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#bourg-la-reine
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Napoleon's home in Ajaccio, Corsica, France
French vintage postcard, mailed in 1954 to Bourg-la-Reine
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b-o-t-t · 7 months
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walker-diaries · 1 year
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yotsubaandtheworld · 2 years
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Aluota, who has won the price Brothers in World Cosplay Summit in 2017.
She is so fun and nice !! (^____^)
Ok, time to return to travel ! ヽ(・∀・)ノ
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pisaliv08 · 23 days
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helloplombier-com · 2 years
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S’en remettre à un plombier Bourg-la-Reine improvisé ou inexpérimenté est un mauvais choix. Si vous ne voulez pas perdre de temps et d’argent, HelloPlombier.com est la solution pour vous. Nous sommes spécialisés dans l’installation et l’entretien des chaudières, des chauffe-eau et des autres systèmes de chauffage de la maison, afin de garantir leur bon fonctionnement et leur sécurité dans le temps.
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 138
Le jeudi fin de matinée j'ai remis Franck au train. Il m'a remercié pour le séjour instructif. Je lui dis de plutôt le dire à son grand père qui le lui avait offert. Il me dit qu'il va s'inscrire au permis moto dès qu'il sera rentré chez lui.
Jeudi PM, je débarque chez Emma. C'est pas parce qu'elle sera bientôt ma " mère " qu'il faut que nous négligions l'autre facette de notre relation, le sexe !
Même si son personnel est au courant pour nous deux, nous sommes plus libre quand ils sont sortis. Il est vrai que je me vois difficilement circuler à poil devant sa vieille cuisinière. Pour le chauffeur, c'est différent, c'est un mec.
De plus quand ils ne sont pas là, nous faisons l'amour partout, garage, cuisine, séjour, salon, piscine... Toutes les pièces de la maison nous ont vues nous embrasser, m'ont vu l'enfiler par tous les trous et me faire sucer jusqu'à l'os.
Comme Marc est reparti en voyage, je vais rester la nuit. Quand j'arrive, je la trouve très " bourge " en tailleur Chanel. J'écrase le cuir de ma combi dessus et ma main droite passe directement sous le bas de la jupe pour vérifier la présence ou non de culotte. Il y en a pas, c'est un appel à la prise directe ! Notre bataille de langues m'a fait bander, je suis prêt à l'assaut. Sans quitter sa bouche, j'ouvre ma combi par le bas et dégage ma bite. je lui trousse la jupe sur ses hanches et je la soulève pour lui poser les fesses sur la première table venue. Je lui relève et écarte en même temps les cuisses et sans lui laisser le loisir de dire non, je m'enfonce dans la moiteur de son vagin. il est trempé, elle devait déjà s'exciter avant que je n'arrive ! comme d'habitude, je lui ramone la chatte quelques instant pour bien lubrifier mon sexe puis profite d'un coup de rein un peeu plus ample pour lui investir l'anus. Ma poussée impérieuse et le lubrifiant naturel que son vagin a déposé sur ma bite font que je la pénètre assez facilement. Je retrouve alors les sensations de pression sur ma queue que je préfère. Comme nous nous savons séronégatifs et que je prend de mon coté beaucoup de précautions alors qu'elle ne baise qu'avec moi, nous avons abandonné le prote de la kpote entre nous. Il n'empêche que je ne lui juterais jamais dans la chatte ! Par contre dans son cul le risque est nul (de gamin). Je la fais jouir une première fois à l'aide de mes doigts et recommence quelques minutes plus tard alors que je me déverse en elle.
Nous nous décollons. Ses lèvres ont gonflée sous la pression des miennes et l' "agression " de mes dents. Je me retire de son cul doucement. Je la sens serrer l'anus et tout garder en elle alors que je suis sorti. Bien que " sans culotte " elle n'avait pas eu l'intention que cela " dégénère " aussi vite. D'un autre coté cela l'arrange bien car elle me dit que ce soir nous recevons. Ma surprise est grande. Elle me dit qu'elle a invité pour le diner son associé, et deux des grand patron que j'avais rencontré chez lui dont le boss de Kev et ce dernier avec bien sûr. Comme nous finissons de nous réajuster (facile pour elle juste à baisser sa jupe, alors que moi il faut que je remballe sans me pincer la peau avec le zip), je vois apparaître la cuisinière pour demander des instructions. Nous avons eu chaud ! puis je pense après qu'elle a du attendre derrière la porte que nous ayons fini nos retrouvailles.
Emma ayant à s'occuper de beaucoup de détail, je passe dans sa chambre retirer ma carapace de cuir et enfiler un maillot pour aller nager. Au passage je vois le costume qui est prêt pour ce soir, avec chemise, cravate et tous les accessoires sortis.
Je file à la piscine me détendre. J'aligne les longueurs jusqu'à ce que son chauffeur vienne me prévenir qu'il était temps que j'aille me préparer. J'entre dans la chambre et entend la douche fonctionner. Je quitte le maillot et rejoint dessous Emma toute savonneuse. Je la prends dans mes ras mais elle glisse. Je suis couvert de savons avant d'avoir pu la bloquer. Je bande encore et contre mes pecs, je sens ses tétons tout raides. J'ouvre ne grand l'eau pour nous rincer et mets sur froid pour tonifier nos peaux. Elle se réfugie à l'abri de mes bras. Quelle erreur fatale ! Je la soulève, elle s'accroche à mon cou instinctivement. Ça me libère les bras et je les lui passe sous les cuisses pour la soulever au dessus de ma bite. Quand je relâche, elle vient toute seule se planter dessus. L position fait que je lui écrase fortement le clito de mon pubis et ce juste sur ma bande de poil restant. Plaquée dos sur le carrelage, je lui lime la chatte jusqu'au point de non retour et sort juste à temps me planter dans son cul et gicler dedans. Un brin de toilette plus tard, nous nous habillons pour recevoir ses invités.
Bien qu'elle n'ait qu'une robe à enfiler, je suis prêt avant elle. Ça me laisse le temps d ;e contacter André (mon banquier le père de Ric) pour rafraichir mes connaissances sur le contexte économique France et monde.
Arrivée des deux grands patrons, un avec sa femme et l'autre avec Kev. Je réussis à m'isoler quelques instants avec Kev pour qu'il me raconte son mois d'Août : vacances dans le sud de l'Espagne son patron ayant une grande villa à Marbella. Nous attendons l'associé d'Emma qui se fait attendre exprès, c'est un chieur ce mec ! Quand il arrive et que l'on se salut, je lui broie la main en souvenir de notre première rencontre. Pendant le diner, il est coincé entre Emma et le boss de Kev. Du coup ça le rend discret. C'est au dessert qu'Emma sort sa bombe. Elle annonce à la tablée que bientôt je serais son fils et se tournant vers son associé ajoute " avec tout ce que cela comprend question affaire ". Les deux patrons la félicite et Kev vient me faire la bise. Avant que l'associé soit revenu sur terre, le boss de Kev ajoute que c'est une bonne idée et qu'il va la creuser pour Kev et lui. Ce dernier tombe des nues, n'ayant pas encore pris la mesure de l'attachement que lui portait son boss. Même s'il est vrai qu'il est orphelin depuis déjà quelques années (ses parents l'ayant eu très tard), il n'y avait jamais pensé. Je lui confiais que moi non plus je ne savais pas cela possible avant que le notaire d'Emma me le confirme. L'associé sous le choc traite Emma et le boss de Kev de gâteux, inconscients, irresponsables... et autres nom d'oiseaux avant de prendre la porte.
La femme du deuxième invité, s'approche alors d'Emma et lui confie tout le plaisir qu'elle avait eu avec ses deux fils pendant leur enfance avant de s'apercevoir de l'ineptie de ses propos, puisque je suis déjà adulte et qu'Emma ne connaitra jamais ce type de période. Nous éclatons tous de rire, elle la première. Cela dédramatise l'ambiance plombée par le départ de l'autre con.
La soirée se passe bien avec le boss de Kev qui demande pas mal de détail sur la procédure à Emma. Kev lui est encore sur un petit nuage. Nous nous isolons quelques instants. Il me roule une pelle géante et me dit qu'il ne pourra jamais me rendre ce que je lui ai donné en lui présentant son vieux. J'ai eu beau lui dire qu'il en était entièrement responsable lui même, n'ayant fait que les mettre en contact, il n'a pas voulu en démordre.
Plaqué contre moi, il a ressenti les effets de son corps, ma bite ayant grossie à sa taille maxi. Alors que c'est plus un actif qu'un passif, il s'est agenouillé et ma fait une pipe d'enfer. N'ayant rien sous la main, il m'a bu jusqu'à la dernière goutte. Je le relevais et récupérais quelques spermatozoïdes cachés entre ses dents, puis le traitait d'inconscient. Il m'a dit que me devant tout, c'était la moindre des choses.
Nous nous sommes promis de prendre un peu de bon temps tous les deux avant qu'il ne repartent le lendemain matin.
Après que le type accompagné de sa femme nous ait quitté, Emma a emmené nos invités à leur chambre. Avant de les quitter, j'ai proposé à Kev de faire quelques longueurs à la piscine. Avec l'autorisation de nos clients et futurs parents, nous avons traversé la maison et atteint l'espèce de bâtiment/serre qui la couvre.
Les costumes ont volés et nu nous avons plongé dans l'eau à 28°. Besoin de dissiper les tension de la soirée, nous avons aligné les longueurs sans échanger de parole une bonne demi heure durant. Le premier je me suis assis sur le bord, jambes écartées et bite pendante. Kev est venu s'échouer sur moi, resté dans l'eau, il a pris appui de ses bras sur mes cuisses. Je sentais son souffle chaud sur ma queue. Ce qui n'a pas tarder à me faire bander comme un âne. Je l'ai senti appuyer plus fort sur mes cuisses et sa tête monter pour chapeauter ma bite. Puis, le plaisir de sentir mon gland puis ma queue être englobée dans la chaleur moite de sa bouche.je me couchais sur le dos, ne vivant que pour les sensations qu'il me procurait. Il est sorti de l'eau et nous avons entamé un 69, position plus facile pour réussir à avaler entier la bite de l'autre. Depuis qu'il s'est fait défoncer par Eric, Kev est frustré de ne pas se faire enculer plus souvent, son boss est exclusivement passif ! Il m'a donc demandé si je pouvais le " dépanner ". J'ai accepté à condition qu'il me saute d'abord. Kpote et gel plus tard, je me prenais avec beaucoup de plaisir ses 21cm dans le fondement. Son style d'enculage propre, me renvoyait aux premières vacances à La Palmyre. Comme promis, nous avons échangé nos places et je me suis enfoncé dans son cul. Trop bon ! Vu qu'il ne sert pas souvent, j'ai du y aller doucement dans mes premières pénétrations, même avec le gel. Mais une fois le passage fait, c'est de lui même qu'il venait s'empaler sur ma queue. Après nos explosions, lui sur le carrelage de la piscine et moi au fond de son cul, couchés cote à cote sur le dos les pieds dans l'eau, nous avons discuté de ce qui nous arrivait.
Il était encore sous le choc de l'annonce de son boss. Je lui ai dit que cela m'avait fait pareil et que j'avais tourné cela à la dérision en disant que d'une relation " prostitution " (car il ne faut pas se voiler la face, Escort-boy = pute de luxe) nous allions passer à " inceste ". Eclat de rire à mon coté, Kev n'avait pas vu ce coté que l'adoption allait entrainer. Comme je lui demandais justement comment il analysait sa relation avec son boss, il me dit qu'étant devenu son secrétaire particulier, c'était, hors périodes de sexe, assez l'état d'esprit (filial) dans lequel il était.
Nous sommes restés un bon moment sur le dos à regarder la lune au travers des grandes baies vitrées, chacun pensant aux développements à venir. Puis, nus, nos affaires sous le bras, nous avons regagné les chambres respectives de nos employeurs/parents. Je lui roulais un gros patin avant qu'il n'ouvre la porte, puis rejoignais Emma. Elle m'attendait nue sur le lit. Je me suis jeté sur elle et nous avons fait l'amour comme elle et comme moi j'aime. Sa bouche, sa chatte et son cul ont reçu la visite de mes 20 cm gonflés à fond. Nous ne nous sommes endormis qu'après que j'ai explosé et lui avoir procurer trois orgasmes.
Le lendemain matin avant le petit déjeuner, j'allais nager deux trois kilomètres. Surpris j'ai trouvé dans l'eau Kev qui avait eu la même idée et son boss assis dans un fauteuil à le regarder. Ce dernier m'a fait signe et je me suis assis à ses cotés. Il ma demandé de quoi nous avions parlé, Kev et moi, la veille car ce dernier lui avait fait l'amour comme jamais à son retour dans leur chambre. Sans dévoiler notre conversation, je lui ai dit que nous avions surtout parlé adoption et un peu de leur relation. A ce propos je lui glissais que Kev avait quand même besoin d'un minimum de liberté pour rester celui qu'il était et celui que lui avait l'air d'aimer. Il m'a regardé dans les yeux en me demandant si par là j'entendais le laisser baiser ailleurs ? je lui répondais par l'affirmatif lui assurant que ce n'était pas parce qu'il assouvirait quelques pratiques en dehors de leur couple qu'il ne l'aimerait pas pour autant. Je le laissais réfléchir la dessus et plongeais à mon tour dans l'eau. Nous n'en sommes sortis que quand Emma est arrivée, accompagnée du petit déjeuner.
Au moment de partir, le boss de Kev m'a pris par le bras et nous écartant de Kev en train de saluer Emma, m'a dit qu'il avait compris ce que j'avais voulu dire et qu'il en informerait Kev. Je le félicitais et ne put m'empêcher de lui embrasser la joue à la grande surprise des deux autres !
JARDINIER
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monimarat · 11 months
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The Duplessis house in Bourg-la-Reine. From Claretie’s Camille Desmoulins: Ouvrage Illustré
A young Lucile negotiates a visit:
« Monsieur Duplessis, dans son cabinet, au coin du feu » : « Ma sœur et moi, nous savons que tu dois aller à la campagne un des jours de cette semaine. Te souviens-tu, qu'il y a plus de quinze jours que tu nous avais promis de nous y mener ? Tu m'as dit, qu'il t'en souvienne, que si j'apprenais Zaire [de Voltaire], tu me donnerais tout ce que je voudrais.
J'en sais déjà presque la moitié, papa, et je meurs d'envie de voir les petits cochons. Ma sœur se joint à moi pour te demander la même grâce et pour te présenter le respectueux attachement avec lequel nous sommes, mon cher papa, tes très humbles servantes. Lucile et Adèle? »
From Un Rêve de République
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What happened to Camille in the immediate aftermath of the Champ du Mars ? I know Danton went to England , but I’ve heard Camille stayed in Paris…if so why was he not arrested, or were the threats less serious than they seemed ?
On the evening the same day as the massacre we find Camille at the Jacobin Club:
M. DESMOULINS — I would not like it to be said in any circular writing that we are in split with the National Assembly. Certainly, where MM. Robespierre and Pétion are, there is no split with the National Assembly. As for sending your address by post without using the Assembly's countersignature, I must warn you that, for six weeks, none of my numbers have been received in Marseille; and yet I sent more than twelve hundred, for which I have receipts from the post office.
Five days later, the the Moniteur could report that the journalists Suleau and Verrières had been arrested, and that the authorities had also fruitlessly gone looking for Fréron, Legendre, Desmoulins and Danton, the latter three, the journal assures, having already left Paris. In Camille’s case, we know the place he, together with Fréron, fled to was Lucile’s parents country house at Bourg-la-Reine:
You (Fréron) know my father-in-law, Citizen Duplessis, a good commoner and son of a peasant, blacksmith of the village. […] An old clerk’s wallet, which had been discarded, forgotten above a cupboard in a heap of dust, and which he had not touched or even thought about for perhaps ten years, and on which they managed discovered the imprint of a few fleur-de-lis, under two fingers of filth, completed the proof that citizen Duplessis was suspect, and thus he was locked up until the peace, and seals put on all the gates of this countryhouse where you remember, my dear Fréron, that we both found an asylum which the tyrant dared not violate after we were both ordered to be seized after the massacre of the Champ-de-Mars.  Camille in number 4 of the Vieux Cordelier (December 24 1793)
At that time, if you (Camille) remember, you were incognito in Paris. You said then that you were in Marseille, in the land of liberty, the only place where one can speak the language of truth. This was not very true, as you know, because while you were believed to be in Marseille, you evaded the pursuits that were being made for the affair of the Champ de Mars, in the gardens of your father-in-law, two leagues from Paris. I, however, remained at my post, and I defied the accuser Bernard, and I entrusted you with my protection, brave Camille, in your little secret journeys from what was formely known as Bourg-la-Reine. Révolutions de Paris by Prudhomme, number 188 (February 9 1793)
In number 34 of Gazette des nouveaux tribunaux (August 26 1791) Camille was accused ”of having made incendiary remarks at Café Procope café, of having provoked murder, saying that it was necessary to shoot the national guards, and that the assignats were the heritage of the workers of the charity workshops.” This was however only based on a petition that may or may not even have been written by Camille that didn’t contain any calls to arms or violence whatsoever. Because of this, the charges against him were dropped, and on September 3 we find Camille presenting himself at the National Assembly to stand for election to the Legislative Assembly. On October 7, he gets mentioned as taking part in the debates at the Jacobin club once again, after more than two months of silence. The same month he could also release the eighty-sixth and final number of Révolutions de France et de Brabant, which had been unable to appear for almost three months (number 85 having been released on July 18, the day right after the massacres). In it, Camille blamed Lafayette for having forced an end to his career as a journalist.
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anais-mirliaz · 19 days
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j'étais tellement prise dans mes fanarts de ff7 que j'ai oublié de rappeler aux gens de Paris & alentours que ce we il y a la conférence Jônetsu à Bourg-La-Reine, et que dimanche spécifiquement il y a une conférence Mars Express où je serai présente !
Il y aura Jérémie Perin (réal), Marion Roussel (chef layout et posing), Anne Raffin (chargée des décors layout), Fanny Bricoteau (superviseure & et design son), Alex Pilot qui était chargé du making off, et moi (simple animatrice 2D, la base), et tout le monde aura sa petite section pour parler du taff sur le film !!
voilà si vous êtes à Paris et que vous avez rien à faire ce week end eh ben lezgooooo
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Railway Station of Bourg-la-Reine, southern suburbs of Paris
French vintage postcard
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b-o-t-t · 7 months
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pillow-boi · 1 year
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✨🌟💫À tous les Français/Parisiens💫🌟✨
La convention Jonetsu est enfin de retour le week-end du 6-7 mai à Bourg-La-Reine !! J'y aurai une table, accompagnée par l'incroyable Momo (@/t8oo) ! Venez nous voir si vous en avez l'occasion 💕
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skubri30 · 9 months
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BOURG LA REINE - Hauts de Seine
Presse d'au pignon
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miung-dreamer · 2 years
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Un jour nouveau
Oyé, oyé !
Voici un petit one-shot Pendranièvre suite au cri de @frisquette27. C'est vraiment tout simple mais j'espère que ça te fera plaisir ainsi qu'à tout le monde 😊
Merci à ma "partner in crimes" @ironist-lady pour nos échanges à ce sujet hehe !
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Cela ressemblait à un matin tout à fait ordinaire.
Les servantes s'étaient levées avant l'aube pour démarrer leurs tâches quotidiennes. Elles s'affairaient à aider les cuisinières pour préparer tous les petits déjeuners du château. Dame Séli ne laissait rien au hasard de toute manière et ses ordres secs étaient suivis scrupuleusement.
Le soleil se levait sur une journée importante : la venue d'une délégation du continent, menée par le Duc d'Aquitaine lui-même. La Reine de Carmélide semblait encore plus sur les dents, elle voulait que tout roule sur son domaine. Hors de question que les bourges étrangers rapportent que son intendance n'était pas à la hauteur !
Les serviteurs allaient recevoir deux fois plus d'ordre, de remontrance et de travail. Une petite fourmilière commençait à grouiller dans les couloirs et les arrières salles du château.
Cela pourrait être un matin ordinaire. Mais il n’en était rien pour Arthur. Celui-ci était déjà réveillé alors que le petit-déjeuner n'avait pas encore été servi. Il se tenait allongé dans son lit, sous les couvertures chaudes. Le visage posé sur sa main levée, il examinait son épouse encore endormie, la bouche entrouverte. Le roi des Bretons souriait tout en caressant discrètement quelques mèches de cheveux châtains. Il se sentait bien. 
Non aujourd'hui n'était pas un matin ordinaire. Car il suivait la nuit où il avait enfin rompu sa promesse : il avait consommé pour la première fois son mariage avec Guenièvre. Leur première fois.
Ils avaient été timides, un peu maladroits. La Reine craignait de ne pas faire les bons gestes, de ne pas être à la hauteur. D'avoir mal aussi. Arthur avait eu besoin de la rassurer avec des baisers tendres, des caresses pour ne pas qu'elle s'éclipse. Avec des mots susurrés tels des secrets. Il en avait eu envie autant qu'elle et pourtant, pour lui aussi, c'était étrangement impressionnant. Il n'avait plus partagé cette intimité depuis son exil, alors goûter ces plaisirs avec cette femme qu'il avait tant rejeté. Mais leurs premiers baisers confirmèrent ce qu'il avait compris à son retour : sa seule place qu'il choisirait toujours désormais, c'était elle.
Le roi continua de l'observer et se demanda comment il avait perdu tant d'années. Leur nuit, au delà des conséquences sur leur relation, avait bouleversé Arthur dans son infinie tendresse et ses langoureuses promesses. Guenièvre l'avait troublé et il espérait qu'elle le ferait encore et encore.
Arthur n'y tint plus et se blottit contre son épouse. Sa main se réfugia contre le ventre de Guenièvre mais il y trouva d'abord un voile de coton, la chemise de nuit. Il grogna légèrement tandis que son visage plongea vers la nuque chaude de la Reine. Il se rappela que tous les deux avaient quitté la couche dans la nuit : lui pour chercher deux coupelles d'eau fraîche, elle pour aller à la selle. Le roi brûlait de la réveiller mais il savait qu'elle méritait ce repos, alors il posa discrètement ses lèvres sous une oreille, sur une épaule, sur une joue... Pourtant rien ne troubla le sommeil de son épouse.
Arthur tourna légèrement son visage et découvrit que le soleil commençait bel et bien à se lever. Avec difficulté, le corps du roi s'extirpa de dessous les couvertures pour aller se tenir face à la haute fenêtre. Le souverain se sentait calme mais excité, serein mais impatient. Des émotions contraires passaient en lui comme des vagues s'écrasant sur des rochers. Une force nouvelle se soulevait en lui pendant qu'il contemplait le ciel, le rendant sourd au reste.
La reine ouvrit les yeux et les souvenirs de la veille revinrent immédiatement à son esprit comme pour la taquiner. Elle l'avait fait ! Guenièvre de Carmélide, femme inexpérimentée, épouse rejetée, reine emprisonnée, avait goûté à "ça". Elle avait du mal à y croire. Mais ce n'était pas un rêve, ça avait été même bien plus que ce qu'elle avait pu espérer. Les maîtresses du roi, longtemps auparavant, lui avaient décrit ce qui se passait techniquement. Donc là dessus, elle ne fut pas surprise, juste anxieuse. Elle avait ressenti une légère douleur au début mais celle-ci passa rapidement pour laisser place à autre chose... Un autre monde où se côtoyaient la découverte et l'abandon de soi pour l'autre. Rien n'aurait pu la préparer à cette joie enivrante. 
Et la douceur d'Arthur. La douceur d'Arthur... Dans ses murmures et dans ses gestes. Ce fut probablement le plus beau de leur nuit.
Elle se retourna, espérant voir son mari mais ne trouva que des draps vides. Une ombre en périphérie, néanmoins, attira son attention. La Reine aperçut son époux debout dans la chambre, il regardait quelque chose par la fenêtre. Elle ne savait pas trop comment se comporter maintenant, encore moins comment lui allait agir. Mais elle avait terriblement envie de le sentir contre elle. Alors Guenièvre inspira plusieurs fois et abandonna la couche pour le rejoindre.
Arthur entendit des pas légers sur le sol en pierre derrière lui. Un petit sourire se formant sur son visage, il ne bougea pas. Il préférait laisser le choix à Guenièvre de venir à lui ou se raviser.
La reine s'arrêta juste derrière lui. Après quelques hésitations, une main se leva pour se poser sur le dos de son roi. Sa respiration s'accéléra légèrement, c'était son premier contact depuis...depuis...
Elle ignorait comment comprendre le silence et le stoïcisme d'Arthur. Mais finalement se rassura car s'il voulait râler, il ne se gênerait pas ! Il l'avait tant de fois rabroué avant. Alors ce mutisme ne devait pas être un refus froid. Non ça devait être autre chose.
Guenièvre, téméraire, passa ses bras autour de la taille d'Arthur pour l'enlacer, son visage enfoui dans sa tunique noire. Elle aimait cette odeur si masculine, si lui et ne se priva pas pour la sentir comme le plus précieux des parfums. Elle aurait pu rester comme ça longtemps mais son cœur rata un battement, au contact lent des doigts d'Arthur sur ses mains. Il les caressait avec douceur, toujours sans rien dire. Les yeux noisette de la Reine d'abord fermés se posèrent sur le visage du roi tourné légèrement vers elle.
Tous les deux comprenaient qu'ils vivaient un moment de bascule, presque aussi important que la nuit passée.
Guenièvre fut étonnée quand son mari brisa le silence : "Comment vous vous sentez ?"
Le cœur de la Bretonne battait la chamade : alors cette douceur n'avait pas été fugace ? Elle était bien là, derrière ses mots, sous ses doigts. Soulagée et émue, les lèvres de la reine rassurèrent Arthur : "Terriblement bien."
Le roi lâcha un discret soupir de soulagement. Donc son épouse ne regrettait pas leur nuit. Que pouvait-il espérer de mieux aujourd'hui ? Rien. Et personne ne pourrait lui enlever cela, même si cette journée diplomatique tournait au fiasco. Ses beaux parents pourraient gueuler à tous les étages ou péter la vaisselle, les discussions avec la délégation pourraient s'éterniser, mais ce moment présent dans les bras de Guenièvre et sa réponse, rien ne pourrait les abîmer.
La reine ne pouvait cacher sa curiosité et son appréhension. Et s'il avait été déçu lui ? Elle prit alors son courage à deux mains et osa demander : "Et vous ? Comment vous vous sentez ?"
Arthur, caressant toujours les mains de son épouse, laissa un grand sourire se dessiner sur ses lèvres. Il n'arriverait pas à exprimer correctement ce qu'il avait ressenti avec des mots mais il fallait rassurer Guenièvre. Il se tourna encore un peu plus pour qu'elle puisse bien le voir et répondit simplement :"Moi aussi, terriblement bien."
La reine sourit, les yeux remplis de joie puis enfouit son visage dans le dos de son époux tout en serrant davantage son étreinte. Pour la première fois de sa vie, elle ressentait un bonheur immense que rien ne semblait ébranler. Une nouvelle page s'ouvrait devant eux.
Leur nuit enivrante s'était mue en un matin de promesses entre eux qui se connaissaient par cœur mais avaient encore tout à apprendre. Ensemble.
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1892, la villa Hennebique, Bourg-la-Reine, France
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