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#d'entre els morts
assimerahollywood · 23 days
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Filmes: Um Corpo Que Cai (1958)
James Stewart, Kim Novak e Alfred Hitchcock na estreia de Um Corpo que Cai.
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Um Corpo Que Cai (Vertigo), a obra-prima de Hitchcock, baseado na novela D'entre les morts (1954), de Pierre Boileau e Thomas Narcejac e considerado um dos maiores e mais influentes filmes já realizados, fez sua estreia em San Francisco no dia de hoje, 9 de maio, em 1958.
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Alfred Hitchcock com James Stewart e Kim Novak no set de Um Corpo Que Cai.
No mesmo ano em que Um Corpo Que Cai foi lançado, James Stewart e Kim Novak estrelaram também a comédia romântica Sortilégio de Amor (Book, Bell and Candle). Apesar da grande diferença de idade, ele tinha 50 anos e ela 24, Kim certa vez afirmou que Jimmy era seu protagonista preferido de todos com quem trabalhou.
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Kim Novak e James Stewart no set de filmagem de Um Corpo que Cai.
Um dos problemas de Alfred Hitchcock durante a produção do filme foi convencer a atriz Kim Novak a usar o conjunto cinza, que ela odiava. Hitch planejou todos os detalhes da produção e o filme revela muitas das suas idiossincrasias.
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Kim Novak com o roteiro de Um Corpo que Cai, e em suas duas encarnações no filme de Alfred Hitchcock: Madeleine Elster e Judy Barton.
Após perder Grace Kelly, que em 1956 abandonou Hollywood para se casar com o príncipe Rainier de Mônaco, uma das obsessões de Hitchcock era encontrar a heroína ideal para substituir a atrz em seus filmes seguintes.
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De cima para baixo:
Doris Day: O Homem Que Sabia Demais, 1956 Kim Novak: Um Corpo Que Cai, 1958 Eva Marie Saint: Intriga Internacional, 1959 Tippi Hendren: Marnie, Confissões de Uma Ladra, 1964
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baelerionn · 1 year
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Killian Grimsbane
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La famille Grimsbane est depuis bien longtemps connue à travers tout le monde magique. Pour de bonnes ou mauvaises raisons, ça, c'était à l'appréciation de chacun. Parler de chacun des membres de la grande famille serait aussi longue qu'interminable, mais il faudrait bien s'intéresser à quelques membres pour bien comprendre qui est la prestigieuse famille Grimsbane. Commençons par le commencement, du moins, là où le prestige commençait réellement à se répendre, avec l'union entre Draigh Grimsbane, une entité sombre et inquiétande, avec la jeune sorcière française du nom d'Ellenwell. Les deux, malgré les différences flagrantes, tombaient éperdument amoureux après une rencontre impromptue lors d'un diner. Rapidement, Draigh demanda la main d'Ellenwell à son père, qu'il accepta rapidement, et les deux tourtereaux déménagèrent dans le manoir secondaire des Grimsbane, pendant un moment. Ils étaient très heureux, complètement amoureux et le sombre Serpentard devenait de plus en plus gris face à la careté qu'était Ellenwell. Ils eurent en tout, huit enfants. Une fille, cinq garçons, puis deux autres filles. Lorsqu'Ellenwell était enceinte de son avant-dernier enfant, les Grimsbane déménagèrent enfin dans le manoir principal, alors que la santé de la mère de Draight se déclinait rapidement. Et puis, les ténèbres envahissaient cette famille. Beaucoup de rumeurs tournaient autour de l'accident tragique d'Ellenwell, qui s'était elle-même noyée dans le lac du manoir, quelques jours après la mort de la maratre. Draight était seul, avec sa noirceur, qu'il partageait alors avec ses enfants. Se concentrant maintenant sur le père de Killian, celui-ci s'appelle Daegal, et n'avait jamais rien fait de travers, jusqu'au jour où le surprit en train de fricoter avec un garçon, ce petit Poufsouffle fut rapidement réprimander par son père et, ne voulant pas amener de la honte à sa famille, l'envoya à Koldovstoretz, l'école de magie russe bien plus stricte que Poudlard. Pas de chance pour Draigh, Daegal rencontra son futur mari là-bas, et après des années de bagarres et autres hurlements dans le manoir, Draigh avait fini par s'apaiser. Enfin, Andrei n'avait pas beaucoup d'estime dans les yeux de Draigh, mais celui-ci aimait ses enfants, à sa façon, alors il accordait cet "écart". Grâce à la magie moderne, Daegal et son mari réussirent à avoir deux enfants: Killian et Tiordan. Killian était un petit garçon perturbateur, arrogant, violent presque, et Draigh avait trouvé un petit-enfant qui lui ressemblait; sombre, piquant. Et Killian, face à son grand-père, il était admiratif de celui-ci, il l'idolâtrait. Et puis, sa tante succombait à la prétendue malédiction du manoir, se noyant également dans le lac, et Draigh devint encore plus sombre. A Sigonia, la prestigieuse école de magie, Killian est Gisarme, et Tiordan, lui, a contrario d'être apprécié à sa juste valeur par son grand-père, est une des deux perles de l'école. Et puis, les tensions montaient, Killian remarquait et réalisait de plus en plus que son grand-père adoré n'était pas un idole, jusqu'au jour où, les Grimsbane disparaissaient tous pendant quelques jours, et certains ne revenaient pas, dont Tiordan. Et Killian ? Killian n'était plus ele mme, il était stoic, d'une neutralité angoissante. Et toujours en train d'emboiter le pas de son grand-père, suivant ses gestes, ses directions, devenant Auror. Que s'était-il passé? Personne le savait réellement. A moins que vous, vous ne soyez assez téméraires pour toquer à la porte des Grimsbane.
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La famille Grimsbane avait toujours eu les mêmes traits physiques, très caractéristiques de leur lignée; une peau laiteuse, des cheveux ébènes, très foncés, une silhouette assez fine, assez menue, une machoire ciselée et un regard profond. Les huit enfants de Draigh et Ellenwelll étaient des copies confromes de ces petites "règles", et la plupart des petits-enfants avaient gardé ces gènes dominants. A l'exception de cinq d'entre eux, les trois filles de Derwin, le fils aîné de la famille, Augusta, Anita et Adele, sont toutes les trois blondes, bien que la chevelure d'Anita ressemble plus à des cendres déposées sur sa couleur, et Adele les colorait constamment de couleur plus foncée. Et les frères, KIllian et Tiordan. Les deux jeunes hommes étaient de réelles petites têtes blondes, Tiordan bien pire que Killian, qui avait des reflets ambrés dans ses cheveux. Leur petite frimousse était recouverte de tâches de rousseurs. Killian a donc toutes les caractéristiques d'un Grimsbane, à l'exception de la couleur de ses cheveux, mais son aura ratrappait bien cela. Il était un Grimsbane dans l'âme, c'était une obligation. Les personnes, qui ne sont plus très nombreuses avec le temps, qui avaient eu la chance de rencontrer Killian lorsqu'il était un peu plus vieux et mature, après sa période très violente et chaotique, ne pouvaient pas s'empêcher d'exprimer la ressemblance qu'avait ce jeune homme avec son grand-père. Il avait le regard de son grand-père, ses manières aussi, de respirer, de manipuler, de marcher, de rentrer dans une pièce comme si elle la lui appartenait. C'était presque perturbant, lorsque les deux hommes se positionnaient côte à côté, bien que Killian était toujours légèrement en retrait par rapport à Draigh. La même expression, la même détermination, le même chaos, le même désir de pouvoir et vengeance. Pendant un moment, avant que le grand-père rappelait tout le monde à l'ordre, Killian clâmait haut et fort qu'il n'allait jamais devenir son grand-père, que son idole était motre à l'endroit où il avait appris la vérité. Et maintenant, le voici, merchant dans ses pas, s'inclinant presque face à lui. Sa tante était l'héritière, la fille aînée, Faith, mais Killian, Killian pour Draigh, était l'avenir.
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I'm scared, dad. Of what he is capable of, I'm scared of what he had done, what he's doing. I'm his prodigy, the sparkle in his eyes, but I can't hold on for long, I'll get him down. I'll stop him. Even if you don't like it, if you think i'm crazy for going after someone this big. I may be, but at least i'll try what no one would even dare to think about. I get to play him, i'm the one pulling the strings on him while he thinks he's pulling the strings on everyone. That's why I have to leave home and go to the Grimsbane manor, I need to carve him out from the inside. Yes, I swear, I won't go near that water. No one will drag me to the bottom of the lake, not like Grandmother, not like Aunt Cedonia.
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titou-nz · 1 year
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Vallée des Rois, Tombeau Ramsès 3 - Égypte
Vingtième dynastie
Le premier dirigeant de la dynastie, Sethnakht, s'est fait construire deux tombes et commence la construction d'une nouvelle sépulture pour son fils, Ramsès III, mais débouche sur un autre tombeau et l'abandonne. Il usurpe alors la tombe KV14, appartenant à Taousert, femme pharaon de la XIXe dynastie. Cette tombe comprend donc deux chambres funéraires, les dernières extensions en faisant l'une des plus longues de la vallée, avec plus de cent cinquante mètres.
Le tombeau de Ramsès III, KV11, est creusé initialement pour Sethnakht. Avec cent quatre-vingt-huit mètres, c'est le plus long de la vallée. Lors du creusement d'un corridor, les ouvriers rencontrent le couloir de la tombe KV10. La suite du corridor est creusé avec un axe décalé. Les couleurs du décor sont bien préservées dans certaines chambres mais ont subi de nombreux dégâts dans d'autres à cause des inondations.
Les successeurs et descendants de Ramsès III construisent des tombeaux ayant un axe rectiligne et décorés de manière identique, en particulier, KV2, sépulture de Ramsès IV. Ouverte depuis l'antiquité, elle contient une grande quantité de graffitis en écriture hiératique. La tombe est relativement intacte, et contient des scènes de plusieurs textes religieux.
Le tombeau conjoint de Ramsès V et Ramsès VI, KV9, connu aussi sous le nom de Tomb of Memnon ou La Tombe de la Métempsychose est décoré de gravures en relief illustrant des scènes des textes religieux. Ouvert depuis l'antiquité, il contient un millier de graffitis en grec ancien, en latin et en copte.La tombe de Ramsès IX, KV6, est ouverte depuis l'antiquité, ainsi qu'en attestent les graffitis laissés sur les murs par les visiteurs romains et coptes. Elle s'étend sous la colline sur une longueur de 105 mètres et comprend des chambres latérales dont le décor n'a pas été terminé. L'état incomplet du creusement et de la décoration (seulement la moitié du couloir est décorée) indique que la tombe n'était pas finie au moment de la mort de Ramsès. La salle aux piliers donne accès à la chambre funéraire. Autre sépulture notable de cette dynastie, KV19, appartenant à Montouherkhépeshef, fils de Ramsès IX. Il s'agit d'une petite tombe très simple, réduite à un couloir dont le creusement a été abandonné, mais dont la décoration est complète.
Déclin de la nécropole
À la fin du Nouvel Empire, l'Égypte entre dans une longue période de déclin économique et politique. Les prêtres de Thèbes acquièrent plus de pouvoir et administrent efficacement la Haute-Égypte, tandis que les rois de Tanis contrôlent la Basse-Égypte. Des tentatives sont faites pour utiliser les tombes ouvertes à partir de la XXIe dynastie. Ainsi, le Grand prêtre d'Amon, Pinedjem Ier ajoute son cartouche dans KV4
Les tombeaux de la vallée commencent à être largement pillés. Aussi, les prêtres d'Amon ouvrent la plupart des tombes et regroupent les momies dans des sépultures afin de mieux les protéger des voleurs. Beaucoup d'entre elles sont déplacées dans une cache proche de Deir el-Bahari, TT320, tombe initialement prévue pour Pinedjem Ier. Localisée dans une anfractuosité de la falaise dominant le temple d'Hatchepsout, elle abrite plus de cinquante momies.
D'autres momies sont déplacées dans KV35, tombe d'Amenhotep II, où une douzaine d'entre elles, certaines royales, ont été ultérieurement localisées.
À la fin de la Troisième Période intermédiaire et dans les périodes ultérieures, des sépultures usurpent de nombreuses tombes ouvertes. Pendant la période copte, certaines tombes sont utilisées comme église, étables et quelquefois habitations.
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ouyander · 1 year
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Lieu il y a peu relativement inconnu des médias, la Ghouta est devenue depuis trois semaines le symbole des horreurs de la guerre syrienne. Poche de rébellion à dominante islamiste aux portes de la capitale, elle est depuis la mi-février l'objet d'une reconquête par l'armée de Damas avec son allié russe. Plus de 900 civils y ont péri dans les dernières semaines. Qu'est-ce que la Ghouta ? Le mot signifie « Oasis », en arabe. En Syrie, il désigne traditionnellement les terres cultivées qui entourent Damas, son verger ou poumon vert, là où les habitant venaient pique-niquer avant la guerre civile. [caption id="attachment_5529" align="aligncenter" width="968"] Carte de la Ghouta[/caption] La zone où se déroulent actuellement combats et bombardements meurtriers est la Ghouta orientale, une centaine de kilomètres carrés juste à l'Est de Damas, non loin de son centre-ville. La distance, pour prendre une comparaison française, qui sépare Saint-Denis du cœur de Paris. Elle est l'un des premiers territoires dont la rébellion s'est rendue maître. C'est aussi l'un des derniers qu'elle détient encore partiellement, sur laquelle Damas et son allié russe ont lancé une offensive à la mi-février. Un bastion de la rébellion armée Dès le début de l'insurrection armée qui se développe à partir du milieu de l'année 2011, cette proche banlieue de 400 000 habitants — où les islamistes sont traditionnellement bien implantés — devient un fief de la rébellion. Sa composante dominante est alors l'ASL (Armée syrienne libre), soutenue par les occidentaux. [caption id="attachment_5530" align="alignright" width="300"] Une image de Damas, en juillet 2012, peu après un attentat[/caption] Dès 2012 ont lieu d'importants et sanglants combats à Damas et dans son agglomération. Le régime, encerclé dans sa capitale et isolé internationalement, sous la menace d'une intervention occidentale officiellement justifiée par son utillisation présumée d'armes chimiques, semble à plusieurs reprises sur le point de tomber. Avec l'aide de ses alliés russes, iraniens, du Hezbollah libanais et l'emploi de bombardements meurtriers, il parvient contre la plupart des pronostics à reprendre progressivement le contrôle de la capitale et la plus grande partie de ses abords. Mais non la Ghouta orientale, qui reste entre les mains des insurgés et résiste depuis 2013 à de multiples assauts. Ses habitants, encore de l'ordre de 300 à 400 000, y sont, pour la grande majorité, pris au piège. Radicalisations Comme dans toute la Syrie , la résistance laïque ou démocrate y a perdu progressivement son hégémonie à la faveur du durcissement du conflit, au profit de groupes armés islamiques. Le plus important d'entre eux : Jaïch al-Islam (Armée de l'islam), d'inspiration salafiste, parrainé par l'Arabie Saoudite. Un groupe fondé et dirigé — jusqu'à sa mort, fin 2015, dans un bombardement — par une forte personnalité : Zahran Allouche. Celui-ci tient à distance Daech, mais ses propres préférence sont proches de celles d'Al Qaida, en faveur d'une théocratie régie par la charia et débarrassée des « saletés » chiites et alaouites (minorité religieuse dont est issu Bachar el-Assad). [caption id="attachment_5531" align="alignleft" width="300"] Cette photo est transmise le 25 février 2018 par l'Armée de l'Islam. Elle déclare montrer un tir d'artillerie des siens dans la région de Daraa. Les images de rebelles en action sont rares et les journalistes ont rarement accès aux théâtres d'affrontements.[/caption] Jaïch al-Islam combat militairement les groupes concurrents et de multiples disparitions de personnalités de l'opposition non salafiste sont imputées à Zahran Allouche. En 2015, il utilise comme boucliers humains des prisonniers alaouites exhibés dans des cages. Des observateurs évaluent les effectifs actuels de Jaïch al-Islam à près de 10 000 hommes dans la Ghouta orientale. Elle dispose d'armements lourds. L'autre force importante de la rébellion dans la zone se nomme Faylaq Al-Rahmane (Légion du Miséricordieux).
Toujours formellement affiliée à l'ASL, parrainée par la Turquie et le Qatar, elle est proche des Frères musulmans mais plus modérée que les salafistes. Elle s'était violemment heurtée en 2016 à Jaïsh al-Islam ; les combats entre eux avaient alors fait plus de 300 morts avant la conclusion d'un cessez-le-feu. L'Agence France-Presse attribue aujourd'hui à Faylaq Al-Rahmane, dirigée par un ancien officier de l'armée syrienne, près de 8000 combattants. Le géographe Fabrice Balanche estime plutôt son effectif à 3000 hommes. D'autres groupes combattants salafistes — sinon djihadistes — de moindre importance subsistent dans la Ghouta orientale. Parmi eux, Ahrar al-Cham (Mouvement des hommes libres du Cham, nom antique de la Syrie), surtout présent à Douma. Encore 10 à 20 000 combattants dans l'ensemble de la Syrie, malgré de lourdes pertes. Classé comme organisation terroriste par plusieurs pays dont la Russie. A ne pas confondre avec Tahrir al-Cham (Organisation de libération du Cham), issue de l'ex- Front al-Nosra, affilié à al-Qaida et également présente dans la Ghouta. Naguère influente, Daech semble en revanche ne plus y peser. Le fait que plusieurs belligérants soient classés « terroristes » (par la Russie ou des pays occidentaux) permet accessoirement la poursuite locale d'opérations militaires malgré les accords de paix parrainés par Moscou, les groupes ainsi qualifiés en étant exclus. Les Russes, dans l'autre camp, sont très actifs dans cette phase aux côtés de Damas . Ni les Iraniens, autres soutiens du régime, ni le Hezbollah libanais, présents dans d'autres théâtres, n'y participent. Les victimes La grande majorité des victimes de la guerre civile, on s'en doute, n'appartiennent à nulle organisation, et même à nul camp. Selon l'organisation non-gouvernementale OSDH (Observatoire syrien des droits de l'homme), plus de 900 civils dont près de 200 enfants ont été tués dans la Ghouta depuis le 18 février dernier, par bombardements ou tirs d'artillerie. Plusieurs médias dont l'AFP (Agence France-presse, présente sur place) rapporte le largage par avions de barils d'explosifs, procédé souvent employé dans le passé par les forces du régime. L'emploi — depuis le 18 février et à différentes reprises — de gaz de chlore est allégué par plusieurs sources humanitaires. Pour sa part, l'OSDH indique prudemment que « 18 cas de suffocation et de difficultés respiratoires ont été recensés à Hammouriyé après le lancement d'une roquette par un avion militaire sur cette localité », sans préciser l'origine de ces malaises. Ce recours à des armes chimiques est formellement démenti par Damas et la Russie. Paris et Washington n'ont pas exprimé de certitudes sur ces accusations mais menacent d'intervenir si elles s'avéraient fondées. [caption id="attachment_5532" align="alignright" width="300"] Photo transmise par la rébellion syrienne montrant une famille de la Ghouta repliée dans un abri[/caption] Des trêves sont supposées permettre l'évacuation des civils et même — selon une dernière proposition russe, de combattants assurés d'un sauf-conduit — mais elle ne sont que partiellement respectées. Les organisations rebelles, en outre, s'opposent à l'évacuation des populations, voyant en elles à la fois un bouclier — relatif — et, dans leur sort public, un instrument pour discréditer internationalement le régime. « Nous rejetons catégoriquement toute initiative qui prévoit la sortie des habitants de leur maison et leur transfert vers n'importe quel autre endroit », ont écrit les groupes rebelles dans une lettre ouverte adressée au secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres. Combats Outre la défense de leur bastion, les rebelles lancent régulièrement sur Damas depuis la Ghouta des obus et roquettes, provoquant dégâts matériels et pertes humaines civiles. Sans aviation, leurs moyens et puissance de feu restent cependant sans commune mesure avec celle des forces pro-régime. Ces dernières progressent aujourd'hui régulièrement dans la
Ghouta, assez lentement toutefois si l'on considère les faibles distances et l’exiguïté du territoire disputé. Elles en ont cependant repris aujourd'hui plus de la moitié, notamment après avoir reconquis deux localités dans le centre du bastion des insurgés. Les décomptes de l'OSDH indiquent plus de pertes de combattants du côté des forces loyalistes que de celles de la rébellion, indicateur de l’âpreté de l'affrontement. 700 soldats pro-régime supplémentaires sont en cours de déploiement. Guerre des mots, guerre des images [caption id="attachment_5533" align="aligncenter" width="968"] Photo transmise par la défense civile syrienne ("Casques blancs") montrant une victime de bombardement dans la Ghouta après un raid aérien.[/caption] Dès le 21 février, le Secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres qualifiait la Ghouta d'« enfer sur terre ». Le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme, le prince Zeid Ra'ad Zeid Al-Hussein, a pour sa part accusé le régime de planifier « l'apocalypse ». Angela Merkel parle de « massacre » et d' « événements effroyables », Donald Trump et Theresa May de « souffrance humaine déchirante ». Des mots irrécusables, au regard du calvaire des populations civiles, mais qui auraient pu être employés tout au long de la guerre civile syrienne qui a causé en sept années, selon l'OSDH, près d'un demi-million de morts et disparus. Plus de quatre-cents fois la tuerie de la Ghouta du dernier mois, et dont la mort n'a pas été plus douce. Comme le siège d'Alep, celui de la Ghouta fait l'objet d'un retentissement international singulier en occident, qui ne tient pas seulement au nombre des victimes mais aussi à la proximité de la capitale, la présence d'organisation humanitaires, de médias. Et aussi, tacitement, à la nature des attaquants considérés comme assaillants particulièrement cruels : Damas et son allié russe, l'un et l'autre implicitement plus condamnables que leurs ennemis rebelles, dont les photos en action sont par ailleurs rarissimes. [caption id="attachment_5534" align="alignleft" width="300"] Image transmise par l'agence officielle syrienne SANA montrant, selon son descriptif, un blindé des forces loyalistes au combat dans la Ghouta.[/caption] L'autre camp — partisans d'Hafez el-Assad mais plus généralement une partie de la population syrienne, l'Iran, le monde chiite, la Russie … — raisonne à l'inverse selon une autre vision, et d'autres arguments. Après sept ans d'une guerre qui a dévasté le pays, le régime légal de Damas — qu'on l'aime ou non — est légitime à ses yeux pour reconquérir par la force un territoire occupé par des faction armées qualifiées de « terroristes », de surcroît aux portes immédiates de la capitale. Le prix est lourd pour les populations civiles, mais les rebelles, selon cette appréciation, en sont une nouvelle fois la cause. La libération de Raqa (ex-capitale de l’État islamique en Syrie), rendue possible par les bombardements intensifs de la coalition, a causé des milliers de victimes dont une forte proportion de civils. De façon plus actuelle, font valoir les amis de Damas mais aussi d'autres voix, les bombardements de ces dernières semaines, dans le nord de la Syrie, des cantons arabo-kurdes d'Afrin par l'armée turque ont tué, selon l'OSDH, des centaines de combattants et 171 civils, sans causer d'émoi particulier dans les chancelleries occidentales ni beaucoup d'intérêt médiatique. Et au ministre des Affaires étrangères français Jean-Yves Le Drian venu à Téhéran cette semaine pour — entre autres — lui demander une intervention « vigoureuse » auprès de Bachar el-Assad, le président de la République d'Iran Hassan Rohani n'a eu qu'une réponse, qui aurait aussi pu être celle de Vladimir Poutine : il n'y a pour régler la crise syrienne « aucun autre moyen que de renforcer le gouvernement central à Damas ».
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naantokhi · 1 year
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Lieu il y a peu relativement inconnu des médias, la Ghouta est devenue depuis trois semaines le symbole des horreurs de la guerre syrienne. Poche de rébellion à dominante islamiste aux portes de la capitale, elle est depuis la mi-février l'objet d'une reconquête par l'armée de Damas avec son allié russe. Plus de 900 civils y ont péri dans les dernières semaines. Qu'est-ce que la Ghouta ? Le mot signifie « Oasis », en arabe. En Syrie, il désigne traditionnellement les terres cultivées qui entourent Damas, son verger ou poumon vert, là où les habitant venaient pique-niquer avant la guerre civile. [caption id="attachment_5529" align="aligncenter" width="968"] Carte de la Ghouta[/caption] La zone où se déroulent actuellement combats et bombardements meurtriers est la Ghouta orientale, une centaine de kilomètres carrés juste à l'Est de Damas, non loin de son centre-ville. La distance, pour prendre une comparaison française, qui sépare Saint-Denis du cœur de Paris. Elle est l'un des premiers territoires dont la rébellion s'est rendue maître. C'est aussi l'un des derniers qu'elle détient encore partiellement, sur laquelle Damas et son allié russe ont lancé une offensive à la mi-février. Un bastion de la rébellion armée Dès le début de l'insurrection armée qui se développe à partir du milieu de l'année 2011, cette proche banlieue de 400 000 habitants — où les islamistes sont traditionnellement bien implantés — devient un fief de la rébellion. Sa composante dominante est alors l'ASL (Armée syrienne libre), soutenue par les occidentaux. [caption id="attachment_5530" align="alignright" width="300"] Une image de Damas, en juillet 2012, peu après un attentat[/caption] Dès 2012 ont lieu d'importants et sanglants combats à Damas et dans son agglomération. Le régime, encerclé dans sa capitale et isolé internationalement, sous la menace d'une intervention occidentale officiellement justifiée par son utillisation présumée d'armes chimiques, semble à plusieurs reprises sur le point de tomber. Avec l'aide de ses alliés russes, iraniens, du Hezbollah libanais et l'emploi de bombardements meurtriers, il parvient contre la plupart des pronostics à reprendre progressivement le contrôle de la capitale et la plus grande partie de ses abords. Mais non la Ghouta orientale, qui reste entre les mains des insurgés et résiste depuis 2013 à de multiples assauts. Ses habitants, encore de l'ordre de 300 à 400 000, y sont, pour la grande majorité, pris au piège. Radicalisations Comme dans toute la Syrie , la résistance laïque ou démocrate y a perdu progressivement son hégémonie à la faveur du durcissement du conflit, au profit de groupes armés islamiques. Le plus important d'entre eux : Jaïch al-Islam (Armée de l'islam), d'inspiration salafiste, parrainé par l'Arabie Saoudite. Un groupe fondé et dirigé — jusqu'à sa mort, fin 2015, dans un bombardement — par une forte personnalité : Zahran Allouche. Celui-ci tient à distance Daech, mais ses propres préférence sont proches de celles d'Al Qaida, en faveur d'une théocratie régie par la charia et débarrassée des « saletés » chiites et alaouites (minorité religieuse dont est issu Bachar el-Assad). [caption id="attachment_5531" align="alignleft" width="300"] Cette photo est transmise le 25 février 2018 par l'Armée de l'Islam. Elle déclare montrer un tir d'artillerie des siens dans la région de Daraa. Les images de rebelles en action sont rares et les journalistes ont rarement accès aux théâtres d'affrontements.[/caption] Jaïch al-Islam combat militairement les groupes concurrents et de multiples disparitions de personnalités de l'opposition non salafiste sont imputées à Zahran Allouche. En 2015, il utilise comme boucliers humains des prisonniers alaouites exhibés dans des cages. Des observateurs évaluent les effectifs actuels de Jaïch al-Islam à près de 10 000 hommes dans la Ghouta orientale. Elle dispose d'armements lourds. L'autre force importante de la rébellion dans la zone se nomme Faylaq Al-Rahmane (Légion du Miséricordieux).
Toujours formellement affiliée à l'ASL, parrainée par la Turquie et le Qatar, elle est proche des Frères musulmans mais plus modérée que les salafistes. Elle s'était violemment heurtée en 2016 à Jaïsh al-Islam ; les combats entre eux avaient alors fait plus de 300 morts avant la conclusion d'un cessez-le-feu. L'Agence France-Presse attribue aujourd'hui à Faylaq Al-Rahmane, dirigée par un ancien officier de l'armée syrienne, près de 8000 combattants. Le géographe Fabrice Balanche estime plutôt son effectif à 3000 hommes. D'autres groupes combattants salafistes — sinon djihadistes — de moindre importance subsistent dans la Ghouta orientale. Parmi eux, Ahrar al-Cham (Mouvement des hommes libres du Cham, nom antique de la Syrie), surtout présent à Douma. Encore 10 à 20 000 combattants dans l'ensemble de la Syrie, malgré de lourdes pertes. Classé comme organisation terroriste par plusieurs pays dont la Russie. A ne pas confondre avec Tahrir al-Cham (Organisation de libération du Cham), issue de l'ex- Front al-Nosra, affilié à al-Qaida et également présente dans la Ghouta. Naguère influente, Daech semble en revanche ne plus y peser. Le fait que plusieurs belligérants soient classés « terroristes » (par la Russie ou des pays occidentaux) permet accessoirement la poursuite locale d'opérations militaires malgré les accords de paix parrainés par Moscou, les groupes ainsi qualifiés en étant exclus. Les Russes, dans l'autre camp, sont très actifs dans cette phase aux côtés de Damas . Ni les Iraniens, autres soutiens du régime, ni le Hezbollah libanais, présents dans d'autres théâtres, n'y participent. Les victimes La grande majorité des victimes de la guerre civile, on s'en doute, n'appartiennent à nulle organisation, et même à nul camp. Selon l'organisation non-gouvernementale OSDH (Observatoire syrien des droits de l'homme), plus de 900 civils dont près de 200 enfants ont été tués dans la Ghouta depuis le 18 février dernier, par bombardements ou tirs d'artillerie. Plusieurs médias dont l'AFP (Agence France-presse, présente sur place) rapporte le largage par avions de barils d'explosifs, procédé souvent employé dans le passé par les forces du régime. L'emploi — depuis le 18 février et à différentes reprises — de gaz de chlore est allégué par plusieurs sources humanitaires. Pour sa part, l'OSDH indique prudemment que « 18 cas de suffocation et de difficultés respiratoires ont été recensés à Hammouriyé après le lancement d'une roquette par un avion militaire sur cette localité », sans préciser l'origine de ces malaises. Ce recours à des armes chimiques est formellement démenti par Damas et la Russie. Paris et Washington n'ont pas exprimé de certitudes sur ces accusations mais menacent d'intervenir si elles s'avéraient fondées. [caption id="attachment_5532" align="alignright" width="300"] Photo transmise par la rébellion syrienne montrant une famille de la Ghouta repliée dans un abri[/caption] Des trêves sont supposées permettre l'évacuation des civils et même — selon une dernière proposition russe, de combattants assurés d'un sauf-conduit — mais elle ne sont que partiellement respectées. Les organisations rebelles, en outre, s'opposent à l'évacuation des populations, voyant en elles à la fois un bouclier — relatif — et, dans leur sort public, un instrument pour discréditer internationalement le régime. « Nous rejetons catégoriquement toute initiative qui prévoit la sortie des habitants de leur maison et leur transfert vers n'importe quel autre endroit », ont écrit les groupes rebelles dans une lettre ouverte adressée au secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres. Combats Outre la défense de leur bastion, les rebelles lancent régulièrement sur Damas depuis la Ghouta des obus et roquettes, provoquant dégâts matériels et pertes humaines civiles. Sans aviation, leurs moyens et puissance de feu restent cependant sans commune mesure avec celle des forces pro-régime. Ces dernières progressent aujourd'hui régulièrement dans la
Ghouta, assez lentement toutefois si l'on considère les faibles distances et l’exiguïté du territoire disputé. Elles en ont cependant repris aujourd'hui plus de la moitié, notamment après avoir reconquis deux localités dans le centre du bastion des insurgés. Les décomptes de l'OSDH indiquent plus de pertes de combattants du côté des forces loyalistes que de celles de la rébellion, indicateur de l’âpreté de l'affrontement. 700 soldats pro-régime supplémentaires sont en cours de déploiement. Guerre des mots, guerre des images [caption id="attachment_5533" align="aligncenter" width="968"] Photo transmise par la défense civile syrienne ("Casques blancs") montrant une victime de bombardement dans la Ghouta après un raid aérien.[/caption] Dès le 21 février, le Secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres qualifiait la Ghouta d'« enfer sur terre ». Le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme, le prince Zeid Ra'ad Zeid Al-Hussein, a pour sa part accusé le régime de planifier « l'apocalypse ». Angela Merkel parle de « massacre » et d' « événements effroyables », Donald Trump et Theresa May de « souffrance humaine déchirante ». Des mots irrécusables, au regard du calvaire des populations civiles, mais qui auraient pu être employés tout au long de la guerre civile syrienne qui a causé en sept années, selon l'OSDH, près d'un demi-million de morts et disparus. Plus de quatre-cents fois la tuerie de la Ghouta du dernier mois, et dont la mort n'a pas été plus douce. Comme le siège d'Alep, celui de la Ghouta fait l'objet d'un retentissement international singulier en occident, qui ne tient pas seulement au nombre des victimes mais aussi à la proximité de la capitale, la présence d'organisation humanitaires, de médias. Et aussi, tacitement, à la nature des attaquants considérés comme assaillants particulièrement cruels : Damas et son allié russe, l'un et l'autre implicitement plus condamnables que leurs ennemis rebelles, dont les photos en action sont par ailleurs rarissimes. [caption id="attachment_5534" align="alignleft" width="300"] Image transmise par l'agence officielle syrienne SANA montrant, selon son descriptif, un blindé des forces loyalistes au combat dans la Ghouta.[/caption] L'autre camp — partisans d'Hafez el-Assad mais plus généralement une partie de la population syrienne, l'Iran, le monde chiite, la Russie … — raisonne à l'inverse selon une autre vision, et d'autres arguments. Après sept ans d'une guerre qui a dévasté le pays, le régime légal de Damas — qu'on l'aime ou non — est légitime à ses yeux pour reconquérir par la force un territoire occupé par des faction armées qualifiées de « terroristes », de surcroît aux portes immédiates de la capitale. Le prix est lourd pour les populations civiles, mais les rebelles, selon cette appréciation, en sont une nouvelle fois la cause. La libération de Raqa (ex-capitale de l’État islamique en Syrie), rendue possible par les bombardements intensifs de la coalition, a causé des milliers de victimes dont une forte proportion de civils. De façon plus actuelle, font valoir les amis de Damas mais aussi d'autres voix, les bombardements de ces dernières semaines, dans le nord de la Syrie, des cantons arabo-kurdes d'Afrin par l'armée turque ont tué, selon l'OSDH, des centaines de combattants et 171 civils, sans causer d'émoi particulier dans les chancelleries occidentales ni beaucoup d'intérêt médiatique. Et au ministre des Affaires étrangères français Jean-Yves Le Drian venu à Téhéran cette semaine pour — entre autres — lui demander une intervention « vigoureuse » auprès de Bachar el-Assad, le président de la République d'Iran Hassan Rohani n'a eu qu'une réponse, qui aurait aussi pu être celle de Vladimir Poutine : il n'y a pour régler la crise syrienne « aucun autre moyen que de renforcer le gouvernement central à Damas ».
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katakaal · 1 year
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Lieu il y a peu relativement inconnu des médias, la Ghouta est devenue depuis trois semaines le symbole des horreurs de la guerre syrienne. Poche de rébellion à dominante islamiste aux portes de la capitale, elle est depuis la mi-février l'objet d'une reconquête par l'armée de Damas avec son allié russe. Plus de 900 civils y ont péri dans les dernières semaines. Qu'est-ce que la Ghouta ? Le mot signifie « Oasis », en arabe. En Syrie, il désigne traditionnellement les terres cultivées qui entourent Damas, son verger ou poumon vert, là où les habitant venaient pique-niquer avant la guerre civile. [caption id="attachment_5529" align="aligncenter" width="968"] Carte de la Ghouta[/caption] La zone où se déroulent actuellement combats et bombardements meurtriers est la Ghouta orientale, une centaine de kilomètres carrés juste à l'Est de Damas, non loin de son centre-ville. La distance, pour prendre une comparaison française, qui sépare Saint-Denis du cœur de Paris. Elle est l'un des premiers territoires dont la rébellion s'est rendue maître. C'est aussi l'un des derniers qu'elle détient encore partiellement, sur laquelle Damas et son allié russe ont lancé une offensive à la mi-février. Un bastion de la rébellion armée Dès le début de l'insurrection armée qui se développe à partir du milieu de l'année 2011, cette proche banlieue de 400 000 habitants — où les islamistes sont traditionnellement bien implantés — devient un fief de la rébellion. Sa composante dominante est alors l'ASL (Armée syrienne libre), soutenue par les occidentaux. [caption id="attachment_5530" align="alignright" width="300"] Une image de Damas, en juillet 2012, peu après un attentat[/caption] Dès 2012 ont lieu d'importants et sanglants combats à Damas et dans son agglomération. Le régime, encerclé dans sa capitale et isolé internationalement, sous la menace d'une intervention occidentale officiellement justifiée par son utillisation présumée d'armes chimiques, semble à plusieurs reprises sur le point de tomber. Avec l'aide de ses alliés russes, iraniens, du Hezbollah libanais et l'emploi de bombardements meurtriers, il parvient contre la plupart des pronostics à reprendre progressivement le contrôle de la capitale et la plus grande partie de ses abords. Mais non la Ghouta orientale, qui reste entre les mains des insurgés et résiste depuis 2013 à de multiples assauts. Ses habitants, encore de l'ordre de 300 à 400 000, y sont, pour la grande majorité, pris au piège. Radicalisations Comme dans toute la Syrie , la résistance laïque ou démocrate y a perdu progressivement son hégémonie à la faveur du durcissement du conflit, au profit de groupes armés islamiques. Le plus important d'entre eux : Jaïch al-Islam (Armée de l'islam), d'inspiration salafiste, parrainé par l'Arabie Saoudite. Un groupe fondé et dirigé — jusqu'à sa mort, fin 2015, dans un bombardement — par une forte personnalité : Zahran Allouche. Celui-ci tient à distance Daech, mais ses propres préférence sont proches de celles d'Al Qaida, en faveur d'une théocratie régie par la charia et débarrassée des « saletés » chiites et alaouites (minorité religieuse dont est issu Bachar el-Assad). [caption id="attachment_5531" align="alignleft" width="300"] Cette photo est transmise le 25 février 2018 par l'Armée de l'Islam. Elle déclare montrer un tir d'artillerie des siens dans la région de Daraa. Les images de rebelles en action sont rares et les journalistes ont rarement accès aux théâtres d'affrontements.[/caption] Jaïch al-Islam combat militairement les groupes concurrents et de multiples disparitions de personnalités de l'opposition non salafiste sont imputées à Zahran Allouche. En 2015, il utilise comme boucliers humains des prisonniers alaouites exhibés dans des cages. Des observateurs évaluent les effectifs actuels de Jaïch al-Islam à près de 10 000 hommes dans la Ghouta orientale. Elle dispose d'armements lourds. L'autre force importante de la rébellion dans la zone se nomme Faylaq Al-Rahmane (Légion du Miséricordieux).
Toujours formellement affiliée à l'ASL, parrainée par la Turquie et le Qatar, elle est proche des Frères musulmans mais plus modérée que les salafistes. Elle s'était violemment heurtée en 2016 à Jaïsh al-Islam ; les combats entre eux avaient alors fait plus de 300 morts avant la conclusion d'un cessez-le-feu. L'Agence France-Presse attribue aujourd'hui à Faylaq Al-Rahmane, dirigée par un ancien officier de l'armée syrienne, près de 8000 combattants. Le géographe Fabrice Balanche estime plutôt son effectif à 3000 hommes. D'autres groupes combattants salafistes — sinon djihadistes — de moindre importance subsistent dans la Ghouta orientale. Parmi eux, Ahrar al-Cham (Mouvement des hommes libres du Cham, nom antique de la Syrie), surtout présent à Douma. Encore 10 à 20 000 combattants dans l'ensemble de la Syrie, malgré de lourdes pertes. Classé comme organisation terroriste par plusieurs pays dont la Russie. A ne pas confondre avec Tahrir al-Cham (Organisation de libération du Cham), issue de l'ex- Front al-Nosra, affilié à al-Qaida et également présente dans la Ghouta. Naguère influente, Daech semble en revanche ne plus y peser. Le fait que plusieurs belligérants soient classés « terroristes » (par la Russie ou des pays occidentaux) permet accessoirement la poursuite locale d'opérations militaires malgré les accords de paix parrainés par Moscou, les groupes ainsi qualifiés en étant exclus. Les Russes, dans l'autre camp, sont très actifs dans cette phase aux côtés de Damas . Ni les Iraniens, autres soutiens du régime, ni le Hezbollah libanais, présents dans d'autres théâtres, n'y participent. Les victimes La grande majorité des victimes de la guerre civile, on s'en doute, n'appartiennent à nulle organisation, et même à nul camp. Selon l'organisation non-gouvernementale OSDH (Observatoire syrien des droits de l'homme), plus de 900 civils dont près de 200 enfants ont été tués dans la Ghouta depuis le 18 février dernier, par bombardements ou tirs d'artillerie. Plusieurs médias dont l'AFP (Agence France-presse, présente sur place) rapporte le largage par avions de barils d'explosifs, procédé souvent employé dans le passé par les forces du régime. L'emploi — depuis le 18 février et à différentes reprises — de gaz de chlore est allégué par plusieurs sources humanitaires. Pour sa part, l'OSDH indique prudemment que « 18 cas de suffocation et de difficultés respiratoires ont été recensés à Hammouriyé après le lancement d'une roquette par un avion militaire sur cette localité », sans préciser l'origine de ces malaises. Ce recours à des armes chimiques est formellement démenti par Damas et la Russie. Paris et Washington n'ont pas exprimé de certitudes sur ces accusations mais menacent d'intervenir si elles s'avéraient fondées. [caption id="attachment_5532" align="alignright" width="300"] Photo transmise par la rébellion syrienne montrant une famille de la Ghouta repliée dans un abri[/caption] Des trêves sont supposées permettre l'évacuation des civils et même — selon une dernière proposition russe, de combattants assurés d'un sauf-conduit — mais elle ne sont que partiellement respectées. Les organisations rebelles, en outre, s'opposent à l'évacuation des populations, voyant en elles à la fois un bouclier — relatif — et, dans leur sort public, un instrument pour discréditer internationalement le régime. « Nous rejetons catégoriquement toute initiative qui prévoit la sortie des habitants de leur maison et leur transfert vers n'importe quel autre endroit », ont écrit les groupes rebelles dans une lettre ouverte adressée au secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres. Combats Outre la défense de leur bastion, les rebelles lancent régulièrement sur Damas depuis la Ghouta des obus et roquettes, provoquant dégâts matériels et pertes humaines civiles. Sans aviation, leurs moyens et puissance de feu restent cependant sans commune mesure avec celle des forces pro-régime. Ces dernières progressent aujourd'hui régulièrement dans la
Ghouta, assez lentement toutefois si l'on considère les faibles distances et l’exiguïté du territoire disputé. Elles en ont cependant repris aujourd'hui plus de la moitié, notamment après avoir reconquis deux localités dans le centre du bastion des insurgés. Les décomptes de l'OSDH indiquent plus de pertes de combattants du côté des forces loyalistes que de celles de la rébellion, indicateur de l’âpreté de l'affrontement. 700 soldats pro-régime supplémentaires sont en cours de déploiement. Guerre des mots, guerre des images [caption id="attachment_5533" align="aligncenter" width="968"] Photo transmise par la défense civile syrienne ("Casques blancs") montrant une victime de bombardement dans la Ghouta après un raid aérien.[/caption] Dès le 21 février, le Secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres qualifiait la Ghouta d'« enfer sur terre ». Le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme, le prince Zeid Ra'ad Zeid Al-Hussein, a pour sa part accusé le régime de planifier « l'apocalypse ». Angela Merkel parle de « massacre » et d' « événements effroyables », Donald Trump et Theresa May de « souffrance humaine déchirante ». Des mots irrécusables, au regard du calvaire des populations civiles, mais qui auraient pu être employés tout au long de la guerre civile syrienne qui a causé en sept années, selon l'OSDH, près d'un demi-million de morts et disparus. Plus de quatre-cents fois la tuerie de la Ghouta du dernier mois, et dont la mort n'a pas été plus douce. Comme le siège d'Alep, celui de la Ghouta fait l'objet d'un retentissement international singulier en occident, qui ne tient pas seulement au nombre des victimes mais aussi à la proximité de la capitale, la présence d'organisation humanitaires, de médias. Et aussi, tacitement, à la nature des attaquants considérés comme assaillants particulièrement cruels : Damas et son allié russe, l'un et l'autre implicitement plus condamnables que leurs ennemis rebelles, dont les photos en action sont par ailleurs rarissimes. [caption id="attachment_5534" align="alignleft" width="300"] Image transmise par l'agence officielle syrienne SANA montrant, selon son descriptif, un blindé des forces loyalistes au combat dans la Ghouta.[/caption] L'autre camp — partisans d'Hafez el-Assad mais plus généralement une partie de la population syrienne, l'Iran, le monde chiite, la Russie … — raisonne à l'inverse selon une autre vision, et d'autres arguments. Après sept ans d'une guerre qui a dévasté le pays, le régime légal de Damas — qu'on l'aime ou non — est légitime à ses yeux pour reconquérir par la force un territoire occupé par des faction armées qualifiées de « terroristes », de surcroît aux portes immédiates de la capitale. Le prix est lourd pour les populations civiles, mais les rebelles, selon cette appréciation, en sont une nouvelle fois la cause. La libération de Raqa (ex-capitale de l’État islamique en Syrie), rendue possible par les bombardements intensifs de la coalition, a causé des milliers de victimes dont une forte proportion de civils. De façon plus actuelle, font valoir les amis de Damas mais aussi d'autres voix, les bombardements de ces dernières semaines, dans le nord de la Syrie, des cantons arabo-kurdes d'Afrin par l'armée turque ont tué, selon l'OSDH, des centaines de combattants et 171 civils, sans causer d'émoi particulier dans les chancelleries occidentales ni beaucoup d'intérêt médiatique. Et au ministre des Affaires étrangères français Jean-Yves Le Drian venu à Téhéran cette semaine pour — entre autres — lui demander une intervention « vigoureuse » auprès de Bachar el-Assad, le président de la République d'Iran Hassan Rohani n'a eu qu'une réponse, qui aurait aussi pu être celle de Vladimir Poutine : il n'y a pour régler la crise syrienne « aucun autre moyen que de renforcer le gouvernement central à Damas ».
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butterandcookiesand · 2 years
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Thank you to God (God) who always takes care of everyone and our daily life.  I pray that you will always take care of me.
I pray that God's word will always be delivered to many people in a peaceful life.
I pray that the preaching of Jesus Christ, who taught and practiced the word of God (God) with the help of God's holy spirit, will always be blessed.
[성경 聖經 :성서 聖書 : The Bible : Scripture:The Holy book ]
Ephesians chapter5  verse9‭, ‬verse14
(for the fruit of the Spirit is in all goodness and righteousness and truth;) Wherefore he saith, Awake thou that sleepest, and arise from the dead, and Christ shall give thee light.
(for the fruit of the light consists in all goodness, righteousness and truth) This is why it is said: “Wake up, sleeper, rise from the dead, and Christ will shine on you.”
♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡
感謝上帝(上帝),他總是照顧每個人和我們的日常生活。 我祈禱你永遠照顧我。
  我祈禱上帝的話語總是能在平安的生活中傳遞給許多人。
  我祈求耶穌基督在神的聖靈的幫助下教導和實踐神(神)的話語,他的傳道將永遠受到祝福。
[성경 聖經 :성서 聖書 : The Bible : Scripture:The Holy book ]
以弗所書 5章  9節  14 節  
光明總是結出良善、公義和真理的果子。 因為光能使一切顯明出來。因此有人說: 「沉睡的人啊,醒來吧! 從死人中起來吧, 基督要光照你了!」
光明所結的果子就是一切良善、公義、誠實。 所以主說: 你這睡着的人當醒過來, 從死裏復活! 基督就要光照你了。
光明所結的果子就是一切的良善、公義、誠實。 因為使一切顯露出來的就是光。所以有話說: 「你這睡著的人醒過來吧! 要從死人中復活, 基督要光照你了。」
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Merci à Dieu (Dieu) qui prend toujours soin de chacun et de notre quotidien.  Je prie pour que vous preniez toujours soin de moi.
Je prie pour que la parole de Dieu soit toujours transmise à de nombreuses personnes dans une vie paisible.
Je prie pour que la prédication de Jésus-Christ, qui a enseigné et pratiqué la parole de Dieu (Dieu) avec l'aide de l'esprit saint de Dieu, soit toujours bénie.
[성경 聖經 :성서 聖書 : La Bible : Ecriture:Le livre saint ]
Éphésiens chapitre 5  verset 9, verset 14
(car le fruit de l'Esprit est en toute bonté, justice et vérité);
(car le fruit de la lumière consiste en toute bonté, justice et vérité) C'est pourquoi il est dit : « Réveille-toi, dormeur, ressuscite d'entre les morts, et Christ brillera sur toi.
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Grazie a Dio (Dio) che si prende sempre cura di tutti e della nostra vita quotidiana.  Prego che ti prenderai sempre cura di me.
Prego che la parola di Dio sia sempre consegnata a molte persone in una vita pacifica.
Prego affinché la predicazione di Gesù Cristo, che insegnò e praticò la parola di Dio (Dio) con l'aiuto dello Spirito Santo di Dio, sia sempre benedetta.
[성경 聖經 :성서 聖書 : La Bibbia : Scrittura: Il libro sacro ]
Efesini capitolo5 versetto9,versetto14
(poiché il frutto dello Spirito è in ogni bontà, giustizia e verità;) Perciò egli dice: Svegliati, tu che dormi, e risorgi dai morti, e Cristo ti darà luce.
(poiché il frutto della luce consiste in ogni bene, rettitudine e verità) Per questo si dice: “Svegliati, dormiente, risorgi dai morti, e Cristo risplenderà su di te”.
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Gracias a Dios (Dios) que siempre cuida de todos y de nuestro día a día.  Rezo para que siempre me cuides.
Oro para que la palabra de Dios siempre sea entregada a muchas personas en una vida pacífica.
Ruego que la predicación de Jesucristo, quien enseñó y practicó la palabra de Dios (Dios) con la ayuda del espíritu santo de Dios, sea siempre bendecida.
[성경 聖經:성서 聖書: La Biblia: Escritura: El libro sagrado]
Efesios capítulo 5, versículo 9, versículo 14
(porque el fruto del Espíritu es en toda bondad, justicia y verdad;) Por lo cual dice: Despiértate, tú que duermes, y levántate de los muertos, y te alumbrará Cristo.
(porque el fruto de la luz consiste en toda bondad, justicia y verdad) Por eso se dice: “Despierta, tú que duermes, levántate de entre los muertos, y Cristo te alumbrará”.
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Danke an Gott (Gott), der sich immer um alle und unser tägliches Leben kümmert.  Ich bete, dass du dich immer um mich kümmern wirst.
Ich bete, dass Gottes Wort immer vielen Menschen in einem friedlichen Leben übermittelt wird.
Ich bete, dass die Predigt von Jesus Christus, der das Wort Gottes (Gottes) mit Hilfe von Gottes heiligem Geist gelehrt und praktiziert hat, immer gesegnet sein möge.
[성경 聖經 :성서 聖書 : Die Bibel : Schrift:Das heilige Buch ]
Epheser Kapitel 5, Vers 9, Vers 14
(denn die Frucht des Geistes ist in allem Guten und Rechtschaffenen und Wahren;) Darum spricht er: Erwache, der du schläfst, und stehe auf von den Toten, und Christus wird dir Licht geben.
(denn die Frucht des Lichts besteht in allem Guten, Rechtschaffenen und Wahren) Deshalb heißt es: „Wach auf, Schläfer, steh auf von den Toten, und Christus wird dir leuchten.“
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شكرا لله (الله) الذي يهتم دائما بالجميع وبحياتنا اليومية.  أدعو الله أن تعتني بي دائمًا.
أدعو الله أن تصل كلمة الله دائمًا إلى كثير من الناس في حياة مسالمة.
أصلي من أجل أن تبارك على الدوام كرازة يسوع المسيح ، الذي علم ومارس كلمة الله (الله) بمساعدة روح الله القدس.
[성경 聖經: 성서 聖 書: الكتاب المقدس: الكتاب المقدس: الكتاب المقدس]
أفسس (5: 9) ، الآية 14
(لأن ثمر الروح هو في كل صلاح وبر وحق ؛) لذلك يقول: استيقظ أيها النائم وقم من الأموات فيعطيك المسيح نورًا.
(لأن ثمر النور هو كل صلاح وبر وحق) لهذا يقال: "استيقظ أيها النائم قم من الأموات فيشرق عليك المسيح".
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Salamat sa Diyos (Diyos) na laging nangangalaga sa lahat at sa ating pang-araw-araw na buhay.  Dalangin ko na lagi mo akong alagaan.
  Dalangin ko na ang salita ng Diyos ay palaging maihatid sa maraming tao sa isang mapayapang buhay.
  Dalangin ko na ang pangangaral ni Jesu-Kristo, na nagturo at nagsagawa ng salita ng Diyos (Diyos) sa tulong ng banal na espiritu ng Diyos, ay laging pagpalain.
  [성경 聖經 :성서 聖書 : Ang Bibliya : Banal na Kasulatan:Ang Banal na aklat ]
  Efeso kabanata5  bersikulo9, bersikulo14
  (sapagka't ang bunga ng Espiritu ay nasa lahat ng kabutihan at katuwiran at katotohanan;) Kaya't sinasabi niya, Gumising ka na natutulog, at bumangon ka sa mga patay, at bibigyan ka ni Cristo ng liwanag.
(sapagka't ang bunga ng liwanag ay naglalaman ng lahat ng kabutihan, katuwiran at katotohanan) Ito ang dahilan kung bakit sinasabi: "Gumising ka, natutulog, bumangon ka mula sa mga patay, at liliwanagan ka ni Kristo."
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תודה לאל (אלוהים) שתמיד דואג לכולם ולחיי היומיום שלנו.  אני מתפלל שתמיד תשמור עליי.
  אני מתפלל שדבר אלוהים תמיד יימסר לאנשים רבים בחיים שלווים.
  אני מתפלל שהטפתו של ישוע המשיח, שלימד ושימש את דבר אלוהים (אלוהים) בעזרת רוח הקודש של אלוהים, תמיד תהיה מבורכת.
[성경 聖經 :성서 聖書 : התנ"ך : כתבי הקודש: הספר הקדוש ]
  אפסים פרק ה' פסוק 9, פסוק 14
  (כי פרי הרוח הוא בכל טוב וצדקה ואמת;) על כן הוא אמר: התעורר אתה ישן, וקום מן המתים, והמשיח יאיר לך.
  (כי פרי האור מורכב מכל טוב, צדקה ואמת) לכן נאמר: "התעורר, ישן, קום מן המתים והמשיח יאיר עליך".
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भगवान (भगवान) को धन्यवाद जो हमेशा सभी का और हमारे दैनिक जीवन का ख्याल रखते हैं।  मैं प्रार्थना करता हूं कि आप हमेशा मेरा ख्याल रखेंगे।
  मैं प्रार्थना करता हूँ कि शांतिपूर्ण जीवन में परमेश्वर का वचन हमेशा कई लोगों तक पहुँचाया जाए।
  मैं प्रार्थना करता हूं कि यीशु मसीह का उपदेश, जिसने परमेश्वर की पवित्र आत्मा की सहायता से परमेश्वर (परमेश्वर) के वचन की शिक्षा और अभ्यास किया, वह हमेशा आशीषित रहेगा।
[성경 :성서 : बाइबिल : स्क्रिप्चर: द होली बुक ]
  इफिसियों अध्याय5  पद9, पद14
  (क्योंकि आत्मा का फल सब प्रकार की भलाई, और धार्मिकता और सच्चाई में है;) इसलिथे वह कहता है, कि सोए हुओं को जगा, और मरे हुओं में से जी उठ, और मसीह तुझे उजियाला देगा।
  (क्योंकि ज्योति का फल सब प्रकार की भलाई, धार्मिकता और सच्चाई में है) इस कारण कहा गया है: “उठ, सो जा, मरे हुओं में से जी उठ, और मसीह तुझ पर चमकेगा।”
  मैं
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늘  모든 사람들과 우리의  일상생활을  돌보시는  하나님(하느님)께   감사드립니다.  늘  돌보아주시기를  기도드립니다.
평화로운  생활 가운데  늘  하나님(하느님)의  말씀이  많은  사람들에게   전해지기를  기도드립니다.
하나님(하느님)의  거룩한  영의 도움으로  하나님(하느님)의  말씀을  가르치며 실천한 예수 그리스도가 전파되는 것이  늘  축복되기를  기도드립니다.
[성경 聖經 :성서 聖書 : The Bible : Scripture:The Holy book ]
에베소서 5장 9‭절 14절
빛의 생활은 선하고 의롭고 진실하게 사는 것입니다. 그래서 성경에는 “잠자는 자여, 잠에서 깨어나 죽은 사람 가운데서 일어나라. 그리스도께서 네게 빛을 주실 것이다” 라고 하였습니다.
빛의 열매는 모든 착함과 의로움과 진실함에 있느니라 그러므로 이르시기를 잠자는 자여 깨어서 죽은 자들 가운데서 일어나라 그리스도께서 네게 비취시리라 하셨느니라
-빛의 열매는 모든 선과 의와 진실에 있습니다.- 드러나는 것은 다 빛입니다. 그러므로, “잠자는 사람아, 일어나라. 죽은 사람 가운데서 일어서라. 그리스도께서 너를 환히 비추어 주실 것이다” 하는 말씀이 있습니다.
빛은 모든 선과 정의와 진실을 열매 맺습니다.
빛을 받아 드러나면 빛의 세계에 속하게 됩니다 "잠에서 깨어나라. 죽음에서 일어나라. 그리스도께서 너에게 빛을 비추어주시리라."는 말씀이 이 뜻입니다.
에페소인들에게 보낸 편지 5장 [공동번역]
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plumedepoete · 4 years
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a douăzeci și una zi   Rezumat   Virgil Morel, personajul principal, se internează într-o clinică psihiatrică la indicațiile medicului său curant, Julien, prieten cu doamna Adelaide, directoarea clinicii, cu care acesta are o relație de dragoste tensionată. Dorind să scape de ea, el o omoară, punând totul în spatele lui Virgil. Urmează o investigație psihologică complicată, condusă de comisarul Marquette.       Nava comercială se numea „Steaua Albastră”, iar căpitanul, Papadopulos, de origine greacă, era implicat în comerțul ilegal de țigări și droguri. Toată ziua se plimbase pe puntea navei, blestemând și umilind echipajul. Stătea departe de cei doi pasageri, care îl priveau cu dispreț. El le prezentase un traseu destul de vag, traversând Atlanticul, înconjurând Spania, pătrunzând în Marea Mediterană, ocolind Sicilia, traversând Bosforul și sfârșind în Marea Neagră, fără prea multe detalii. Dar nu mai conta. Pentru ei, era important să se urce rapid pe navă și să dispară. Echipajul era format din 10 marinari africani, câte 5 pentru fiecare schimb și un ajutor de căpitan, un japonez foarte prietenos, pe nume Seiko. Toți vorbeau franceză prost, dar se înțelegeau bine, de cele mai multe ori folosindu-și mâinile sau mimica facială, după caz. Se aflau într-o stare avansată de ebrietate și se îndreptau spre sud, după acul busolei. Julien încercase constant să vorbească cu Seiko, dar fără succes. Doar a doua zi reușise să lege un dialog. - Căpitanul meu interzice să vorbească cu tine! - Acum e beat, stai calm! Spune-mi când ajungem la Marea Neagră? - Greu de spus! Avem motorină doar până la Mediterană! De acolo, Dumnezeu cu milă! - Dar sunt foarte multe porturi în Mediterana? - Îi este teamă să nu se „ude” din cauza drogurilor! Dacă am ajunge în Sicilia luna aceasta, ar fi un miracol! Poate găsim niște motorină pe drum! - Ce a făcut cu banii? - A cumpărat droguri. E un nenorocit! julien se schimbă la față și îi șoptește la ureche. - Avem bani, dacă apare ceva, cumpără motorină! - Bine, domnule! Vă voi anunța dacă apare ceva! - I-am plătit drumul, îl plătim și motorina? spuse Virgil, îngrijorat. Uită-te la acel japonez mizerabil! Ochii lui oblici strălucesc ca două felinare! - Lasă-l în pace, l-am făcut acum prietenul nostru! Nu contează cât dăm? Nava de transbordare a animalelor se mișca ca un mort, descurajant. Soarele era groaznic. În cabine nu puteai respira. Doar căpitanul se simțea bine în apele sale tulburi. În apropierea coastei spaniole, aceștia fuseseră atacați violent de pirații africani. Deoarece nu găsiseră nimic, au fost de acord să le ofere trei tone de motorină, furate de pe o altă navă, pentru un butoi de rom. Căpitanul avea la bord cantități mari de băutură, foarte bine ascunse de ochii lumii. Prin urmare, problema era rezolvată. Trebuiau să se înarmeze cu răbdare. Televiziunea engleză  difuza imagini cu fotografiile lor, care nu mai semănau cu imaginile lor, își lăsaseră barba și părul lung. Polițiștii naționali din aceste trei țări vizau acum Scoția și Anglia. Cercetările poliției erau în impas. Nu existau indicii, urme, martori, nimic. Marquette nu știa unde ar putea fi. Căutase în locuri izolate, pensiuni și hoteluri. Nu se gândise că se aflau pe o navă și că intenționau să se ascundă la capătul lumii. - Va fi o problemă cu limba! spuse Virgil. Românii obișnuiți nu vorbesc limbi străine! - Vorbesc mai mult decât crezi! Am mai fost acolo. - Poate la București, nu la țară! - Mai bine! Nu mai trebuie să dăm explicații! Numai banii contează acolo! - Ești sigur? - Altfel aș fi ales un alt loc! Așteaptă să ajungem în țara lui Dracula! - A existat un astfel de personaj? - Fără doar și poate! În această țară se întâmplă tot felul de lucruri: răpiri, crime oribile, incendii, trafic de vieți, tot ce vrei și nu vrei! - Interesant, asta căutăm, de fapt! După câteva plimbări pe punte, Julien descoperise într-o zi o altă latură întunecată a navei: de sub punte, undeva lângă cabana căpitanului, auzea zgomotele și strigătele unor femei. Seiko și restul echipajului nu știau nimic. Nici măcar căpitanul nu părea să știe. - Tu trafici femei, căpitane!  i-a spus direct Julien. Măcar dă-le apă și mâncare! - Nu am bani pentru apă și mâncare! Cât câștig din ele, prea mult! - Îți dau împreună cu prietenul meu, Virgil, bani pentru aceste femei, ticălosule! - Sunt zece. Câte dintre ele vrei? - Să te ia naiba! Încerc doar să ajut! Mâine vreau să le văd și eu! - Bine, dar acest lucru te costă încă câțiva euro! Nimic nu este degeaba aici, omule! vingt et un jours   Résumé   Virgil Morel, le personnage principal, se rend dans une clinique psychiatrique selon les instructions de son médecin, Julien, un ami de Mme Adélaïde, la directrice de la clinique, avec laquelle  il entretient une relation amoureus tendue. Voulant se débarrasser d’elle, il la tue, mettant tout en place derrière du Virgil. Suit une enquête psychologique compliquée, dirigée par la commissaire Marquette.     Le navire marchand s'appelait "Blue Star" et le capitaine, Papadopulos, d'origine grecque, était impliqué dans le commerce illégal de cigarettes et de drogues. Toute la journée, il avait marché sur le pont du navire, jurant et humiliant l'équipage. Il s'éloigna des deux passagers qui le regardaient avec mépris. Il leur avait présenté un itinéraire assez vague, traversant l'Atlantique, entourant l'Espagne, pénétrant dans la Méditerranée, contournant la Sicile, traversant le Bosphore et se terminant en mer Noire, sans trop de détails. Mais cela n'avait plus d'importance. Pour eux, il était important de monter à bord rapidement et de disparaître. L'équipage était composé de 10 marins africains, 5  par chaque  l'échange, et un aideur du capitaine, , un japonais très sympathique, nommé Seiko. Ils parlaient tous un français stupide, mais ils se comprenaient  bien, la plupart du temps à l'aide  de leurs mains ou de leurs mimétisme du visage, selon le cas. Ils étaient en un état avancé d'ébriété en et ils tenaient  direction vers le sud, après l'aiguille de la boussole. Julien il avait essayé constamment de parler avec  Seiko, mais sans succès.  Seulement le lendemain , avait réussi lier un dialogue. - Mon capitaine interdit de te parler! - Maintenant il est ivre, restez calme! Dites-moi quand nous arrivons en mer Noire? - Difficile à dire! Nous n'avons que de diesel   jusqu'à Méditerranée! De là, Dieu avec miséricorde! - Mais il y a beaucoup de ports en Méditerranée? - Il a peur de „mouiller” à cause des drogues! Si nous arrivons en Sicile ce mois-ci, serait un miracle! Peut-être que nous  trouvons quelque du diesel sur le chemin! - Qu'a-t-il fait avec l'argent? -  Il a acheté de la drogue. C'est un salaud! Julien  change de visage et   le murmure  à son oreille. - Nous avons de l'argent, si quelque chose apparaître, achetez du diesel! -  D'accord, monsieur! Je te le ferai savoir si quelque chose apparaître! - Je lui ai payé la route, on lui paye et du diesel? dit Virgile, inquiet. Regarde  à ce japonais misérable! Ses yeux obliques brillent comme deux lanternes! - Laissez-le tranquille, je l'ai fait maintenat notre ami! N'importe pas  combien nous donnons? Navire de transbordement d'animaux se déplaçait comme un mort, décourager. Le soleil était affreux. Dans les cabines tu ne pouvais pas respirer. Seul le capitaine se bien sentait dans ses eaux troublés. Près des côtes espagnoles, ils avaient été attaqués  violemment par  les pirates africains.  Parce que qu' ils n'avaient rien trouvé, ils ont accepté de leur donner  trei tonnee de motorină, volées  à une l'autre navire, pour un baril de rhum. Le capitaine avait à bord de grandes quantités de boisson, très bien cachées aux yeux du monde. Le problème a donc été résolu. Ils ont dû s'armer avec patiemment.  Télévision anglaise diffusait des images avec leur photos, qui ne ressemblaient plus avec leur images, ils avaient laissé leur barbe et leurs cheveux longs.  Des policières nationales des ces trois pays visaient maintenant  à Ecosse et  Angleterre.  Les enquêtes policières étaient dans  un grande impasse. Il n'y avait aucun indices, trace, témoin, rien. Marquette ne savait pas où elle pourrait être. Il  avait recherché dans des endroits isolés, des maisons d'hôtes et des hôtels. Il n'avait pas pensé qu'ils étaient sur un navire et que'ils avait l'intention de se cacher au bout du monde. - Ce sera un problème avec la langue! dit Virgile. Les Roumains ordinaires ne parlent pas de langues étrangères! - Ils parlent plus que vous ne le pensez! J'y suis déjà allé. - Peut-être à Bucarest, pas dans le pays! -  Plus bien ! Nous n'avons plus à donner d'explications!  Là seulement l'argent compte là! - Tu es sûr? - Sinon j'aurais choisi  autre endroit! Attende nous arriveons au pays du Dracula! - Y avait-il un tel personnage? - Sans juste et peut-être! ll se passe toutes sortes de choses dans ce pays: enlèvements, crimes horribles, les incendies, trafic de vies, tout ce que tu, veux et ne veux pas! - Fait intéressant, c'est ce que nous recherchons, en fait! Après plusieurs balades sur le pont, Julien avait découvert un autre côté sombre du navire un jour: depuis le dessous du pont, quelque part près de la cabine du capitaine, il entendait les bruits et les cris quelques femmes. Seiko et le reste de l'équipage ne savaient rien. Même le capitaine ne semblait pas au courant. - Vous trafiquez des femmes, capitaine!  lui a dit directement Julien. Donnez-leur au moins de l'eau et de la nourriture! - Je n'ai pas d'argent pour l'eau et la nourriture!  Combien que je gagne sur eux, trop beaucoup! -  je te donner ensamble avec mon ami, Virgile, de l'argent pour ces femmes, salaud! - Il y en a dix. Combien  d'entre eux voulez-vous? - Va te faire foutre, aucun! J'essaye juste aider! Demain je veux les voir aussi! - D'accord, mais cette chose vous coûte encore quelques euros  ! Rien n'est pour rien ici, mec!  
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claudehenrion · 5 years
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Une grande victoire…  Et puis quoi, encore ?
  Nos “leaders” sont incroyables :  outre leur absence totale de leadership et de “vista”, ces benêts s'imaginent, dans leur prétention et leur cuistrerie sans limites, que tout le monde va gober leurs bobards permanents ! A moins –et si c'est le cas, ce serait vraiment très grave– qu'ils ne croient eux-mêmes tout ce qu'ils racontent. Lorsque j'en entends un affirmer des trucs ‘’pas possibles’’, je pense aussitôt à l'histoire de Titin et de la sardine qui avait bouché le port de Marseille : à force de la répéter, il avait fini par y croire ! La récente déclaration de Macron à propos de la chute de Baghouz est un chef d’œuvre du genre  : “Un danger majeur pour notre pays est éliminé”, a t-il dit de la pénible chute d'un trou perdu au milieu de nulle part dans la province désertique de Dayd el Zawr, perdu aux confins syrio-irakiens qui le sont plus encore, mais après avoir eu le temps de se vider de toute population…
 Ce dernier bastion où s'étaient réfugiées (puis d'où s'étaient sauvées) des hordes d'êtres infâmes, inhumains et sanglants, ne représentait rien : un lieu-dit, c’est tout.    En réalité, al-Baghouz Fouqani était une bourgade de 10 à 12 000 habitants en temps normal, que, d'après mes notes de voyages, j'ai dû traverser au moins à 2 reprises sans pouvoir en conserver le moindre souvenir, même dans mes photos !       Résumons : il est exact que Baghouz, devenue la capitale ultime du pseudo “Khalifat”, est tombée avant-hier. Mais de là à affirmer que la “prise” de ces ruines informes pourrait avoir un impact sur la suite des opérations, il y a un pas que je me garderai bien de franchir : quelle analyse sérieuse permet de penser que cela affectera d'un iota le potentiel de nuisance de Daesh ? Dans la fantasmagorie (étym. : “art de faire parler les fantômes” !) des sectateurs de cette bande de fous-furieux qui se prétendent “fous d'Allah” (ce qu'ils ne sont pas : ils ne sont que fous), cette bataille va devenir soit une victoire contre l'Occident “haram”, soit, plus vraisemblablement, une preuve que là était une annexe du Paradis d'Allah, puisque il a fallu que tous les ennemis de l'Islam se coalisent pour en venir à bout…
 Le potentiel de nuisance de ces dingos est à peine effleuré par cette défaite. D'abord parce qu'il y a longtemps que les moudjahiddine (les combattants du djihad) et les candidats chouhada (martyrs de la foi) se sont mis à l'abri en se fondant dans les populations, en attendant leur “réveil” à venir. On leur en a d'ailleurs laissé tout le temps : les modes de fonctionnement du monde oriental échappent totalement à nos pauvres politicards aussi naïfs que myopes ! Et ensuite parce que le fait d'avoir un territoire “à eux” n'a pas le même sens pour eux que pour des Etats “statutaires’‘ : aucun des djihadistes ayant opéré ou devant opérer un jour ailleurs qu'en Syrie n'avait Baghouz (ou même leur supposé ‘'Khalifat”, fut-ce au sommet de son étendue) comme base possible de repli.
 Le faux prétexte d'un territoire sacré (le Khalifat ressuscité) n'était qu'un outil de propagande pour (1)- avoir un “quelque part” pour attirer les candidats et les entraîner et (2)- faire la nique à tout ce qui n'est pas musulman : “Nous aussi, ti na ni na naire, on a une résidence secondaire” !). En réalité, leur stratégie va très loin au delà des coins paumés, tous désertiques, qu'ils avaient conquis pratiquement sans combats, et il faut comprendre que ce n'était qu'une arme temporaire pour une phase intermédiaire dans la conquête du monde entier… mais quand on est parti pour tout prendre, on conserve tout ce qui tombe sous la main, en chemin…
 Plusieurs lecteurs me demandent combien de djihadistes seraient en mesure de pouvoir “se réactiver” un jour. La réponse n'est pas facile. Loin des chiffres officiels, qui ne décrivent que la myopie volontaire de ceux qui les émettent, on sait que dans les 40 000 volontaires de tous les pays avaient rejoint les rangs de Daesh.    Combien ont été tués en opération par les bombes, les drones, les combats ? Relativement peu,  qui se comptent en centaines, plutôt que par milliers. D'autres, peu nombreux, ont fait croire à leur repentir et à leur volonté de “réinsertion”. (NDLR : Il faut une sacrée couche de naïveté pour croire de telles sornettes !  Henry Ford disait : “Never give a man a second chance”, ce qu'un vieux proverbe, oublié comme tout ce qui avait un sens, disait en 4 mots: “Qui a bu, boira…”.)
 L'expérience, hélas, démontre qu'un djihadiste qui s'est éloigné de ses bases est particulièrement dangereux lorsqu'il revient chez lui. Or, la perte du dernier bastion de leur pseudo-Khalifat remet tous ces tueurs sur les routes.  Contrairement à ce que dit notre Président, la prise de Baghouz est une très mauvaise nouvelle pour la France (aussi) : la fin du “Khalifat” va se traduire par une accélération du retour en Europe de milliers de “fugitifs de la fugue, en fugue”, ces bi-nationaux qui n'ont de français (ou d'autres) que le passeport, mais qui n'ont qu'un seul rêve :  la mort de ce que les plus naïfs d'entre nous considèrent comme  ’'leur patrie’’ et qui n'est pour eux, que “Dar el-Harb”, des terres à conquérir par tout moyen.
 Ce qui pipe complètement les dés, c'est qu'une non-pensée faussement angélique mais trop largement représentée dans nos médias et parmi notre personnel politique, croit possible  la “réinsertion des djihadistes” (hommes ou femmes), croit possible un “repentir”, et croit même à l'efficacité de “cellules de dégrisement” pour ces machines à tuer qui ne connaissent que la haine de l'Occident et qui ne vivent que dans, grâce à et par une logique anti-logique qu'aucun de nos politicards incultes et rebelles à toute réflexion sur la vérité de l'Islam ne comprendra jamais… pour ne pas parler de la cohorte de journalistes qui confondent naïveté masochiste avec honnêteté intellectuelle. Etre stupide devrait avoir des limites, car une telle bêtise (mortelle pour ceux qui croisent la route des “repentis sans repentir”) est, mutatis mutandis, de même nature que la quadrature du cercle, la trisection de l'angle ou la duplication du cube, par exemple : un défi à l'intelligence !
 La seule conclusion que l'on puisse tirer de la chute de ce repaire de charognards, c'est… qu'il est tombé, aurait dit Monsieur de la Palice ! Son chef, le sanglant Abou Bakr al-Baghdadi, dit “Calife Ibrahim”, se balade et se terre (à la fois !) dans les déserts irako-syriens, et même si quelque drone arrivait à le localiser et à le néantiser sur place, il serait remplacé dans l'instant… à ceci près que sa mort ferait de lui un “Mahdi Mountadhar” (= un rédempteur eschatologique, annoncé, attendu et espéré), aussitôt remplacé comme chef de guerre par un autre dingo…
 Je n'arrive pas à comprendre comment la continuation de l'horreur par les mêmes gens, avec les mêmes moyens, avec la même haine et le même refus de toute intelligence et de toute humanité… peut être interprété comme une bonne nouvelle…  Pas doué, je ne serai décidément jamais Président de la République !
H-Cl.
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dentrelesmortss · 2 years
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D'entre les morts
Mis dedos juegan en el aliento de mi alma y se entretienen con la suave sensación del calor que otorgas con tus ojos, rayones de Sol, iluminan todo lo que miran.
Juego con esa mirada, la acaricio, la beso, le susurro mediante estos ojos míos que usualmente no saben lo que miran.
Me encuentro entre mil rosas, mil ilusiones, mil tulipanes y hierba que se estremecen y se levantan casi como si fuera de alegría -casi como si fuera de terror-. Y no hago nada más que llorar.
Me hace temblar el corazón una tristeza y una nostalgia violenta que arrasa todas mis cuencas, mis valles, mis bosques, planicies y altiplanos, costas y desiertos y montañas.
De tanto apreciar, los ojos míos se empezaron a sellar aún conteniendo la mirada.
Ahora no me rodeaba nada. No habían colores, sabores ni aromas, ni sonidos; solo estaba el vestigio deslizante y vacilante de mi memoria de aquellas mil rosas, mil ilusiones, mil tulipanes, de tus ojos, de tu alma, de la hierba.
Pero sin dudas me encontraba entre medio de los muertos.
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misterdust · 2 years
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05/01/2022 au sommet du Montagnat 31116 Herran par Dust... Via Flickr : À gauche du relief suivant on aperçoit le décollage du relais. Site de parapente d'Arbas toutes les religions et les théories de se qui se passe après la mort ne servent qu'à faire espérer mieux après celle ci, ce qui est pratique pour assurer la soumission des puissant sur la majorité d'entre nous, sans nous aider à en avoir moins peur elles me semblent tellement inutiles... todas las religiones y teorías de lo que pasa después de la muerte sólo sirven para que esperes lo mejor después de la muerte, lo cual es conveniente para asegurar el sometimiento de los poderosos sobre la mayoría de nosotros, sin ayudarte a tener menos miedo a ella me parecen tan inútiles... all the religions and theories of what happens after death only serve to make you hope for the best after death, which is convenient to ensure the subjugation of the powerful over the majority of us, without helping you to be less afraid of it they seem so useless to me... 
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QUI ETAIT LE PROPHET MUHAMMAD ﷺ ?
Prophète Muhammad (paix et bénédiction soient sur lui) est né à la Mecque en l'an 570.
Depuis que son père soit mort avant sa naissance et sa mère peu de temps après, c’était son oncle, un respecté de Quraysh, qui s’était occupé de lui.
Il a été élevé analphabète, incapable de lire ni d’écrire, et il est resté ainsi jusqu'à sa mort. Son peuple, avant le début de sa mission de prophète, étaient des ignorants et la plupart d'entre eux étaient analphabètes. En grandissant, il était connu pour son honnêteté, sa générosité, sa sincérité, et digne de confiance. Il était si digne de confiance qu'il était surnommé le “Digne de confiance” (El Amine).
Muhammad ﷺ était très religieux et avait longtemps détesté la décadence et l` idolâtrie dans sa société.
À l'âge de quarante ans, Muhammad ﷺ a reçu sa première révélation de la part de Dieu à travers l'Ange Gabriel. Les révélations ont continué pendant vingt-trois ans et elles sont collectées dans une livre connu sous le nom du Coran.
Dès qu'il commença à réciter le Coran et à prêcher la vérité que Dieu Lui révéla, avec son petit groupe de disciples ils subirent la persécution des incroyants. La persécution devint si féroce qu'en l'an 622, Dieu leur ordonna d'émigrer. Cette émigration de Makkah à la ville de Madinah, à quelque 420 kilomètres au nord, marqua le début du calendrier musulman.
Après plusieurs années, Muhammad ﷺ et ses disciples ont pu revenir à la Mecque, où ils ont pardonné à leurs ennemis. Avant sa mort à l'âge soixante-trois ans, la plus grande partie de la péninsule arabique était devenue musulmane, et durant un siècle après sa mort, l'Islam s'était répandu de Espagne à l'ouest jusqu’en Chine à l’est. La vérité et la clarté de sa doctrine étaient parmi les raisons de la propagation rapide et pacifique de l'Islam. L'Islam appelle à la croyance en un seul Dieu, Qui est le seul digne d'adoration.
Le prophète Muhammad ﷺ fut un exemple parfait d'un être humain honnête, juste, miséricordieux, compatissant, véridique et courageux. Bien qu'il soit un être homme, il ne possédait pas toutes les mauvaises caractéristiques et son seul objectif était l'amour de Dieu et Sa récompense dans l'au-delà. De plus, dans toutes ses actions et transactions, il était toujours attentif et craintif de Dieu.
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BLOG PERSONNEL: 100 faits sur moi.
Rédigé par: K. Cordero | Journaliste Revue littéraire: K. Solís | Journaliste Édition:K. Solís | Journaliste Photographie: K. Cordero | Journaliste Traduction en Anglais: Disponible | Ingrid Solorzano Traduction Fançaise: Disponible| Jean Paul Madrigal
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Salut! Comme ils sont? Bienvenue sur un blog, très personnel! En cela je vous raconte 100 faits que vous ne connaissez pas sur moi, ou la plupart ne les connaissent pas et aussi, si 100 ne suffisent pas je vous en laisse quelques autres... Commençons!
1. Mon nom complet est Karla Yadira Cordero Rojas. Le fait curieux est que la Karla aurait pu être donnée par mon grand-père maternel ; son nom était Carlos. Le Yadira est parce que ma tante; ça s'appelle comme ça.
2. Je suis né le 8 mai 1991 ; c'était mercredi.
3. Si quelqu'un se demande la raison de ma vie nocturne, c'est parce que cette femme est née à 1h15 du matin; ... pour me tuer !
4. Et s'ils maîtrisent les mathématiques de base; J'ai eu 30 ans cette année… et pas 20!
5. Je suis un signe Taureau.
6. Dans l'horoscope chinois, je suis une chèvre... est-ce dû à l'entêtement?
7. Je suis très têtu, mais avec le point précédent, je pense que vous l'avez imaginé.
8. Je n'aime pas les vaccins; et cette année… j'en ai trois ! (J'ai déjà eu les deux doses de Pfizer/BionTech contre SARS-VOC II)
9. Même si je n'aime pas les vaccins; Je suis pro vaccins. Alors vous qui n'avez pas eu les vaccins... courez les chercher!
10. J'ai subi de nombreuses pertes tout au long de ma vie; mais le plus marquant était celui de mon grand-père maternel : le 26 août 2012… il y a un peu plus de neuf ans.
11. Ma mère est ma personne préférée au monde.
12. J'ai une tache de naissance; qu'une demi-famille l'a; sur la cuisse de la jambe gauche... Je ne peux pas non plus me refuser!
13. J'ai des grains de beauté... beaucoup de grains de beauté! Au total j'en ai huit.
14. Je ne suis pas du tout superstitieux.
15. Bien que je ne sois pas superstitieux; Je n'aime pas les chats noirs... et aucune autre couleur! Ils me donnent impression et peur.
16. Mon cœur a beaucoup souffert; parce que je suis une personne qui croit encore aux gens et donne trop pour les autres et à la fin je souffre trop.
17. J'ai une fascination pour la mode; bien que mes goûts soient très éclectiques et que tout le monde n'aime pas... la mode ce qui me convient !
18. J'ai appris le braille à l'école… En théorie j'étais aveugle… seulement en théorie!
19. J'ai quatre neveux: trois nièces et un neveu.
20. Je n'ai pas d'enfants... et je ne ferme pas non plus les portes pour en avoir.
21. En expliquant le point précédent, j'aimerais avoir un enfant, mais je pense que ce ne serait pas une très bonne mère.
22. J'aime rencontrer des gens; et réalités; C'est pourquoi j'adore faire partie de projets, d'organismes et d'associations qui font la promotion de l'aide sociale.
23. Avant d'étudier l'éducation, préparez un diplôme en logistique d'entreprise (Oui, je sais gérer).
24. J'ai étudié l'éducation parce que mon grand-père m'a toujours dit qu'il allait être enseignant, mais comme je ne suis pas très patient; J'ai étudié pour être enseignant.
25. J'ai toujours voulu étudier la criminologie; mais cela ne s'est pas produit.
26. J'ai commencé à travailler dans l'éducation le 26 août 2014; deux ans après la mort de mon grand-père.
27. Je suis un militant de la communauté LGTBIQ+; car je crois à la diversité et à l'importance de l'amour sans frontières, parfois cela me pose beaucoup de problèmes.
28. Je ne supporte pas le mot «handicap»; Je pense que ce mot génère chez les gens un état de conformité insoupçonné... et qu'il fait beaucoup de dégâts.
29. J'ai un mantra; qui est une phrase de Mère Teresa de Calcutta; "Celui qui ne vit pas pour servir, ne sert pas pour vivre."
30. Je voulais étudier l'espagnol; mais ils n'ont pas ouvert la course; puis j'ai fini par être... Hitler, fait femme!
31. Je ne vais jamais au cinéma; les films me rendent généralement somnolent. (Mais le Festival du Film Européen est une exception claire.)
32. J'aime écrire. J'écris toujours partout, même sur les serviettes du restaurant. Alors tous les ans j'ouvre l'agenda et tous les trois ans tous les jours... je suis de ce qu'il n'y a pas!
33. Je crois à l'amour à l'ancienne... celui des lettres, des roses et de tous ces trucs ringards... Je suis très ringard!
34. Je ne tolère pas qu'on m'appelle "bébé", "précieux"... ou tous ces petits mots que les hommes utilisent lorsqu'ils veulent faire l'amour une nuit.
35. J'ai l'habitude, chose très rare dans ce pays, de donner des pourboires. Chaque fois qu'il y a un conteneur prêt à recevoir des pourboires dans un lieu, je laisse ma contribution.
36. Je ne suis pas fan de WhatsApp, cela me stresse qu'ils m'envoient des messages ou des audios; car je n'ai généralement pas le temps d'y répondre et je me sens mal pour l'autre personne.
37. Je poste plus sur Instagram que sur Facebook ou Twitter.
38. Il y a un peu plus de trois ans, j'ai fermé mon compte Facebook; pour la raison simple et directe qu'un étudiant me harcelait… bien que je l'ai signalé au centre éducatif, ils n'ont jamais attiré son attention et moi pour éviter tout problème; Je l'ai fermé… Une décision très diplomatique!
39. Je suis extrêmement honnête et parfois je dépasse «trois personnes»… J'en fais honte à plus d'une.
40. J'écris pour le journal El País une chronique hebdomadaire intitulée MUNDO DIPLOMÁTICO. Et avec ce même nom, j'ai réalisé une émission de télévision et de radio. (Jusqu'en juillet 2021)
41. J'ai un technicien en graphologie légale. Une folie qui m'a donné d'un instant à l'autre et m'a pointé... Ma folie n'a pas de limite!
42. Je parle français. Et je l'ai fait certifier par l'Alliance Française et l'Union Européenne.
43. Quand je n'aime pas quelqu'un, ça me montre malheureusement… Et en plus, j'aime qu'ils s'en rendent compte.
44. Ma couleur de cheveux est brun bois clair. Il est naturel sans aucun colorant.
45. Mon engouement pour le maquillage et les soins de la peau a commencé relativement récemment… un an et quelques mois !
46. Je n'accepte jamais un Non! pour réponse; Ils sont très insistants et persistants.
47. Je suis la personne la moins patiente que vous trouverez dans votre vie.
48. Je suis excessivement intense… comme le café!
49. En parlant de café, je buvais environ 7 tasses de café par jour... 49 par semaine! (Toucher)
50. Si j'avais du temps et de l'argent; J'étudierais le droit et la psychologie… Je suis passionné par eux! (Je suis le psychologue de la plupart de mes amis).
51. En parlant d'amis… la plupart d'entre eux sont des hommes… les femmes sont très envieuses et venimeuses.
52. Je suis obsédé par la calligraphie et l'orthographe… c'est pourquoi j'ai toujours un dictionnaire pour écrire correctement. Autrement dit, deux dictionnaires: espagnol et espagnol - français.
53. J'ai donné mon premier baiser à l'âge de 18 ans. (Et j'ai demandé la permission; un millennial très rare)
54. Je n'aime pas les gens religieux... cette chose sur ce qui se passe en publiant quelque chose sur Dieu à chaque instant me donne beaucoup de méfiance... au nom de Dieu il y a eu beaucoup de catastrophes.
55. J'adore les plantes dans la pièce… Elles me procurent beaucoup de paix! (Je n'en ai que deux pour des raisons de temps, mais si cela ne tenait qu'à moi, ma chambre serait un jardin botanique).
56. J'ai de sérieux problèmes avec la nourriture. En fait, alors que j'étais à l'école, j'ai souffert d'anorexie mentale... que j'ai heureusement traitée à temps.
57. Je ne crois pas au mariage (liturgique).
58. Mes pieds me dégoûtent beaucoup… généralement mes chaussures sont fermées.
59. J'ai reçu une éducation militaire. (Et c'est pourquoi je suis tellement strict avec moi-même et avec les autres.)
60. Je suis très perfectionniste. (Trop)
61. J'adore parler de santé mentale; principalement parce qu'il y a quelques années on m'a détecté un trouble obsessionnel compulsif, un trouble post-traumatique, une névrose, une anxiété et un syndrome dysthymique.
62. J'aime les livres… Je serais heureux de vivre dans une librairie !
63. J'ai une routine le jour et une autre la nuit pour le visage; mais depuis que je m'ennuie de répéter les produits; Je varie toujours un peu.
64. J'aime les gens qui s'engagent à être meilleurs, ce sont eux qui m'inspirent.
65. Je déteste le mot «pauvre»… Ce n'est que la pointe de l'iceberg en matière de médiocrité !
66. J'aime les choses épicées. (La cuisine tai ou mexicaine est dans mon TOP 5)
67. J'ai de sérieux problèmes d'insomnie. (Je dors entre 1 et 3 heures par jour... Quand je le fais!)
68. J'ai encore des dents de lait… la fée des dents n'en a jamais voulu!
69. J'ai subi sept chirurgies oculaires; plus de 75 éraflures; tout au long de ma vie. (Depuis 2017, avec une fréquence horrible).
70. D'après le médecin; J'étais aveugle à 18 ans... ça veut dire que je suis gracieuse depuis 12 ans.
71. Je crois en Dieu… et avec ça, ça me suffit!
72. Je suis intolérant envers les gens hypocrites... le pire c'est que je le perçois.
73. Je connais toujours les intentions des gens à l'avance ; en particulier celui qui se rapproche de mes amis.
74. J'ai du mal à me lever tôt. (Pas une de mes choses préférées).
75. J'aime danser et chanter… depuis que je suis enfant !
76. Quand je suis très frustré ou en colère… il pleure!
77. Mon sac ressemble toujours au «Sac Barny»; Je marche vers ce dont je n'ai pas besoin.
78. Je suis fan de Grey's Anatomy, Quantico, NCIS, CSI Miami, CSI New York et Criminal Minds, Drop dead diva, Dr House, The Good Doctor.
79. Je n'aime pas Pâques, ni Noël. (C'est le moment où il m'est le plus difficile de me concentrer sur quelque chose).
80. Vous n'avez pas fêté mon anniversaire dans une large mesure, pendant 9 ans.
81. Pour moi, ne me tuez pas; les programmes Giros (Repretel Channel 6), Good Day (TELETICA Channel 7), Report 11 (Repretel Channel 11), 7 Estrellas (TELETICA Channel 7), Hazañas del Deporte (Repretel Channel 6), 120 Minutes (Repretel Channel 11); Ce sont des choses vraiment dégoûtantes qui devraient sortir du gril. (C'est mon opinion)
82. J'ai mes deux carnets de vaccination, ma première carte d'identité pour les mineurs, mes cartes collégiales et universitaires respectives; enregistré. (Je collectionne les moments).
83. D'ailleurs, pour la carte scolaire j'avais gagné un DVD du concert Unplugged de Jesús Adrián Romero.
84. Je suis intolérant au lactose. (Et ce n'est pas que j'aime le lait.)
85. Mon pied est relativement petit, tige entre 36 et 37; selon la chaussure.
86. Portez un appareil dentaire de 15 à 18 ans. (À l'époque, le surnom Ugly Betty était très approprié.)
87. J'adore écouter de la musique, et selon un ami espagnol dit: «La musique apaise la pire des bêtes».
88. J'ai la chance d'avoir de nombreux amis qui sont une référence dans diverses carrières et industries et nous nous entendons très bien; malgré le fait que je sois l'un des plus fervents critiques.
89. Je suis une personne pro-avortement. Je pense que si vous ne voulez pas avoir d'enfants, vous n'êtes pas obligé de le faire. Clarification ; il existe aussi des méthodes contraceptives ; qui sont toujours la meilleure option.
90. J'aime enseigner; C'est pourquoi je fais toujours du bénévolat en lien avec l'éducation.
91. Je suis conférencier : j'aime parler de famille, de séduction, de mariage, d'entrepreneuriat, d'estime de soi et d'émotions.
92. J'étais membre du Club Activo 2030 Internacional de Pérez Zeledón et je garde de nombreux amis internationaux de cette expérience.
93. Je suis un contributeur actif de plusieurs associations à but non lucratif.
94. Mon partenaire est canadien [Gregorie, mon Iceberg particulier]. (Il m'a été présenté par un autre Canadien qui est une personne soleil)
95. Mon nombre de contacts au téléphone comprend des numéros aux États-Unis, au Canada, au Mexique, en Angleterre, en Espagne, en Colombie, au Panama, au Venezuela, au Chili, au Honduras et au Nicaragua… et au total il y a plus de 2 500 contacts.
96. Je suis fan de Snoopy et Mickey Mouse… Attention, ils n'ont pas remarqué !
97. Travailler est synonyme d'écouter de la musique comme un fou.
98. Si je dois regarder des films, j'aime les films romantiques et européens.
99. Mes chansons préférées qui, selon le moment, me font pleurer ou rire s'appellent curieusement « I Believe in You » ; l'un par le Canadien Michael Bublé et l'autre par le quatuor apatride Il Divo et la soprano canadienne Céline Dion.
100. J'ai plusieurs surnoms donnés par mes amis ; certains liés à ma personnalité et d'autres à mon irrévérence.
PRIME
1. J'ai eu le privilège de partager la scène avec Marcos Witt, Coalo Zamorano.
2. Ces dernières années, je me suis consacré au doublage ; grâce à la découverte du coach vocal mexicain Alberto « Beto » Castillo (le chanteur de « Mon fidèle ami » de Toy Story).
3. Gravez trois disques pour une campagne de financement pour diverses fondations et n'est disponible qu'au Canada et aux États-Unis. (Il est sorti cette année sur le marché).
4. Mon seul fruit préféré est la MANGUE.
5. Je suis droitier. (Bien que je puisse parfaitement écrire avec ma main gauche).
6. Mes amis les plus chers, avec qui j'ai noué des liens, ce fut par des accidents regrettables… Des spectacles embarrassants !
7. Je n'ai pas de parfums préférés. Mais j'en ai toujours un pour quand je suis à la maison et un autre pour les sorties... et un pour les moments très spéciaux.
8. J'ai une collection d'environ 1500 stylos (ce qui n'inclut pas les marqueurs, stylos, marqueurs, surligneurs, etc.).
9. J'ai trois stylos à plume qui coûtent deux millions sept cent cinquante mille colones; évidemment je ne les garde pas chez moi.
10. J'ai plusieurs pièces commémoratives, qui ne sont pas non plus chez moi, et qui ont une valeur économique, mais la valeur sentimentale les gagne.
11. Mon produit de beauté le plus cher du marché coûte cent trente-cinq mille colones et fait 60 ml. C'est de l'or liquide.
12. J'adore les robes à fines rayures.
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Vertigo
Un pequeño análisis de la obra maestra de Hitchcock que me gustó como quedó.
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Vertigo (Vértigo: De entre los muertos) es una película estadounidense de 1958 dirigida y producida por Alfred Hitchcock, basada en el libro D'entre les morts de Pierre Boileau. Se trata de un thriller psicológico acompañado de suspenso, misterio y romance, considerado uno de los mejores filmes de todos los tiempos. 
Guionistas: Alec Coppel y Samuel A. Taylor. 
Fotografía: Robert Burks. 
Actores principales: James Stewart (John “Scottie” Ferguson), Kim Novak (Madeleine Elster/Judy Barton) y Barbara Bel Geddes (Marjorie “Midge” Wood). 
Premios: Nominada al Óscar a la mejor dirección artística y decorados y al mejor sonido. Ganó el premio Concha de Plata al mejor director del Festival Internacional de Cine de San Sebastián y el Premio Zulueta del Festival de San Sebastián. 
Vértigo surge justo entre el final de la época del Hollywood clásico y el paso hacia la tendencia del American New Wave, una serie de películas caracterizadas por tener un contenido mucho más artístico, preocupado por la estética y la fotografía de la obra. Fue en este período que los cineastas descubren que no era necesario dar a la obra un final convencional a través de un guion, sino que podían hacerlo a través de imágenes y otros recursos cinematográficos. 
Esto causó que gran parte del público, que hasta en ese momento no había experimentado algo similar, no supiese apreciar el simbolismo visual que Hitchcock incorporó en las escenas de su obra, pues esta usa el color y los planos de cámara para dar a la obra “la lógica de una pesadilla”. 
Vértigo narra la historia de John “Scottie” Ferguson, un expolicía que se ve obligado a darse de baja tras provocar que, debido su acrofobia y vértigo, su compañero muriese. Scottie quiere superar su miedo, pero su exnovia Marjorie “Midge” Wood, quien es una de sus amigas más cercanas, piensa que solo con un trauma mayor podría lograrlo. 
Pasado un tiempo, un ex compañero de clase, Gavin Elster, contrata a Scottie como investigador privado para que vigile a su mujer, Madeleine Elster, pues piensa que podría estar poseída por el espíritu de su bisabuela, Carlotta Valdes. Scottie decide ponerse en marcha y descubre que Madeleine, quien según su marido no sabe nada de Carlotta, realiza una serie de actividades extrañas que olvida pocas horas después: visita la tumba de su bisabuela, museos de arte, habla de un pasado lejano e intenta suicidarse lanzándose al agua. 
Scottie acaba por enamorarse de Madeleine, pero, cuando el sentimiento parecía empezar a ser reciproco, esta se lanza del campanario de una iglesia en un ataque de locura, sin que Scottie pudiese ayudarla debido a su vértigo. Ferguson es considerado no culpable de la muerte de la mujer de Gavin Elster y este le pide que siga con su vida como antes, pero el dolor de la pérdida de su amada lo hace difícil. 
Tras la muerte de la joven, Scottie encuentra a una mujer muy parecida a Madeleine físicamente, Judy Barton. Se nos revela que Judy había sido contratada como actriz por el señor Elster para poder asesinar a su mujer: su trabajo era hacerse pasar por Madeleine para hacer ver su muerte como un suicidio. El expolicía, sin embargo, se obsesiona con la idea de estar con ella, hasta el punto de obligarla a parecerse lo más posible a su fallecida amada. 
Descubrimos más adelante que Scottie ya se imaginaba todo esto, por lo que decide hacer que Judy suba al mismo campanario donde murió Madeleine, pero diciendo que esta vez superaría su miedo y la salvaría. Judy le ruega que la perdone mientras le confiesa todo lo ocurrido, pero una monja sube a la torre para investigar los ruidos y asusta a Judy, quien resbala y cae hacia su muerte. 
En muchos casos se suele dividir esta historia en dos partes bien diferenciadas: la primera, donde se nos muestra a un héroe con el que nos podemos identificar, que encuentra un amor en principio prohibido y sufre el dolor de perderlo, además de provocar una cierta pena en el espectador, quien es testigo del engaño a Scottie; y la segunda, en la que se corrompe a nuestro protagonista y empezamos a repudiar sus acciones. 
Hitchcock se tomó la libertad de incorporar emociones como el miedo y la lujuria y traducirlas de forma visual en vez de reflejarlas en el guion, lo que hace que muchas personas no admiren esta obra por su historia, sino por su lenguaje artístico: incorporó por tanto sus lecturas psicológicas, fetiches (entre los que cabe destacar las mujeres rubias) y obsesiones (el control absoluto de todos los detalles) sin dejar de lado la trama principal. 
La película hace referencia, también a una de las teorías del psicoanalista Sigmund Freud conocida como “compulsión de la repetición”, que consiste en el impulso humano de repetir acciones dolorosas, pues se siente más atraído a estas que a su bienestar4. Podemos también hacer referencia nuevamente al color, donde el verde se asocia a la ilusión de la mujer y el rojo al peligro, y a los filtros que le dan la apariencia de un sueño. 
En cuanto a la influencia posterior del filme, destaca que muchos directores a lo largo de la historia han descrito la película de Hitchcock como una fuente de inspiración, entre ellos Paul Thomas Anderson, Guillermo del Toro y Martin Scorsese. 
En diversas producciones se han realizado también referencias a Vértigo, sea de forma directa (Toy Story 2 y James Bond), como de forma indirecta debido a su legado artístico. Un ejemplo de esto último es la incorporación del travelling compensado (también conocido como Dolly Zoom o efecto vértigo), que consiste en combinar un zoom atrás con un movimiento hacia adelante o viceversa, además de el uso de la cámara para satisfacer los deseos sexuales del protagonista, ambas técnicas que hoy en día son extremadamente comunes. 
Por tanto, fue Hitchcock quien, a través de películas como estas, introduce la tendencia actual de representar los sentimientos y la personalidad del director en su obra, logrando comprobar que el cine también es una forma de arte que no siempre debe depender de diálogos para contar una historia, sino que puede convertirse en, tal y como dijo Scorsese, “poesía cinematográfica”. 
Trailer: https://www.youtube.com/watch?v=95o-QM-lz8g&feature=youtu.be  
Bibliografía: 
IMDb. Vertigo (1958). IMDb. https://www.imdb.com/title/tt0052357/ (Consultado el 12 febrero 2021). 
Ebert, R. (13 de octubre 1996). Vertigo movie review & film summary (1958). Rogerebert.com https://www.rogerebert.com/reviews/great-movie-vertigo-1958 (Consultado el 12 febrero 2021). 
Mullor, P. M. (2018, August 10). 60 años de “Vértigo”: Guía para entender la mejor película de la historia. Fotogramas. https://www.fotogramas.es/noticias- cine/a22652476/vertigo-alfred-hitchcock-analisis-aniversario/ (Consultado el 12 febrero 2021). 
The 100 Greatest Films of All Time (Actualizado el 8 de septiembre de 2020). Sight & Sound. British Film Institute. https://www2.bfi.org.uk/greatest-films-all-time (Consultado el 12 febrero 2021). 
Fandor (2018). The Influence of “Vertigo”. YouTube. https://www.youtube.com/watch?v=F3WHuOcwyUs Consultado el 12 febrero 2021). 
Laplanche, J. (1996). Diccionario de psicoanálisis. Barcelona: Paidós. Now you see it (2017). The Dolly Zoom: More Than A Cheap Trick. YouTube. https://www.youtube.com/watch?v=u5JBlwlnJX0 (Consultado el 13 febrero 2021). 
Voice of Fire (2017). Filmmakers on Vertigo (Hitchcock Truffaut, 2015). YouTube. https://www.youtube.com/watch?v=uXdytQuuiUw (Consultado el 13 febrero 2021). 
Enfilme (2018). La influencia y las repercusiones de Vertigo de Alfred Hitchcock. Enfilme.com. https://enfilme.com/notas-del-dia/video-la-influencia-y-las- repercusiones-de-vertigo-de-alfred-hitchcock (Consultado el 13 febrero 2021). 
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christophe76460 · 3 years
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Anne notre première femme vertueuse grâce ou faveur - Vie et Lumière El Shaddai
Anne notre première femme vertueuse grâce ou faveur
Pour la première femme vertueuse, nous allons nous pencher sur la vie d'Anne, où nous trouverons un véritable exemple de ce qu'est une femme vertueuse.
 «Il y avait aussi une prophétesse, appelée Anne, qui était la fille de Penouel, de la tribu d'Asser. Elle était très âgée.
Elle avait vécu sept ans avec le mari qu'elle avait épousé dans sa jeunesse, 37puis, demeurée veuve, elle était parvenue à l'âge de quatre-vingt-quatre ans.
 Elle ne quittait pas le temple, mais elle servait Dieu jour et nuit : elle jeûnait et elle priait. 38Elle arriva à ce même moment et se mit à remercier Dieu. Et elle parla de l'enfant à tous ceux qui attendaient que Dieu délivre Jérusalem.»(Luc 2:36-38 BFC).
On ne parlé d'Anne seulement que dans trois versets trouvés dans Luc 2:36-38. On ne dit pas beaucoup sur son caractère, mais dans ces trois versets, nous trouverons une femme vertueuse "exceptionnelle" que nous pouvons tous admirer, et de qui nous pouvons nous inspirer.
La vie d'Anne semblait simple. Elle vivait dans le temple, jeûnait et priait  jour et nuit. En regardant sa vie, nous pouvons penser, "Waouh,  elle a réussi. Quelle vie simple, elle n'avait pas de problème, pas de soucis, bref une vie relativement facile. Comment vivre dans le temple pouvait-il être difficile ? "
La vie d'Anne semblait commencer comme celle de beaucoup de femmes. Elle était mariée, heureuse, et installée  dans cette nouvelle vie, profitant de la vie quotidienne et de ses routines. Tout, j'en suis sûr, semblait se mettre en place pour elle.
Puis la tragédie a frappé: son mari est mort. On dit qu'elle n'a vécu avec lui que sept ans. Ce n'était pas un mariage long et il n'est pas fait mention d'enfants. Après que son mari soit mort, on peut supposer que peut-être Anne n'avait pas de famille ou nulle part où aller. Peut-être qu'elle n'a pas eu d'autre choix que d'aller vivre au temple.
Son mari, qu'elle aimait, venait de mourir, et ils n'avaient pas eu d'enfants pour prendre soin d'elle alors qu'elle vieillissait. Nous avons donc une femme qui a perdu l'amour de sa vie, qui n'a nulle part où aller, et qui était probablement seule, effrayée et confuse.
C'est peut-être ce qu'elle ressentait. Nous n'en avons vraiment aucune idée, car on ne dit rien sur sa vie plutôt, mais je sais que c'est ce que je ressentirai et je suis sûre que beaucoup d'entre vous aussi.
Sa prochaine étape, comme nous le savons, a été d'allée vivre dans le temple. Anne a dû faire face à de nombreux défis, d'un seul coup semble-t-il. Le monde qu'elle avait connu pendant sept ans avait volé en éclats. Que devait-elle faire?
Lorsqu'une personne est confrontée à des défis comme ceux-là, elle peut soit s'écrouler ou soit se tourner vers le Seigneur. Cela était devenu la vie d'Anne.
Ce n'est peut-être pas la vie qu'elle pensait qu'elle aurait quand elle s'est mariée, mais c'est la vie que le Seigneur avait prévu pour elle.
 Anne a choisi de se tourner vers le Seigneur. Quelle vie puissante et bénie cette femme a eu
 Regardons à nouveau comment le dictionnaire définit la vertu -
excellence morale (exprimant ou véhiculant des vérités ou des conseils pour une conduite droite) - (supériorité), bonté - (de haute qualité, excellent), justice - (agissant droitement, de façon morale; vertueuse).
conformité - (correspondance dans la forme, nature ou caractère; accord, congruence, ou conformité) de la vie et de la conduite à des principes moraux et éthiques; droiture - (adhérant à la droiture; juste, honnête); rectitude - (justesse de principe ou de conduite, vertu morale).
Anne a commencé avec diligence dans le temple, à servir Dieu par la prière et le jeûne nuit et jour, la Bible nous dit. Ces actions construites par la foi, ont développé la vertu - son caractère - qui a son tour a développé la connaissance c'est à dire la révélation de Jésus. Cette dame a eu la révélation de Christ.
C'est pourquoi, quand elle a vu l'enfant dans le temple, elle a pu déclarer: "c'est le Messie promis, l'espoir d'Israël, le Rédempteur du monde, Jésus !" Quelle plus grande prophétie peut-on donner ?
Anne, comme nous l'avons vu jusqu'ici, est un exemple d'une vie passée à servir le Seigneur ainsi qu'une relation profonde qui en résulte et qui se développe. La révélation et la relation se sont construites au fil du temps.
Cela ne peut pas se faire du jour au lendemain. Dans notre société, nous voulons tout pour hier, ou tout de suite.
Anne a pris le temps ... des années même ... pour servir le Seigneur. Regardez la bénédiction qui en résulte : être capable de voir Jésus face à face en sachant que c'était lui, son Sauveur, celui qui avait été envoyé pour racheter son peuple. Wahow, quelle vie !
Luc se réfère également à Anne comme une prophétesse. La religion a des opinions partagées de ce qu'est une prophétesse.
Ici, en regardant la vie d'Anne, nous voyons ce qu'est vraiment une vraie prophétesse : une femme qui consacre sa vie à la prière et au jeûne, à la recherche du Seigneur, désirant une relation avec Jésus plus que tout autre chose, mettre Jésus en premier, et être capable de reconnaître le Sauveur du monde, même sous la forme d'un enfant.
Anne n'a pas dressé un tableau et distribué des prophéties ou chatouillé  les oreilles des gens avec ce qu'ils voulaient entendre.
 Elle n'avait  pas de cartes de visite imprimées, elle n'est pas allé dans des églises différentes se déclarant prophétesse de Dieu, en ayant des révélations  pour le peuple de Dieu.
Non, pas Anne. Elle a passé son temps dans le jeûne et la prière dans le temple, cachée, et au moment précis où le Seigneur avait prévu, elle a déclaré, «c'est le Messie promis, l'espoir d'Israël, le Rédempteur du monde, Jésus-Christ."
C'était une vie consacrée à un moment, mais oh quel moment ! C'est ce qu'est une prophétesse ! Elle attire  l'attention sur Christ ! Comme c'est simple. Comme c'est profond. Comme c'est merveilleux.
Nous ne voyons que trois versets qui parlent d'Anne, cette femme étonnante. Pendant des années et des années, elle marchait et parlait avec le Seigneur. Elle le servait.
Anne en trois versets, en a fait plus que la plupart des gens dans une vie entière. Donc, comme exemple pour nous d'une femme vertueuse, Anne a commencé avec une vie planifiée, mais nous voyons que le Seigneur avait plus en réserve pour elle.
Nous devons faire confiance au Seigneur, même si notre vie semble aller nulle part ou si tout semble être en train de s'effondrer.
 Ne déprimez pas parce que vous ne voyez pas votre vie conforme aux normes de la planète ou à vos idées de l'endroit où vous pensez que vous devriez être. Dieu a ses normes et c'est sur cela que nous devons nous fixer.
Cela s'appelle avoir confiance et demeurer. Deux mots simples, mais pourtant profond. Si nous voulions vivre par eux nous aussi nous aurions une vie vertueuse comme celle qu'Anne a eue.
Suis-je en train de dire de tout laisser tomber et de vivre dans le temple comme elle l'a fait ? Non, je veux dire que lorsque vous êtes confrontés à des défis, vous aussi, vous avez le choix : vous effondrer ou vous tourner vers le Seigneur, avoir confiance et demeurer en lui. Quel sera votre choix ?
 «En tout cas, frères et sœurs, voici ce qui doit vous intéresser : tout ce qui est vrai et mérite d'être respecté, tout ce qui est juste et pur, tout ce qu'on peut aimer et approuver, tout ce qui est très bon et ce qui mérite des félicitations.» (Philippiens. 4:8 PDV).
"C'est pourquoi, faites tous les efforts que vous pouvez pour croire, et en même temps pour mener une vie honnête.
Menez une vie honnête, et en même temps apprenez à connaître ce que Dieu veut. (2 Pierre 1:5 PDV).
Anne notre première femme vertueuse grâce ou faveur
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noespensaressentir · 4 years
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QUE OCURRE EN ABOBO, CUANDO APARECE EL COVID 19?
Para cada uno de nosotros, estos meses de pandemia los hemos vivido de maneras muy diferentes, sobre todo atendiendo al momento personal que atraviesa cada uno. Muchos hemos sentido agobio, otros hemos sentido que aparecía una oportunidad de hacer otras cosas, otros muchos nos hemos conocido un poco mejor, otros hemos conocido mas a nuestros hijos, parejas…, pero por un momento imaginaros que puede ser en un contexto donde no tienes absolutamente nada y con el añadido de que son 58 personas en una casa de dos habitaciones.
Pero claro, siempre suelen decir que las desgracias no vienen solas y que todo puede ir un poco peor cuando se pone difícil la situación y eso es lo que ocurre en un barrio como Abobo en plena pandemia.
Es aquí donde estos pequeños los cuales nunca querían salir de Abobo, por ser lo que conocen y dominan, es justo en este periodo donde se dan realmente cuenta de que tienen que salir de ese barrio para poder conservar la vida.
“Nuestros niñ@s” durante este tiempo han sufrido las acusaciones de sus vecinos, siendo estos mismos (los propios vecinos) quienes llamaban a la Policía para decirles que había un número muy elevado de personas y que tendrían que tomar medidas contra ellos por ser un foco potencial de contagios.
Estos niños y niñas han sido atracados por sus vecinos si sentían que recibían apoyo por nuestra parte (en forma económica) para poder comprar comida. Si éstos, veían que de alguna manera “nuestros niños ”llegaban con arroz, aceite, leche…
Estos niños y niñas han vivido lo que es tener que esconderse 30 de ellos todos los días en un sistema rotatorio para que si durante el día iba la Policía a casa, no vieran que estaban los 55 niños y los tres adultos.
Estos niños y niñas han tenido que estar expuesto a sufrir ataques durante este periodo para poder esconderse de la Policía en lugares abandonados u ocupados por gente que no tiene hogar y que no vienen a ser más que esa parte de la población que está en la calle, con adicciones…
Estos niños y niñas no solo han luchado contra el COVID 19, han tenido que luchar contra muchas circunstancias colaterales que han afectado a esta crisis mundial, que cuando llega en África la convierte en una crisis mucho mayor.
Es por todo ello, que tras pasar casi dos meses en esta situación donde poder ayudarles, podía ser la consecuencia de su muerte, donde ser tantos, podía provocar su muerte, donde esconderse, podía provocar su muerte… Es por ello que en mayo tanto Eli como yo, decidimos empujarles a que tenían que buscar otra aldea en donde pudieran empezar una nueva vida, cumpliendo esta aldea con criterios indispensables para poder salir de Abobo, como:  tener un colegio cerca , la posibilidad de trabajar alrededor de esa aldea y un campo de fútbol cerca para poder seguir cultivando sus sueños.
Qué ha sido lo más positivo de estos meses de pandemia? Que les sirvió para ver que no estaban en el lugar adecuado y tras casi dos meses de sufrimiento permanente se atrevieron a tomar la decisión de volver a visitar aquellos sitios que en nuestro viaje en diciembre habíamos visto, para poder trasladarse y salir de la pesadilla en la que estaban inmersos.
Hoy agosto de 2020, siguen trabajando en ello, seguimos ayudándoles humildemente como podemos para comer, porque siguen sin poder salir a trabajar, pero estamos muy felices de que se atrevieran a dar el paso de salir de su zona de acomodo, no de la de confort.
Namaste.🌸🙏🏻
Eli y Antonio.
https://www.gofundme.com/f/no-es-pensar-es-sentir
WHAT HAPPENS IN ABOBO, WHEN DOES COVID 19 APPEAR?
For each of us, we have experienced these months of pandemic in very different ways, especially considering the personal moment that each one goes through. Many of us have felt overwhelmed, others have felt that there was an opportunity to do other things, many others have gotten to know each other a little better, others have gotten to know our children, couples ..., but for a moment imagine that it may be in a context where we do not you have absolutely nothing and with the addition that there are 58 people in a two-bedroom house.
But of course, they always say that misfortunes do not come alone and that everything can get a little worse when the situation gets difficult and that is what happens in a neighborhood like Abobo in the middle of a pandemic.
It is here where these little ones who never wanted to leave Abobo, because they are what they know and dominate, it is precisely in this period where they really realize that they have to leave that neighborhood in order to preserve their lives.
“Our children” during this time have suffered accusations from their neighbors, being the same (the neighbors themselves) who called the Police to tell them that there was a very high number of people and that they would have to take measures against them for being a potential source of contagion.
These boys and girls have been robbed by their neighbors if they felt that they received support from us (financially) to be able to buy food. If they saw that somehow "our children" arrived with rice, oil, milk ...
These children have experienced what it is like to have to hide 30 of them every day in a rotating system so that if the police went home during the day, they would not see that the 55 children and the three adults were there.
These children have had to be exposed to attacks during this period in order to be able to hide from the Police in places abandoned or occupied by people who are homeless and who are no more than that part of the population that is on the street. , with addictions ...
These children have not only fought against COVID 19, they have had to fight against many collateral circumstances that have affected this global crisis, which when it arrives in Africa turns it into a much greater crisis.
It is for all this, that after spending almost two months in this situation where being able to help them, it could be the consequence of their death, where there were so many, it could cause their death, where to hide, it could cause their death ... That is why in May both Eli, like me, decided to push them to find another village where they could start a new life, fulfilling this village with essential criteria to be able to leave Abobo, such as: having a school nearby, the possibility of working around that village and a soccer field nearby to continue cultivating your dreams.
What has been the most positive of these months of pandemic? That helped them to see that they were not in the right place and after almost two months of permanent suffering they dared to make the decision to revisit those places that we had seen on our trip in December, to be able to move and get out of the nightmare in the one they were immersed in.
Today August 2020, they continue working on it, we continue to humbly help them as we can to eat, because they still cannot go out to work, but we are very happy that they dared to take the step of leaving their accommodation area, not that of comfort.
Namaste.🌸🙏🏻
Eli and Antonio.
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QUE SE PASSE-T-IL À ABOBO, QUAND COVID 19 APPARAÎT-IL?
Pour chacun de nous, nous avons vécu ces mois de pandémie de manières très différentes, surtout compte tenu du moment personnel que chacun traverse. Beaucoup d'entre nous se sont sentis dépassés, d'autres ont senti qu'il y avait une opportunité de faire autre chose, beaucoup d'autres ont appris à se connaître un peu mieux, d'autres ont appris à connaître nos enfants, partenaires ..., mais un instant imaginez que cela peut être dans un contexte où nous ne le faisons pas. vous n'avez absolument rien et en plus il y a 58 personnes dans une maison de deux chambres.
Mais bien sûr, ils disent toujours que les malheurs ne viennent pas seuls et que tout peut empirer un peu lorsque la situation devient difficile et c'est ce qui se passe dans un quartier comme Abobo en pleine pandémie.
C'est ici que ces petits qui n'ont jamais voulu quitter Abobo, parce qu'ils sont ce qu'ils connaissent et dominent, c'est précisément dans cette période où ils se rendent vraiment compte qu'ils doivent quitter ce quartier pour préserver leur vie.
«Nos enfants» pendant cette période ont subi les accusations de leurs voisins, étant les mêmes (les voisins eux-mêmes) qui ont appelé la police pour leur dire qu'il y avait un très grand nombre de personnes et qu'ils devraient prendre des mesures contre eux pour être une source potentielle de contagion.
Ces garçons et filles ont été volés par leurs voisins s'ils sentaient qu'ils recevaient de notre soutien (financièrement) pour pouvoir acheter de la nourriture. S'ils voyaient cela d'une manière ou d'une autre, "nos enfants" sont arrivés avec du riz, de l'huile, du lait ...
Ces enfants ont vécu ce que c'est que d'avoir à cacher 30 d'entre eux chaque jour dans un système de rotation pour que si la police rentrait chez eux pendant la journée, ils ne verraient pas que les 55 enfants et les trois adultes étaient là.
Ces enfants ont dû être exposés à des agressions pendant cette période afin de pouvoir se cacher de la police dans des endroits abandonnés ou occupés par des personnes sans domicile et qui ne sont pas plus que la partie de la population qui se trouve dans la rue. , avec des addictions ...
Ces enfants ne se sont pas seulement battus contre le COVID 19, ils ont dû se battre contre de nombreuses circonstances collatérales qui ont affecté cette crise mondiale qui, lorsqu'elle arrive en Afrique, la transforme en une crise beaucoup plus grave.
C'est pour tout ça, qu'après avoir passé près de deux mois dans cette situation où pouvoir les aider, ça pourrait être la conséquence de leur mort, là où il y en avait tant, ça pourrait causer leur mort, où se cacher, ça pourrait causer leur mort ... C'est pourquoi en mai les deux Eli, comme moi, a décidé de les pousser à trouver un autre village où ils pourraient recommencer une nouvelle vie, remplissant ce village avec des critères essentiels pour pouvoir quitter Abobo, tels que: avoir une école à proximité, la possibilité de travailler autour de ce village et un terrain de football à proximité pour continuer à cultiver vos rêves.
Quel a été le plus positif de ces mois de pandémie? Ce qui les a aidés à voir qu'ils n'étaient pas au bon endroit et après presque deux mois de souffrance permanente ils ont osé prendre la décision de revisiter ces endroits que nous avions vus lors de notre voyage en décembre, pour pouvoir bouger et sortir du cauchemar en celui dans lequel ils étaient immergés.
Aujourd'hui août 2020, ils continuent à y travailler, nous continuons à les aider humblement à manger, car ils ne peuvent toujours pas sortir travailler, mais nous sommes très heureux qu'ils aient osé faire le pas de quitter leur lieu d'hébergement, pas celui de confort.
Namaste.🌸🙏🏻
Eli et Antonio.
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