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#campagne de la ligne siegfried
carbone14 · 11 months
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Char M4A3 (76) Sherman à l'angle de la rue Schillingsstrasse et Trierbachweg dans le quartier de Gürzenich à Düren tirant sur des allemands retranchés – Campagne de la ligne Siegfried – Bataille de la forêt de Hürtgen – 14 décembre 1944
Photo via https://www.worldwarphotos.info/
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plumedepoete · 5 years
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.     Vous ne vous imaginiez pas de l'importance du « bouton » dans votre vie et celle des autres., jusqu’à ce que vous lisiez cette communication de la plus haute importance..... quoique, il suffise de tourner le bouton de votre sonotone pour que « l'éphèbe -calculette » (because l'acné qui lui décore sa tronche en surface de la lune) la mette en veilleuse.     Ce geste simple qu'est le fait d'appuyer sur un bouton, est le signe incontestable d'un désir subi et sans appel pour changer le monde.... surtout ne pas croire qu'il suffise de presser les pustules d'acné juvénile du garçon en question, pour que son visage soit plus agréable à regarder....je parle d'autres choses... quoique, fort de votre culture du 7 ème art, vous lui avez fait toucher du bout du doigt, non pas un bouton, mais les lacunes de ne pas avoir visionné le film « la guerre des boutons » .     C'est à ce moment précis que, pour ne pas entendre les railleries du Béotien qui est à vos côtés, vous avez appuyé sur le bouton OFF...silence radio... ce bouton a du bon.     Dans la littérature, on cite souvent le geste «  d'Auguste le semeur » si cher à Hugo, qui, faut-il le rappeler, avait les doigts encore assez agiles pour taquiner les boutons du corsage de sa muse.     Juliette, lui disait Victor ... "faut pas pousser le « bouton trop loin". Un délicieux défaut de prononciation lui faisait prononcer « bouton » au lieu de « bouchon »....(à vérifier ).     Un Bouton considéré comme la quatrième roue d'un char... une honte !     Et que dire au sujet du "Petit Père Bouton" , que ses ouvriers appelaient ainsi, et qui inventa le "delco", distributeur d'allumage, les cardans transversaux permettant les roues indépendantes, l'embrayage à disque unique, le graissage sous pression, ainsi que le premier moteur 8 cylindres en V,.     Associé à un ingénieur du nom de DE DION, ils construiront la première voiture utilisée par les inspecteurs de police dans la série  " Les Brigades du Tigre."     La voiture utilisée par la bande à Bonnot pour l'attaque de la rue Ordener est une De Dion-Bouton.     L'histoire préféra voire passer un DE DION devant et notre BOUTON se retrouva derrière le devant de la scène.     Comme le disait ma couturière « les boutons se suivent mais ne se ressemblent pas »...un peu culottée la petite main.     Qui lui reprocherait d'avoir mis sa main dans la culotte d'un Zouave avec autant de zèle ?     C'est sa passion, elle est Fibulanomiste  et se démène pour dénicher l'objet rare qui sera l’orgueil de sa collection. Je lui ai souvent fait cadeau de mes trouvailles après avoir parcouru les campagnes avec mon détecteur de métaux.     Le bouton aux Poilus, la petite histoire aux vaincus et la gloire à la Madelon.     Lorsqu'il partit la fleur à la boutonnière, le Poilu ne se doutait pas qu'à son retour, la gloire reviendrait à sa cantinière.     Rassuré par le fait qu'il ne manquait pas un bouton de guêtre à son uniforme, notre vaillant ancêtre partit étendre son linge sur la ligne Siegfried.     Mais les généraux en décidèrent autrement, et c'est après avoir reçu une sévère déculotté qu'il revint au pays.     Lasse de ravauder les habits « bleu horizon »  de son troufion, troués par des balles perdues, la lavandière inventa la « zip-éclair ».Plus besoin de s'acharner sur des boutons de braguette la fermeture éclair était née.     Ce que l'histoire ne vous dit pas, ou les bruits de couloir :      Les faits authentiques se déroulèrent une nuit au palais de l’Élysée.     Notre « bon président » de retour d'une sauterie à laquelle il fut convié par les Gilets Jaunes de chez Lagerfield, croisa le ministre des armées, comme lui à la recherche de quelque chose à grignoter .     Même scénario de KAMELOT entre l’Élu ( le MANUEL ) et Florence Parly., rentrée tout droit d'une inspection générale des aiguillages de la SNCF.     L’Élu : si on se faisait un « After » en bord de mer ?      La ministre, désarmée par le propos : j'ai un petit sous-marin dont vous me direz des nouvelle...      Aussitôt dit, aussitôt fait, embarquement immédiat à bord du CASABIANCA.... cela lui rappellera le couscous de la rue des Martyrs avant sa croisade contre les Intégristes maintenant c'est wallou. Pour Lui.     Le Pacha s'adressa au président :     Eh ! Manu... ( ils étaient bons amis, et par le passé, avaient été à Lorient pécher la hareng) c'est Brigitte qui te cherche.     Le président , agacé :     Elle m'enquiquine celle là.     Le re-Pacha : (oui heureux, car amis ils avaient aussi péché la sardine à Messine )     - elle est sur la ligne privée, en directe de Matignon     Le Président :     Flûte et zut (en effet il était un peu précieux) je vais l'ignorer celle là.     Et c'est là que le drame intervient....croyant couper court à tout justificatif de sa présence en ces lieux, il appuya avec force et conviction sur le bouton de mise en branle de l’arsenal nucléaire.     Brigitte allait se faire sauter, mais par un autre. . ©Philippe X - 09/10/2019      
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claudehenrion · 3 years
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L'âme des peuples
  Dans la grisaille des idées, à peu près toutes malfaisantes, des princes qui nous mènent à notre perte, on voit apparaître, de temps en temps, une lueur d'espoir : ma chère ''justice immanente'’ n'est pas morte. Deux ''info'', passées inaperçues des gens intelligents, se sont glissées dans le lot de nos mauvaises nouvelles quotidiennes : l'hypothèse de l'origine du coronavirus ressort de là où les ''non complotistes'' l'avaient enterrée --nous en avons parlé. Et il y a eu aussi l'annonce de la signature, hier, par les ''angliches'', d'un nouveau contrat international...
Ecrit comme ça, ça n'a l'air de rien. Pourquoi cela a-t-il réveillé en moi le souvenir, très fort, de  ce 23 juin 2016 où, le résultat du vote dit ''Brexit'' étant encore incertain tard dans le nuit, je m'étais couché, fatigué d'attendre. Du coup, le 24, dès 7 h du matin, j'étais devant mon écran pour vérifier ce que, au fond de moi, je savais déjà : le Royaume-Uni quittait ce drame moderniste et liberticide qu'on persiste à appeler ''l'Europe'', ce qu'elle n'est plus. Dans la seconde, j'ai écrit un ''billet'' : ''Europe : the Brexit breaks it !'' (n°430). Je ne résiste pas à en recopier quelques lignes 
''Alea jacta est ! Tirez-vous les premiers, Messieurs les Anglais ! Le Brexit a cassé l'Europe, comme nous l'avons annoncé si souvent depuis deux ans, à peu près seul contre tous : les peuples ne peuvent que rejeter ce qu'est devenue l'Europe, cette tueuse de nations, cet ogre qui avale ce qui est important mais cède aux arguments faussement rationnels que leur vision marxiste leur impose, d'un ''homo'' qui serait essentiellement ''oeconomicus''). L'important, c'est et ça restera longtemps encore ce que mon maître André Siegfried désignait si joliment par ''l'Ame des peuples''.
  Une campagne inégale a vu s'opposer deux visions non pas de l'Europe mais de l'Homme : l'homo oeconomicus pour les partisans du ’'remain”, et l'homo sapiens (ou aeternus ?) pour les tenants de la sortie. Du côté des ‘’pour le maintien’’, des menaces d'une violence incroyable : “le ciel va vous tomber sur le tête” (Merkel)… “il n'y aura pas de retour'' (Hollande)... ''nous serons implacables” (Junker, Barnier). Côté des ‘’pro-départ’’, l'orgueil d’un peuple qui a résisté à tout, dans son l'histoire : “nous voulons rester ce que nous sommes” (Johnson), “vous ne comprenez rien” (Farrage) ou, pour  l'ancrage des racines, “we want our country back” (Thatcher).
  Et maintenant ? Les boursicoteurs vont jouer aux montagnes russes, la livre sterling va tomber avant de regagner peu à peu le chemin perdu, les instances bruxelloises vont montrer à quel point elles ont l'âme mesquine et vindicative, et les retraités britanniques qui vivent en France vont être très anxieux. Ca, c'est pour tout de suite. Mais, contre la volonté de nuire et l'esprit de vengeance “tout répressif” des ayalollahs bruxellois, parions que l'ingéniosité humaine va savoir s'adapter et inventer des réponses. (le ''Pain Avoiding Model'', souvent évoqué dans ce Blog).
  Mais on peut faire confiance aux esprits si bien formés du ’'Foreign Office” pour déclencher une contre-offensive churchillienne, qui jettera les bases d'une nouvelle Europe, plus humaine, plus attractive, plus réaliste, et moins contraignante, moins coûteuse, moins technocratique que celle dont nous sommes habitués à accepter les règles absurdes, les idées saugrenues, et les diktats autoritaristes'' (fin cit.).
Cinq ans plus tard, presque jour pour jour, où en sommes-nous ? L'Europe et ses dirigeants n'ont tiré aucune leçon de cet épisode révélateur : on pouvait s'y attendre ! En revanche, comme c'était prévu et annoncé, le Royaume-Uni a conclu vendredi dernier un nouvel accord de libre-échange avec la Norvège, l'Islande et... le Liechtenstein --ce qui, reconnaissons-le, aura des conséquences limitées ! C'est peu ? Sauf que, pas à pas, ''Global Britain'' plante son Union Jack à travers le monde, et, après les accords déjà signés avec le Japon et Singapour (et avec l'UE, ne l'oublions pas : Hollande et Junker sont enfin partis, au soulagement général), poursuit sa course et se prépare à signer de nouveaux accords avec l'Australie, les Etats-Unis, l'Inde et la Nouvelle-Zélande... en attendant que l'aveuglement, le faux modernisme et les idées woke des occupants du Berlaymont ne jettent dans leurs bras les pays dits ''du pacte de Visegràd'', dont les dirigeants, pas fous, attendent le moment le plus favorable pour faire le grand saut hors du royaume des sots...
Et pendant que le monde bouge, change, se modifie, s'adapte... et essaye de sortir des fautes, aujourd’hui incroyables, qu'avaient fait naître les cauchemardesques analyses post-communistes et ''méta-socialistes'' du siècle précédent, d'autres pays, restés ''dynamiquement rétrogrades'' comme le nôtre, se complaisent dans les plus ringardes des non-solutions, sur la nation-honnie ou feue la mondialisation, sur l'identité ou feu le cosmopolitisme séparatiste, ou sur la foi démodée dans des ''superstructures'' qui n'ont connu qu'un seul et unique succès, les USA... dont la pérennité est désormais de moins en moins assurée --on peut compter sur Biden et sur Kamala Harris pour lui mettre autant de plombs que possible, dans l'aile...
 Il ne reste plus, comme possibilité pour que tout reprenne le bon sens, du bon sens et son bon sens... que le réveil des peuples. Ils sont longs à prendre conscience d’eux-mêmes et de l'urgence qu'il y a à se mettre en marche (Attention ! Etre ou se mettre ''en marche'', c'est une volonté, une action, une vision... pas un nom de parti politique !) mais tout espoir n'est pas perdu ! Il n'empêche : je prends les paris... pour un réveil à venir. Lent... mais  qui se déploiera, le moment venu, dans toute sa majesté : il faut faire confiance, à moyen terme, à la justice immanente et à ''l'Ame des Peuples'' !
H-Cl.
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carbone14 · 3 years
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Soldats américains tenant une ligne défensive dans la forêt de Hürtgen – Janvier 1945
Photographe : Tony Vaccaro
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carbone14 · 3 years
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Soldats de la 78e Division d'infanterie (Lightning) de la 9e Armée américaine entrent dans Kesternich devant deux Jagdpanzer 38(t) abandonnés – Campagne de la ligne Siegfried – Kesternich – Allemagne - 2 février 1945
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carbone14 · 3 years
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G.I.'s du 2e Bataillon du 26e Régiment d'infanterie avec une mitrailleuse Browning M1919 face à la 116e Panzer Division en plein combat de rue à Aix-la-Chapelle - Bataille d’Aix-la-Chapelle - Campagne de la Ligne Siegfried - 15 octobre 1944
©US Army
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carbone14 · 3 years
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84e Division d'infanterie américaine (The Railsplitters) soutenue par les chars Sherman MAA4 britanniques à Geilenkirchen pendant l'Opération Clipper – Novembre 1944
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carbone14 · 3 years
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Un Sherman M4 surnommé « Catalina Kid » de la Compagnie C, 745e bataillon de char, 1ère Division d'infanterie (The Big Red One) sort de la gare d'Aix-la-Chapelle-Rothe Erde pendant les combats autour du viaduc - Bataille d’Aix-la-Chapelle - Campagne de la Ligne Siegfried - 20 octobre 1944
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carbone14 · 3 years
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Les hommes de la 7e Armée américaine traversent la ligne Siegfried en route vers Karlsruhe – Campagne de la ligne Siegfried – 27 mars 1945
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carbone14 · 3 years
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Les parachutistes du 508e Régiment d’infanterie parachutiste de la 82e Division aéroportée US (All-Americans) reçoivent le dernier briefing par leur officier supérieur avant l'embarquement pour la zone d'opération de Nimègue dans le cadre de l’Opération Market Garden - 17 septembre 1944
©Imperial War Museums - EA 37782
La 82e Division aéroportée américaine du brigadier général Gavin sera larguée au sud de Nimègue pour prendre possession des ponts de Grave sur la Meuse et de Nimègue sur la Waal ainsi que du canal reliant ces deux fleuves.
(Le patch de l'unité à été censuré)
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