'est mission impossible d'y échapper. Et puis un jour, on se sent freiner dans notre vie, qui a d'ailleurs un poids assez conséquent sur nous. Il y a beaucoup d'outils pour arriver à lâcher - prise. Je peux vous en donner quelques un, non exhaustifs bien-sûr : - lire des ouvrages à ce sujet. Ça aide pas mal pour prendre du recul sur notre situation, se dire qu'on est pas fou et surtout pas seul.e. - écrire dans un cahier personnel: Cela peut-être sous la forme de pensées positives, de dessins. - S'accorder un moment à soi plus régulièrement. - Méditer, se relaxer, visualiser, apprendre à faire une pause et à respirer quand on se sent submergé.e. - Créez-vous un ou plusieurs mantras. - Suivre des coachs, thérapeutes, professionnels sur les réseaux qui vous donneront régulièrement des tuyaux, des challenges à suivre. Mais ça doit vous parler car attention vous n'êtes pas obligé.e.s d'être attiré.e.s et en alignement avec la même personne que votre voisin/pote/cousin aime et approuve. Et vous quels sont vos outils pour lâcher-prise ? #S&C #sexualiteetconfidences #sexotherapeute #sexualhealth #viedecouple #relationtoxique #developpementpersonnel #lacherprise #vivre encouple #paixinterieur #croyanceslimitantes #encouple #sexualite https://www.instagram.com/p/CjGex4Tj_xz/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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latherianbox · 5 years
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La thérianthropie ? Kézaquo ?
Avant, l'animalité, on la vivait en cachette ; on en parlait pas.
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Ce sont dans les années 70 qu'un groupuscule anglophone décide de s'interroger sur sa propre identité non-humaine.
Tout a commencé par les premiers otherkins s'identifiant tout d'abord en tant que elfes (d'où le mot "other kin" qui signifie "autre lignée").
Dans les années 90, les premières personnes-animales apparaissent sur le site alt.horror.werewolves.
Les individus concernés se retrouvent, peu à peu. On y voit, alors, passer de nombreux articles sur la lycanthropie et autre « animaux totem ». Sur internet, le mot « were » se voit utilisé pour parler de ces individus, la plupart du temps « au corps humain et à l'esprit de loup ». Ce fut les premiers groupes de personnes thérianthropes sur le web.
(source m'ayant aidé à rédiger ce paragraphe :  http://frameacloud.com/otherkin/nonfiction-otherkin/otherkin-timeline-abridged/)
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Une définition se voit créée pour englober des personnes partageant le même ressenti animal : elles ne sont pas totalement humaines.
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La thérianthropie est un nom utilisé pour désigner :
Un individu ayant le sentiment profond et constant d'être en parti un animal non-humain (disparu ou non), au dépit de son corps, de son éducation, de ses proches et de son environnement.
Cette personne pourra, alors, s'identifier intensément, viscéralement et intrinsèquement en tant que (et non « comme ») un ou plusieurs animaux qui lui correspondent (thériotypes).
En dehors des ressentis et expériences métaphoriques, la personne peut connaître des expériences littérales : dans ses actes et mouvements, dans son caractère, dans ses ressentis physiques, dans sa manière d'être, ses envies et pulsions.
Il n'est pas rare que certains individus disent connaître des expériences ésotériques et spirituelles en lien avec leur non-humanité. D'autres expriment leurs sensations comme étant en lien avec leur psychologie et/ou leur neurologie. On peut désigner ces personnes comme des “alterhumaines”.
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Ce que c'est, généralement, d'être thérian :
-Se ressentir et se définir sous les traits d'un ou de plusieurs animaux ;
-Vivre son animalité aussi bien littéralement (actes) que métaphoriquement (ressentis intérieurs);
-Avoir, peut-être, envie de se documenter sur son ou ses thériotypes et apprécier tout ce qui touche à leur sujet;
-Vivre des expériences de shifts, et autre membres fantômes;
-Pouvoir souffrir de dysphorie;
-Accepter que l'on puisse pouvoir méditer sur sa forme animale, explorer ses rêves et connaître des EMC (État Modifié de la Conscience), s'il on a des croyances penchées vers l'ésotérisme.
-Accepter que l'on puisse, pour la plupart, avoir une vision pleinement "palpable" de la therianthropie et croire à une source identitaire psychologique ou neurologique.
-Découvrir sa therianthropie quelque soit son age;
Ce que ce n'est pas d'être thérian :
-Utiliser son animalité pour excuser sa violence ou mauvais comportements en public ;
-Nier l'existence totale de son humanité, du moins de son corps/cerveau/biologie/environnement/entourage humain-e;
-Une identité fausse qui ne reflète pas la personne (ex : loup noir et rouge, ailé, qui tire des lasers) ;
-Manquer de respect ou dénigrer d'autres thérianthropes et leurs croyances;
-Une lubie que l'on se découvre tout juste après avoir entendu parler de thérianthropie pour la première fois (cependant, cela peut arriver que la thérianthropie mette un mot ou une forme sur nos ressentis de toujours);
-Une simple attirance émotionnelle envers un animal (les therians ne font pas que aimer un animal, ils le sont);
-Incarner notre animal préféré (certaines personnes n’avaient aucun atome crochu avec leur animal au départ).
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A ne pas confonde avec :
-Le Furry :
Un art (dessin,  écriture, couture) où l'on se représente sous les traits d'un animal anthropomorphique. Ceci est une passion, un jeu, un loisir. Ceci n'est pas une identité à part entière généralement (bien que l’on puisse être thérian et furry à fois).
-Le rôle-play :
Cela consiste à jouer à faire semblant (jeux de rôles, théâtre, jeux de société type DonjonEtDragon...). Contrairement au rôle- «play », la thérianthropie n'est pas un jeu.
-Les Animaux Guides :
Il s'agit d'une croyance culturelle (par exemple Amérindienne) où chaque être humain est lié astralement à un animal terrestre. Notre Animal Guide n'est pas notre identité mais plutôt une entité extérieur à nous même. Il souvent dur au début, pour les adeptes, de différencier Animal Guide et thérianthropie.
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(logo de la therianthropie)
En espérant vous avoir guidé ou faire découvrir de nouvelles choses. N’hésitez pas si vous avez des questions ou commentaires à faire à ce sujet !
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larouelunaire · 5 years
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Bienvenue dans mon espace imaginaire et spirituel.
Vous voulez en savoir un peu plus sur moi? Alors les curieux seront comblés.
Les présentations
Je m'appelle Wynn, 26 ans maintenant et habite à Québec City.
La magie a toujours fait partie de ma vie. Ma mère, ma grand-mère et ma tante tirent les cartes de tarot depuis bien longtemps. J'aimais beaucoup rester proche lorsque les gens venaient voir ma mère pour un tirage pour entendre leur conversation. Je ne vous parle même pas de la beauté des cartes qu'elle utilisait.
Ma mère, cet être merveilleux
L'amour et la passion pour la spiritualité me viennent directement de ma chère maman. Pour moi c'était normal de voir une boule de cristal dans sa chambre. Normal de voir des gens venir la consulter pour un tirage de tarot ou un soin énergétique de Reiki. Normal de la voir avec un pendule ou lire les lignes de la main. Normal de la voir méditer et focaliser son attention et son énergie sur la flamme d'une bougie. Normal de lui parler des rêves que je faisais et de rechercher la signification dans ses livres. Normal d'entendre des superstitions à la maison. Normal de sentir l'encens chez moi et de trouver cela réconfortant. Tout était totalement normal. Comme le fait de savoir profondément que c'était ma voie, à moi aussi.
Magie blanche
L'été de mes 11 ans, j'ai eu la chance de mettre la main sur mon premier livre de magie blanche. C'était magique, j'ai dévoré ce petit livre tout maigre en une nuit. Le lendemain, j'étais transformée. Ce petit bouquin avait fait naître en moi une petite flamme, mais je cherchais encore ma voie. Il me manquait un petit quelque chose. Une pièce du puzzle. Quelque chose en moi me disait que c'était un mystère qui viendrait de lui-même, comme la lune qui me passionnait tant. Elle qui revenait sans cesse vers moi comme une amie fidèle au poste.
St-Jean-Baptiste
Une soir d'été de St-Jean-Baptiste, j'étais chez mon petit ami de l'époque. Je devais avoir 13-14 ans. Au cours d'une discussion entre amis, quelqu'un avait lâché l'information que le grand frère de mon amoureux faisait partie d'un groupe de personnes pratiquant la magie. Un peu plus tard dans la soirée, je suis donc allée m'informer auprès de son grand frère. Et c'est en cette soirée j'ai entendu parler pour la première fois de la Wicca.
Il faisait partie d'un coven. Dès qu'il m'a parlé des principes de base de la Wicca et des deux divinités j'ai eu le sentiment d'éclore enfin. Ce soir-là, je suis allée marcher au clair de lune et je me suis assise dans le gazon au milieu du champs et j'ai regardé la Grande-Dame. C'était donc cela que tu me cachais petite cachottière ! Elle et moi savions combien de fois et combien de temps j'avais passé à la regarder et imaginer tout plein de choses toutes aussi sublimes les unes que les autres. J'avais enfin trouvé ma voie.
Québec
Pour être honnête, depuis cette fameuse soirée de révélation, je n'ai fait que des recherches et amasser mes outils. Je n'ai jamais pratiqué seule. J'avais trop peur de faire une erreur. Malgré tout, un mois avant ma fête de mes 18 ans, je me suis créée un dessin qui, pour moi, représentait la Wicca dans sa plus simple expression. J'en ai fait une promesse, un tatouage, un gage d'engagement envers moi-même et envers cette spiritualité qui me correspondait tellement bien et qui depuis, me définit comme personne et être humain sur cette terre.
À mes 18 ans je suis partie pour Québec. Quittant famille et amis pour mes études. C'est en cette belle ville que je suis tombe sous le charme, ou j'ai rencontrée mon maître spirituel. Une femme pleine de bonne volonté, au vouloir d'apprendre et d'initier les personnes comme moi à la Wicca. J'ai eu la chance de la rencontrer directement chez elle via la page Wicca_Québec sur facebook. J'ai fait quelques activités avec elle avant de la perdre de vue dans le brouhaha de mes études. J'avais donc laissé de côté cette partie de moi.
Noviciat Wicca
Quelques mois après la fin de mon obtention pour mon deuxième diplôme en dessin technique, j'ai eu envie de retrouver la magie. J'ai donc recontacter cette femme merveilleuse pour lui proposer une idée. Je lui ai demandé si elle avait envie de prendre sous son aile plusieurs personnes comme moi, débutant en Wicca, pour une formation d'un an. Elle a répondu à l'appel et était très enthousiaste à l'idée. C'est ainsi que le premier groupe de Noviciat Wicca a débuté. Toutes les rencontres ont lieu chez moi dans mon sous-sol.
La Roue Lunaire
À partir de ce moment, j'ai eu envie de partir un blog. Pour des gens comme moi, débutant en la matière et qui, à travers mes articles, découvrirais la Wicca en même temps que moi. Je vous laisse donc le loisir à travers du blog pour en apprendre plus sur la Wicca, la magie, la spiritualité, la divination, etc.
Au plaisir,
Wynn
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