Tumgik
#Pierre Dux
tina-aumont · 2 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
L'île Heureuse (1951)
L'Île Heureuse was a theatre play written by Jean-Pierre Aumont who wrote it for María Montez, it was directed and performed by Pierre Dux and María Montez and it was shown for the first time at Edouard VII Theater in Paris on January 24, 1951.
The play was a success, the actors made a well performance and María Montez received very beautiful acclaims from the critics.
This was the first of many theatre performances at théâtre Édouard-VII and then the play travelled to some other French cities always having great acclaim from the public and the critics, this fact made María got real interest in doing more stage plays.
Maria Montez plays the 25-year-old Spanish dancer Carlota Goya.
Very special thanks to @74paris for sharing this program.
8 notes · View notes
aramielles · 11 months
Text
Ils me font peur.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
12 notes · View notes
Text
La Lectrice
Tumblr media
La Lectrice
Constance reads a novel aloud in bed to her lover. Inspired by the story of Marie, a woman who advertises her services as a reader of literature, she decides to do the same.
An ode to reading. But since I sadly don't speak the language, listening to the reading of classic novels and poetry in French is of limited enjoyment.
What still remains is admiring the art direction of the sets and the pleasant view of Miou-Miou walking through Arles in colourful outfits.
1 note · View note
Text
Sur Le Misanthrope : Adaptations
Une première mise en scène, datant de 1977, par Pierre Dux (classique)
Casting : Alceste - Georges Descrières, Oronte - Bernard Dheran, Philinte - Michel Duchaussoy, Dubois - Gérard Caillaud, Clitandre - Philippe Rondest, Acaste - Guy Michel, Arsinoé - Bérangère Dautun, Eliante - Dominique Constanza, Célimène - Béatrice Agenin
Costume tout noir pour Descrières, quelques rubans verts qui garnissent l’épaule ; il sera intéressant de noter comment chaque metteur en scène habille son Alceste. Chose étrange, la vue donnée par les fenêtres de chez Célimène ressemble à une vue d’un jardin de Versailles (carrément pas fait au hasard, on vous fait confiance m’sieur Dux). Ô diction naturelle d’un texte classique, mon amour ! J’ai l’impression d’entendre une vraie conversation, c’est magnifique. Un Alceste déjà bien énervé, dans les starting blocks dès le début (j’aime beaucoup le jeu de Descrières), mais qui a une certaine noblesse, une certaine majesté. Intéressant de voir que le costume de Philinte est le même que celui d’Alceste, mais son opposé complet en termes de couleur (rouge vif). On dirait que ce Philinte est le psy d’Alceste, c’est marrant. Psy un peu ferme, car le petit côté misanthrope de Philinte semble ici plus utilisé pour souligner les excès d’Alceste. Pour l’instant je vois l’amitié Alceste/Philinte like two old queens, c’est jouissif pour moi. Bon excusez-moi, les costumes masculins sont tous les mêmes, juste de couleur différentes et plus ou moins ornés. Un Oronte précieux et pétasse à souhait (excellent Bernard Dheran). Philinte qui donne des petits coups de tête approbateurs quand Alceste réussit l’interaction sociale, my autistic king. Potescore à la lecture du sonnet, vraiment mon moment préféré, eux qui se prennent le bec à voix basse mais dont la resting bitch face ressurgit immédiatement telles les fleurs au printemps. Philinte a l’air constamment atterré par son pote, je trouve ça hilarant. Une Célimène MAGNIFIQUE (Béatrice Agenin, quelle belle femme mon dieu), tout en noir, absolument charmante (et qui n’hésite pas à embrasser Alceste dans sa première apparition pour lui donner une preuve de son amour), très ironique, et médisante pétillante. Alceste l’aime, bon dieu, au début d’un amour grognon mais qui garde une certaine tendresse ;  sa colère dans l’Acte III après la “trahison” de Célimène est bouillante, mais en sous-main, pas vraiment de grands éclats de voix, une rage plutôt contenue (malgré un poing qui aurait pu partir). Mais ils s’aiment quand même. La grande folle tout en rose c’est bien sûr Acaste (Guy Michel qui ne ménage aucun ridicule), et son acolyte en jaune poussin, Clitandre, plus soft (très bon Philippe Rondest). Eliante (jolie Dominique Constanza) semble prendre un peu après sa cousine dans le ton, mais reste mimi (par contre, un peu plus d’émotion que diable, à certains moments j’avais l’impression de voir jouer une carpe. Avec tout le respect que je lui dois.). Bérangère Dautun est une Arsinoé très méprisante, la voix posée, j’adore. All by myself joue bien fort dans ma tête à la dernière sortie de notre asocial préféré. Je retiens de cette pièce un Alceste assez désillusionné pour garder un certain calme, qui lui confère une aura noble, mais pas assez pour ne pas s’énerver de temps à autre.
xxxxxxxxx
Deuxième version, de 1959, mise en scène (bien sûr classique) de Jean Kerchbron
Casting : Alceste - Renaud Mary, Philinte - Bernard Dheran, Oronte - Jean Le Poulain, Célimène - Françoise Christophe, Eliante - Evelyne Dandry, Acaste - Jacques Ciron, Clitandre - Alain Feydeau, Arsinoé - Malka Ribovska
Caméra qui est le point de vue d’Alceste ??? Innovative ! Surprise de retrouver l’Oronte de la version de 77 en Philinte. Diction pas très naturelle, pet peeve. Perruque ridicule pour Renaud Mary, mais c’est pas sa faute. Mise en scène hyper minimaliste, je suis surpris (agréablement je le concède). Turbopétasse de Le Poulain en Oronte, parfait. Je suis furieusement bisexuel pour la Célimène de Françoise Christophe, hautaine et au rire méprisant jouissif. Turbopétasses derechef avec Clitandre et Acaste, les années 60 n’étaient-elles donc faites que de cela ? Je suis également furieusement bisexuel pour l’Eliante d’Evelyne Dandry, Philinte je vais te piquer ta femme. Même Arsinoé (Malka Ribovska) est MAGNIFIQUE, un joli filon pour les fans de Molière lesbiennes. Dheran est super en Philinte tout doux, monsieur flirtez avec moi svp pour le 14 février. Une bonne vieille interprétation tout ce qu’il y a de plus classique.
xxxxxxxxxx
Troisième version, de 2000, mise en scène de Jean-Pierre Miquel (classico-moderne ?)
Casting : Arsinoé - Alberte Aveline, Oronte - Michel Favory, Eliante - Isabelle Gardien, Alceste - Denis Podalydès, Clitandre - Laurent d’Olce, Célimène - Clotilde de Bayser, Philinte - Laurent Natrella, Acaste - Christian Gonon, Le Garde / Dubois - Guillaume Gallienne
Wow, Podalydès avec les cheveux encore très très bruns. Un tout tout petit ruban vert en guise de collier, c’est un Alceste bien mélancolique, comme Podalydès sait faire ce genre de personnage. Je compare avec une autre version dont je parlerais après celle-ci, je sais, mais j’ai l’impression de voir la mise en scène d’Hervieu-Léger en moins bien, les personnages sont placés pareils et rient même parfois aux mêmes moments…Mais il manque la petite étincelle que donnent Corbery et Génovèse dans l’autre version. Non vraiment Podalydès est hyper calme en début de pièce, c’est très bizarre. Guys pick up the fucking pace, ça a pas l’air naturel ni dans l’esprit de la pièce, qu’est-ce que vous faites ??? Et bordel, Natrella, un peu d’émotion merde, j’ai l’impression de voir un ragondin à qui on a filé un texte et un costume de dentelle. Favory, pareil, le ridicule d’Oronte est où ??? Clotilde de Bayser à vingt ans MADAME je suis à vos genoux. Elle est belle, pétillante, souriante, drôle, bref, ma femme. Aussi, serait-ce un lieu commun de foutre Acaste et Clitandre en jaune poussin et rose pétant ? Alceste se réveille un peu à l’Acte II, merci, on attendait que ça. Un tout petit pitchoune Gallienne. Est-ce que c’est aussi un lieu commun de foutre Alceste enserrant de ses bras la taille de Célimène et poser la tête sur ses genoux ? (ça ne me dérange pas, les hommes désespérés on aime ça ici). Un Alceste bien cheum aussi, dont la déclaration “je voudrais qu’aucun ne vous trouvasses aimable” est assez creepy. Wow, Philinte qui fume (*transpose immédiatement ça avec Génovèse et décède promptement par excès de horniness*). Les costumes deviennent hyper sombres à la fin, pas mal. Et Célimène qui reste seule sur scène avant le tomber de rideau ? (dieu quelle femme magnifiquement belle.). Je me suis quand même assez emmerdé, la mise en scène aurait tellement pu être mieux mise en valeur, et les comédiens étaient pas trop au rendez-vous…
xxxxxxxxxx
Quatrième et dernière version, de 2019, mise en scène de Clément Hervieu-Léger (une moderne, pour changer)
Casting : Alceste - Loïc Corbery, Philinte - Eric Génovèse, Célimène - Adeline d’Hermy, Eliante - Jennifer Decker (mais j’ai aussi vu Claire de La Rue du Caën), Oronte - Serge Bagdassarian, Arsinoé - Florence Viala, Acaste - Christophe Montenez (mais j’ai aussi vu Clément Hervieu-Léger), Clitandre - Pierre Hancisse (mais j’ai aussi vu Birane Ba), Dubois - Gilles David (mais j’ai aussi vu Christian Gonon)
Comme d’hab je vous ai réservé ma version favorite pour la fin et…j’adore cette mise en scène. Depuis je fais totalement confiance à Hervieu-Léger en matière de direction artistique. Transposée dans un salon d’un appartement haussmannien en emménagement, la pièce reprend un peu de vigueur avec une mise en scène plus contemporaine. Des jeux de lumière, de musique de fond contribuent à l’ambiance et surtout rappellent que la pièce se déroule sur une journée. Mais ce sont d’abord les acteurs qui donnent un nouvel éclairage. C’est la seule fois jusqu’ici où j’ai vu la misanthropie d’Alceste traitée comme une véritable maladie, qui lui fait autant de mal qu’il en fait aux autres. C’est Loïc Corbery (pour moi, un des meilleurs acteurs de sa génération) qui porte cet Alceste blessé, à l’aura de chat mouillé, qui alterne périodes de calme ressentiment avec des explosions de colère stupéfiantes. Je compare avec la reprise de la pièce en 2023 (que j’ai vue hihihi), il a rendu son personnage plus calme par endroits, mais cela fait ressortir toute la violence de ses éclats. Philinte est campé par Eric Génovèse qui donne une douceur indicible à ce personnage ; qui garde cependant une bonne couche de rire devant Alceste et son ridicule, sans pour autant cesser d’agir comme un véritable ami (des petites attentions, l’aide à l’interaction sociale, sa présence presque constante auprès de lui, son inquiétude pour lui, la scène du câlin…LA SCÈNE DU CÂLIN PUTAIN), sans oublier la petite touche de misanthropie inhérente au personnage (et qui le rend complexe). Mention reprise 2023 : il est plus abrasif, plus triste peut-être, plus misanthrope, mais ça relève encore plus les moments de douceur. Célimène (Adeline d’Hermy je vous AIME) est si belle, si pleine de vie, et amoureuse en plus…Le duo qu’elle forme avec Corbery (bouleversants dans l’Acte III) permet de nous rappeler en nous mettant un gros coup de couteau dans le cœur que leur amour restera impossible. Eliante est choupinette outre commune mesure, Philinte sans déconner un jour je vais te piquer ta femme (ou eux deux ? vive la bisexualité). Serge Bagdassarian est un Oronte jouissif par l’interprétation typique et personnelle qu’il donne de ce personnage ; même chose pour Florence Viala en Arsinoé particulièrement âpre ; Acaste et Clitandre, peu importe les interprètes, sont parfaits et confinent aux petits-maîtres quelquefois (même si Hervieu-Léger en Acaste a été la plus pétasse to have ever pétassed). Si les moments de comédie sont là, on oublie surtout pas de nous rappeler que c’est aussi une tragédie, et la fin de la pièce est tellement douce amère…Enfin bref, je pourrais passer des heures à parler de cette mise en scène là, mais mon compte principal est un assez vibrant témoin de mon admiration pour celle-ci.
3 notes · View notes
byneddiedingo · 1 year
Photo
Tumblr media
Charles Denner and Yves Montand in Z (Costa-Gavras, 1969)
Cast: Jean-Louis Trintignant, Yves Montand, Irene Papas, Pierre Dux, Jacques Perrin, Charles Denner, François Périer, Georges Géret, Bernard Fresson, Marcel Bozzuffi, Julien Guiomar, Magali Noël. Screenplay: Jorge Semprún, based on a novel by Vassiliis Vassilikos. Cinematography: Raoul Coutard. Production design: Jacques D’Ovidio. Film editing: Françoise Bonnot. Music: Mikis Theodorakis. 
Costa-Gavras's great political thriller, Z,  was an unsettling film to watch in 1969, the year after Robert Kennedy and Martin Luther King Jr. were assassinated, the police clashed with demonstrators at the Democratic convention in Chicago, and Richard Nixon was elected president. What makes it unsettling in today's political climate is the way the film shows the destructive collaboration of ideologues, buffoons, and thugs. It's an often grimly funny movie, particularly in the portrayal of the general in charge of the police, who as played by Pierre Dux is both ideologue and buffoon. There is buffoonery also among the thugs, and Costa-Gavras has fun mocking the conspirators who, once they angrily leave the room in which they've been indicted, each try to open a locked door. But we mock them in vain. For while the efforts of the prosecutor played beautifully by Jean-Louis Trintignant are heroic and Costa-Gavras and screenwriter Jorge Semprún make us expect justice to prevail, it doesn't. The story is that of the assassination of Greek opposition politician Grigoris Lambrakis in 1963 and the subsequent investigation that brought a glimmer of hope to the country only to be squelched by the military coup of 1967. However, the film is set in no specific country -- it was filmed in Algeria -- and only an opening "disclaimer" that parodies the usual assertion about any resemblance to persons living or dead dares to say that the resemblances in the film are entirely intentional. Costa-Gavras and Semprún were political exiles from, respectively, Greece and Spain. The composer Mikis Theodorakis had been arrested and his music was banned in Greece; he gave Costa-Gavras permission to use existing compositions for the film score. But the decision to set the film in no particular place only strengthened its ability to reach out and make its story meaningful beyond a specific place and time. Although Yves Montand and Irene Papas get top billing as the assassinated politician and his wife, Montand's role is comparatively small and Papas's is virtually a cameo. The movie is mostly carried by Trintignant and by Jacques Perrin, one of its producers who also plays a very aggressive investigative journalist, and a capable supporting cast. It won Oscars as the best foreign-language film and for Françoise Bonnot's film editing. It was also nominated in the best picture category, and picked up nominations for best director and best adapted screenplay, but lost in those categories to Midnight Cowboy and its director, John Schlesinger, and screenwriter, Waldo Salt.
7 notes · View notes
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Z
Costa-Gavras
France-Algérie / 1968 / 125 min
D'après le roman Z de Vassilis Vassilikos.
Avec Yves Montand, Jean-Louis Trintignant, Irène Papas, Charles Denner.
Dans un pays méditerranéen, un député progressiste est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête met en évidence la participation de l'armée et de la police dans le meurtre.
1967, Costa-Gavras adapte l'œuvre de Vassilikos, description des coulisses d'une enquête judiciaire, entravée par l'influence des classes dirigeantes corrompues. Réalisé au moment du coup d'État grec de la junte des colonels, Z résonne comme un acte d'accusation contre les usurpateurs, montrant, avec une sombre vérité, le climat créé avant leur arrivée au pouvoir. Montand y interprète « le Docteur », président d'un mouvement national en faveur du désarmement, victime d'une agression déguisée en accident. Costa-Gavras reconstitue les pièces du puzzle et décrit, avec un suspense haletant, les mécanismes du crime politique. Plusieurs fois primé – Oscar du meilleur film étranger, prix d'interprétation pour Jean-Louis Trintignant (dans le rôle du juge d'instruction) au festival de Cannes 1969 –, le film devient, et reste aujourd'hui, un mètre-étalon du genre.
Interprètes : Yves Montand (le député Z), Jean-Louis Trintignant (le juge d'instruction), Irène Papas (Hélène), Jacques Perrin (le journaliste), François Périer (le procureur), Charles Denner (Manuel), Pierre Dux (le général)…
4 notes · View notes
turangalila · 2 years
Audio
Pierre Chépélov (*1979) O qui perpetua mundum ratione gubernas (2012)
Eheu, quæ miseros tramite devios / abducit ignorantia! / non aurum in viridi quæritis arbore / nec vite gemmas carpitis, / non altis laqueos montibus abditis / ut pisce ditetis dapes / nec vobis capreas si libeat sequi / Tyrrhena captatis vada; / ipsos quin etiam fluctibus abditos / norunt recessus æquoris, / quæ gemmis niveis unda feracior / vel quæ rubentis purpuræ / nec non quæ tenero pisce vel asperis / præstent echinis litora. / sed quonam lateat quod cupiunt bonum / nescire cæci sustinent / et quod stelliferum transabiit polum / tellure demersi petunt. / Quid dignum stolidis mentibus imprecer? / opes honores ambiant, / et cum falsa gravi mole paraverint / tum vera cognoscant bona. //
O qui perpetua mundum ratione gubernas, / terrarum cælique sator, / qui tempus ab ævo / ire iubes stabilisque manens das cuncta moveri; / quem non externæ / pepulerunt fingere causæ / materiae fluitantis opus, verum insita summi / forma boni livore carens; tu cuncta superno / ducis ab exemplo,  pulchrum pulcherrimus ipse / mundum mente gerens, similique in imagine formans, / perfectasque iubens perfectum absolvere partes. / Tu numeris elementa ligas, ut frigora flammis, arida conveniant liquidis, ne purior ignis / evolet aut mersas deducant pondera terras. / Tu triplicis mediam naturæ cuncta moventem / conectens animam per consona membra resolvis. / quæ cum secta duos motum glomeravit in orbes, / in semet reditura meat mentemque profundam / circuit et simili convertit imagine cælum. / Tu causis animas paribus vitasque minores / provehis et levibus sublimes curribus aptans / in cælum terramque seris, quas lege benigna / ad te conversas reduci facis igne reverti. / Da, Pater, augustam menti conscendere sedem, / da fontem lustrare boni, da luce reperta / in te conspicuos animi defigere visus. / Dissice terrenæ nebulas et pondera molis, / atque tuo splendore mica; tu namque serenum, / tu requies tranquilla piis, te cernere finis, / principium, vector, dux, semita, terminus idem. // [Boethius. De Consolatione Philosophiae. III : M8, M9]
_ Music For A King, The Winchester Troper, 11th century. – Pierre Chépélov, Joel Rust, 21st century. Discantus, Brigitte Lesne. (2014, æon – AECD 1436 2014)
9 notes · View notes
agendaculturaldelima · 3 months
Text
Tumblr media
#ElEscenarioDelMundo
🎭 Teatro: “OTELO” 👻💔😥
✍️ Dramaturgia: William Shakespeare (Reino Unido)
🗯 Argumento: Historia del valiente General Otelo, éxitos militares, victorias y su idílica historia de amor con la bella Desdemona, pero su felicidad suscita la envidia y el rumor sobre la infidelidad de su esposa inoculada por el astuto y malvado Yago.  La puesta en escena nos presenta una obra sobre los celos, la locura y la venganza a través de una propuesta monumental y arriesgada, bajo una mirada actual que pone énfasis en trascendentales temas como la violencia, impunidad y el feminicidio.
👥 Elenco: Maria Grazia Gamarra (Desdémona), Fernando Luque (Yago), Oscar
Yepez (Casio), Andrea Alvarado (Emilia), Alonso Cano (Brabancio/Ludovico), Alejandro Tagle (Rodrigo) y Martín Aliaga (Dux/Montano)
👗Escenografía y vestuario: Lorenzo Albani (Italia)
📢 Dirección:Jean Pierre Gamarra
© Producción: Éxodo Teatro
▶️Vídeo Promocional: https://youtu.be/hWiDjDfkhUg
Tumblr media Tumblr media
📌 Temporada: Del 01 al 17 de Marzo
📆 Funciones: Jueves, viernes y sábado 🕗 8:00pm. / Domingos 🕖  7:00pm.
🏛 Teatro Municipal de Lima (jirón Ica 377 – Lima)
🎫 Entradas:
🎟 Cazuela: S/.25
🎟️ Galería: S/.35
🎫 Platea: S/.50
🖱 Reservas en Joinnus: https://www.joinnus.com/events/theater/lima-otelo-temporada-2024-59285
Tumblr media
 👪 A tener en cuenta: Obra dirigida a público mayor de doce años en compañía de un adulto.
0 notes
alexlacquemanne · 1 year
Text
Janvier MMXXIII
Films
Airport (1970) de George Seaton avec Burt Lancaster, Dean Martin, Jean Seberg, Jacqueline Bisset, George Kennedy, Helen Hayes et Van Heflin
L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux (The Horse Whisperer) (1998) de Robert Redford avec Scarlett Johansson, Robert Redford, Kristin Scott Thomas, Sam Neill et Dianne Wiest
Boulevard du crépuscule (Sunset Boulevard) de Billy Wilder avec William Holden, Gloria Swanson, Erich von Stroheim, Nancy Olson, Fred Clark et Lloyd Gough
Écrit sur du vent (Written on the Wind) (1956) de Douglas Sirk avec Rock Hudson, Lauren Bacall, Robert Stack, Dorothy Malone, Robert Keith et Grant Williams
Take Me Out to the Ball Game (1949) de Busby Berkeley avec Gene Kelly, Frank Sinatra, Esther Williams, Betty Garrett et Edward Arnold
Les Tontons flingueurs (1963) de Georges Lautner avec Lino Ventura, Bernard Blier, Jean Lefebvre, Francis Blanche, Venantino Venantini, Robert Dalban, Sabine Sinjen et Claude Rich
Un air de famille (1996) de Cédric Klapisch avec Jean-Pierre Bacri, Wladimir Yordanoff, Catherine Frot, Jean-Pierre Darroussin, Claire Maurier et Agnès Jaoui
Le Rapace (1968) de José Giovanni avec Lino Ventura, Rosa Furman, Xavier Marc, Aurora Clavel, Augusto Benedico et Marco Antonio Arzate
Aimez-vous Brahms… (Goodbye Again) (1961) d'Anatole Litvak avec Ingrid Bergman, Anthony Perkins, Yves Montand, Jessie Royce Landis, Pierre Dux, Jackie Lane et Michèle Mercier
Par-dessus les moulins (La bella mugnaia) (1955) de Mario Camerini avec Vittorio De Sica, Sophia Loren, Marcello Mastroianni, Paolo Stoppa et Yvonne Sanson
Y a-t-il enfin un pilote dans l'avion ? (Airplane II: The Sequel) (1983) de Ken Finkleman avec Robert Hays, Julie Hagerty, Lloyd Bridges, Chad Everett, William Shatner, Sonny Bono et Chuck Connors
Pouic-Pouic (1963) de Jean Girault avec Mireille Darc, Louis de Funès, Roger Dumas, Jacqueline Maillan, Christian Marin, Philippe Nicaud, Guy Tréjan et Daniel Ceccaldi
Papy fait de la résistance (1983) de Jean-Marie Poiré avec Christian Clavier, Michel Galabru, Roland Giraud, Gérard Jugnot, Martin Lamotte, Dominique Lavanant, Jacqueline Maillan, Jacques Villeret, Julien Guiomar et Jacques François
Votez McKay (The Candidate) (1972) de Michael Ritchie avec Robert Redford, Peter Boyle, Don Porter, Allen Garfield, Karen Carlson et Michael Lerner
American Graffiti (1973) de George Lucas avec Richard Dreyfuss, Ron Howard, Paul Le Mat, Charles Martin Smith, Candy Clark, Mackenzie Phillips, Cindy Williams, Wolfman Jack, Bo Hopkins et Harrison Ford
Duel (1972) de Steven Spielberg avec Dennis Weaver, Jacqueline Scott, Eddie Firestone, Lou Frizzell, Gene Dynarski, Lucille Benson et Tim Herbert
Le jour se lève (1939) de Marcel Carné avec Jean Gabin, Jules Berry, Jacqueline Laurent, Arletty, Arthur Devère, Jacques Baumer, Mady Berry et Bernard Blier
Le Grand Alibi (Stage Fright) (1950) d'Alfred Hitchcock avec Jane Wyman, Marlène Dietrich, Michael Wilding, Richard Todd, Alastair Sim et Sybil Thorndike
Capitaine sans peur (Captain Horatio Hornblower R.N.) (1951) de Raoul Walsh avec Gregory Peck, Virginia Mayo, Robert Beatty, James Robertson Justice, Denis O'Dea, Moultrie Kelsall et Stanley Baker
Jack Reacher: Never Go Back (2016) d'Edward Zwick avec Tom Cruise, Cobie Smulders, Danika Yarosh, Jessica Stroup, Aldis Hodge et Patrick Heusinger
Confidences sur l'oreiller (Pillow Talk) (1959) de Michael Gordon avec Rock Hudson, Doris Day, Tony Randall, Thelma Ritter, Nick Adams et Julia Meade
Fanfan la Tulipe (1952) de Christian-Jaque avec Gérard Philipe, Gina Lollobrigida, Noël Roquevert, Olivier Hussenot, Marcel Herrand, Geneviève Page et Sylvie Pelayo
Les Sentiments (2003) de Noémie Lvovsky avec Nathalie Baye, Jean-Pierre Bacri, Isabelle Carré, Melvil Poupaud, Agathe Bonitzer : Sonia et Virgile Gr��nberg
Moby Dick (1956) de John Huston avec Gregory Peck, Richard Basehart, Leo Genn, Orson Welles, Harry Andrews et James Robertson Justice
Tueurs de dames (The Ladykillers) (1955) de Alexander Mackendrick avec Katie Johnson, Alec Guinness, Cecil Parker, Herbert Lom, Peter Sellers et Danny Green
Séries
Kaamelott Livre IV, I
Tous les matins du monde : 1re partie - Tous les matins du monde : 2e partie - Raison et Sentiments - Les Tartes aux fraises - Le Dédale - Les Pisteurs - Le Traître - La Faute : 1re partie - La Faute : 2e partie - L’Ascension du Lion - Enluminures - Les nouveaux frères - La jupe de Calogrenant - La dent de requin
Friends Saison 3, 4, 5
Celui qui était laissé pour compte - Celui qui s'auto-hypnotisait - Celui qui avait un tee-shirt trop petit - Celui qui courait deux lièvres - Celui qui avait un poussin - Celui qui s'énervait - Celui qui avait un truc dans le dos - Celui qui voulait être ultime champion - Celui qui allait à la plage - Celui qui soignait les piqûres de méduses - Celui qui ne voyait qu'un chat - Celui qui avait des menottes - Celui qui apprenait à danser - Celui qui avait une nouvelle copine - Celui qui fréquentait une souillon - Celui qui poussait le bouchon - Celui qui était dans la caisse - Celui qui savait faire la fête - Celui qui draguait au large - Celui qui posait une question embarrassante - Celui qui gagnait les paris - Celui qui se gourait du tout au tout - Celui qui n'avait pas le moral - Celui qui jouait au rugby - Celui qui participait à une fête bidon - Celui qui avait la chaîne porno - Celui qui cherche un prénom - Celui qui faisait de grands projets - Celui qui va se marier - Celui qui envoie l'invitation - Celui qui était le pire témoin du monde - Celui qui se marie : première partie - Celui qui se marie : deuxième partie - Celui qui avait dit Rachel
Inspecteur Barnaby Saison 1, 2, 3
Meurtres à Badger's Drift - Écrit dans le sang - Mort d'un pantin - Fidèle jusqu'à la mort - Le Masque de la mort - L'Ombre de la mort - Le Bois de l'étrangleur - Le Terrain de la mort - Et le sang coulera - Mort d'un vagabond - Angoisse dans la nuit - Le Jour du jugement - Le Mystère de la tombe
Coffre à catch
#96 : Bonne année + Kelly Kelly + LA SURPRISE ! - #97 : L'enclumette à la ECW !! - #98 : Kofi Kingston est-t-il invincible? - #99 : Avec le Big Show, c'est Mieux! - #100 : Avec Sturry, la ECW reste forte !
Columbo Saison 3
En toute amitié
Affaires Sensibles
Le bal tragique de Saint-Laurent-du-Pont - "Soleil Vert" : un mirage écologique à Hollywood - Le calvaire de Scorsese - L'aventure Canal Plus - Les dents de la mer - Redoine Faïd : le braqueur aux multiples visages - 4 août 1962, chute et mort de la femme éternelle - Los Angeles, les émeutes de 1992 : chronique d’un drame annoncé - O.J. Simpson, une histoire américaine - 17 avril 1961 : La baie des cochons - Lockerbie, 1988. La mort tombe du ciel
Doctor Who
Le Pouvoir du Docteur
L'Agence tous risques Saison 1
Les gladiateurs - Enlèvement à Las Vegas - Bagarre à Bad Rock - Racket - Bataille rangée - Et c'est reparti - Pour le meilleur et pour le pire
Le Voyageur Saison 2
Le roi nu - Au bout de la nuit
Spectacles
Concert du Nouvel An en direct du Musikverein, à Vienne (2023)
Le Mari, la Femme et la Mort (1970) d'André Roussin avec Bernard Blier, Jacqueline Gauthier, Denise Grey, Claude Nicot et Harry-Max
Livres
Le seigneur des anneaux Tome 1 : La communauté de l'anneau de J.R.R. Tolkien
Détective Conan : Tome 4 de Gôshô Aoyama
Watchmen : Tome 1 d'Alan Moore et Dave Gibbons
Les aventures de Tintin : Tome 18 : L'Affaire Tournesol d'Hergé
Des dragées sans baptême de Frederic Dard
Kaamelott : Tome 10 : Karadoc et l'Icosaèdre d'Alexandre Astier, Steven Dupré et Roberto Burgazzoli
Goldboy N°11 : Aventure en Amazonie
0 notes
comalma · 1 year
Text
BOULEVARD DO CINE: Uma leitora Muito Particular
BOULEVARD DO CINE: Uma leitora Muito Particular
Uma Leitora Muito Particular Dirigido por Michel Deville, 1988. França, 99 min. Elenco: Miou-Mio, Christian Ruché, Sylvie Laporte, Michel Raskine, Brigitte Catillon, Marianne Denicourt , María Casares, Pierre Dux e Maria de Medeiros. Um filme com várias camadas, mas ao mesmo tempo leve, ainda que haja a comédia, o drama, o erótico. Todas as camadas que formam este filme de 1988. Baseado no…
Tumblr media
View On WordPress
1 note · View note
tina-aumont · 7 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
L'Île Heureuse was a theatre play written by Jean-Pierre Aumont who wrote it for María Montez, it was directed and performed by Pierre Dux and María Montez and it was shown for the first time at Edouard VII Theater in Paris on January 24, 1951.
Here in these photos we can see María Montez with actor Jean Danet (first photo) and with Robert Murzeau (third photo) in two moments of the play.
The play was a success and in the audience there were poet Jean Cocteau (who was a friend of the family and wrote the poem "Nuit Aux Étoiles" for baby Tina Aumont when she was born) and María Montez sisters among others.
Tumblr media
Some of the photos come from French magazine "Cinemonde" number 861 from February 1951.
Tumblr media Tumblr media
And here we can see two tender photos taken once the play was finished, everybody was really happy cause the actors made a well performance and María Montez received very beautiful acclaims from the critics.
Here she is pictured with hubby Jean-Pierre Aumont and with her beautiful sisters (L-R): Adita, Teresita and Lucita, sitting is the star: María Montez.
Very special thanks to @74paris for sending me this beautiful article and the photos. María Montez would have been as well a great theatre actress, but destiny had other plans for her...
12 notes · View notes
aramielles · 4 months
Text
norpois et mercaillon dans au service de la france c’est juste pierre dux
1 note · View note
movierx · 3 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
The Pleasure of Love (1991) dir. Nelly Kaplan
Cinematography by Jean-François Robin
Starring Pierre Arditi, Françoise Fabian, Pierre Dux, Dominique Blanc, Cécile Sanz de Alba, and Heinz Bennent
5 notes · View notes
moviemosaics · 4 years
Photo
Tumblr media
Z
directed by Costa-Gravas, 1969
5 notes · View notes
byneddiedingo · 2 years
Photo
Tumblr media
Gérard Philipe and Michèle Morgan in Les Grandes Manoeuvres (René Clair, 1955) Cast: Michèle Morgan, Gérard Philipe, Jean Desailly, Yves Robert, Brigitte Bardot, Pierre Dux, Jacques Fabbri. Screenplay: René Clair, Jérôme Géronimi, Jean Marsan. Cinematography: Robert Lefebvre. Production design: Léon Barsacq. Film editing: Louisette Hautecoeur, Denise Natot. Music: Georges Van Parys. René Clair's first film in color is a pretty pastel confection set in a French village at the end of the 19th century, a period many French filmmakers were drawn to in part because it held a kind of autumnal glow before the harsh winter that would set in during the second decade of the 20th century. A handsome womanizing lieutenant, Armand de la Verne, stationed in the village before the beginning of the army's summer maneuvers, wagers that he can seduce the first woman to enter the room. She happens to be Marie-Louise Rivière, a divorcée who has opened a millinery in the village. And they happen to be played by Gèrard Philipe and Michèle Morgan, two of the biggest French stars of the day, both of them in middle age and endowed with a kind of gravitas that means the movie is not going to be a frivolous sex farce. For sexiness, we have a parallel flirtation between another lieutenant, Félix Leroy (Yves Robert), and the saucy young Lucie, played by the saucy young Brigitte Bardot. Yet the film is weighed down by the more mature couple, to the point that Clair's romantic nostalgia never quite comes off the screen and engages the audience. It's lovely to look at, and it has admirers who defend its bittersweet tone, but it feels to me more like an exercise in period filmmaking than a fully committed work -- even though it was one of Clair's favorite films.
0 notes
flimgif · 4 years
Photo
Tumblr media
8 notes · View notes